Soient a et b deux entiers. Posons. pgcd(a, b),
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- Judith Malo
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1 Soient a et b deux entiers. Posons pgcd(a, b), pour le plus grand commun diviseur de a et b. Et ppcm(a, b), pour le plus petit commun multiple de a et b. On dit que a et b sont relativement premier si pgcd(a, b) = 1. Si a 1, alors pgcd(0, a) = a et pgcd(1, a) = octobre / 33
2 Comment calculer le pgcd? Avec l algorithme d Euclide. Exemple : Calculons pgcd(1351, 1064) avec l algorithme d Euclide. On calcule la suite des restes succcessifs : 1351 = = = = = = = Le dernier reste non-zero, 7, est le pgcd(1351, 1064). 27 octobre / 33
3 La raison pourquoi ça marche. Lemme Soit m > 0 et n deux entiers. Par division-avec-reste il existe deux entiers q et r tels que n = qm + r et 0 r < m. Alors pgcd(n, m) = pgcd(m, r). Si r = 0 alors pgcd(n, m) = m. 27 octobre / 33
4 1351 = donc par le lemme pgcd(1351, 1064) = pgcd(1064, 287). Et donc 1064 = pgcd(1064, 287) = pgcd(287, 203). Etc. : pgcd(1351, 1064) = pgcd(1064, 287) = pgcd(287, 203) = pgcd(203, 84) = = pgcd(84, 35) = pgcd(35, 14) = pgcd(14, 7) = = pgcd(7, 0) = 7 En effet : 7 = le dernier reste non-zero = pgcd. 27 octobre / 33
5 En fait notre lemme est un peu plus grand, avec d autres conséquences. Lemme Soit m > 0 et n deux entiers. Par division avec reste il existe des entiers q et r tels que n = qm + r et 0 r < m. (i) Alors pgcd(n, m) = pgcd(m, r). Si r = 0 alors pgcd(n, m) = m. (ii) Mettons d := pgcd(n, m) = pgcd(m, r). Supposons ils existent des entiers s, t tels que d = sm + tr. Alors d = tn + (s tq)m. Ou (ii) en autres mots : si on peut écrire d comme une combinaison Z-linéaire de m et r, alors on peut aussi écrire d comme une combinaison Z-linéaire de n et m. 27 octobre / 33
6 La preuve est facile. Démonstration. (i) Soit d 1 un diviseur de m. Si d n, aussi d (n qm) = r. Et si d r, aussi d (qm + r) = n. Donc d est diviseur en commun de m et n si et seulement si d est diviseur en commun de m et r. En particulier, pgcd(m, n) = pgcd(m, r). (ii) Par substitution d = sm + tr = sm + t(n qm) = tn + (s tq)m. 27 octobre / 33
7 Le lemme suggère pas seulement l algorithme d Euclide pour calculer le pgcd(n, m) mais aussi un algorithme pour trouver deux entiers s et t tels que sn + tm = pgcd(n, m). Il y a deux versions. 27 octobre / 33
8 Méthode par substitutions (i) On commence par la suite des restes : 287 = = = = = = = (ii) On commence en bas avec la combinaison Z-linéaire : 7 = et substitue 14 = et réécrit : 7 = 35 2 ( ) = octobre / 33
9 Puis on monte une ligne. On substitue 35 = et rééecrit : 7 = = ( ) = ( 12) 84. Puis on monte une ligne. On substitue 84 = et réécrit : 7 = ( 12) 84 = ( 12) ( ) = ( 12) On monte jusqu en haut. 27 octobre / 33
10 Le résultat : 7 = = 35 2 ( ) = = = ( ) = = ( 12) 84 = ( 12) ( ) = = ( 12) = ( 12) ( ) = = ( 63) 287 = ( 63)( ) = = ( 63) Pour être sûr qu on n a pas fait une erreur de calcul on vérifie la réponse. En effet ( 63) = = 7 27 octobre / 33
11 À cause de tous les substitutions on risque facilement de faire une erreur de calcul. Il y a une autre méthode, qui est un peu plus propre avec moins de risque d erreur de calcul. Cette méthode calcule le pgcd et la combinaison Z-linéaire simultanément. Moi, je prèfére cette méthode. 27 octobre / 33
12 Méthode de Bézout Commence avec deux combinaisons Z-linéaire triviales. Le début : = = 1064 Le premier reste est 287 = Donc aussi 287 = = [ ] [ ] = = (1 0) (0 1) D où une ligne de plus = = ( 1) 1064 = octobre / 33
13 Le deuxième reste est 203 = donc aussi 203 = = [ ] + ( 3) [ ( 1) 1064] = (0 3) (1 + ( 3)( 1)) 1064 = ( 3) (4) 1064 Et une autre ligne s est ajoutée : = = ( 1) 1064 = 287 ( 3) (4) 1064 = 203 Et on répète. 27 octobre / 33
14 On a = = ( 1) 1064 = 287 ( 3) (4) 1064 = 203 (4) ( 5) 1064 = 84 ( 11) (14) 1064 = 35 (26) ( 33) 1064 = 14 ( 63) (80) 1064 = 7 La dernière ligne donne nos deux réponses, le pgcd et la combinaison Z-linéaire. 27 octobre / 33
15 Je vois cet algorithme (appelé l algorithme de Bézout) comme l algorithme d Euclide renforcé par de l administration. La partie à la droite du = est la suite des restes, pour calculer le pgcd(n, m) avec l algorithme d Euclide. La partie à la gauche du = commence par deux combinaisons triviales Z-linéaire de n et m. Puis, ce qu on fait à droit pour obtenir le prochain reste, on fait aussi à gauche pour maintenir l administration. Cet algorithme de Bézout/Euclide donne une preuve constructive du théorème de Bézout : 27 octobre / 33
16 Théorème (Bézout) Soient n, m deux entiers avec d = pgcd(n, m). Alors il existe deux entiers s, t tel que sn + tm = d. Démonstration. Si m = 0, alors 1 n + 0 m = d, si n 0 et 1 n + 0 m = d, si n < 0. Et le résultat est vrai. Sans perte de généralité on peut supposer que n et m sont des nombres naturels et m > 0. Puis l algorithme de Bézout fonctionne pour calculer tels s et t. On peut aussi utiliser l induction pour montrer ce théorème. 27 octobre / 33
17 Une variation. Théorème Soient a, b, c trois entiers. Posons d = pgcd(a, b). Considérons l équation ax + by = c. Il est possible de résoudre cette équation avec des entiers (c.-à-d. de trouver deux entiers x et y tel que l équation est satisfaite) si et seulement si d c. Et il y a un algorithme! 27 octobre / 33
18 Démonstration. Supposons des entiers x, y existent tels que ax + by = c. On a d a et d b donc aussi d (ax + by) et nécessairement d c. Par contre si d c, il existe n Z tel que c = dn. Par le théorème de Bézout ils existent s, t tels que d = as + bt donc c = dn = a(sn) + b(tn). Et on voit que le pair x = sn et y = tn forme une solution de l équation. 27 octobre / 33
19 Par exemple : L équation 1351x y = 29 n a pas de solution entière, car pgcd(1064, 1351) = 7 ne divise pas 29. L équation 1351x y = 21 a une solution entière, car pgcd(1064, 1351) = 7 divise 21. Trouver une solution. 27 octobre / 33
20 Heureusement nous savons déjà obtenu : ( 63) = 7, donc ( 63 3) (80 3) 1064 = 7 3 = 21, et 1351 ( 189) = 21 Donc la couple x = 189 et y = 240 est une solution. Autres solutions? 27 octobre / 33
21 On a 1351 = et 1064 = 7 152, donc = = Pour chaque entier h Z le couple x = h 152 et y = 240 h 193 est aussi une solution : ( 189+h 152) 1351+(240 h 193) 1064 = ( 189) 1351+(240) 1064 = 21, Par exemple, h = 1 donne : x = 37 et y = 47, et en effet 1351 ( 37) = = 21. Cette méthode fonctionne généralement pour trouver autres solutions. 27 octobre / 33
22 Le théorème de Bézout a des corollaires utiles. Théorème (i) Soient a, b, c trois entiers tels que a bc et pgcd(a, b) = 1. Alors a c. (ii) Soit p un nombre premier tel que p bc. Alors p b ou p c. Mais 6 (2 3) et 6 2 et 6 3 (6 n est pas premier). Corollaire Si p est un nombre premier tel que p (n 1 n 2... n s ). Alors il existe un i tel que p n i. 27 octobre / 33
23 Démonstration. (i) Hypothèse pgcd(a, b) = 1 : il existe entiers s, t tels que sa + tb = 1 par Bézout, et donc sac + tbc = c Hypothèse a bc : il existe u tel que au = bc. Donc c = sac + tau = (sc + tu)a ou a c (ii) Si le nombre premier p ne divise pas b alors pgcd(p, b) = 1. Donc l hypothése de (i) est satisfaite et on peut conclure. 27 octobre / 33
