Place de la tomographie par émission de positons avec tomodensitométrie au 18-fluorodéoxyglucose

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Place de la tomographie par émission de positons avec tomodensitométrie au 18-fluorodéoxyglucose"

Transcription

1 Place de la tomographie par émission de positons avec tomodensitométrie au -fluorodéoxyglucose en oncogynécologie The ability of FDG PET-CT in onco -gynecology M. Faraggi*, L. Bensimhon*, F. Hugonnet* * UF de médecine nucléaire et TEP, hôpital européen Georges-Pompidou, Paris. Technique La tomographie par émission de positons (TEP) est une technique scintigraphique utilisant des traceurs spécifiques émettant des électrons positifs (les positons) dont l annihilation dans la matière produit un signal détectable par un anneau (la caméra dédiée ou TEP). Ce signal est beaucoup plus résolu qu une scintigraphie conventionnelle (environ 5 mm pour les appareils les plus modernes), quantifiable et couplé à une imagerie anatomique tomodensitométrique (TDM) qui permet de localiser le point d émission du signal, de corriger les pertes de signal provenant de structures profondes ou denses (correction d atténuation) et, au besoin, de réaliser un scanner diagnostique. Le signal dépend essentiellement du traceur injecté. Nous nous résumerons ici au - fluorodéoxyglucose ( FDG), dont la captation cellulaire est voisine de celle du glucose. Ce traceur reflète la capacité proliférative de la cellule par l intermédiaire de la surexpression des récepteurs au glucose et l intensité de sa captation, elle-même reflet du métabolisme glucidique, est donc un indicateur potentiel de l agressivité cellulaire tumorale. D autres traceurs marqués au F se développent : traceurs d apoptose, qui devraient permettre d évaluer le potentiel cytotoxique de la radio-chimiothérapie ; fluoroestradiol, pour évaluer la densité des récepteurs hormonaux des cancers mammaires et donc la sensibilité à l hormonothérapie ; acides aminés marqués, dont on espère une spécificité accrue ; traceurs de l hypoxie, pour évaluer la radiorésistance, etc. Il faut mentionner que l avidité d une cellule tumorale pour le FDG peut varier selon le degré de surexpression des récepteurs au glucose, selon sa différenciation cellulaire et la nature des contingents cellulaires, certains (tels les carcinoïdes) étant particulièrement peu avides et sources de faux négatifs. Intérêt potentiel de la TEP en oncogynécologie Comme pour toute technique d imagerie en oncologie, l intérêt de la TEP peut se discuter à différentes étapes. Lors de la stadification initiale Compte tenu de la résolution spatiale et des performances de l imagerie anatomique conventionnelle (échographie, TDM et IRM), l intérêt de la TEP porte rarement sur le T (tumeur primitive). La caractérisation tissulaire (bénin/malin) d un nodule ou d une lésion indéterminée n est pas non plus une indication élective, car nombre de lésions bénignes et/ou inflammatoires et/ou infectieuses peuvent accumuler le FDG. En revanche, la TEP peut guider certaines biopsies supplémentaires, en prenant la précaution d interpréter prudemment 344 La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 5 - mai 2011

2 Points forts Sensible dans la détection des atteintes ganglionnaires (sauf les micro-métastases) et métastatiques distantes. L intensité de fixation du FDG sur la tumeur primitive est souvent de mauvais pronostic. La baisse marquée de la captation du FDG en cours de traitement est prédictive d une bonne réponse thérapeutique. La recherche de récidive devant une remontée isolée des marqueurs est une bonne indication. Mots-clés Oncologie gynécologique FDG PET-CT Stadification Pronostic Réponse thérapeutique Figure 1. Cancer du sein : TEP-TDM au FDG avec, de haut en bas, les images d émission du FDG (de gauche à droite : coupes transverse, sagittale et frontale), de la TDM, et de la fusion des deux. Outre la lésion mammaire droite (plus gros point de fixation), on repère des ganglions hypermétaboliques, parfois de petite taille, en axillaire et même en susclaviculaire. Highlights Sensitivity for detecting node involvement (except for micrometastasis) and distant metastasis is high. A high level of FDG uptake on the primary tumour frequently indicates a bad prognosis. A marked decrease in FDG uptake during therapy is a predictor for a good therapeutic response. Searching for a recurrence in case of isolated tumor marker rising is a good indication. Keywords Onco-gynecology FDG PET-CT Staging Therapeutic response Figure 2. Cancer du col : TEP-TDM au FDG avec, de haut en bas, les images d émission du FDG (de gauche à droite : coupe transverse, sagittale et frontale), de la TDM et de la fusion des deux. On observe en avant une plage hypermétabolique intense représentant l élimination physiologique vésicale du traceur, la vessie étant bien individualisée sur la coupe sagittale. En arrière, hypermétabolisme du col étendu à l endo mètre. La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 5 - mai

