Dossier de presse Filière meuble

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1 Dossier de presse Filière meuble Janvier 2013 Contacts presse : Morgane Le Gall Cohn & Wolfe 37, rue de Bellefond Paris Tél : Fax : morgane.legall@cohnwolfe.com

2 SOMMAIRE I - Actualité de la filière : année environnementale? P : an I des éco-contributions meubles P.2 - Un affichage environnemental à coordonner avec les prochains barèmes écomodulés P.2 des éco-organismes - La nouvelle réglementation des chaudières à bois P.3 - FLEGT : un règlement européen à ce jour inapplicable en l état P.3 2. Un cadre fiscal qui reste perfectible P.4 - Le CICE bienvenu pour la compétitivité de la filière P.4 - Le crédit d impôt recherche «innovation» accueilli positivement par les P.4 fabricants - Le crédit d impôt métiers d art prorogé et réformé P.5 - La prochaine réforme du crédit à la consommation est-elle vraiment P.5 indispensable? - La multiplication de fiscalités locales directement assises sur la surface commerciale pénalisante pour la distribution spécialisée P.5 3. Pour une protection renforcée des consommateurs de meubles P.6 II Une filière source d emplois qualifiés 1. Une politique sociale dynamique de la distribution d ameublement P.7 2. Fabrication d ameublement : modernisation et adaptation de la convention P.9 collective 3. Une très nette prédominance de PME familiales P Chiffres clés sociaux de la filière P.10 III - Résultats 2012 et perspectives : retournement du marché P La literie seule famille en croissance P La distribution spécialisée conforte ses positions P Perspectives 2013 P.15 IV FNAEM, UNIFA et IPEA : fiches d identité 1. FNAEM : accompagner le secteur de la distribution et veiller à mener des P.16 actions et des politiques favorables au consommateur 2. UNIFA : assurer la représentation et la défense des fabricants d ameublement P IPEA, source statistique reconnue des marchés de l ameublement et de l habitat P.19 Annexes : Les enseignes adhérentes FNAEM Les actions, projets et partenaires de l UNIFA 1

3 I Actualité de la profession : année environnementale? 2013 : an I des premières éco-contributions meubles La filière ameublement s est organisée afin de répondre aux obligations imposées par la loi «Grenelle 2». Ainsi, deux éco-organismes, ont été créés et agréés au 1 er janvier L agrément fin décembre 2012 par les pouvoirs publics de deux éco-organismes, respectivement chargés du mobilier domestique (ECO-MOBILIER) et du mobilier professionnel (VALDELIA), autorise la très prochaine entrée en vigueur des éco-contributions meubles. A compter du 1 er mai 2013 et jusqu en 2021, les prix des meubles affichés en magasins seront ainsi majorés d une éco-contribution destinée à financer la collecte, le tri et le traitement des meubles arrivant en fin de vie. En acquittant cette écocontribution, à l instar de celle en vigueur depuis plusieurs années dans l électro-ménager, les consommateurs de meubles contribueront activement à l amélioration du bilan environnemental de la filière meuble. Les objectifs environnementaux fixés aux deux écoorganismes créés par les fabricants et distributeurs de meubles, puis agréés par les pouvoirs publics sont triples : - Accroître la collecte et le tri sélectif des déchets d ameublement ; - Favoriser les traitements les plus respectueux de l environnement (recyclage) ; - Accroître la proportion des meubles éco-conçus. Le coût financier annuel de l Eco-filière meubles est à la mesure de ces objectifs ambitieux. Il devrait, selon les estimations les plus récentes, avoisiner les 330 millions d euros à l horizon 2017, à rapporter à un marché de l ameublement domestique de 8 milliards d euros annuels (soit 4%). Cette charge financière importante liée au traitement d un gisement de déchets d ameublements parfois très anciens justifie pleinement l autorisation accordée par les pouvoirs publics aux distributeurs de meubles d afficher et de répercuter aux consommateurs le coût unitaire de cette contribution, comme pour les produits d électro-ménager. Dans un contexte de forte attente des consommateurs en termes de baisse des prix, les professionnels espèrent que le montant plus élevé que dans d autres secteurs de l écocontribution par rapport à la valeur des produits n aura pas d impact négatif sur la consommation de meubles, notamment en termes de reports d achats. FNAEM et UNIFA appellent également l attention des pouvoirs publics sur la nécessité de faire appliquer cette contribution aux distributeurs étrangers vendant des meubles en France, particulièrement dans les zones frontalières. Près de magasins d ameublement français employant plus de salariés sont situés dans ces dernières. Ce sont donc les acteurs de toute une filière qui participeront ainsi activement à l amélioration de son impact environnemental. Un affichage environnemental à coordonner avec les prochains barèmes écomodulés des éco-organismes Dans le cadre du Grenelle 1 de l environnement, les professionnels de l ameublement participent activement depuis de longs mois aux travaux initiés sous l autorité de l ADEME et de l AFNOR, pour mettre au point le prochain affichage environnemental des produits 2

4 d ameublement. L objectif est de préciser lors de l affichage en magasin les principaux impacts sur l environnement de chaque produit, dont son bilan carbone. Plusieurs fabricants et distributeurs viennent de clôturer une phase d expérimentation dont le bilan officiel est prochainement attendu. A ce stade, la généralisation de cet affichage environnemental semble prématurée pour au moins deux raisons : - Les modalités d affichage, testées sur des bases scientifiques non stabilisées en dépit des référentiels publiés par l AFNOR, ne laissent pas apparaître de bénéfice clair en termes d information pour les consommateurs, - L éco-modulation des barèmes des éco-organismes est subordonnée à la réalisation d une étude préalable sur les critères d éco-conception à retenir, prévue par les textes en Ces deux sujets intimement liés méritent donc d être coordonnés dans leur calendrier, sauf à prendre le risque d informations des consommateurs éparses, voire divergentes. La nouvelle réglementation des chaudières à bois L UNIFA et de nombreuses autres fédérations du bois et de l énergie se sont mobilisées en 2012 contre une «surenchère» réglementaire française visant à déclasser toutes les chaudières artisanales et industrielles brûlant des chutes de bois brut et cela dès 100 kw de puissance thermique. L ameublement fait partie des professions qui ont la chance de travailler une matière première renouvelable. Toutefois, cette réglementation franco-française nous empêche désormais de valoriser nos propres déchets sur nos sites de production! Or les déchets du bois sont une source d énergie importante, économiquement et écologiquement, sur laquelle nous ne devons pas faire l impasse. FLEGT : un règlement européen à ce jour inapplicable en l état Le règlement européen 995/2010 FLEGT (Forest Law Enforcement, Governance and Trade) vise à interdire les importations extracommunautaires de produits à base de bois d origine illégale. A quelques semaines seulement de sa date d entrée en application (1 er mars 2013), celui-ci demeure en grande partie inapplicable. Tout d abord, les informations techniques indispensables aux entreprises pour se mettre en conformité avec la législation européenne ne sont toujours pas disponibles. La liste des pays d origine habilités à délivrer des certificats de conformité n est par ailleurs toujours pas arrêtée, pas plus que la liste des organismes accrédités pour procéder aux contrôles obligatoires. Ce règlement est pourtant applicable dès mars Tout consommateur pourra ainsi s en prévaloir et demander à ce que les dispositions contenues soient respectées. 3

5 2. Un cadre fiscal qui reste perfectible La loi de finances 2013, ainsi que la troisième loi de finances rectificative pour 2012, et d autres projets de loi annoncés contiennent des dispositions qui s appliquent au fonctionnement des entreprises et sont d une rigueur inédite. L UNIFA s est mobilisée avec le MEDEF et a suivi tout spécialement les débats sur le Crédit d impôt pour la compétitivité et l emploi (CICE), le Crédit d impôt recherche (CIR volet innovation) et le Crédit d impôt métiers d art (CIMA) qui impactent véritablement les fabricants d ameublement. La FNAEM s intéresse quant à elle particulièrement aux fiscalités locales directement assises sur la surface commerciale, à la réforme du crédit à la consommation et à la protection des consommateurs. Le CICE bienvenu pour la compétitivité de la filière Le CICE visant à donner aux entreprises les moyens de redresser la compétitivité et à soutenir l emploi, est accueilli favorablement par la profession caractérisée par des coûts de main d œuvre élevés pouvant aller jusqu à 40% du prix de revient. La restauration d une part de la compétitivité main d œuvre ne pourra suffire à restaurer ou maintenir la capacité d investissement des entreprises de la filière. L augmentation sensible de la pression fiscale générale entrave en effet leur capacité de financement. Ouvert à toutes entreprises imposées d'après leur bénéfice réel et soumises à l'impôt sur les sociétés ou à l'impôt sur le revenu, il sera égal à 6 % de la masse salariale correspondant aux salaires de moins de 2,5 SMIC. Sa montée en charge sera progressive, avec un taux de 4 % en Après examen détaillé du dispositif, les entreprises s interrogent désormais sur le calcul du crédit d impôt. En effet des difficultés résidant dans la détermination, salarié par salarié, des rémunérations à retenir apparaissent. De plus, la loi précise que toute entreprise devra utiliser le CICE conformément à ses objectifs de compétitivité : investissement, recherche, innovation, recrutement, prospection de nouveaux marchés, transition écologique et énergétique ainsi que reconstitution de ses fonds propres. Nos entreprises attendent de l administration, très rapidement, des précisions sur les modalités d application de l obligation de retracer dans leurs comptes annuels l'utilisation du crédit d'impôt, conformément aux objectifs susmentionnés. Le crédit d impôt recherche «innovation» accueilli positivement par les fabricants L UNIFA se félicite de la création de ce nouveau crédit d impôt au profit des entreprises engageant des dépenses d innovation pour la conception de prototypes ou d installations pilotes de nouveaux produits. A compter du 1 er janvier 2013, les entreprises qui engagent des dépenses d innovation peuvent ainsi bénéficier de ce crédit d impôt spécifique à hauteur de 20% des dépenses suivantes : - Dotations aux amortissements des immobilisations créées ou acquises à l'état neuf et affectées directement à la réalisation des opérations ; - Dépenses de personnel directement et exclusivement affectées à la réalisation des opérations ; - Autres dépenses de fonctionnement fixées forfaitairement à la somme de 75 % des dotations aux amortissements des immobilisations créées ou acquises à l'état neuf et affectées directement à la réalisation des opérations et de 50 % des dépenses de personnel affectées à ces opérations ; 4

6 - Dotations aux amortissements, frais de prise et de maintenance de brevets et de certificats d'obtention végétale et frais de dépôt, de dessins et modèles relatifs à ces opérations ; - Frais de défense de brevets, de certificats d'obtention végétale, de dessins et modèles relatifs aux opérations ; - Dépenses exposées pour la réalisation des opérations confiées à des entreprises, des bureaux d'études et d'ingénierie agréés. Le montant des dépenses éligibles au CIR innovation est plafonné à par an. Il s'agit d'un plafond global, et non d'un plafond par catégories de dépenses éligibles. L UNIFA regrette cependant que ce crédit d impôt ne soit réservé qu aux seules PME. Le crédit d impôt métiers d art prorogé et réformé L UNIFA a œuvré sans relâche au cours de l année 2012 auprès du Gouvernement et de plusieurs députés et sénateurs pour obtenir la prorogation du crédit d impôt en faveur des métiers d art et des aménagements à ce dispositif, qui bénéficient à de nombreuses entreprises de la profession. L UNIFA a obtenu satisfaction puisque la troisième loi de finances rectificative pour 2012 proroge ce crédit d impôt jusqu au 31 décembre Son champ d éligibilité est modifié ainsi que son plafond désormais fixé à euros par an et par entreprise. La prochaine réforme du crédit à la consommation est-elle vraiment indispensable? Alors que les premiers résultats concrets de la précédente réforme confirment son impact positif via une diminution des cas de surendettement, les distributeurs spécialisés d ameublement s inquiètent de certaines intentions affichées par le gouvernement en termes de dissociation des cartes de fidélité et des cartes de crédit. La faible fréquence d achat des meubles réduit en effet la pertinence de programmes de stricte fidélité proportionnant des avantages à un montant ou à une fréquence d achat. La valeur nominale élevée des meubles accroît également la nécessité du recours au crédit pour de nombreux consommateurs. Toute réforme entravant trop la capacité de recours au crédit risque donc d avoir un impact négatif direct sur l activité du marché de l ameublement (pour mémoire, 12% en moyenne des achats de meubles sont réalisés à crédit dans le négoce traditionnel, cette moyenne grimpant entre 20 et 25% dans la vente à emporter). Dans un contexte économique tendu, la FNAEM estime que toute action efficace contre le surendettement devrait passer plutôt par la création d un fichier positif que par la multiplication de formalités administratives simultanées à la vente. La multiplication des fiscalités locales directement assises sur la surface commerciale toujours fortement pénalisante pour la distribution spécialisée d ameublement L iniquité des multiples taxes locales récemment créées ou révisées, avec un barème directement ou indirectement assis sur la surface commerciale des magasins, persiste au détriment de la distribution d ameublement. La taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM), la taxe locale sur la publicité extérieure (TLPE), la nouvelle taxe sur la gestion des eaux pluviales, mais aussi la taxe d enlèvement des ordures ménagères participent de cette iniquité. 5

7 La profession a besoin d importantes surfaces, proportionnelles à la taille et à la nature des produits d ameublement ; il s agit en effet de surfaces non pas de vente mais d exposition (les meubles étant soit emportés à partir d entrepôts distincts, soit livrés après commande). La capacité contributive d un m 2 de surface de vente de meubles est donc inférieure à celle d un m 2 de surface de vente de biens de consommation plus courante. On estime ainsi que pour réaliser un chiffre d affaires équivalent à celui d une surface alimentaire, un magasin de meubles a besoin de 6 à 7 fois plus de surface! Le montant cumulé de ces taxes locales bénéficiant aux collectivités territoriales n a plus rien d anecdotique. Il atteint et dépasse régulièrement le montant des impositions majeures comme l ex taxe professionnelle. Des correctifs techniques doivent donc être recherchés par le gouvernement pour restaurer l égalité devant ces impôts. A défaut, la viabilité des magasins les plus nombreux et fragiles serait menacée, notamment par la concurrence de sites de vente en ligne échappant à la plupart de ces fiscalités. 3. Pour une protection renforcée des consommateurs de meubles L instauration par les pouvoirs publics d une procédure légale de déclaration préalable auprès des préfectures de l installation de commerces à titre précaire est envisagée dans un rapport parlementaire de Elle renforcerait considérablement les moyens d action de l administration, et donc l endiguement des pratiques de publicités trompeuses commises à grande échelle par des réseaux structurés et organisés ; lesquels continuent d échapper à toute investigation et poursuite sérieuse. La FNAEM a par ailleurs engagé la rédaction d un «code de bonne conduite» des ventes de meubles en ligne, visant à mieux informer les clients sur leurs droits d information précis lors de l achat d un meuble. Ce code de bonne conduite attendu pour le printemps 2013 permettra aux entreprises qui y souscrivent de rappeler aux clients que leur site de vente en ligne est en conformité avec les réglementations en vigueur, notamment en matière de prix de référence, de publicité comparative et d affichage. Trop de sites de vente de meubles en ligne s affranchissent en effet des obligations en vigueur, au détriment des clients. 6

8 II UNE FILIERE SOURCE D EMPLOIS QUALIFIES Les données de la dernière enquête de branche FNAEM très récemment publiée par un cabinet indépendant confirment l engagement social de la distribution, sa dispersion entre de multiples PME et sa volonté à créer des emplois. Côté fabrication, malgré le contexte économique général dégradé, les entreprises continuent de former des jeunes, assurant ainsi la préservation des savoir-faire, facteur déterminant de leur performance et de leur compétitivité. Si l on considère également les effectifs salariés de la fabrication d ameublement relevant de la convention collective gérée par l UNIFA (Union des Industries Françaises de l Ameublement), ce sont donc plus de salariés qui sont ainsi employés dans la filière meuble. 1. Une politique sociale dynamique de la distribution d ameublement Consciente des efforts à déployer pour recruter, former et fidéliser sa population salariée, la profession a engagé une politique sociale volontariste, laquelle s est traduite au cours des 12 derniers mois par la signature de 3 accords de branche ou avenants à la convention collective avec les partenaires sociaux : Accords sur la formation professionnelle (1er décembre 2011, applicable au 1 er septembre 2012). Avenant relatif aux garanties et cotisations prévoyance (11 janvier 2012 applicable au 1 er octobre 2012) ; Avenant à l accord de paritarisme, qui précise le terme de représentativité des syndicats au sein de la branche (7 février 2012) ; Les tendances de fonds demeurent : Côté distribution : stabilité du nombre d entreprises et croissance des effectifs salariés Les entreprises de distribution d ameublement, luminaires et tapis moquettes emploient salariés dans établissements, répartis de la façon suivante : Meubles : entreprises, établissements, salariés ; Tapis-Moquettes-Luminaires : 490 entreprises, établissements, salariés. Au cours du dernier exercice, les distributeurs de meubles ont embauché personnes, dont près d un tiers en CDI. Dans un contexte économique général dégradé, la création d emplois se poursuit au cours du dernier exercice (+1%). La distribution d ameublement continue ainsi de créer des emplois (700 créations nettes). 7

9 Ses effectifs salariés ont ainsi connu une croissance de 18,5% entre 2000 et 2011, passant de à salariés sur cette période (source UNEDIC). Source : UNEDIC

10 2. Fabrication d ameublement : modernisation et adaptation de la convention collective Après plusieurs années de négociation les partenaires sociaux de la profession ont conclu d importants accords : - Modernisant la classification des emplois, - Modernisant la convention collective, - Favorisant le développement de la formation professionnelle, - Augmentant les salaires (2 accords en 2012) Ces accords expriment la volonté des signataires d adapter la convention collective aux évolutions législatives et sociales ainsi qu aux nouvelles réalités économiques et techniques. Pour attirer des jeunes vers la profession, l UNIFA a créé le site et élaboré 51 fiches métiers. La fabrication d ameublement réunit établissements employant salariés répartis sur le territoire français comme suit 1 : 1 Source : UNEDIC

11 3. Une très nette prédominance de PME familiales 85% des entreprises de la filière emploient moins de 10 salariés (86.5% pour la distribution et 83% pour la fabrication). Seules 1% des entreprises de la distribution et 2.5% de la fabrication en emploient plus de 50. Sur les établissements recensés comme distributeurs de meubles, moins de sont des succursales, les autres étant des PME familiales, quels que soient leur enseigne et leur positionnement sur le marché, y compris en vente à emporter. Ainsi, la très nette prédominance de PME reste confirmée pour l ensemble de la filière. 4. Chiffres clés sociaux de la filière Distribution 2 55% d hommes, 45% de femmes 93% des salariés employés sous CDI 85% des salariés à temps complet 38,5 ans d âge moyen Fabrication 3 72% d hommes, 28% de femmes 94,8% des salariés employés sous CDI 90% des salariés à temps complet 41 ans d âge moyen 2 Source UNEDIC Source INSEE (DADS 2009) 10

12 III Résultats Perspectives : retournement du marché L année 2012 aura été marquée par : Un impact limité des soldes : les résultats de 2012 montrent que la présence des soldes ne constitue pas un élément déclencheur de l achat de mobilier. La croissance du marché en décembre 2011 (+7,6%) montre que les ménages n ont pas attendu la période des soldes de janvier pour effectuer leurs achats. De la même manière, la baisse de chiffre d affaires du mois de juin sur le secteur n annonçait pas un report d achat en vue des soldes du mois de juillet pour lequel les performances de vente ont été encore plus faibles. Le tournant conjoncturel du mois de juin : les premiers mois 2012 se sont avérés plutôt positifs pour le marché du meuble, qui affichait une croissance de 1,4% en cumul à fin mai. La fin du mois de mai aura par contre marqué une rupture certaine sur le marché en 2012, passant ainsi d une situation encourageante à un déficit durable de performances durant les mois suivants. Une baisse de l immobilier : les résultats à fin novembre font pour le moment état d une chute de plus de 16% des mises en chantier, qui ne s est pas encore répercutée pleinement sur le secteur. La situation est identique en ce qui concerne les transactions immobilières, en fortes baisses sur l ensemble de l année. Un renforcement des spécialistes, cuisine et literie notamment, qui font partie des seuls circuits à progresser en valeur. Un recul du marché : l année 2012 s est donc terminée sur un solde négatif pour le secteur, pour lequel le deuxième semestre aura été difficile. Le marché recule de 3% à surface évolutive, après deux années de croissance consécutives, et revient à un niveau de performances proche de celui de 2009 (-3,1%). Cette chute mesurée des ventes montre une bonne résistance du marché avec néanmoins des signes forts de réorganisation au profit des distributeurs spécialisés en ameublement. La consommation de meubles (en milliards d euros courants TTC) 10 9,5 9 8,5 8 7, , Consommation de meubles depuis ,63 9, , ,87 8,52 8, , ,81 8, , ,67 9,01 8,78 8,67 8,57 8, ,83 9,65 9,59 9,35 9, Source : IPEA 11

13 Source : IPEA 2. La literie seule famille en croissance Evolution en valeur par famille de produits milliards d euros courants 2012 Evolution 2012/2011 Structure du marché 2012 Meuble meublant 3,28 3,9% 34,3 % Siège rembourré 2,33 4,7% 24,4 % Meuble de cuisine 2,38 1,6% 25,0 % Literie 1,14 +0,5 % 11,9 % Meuble de salle de bains 0,27 2,9% 2,9 % Meuble de jardin 0,14 1,8% 1,5 % Total 9,54 3,0% 100 % Source : IPEA La literie maintient ses ventes grâce à une animation forte du marché, tant en termes de création/réorganisation de surfaces de vente que d animations promotionnelles. Les notions de confort et de qualité du sommeil jouent pleinement leurs rôles en renforçant la mission «repos» et refuge de la maison. Après dix années de croissance ininterrompue, les ventes de cuisines ont bien du mal à résister aux résultats en retrait de l immobilier. Malgré cela, le marché de la cuisine devient, en 2012, le deuxième marché du meuble devant les canapés et fauteuils et derrière les meubles meublants. Pièce à vivre, la cuisine s équipe de plus en plus en intégrant les meubles mais aussi en s ouvrant aux tables, chaises, bars et buffets. Les meubles meublants souffrent de la baisse des mises en chantier de logements et des transactions immobilières dans l ancien. Première fonction de ces meubles : ranger. Première raison d achat : l emménagement récent et l organisation du nouveau logement. Les ventes de meubles à destination du salon/séjour restent positives avec un besoin clairement exprimé par le consommateur de réaménager cette pièce. Ceux à destination des autres pièces font l objet d une concurrence accrue. 12

14 Les canapés, fauteuils et banquettes perdent des volumes et sont confrontés à de fortes baisses de prix. Après plusieurs années de renouvellement de leurs salons, les Français restent attentistes face à une offre très concurrentielle. En 2012, pour la première fois dans l histoire du marché du meuble en France, cette famille de produits perd sa deuxième place dans les achats des Français pour prendre la troisième place derrière les meubles meublants et la cuisine. La baisse des mises en chantier et des transactions immobilières pèse sur les ventes de meubles de salle de bains et une saison estivale tardive entrave les ventes de mobilier de jardin en 2012, malgré une offre conséquente et fortement renouvelée pour ces deux familles de produits. 13

15 3. La distribution spécialisée conforte ses positions Circuits de distribution Part de Chiffre d'affaires en Evolution 2012/2011 marché milliards d euros Equipement du foyer 26,4 % 2,52 +0,3 % Jeune habitat 23,1 % 2,20 2,9% Ameublement milieu de gamme (1) 11,4 % 1,09 9,0% Spécialistes cuisine 11,5 % 1,10 +0,9 % Ameublement haut de gamme 4,1 % 0,39 8,1% Artisans 4,1 % 0,39 4,0% Spécialistes salon 2,3% 0,22 4,0% Autres magasins spécialisés (2) 4,6 % 0,44 5,6% Total circuits spécialisés 87,5 % 8,35-2,8 % Vente à distance 3,9 % 0,38 6,0% Grande surface de bricolage 4,1 % 0,39 1,1% Hypermarchés 1,3 % 0,12 6,0% Grands magasins 0,5 % 0,05 7,1% Autres circuits non spécialisés (3) 2,7 % 0,25 3,6% Total circuits non spécialisés 12,5 % 1,19-4,0% TOTAL 100% 9,54-3,0 % Source : IPEA (1) Spécialistes ameublement et petits généralistes (2) Spécialistes literie, meubles anglais, placard (3) Quincailleries, solderies, boutiques de décoration, magasins corporatifs La distribution spécialisée dans la vente de produits d ameublement domine largement le marché avec 87.5 % de part de marché en valeur. Les circuits qui progressent sont avant tout les hyper-spécialistes dans la literie et la cuisine. La création de surfaces de vente et la forte animation du marché caractérisent les hyperspécialistes en ameublement. La literie et les «salonistes» n en sont qu à leur renouveau tandis que la cuisine s organise et se restructure. L ameublement milieu et haut de gamme sont eux touchés par le report d achat et une forte baisse de fréquentation des points de vente. Malgré cela, on note une nette amélioration du budget moyen, preuve d un intérêt croissant pour une offre différenciée de renouvellement. La vente à distance peine à se réorganiser entre les acteurs traditionnels et les pure-players. Au total, ce circuit baisse en valeur pour des volumes toujours plus importants du côté des pure-players. Le repositionnement des hypermarchés passe en partie par le non-alimentaire. Pour le meuble, leurs performances sont toutefois décevantes. Qu en est-il de l offre «ameublement» des Grands Magasins? L offre de plus en plus réduite présentée au consommateur ne fait qu entraîner une chute des ventes de ces acteurs. 14

16 4. Les perspectives 2013 Malgré la conjoncture, les intentions d achats de biens d aménagement et d équipement de la maison sont bien orientées pour En périodes d incertitudes, les Français optent majoritairement pour l épargne de précaution dont la France détient le record européen avec un taux d épargne de plus de 17 %. En dehors de l épargne, la maison reste un lieu de réassurance. Reste aux professionnels du secteur à inciter le consommateur à valoriser sa maison et son confort, car l année 2013 se jouera sur la capacité à développer des ventes de renouvellement. D ores et déjà, on estime que les prévisions négatives de l immobilier pénaliseront l activité de notre secteur. 15

17 IV - Filière Meuble, fiches d identité des acteurs 1. FNAEM Dans un contexte de vive concurrence, d internationalisation croissante des réseaux de distribution et de concentration des acteurs, la FNAEM accompagne la profession et ses entreprises en veillant également à mener des actions et des politiques favorables au consommateur. Une organisation professionnelle nationale unique à forte représentativité La Fédération française du négoce de l'ameublement et de l'équipement de la maison est depuis 2002 l unique organisation professionnelle représentant au niveau national la branche du négoce de l'ameublement. La FNAEM représente points de vente répartis sur l ensemble du territoire national, soit environ 80% du marché national. Fort de cette représentativité couvrant tous les types de distribution (du négoce indépendant à la grande distribution succursaliste), la FNAEM constitue l organisation de référence des distributeurs de meubles et de produits d équipement de la maison. Sous l autorité de son Conseil d Administration, présidé par M. Didier Baumgarten, elle représente et coordonne les intérêts de ses adhérents auprès des pouvoirs publics et des consommateurs aux échelons régionaux, nationaux et européens. Elle agit dans trois domaines précis. Trois missions L'animation économique et l'information - Via sa publication mensuelle «La Lettre de la FNAEM» et l extranet de son site la FNAEM tient ses adhérents en permanence informés des évolutions des réglementations fiscales, commerciales et économiques. - Par un cycle régulier de réunions, elle informe ses adhérents sur les principaux sujets économico-juridiques qui les intéressent (publicité à la télévision, développement durable ). L'activité sociale et juridique - La Fédération négocie avec les partenaires sociaux la convention collective, les accords salariaux, la politique de formation et tous les accords de branches nécessaires. - Ses adhérents disposent en outre de l'appui permanent d'un service juridique spécialisé en droit social. La représentation de la profession auprès de ses interlocuteurs principaux - Au plan local : la FNAEM encourage ses 32 Chambres régionales et départementales, qui maillent la totalité du territoire national, à entretenir des relations régulières avec les représentants de l'administration (DGCCRF ), des collectivités locales et avec tous les partenaires économiques, politiques et sociaux de la profession. - Au plan national : la FNAEM entretient des relations constantes avec les ministères compétents (en matière d économie, de finances, de consommation, d entreprise, de développement durable, d emploi) et l'ensemble des administrations centrales ayant à connaître la profession. 16

18 2. UNIFA Assurer la représentation et la défense de l'ensemble de la profession L UNIFA est un syndicat créé en Elle est l organisation représentative des Industries Françaises de l Ameublement avec près de 500 adhérents, 6 segments rassemblant les secteurs professionnels et 5 délégations régionales. Elle s appuie sur une structure collégiale et participative des industriels. C est un lieu de réflexion et d échanges pour les entreprises de toutes tailles, fabriquant des produits d ameublement de tous styles et dans tous les matériaux, pour les marchés de l habitat et du mobilier professionnel. L UNIFA répond aux attentes et besoins de ses adhérents en leur apportant différents services et en multipliant les actions de : Lobbying et influence : rencontres des pouvoirs publics pour établir un partenariat favorable aux fabricants ; Information et communication sur le secteur : chiffres clés, études dédiées à certains mobiliers, revue de presse quotidienne, newsletter hebdomadaire, extranet réservé ; Veille normative et réglementaire et participation à son évolution ; Assistance et conseil dans les domaines juridique, du droit des affaires et du droit social, de la formation, de l internationalisation, et de l innovation. Les interventions auprès des pouvoirs publics français et européens L UNIFA mène un lobbying intensif auprès des pouvoirs publics et rencontre les différents ministères concernés pour faire entendre la voix des fabricants d ameublement. L'UNIFA est adhérente au MEDEF (Mouvement des Entrepreneurs de France) et par cet intermédiaire intervient au plus haut niveau des pouvoirs publics. L'UNIFA a participé à la création du Comité de Liaison des Industries de Main d'œuvre, le CLIMO, afin d'élargir son pouvoir d'intervention auprès des ministères et des représentants des Pouvoirs Publics. Le CLIMO regroupe une quinzaine d'industries de main d'œuvre (dont l'unifa) qui représente un million de salariés et entreprises. L UNIFA est membre du GFI (Groupe des Fédérations Industrielles) qui regroupe 15 fédérations et représente 85 % de l industrie française. Avec un crédit d impôt compétitivité applicable dès 2013 et sans conditions, l UNIFA, au sein du GFI, a puissamment contribué à l écriture des recommandations du Rapport Gallois. Mais la pression doit continuer pour obtenir d autres allégements de charge pour l industrie. L UNIFA est membre de la CFMA (Confédération Française des Métiers d Art) qui fonctionne comme une instance fédératrice de soutien et d impulsion auprès des principaux acteurs des Métiers d'art réunis dans leurs organismes professionnels. L UNIFA participe aussi à FBIE (France Bois Industrie et Entreprises). Au niveau européen, l'unifa est membre de l'uea - Union Européenne de l'ameublement - instance de représentation du secteur auprès des différentes entités européennes (Commissions, Conseil, Parlement ). Elle est également adhérente à la FEMB - Fédération Européenne du Mobilier de Bureau - et à l'ebia - European Bedding Industries' Association. 17

19 Les secteurs professionnels de l UNIFA Mobilier intégré pour espaces domestiques - Cuisine - Placards - Salle de bains Mobilier et agencement pour espaces accueillant du public - Espaces commerciaux - Espaces CHRD (cafés, hôtels, restaurants, discothèques) - Espaces administratifs - Espaces de culture et de loisirs - Espaces urbains Mobilier pour espaces domestiques - Literie - Meublants - Sièges - Jardin Mobilier pour espaces collectifs dédiés - Espaces de bureaux - Espaces scolaires - Espaces médicalisés et de soins - Autres espaces collectifs dédiés Mobilier de haute facture - Ebénistes - Editeurs de textiles - Facteurs d orgues - Tapissiers Métiers connexes - Cercueils - Sous-traitants (Alista) - Fournisseurs d ameublement Pour être au plus près des attentes des professionnels, l UNIFA s est organisée par métier et par affinité de marché. Ainsi rassemblés, les responsables d entreprise se rencontrent régulièrement pour échanger et débattre sur leur profession et leurs marchés et pour développer ensemble des actions collectives de lobbying, communication, formation, connaissance des marchés, normalisation, certification, développement à l international, Les délégations régionales de l UNIFA Cinq délégués régionaux, basés à Lille, Lyon, Nancy, Nantes et Paris, assurent un lien étroit entre les services spécialisés des Industries Françaises de l Ameublement et les adhérents. Ils ont pour mission d apporter des solutions de proximité aux attentes des adhérents quel que soit le domaine concerné. Ils assurent aussi les relations avec le tissu économique et institutionnel de sa région : collectivités locales, DIRECCTE, chambres de commerce,... Pour en savoir plus : 18

20 3. L IPEA, source statistique reconnue des marchés de l ameublement et de l habitat L IPEA, Institut de Prospective et d Etudes de l Ameublement, est une association Sa mission est : - De réaliser, publier et commercialiser toute statistique, étude quantitative et prospective sur les marchés de l ameublement, de l équipement de la maison et de l habitat, - D étudier et d engager toute action concourant à une meilleure connaissance de l évolution de ces marchés et de leurs perspectives. En 2012, l IPEA a réalisé plus de enquêtes consommateurs sur leurs achats et leurs attitudes et a suivi les ventes de tous les acteurs du marché grâce à ses panels. En 2013, l IPEA poursuit ses développements : - En publiant MEUBLOSCOPE 2013 et HABITATSCOPE 2014 ; - En publiant des études sur les 6 grands marchés (meubles meublants, cuisine, canapés et fauteuils, salle de bains et jardin) ainsi que sur les principaux circuits de distribution ; - En organisant la journée d études HOME ATTITUDES en mai et son colloque annuel de conjoncture le 12 décembre 2013 ; - En développant son suivi des ventes d ameublement et de produits «maison» au sein du E-commerce. Parmi les acteurs qui fournissent le déclaratif détaillé mensuel de leurs ventes à l IPEA, on compte : Alinea, Atlas, But, Captain Oliver, Casino, Castorama, Conforama, Crozatier, Cuisine Plus, Cuisinella, Fly, Géant du meuble, Grand Litier, Hygena, Ikea, Ixina, La Redoute, L'Ameublier, Mobalpa, Mon lit et moi, Schmidt, Sésame, Socco'c, Sweelit, 3 Suisses. Pour en savoir plus : 19

21 ENSEIGNES ADHERENTES FNAEM PARTENAIRES FNAEM 20

22 LES ACTIONS, PROJETS ET PARTENAIRES DE L UNIFA Nantes BBC 21

23 22

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