Défi pour la transparence
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- Corinne Cormier
- il y a 8 ans
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1 FINANCIAL SERVICES Défi pour la transparence 6 ème édition Communication financière des banques européennes en Les banques dans la tourmente européenne kpmg.fr
2 Introduction Dans un contexte économique perturbé et incertain, fortement affecté par la crise de la zone euro, les performances des banques européennes ont été mitigées. La défiance des investisseurs, les risques souverains, la chute des marchés actions, les tensions sur la liquidité et le renforcement des exigences de solvabilité par l Autorité Bancaire Européenne ont été au cœur des préoccupations des banques en. Pour la sixième année consécutive, KPMG a réalisé une étude comparative des rapports annuels de 15 groupes bancaires européens au regard de thèmes clés reflétant les principaux sujets de préoccupation des banques en. Dans le prolongement de l édition précédente, nous présentons un chapitre sur les messages des présidents et des dirigeants à leurs actionnaires. Ces derniers présentent leurs analyses au regard de la performance globale, le rôle de la banque dans la société, la politique de rémunération, les reformes réglementaires et les orientations stratégiques des groupes. En complément de ce premier chapitre, nous poursuivons également notre analyse des éléments clés de communication financière tels que les principaux éléments de la performance des banques en, la dépréciation des prêts, le capital et la liquidité, les actifs non financiers, la gouvernance et les politiques de rémunération ainsi que les défis que les banques doivent désormais relever. Nous avons sélectionné quinze grandes banques européennes qui établissent leurs comptes dans le référentiel IFRS. Barclays (Barc) Lloyds Banking Group (LBG) Nordea (Nda) Standard Chartered (SCB) Royal Bank of Scotland (RBS) ING (ING) HSBC (HSBC) Deutsche Bank (DB) Commerzbank (CoBa) BBVA (BBVA) Santander (Sant) UBS (UBS) BNP Paribas (BNPP) UniCredit (UniC) Société Générale (SG) Tous les graphiques et les analyses ont été préparés par KPMG en utilisant les commentaires et les données chiffrées des rapports annuels publiés au 31 décembre et par les banques citées précédemment. Les taux de change utilisés sur des données bilancielles sont les taux de clôture, et les taux de change appliqués à des données relatives aux résultats sont des taux moyens. Par ailleurs, les chiffres sont fondés sur les données comparatives publiées dans les états financiers au 31 décembre
3 Sommaire Messages clés 2 Les banques dans la tourmente européenne 1. Communication 6 Messages des Présidents 2. Performance 12 Résultats et performances des banques 3. Crédit 20 Dépréciations au titre du risque de crédit 4. Autres actifs 28 Actifs non financiers 5. Capital 32 Fonds propres 6. Liquidité 42 Liquidité et refinancement 7. Gouvernance 50 Gouvernance et rémunération des membres exécutifs 8. Autres défis 56 Risques et thématiques d actualité
4 Messages clés Messages clés Les banques dans la tourmente européenne Faits marquants de l année Bien que les banques européennes aient anticipé dès les difficultés qui se profilaient pour, l ampleur des événements exceptionnels, tels qu ils se sont produits cette année, ne pouvait pas être correctement appréciée. Dès lors, le profit cumulé des quinze grandes banques européennes de l échantillon a été réduit de 26% par rapport à il atteint 62 milliards d euros en contre 84 milliards d euros en. Des éléments non-récurrents ou nouveaux tels que le coût du risque sur la dette souveraine grecque, les coûts relatifs aux litiges au titre de la commercialisation d assurance crédit en Angleterre (PPI), des dépréciations d écarts d acquisition ou encore de nouvelles taxes bancaires ont fortement pesé sur les résultats dégagés en. Les métiers cœurs se sont montrés résilients. Grâce à l amélioration de la qualité des crédits et à une meilleure gestion des activités non stratégiques, la charge de dépréciation sur les encours de prêts a reculé de 10% en moyenne sur l échantillon passant de 79 milliards d euros en à 71 milliards d euros en. Sommesnous en bas de cycle? Quant à la banque d investissement, elle a souffert des conditions de marché difficile du 2 ème semestre provoqués par la crise de la zone Euro avec une baisse des niveaux de marge et des volumes de transactions. Les revenus générés par cette ligne de métier poursuivent la baisse amorcée en (-13,5%), après le niveau record observé en / Défi pour la transparence