3 Place de la tomographie par émission de positons avec tomodensitométrie au -fluorodéoxyglucose en oncogynécologie les sites récemment biopsiés du fait de l inflammation induite par un geste récent. L intérêt de la TEP repose donc davantage sur la stadification N et M (puisque l imagerie est corps entier ). Dès lors, il est logique de ne la réserver qu aux tumeurs ayant un fort potentiel métastatique, ce qui, en pratique, exclut les petits T. Des ganglions encore morphologiquement rassurants peuvent être en fait des adénopathies hypermétaboliques. Cependant, compte tenu des défauts de spécificité précédemment mentionnés, une adénopathie hypermétabolique isolée doit être confirmée histologiquement. La TEP doit donc s inscrire dans une logique où ses résultats seraient à même de modifier la stratégie thérapeutique (indication d un geste chirurgical complémentaire, d une radio-chimiothérapie ou, au contraire, contre-indication à un traitement chirurgical curatif mutilant). Enfin, en cas de cancer histologiquement avéré, la TEP peut fournir des éléments pronostiques, indépendamment de ceux montrés par la stadification. Un indice de captation élevé (mesuré en général par le standardized uptake value [SUV]) pour certains cancers et certaines localisations serait prédictif d un risque de récidive. Enfin, l existence d adénopathies ou de cibles hypermétaboliques peut avoir un impact sur la détermination des champs de radiothérapie et sur la dose à délivrer, par l intermédiaire du calcul d un volume tumoral macroscopique métabolique. Lors du suivi des patientes L imagerie métabolique présente l avantage d être plus sensible et plus précoce que l imagerie anatomique chez les patientes traitées par radio-chimiothérapie. Une diminution suffisante du SUV (de l ordre de 50 %, variable selon le type de cancer) permettrait d identifier les répondeuses à bon pronostic par rapport aux autres, parfois même dès la première cure. Dans le suivi longitudinal des femmes préalablement identifiées avec un haut risque de récidive (sur des critères cliniques, biologiques et histologiques, mais aussi TEP), la TEP peut permettre d identifier le site de rechute. La réascension des marqueurs tumoraux est ainsi une excellente indication de la TEP, lorsque l imagerie anatomique n a pas déjà identifié la lésion coupable. Le couplage d une TEP à une TDM diagnostique (effectuée sur la TDM de la caméra TEP) permettrait de grouper les deux informations en un seul examen, avec des gains de temps et logistiques évidents, mais ces actes couplés ne sont pas reconnus (ni valorisés) par les pouvoirs publics. Selon les cancers Il ne peut être question ici d effectuer une revue exhaustive de la littérature et nous n esquisserons que les grandes lignes de ces thématiques. Dans les cancers du sein (figure 1, p. 345) Sur le T, l intensité de la fixation du FDG est associée aux facteurs pronostiques suivants : grade élevé, absence de récepteurs à l estrogène, mutation p53 (1). La TEP ne peut et ne doit pas prétendre se substituer à la technique du ganglion sentinelle. Sa résolution ne lui permettra d ailleurs jamais d identifier les micrométastases. En revanche, dans les stades IIb et III (surtout ceux classés Nx sur la base de l imagerie conventionnelle), la TEP peut se révéler précieuse (2). Dans la prédiction de la réponse thérapeutique des chimiothérapies néo-adjuvantes, notamment pour les stades II et III, une diminution de 50 % du SUV identifie les patientes répondeuses avec une sensibilité et une spécificité de 96 % et 75 % dès la fin de la première cure (2). La sensibilité de la TEP est notablement supérieure à celle de la TDM. Dans le suivi à distance, la TEP est probablement le meilleur examen en cas de réascension des marqueurs (3) et peut être plus sensible que le CA15.3 (4), tous stades confondus. Dans les cancers du col (figure 2, p. 345) Tout comme pour les cancers du sein, la TEP ne peut prétendre à la finesse diagnostique d une coupe histologique (5). Dans les cancers du col localement avancés, la TEP est probablement la meilleure (ou la moins mauvaise) des techniques d imagerie (6). Son impact sur la stratégie thérapeutique est fort (7), mais sa sensibilité semble insuffisante pour se dispenser de l histologie lors du curage des ganglions para-aortiques effectué durant la laparoscopie. Bien qu il n existe pas de recommandations de haut niveau (SOR), il est habituel de discuter la TEP à partir du stade Ib2. La valeur de la captation initiale sur le T est un élément pronostique important et indépendant du stade, avec des valeurs seuils pour lesquelles le pronostic chute : seuils de SUV de 5,2 et de 13,3 pour E.A. Kidd et al. (8), de 10 pour F. Xue et al. (9), de 15 pour K. Nakamura et al. (10), de 7,3 pour H.H. Chung et al. (11). Cette notion d hypermétabolisme pronostique est également retrouvée pour la captation des ganglions para-aortiques (10, 12). La diminution du SUV en postchimiothérapie précoce (3 mois) est également un facteur de bon pronostic (13). 346 La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 5 - mai 2011

