L arbre meurtri. Fiche botanique N 2. A partir de : intergénérationnel. Saison : toutes. Auteur : Jacques Stein, ingénieur agronome

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L arbre meurtri. Fiche botanique N 2. A partir de : intergénérationnel. Saison : toutes. Auteur : Jacques Stein, ingénieur agronome"

Transcription

1 L arbre meurtri Fiche botanique N 2 A partir de : intergénérationnel Saison : toutes Auteur : Jacques Stein, ingénieur agronome

2 L arbre meurtri Blessure, meurtrissure, mutilation : l arbre s inflige rarement ces agressions tout seul Certes la Nature, quand elle se déchaîne, peut casser des branches et des fourches, brûler les écorces fines, faire tomber des arbres les uns sur les autres et occasionner pas mal de dégâts : tempête, gel, neige collante, mise en lumière brutale, foudre, etc. Mais plus souvent, c est l homme qui se charge de meurtrir délibérément les arbres. La liste est longue des interventions mutilantes sur l arbre : collisions, marquage, greffe, taille, élagage, tags Les plus spectaculaires étant reconnaissables sur les arbres dont il ne subsiste, après passage de l homme, qu un tronc surmonté de quelques moignons témoins de la ramure qui se développait avant son passage. Or ces meurtrissures constituent autant de portes d entrée pour les parasites et saprophytes de tout poil. Les parasites s attaquent à la matière organique vivante et les saprophytes s attaquent à la matière organique non vivante. Ces organismes peuvent être des virus, des bactéries, des insectes, des champignons La partie vivante d un arbre est concentrée dans les feuilles et dans les zones périphériques (juste sous l écorce) et terminales des branches, des racines et du tronc. La partie non vivante la plus importante de l arbre est constituée par le cœur du tronc dans lequel les cellules du bois, verticales, allongées (plus ou moins rectangulaires) se sont sclérifiées et ont fusionné par leur petit côté pour donner des conduits, des vaisseaux dans lesquels circule la sève. Toutefois, l arbre ne s avoue pas vaincu pour autant : sauf dans les cas extrêmes où on ne lui laisse que ses moignons pour bourgeonner, il se défend contre les envahisseurs et cicatrise «au plus vite» ses plaies. À proximité de la blessure, l arbre développe une série de barrières protectrices dans toutes les directions (longitudinalement, vers le centre du tronc et latéralement) et sépare ainsi le bois infecté du bois encore sain.

3 Le cambium 1 développe simultanément, en périphérie de la blessure, une sorte de zone de barrage au moyen de cellules résistantes aux agents infectieux. Toutes ces zones de résistance isolent ainsi la partie attaquée et finissent par être englobées dans le bois à mesure que l arbre poursuit sa croissance. Après un certain temps, on ne voit extérieurement plus rien de ce qui devient dès lors un «vice caché» du bois : colonne de bois coloré, cavité C est parfois aussi une pancarte abandonnée, un barbelé, une grille de clôture, la branche d un autre arbre, un rocher venu buter contre le tronc, que l arbre va «avaler» par les mêmes processus. Mais il est d autres témoins encore des atteintes aux arbres, naturelles ou non. - La loupe, qui provoque une croissance «anarchique» du bois à un endroit donné du tronc ou d une grosse branche au point de devenir une boule, parfois très grosse. - Le «balai de sorcière» qui résulte d une attaque de champignon sur un bourgeon, y provoquant une pousse anarchique de branches qui prend de l ampleur au fil des années et finit par ressembler à un balai - Les «gourmands» ou rameaux qui poussent en pagaille sur un tronc brusquement mis en lumière ou sur le tronc d un arbre dont la cime est réduite à cause de l opulence de ses voisins. - La fibre torse qui donne l impression que l arbre pousse en tournant autour de son axe longitudinal. 1 Tissu localisé entre l écorce et le bois qui assure la croissance en circonférence des arbres. Année après année, il constitue les cernes d accroissement.

4 - Lorsqu une zone meurtrie est de grande dimension, et malgré le déploiement de toutes les ressources défensives de l arbre, elle présente une surface idéale pour l entraînement des insectes et des oiseaux qui s y adonnent alors aux forages en tout genre. - L arbre foudroyé qu on reconnaît à la présence d une étroite bande sans écorce en spirale sur pratiquement toute la hauteur du tronc jusqu au pied de l arbre. La foudre est parfois plus dévastatrice et fait complètement exploser le tronc qui s éparpille en mille morceaux sur plusieurs mètres de distance - La gélivure enfin, provoquée par un gel intense, qui fait éclater le tronc avec le bruit sourd d un coup de feu sur une hauteur d un bon mètre. La cicatrisation fait apparaître un bourrelet aisément reconnaissable à l endroit de la gélivure.

5 Objectifs : Reconnaître les différentes meurtrissures qui peuvent affecter un arbre et déceler leur origine Matériel nécessaire pour découvrir l arbre : Les 5 sens De quoi amplifier certains sens : loupe, jumelles, stéthoscope Du papier, un crayon, des couleurs De quoi prendre certaines mesures sur l arbre De quoi déterminer l espèce d arbre et les espèces qui le côtoyent : guides illustrés ou clés de détermination Des brochures sur les dégâts aux arbres et les agents pathogènes Exploitation possible : Observation détaillée des meurtrissures infligées aux arbres en essayant de découvrir leur origine Inventorier les champignons, insectes liés à ces meurtrissures Photographier les différentes meurtrissures rencontrées Valise pédagogique : Loupe, binoculaire, jumelles Appareil photo Boussole Papier dessin, crayons, couleurs Mètre-ruban, décamètre Dendromètre Clés de détermination des arbres en feuilles et en hiver Guides illustrés : insectes, oiseaux, champignons Littérature, photos relatives à l arbre et à la forêt Livre sur les arbres remarquables Livre «L arbre, un être vivant» Numéro 88 de la revue «La Hulotte» sur les «Petits Mystères des Grands Bois» Brochures sur la préservation des arbres remarquables Fiches techniques Récipient avec loupe intégrée pour les observations Un sac imperméable pour mettre des échantillons

Bref rappel du contexte et des objectifs

Bref rappel du contexte et des objectifs NOTICE POUR LA MISE EN PLACE ET LA SAISIE DES DONNEES DU PROTOCOLE DE SUIVI DENDROMETRIQUE DES RESERVES FORESTIERES Bref rappel du contexte et des objectifs La survie de plus de 20% des espèces forestières

Plus en détail

Activités Bureau des Guides

Activités Bureau des Guides Activités Bureau des Guides au départ du CENTRE DE DEPAYSEMENT ET DE PLEIN AIR DE MARBEHAN 1 Table des Matières Introduction I. Faune II. Habitats III. Wildcraft & Orientation IV. Coin des Artistes V.

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

Classe verte à Hollenfels

Classe verte à Hollenfels Classe verte à Hollenfels Du lundi 10 mai au mercredi 12 mai 2010 C.E.1 de Madame Lanneluc SOMMAIRE 1. Personnel d encadrement 2. Transport 3. Hébergement 4. Projet pédagogique 5. Budget 6. Annexes : -

Plus en détail

STRUCTURE D UN AVION

STRUCTURE D UN AVION STRUCTURE D UN AVION Cette partie concerne plus la technique de l avion. Elle va vous permettre de connaître le vocabulaire propre à l avion. Celui ci vous permettra de situer plus facilement telle ou

Plus en détail

Bulletin d'information de la Confrérie St Hubert du Grand-Val

Bulletin d'information de la Confrérie St Hubert du Grand-Val Notr'Canard Bulletin d'information de la Confrérie St Hubert du Grand-Val Chers amis de la Confrérie St Hubert du Grand-Val, L'automne, est-ce la saison des chasseurs? La réponse est: non! Le chasseur

Plus en détail

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont

Plus en détail

Marteloscope Gounamitz 2

Marteloscope Gounamitz 2 Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,

Plus en détail

un certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne

un certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne un certain recouvrement Michaële Andrea Schatt Parc du palais de Compiègne La floraison tardive et luxuriante de dahlias à l automne dans le Petit Parc du Palais de Compiègne laisse la place de novembre

Plus en détail

Assurances pour la clientèle privée

Assurances pour la clientèle privée Assurances pour la clientèle privée Sommaire Votre maison est assurée par l AIB La base avec AIB Standard Des plus avec AIB Plus Au top avec AIB Top La recommandation: AIB PlusTop Autres assurances en

Plus en détail

Le déploiement de la fibre optique

Le déploiement de la fibre optique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Edité par l Autorité de régulation des communications électroniques et des postes JUILLET 2012 Le déploiement de la fibre optique jusqu à l abonné Devenez acteur de la révolution numérique

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Nourrir les oiseaux en hiver

Nourrir les oiseaux en hiver les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les

Plus en détail

L intelligence collective des fourmis

L intelligence collective des fourmis L intelligence collective des fourmis Guy Théraulaz* Les comportements collectifs des fourmis ont toujours fasciné et émerveillé les naturalistes. Tout semble se passer comme si chaque colonie se comportait

Plus en détail

Tout au long de l année

Tout au long de l année Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations

Plus en détail

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008

Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans

Plus en détail

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER

L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour vos chantiers 30.34.001/00 08/14 L ASSURANCE TOUS RISQUES CHANTIER Une protection optimale pour votre chantier La construction d un bâtiment,

Plus en détail

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE

Plus en détail

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1 Fiche technique n 1 Pompes à Chaleur & environnement acoustique Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur Association Française pour les Pompes A Chaleur 1 1 Puissance et pression acoustique

Plus en détail

Copropriété et assurances. Fédération française des sociétés d assurances DEP 302 - JUIN 2003

Copropriété et assurances. Fédération française des sociétés d assurances DEP 302 - JUIN 2003 DEP 302 - JUIN 2003 Copropriété et assurances Fédération française des sociétés d assurances Centre de documentation et d information de l assurance 26, bd Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Fax DEP : 01 465

Plus en détail

Machine de débit TURBO-Drive. Rapide Flexible Précise Sections de 20 x 40 mm à 160 x 450 mm. Innovations pour la construction bois

Machine de débit TURBO-Drive. Rapide Flexible Précise Sections de 20 x 40 mm à 160 x 450 mm. Innovations pour la construction bois Machine de débit TURBO-Drive Rapide Flexible Précise Sections de 20 x 40 mm à 160 x 450 mm Innovations pour la construction bois 2 3 Coupe rapide avec usinages supplémentaires Coupe sans ébauche, marquage

Plus en détail

Victor Thorn. Le Procès du 11 Septembre. ou le 11 Septembre à l épreuve des faits. La vérité sur l effondrement des 3 tours du World Trade Center

Victor Thorn. Le Procès du 11 Septembre. ou le 11 Septembre à l épreuve des faits. La vérité sur l effondrement des 3 tours du World Trade Center Victor Thorn Le Procès du 11 Septembre ou le 11 Septembre à l épreuve des faits La vérité sur l effondrement des 3 tours du World Trade Center Traduit de l américain par Nathalie Quintin Postface Le réquisitoire

Plus en détail

L oxygénothérapie à long terme

L oxygénothérapie à long terme L oxygénothérapie à long terme Ce que vous devez savoir sur l oxygène à domicile Les bienfaits L oxygène est un traitement médical qui doit être utilisé de façon sécuritaire et selon les recommandations

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

#46 DESIGN ARCHITECTURE UNE CULTURE //

#46 DESIGN ARCHITECTURE UNE CULTURE // DESIGN + ÂGE / DESIGN + AGE // BERLIN S DIE BAUPILOTEN / KIDS FURNITURE / REVERSIBLE DESTINY // SMOKED MEAT RENÉE DAOUST #46 DESIGN ARCHITECTURE UNE CULTURE // 34/ SECTION DESIGN + AGE /35 Lorsqu en juin

Plus en détail

FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE

FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les

Plus en détail

ÉMILIE MUDJEREDIAN GRAPHISTE / ILLUSTRATRICE 06 19 98 53 07 http://emiliemudjeredian.com emilie.mudjeredian@gmail.com

