Séminaire Environnement
|
|
- Yves Roux
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Séminaire Environnement Constitution d échantillons pour études quantitatives Myriam Campardon Unité Mixte de Recherche Cemagref-ENGEES en Gestion des Services Publics Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
2 Plan Une introduction à la théorie des sondages Les méthodes de sondage probabilistes Les méthodes de sondage empiriques Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
3 Une introduction à la théorie des sondages Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
4 Une introduction à la théorie des sondages Exemples de problèmes Population : ensemble des individus auxquels on s intéresse dans le cadre d une étude donnée Population Réservoir d eau Lycéens de la classe de T ale Électorat français Information recherchée Concentration en certaines bactéries Poids moyen Proportion de «oui» au référendum Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
5 Une introduction à la théorie des sondages Pourquoi échantillonner? Recherche d information sur une population concrète et définie x x x x x x Recensement : Recueil des données sur la population entière (population de faible effectif) x x x x x x Sondage : Mesurer une partie seulement de la population pour économiser temps et argent (tirage d un échantillon) x x Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
6 Une introduction à la théorie des sondages Estimation Les données obtenues par sondage fournissent une estimation des caractéristiques de la population. Selon l échantillon tiré les résultats varient. Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
7 Une introduction à la théorie des sondages Un exemple simple Population N=6 a b c d e f total Tirer un échantillon de n=3 individus pour estimer le total (T=36) Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
8 Une introduction à la théorie des sondages une méthode de tirage simple tirage aléatoire simple (ou tirage exhaustif ou encore tirage sans remise). Chaque lettre a la même chance d être tirée Chaque combinaison de 3 lettres a la même chance de constituer l échantillon 20 échantillons possibles Cette méthode donne-t-elle une bonne estimation de la population totale?? Mesurer la précision et le biais Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
9 Une introduction à la théorie des sondages Les 20 échantillons possibles Echantillon Total de l'échantillon Estimation du total de la population Erreur de l'estimation abc abd abe abf acd ace acf ade adf aef bcd bce bcf bde bdf bef cde cdf cef def Moyenne Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
10 Une introduction à la théorie des sondages Le biais Biais = moyenne des erreurs = 0 (espérance de l estimateur) Le tirage aléatoire simple est un plan de sondage donnant des estimations sans biais (valable pour toute population et tout effectif d échantillon) Prendre un grand échantillon ne réduit pas le biais!! Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
11 Une introduction à la théorie des sondages La précision précision = carré moyen des erreurs = (variance de l estimateur) Écart-type = 13.2, soit 37% du vrai total de la population Le tirage aléatoire simple n est pas très précis dans le cas de petites populations Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
12 Une introduction à la théorie des sondages Illustration Estimations de la vraie valeur selon 2 plans de sondage (tous les échantillons possibles sont représentés) Vraie valeur Quel que soit l échantillon tiré selon le plan 1, l estimation de la vraie valeur sera précise mais «biaisée» (décalé et non centré, par rapport à la vraie valeur) Le plan 2 peut illustrer le plan se sondage aléatoire simple Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
13 Les méthodes de sondage probabilistes Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
14 Les méthodes de sondage probabilistes Sondages probabilistes Méthodes de sondage où : Chaque individu de la population a une probabilité connue et non nulle de figurer dans l échantillon Ces probabilités sont prises en compte pour le choix de la méthode de tirage et pour les estimations Possibilité de calculer, à partir de l échantillon, la précision de l estimation obtenue (IC) Les résultats sont généralisables à la population Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
15 Les méthodes de sondage probabilistes Quelques méthodes Méthode/plan Caractéristiques Dans quel cas l utiliser? Exemple Sondage aléatoire simple (sans remise) Choix de l échantillon laissé au hasard Satisfaisante lorsque la population n est pas très variable (en particulier lorsque les proportions à estimer sont entre 20% et 80%) Stratification - Population divisée en strates (partition) - Échantillon tiré de façon indépendante dans chaque strate - On peut choisir la taille de l échantillon de chaque strate Gain de précision par rapport au sondage aléatoire simple dans la cas d une population hétérogène divisée en strates assez bien homogènes - Sondage sur la population d une ville hôtels et grandes maisons placés à part dans une strate - Estimer la récolte de blé à partir d un échantillon de fermes stratifier en fonction de la taille des fermes Sondage à 2 degrés L unité statistique peut être sous-échantillonnée : - Choix d un échantillon d unités primaires (UP) - Choix d un sous-échantillon d unités secondaires (US) dans chaque UP Quelques fois la seule méthode possible Liste des UP souvent facile à obtenir. Permet d éviter de lister toutes la population (US) Étude de la teneur en vitamine A du beurre produit par les laiteries on ne prendra pas tout le beurre de la laiterie Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
16 Les méthodes de sondage probabilistes Taille d échantillon? Elle est déterminée en fonction du plan de sondage. Décider d abord de la valeur de l erreur que l on peut tolérer pour l estimation recherchée L expression de l erreur au risque 5% (avoir au + 5 chances sur 100 que l erreur dépasse la valeur fixée) donne n. Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
17 Les méthodes de sondage empiriques Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
18 Les méthodes de sondage empiriques Méthode des quotas Échantillon = Modèle réduit de la population Reproduction en proportions de certaines caractéristiques socio-démographiques de la population (âge, sexe, CSP) Hypothèse : «effet de halo» Représentativité de l échantillon (condition permettant d étendre les résultats et conclusions de l enquête à l ensemble de la population) Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
19 Les méthodes de sondage empiriques Avantages / Inconvénients + rapide (et - coûteux) Individus interchangeables Préférable pour petits échantillons Précision pas calculable rigoureusement Postulat (difficulté de déterminer les caractéristiques pertinentes!) Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
20 Les méthodes de sondage empiriques Quels quotas? Quotas simples : x% de femmes et y% de ans Quotas croisés : z% de femmes de ans Plutôt simples que croisés 2 à 3 quotas max. Fins de quotas Ne pas tricher Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
21 Les méthodes de sondage empiriques Taille d échantillon Veut-on une certaine précision? Homogénéité de la population Ressources Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
22 Documentation Théorie des sondages : Snedecor & Cochran, «Méthodes statistiques», 6 ème édition (bibliothèque) Les sondages, en général : articles sur Wikipédia Tuyaux sur les tailles d échantillon : ete-par-questionnaire.asp Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
23 Qui interroger? Base de sondage disponible : Échantillon probabiliste (tirage aléatoire) Base de sondage non disponible : Échantillon empirique Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
24 Et nous?? Absence d information sur la population étudiée Réduction des biais et contrôle de l échantillon : Éviter les enquêtes sur base volontaire! Quotas, unité géographique (région, département, ville, quartier), taille (ville, ménage, ) Temporalité (période, jour, plage horaire) Trouver une répartition qui assure une VARIETE max. Effectifs suffisants dans les «cases» Échantillons non représentatifs mais : Cohérence avec l objet de l étude Rigueur dans la réalisation et l analyse Séminaire environnement - Ateliers enquête - 10 octobre
STA108 Enquêtes et sondages. Sondages àplusieurs degrés et par grappes
STA108 Enquêtes et sondages Sondages àplusieurs degrés et par grappes Philippe Périé, novembre 2011 Sondages àplusieurs degrés et par grappes Introduction Sondages à plusieurs degrés Tirage des unités
Plus en détailLES PROBABILITÉS DE GAINS
LES PROBABILITÉS DE GAINS JOUER À DES JEUX DE HASARD La seule chose que tous les jeux de hasard ont en commun, c est que le fait de gagner ou de perdre se fait de façon aléatoire. Même si le rêve de gagner
Plus en détailChapitre 3 : INFERENCE
Chapitre 3 : INFERENCE 3.1 L ÉCHANTILLONNAGE 3.1.1 Introduction 3.1.2 L échantillonnage aléatoire 3.1.3 Estimation ponctuelle 3.1.4 Distributions d échantillonnage 3.1.5 Intervalles de probabilité L échantillonnage
Plus en détailCONCEPTION ET TIRAGE DE L ÉCHANTILLON
CHAPITRE 4 CONCEPTION ET TIRAGE DE L ÉCHANTILLON Ce chapitre technique 1 s adresse principalement aux spécialistes de sondage, mais aussi au coordinateur et aux autres responsables techniques de l enquête.
Plus en détailThéorie des sondages : cours 5
Théorie des sondages : cours 5 Camelia Goga IMB, Université de Bourgogne e-mail : camelia.goga@u-bourgogne.fr Master Besançon-2010 Chapitre 5 : Techniques de redressement 1. poststratification 2. l estimateur
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailExercices supplémentaires sur l introduction générale à la notion de probabilité 2009-2010
Exercices supplémentaires sur l introduction générale à la notion de probabilité 2009-2010 Exercices fortement conseillés : 6, 10 et 14 1) Un groupe d étudiants est formé de 20 étudiants de première année
Plus en détailLa nouvelle planification de l échantillonnage
La nouvelle planification de l échantillonnage Pierre-Arnaud Pendoli Division Sondages Plan de la présentation Rappel sur le Recensement de la population (RP) en continu Description de la base de sondage
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détailEchantillonnage INTRODUCTION. Module 1
INTRODUCTION Pour évaluer les programmes de, et en premier lieu pour cibler les populations vulnérables auprès desquelles venir en aide, il convient de mener différentes enquêtes sur le terrain, auprès
Plus en détailFiche qualité relative à l enquête Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Carte d identité de l enquête
Fiche qualité relative à Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Nom Années de Périodicité Panel (suivi d échantillon) Services concepteurs Service réalisant Sujets principaux traités dans Carte d
Plus en détailÉvaluations aléatoires : Comment tirer au sort?
Évaluations aléatoires : Comment tirer au sort? William Parienté Université Catholique de Louvain J-PAL Europe povertyactionlab.org Plan de la semaine 1. Pourquoi évaluer? 2. Comment mesurer l impact?
Plus en détailEn 2014, comment mener à bien une enquête aléatoire en population générale par téléphone?
En 2014, comment mener à bien une enquête aléatoire en population générale par téléphone? Prémila Choolun 1, François Beck 2, Christophe David 1, Valérie Blineau 1, Romain Guignard 3, Arnaud Gautier 3,
Plus en détailL évolution des modes de communication, comment adapter les enquêtes en population générale? L expérience de l enquête KABP VIH/sida 2010
L évolution des modes de communication, comment adapter les enquêtes en population générale? L expérience de l enquête KABP VIH/sida 2010 Session 2 : Méthodes Nathalie Beltzer, ORS Île-de-France Et le
Plus en détailLes simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R
Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R Yves Aragon, David Haziza & Anne Ruiz-Gazen GREMAQ, UMR CNRS 5604, Université des Sciences
Plus en détailObservatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Termes de référence pour le recrutement de quatre (4) consultants dans le cadre du Projet «Modules d initiation à la statistique à l attention
Plus en détailExploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction.
Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction. Etudes et traitements statistiques des données : le cas illustratif de la démarche par sondage INTRODUCTION
Plus en détailLOGO. Module «Big Data» Extraction de Connaissances à partir de Données. Claudia MARINICA MCF, ETIS UCP/ENSEA/CNRS Claudia.Marinica@u-cergy.
Module «Big Data» Extraction de Connaissances à partir de Données Claudia MARINICA MCF, ETIS UCP/ENSEA/CNRS Claudia.Marinica@u-cergy.fr 14 Janvier 2015 Pourquoi l extraction de connaissances à partir de
Plus en détailGuide méthodologique : Enquêtes en ligne
Guide méthodologique : Enquêtes en ligne Une enquête est une «méthode systématique de collecte d'informations à partir d un échantillon possédant des caractéristiques représentatives de l'ensemble de la
Plus en détail2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh
2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables
Plus en détailSONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ
SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel
Plus en détailPanel MBAweb 2014-10-12. MBA Recherche
1 Présentation du panel MBAweb La ressource incontournable de l'opinion au Québec 2 34 000 consommateurs attentifs et engagés Travailler vite et bien à la fois, c'est possible lorsqu'on a l'expérience.
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailCHEQUE DOMICILE. PAIEMENT EN LIGNE d un intervenant ou d un prestataire
CHEQUE DOMICILE PAIEMENT EN LIGNE d un intervenant ou d un prestataire DE QUOI S AGIT - IL? Vous bénéficiez de Chèques Domicile CESU et souhait ez régler des prestations de services àla personne (ménage,
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailCALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING
CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de
Plus en détailOrganisation Gestion du temps. Participation Notes et résumés Etudes et examens
Organisation Gestion du temps Participation Notes et résumés Etudes et examens Le SIEP de Mons organise des ateliers dynamiques pour t aider à découvrir ta Avec des conseils pratiques, des trucs et astuces!
Plus en détailL image du statut d auto-entrepreneur Principaux résultats du sondage. Sondage TNS Sofres pour la Fondapol Juin 2010
L image du statut d auto-entrepreneur Principaux résultats du sondage Sondage TNS Sofres pour la Fondapol Juin 2010 Sommaire p. 4 L'image du statut d'autoentrepreneur Présenta)on des résultats - Juin 2010
Plus en détailEVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO
EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national
Plus en détailLe recensement, c est quoi? campagne 2011
Le recensement, c est quoi? campagne 2011 Pourquoi un recensement? Le recensement est important pour : les communes les pouvoirs publics les entreprises, les associations Le recensement a pour objectif
Plus en détailProbabilités conditionnelles Loi binomiale
Exercices 23 juillet 2014 Probabilités conditionnelles Loi binomiale Équiprobabilité et variable aléatoire Exercice 1 Une urne contient 5 boules indiscernables, 3 rouges et 2 vertes. On tire au hasard
Plus en détailFeuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.
Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détaililottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec
ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU L I V R E B L A N C En collaboration avec RÉSUMÉ 2 Ce livre blanc repose sur une étude commandée par Karma Gaming et réalisée par Gaming Insights Group. Les données viennent
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailSommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)
Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...
Plus en détailRendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH
Rendez-vous de Insee «Des projections de ménages aux besoins en logement» Mardi 11 décembre 2012 Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH SOMMAIRE 1. L'évaluation des besoins en logements menée en Pays de la Loire Contexte
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailPROBABILITES ET STATISTIQUE I&II
PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits
Plus en détailLe modèle conceptuel des traitements
Le modèle conceptuel des traitements 1 Le Modèle Conceptuel des Traitements Il décrit le fonctionnement du SI d une organisation au niveau conceptuel : on fait abstraction des contraintes d organisation
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailSéminaire Association des médecins-dentiste de Genève Système suisse de prévoyance Fisca finance SA
Fisca Finance SA Séminaire Association des médecins-dentiste de Genève Système suisse de prévoyance Fisca finance SA Patrick Féral et Benoit Steiner 8 novembre 2011 page 1 LA PREVOYANCE EN SUISSE page
Plus en détailLes SCPI. François Longin 1 www.longin.fr
Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection
Plus en détailSondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014
Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception
Plus en détailQuelques rappels concernant la méthode expérimentale
Quelques rappels concernant la méthode expérimentale 1. La Méthode expérimentale : Définition. Une définition classique de la méthode expérimentale est qu elle «correspond à la méthode d investigation
Plus en détailSanté environnement. Description du budget espace-temps et estimation de l exposition de la population française dans son logement
Santé environnement Description du budget espace-temps et estimation de l exposition de la population française dans son logement Sommaire Abréviations 2 1. Introduction 3 2. Données recueillies 4 2.1
Plus en détailLes stratégies marketing
Les stratégies marketing Stratégie de pénétration Produits actuels : marchés actuels. Stratégie d extension de marchés Produits actuels : nouveaux marchés. LES STRATÉGIES MARKETING Couverture des marchés
Plus en détailACTUARIAT 1, ACT 2121, AUTOMNE 2013 #16
ACTUARIAT 1, ACT 2121, AUTOMNE 201 #16 ARTHUR CHARPENTIER 1 Dans une petite compagnie d assurance le nombre N de réclamations durant une année suit une loi de Poisson de moyenne λ = 100. On estime que
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailMémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.
Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY
Plus en détailStatistiques Descriptives à une dimension
I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des
Plus en détailDébut des travaux à Sihlcity
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Début des travaux à Sihlcity Un consortium formé par Credit Suisse Asset Management (CSAM) et Swiss Prime Site AG, comme investisseurs et par Karl Steiner SA, en tant que concepteur
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailFORMULAIRE DE STATISTIQUES
FORMULAIRE DE STATISTIQUES I. STATISTIQUES DESCRIPTIVES Moyenne arithmétique Remarque: population: m xμ; échantillon: Mx 1 Somme des carrés des écarts "# FR MOYENNE(série) MOYENNE(série) NL GEMIDDELDE(série)
Plus en détail4. Exercices et corrigés
4. Exercices et corrigés. N 28p.304 Dans une classe de 3 élèves, le club théâtre (T) compte 0 élèves et la chorale (C) 2 élèves. Dix-huit élèves ne participent à aucune de ces activités. On interroge au
Plus en détailBenny Creppy Claudia Senardière
Benny Creppy Claudia Senardière Master 1. 2 Etudes et Analyses Marketing et Commerciales Quelles nouveautés sur Internet concernant les panels? Travail de synthèse effectué dans la cadre du master 2 Etudes
Plus en détailIntervention au Colloque de Bruxelles du jeudi 31 octobre 2013 (Mallorie Trannois)
Intervention au Colloque de Bruxelles du jeudi 31 octobre 2013 (Mallorie Trannois) Tout d abord, je voulais remercier Monsieur Marique de m avoir invité à donner mon point de vue lors de la table ronde
Plus en détailCours (7) de statistiques à distance, élaboré par Zarrouk Fayçal, ISSEP Ksar-Said, 2011-2012 LES STATISTIQUES INFERENTIELLES
LES STATISTIQUES INFERENTIELLES (test de Student) L inférence statistique est la partie des statistiques qui, contrairement à la statistique descriptive, ne se contente pas de décrire des observations,
Plus en détailMobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables. UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014
Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014 1 La mobilité bancaire au croisement de plusieurs actualités Une actualité
Plus en détailNon-réponse et données manquantes. Sylvie Rousseau & Gilbert Saporta décembre 2011
Non-réponse et données manquantes Sylvie Rousseau & Gilbert Saporta décembre 2011 1 EXEMPLES DE TAUX DE RÉPONSE À CERTAINES ENQUÊTES Pour les enquêtes auprès des entreprises, le taux de non-réponse est
Plus en détailTests statistiques et régressions logistiques sous R, avec prise en compte des plans d échantillonnage complexes
, avec prise en compte des plans d échantillonnage complexes par Joseph LARMARANGE version du 29 mars 2007 Ce cours a été développé pour une formation niveau M2 et Doctorat des étudiants du laboratoire
Plus en détailMarketing 1 to 1. Gilles Enguehard. DG société Atenys - Conseil & Management. Le marketing one to one. 1. Bref historique
Marketing 1 to 1 Gilles Enguehard DG société Atenys - Conseil & Management genguehard@atenys.com Le marketing one to one 1. Bref historique 2. Les différentes formes de personnalisation 3. Internet : un
Plus en détailOptimiser la Gestion des réserves ou des excédents de trésorerie des Entreprises et des Associations
Optimiser la Gestion des réserves ou des excédents de trésorerie des Entreprises et des Associations L opportunité pour l Expert- Comptable de proposer un audit financier aux clients concernés Au sommaire
Plus en détailLe taux d'actualisation en assurance
The Geneva Papers on Risk and Insurance, 13 (No 48, July 88), 265-272 Le taux d'actualisation en assurance par Pierre Devolder* Introduction Le taux d'actualisation joue un role determinant dans Ia vie
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailArticle 1 : Société organisatrice Article 2 : Acceptation Article 3 : Nature de l opération Article 4 : Modalités de participation
Règlement du Jeu «Gagner 2 places de cinéma tous les jours au jeu concours Grand Concours Cinema» Article 1 : Société organisatrice L association des Commerçants de L esplanade établie Place de L accueil,
Plus en détailProbabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie...
1 Probabilité Table des matières 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables........................... 2 1.2 Définitions................................. 2 1.3 Loi équirépartie..............................
Plus en détailPOLITIQUE DE LOCATION DE SALLES
POLITIQUE DE LOCATION DE SALLES PRÉAMBULE La Ville de Magog met les salles du centre communautaire, de l Espace culturel de Magog ainsi que la salle communautaire d Omerville à la disposition des organisations
Plus en détailBaloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements
Baloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements La gestion de fortune par des professionnels, pour tous les investisseurs Edition pour la Suisse Fonds de diversification des actifs BFI Dynamic (CHF)
Plus en détailCommunauté. Découverte. Collaboration. Plan stratégique de la Bibliothèque publique de Winnipeg
Communauté. Découverte. Collaboration. Plan stratégique de la Bibliothèque publique de Winnipeg 2015-2020 Message du directeur Nous sommes heureux de présenter le Plan stratégique de 2015-2020 de la Bibliothèque
Plus en détailLa classification automatique de données quantitatives
La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations
Plus en détailTempérature corporelle d un castor (une petite introduction aux séries temporelles)
Température corporelle d un castor (une petite introduction aux séries temporelles) GMMA 106 GMMA 106 2014 2015 1 / 32 Cas d étude Temperature (C) 37.0 37.5 38.0 0 20 40 60 80 100 Figure 1: Temperature
Plus en détailLE RÔLE DU POKER EN LIGNE DANS LES TRAJECTOIRES DE JEU DE HASARD ET D ARGENT
LE RÔLE DU POKER EN LIGNE DANS LES TRAJECTOIRES DE JEU DE HASARD ET D ARGENT Magali Dufour, Ph.D. Élise Roy, MD., MSc. Université de Sherbrooke et Natacha Brunelle, Ph.D. Université du Québec à Trois-Rivières
Plus en détailPOKER ET PROBABILITÉ
POKER ET PROBABILITÉ Le poker est un jeu de cartes où la chance intervient mais derrière la chance il y a aussi des mathématiques et plus précisément des probabilités, voici une copie d'écran d'une main
Plus en détailMRK -6081 A : Méthodes d Analyse de Données en Marketing Automne 2010
E MRK -6081 A : Méthodes d Analyse de Données en Marketing Automne 2010 Professeure :Elissar Toufaily Plage horaire du cours : Cours en salle Jeudi 15h 30-18h30 Local 4221 PAP Du 2 septembre. 2010 au 9
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailTESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple
TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple Un examinateur doit faire passer une épreuve type QCM à des étudiants. Ce QCM est constitué de 20 questions indépendantes. Pour chaque question, il y a trois réponses
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailPlan d action sur le changement climatique de [nom de la collectivité]
Province du Manitoba Climate Change Planning Resource Guide Plan d action sur le changement climatique de [nom de la collectivité] Élaboré par : Remerciements : P. ex. conseil municipal, conseil d administration,
Plus en détailB.A.-BA de la garde d enfants
B.A.-BA de la garde d enfants pour la Suisse romande Vue d ensemble des variantes de garde les plus fréquentes pour les petits enfants - Crèche - Accueil familial de jour - Nounou - Babysitter, Au Pair
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailChapitre 3 - L'enquête descriptive simple
Chapitre 3 - L'enquête descriptive simple Version 1.2 AUTEURS PRINCIPAUX : NELLY AGRINIER - CÉDRIC BAUMANN - ISABELLE FOURNEL CO-AUTEURS : FRANCIS GUILLEMIN - GUY HÉDELIN Septembre 2010 Table des matières
Plus en détailSolution de jeu concours «Scratch2Win»
Solution de jeu concours «Scratch2Win» VALORYS Media SARL au capital de 10.000 RCS 478799448 LE MANS TVA intra : FR46478799448 Siège social : 16 bis rue Gambetta 72000 LE MANS / Bureaux : 4 rue Hauréau
Plus en détailSoutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes
Soutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes Bornes inférieures bayésiennes de l'erreur quadratique moyenne. Application à la localisation de points de rupture. M2R ATSI Université Paris-Sud
Plus en détailProbabilités et Statistiques. Feuille 2 : variables aléatoires discrètes
IUT HSE Probabilités et Statistiques Feuille : variables aléatoires discrètes 1 Exercices Dénombrements Exercice 1. On souhaite ranger sur une étagère 4 livres de mathématiques (distincts), 6 livres de
Plus en détailCours de Tests paramétriques
Cours de Tests paramétriques F. Muri-Majoube et P. Cénac 2006-2007 Licence Ce document est sous licence ALC TYPE 2. Le texte de cette licence est également consultable en ligne à l adresse http://www.librecours.org/cgi-bin/main?callback=licencetype2.
Plus en détailÉtude nationale sur les besoins des clients
Étude nationale sur les besoins des clients Rapport sommaire Canadian Legal Information Institute Institut canadien d information juridique Octobre 2012 CorbinPartners Inc. 2012 Contexte et méthodologie
Plus en détailDéroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI
1 Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données Walid AYADI 2 Les étapes d un projet Choix du sujet - Définition des objectifs Inventaire des données existantes Collecte, nettoyage
Plus en détailCalcul élémentaire des probabilités
Myriam Maumy-Bertrand 1 et Thomas Delzant 1 1 IRMA, Université Louis Pasteur Strasbourg, France Licence 1ère Année 16-02-2006 Sommaire La loi de Poisson. Définition. Exemple. 1 La loi de Poisson. 2 3 4
Plus en détailChapitre 1. La démarche statistique appliquée au management. Minicas. Questions :
Chapitre 1 La démarche statistique appliquée au management Minicas Comment estimer les dégâts d une catastrophe naturelle (tempêtes, ouragans, etc.)? Aux États-Unis, la FEMA (Federal Emergency Management
Plus en détailProbabilités. Rappel : trois exemples. Exemple 2 : On dispose d un dé truqué. On sait que : p(1) = p(2) =1/6 ; p(3) = 1/3 p(4) = p(5) =1/12
Probabilités. I - Rappel : trois exemples. Exemple 1 : Dans une classe de 25 élèves, il y a 16 filles. Tous les élèves sont blonds ou bruns. Parmi les filles, 6 sont blondes. Parmi les garçons, 3 sont
Plus en détailPrestations de soins et d assistance dispensées par les proches : temps investi et évaluation monétaire
BUREAU D ETUDES DE POLITIQUE DU TRAVAIL ET DE POLITIQUE SOCIALE BASS SA KONSUMSTRASSE 20. CH-3007 BERNE. TEL +41 (0)31 380 60 80. FAX +41 (0)31 398 33 63 INFO@BUEROBASS.CH. WWW.BUEROBASS.CH Prestations
Plus en détail