4 Dans les cancers de l ovaire (figure 3) Les publications portant sur TEP et cancer de l ovaire retrouvent des données similaires. Dans la stadification, les petites lésions ou les micrométastases ganglionnaires peuvent être manquées et, bien que les performances soient globalement bonnes, la TEP ne peut faire éviter la laparoscopie (14). L addition de la TEP au bilan conventionnel modifie la stratégie thérapeutique chez environ 20 à 40 % des patientes (15-17). Les atteintes mésentériques ou épiploïques étendues, la présence d une carcinose péritonéale multifocale ou d une extension supradiaphragmatique sont des facteurs pronostiques péjoratifs (). Dans la prédiction de la réponse à la chimiothérapie néo-adjuvante, une diminution de plus de 20 % du SUV lors de la première cure (19), de plus de 55 % à 65 % à la troisième cure (19, 20) ou un SUV normalisé ou inférieur à 3 (21) sont des prédicteurs pronostiques puissants. Dans le suivi et en cas d augmentation du CA125 (22) et même dans les valeurs basses de CA125 (23), la TEP modifie la stratégie thérapeutique. Conclusion Figure 3. Cancer de l ovairel : TEP-TDM au FDG avec, de haut en bas, les images d émission du FDG (de gauche à droite : coupe transverse, sagittale et frontale) et de la TDM. À gauche, verticalement, une représentation du corps entier, dite en MIP ; tout en bas du pelvis, on observe une plage hypermétabolique intense représentant l élimination vésicale physiologique du traceur, et, plus haut, de manière bilatérale, les cavités pyélocalicielles et les uretères. Posé sur le diaphragme gauche, le cœur, dont la fixation myocardique est également physiologique. Sur les coupes transverses, passant au-dessus de la vessie, l hypermétabolisme intense correspond à de la carcinose péritonéale ; celle-ci est diffuse et recouvre la capsule splénique et la capsule de Glisson (visible sur le MIP). La TEP au FDG est une technique arrivée à maturité. Si l on veut bien se rappeler qu il s agit d une imagerie macroscopique, elle est sensible, pronostique et précoce dans l étude des modifications induites par la thérapeutique, mais ne se substitue ni à l histologie ni à la technique du ganglion sentinelle. La TEP voit son éventail de possibilités s élargir par l arrivée de nouveaux traceurs, que l on espère plus spécifiques dans la stadification pour certains, et qui, pour d autres, permettront un monitorage encore plus étroit du pronostic et de l évaluation de l efficacité thérapeutique (apoptose et chimiothérapie, hypoxie et radiorésistance, récepteurs aux estrogènes et hormonothérapie ). Références bibliographiques 1. Groheux D, Giacchetti S, Moretti JL et al. Correlation of high ()F-FDG uptake to clinical, pathological and biological prognostic factors in breast cancer. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2011;38(3): Rousseau C, Devillers A, Campone M et al. FDG PET evaluation of early axillary lymph node response to neoadjuvant chemotherapy in stage II and III breast cancer patients. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2011 Feb Champion L, Brain E, Giraudet AL et al. Breast cancer recurrence diagnosis suspected on tumor marker rising: value of whole-body FDG-PET/CT imaging and impact on patient management. Cancer 2010 Nov Evangelista L, Baretta Z, Vinante L et al. Tumour markers and FDG PET/CT for prediction of disease relapse in patients with breast cancer. Eur J Nucl Med Imaging 2011;38(2): Ramirez PT, Jhingran A, Macapinlac HA et al. Laparoscopic extraperitoneal para-aortic lymphadenectomy in locally advanced cervical cancer: a prospective correlation of surgical findings with positron emission tomography/ computed tomography findings. Cancer 2010 Nov Choi HJ, Roh JW, Seo SS et al. Comparison of the accuracy of magnetic resonance imaging and positron emission tomography/computed tomography in the presurgical detection of lymph node metastases in patients with uterine cervical carcinoma: a prospective study. Cancer 2006;106(4): Chou HH, Chang HP, Lai CH et al. ()F-FDG PET in stage IB/IIB cervical adenocarcinoma/adenosquamous carcinoma. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2010;37(4): Kidd EA, Siegel BA, Dehdashti F, Grigsby PW. The standardized uptake value for F- fluorodeoxyglucose is a sensitive predictive biomarker for cervical cancer treatment response and survival. Cancer 2007;110(8): Xue F, Lin LL, Dehdashti F, Miller TR, Siegel BA, Grigsby PW. F- fluorodeoxyglucose uptake in primary cervical cancer as an indicator of prognosis after radiation therapy. Gynecol Oncol 2006;101(1): Nakamura K, Okumura Y, Kodama J, Hongo A, Kanazawa S, Hiramatsu Y. The predictive value of measurement of SUVmax and SCC-antigen in patients with pretreatment of primary squamous cell carcinoma of cervix. Gynecol Oncol 2010;119(1): Chung HH, Nam BH, Kim JW et al. Preoperative [F] FDG PET/CT maximum standardized uptake value predicts recurrence of uterine cervical cancer. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2010;37(8): Kidd EA, Siegel BA, Dehdashti F et al. Lymph node staging by positron emission tomography in cervical cancer: relationship to prognosis. J Clin Oncol 2010;28 (12): Retrouvez l intégralité des références bibliographiques sur notre site La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 5 - mai