ÉMILIE MUDJEREDIAN GRAPHISTE / ILLUSTRATRICE 06 19 98 53 07 http://emiliemudjeredian.com emilie.mudjeredian@gmail.com ÉMILIE MUDJEREDIAN GRAPHISTE / ILLUSTRATRICE 06 19 98 53 07 http://emiliemudjeredian.com emilie.mudjeredian@gmail.com WORLD STOCK MARKET VISUALIZATION - Creation d une bibliothèque de documents financiers

Plus en détail

FORMATION PATHOLOGIES BIOLOGIQUES DU BOIS DANS LA CONSTRUCTION. Connaître le bois et ses technologies. Identifier les agents de dégradation du bois

FORMATION PATHOLOGIES BIOLOGIQUES DU BOIS DANS LA CONSTRUCTION. Connaître le bois et ses technologies. Identifier les agents de dégradation du bois Alain LEMAIGRE Expert Bois Consultant Expertise construction bois Expertise préservation et attaques biologiques SEB Membre de la Société des Experts Bois (Wood Experts Society EU) FORMATION PATHOLOGIES

Plus en détail

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers

Plus en détail

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne

Plus en détail

Activités de mesure de longueur avec des unités conventionnelles

Activités de mesure de longueur avec des unités conventionnelles Activités de mesure de longueur avec des unités conventionnelles Le mètre Cette activité facilite l utilisation du mètre comme instrument de mesure. Un mètre par élève et un mètre pour l enseignant ou

Plus en détail

SÉCURITÉ INCENDIE. Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires I L S C O N S E P R É V E N I O N. www.groupama.fr

SÉCURITÉ INCENDIE. Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires I L S C O N S E P R É V E N I O N. www.groupama.fr SÉCURITÉ INCENDIE C O N S E I L S P R É V E N T I O N Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires www.groupama.fr SÉCURITÉ INCENDIE Pourquoi équiper son logem Une mesure obligatoire et préventive Devant

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

LA SYLVICULTURE D ARBRES «OBJECTIF» OU D ARBRES DE PLACE INTRODUCTION

LA SYLVICULTURE D ARBRES «OBJECTIF» OU D ARBRES DE PLACE INTRODUCTION une croissance rapide, un bois sain sans coloration et au tronc cylindrique ; des fûts de qualité sur 6 à 8 m, de minimum 150 cm de circonférence (absence de nœuds, cernes réguliers) ; 70 % à 90 % de la

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

CUIR RECYCLÉ. Dimensions : à plat : 11 x 20 x 0,6 cm 80 gr monté : 11 x 16 x h 6,6 cm

CUIR RECYCLÉ. Dimensions : à plat : 11 x 20 x 0,6 cm 80 gr monté : 11 x 16 x h 6,6 cm Organiseur de bureau Modèle déposé Design : Marc Lonchamp. Organiseur de Bureau Cet organiseur pliable de bureau en cuir recyclé avec couture sellier se monte très facilement et permet de ranger dans les

Plus en détail

English Français. Série 300

English Français. Série 300 English Français Série 300 AVANT 300 Le chargeur compact robuste AVANT traction directe Traction par quatre moteurs hydrauliques à prise directe; un sur chaque roue Force de traction supérieure L AVANT

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau liés à la plomberie

Prévenir les dégâts d eau liés à la plomberie faire profiter de notre expérience Prévenir les dégâts d eau liés à la plomberie Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois

Plus en détail

L ARBRE DE NOS BOURGS. carnet de santé. environnement. architecture environnement. architecture

L ARBRE DE NOS BOURGS. carnet de santé. environnement. architecture environnement. architecture L ARBRE DE NOS BOURGS carnet de santé architecture architecture environnement environnement L ARBRE DE NOS BOURGS CARNET DE SANTÉ SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 L ARBRE JEUNE : LES QUINZE PREMIÈRES ANNÉES 7 LA

Plus en détail

Assurance combinée ménage

Assurance combinée ménage Clients privés Assurance combinée ménage Plus de choix, de simplicité et d adaptabilité. Les modules assurance ménage, RC privée, bâtiment et objets de valeur, très appréciés, peuvent désormais être assortis

Plus en détail

Des garanties sur mesure. Responsabilité civile (RC)

Des garanties sur mesure. Responsabilité civile (RC) Des garanties sur mesure Il n est pas toujours aisé de déterminer les garanties dont vous avez besoin pour bien vous assurer, vous et votre véhicule. Ce guide peut vous aider: il vous permet de vérifier

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Assurance de biens des particuliers

Assurance de biens des particuliers Assurance de biens des particuliers Chapitre 1 Introduction à l assurance de biens et responsabilité 29/04/2012 Chapitre 1 1 Assurance de biens des particuliers Évolution des produits d assurance Fonctionnement

Plus en détail

RECYCLER POUR JOUER Réalisé par les agentes conseil au soutien pédagogique du CPE-BC l Essentiel mars 2014

RECYCLER POUR JOUER Réalisé par les agentes conseil au soutien pédagogique du CPE-BC l Essentiel mars 2014 RECYCLER POUR JOUER Réalisé par les agentes conseil au soutien pédagogique du CPE-BC l Essentiel mars 2014 Trajet d auto pour petites voitures avec ruban à masquer Avec les enfants, tracez au sol des routes

Plus en détail

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le petit Héron branché Infolettre pour les professionnels de l éducation www.heritagestbernard.qc.ca Volume 3 Numéro 3 AUTOMNE 2012 NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le À lire dans cette

Plus en détail

Qu est-ce qui différencie une bonne photo d une mauvaise? Trois éléments sont importants : La composition L éclairage La qualité et la résolution

Qu est-ce qui différencie une bonne photo d une mauvaise? Trois éléments sont importants : La composition L éclairage La qualité et la résolution PRENDRE DE MEILLEURES PHOTOS 101 Par Lesley Ouimet Rien de plus facile que de prendre une photo numérique, mais c est un peu plus difficile de prendre une bonne photo numérique. Qu est-ce qui différencie

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES

ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES ANNEXE N 1 ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES DETERMINATION ET EXPRESSION DES BESOINS Ce document est un outil d aide à la détermination et à l expression des besoins d assurances. SOMMAIRE : I Renseignements

Plus en détail

C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS.

C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS. C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS. MAIS UN JOUR IL PARTIT PLUS AU NORD POUR DÉCOUVRIR LE MONDE. IL MARCHAIT, MARCHAIT, MARCHAIT SANS S ARRÊTER.IL COMMENÇA

Plus en détail

IFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale.

IFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale. Rapport d expertise IPACO Nom de l expert Antoine COUSYN Date du rapport 29/07/2012 Dernière mise à jour 08/02/2015 Type IFO Classe A Explication Saturation du capteur CMOS Complément Soleil Document Lieu

Plus en détail

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle

Plus en détail

Physique. interaction pneu-chaussée facteurs liés à l adhérence calcul de la distance de freinage

Physique. interaction pneu-chaussée facteurs liés à l adhérence calcul de la distance de freinage Physique 45 L adhérence des pneus objectif disciplinaire : interaction pneu-chaussée facteurs liés à l adhérence calcul de la distance de freinage objectif sécurité routière : oinformer l élève sur l importance

Plus en détail

Une forêt en extension

Une forêt en extension Une forêt en extension En 2005, la forêt (1) franc-comtoise s étend sur 713 300 hectares, soit 43,7% du territoire régional. La Franche-Comté se place au 2 e rang des régions les plus boisées de France

Plus en détail

Ventilation : Mesure et réglage des débits

Ventilation : Mesure et réglage des débits Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air

Plus en détail

Dictée : le son [ a ]

Dictée : le son [ a ] Français Dictée : le son [ a ] son 1 1- Les mots et les fiches élèves. 1. un ami 2. une carapace 3. un lapin 4. mardi 5. samedi 6. nager 7. la classe 8. un cartable 9. avec 2- La dictée du jeudi. Samedi,

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

RESEAU TRES HAUT DEBIT EN FIBRE OPTIQUE - DOSSIER TECHNIQUE FTTH

RESEAU TRES HAUT DEBIT EN FIBRE OPTIQUE - DOSSIER TECHNIQUE FTTH DT-APD-94002794 Propriété Numéricable 1/16 COFEGI GESTION M MONSIEUR HEUDE Téléphone : 01 46 76 43 60 Gestionnaire : 5 RUE CONFLANS E-mail : sebastien.heude@cofegi.fr 94220 CHARENTON LE PONT Adresse(s)

Plus en détail

Éviter d en attraper. Savoir si on en a S en débarrasser

Éviter d en attraper. Savoir si on en a S en débarrasser Les poux Les poux Éviter d en attraper Savoir si on en a S en débarrasser C est quoi un pou? C est un insecte, brun et très petit. On peut avoir des poux quand on est adulte? Oui Les poux, ça gratte? Oui

Plus en détail

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est

Plus en détail

Brochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi.

Brochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Brochure Patients Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?

Plus en détail

Bâtiments Non Sprinklés Commercial-Industriel-Stockage- Incendie-Dommages. Le souscripteur

Bâtiments Non Sprinklés Commercial-Industriel-Stockage- Incendie-Dommages. Le souscripteur Bâtiments Non Sprinklés Commercial-Industriel-Stockage- Incendie-Dommages Référence de votre cabinet Code ORIAS N : Cachet de votre cabinet : Le souscripteur Société Forme juridique Code Siret Adresse

Plus en détail

Prévention habitation. 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité

Prévention habitation. 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité Prévention habitation 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité! Votre habitation fait évidemment partie des biens que vous souhaitez protéger le

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

ENTRE DEUX MIETTES de Sylvain Ollier

ENTRE DEUX MIETTES de Sylvain Ollier Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la coopération culturelle et du français ENTRE DEUX MIETTES de Sylvain Ollier Enfantillages DVD1 Réalisation : Michel Boiron (CAVILAM), Tatiana

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu

AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu JEUX : Jeu des paires Quelles différences? E.P.S. : - jeu Jacques a dit - Chasse au trésor - Mise en place d un parcours ÉCOUTER, MEMORISER

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

Les Cheminements piétons

Les Cheminements piétons Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail

Plus en détail

François Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010

François Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010 Repentigny, le 31 août 2010 Monsieur François Dussault, propriétaire 76 rue Vinet Repentigny, Qc. J6A 1K9 Objet : Infiltration dans la salle de bains au 76 Vinet Monsieur Dussault, C est avec plaisir que

Plus en détail

CNFR MOUVEMENT RURAL ASSUR OPTIONS. des garanties complémentaires

CNFR MOUVEMENT RURAL ASSUR OPTIONS. des garanties complémentaires CNFR MOUVEMENT RURAL ASSUR OPTIONS des garanties complémentaires Ça, c est du neuf! Biens Immobiliers Biens mobiliers Véhicules & bateaux Chapiteaux Tous risque Annulation de séjour Protection juridique

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

REGULATEUR E'ECLAIRAGE SOLARIE MANUEL D UTILISATION MODELES SUNLIGHT TRAITES DANS LE MANUEL

REGULATEUR E'ECLAIRAGE SOLARIE MANUEL D UTILISATION MODELES SUNLIGHT TRAITES DANS LE MANUEL SUNLIGHT REGULATEUR E'ECLAIRAGE SOLARIE MANUEL D UTILISATION MODELES SUNLIGHT TRAITES DANS LE MANUEL SL-10 SL-10-24 V SL-20 SL-20-24 V 10 A / 12 V 10 A / 24 V 20 A / 12 V 20 A / 24 V 1098 Washington Crossing

Plus en détail

30ème Concours «Un des Meilleurs Apprentis de France» Session : 2015. Promotion : Monsieur Bernard WERNER INSTALLATEUR THERMIQUE

30ème Concours «Un des Meilleurs Apprentis de France» Session : 2015. Promotion : Monsieur Bernard WERNER INSTALLATEUR THERMIQUE SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France» 16 rue Saint-Nicolas 75012 PARIS Tél. : 01 43 42 33 02 Mail : secretariat@mof.fr

Plus en détail

LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE

LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.

Plus en détail

RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT

RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT Faites le bon choix et appréciez le bonheur d une vie sans dette C est plus simple qu il n y parait Avertissement : Toute reproduction, intégrale ou partielle, ou toute

Plus en détail

LA PHYLLOTAXIE SPIRALE

LA PHYLLOTAXIE SPIRALE ALBERTIN Thierry - CAVALLARO Jean-Sébastien - MARCHESE Emilie 1 ère S 3 LA PHYLLOTAXIE SPIRALE Lycée Thierry MAULNIER Année Scolaire : 2004-2005 Professeurs : M. Gouy (S.V.T.) M. Martinez (Mathématiques)

Plus en détail

Collections Cuir et Cuir recyclé

Collections Cuir et Cuir recyclé Catalogue 2011-2012 Accessoires de bureau Petit Mobilier Cadeaux d affaires Collections Cuir et Cuir recyclé fabrication française Cuir Caractéristiques techniques Cuir recyclé Nuancier cuirs recyclés

Plus en détail

LES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE

LES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie

Plus en détail

Panneau grand format Schilliger GFP

Panneau grand format Schilliger GFP Panneau grand format Schilliger GFP Fiche technique ETA: Agrément Technique Européen Composition: Multiplis, épaisseur des plis au choix Qualité: A/B qualité sélection sur demande B/B pour constructions

Plus en détail

LA GAMME BRIO. KAUFEL Systèmes de sécurité KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE

LA GAMME BRIO. KAUFEL Systèmes de sécurité KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE KAUFEL Systèmes de sécurité LA GAMME BRIO UNE GAMME UNIQUE POUR TOUTES VOS APPLICATIONS Des hommes, des produits et des références pour vous accompagner dans vos

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 TABLE DES MATIERES

LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 TABLE DES MATIERES CAC/GL 17-1993 Page 1 de 7 LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 CAC/GL 17-1993 TABLE DES MATIERES PAGE PREFACE EXPLICATIVE... 2 1. INTRODUCTION...

Plus en détail

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015 1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec

Plus en détail

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

Plus en détail

Trait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.

Trait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution. Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,

Plus en détail

SWIRTATE. ADRESSE 55 rue soulaymane el farissi, Casablanca, Maroc CONTACT +212 (0) 522 255 739 EMAIL contact@swirtate.com SITEWEB www.swirtate.

SWIRTATE. ADRESSE 55 rue soulaymane el farissi, Casablanca, Maroc CONTACT +212 (0) 522 255 739 EMAIL contact@swirtate.com SITEWEB www.swirtate. SWIRTATE ADRESSE 55 rue soulaymane el farissi, Casablanca, Maroc CONTACT +212 (0) 522 255 739 EMAIL contact@swirtate.com SITEWEB www.swirtate.com CATALOGUE NOVEMBRE 2014 SWIRTATE Offrez de la mémoire USB

Plus en détail

Collection de photos échantillons

Collection de photos échantillons Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel

Plus en détail

CONTRAT DE LOCATION / MISE À DISPOSITION D UN ENDROIT DE CAMP OU DE WEEKEND EN BELGIQUE

CONTRAT DE LOCATION / MISE À DISPOSITION D UN ENDROIT DE CAMP OU DE WEEKEND EN BELGIQUE À photocopier en deux exemplaires À remplir et à signer par le responsable du groupe et le propriétaire Quand? Le plus tôt possible pour garantir la réservation du lieu À conserver : Un exemplaire pour

Plus en détail

Instructions d'installation

Instructions d'installation Instructions d'installation Informations générales Avant de commencer votre projet de patio, consulter le code du bâtiment et les règlements de construction en vigueur dans votre localité relativement

Plus en détail

Échelles et autres aides à monter

Échelles et autres aides à monter Échelles et autres aides à monter Utiliser des aides à grimper et des échelles inadaptées est une des causes les plus fréquentes des chutes d une certaine hauteur. Par commodité, économie mal placée ou

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail

VOTRE CENTRE D IMPRESSION ET DE COMMUNICATION À TOURNAI

VOTRE CENTRE D IMPRESSION ET DE COMMUNICATION À TOURNAI VOTRE CENTRE D IMPRESSION ET DE COMMUNICATION À TOURNAI Moins cher que sur internet avec le service de proximité en plus Imprimerie traditionnelle Signalétique Impression sur textile Enseignes Cadeaux

Plus en détail

Nous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :

Nous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention : Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail