Directive Nitrates en Champagne Ardenne
|
|
- Jean-René Dupont
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Directive Nitrates en Champagne Ardenne I / DIRECTIVE NITRATES La directive «Nitrates» est une directive du 12 décembre 1991 (Directive 91/676/CEE) visant à réduire la pollution provoquée ou induite par les nitrates d origine agricole. C'est l'une des directives que les états membres ont dû intégrer dans leur droit de l'environnement national, pour protéger l'environnement et les ressources naturelles (et plus particulièrement la ressource en eau). Son application s est concrétisée par la désignation de zones vulnérables au sein desquelles des programmes d actions fixent les prescriptions techniques. La directive nitrate concerne tous les exploitants agricoles ayant au moins une parcelle située en zone vulnérable. Concernant la Champagne Ardenne, beaucoup de communes sont concernées par cette directive : - Toutes les communes de la Marne - Toutes les communes de l Aube - Toutes les communes de la Haute Marne - Listes des communes du département des Ardennes placées en zones vulnérables :
2 NOM COMMUNE CODE INSEE DEPARTEMENT MOTIF DU CLASSEMENT ELIGIBLE DELIMITATION INFRA- COMMUNALE Amblimont 8009 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Aubigny-les-Pothées 8026 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Autrecourt-et-Pourron 8034 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Balan 8043 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Bazeilles 8053 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Beaumont-en-Argonne 8055 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Belval-Bois-des-Dames 8059 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non Blombay 8071 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Bulson 8088 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non Cernion 8094 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Le Châtelet-sur-Sormonne 8110 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Chéhéry 8114 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non
3 Chémery-sur-Bar 8115 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non Cheveuges 8119 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Clavy-Warby 8124 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Dommery 8141 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Donchery 8142 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non L'Échelle 8149 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Fagnon 8162 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non NOM COMMUNE CODE INSEE DEPARTEMENT MOTIF DU CLASSEMENT Fleigneux 8170 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Floing 8174 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Givonne 8191 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Glaire 8194 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Ham-les-Moines 8206 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Haudrecy 8216 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Illy 8232 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Lépron-les-Vallées 8251 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Létanne 8252 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Logny-Bogny 8257 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Mairy 8267 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Marby 8273 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Marlemont 8277 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Mouzon 8311 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Murtin-et-Bogny 8312 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Neufmaison 8315 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Neuville-lès-This 8322 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non Noyers-Pont-Maugis 8331 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Remilly-Aillicourt 8357 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Remilly-les-Pothées 8358 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Rouvroy-sur-Audry 8370 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Saint-Aignan 8377 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non Saint-Marcel 8389 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Saint-Menges 8391 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Sedan 8409 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Sormonne 8429 ARDENNES Au titre des eaux de surface Oui Sury 8432 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Thin-le-Moutier 8449 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non This 8450 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Vaux-en-Dieulet 8463 ARDENNES Au titre des eaux souterraines Non Vaux-Villaine 8468 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Villers-devant-Mouzon 8477 ARDENNES Au titre des eaux de surface Non Villers-sur-Bar 8481 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non Wadelincourt 8494 ARDENNES Au titre des eaux de surface et souterraines Non ELIGIBLE DELIMITATION INFRA- COMMUNALE
4 II / LES DIFFERENTES MESURES DE LA DIRECTIVE NITRATES Toutes les parcelles des communes situées en zone vulnérables ont l obligation de répondre à plusieurs mesures : - Calendrier d épandage - Cahier d enregistrement - Equilibre de la fertilisation azotée (PPF) - Couverture des sols : cultures intermédiaires - Bandes tampons le long des cours d eau - ZAR (Zones d Actions Renforcées) 1- Calendrier d épandage Le calendrier diffère selon les cultures fertilisées et le type de produit azoté apporté : Type I : valeur C/N > 8 - Déjections animales avec litière (fumiers de ruminants et fumiers de porcins) C/N >8 - Certains produits homologués ou normés d origine organique. Type II : valeur C/N <8 - Fumiers de volailles, déjections animales sans litière (lisiers de bovin et porcin, lisiers et fientes de volailles), digestats bruts de méthanisation - Effluents peu chargés et certains produits homologués ou normés d origine organique - Certains associations de produits comme les déjections associées à des matières carbonées difficilement dégradables (type de sciure) L'apport d'azote organique sur une culture intermédiaire est limité à 70 kg d'azote efficace/ha (50 kg si CIPAN avec des légumineuses). Sur certaines communes, les périodes d'interdiction d'épandage sont allongées d'une semaine pour les fertilisants de type II sur : - maïs précédé ou non par une CIPAN ou une culture dérobée : du 1 er février au 8 février - prairies implantées plus de 6 mois, dont prairies permanentes et luzerne : du 16 janvier au 23 janvier. Type III : les fertilisants minéraux La fertilisation azotée des légumineuses est interdite, sauf dans les cas suivants : - l'apport de fertilisants azotés organiques est autorisé sur luzerne (aucun apport autorisé après la 3 ème coupe de la dernière année d'exploitation) et sur les prairies d'association graminées-légumineuses, dans la limite de l'équilibre de la fertilisation et en respectant les périodes d'interdiction d'épandage ;
5 - un apport d'azote minéral est toléré sur les cultures de haricots (vert et grain), de pois légume et de soja.
6 Conditions particulières d épandage : 2- Cahier d enregistrement des pratiques Les éléments obligatoires du cahier d enregistrement. Identification de l îlot : - Identification et surface de l îlot cultural - Type de sol Interculture précédant la culture principale : - Modalités de gestion des résidus de culture - Modalités de gestion des repousses et date de destruction - Modalités de gestion des CIPAN ou de la dérobée : espèce, date d implantation et de destruction, apports de fertilisants azotés réalisés (date, superficie, nature, teneur en N et quantité d N total) - En cas de dérogation pour impossibilité de couvert, date et nature du travail du sol Culture principale : - Culture pratiqué et date d implantation - Rendement réalisé - Pour chaque apport réalisé : date d épandage, superficie concernée, nature du fertilisant azoté, teneur en N de l apport, quantité d azote totale de l apport - Date de récolte ou de fauche pour les prairies Bilan post récolte du précédent : - Pour les ilots culturaux pour lesquels conformément aux cas dérogatoires prévus, il n y a pas eu de mise en place ou de maintien d un couvert pendant l interculture. Documents annexes : - Analyses de reliquats - Analyses ou extrait de la carte de sol en cas de dérogation pour teneur en argile élevée - En cas d échanges paille-fumier ou de vente, bordereaux cosignés par le producteur de l effluent et par le destinataire.
7 3- Equilibre de la fertilisation azotée : Plan Prévisionnel de Fumure (PPF) Pour toutes les parcelles situées en zone vulnérables, il est obligatoire de réaliser un plan de fumure prévisionnel. Ce document doit être initié dès la récolte de la culture précédente et doit être terminé au plus tard avant le 15 mai de chaque année. Vous devez donc pour certaines cultures calculer votre dose d azote de référence. Attention ce calcul n est pas obligatoire dans ces conditions : - Dose inférieure à 50 kg N/ha : Si la dose d azote apportée est inférieure çà 50 kg d azote total par ha, vous êtes dispensé de calcul. Dans ce cas, il suffit juste de reporter la dose prévue sur votre PPF - Cultures soumises à des plafonds d azote : beaucoup de cultures légumières sont dans ce cas. Pour les cultures non soumises à la dose plafond (c est-à-dire : les betteraves potagères, les carottes, céleri rave, chou à choucroute, épinard, flageolet, oignon et pomme de terre), un calcul de la dose d azote est donc à effectuer soit avec la méthode du bilan additif ou la méthode du CAU. Le choix de l une ou de l autre méthode dépend du type de sol de la parcelle. Un document réalisé par le GREN (Groupe Régional d Experts Nitrate) en Champagne Ardenne a été réalisé pour vous expliquer les différents modes de calculs. Si vous avez des questions ou des problèmes à remplir vos plans prévisionnels de fumure, vous pouvez contacter votre conseillère PLANETE Légumes Champagne Ardenne. OBLIGATION D ANALYSE DE SOL Pour toute personne exploitant plus de 3 ha en zone vulnérable, une analyse de sol devra être réalisée sur l une des trois principales cultures exploitée en zone vulnérable et constituée d un reliquat azoté sortie d hiver (RSH) lorsque ce dernier est réalisable, en fonction du type de sol, et utilisable, en fonction de la culture. CE QUE DOIT COMPORTER LE PPF : Le plan de fumure doit comporter au minimum : - L identification et surface de l ilot cultural - La culture pratiquée et la période d implantation envisagée - Le type de sol - La date d ouverture du bilan (*)(**) - L objectif de production envisagé (*) - Le pourcentage de légumineuses pour les associations graminées/légumineuses (*) - Les apports par irrigation envisagés et la teneur en azote de l eau d irrigation - Lorsqu une analyse de sol a été réalisée sur l ilot, le reliquat sortie hiver mesuré quantité d azote totale ou de matière organique du sol mesuré (*) - Quantité d azote total et efficace à apporter par fertilisation après l ouverture du bilan, pour chaque type de fertilisant envisagé
8 (*) Non exigé lorsque l ilot cultural ne reçoit aucun fertilisant azoté ou une quantité totale d azote < 50 kg d N/ha et pour les cultures à doses plafond (**) Non exigé pour les cultures à dose plafond Tableau DOSES PLAFOND Tout apport d azote minéral est interdit sur les légumineuses sauf sur les cultures de haricots (vert et grain), pois légume, dans la limite de la dose plafond du tableau. Pour les cultures maraichères, la dose plafond d azote retenue s entend pour chaque cycle de culture au cours de l année. Pour les cultures dont le cycle est supérieur à un an, ka dose plafond s entend par année.
9 4- Couverture des sols : cultures intermédiaires Afin de préserver la ressource en eau en Champagne Ardenne et éviter les risques de lessivage, les sols doivent être couverts à l automne. Couverture des sols acceptée : - CIPAN (Culture Intermédiaire Piège à Nitrates), - Culture dérobée - Repousses de colza et d orge de printemps denses et homogènes, - Légumineuses en mélange (légumineuses pures en Agriculture Biologique), Broyage fin des cannes de maïs grain, de sorgho ou de tournesol suivi d un enfouissement des résidus dans les 15 jours suivant la récolte (1). (1) Pas d enfouissement pour les îlots sur les communes appartenant au couloir de migration et d hivernage des grues cendrées (annexe 3 arrêté régional), et pour les îlots en zone inondable. INTERCULTURES LONGUES La CIPAN ou la culture dérobée doit être implantée avant le 10/09 et être maintenue au minimum 2 mois (+ 15 jours si épandage de matière organique). Dérogations à l implantation d un couvert : - si la culture précédente est récoltée après le 5 septembre inclus (sauf derrière maïs grain, sorgho et tournesol), - si la technique du faux-semis est mise en œuvre afin de lutter contre les limaces, vivaces et adventices et est réalisée entre le 05/09 et le 15/10. - si le taux d argile est supérieur à 30% (à justifier par une analyse en cas de contrôle). Pour toutes ces situations, l exploitant doit calculer le bilan azoté post-récolte des parcelles concernées et l inscrire dans son cahier d enregistrement. De plus, dans le cas 2, il doit aussi faire une déclaration avant le 10/09. INTERCULTURES COURTES La couverture des sols est également obligatoire dans les intercultures courtes entre une culture de colza et une culture semée à l automne. Elle peut être obtenue par des repousses de colza denses et homogènes qui doivent être laissées en place au moins un mois. Ce délai peut être réduit à 3 semaines en cas de justification de présence de nématode (Heterodera schachtii) dans une rotation comprenant des betteraves. DESTRUCTION DES CIPAN ET DES REPOUSSES La destruction de la CIPAN ou de la culture dérobée ne peut pas être réalisée avant le 15/10. La destruction des CIPAN est possible à partir du stade "floraison" si l'enfouissement ne se fait pas avant les 2 mois suivant la date d implantation et au plus tôt le 15/10.
10 La destruction chimique est interdite sauf : - sur les îlots en TCS, - sur les îlots destinés à des légumes, cultures maraîchères ou porte-graines, - sur les îlots infestés dans leur ensemble par des adventices vivaces sous réserve d une déclaration à l administration. 5- Bandes tampons le long des cours d eau Pour vos parcelles en Zone Vulnérable et le long des cours d eau, vous devez implanter une bande enherbée de 5 m de large au moins de part et d autre du cours d eau. Attention, cette bande enherbée ne doit pas être fertilisée ou faire l objet de traitement par des produits phytosanitaires. Si vous retournez une prairie de plus de cinq ans, une bande de 10 m de large doit être maintenue. Attention, ce retournement est interdit lorsque la prairie se trouve en zones à fort enjeux (périmètre de protection rapproché des captages, en zones inondables et en Zone d Actions Renforcées). 6- ZAR : Zones d Actions Renforcées
11
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE
CHOISIR ET REUSSIR SON COUVERT VEGETAL PENDANT L INTERCULTURE EN AB Cameline (S.Minette, CRA PC) Moutarde, phacélie, avoine, trèfles mais aussi, sarrasin, navette, lentille, moha Tous ces couverts végétaux
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailCOMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn
COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs
Plus en détailInfo.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE
Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailD après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.
Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détaillégumineuses, seigle, épeautre, pomme de terre, légumes de plein champ. orge, triticale, prairie temporaire, luzerne, oignons.
Maïs Culture 4.5.11 Généralité Le maïs : est gourmand en éléments fertilisants; met bien en valeur l azote organique; est un fourrage de qualité. Type de sol, climat Sol Favorables Profond; bien structuré;
Plus en détailDOSSIER DE CERTIFICATION
CERTIFICATION DES EXPLOITATIONS SPECIALISEES MAÏS POUR L APPLICATION DE LA MESURE D EQUIVALENCE A LA DIVERSITE DES CULTURES AU TITRE DU VERDISSEMENT DE LA PAC DOSSIER DE CERTIFICATION OCACIA ASSOCIATION
Plus en détailFICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE
Maïs FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Le maïs est cultivé pour : - le grain, qui est intéressant notamment pour son apport énergétique dans la ration biologique des animaux mono
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailÉvaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme
Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailLUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailPOIS (Famille des haricots) HARICOTS (Famille des haricots)
HARICOTS (Famille des haricots) POIS (Famille des haricots) Pour semer : 9 haricots par Divisez le carré en 9 petits carrés, et puis semez un haricot dans chacun d'eux. Compagnons : Carottes ou radis.
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailLa campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:
Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle
Plus en détailPrélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote
Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailLa méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives
Les dossiers de l AREC La méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives Définition La méthanisation est un procédé biologique permettant de valoriser la matière organique, notamment les sous-produits
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailReussir. le passage au non-labour. Qu'est-ce que le non-labour? Il y a plusieurs types de non-labour... Reussir
le passage au Qu'est-ce que le? C'est travailler le sol sans retournement (sans labour) sur tout ou partie des parcelles de l'exploitation, avec pour objectif à priori l'abandon définitif de la charrue.
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailSemis direct: de l essai à la pratique
Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
PREFET DE L YONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS spécial n 10/2013 du 10 juin 2013 Adresse de la préfecture : 1, Place de la Préfecture - CS 80119-89016 Auxerre cedex tél. standard 03.86.72.79.89 Adresse
Plus en détailSAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne)
SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) L élaboration Mise en œuvre du Plan : le lancement Installation de la CLE Travaux de la commission «Marée vertes et littoral» - Flux d azote,
Plus en détailLa filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.
La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement
Plus en détailAnnexe A : Tableau des exigences
E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent
Plus en détailFERTILISATION AZOTÉE. DANS LE MAïS-GRAIN
L'azote est un facteur important dans la fertilisation du maïs. Un manque d'azote peut occasionner une baisse de rendement, alors qu'un excès représente un risque de contamination de l'air et de l'eau,
Plus en détailLe Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles
P r o g r a m m e L i f e E n v i r o n n e m e n t 2 0 0 4-2 0 0 7 Le Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles 02 l e s a g r i c o q u e s L e T a i l l i s d e s
Plus en détailCanada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson
Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailNOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES
NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.
Plus en détailMise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1
Innovations Agronomiques 20 (2012), 79-100 Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Petit M.-S. 1, Reau R. 2, Dumas M. 2,
Plus en détailAgence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative à la mise en œuvre du protocole régissant les échanges transfrontaliers d animaux de boucherie et volailles d abattage entre
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailMémoire de présentation du programme 2015
CONTRAT TERRITORIAL DU BLAVET MORBIHANNAIS 2014-2018 Mémoire de présentation du programme 2015 Après une première année consacrée à la mise en place de la cellule d'animation et à l'installation du nouvel
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailAnalyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne. Rapport final
Université catholique de Louvain Faculté d'ingénierie biologique, agronomique et environnementale Unité d économie rurale Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne Rapport final
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailFICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013. Rotation. Préparation du sol. Semis
Endive FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Trois types de production sont définis en fonction des périodes de semis et d arrachage : - les semis de la 2 ème quinzaine d avril sous bâche
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailVivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE
POUR UNE MEILLEURE QUALITÉ DE VIE Vivons au Potager UN CAPITAL DE VITALITÉ POUR TOUTE LA FAMILLE BIEN CONNAÎTRE LES LÉGUMES SANTÉ - Les vitamines - Les minéraux - Les fibres COMMENT RÉCOLTER DES LÉGUMES
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06.
FICHE TECHNIQUE Méligèthe du colza Introduction L huile de colza bio est recherchée, mais la culture de colza bio est très exigeante. En particulier, le méligèthe du colza peut provoquer de fortes pertes
Plus en détailANNUELLES GERMINATION D ÉTÉ
ANNUELLES GERMINATION D ÉTÉ ITAB ANNUELLES GERMINATIONS D ÉTÉ AMARANTES AMARANTHUS RETROFLEXUS AMARANTHUS HYBRIDUS Famille des Amarantacées RÉPARTITION, FRÉQUENCE ET DENSITÉ EN FRANCE Originaires d Amérique
Plus en détailNote récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules
Convention de production et de vente de TtCR de saule Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules 1. Généralités Le taillis à très courte rotation (TtCR) est une culture
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailEnquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides
Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Hiérarchisation des substances actives pour la surveillance des expositions alimentaires Alexandre Nougadère Direction de l Evaluation
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailTaillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation
PRATIQUES N 12 Taillis à courte ou très courte rotation (TTCR) : gestion des pratiques d implantation Définition générale de la pratique TTRC de saule Les taillis à courte ou très courte rotation (TCR
Plus en détailMémoire de fin d études
Institut Supérieur d Agriculture 48 Boulevard Vauban 5946 Lille Cedex ARVALIS - Institut du végétal 3, rue Joseph et Marie Hackin 75116 PARIS Mémoire de fin d études La rotation des cultures dans les systèmes
Plus en détail