5 Place de la tomographie par émission de positons avec tomodensitométrie au -fluorodéoxyglucose en oncogynécologie Références bibliographiques (suite de la p. 347) 13. Schwarz JK, Lin LL, Siegel BA, Miller TR, Grigsby PW. -F-fluorodeoxyglucose-positron emission tomography evaluation of early metabolic response during radiation therapy for cervical cancer. Int J Radiat Oncol Biol Phys 2008;72(5): De Iaco P, Musto A, Orazi L et al. FDG-PET/CT in advanced ovarian cancer staging: value and pitfalls in detecting lesions in different abdominal and pelvic quadrants compared with laparoscopy. Eur J Radiology 2010 Aug Chung HH, Kang WJ, Kim JW et al. Role of [F]FDG PET/CT in the assessment of suspected recurrent ovarian cancer: correlation with clinical or histological findings. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2007;34(4): Mangili G, Picchio M, Sironi S et al. Integrated PET/CT as a first-line re-staging modality in patients with suspected recurrence of ovarian cancer. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2007;34(5): Risum S, Høgdall C, Loft A et al. Does the use of diagnostic PET/CT cause stage migration in patients with primary advanced ovarian cancer? Gynecol Oncol 2010; 116(3): Risum S, Høgdall C, Loft A et al. Prediction of suboptimal primary cytoreduction in primary ovarian cancer with combined positron emission tomography/computed tomography: a prospective study. Gynecol Oncol 2008; 108(2): Avril N, Sassen S, Schmalfeldt B et al. Prediction of response to neoadjuvant chemotherapy by sequential F--fluorodeoxyglucose positron emission tomography in patients with advanced-stage ovarian cancer. J Clin Oncol 2005;23(30): Nishiyama Y, Yamamoto Y, Kanenishi K et al. Monitoring the neoadjuvant therapy response in gynecological cancer patients using FDG PET. Eur J Nucl Med Mol Imaging 2008; 35(2): Martoni AA, Fanti S, Zamagni C et al. [F]FDG-PET/ CT monitoring early identifies advanced ovarian cancer patients who will benefit from prolonged neo-adjuvant chemotherapy. Q J Nucl Med Mol Imaging 2010 Nov Soussan M, Wartski M, Cherel P et al. Impact of FDG PET-CT imaging on the decision making in the biologic suspicion of ovarian carcinoma recurrence. Gynecol Oncol 2008;108(1): Palomar A, Nanni C, Castellucci P et al. Value of FDG PET/CT in patients with treated ovarian cancer and raised CA125 serum levels. Mol Imaging Biol 2011 Jan La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 5 - mai 2011

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Intérêt du TEP-FDG dans la prise en charge des métastases des cancers urologiques

Intérêt du TEP-FDG dans la prise en charge des métastases des cancers urologiques Volume 18 - Septembre 2008 - Numéro 5 Journal de l Association Française d Urologie, de l Association des Urologues du Québec, et de la Société Belge d Urologie Progrès en Urologie (2008), Suppl. 7, S208

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Nouvelles stratégies et nouveaux impacts de l imagerie des cancers

Nouvelles stratégies et nouveaux impacts de l imagerie des cancers 03 CHATAL Page 26 Jeudi, 18. mars 2004 8:21 08 Le cancer : nouvelles données, nouvelles stratégies, nouveaux espoirs Cancer: recent evidence, innovative strategies, future promises 2004 Elsevier SAS. Tous

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Bases physiques de l imagerie en

Bases physiques de l imagerie en Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

La nouvelle classification TNM en pratique

La nouvelle classification TNM en pratique La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris

PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris 2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique

Plus en détail

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose

Plus en détail

Médecine Nucléaire - Imagerie fonctionnelle et métabolique - 2004 - vol.28 - n 11 569

Médecine Nucléaire - Imagerie fonctionnelle et métabolique - 2004 - vol.28 - n 11 569 J. Monteil, S. Verbeke, B. Melloni, F. Bertin, Th. Ducloux, J.C. Vandroux Mise au point sur l'imagerie au FDG dans les cancers bronchiques. J. Monteil 1, S. Verbeke 1, B. Melloni 2, F. Bertin 3, Th. Ducloux

Plus en détail

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN) UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:

Plus en détail

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière

IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Classi cation TNM du cancer bronchique

Classi cation TNM du cancer bronchique Revue des Maladies Respiratoires Actualités (2014) 6, 388-394 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Classi cation TNM du cancer bronchique TNM classi cation for the lung cancer J.-P. Sculier Service

Plus en détail

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de

Plus en détail

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel

Plus en détail

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome

Plus en détail

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009 traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE

Plus en détail

PET/CT et Sarcoïdose. Daniel O Slosman

PET/CT et Sarcoïdose. Daniel O Slosman PET/CT et Sarcoïdose Daniel O Slosman Objectifs (PET-FDG) Rappel technique (SPECT vs. PET) Rappel biologique (Radiotraceurs et FDG) Investigations scintigraphiques (Ga-67 vs autres) Utilité clinique du

Plus en détail

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques?

Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités

Plus en détail

Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie

Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Introduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité:

Introduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité: Comparaison entre scanner et morphotep dans l él évaluation du stade TNM d une d lésion l pulmonaire suspecte S Ciprian-Corby (1), L Meyer-Bisch (1), MA Muller (2), P Olivier (2), A Bertrand (2), D Régent

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition

Plus en détail

Que reste-t-il du bilan d extension systématique? Le CA 15-3 : quel intérêt dans le bilan d extension systématique?

Que reste-t-il du bilan d extension systématique? Le CA 15-3 : quel intérêt dans le bilan d extension systématique? Que reste-t-il du bilan d extension systématique? Le CA 15-3 : quel intérêt dans le bilan d extension systématique? CA 15-3: which interest in the staging assessment of primary breast cancer? Mots-clés

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib

Programme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale

Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur J. Lansac Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale Volume 2009 publié le 9.12.2009 TRENTE-TROISIÈMES JOURNÉES

Plus en détail

Dr Claire Houzard, Médecin Nucléaire

Dr Claire Houzard, Médecin Nucléaire Dr Claire Houzard, Médecin Nucléaire Centre Hospitalier Lyon Sud Université Claude Bernard Lyon I EA 3738 DES oncologie option radiothérapie 10-11 juin 2011 Lyon 1 En particulier en pathologie En particulier

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays

Plus en détail

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES

Plus en détail

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?

Qui et quand opérer. au cours du traitement de l EI? Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille

Plus en détail

Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire

Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire 4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du sein?

Qu est-ce que le cancer du sein? Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO

Plus en détail

TEPOSSE : TEP dans les OstéoSarcomes et Sarcomes dʼewing. TEP/TDM au FDG et évaluation précoce de la réponse à la chimiothérapie néoadjuvante

TEPOSSE : TEP dans les OstéoSarcomes et Sarcomes dʼewing. TEP/TDM au FDG et évaluation précoce de la réponse à la chimiothérapie néoadjuvante TEPOSSE : TEP dans les OstéoSarcomes et Sarcomes dʼewing TEP/TDM au FDG et évaluation précoce de la réponse à la chimiothérapie néoadjuvante Objectif : identifier précocement les mauvais répondeurs Jean-Louis

Plus en détail

Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.

Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France. dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,

Plus en détail

Modélisation du risque d évolution métastatique chez les patients supposés avoir une maladie

Modélisation du risque d évolution métastatique chez les patients supposés avoir une maladie Modélisation du risque d évolution métastatique chez les patients supposés avoir une maladie localisée Federico Verga, Benoît You, Assia Benabdallah, Florence Hubert, Christian Faivre, Cédric Mercier,

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Grossesse après cancer du sein

Grossesse après cancer du sein Pregnancy after breast cancer Mots clés : Grossesse, Cancer du sein, Femmes jeunes, Facteurs pronostiques, Survie Keywords : Pregnancy, Breast carcinoma, Young women, Prognostic factors, Survival F. Abel-Decollogne

Plus en détail

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Cancer colo-rectal : situation belge

Cancer colo-rectal : situation belge Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie

Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene

Plus en détail

Comprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches

Comprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN jj) Numéro de dépôt: 90403174.7 Int. Cl.5: A61 K 37/66 g) Date

Plus en détail

Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version

Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

CANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION!

CANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION! CANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION! F O R M A T I O N C O N T I N U E // M me Bouchard, 65 ans, se présente à votre cabinet pour une toux sèche et persistante depuis un mois avec une légère dyspnée. Elle

Plus en détail

cytogénétiques 11 8-10, 12, 13, ainsi qu à des travaux moléculaires 14, 15 16, les questions posées par l équipe

cytogénétiques 11 8-10, 12, 13, ainsi qu à des travaux moléculaires 14, 15 16, les questions posées par l équipe LES LYMPHOMES B DE LA ZONE MARGINALE: un nouveau modèle d oncogenèse lymphoïde? Depuis de nombreuses années, l équipe de recherche «Pathologie de Cellules Lymphoïdes» au sein de l UMR5239, en collaboration

Plus en détail

24/01/05«SOR SAVOIR PATIENT TEP» draft 3 Copyright FNCLCC Tous droits réservés

24/01/05«SOR SAVOIR PATIENT TEP» draft 3 Copyright FNCLCC Tous droits réservés Comprendre la TEP Tomographie par émission de positons au [ 18 F]-FDG en cancérologie Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches 1 Ce guide d information et

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail