La place de l observation de la santé à Mayotte

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1 La place de l observation de la santé à Mayotte Journée de la prévention à Mayotte 9 octobre 2013 Jean-Louis SOLET - Cire océan indien (Institut de veille sanitaire) 1

2 La Cire océan indien Relais local de l Institut de veille sanitaire, créée en novembre 2002 avec compétence sur la Réunion et Mayotte Une équipe pluridisciplinaire de 10 personnes: Epidémiologistes (médecins, universitaires, ingénieur, infirmières, ) Structure spécialisée en épidémiologie d intervention et en évaluation quantitative des risques sanitaires Sous la responsabilité scientifique de l InVS Sous la responsabilité administrative partagée de l ARS océan indien

3 Trois axes La surveillance Les missions de la Cire Animation et coordination de systèmes de surveillance spécifique (pathologies) et non spécifique (activités) La veille sanitaire et l alerte Analyse et actualisation des connaissances sur les risques Évaluation d impact potentiel des événements signalés Appui méthodologique et proposition d outils opérationnels Expertise (appui InVS) La contribution à la gestion de la réponse aux alertes Implication dans les cellules de crise (source d expertise) Participation à la rédaction de plans de réponse Aide à la décision

4 Epidémiologie, veille sanitaire, observation? La veille sanitaire peut être définie comme l ensemble des actions visant à reconnaître la survenue d'un évènement inhabituel ou anormal pouvant présenter un risque pour la santé humaine dans une perspective d anticipation, d alerte et d action précoce (Vagusan) La surveillance et l observation constituent des outils de la veille sanitaire 2 notions qui ont la même finalité d aide à la décision, rapports au temps différents et dans la gestion des situations d urgence le terme de vigilance recouvre un sous ensemble de la surveillance concernant les effets indésirables liés à des produits d origine et de natures variées pharmacovigilance, toxicovigilance, hémovigilance, matériovigilance, etc.

5 Contexte local Mayotte, un environnement à risque Aussi bien au niveau local : (accès à l eau, assainissement, traitement des déchets, présence de vecteurs de transmission d arboviroses, de la peste ), Qu au niveau régional: situation géographique à proximité des Comores, de Madagascar, de l Afrique de l Est (Tanzanie, Kenya, Mozambique) Et international: échanges importants avec la métropole (grippe saisonnière, rougeole, coqueluche ), Arabie saoudite (Hadj) Des pathologies infectieuses et chroniques Endémicité de l hépatite A, de la lèpre et du paludisme Prévalence de la leptospirose très élevée (114 cas en 2012) Identification régulière de cas de typhoïde et de diphtérie Epidémie majeure de conjonctivite en 2012, plus de cas Prévalence élevée du diabète, de l hypertension et de l obésité

6 L observation : pour quoi faire? Acquérir des connaissances pour agir L observation pour l alerte, mesures de gestion Quantifier l impact sanitaires d évènements Orienter les politiques de santé publique Evaluer les politiques et les actions mises en œuvre Poser des questions pour orienter la recherche Rendre disponible les données et les partager Rétroinformation +++ pour faire vivre les systèmes Utile à tout le monde (vision globale ressenti individuel) Intérêt aussi pour les praticiens (synthèse de données souvent éparses, rappel conseils de prévention )

7 L observation : Avec quels outils? Etudes épidémiologiques Acquérir des connaissances nouvelles utiles pour l action, l orientation des politiques publiques Le suivi d indicateurs en continu (surveillance) Il repose sur un réseau de partenaires sur le terrain Cire : rôle d appui méthodologique à la mise en place des systèmes, participation à validation, et analyse des données, mise en forme et partage des résultats (PE, BVS) Le recueil de signaux d alerte Rôle de la CVAGS de l ARS

8 L observation de la santé par les études à Mayotte Enquête nutritionnelle - Nutrimay (2006) Séroprévalence chik et dengue (2006) Etude sur la résistance du paludisme (2006) Prévalence du diabète et facteurs de risques cardiovasculaires - Maydia (2008) Couverture vaccinale (2010) Séroprévalence fièvre de la vallée du Rift et leptospirose (2011)

9 L observation de la santé par les études à Mayotte C est cher, cela demande des moyens humains et financiers importants : Ecriture du protocole, recherche du financement, obtention autorisation CNIL, recrutement enquêteurs, recueil des données, saisie, analyse des données, rédaction rapport Etude Maydia : environ 2 ans et euros sans compter mise à disposition du personnel Cire, appui administratif (ressources humaines, achats, logistique) et prêt locaux par le CHM, Etude Séroprévalence FVR et leptospirose: plus de 2 ans et euros Nécessaire en l absence de données de base mais n apporte pas d information sur la dynamique sauf à réitérer les études. Pas adapté aux situations épidémiques

10 L observation de la santé par la surveillance à Mayotte Surveillance spécifique au niveau national MDO (mis en place à Mayotte depuis le 01/01/2009) Surveillance spécifique régionale Leptospirose, bronchiolite (laboratoire du CHM) Grippe, GEA, asthme (médecins, pharmacies sentinelles) Conjonctivites (médecins sentinelles, pharmacie CHM) Surveillance non spécifique Passages aux urgences (OscouR ) Certificats de décès

11 La déclaration obligatoire des maladies (MDO) - Injonction faite aux médecins de notifier les cas de maladie figurant sur une liste et certaines de leurs caractéristiques à l autorité sanitaire - Recueil par la Cellule de veille sanitaire de l ARS (CVAGS) - Mise en œuvre locale, selon les cas, de mesures de gestion (TIAC, méningite, légionellose ) - Transmission des données à l InVS pour exploitation 1er objectif : Suivi épidémiologique descriptif Peut être à l origine d alerte (regroupement de cas, modification des caractéristiques)

12 Liste des maladies à déclaration obligatoire Maladies pour lesquelles une intervention locale, nationale ou internationale est requise pour contrôler un risque de diffusion et dont la surveillance est nécessaire à la conduite et à l'évaluation de la politique de santé publique Botulisme Hépatite aiguë A Rage Brucellose Infection invasive à méningocoque Rougeole Charbon Légionellose Saturnisme de l'enfant mineur Chikungunya Listériose Suspicion de maladie de Creutzfeldt-Jakob et Choléra Orthopoxviroses dont la variole autres encéphalopathies subaiguës spongi- Dengue Paludisme autochtone formes transmissibles humaines Diphtérie Paludisme d'importation Toxi-infection alimentaire collective Fièvres hémorragiques africaines dans les départements d'outre-mer Tuberculose Fièvre jaune Peste Tularémie Fièvre typhoïde et fièvres paratyphoïdes Poliomyélite antérieure aiguë Typhus exanthématique Maladies dont la surveillance est nécessaire à la conduite et à l'évaluation de la politique de santé publique Infection aiguë symptomatique par le virus de l'hépatite B Infection par le VIH quel qu'en soit le stade Mésothéliome Tétanos

13 Dispositifs de surveillance spécifiques Nécessite la mobilisation de partenaires - Centre hospitalier et centres de santé - Laboratoires de biologie médicale - Médecins libéraux et/ou pharmaciens - Services d urgences - Protection maternelle et infantile - médecins scolaires - Sans la contribution des praticiens la surveillance ne peut exister et les pouvoirs publics sont aveugles.

14 Dispositifs de surveillance spécifiques Pathologies d intérêt Dengue Chikungunya Fièvre de la vallée du Rift West Nile Leptospirose Paludisme Filariose IST Lèpre Virus influenzae, VRS Adénovirus, rotavirus, norovirus, entérovirus

15 Surveillance de la leptospirose

16 Surveillance de l hépatite A

17 Epidémie de conjonctivites en 2012

18 Le signalement d évènements sanitaires Augmentation inhabituelle du nombre de patients vus pour une pathologie donnée ; Suspicion d infection par un nouvel agent pathogène ; Sévérité inhabituelle d un agent pathogène ; Infections nosocomiales; Pathologie causée par un agent pathogène ou un polluant pouvant engendrer l apparition de cas groupés et/ou entrainer une menace pour la santé publique (ex : syndrome hémolytique et urémique, intoxication au monoxyde de carbone, etc.)

19 Rétroinformation Site Internet ARS :

20 En conclusion: l observation de la santé par la surveillance Permet le suivi des évolutions temporelles, permet le lancement d une alerte si dérive par rapport aux valeurs de référence Est basé sur le signalement de cas et/ou le recueil d indicateurs par les professionnels de santé en contact avec les malades Importance d obtenir des données de qualité, recueillies avec rigueur pour assurer des conclusions fiables. Sans la contribution des praticiens la surveillance ne peut exister et les pouvoirs publics sont aveugles.

21 Merci pour votre attention

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