24 Déjà montré : Théorème Pour chaque nombre naturel n > 1 il existe un entier s 1 et des nombres premiers p 1, p 2,..., p s tels que et p 1 p 2... p s. n = p 1 p 2... p s, On dit : "Une décomposition première existe". On a unicité aussi : Théorème Soit n > 1 un nombre naturel. Si n = p 1 p 2... p s = q 1 q 2... q t où p 1 p 2... p s et q 1 q 2... q t des premiers. Alors s = t et p 1 = q 1, p 2 = q 2,..., p s = q s. 27 octobre / 33
25 Démonstration. On a p i (p 1 p 2... p s ). Et si p est premier, la seule factorisation première : p = p. Le début. Pour n = 2 il n y a qu une seule factorisation (2 est premier.) Étape d induction : Soit n 2 et supposons pour chaque 2 m n la factorisation première pour m est unique. Si n + 1 est premier, il y a une seule factorisation, comme déjà remarqué. 27 octobre / 33
26 (suite). Supposons n + 1 est composé et n + 1 = p 1 p 2... p s = q 1 q 2... q t sont deux factorisations ordonnées. Les p i et q j sont tous des nombres premiers qui divisent n. Soit p 2 le plus petit nombre premier qui divise n. Alors p p 1 p 2... p s implique p = p i pour un i. Par minimalité nécessairement p = p 1. Et de même façon p = q 1. Donc p 1 = q 1. Posons m = p 2... p s = q 2... q t, alors 2 m n (car n est composé). Par l hypothèse d induction, m a une seule factorization. C est à dire p 2 = q 2, p 3 = q Donc aussi les deux factorisations de n + 1 coïncident. Par induction généreuse on conclut que l unicité de la factorisation première est vraie. 27 octobre / 33
27 Soit n > 1 alors on peut aussi écrire uniquement n = p a 1 1 pa pas s, où p 1 < p 2 <... < p s sont des nombres premiers et les a i des nombres naturels. r = p e 1 1 pe pes s divise n si et seulement si e 1 a 1, e 2 a 2,..., e s a s. Dans ce cas, posons s = p a 1 e 1 1 p a 2 e ps as es, alors Il y a une conséquence bien connue : rs = n. 27 octobre / 33
28 En général, trouver une factorisation première est très laborieux. Mais si on a déjà factorisé n et m on peut facilement calculer pgcd(n, m). Théorème Supposons n = p a 1 1 pa pas s, et m = p b 1 1 pb 2 p 1 < p 2 <... < p s, les a i 0 et les b i 0. Alors et 2... pbs s, où pgcd(n, m) = p c 1 1 pc pcs s, ppcm(n, m) = p d 1 1 pd pds s, où c i est le minimum de {a i, b i } et d i est le maximum de {a i, b i }. 27 octobre / 33
29 Corollaire Soit n et m deux nombres naturels positifs. Alors nm = pgcd(n, m) ppcm(n, m) 27 octobre / 33
30 Par exemple : On a 1064 = , 1351 = , pgcd(1064, 1351) = = 7, ppcm(1064, 1351) = = , = = octobre / 33
31 Si n = p 1 p 2... p s est composé et p 1 p 2... alors p 2 1 n. Donc N > 1 est premier si p N pour chaque premier p tels que p 2 N. Exemple : Pour montrer que 193 est premier, il suffit de voir que 193 n est pas divisible par 2, 3, 5, 7, 11, 13. Ce qui est le cas. 27 octobre / 33
32 Nous allons présenter la fameuse preuve par l absurde d Euclide du théorème suivant Théorème Il existe une infinité de nombres premiers. 27 octobre / 33
33 Démonstration. Supposons qu il existe seulement un nombre fini, disons N, de nombres premiers. Soient p 1, p 2, p 3,..., p N ces nombres premiers (parmi eux se trouvent bien sûr 2, 3, 5, 7, 11.) Considérons le très grand nombre n = 1 + (p 1 p 2 p 3 p N 1 p N ). Comme pour chaque nombre naturel, il existe un nombre premier p qui divise n. Ce nombre premier p se trouve nécessairement sur la liste de tous les nombres premiers plus haut : il existe un 1 i N tel que p = p i. Mais n s écrit comme 1 plus un p i -multiple ; donc p i = p ne divise pas n, car il y aura un reste 1 après division par p i. Alors p divise n ET p ne divise pas n. Ce qui est absurde! On conclut que l hypothèse qu il existe seulement un nombre fini de nombres premiers est fausse! Le théorème est donc vrai, car c est l opposé de cette fausse hypothèse. 27 octobre / 33
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