5 Messages clés La crise de la dette souveraine grecque, évoquée par les banques en, est désormais analysée et quantifiée avec une dépréciation moyenne de 71%, la Grèce a couté aux quinze banques européennes de notre étude près de 9,5 milliards d euros. Par ailleurs, les banques communiquent une exposition de 206 milliards d euros aux autres pays périphériques de la zone Euro (Espagne, Italie, Irlande, Portugal) et la défaillance d un de ces pays pourrait s avérer lourde de conséquences. En anticipation des exigences réglementaires relatives au capital de plus en plus fortes, les quinze banques de notre étude ont, parallèlement à une politique conservatrice de distribution des dividendes augmenté leurs fonds propres d environ 200 milliards d euros au cours de ces trois dernières années. Malgré l entrée en vigueur de la CRD 3 (Bâle 2,5) au 31 décembre, qui renforce les exigences de fonds propres pour le risque de marché et la titrisation, les banques ont publié des ratios au-delà des minima réglementaires : ratios de solvabilité Bâle 2,5 compris entre 11,1% et 17,6% et ratios de Core Tier 1 Bâle 2,5 compris entre 8,4% et 14,1%. S agissant de la liquidité, très peu d informations sont fournies sur le tirage du LTRO (Long Term Refinancing Operation) et son utilisation. Les établissements adaptent progressivement leur stratégie de refinancement pour anticiper les deux nouveaux ratios de liquidité, LCR et NSFR, proposés par le comité de Bâle dans le cadre de Bâle 3 en allongeant leurs sources de refinancement et en proposant des produits innovants pour attirer les dépôts de la clientèle. Ce calendrier réglementaire va davantage contraindre les banques à adapter leurs modèles économiques et opérationnels. Défi pour la transparence / 3
6 Messages clés Comment traverser la crise? Des banques dans un environnement particulièrement complexe Les plus grandes banques européennes font face à une situation d une exceptionnelle complexité. L avenir économique encore incertain conjugué à l endettement sans précédent des Etats de l Union et les marchés financiers très volatiles mettent sérieusement à l épreuve le système bancaire européen. Les banques ont besoin de retrouver la confiance de leur clientèle, d optimiser leurs coûts, de se recentrer sur leur cœur de métier, de se mettre en conformité avec les exigences des régulateurs, d assurer leur rôle de financement de l économie et de réduire leurs risques pondérés ; et ce, tout en améliorant la rentabilité des actionnaires. Ces défis que les banques doivent relever répondent, faut-il le souligner, à des logiques et des objectifs parfois contradictoires. Il y a un an, les banques européennes avaient clairement anticipé dans leurs rapports, la complexité de l environnement qui serait le leur en. En dépit de cette situation difficile, certaines banques publient en de meilleures performances, tout en reconnaissant le poids des incertitudes économiques, sociales et politiques. Il résulte de cet état de fait que le secteur bancaire prend une nouvelle direction et modifie ses fondamentaux dont le corolaire est une appréciation nouvelle de la notion de performance «normale». Dans notre analyse portant sur les quinze plus grandes banques européennes, nous avons analysé leurs priorités, telles qu elles apparaissent dans leur rapport annuel, au vu de leurs résultats financiers et du paysage économique international. L année a été marquée par une faible croissance économique. Seules cinq banques ont publié des bénéfices en hausse sur l année. Dix banques ont vu leur coefficient d exploitation augmenter. Sept banques ont enregistré une baisse de leurs revenus (PNB). Les banques majeures du secteur ont une vision commune de l avenir sur le plan de l environnement économique mondial dont l évolution conditionnera leur niveau de performance. Ce contexte mis à part, les banques présentent invariablement quatre priorités comme axes de leur stratégie à venir : Le recentrage sur leurs cœurs de métier ; L efficacité opérationnelle ou l optimisation des coûts ; Le développement de relations de qualité avec les clients ; et L amélioration de la rentabilité des actionnaires. Comment les banques peuvent-elles restaurer la confiance en proposant de meilleurs produits et services, qui induiront des coûts supplémentaires, tout en recherchant à améliorer la rentabilité des actionnaires par la hausse des bénéfices, alors même que l avenir semble sombre et incertain? Une adaptation des modèles et une nécessaire redéfinition du caractère «normal» de la rentabilité En, nous avons assisté à la crise des dettes souveraines, aux indemnisations liées aux litiges clients relatifs à la commercialisation d assurance-crédit (Payment Protection Insurance ou PPI au Royaume-Uni) et à des dépréciations de goodwill. L avenir proche laisse augurer la possibilité de litiges, une augmentation du coût du capital, de nouvelles règlementations, d éventuelles taxes sur les transactions financières et une aggravation de la crise économique notamment en Espagne. Les effets durables d événements spécifiques, ayant des impacts financiers significatifs, devraient porter les investisseurs et les dirigeants à s interroger sur la notion même d une performance bancaire dite «normale». Les banques doivent donc s assurer qu elles ont la capacité de résister aux conséquences de tels évènements. 4 / Défi pour la transparence
7 Messages clés Au même moment, l élaboration du calendrier des réformes règlementaires va entrainer une restructuration fondamentale du métier de banquier. La mise en œuvre de normes strictes sur le capital et la liquidité ou encore l effet de levier vont contraindre les banques à adapter leurs modèles économiques et opérationnels. La rentabilité des actionnaires et la confiance des clients Compte tenu de l environnement actuel, la rentabilité attendue par les actionnaires va constituer un défi majeur. Les banques font face au dilemme suivant : l augmentation des coûts, en partie liée à une règlementation plus importante va se traduire par une baisse des bénéfices ; la seule façon, à périmètre d activités constant, de maintenir ou d accroitre la rentabilité est d augmenter les marges ; satisfaire les attentes des actionnaires c est mécontenter l opinion publique déjà très méfiante à l égard du système bancaire, sans parler de la nécessité de renforcer les fonds propres qui va peser sur les politiques de distribution des dividendes. En outre, la concurrence sera âpre dans la mesure où les banques ciblent le même noyau de déposants, de clients et de marchés. Les épargnants devraient bénéficier de taux d intérêt plus importants, mais le corolaire inévitable sera d avoir des taux d emprunts plus élevés (une tendance que l on peut déjà constater), créant ainsi des oppositions entre statut d épargnants et statut d emprunteurs. Les politiques de rémunération des dirigeants et des professionnels de marché ont contribué à la perte de confiance du public. Bien que l on perçoive dans plusieurs rapports annuels que la rémunération est davantage en lien avec la performance, peu de banques de notre étude présentent une information claire et précise. Ainsi, à l exception des informations relatives aux mandataires sociaux, la part de rémunération différée dans les rétributions annuelles, les conditions nécessaires pour toucher cette part différée, les sommes susceptibles d être perçues et les indicateurs de performances utilisés sont trop peu explicités et nous sommes d avis que plus de transparence serait de nature à restaurer la confiance du public. Le secteur bancaire n est pas, faut-il le rappeler, le seul touché par les réactions du public liées aux rémunérations des dirigeants. En marge des commentaires financiers, il est intéressant de remarquer que l égalité hommes-femmes sur le lieu de travail est abordée par les banques. La quasi-majorité des banques de l échantillon définissent un objectif de répartition hommes / femmes au sein de leur management ou de leurs organes délibérants. L avenir à court et moyen termes apparaît particulièrement sombre. S il est vrai que les banques ont enregistré une baisse de leurs charges de dépréciation en, d autres risques portant par exemple sur les expositions directes ou indirectes à la dette de certains états de la zone Euro pourraient rapidement se traduire par des niveaux plus élevés de charges de dépréciation. Marie-Christine Jolys Associée Paris La Défense, le 28 juin 2012 Défi pour la transparence / 5
8 Communication Messages des Présidents Des performances contrastées avec une contribution des cœurs de métiers forte. Perspectives : des axes stratégiques difficiles à mettre en œuvre dans l environnement économique, financier et réglementaire actuel. En milliards d euros Résultat net part du groupe en HSBC 12,82 BNPP 6,05 ING 5,77 Sant 5,35 DB 4,13 SCB 3,70 Barc 3,55 UBS 3,38 BBVA 3,00 Nda 2,63 SG 2,39 CoBa 0,64 RBS -2,36 LBG -3,29 UniC -9,21 Total 38,55 Si l année a été une année de répit, marquée par un optimisme prudent des dirigeants, l année est en revanche une année contrastée notamment en raison de la crise de la dette dans la zone euro contribuant à un environnement économique et financier instable. Les objectifs stratégiques communiqués par les banques sont généralement assez homogènes et semblables à ceux de l an dernier. Pour autant, la période actuelle complique leur réalisation. Les banques doivent faire face à de multiples contraintes compte tenu de l environnement économique dégradé et de la volatilité des marchés financiers ainsi que d un cadre réglementaire de plus en plus contraignant. L évolution de l environnement réglementaire induit des changements profonds dans le secteur bancaire. La combinaison de normes plus rigoureuses en matière de capital et de liquidité ainsi que de gestion de crise pour les institutions qualifiées de systémiques obligent les banques à revoir et restructurer leurs «business model» et activités. Ces changements sont susceptibles d entrainer une augmentation significative des coûts internes qui pourraient impacter la rentabilité des banques dans les années à venir. Les banques doivent résoudre une équation complexe : regagner la confiance de leurs clients et en parallèle assurer un retour sur investissement à leurs actionnaires tout en gérant des revendications salariales de la part de leurs cadres à haut potentiels. 6 / Défi pour la transparence
9 Communication L agenda réglementaire impose une analyse fine des opportunités ce qui contraint les banques à être plus sélectives dans l allocation de leurs ressources rares (capital, liquidité) afin d optimiser les coûts et d effectuer des propositions commerciales de meilleure qualité dans les domaines à fort potentiel de croissance. Dans la mesure où les banques affichent globalement les mêmes ambitions, la concurrence sera vraisemblablement plus forte et pèsera sur la rentabilité des banques. Les quatre principaux objectifs stratégiques des banques (recentrage sur les cœurs de métier, développement de relations de qualité avec les clients, optimisation des coûts, retour sur investissement pour les actionnaires) peuvent enfin paraître ambitieux dans des contextes politique et réglementaire exigeants. Les lettres adressées aux actionnaires 1 sont une source d information importante : les présidents et les dirigeants de banque font le bilan de la performance de leur banque au cours de l année écoulée. C est également l occasion pour les dirigeants de présenter l environnement économique et réglementaire dans lequel les banques évoluent ainsi que leurs stratégies. Année Comparaison avec les anticipations de l année La majorité des présidents et directeurs généraux ont déclaré avoir progressé dans la réalisation des objectifs stratégiques qu ils s étaient fixés en. Ces objectifs s articulaient autour de trois principaux axes : Citations de banques internationales «a été une nouvelle année de challenges pour JP Morgan Chase...» PDG de JP Morgan Chase, rapport annuel *** «En, face à de nombreux défis, nous avons fait de grandes avancées dans la transformation de la banque (...) nous avons simplifié nos activités, réduit nos risques, renforcé notre capital et la liquidité et (...) nous nous sommes centrés sur les besoins essentiels de nos clients...» Directeur Général de Bank of America, rapport annuel *** «Les priorités de la banque sont de maintenir un dispositif opérationnel et financier robuste pour servir nos clients et accroître le ROE...» Président de Commonwealth Bank of Australia, rapport annuel Comme l année dernière, les principaux sujets traités par les banques européennes de notre échantillon s articulent autour des thèmes suivants : la performance globale de la banque sur ; le contexte économique et financier ; le rôle de la banque dans la société ; les politiques de rémunération ; le cadre réglementaire ; les perspectives et les stratégies futures. Les similitudes en termes de forme et de contenu des déclarations des dirigeants par rapport à celles de l an dernier laissent entrevoir que les préoccupations et les défis auxquels le secteur a à faire face restent globalement les mêmes. A l échelle internationale, les thèmes abordés par les dirigeants des banques non européennes sont généralement similaires à ceux traités par leurs homologues européens. L interconnexion des marchés financiers mondiaux explique en partie ce constat. le recentrage sur les cœurs de métier, le développement de relations de qualité avec les clients, et l optimisation des coûts. Le repositionnement sur les cœurs de métier a continué tout au long de l année à travers notamment la réduction de l exposition des actifs risqués. S agissant de la recherche d optimisation des coûts, les résultats individuels des banques diffèrent avec, d une part, celles qui ont réalisé des économies au cours de l année (UBS, Commerzbank, Nordea, RBS, LBG) et, d autre part, celles qui reconnaissent une hausse des coûts de structure notamment due à l inflation salariale, les dépenses de restructuration et d acquisition (HSBC, BBVA). De manière générale, ces trois objectifs stratégiques restent des priorités réitérées en par les dirigeants des banques. 1 - La lettre du président de BNP Paribas à ses actionnaires n était pas disponible au moment de la rédaction de notre étude. Défi pour la transparence / 7
10 Communication Performances disparates en Des évènements dits exceptionnels ont impacté les résultats en Profitabilité des activités de banque de détail et de banque commerciale en amélioration Performance globale des banques Les performances des banques européennes de notre échantillon sont contrastées en. Malgré un environnement économique instable et la volatilité des marchés financiers, quatre banques (HSBC, Deutsche Bank, ING et Standard Chartered) ont amélioré leurs résultats nets en par rapport à. Ces performances qualifiées de «bonnes performances» s expliquent principalement par le recentrage des activités sur les cœurs de métier, la réduction des risques pondérés et des coûts ainsi que dans une certaine mesure le positionnement stratégique sur certains marchés émergents (par exemple pour HSBC et Standard Chartered). D autres banques ont, au contraire, souffert des conditions économiques, financières et réglementaires difficiles malgré une résistance de la performance des cœurs de métier. Ces banques ont notamment connu des évènements qualifiés «d exceptionnels» qui ont fortement impacté leurs résultats. Société Générale et Commerzbank mentionnent l impact des dépréciations de la valeur nominale de leurs obligations souveraines grecques. La provision PPI (Payment Protection Insurance) a fortement impacté le bénéfice de LBG. Enfin, UBS a enregistré sur l exercice une perte de trading de 1.8 milliards de francs suisses. HSBC et Standard Chartered ont également évoqué la taxe bancaire systémique créée au Royaume-Uni. La profitabilité des activités de banque de détail et de banque commerciale s est améliorée sur la période. Le directeur général de Barclays a déclaré que les revenus générés par ses activités de banque de détail ont augmenté. RBS a annoncé que les résultats d exploitation de ses activités de banque de détail et commerciale ont augmenté de 9%. De manière générale, les banques ayant une forte proportion d activités de banque d investissement ont eu des résultats mitigés. En effet, tandis que l année est qualifiée d année de performance «record» par le président de Deutsche Bank Corporate and Investment Banking dans certaines activités notamment l activité de trading de matières premières, le directeur général de Barclays évoque les conditions de marché difficiles dans lesquelles la banque a conduit ses activités. Par ailleurs, en raison d un contexte réglementaire plus exigeant, l année a été également marquée par des mesures prises par les banques en matière de renforcement de leur capital et de leurs réserves de liquidité. En effet, malgré la mise en place de la réforme Bâle 2,5 et en amont du cadre réglementaire Bâle 3, les dirigeants soulignent que les banques ont amélioré leurs ratios de Core Tier 1. Cette optimisation de la structure du capital a été effectuée à travers, d une part, une gestion prudente du risque (tel est le cas pour BBVA et Société Générale) et, d autre part, via des cessions d actifs non stratégiques (ING, HSBC et UniCredit). Par exemple, le président d ING a annoncé la vente d une partie de ses activités afin de simplifier son portefeuille (exemple : la vente des activités de ING Direct USA et d activités en Amérique Latine). Le directeur général de HSBC a aussi annoncé la fermeture de seize activités non-stratégiques pour le groupe. Contexte économique En, certaines banques avaient émis des incertitudes sur la situation économique internationale notamment en raison de l émergence de risques souverains dans la zone euro et la situation au Proche-Orient. La sévérité de la crise n était toutefois pas anticipée. L année a été marquée par ce contexte économique instable favorisé par la crise de la dette européenne et l incertitude sur la viabilité de la zone euro. Dans la plupart des rapports, les banques ont souligné l environnement difficile dans lequel elles ont conduit leurs opérations en. Les autres facteurs avancés concernant la dégradation des conditions économiques et financières dans les pays développés incluent l évolution d un cadre réglementaire de plus en plus exigeant, les incertitudes sur la capacité des Etats-Unis à rembourser leurs dettes (cité par UBS et Deutsche Bank), le risque d une bulle immobilière en Chine (cité par Deutsche Bank) ainsi que les faibles perspectives de croissance économique. Les dirigeants des banques de notre échantillon partagent globalement l idée que le climat d incertitude qu elles connaissent devrait perdurer en / Défi pour la transparence
11 Communication Rôle sociétal des banques Hausse des prêts aux entreprises entre 3% et 9% Mesures de renforcement et d optimisation du capital Renforcement des réserves de liquidité Rôle des banques dans la société Le rôle des banques dans la société a été une fois de plus un thème largement abordé dans les messages adressés aux actionnaires. En effet, la majorité des banques a rappelé l importance de leur rôle social, notamment à travers le financement de l économie (création d emploi, prêts aux entreprises ). Le président de Nordea précise que «la banque a une responsabilité particulière non pas uniquement vis-à-vis de ses clients mais aussi des sociétés en contribuant à leur croissance et à leur développement». Les banques Société Générale, Santander, Deutsche Bank et LBG ont déclaré que leurs prêts accordés aux entreprises ont augmenté dans une fourchette de 3% à 9% sur l année tandis que RBS et Santander communiquent sur leur taux d emploi des jeunes durant l année. D autres banques ont réaffirmé leur responsabilité sociale à travers les soutiens apportés aux communautés et aux projets caritatifs. Les présidents des banques UBS, ING et Santander ont réitéré leurs engagements pour la promotion de l éducation et de l entreprenariat. BBVA poursuit le développement de ses projets sociaux à travers sa fondation de microfinance et son investissement dans la recherche médicale. Le président de Barclays a quant à lui mentionné l engagement de la banque dans les opérations caritatives. Enfin, le respect de l environnement a également été cité comme un engagement citoyen par les présidents de RBS, ING et Santander. Politiques de rémunération A la suite de la crise de 2007, les banques se sont engagées dans la revue de leurs politiques de rémunération afin de se conformer aux exigences de la directive européenne CRD 3, en vigueur depuis le 1 er janvier. Sept banques (RBS, LBG, Barclays, Deutsche Bank, Commerzbank, UniCredit et Standard Chartered) ont abordé le sujet en. Cinq d entre elles rappellent l importance d avoir des politiques de rémunération alignées sur les intérêts à long terme des actionnaires. Réformes réglementaires A l instar de l année, les dirigeants abordent l agenda réglementaire avec notamment les mesures relatives au capital et à la liquidité (recommandation de l Autorité bancaire européenne, Bâle 3/ CRD 4). Dans ce contexte, la plupart des banques ont pris des mesures de renforcement ou d optimisation de leur capital. Les banques HSBC, ING, Barclays et UBS indiquent avoir réduit leurs emplois pondérés. UBS, Commerzbank et UniCredit ont déclaré avoir réalisé avec succès des augmentations de capital au cours de l année. Ces efforts ont porté leurs fruits puisque les présidents des banques BBVA et Commerzbank ont annoncé avoir quasiment atteint le ratio Core Tier 1 de 9% fixé par l Autorité bancaire européenne. D autres banques, telles que Deutsche Bank et Société Générale, ont annoncé que leurs ratios de Core Tier 1 étaient au-dessus de ce seuil six mois avant le délai fixé par l Autorité bancaire européenne (30 juin 2012). Par ailleurs, six banques (UBS, Société Générale, Barclays, Santander, Commerzbank, RBS) ont déclaré être en bonne voie pour atteindre les exigences réglementaires fixées par Bâle 3. La société Générale a ajouté qu elle devrait être en mesure d atteindre ces exigences à la fin Enfin, le président d UBS et le directeur général de Barclays ont souligné les inquiétudes que les pressions réglementaires engendraient sur l économie et sur les coûts de financement sans donner d impacts chiffrés sur leurs activités respectives. Défi pour la transparence / 9
12 Communication rentabilité pour les actionnaires recentrage sur les cœurs de métier de la banque efficacité opérationnelle ou optimisation des coûts développement de relations de qualité avec les clients Perspectives d avenir Performances et stratégies futures En raison d un environnement réglementaire de plus en plus exigeant, le renforcement du capital et des réserves de liquidité sont des orientations stratégiques fréquemment citées dans les messages adressés aux actionnaires. En effet, neuf banques (HSBC, RBS, LBG, Commerzbank, ING, Nordea, Société Générale, Deutsche Bank, Barclays) ont déclaré avoir entamé une réduction de leurs emplois pondérés afin d optimiser la structure de leur bilan et la gestion de leur capital. Les stratégies des banques, évoquées dans leurs grandes lignes et analogues à celles de l an dernier pour trois d entre elles, portent sur les aspects suivants : Le recentrage sur les cœurs de métier de la banque : les cessions d actifs entamées depuis l année dernière ont été poursuivies au cours de. Ce processus de restructuration devrait continuer tout au long de En effet, le président de la banque HSBC a déclaré qu en complément des seize cessions/ fermetures d activités effectuées en, la banque devrait céder trois autres activités en Le président de la banque ING a annoncé que la banque poursuivra la cession de ses activités d assurance et de gestion d actifs tout en privilégiant un positionnement stratégique en Europe. Le directeur général de RBS a annoncé la gestion en extinction et la vente de certaines activités de la banque d investissement éloignées de son cœur de métier. L efficacité opérationnelle ou l optimisation des coûts : l optimisation des coûts de structure est un objectif commun à toutes les banques de l échantillon. Le développement de relations de qualité avec les clients : la nécessité d entretenir des relations de qualité avec la clientèle est un objectif central et globalement cité par la plupart des dirigeants. Les présidents des banques UBS et UniCredit ont déclaré qu ils continuent à placer les clients au cœur de leurs stratégies. D autres banques (LBG et Nordea) soulignent la nécessité de fournir une offre simplifiée aux clients afin de faciliter la compréhension des produits et services vendus. La rentabilité pour les actionnaires : certains présidents (HSBC, Nordea, Barclays, Santander et ING) ont annoncé en tant qu objectif prioritaire l augmentation du ROE (rendement des fonds propres) de la banque. Perspectives économiques «Incertitude» et «instabilité» sont les deux termes qui ressortent généralement des messages des présidents quant aux perspectives économiques à venir. En effet, malgré des signes d amélioration constatés en début d année, les dirigeants des banques de notre échantillon maintiennent une position prudente sur l évolution du contexte économique et financier international. Selon les dirigeants, les facteurs qui ont dernièrement conduit à la dégradation de l environnement économique et financier international devraient perdurer à court terme. Par ailleurs, certaines banques (HSBC, Standard Chartered, UniCredit et BBVA) tentent de renforcer leurs positions sur les marchés émergents (Asie, Amérique Latine, Moyen-Orient) où elles anticipent un fort potentiel de croissance. Comme l illustre cette citation du directeur général de Standard Chartered : «le climat d incertitude sur l Occident ne doit pas obscurcir le potentiel de création de richesse et le progrès social réalisé dans les pays en développement». Le directeur général de HSBC anticipe que les échanges internationaux et de capitaux entre les pays émergents à travers le monde pourraient être multipliés par 10 dans les 40 prochaines années. Création de valeur pour l actionnaire Les dirigeants ont réitéré leurs souhaits d assurer une rentabilité durable pour les actionnaires. En effet, certains présidents ont reconnu la faiblesse des retours sur investissement en raison notamment du contexte économique et financier et placent cet objectif comme prioritaire 10 / Défi pour la transparence
13 Communication Hétérogénéité des politiques de distribution des dividendes dans leurs stratégies futures. Les fourchettes de taux de rendement évoquées varient d une banque à l autre. Le président de la banque ING vise un objectif de rentabilité du capital de 10% - 13% sous Bâle 3 d ici Le directeur général de Nordea s est fixé un objectif de rentabilité du capital de 15% dans un environnement macroéconomique normal. Le directeur général de Barclays a rappelé l engagement de la banque de fournir un retour sur investissement de 13% à l avenir. En ce qui concerne les politiques de dividendes, cinq banques (UBS, BBVA, Standard Chartered, HSBC et Santander) ont annoncé des versements de dividendes en. Six autres (Commerzbank, ING, Société Générale, RBS, UniCredit et LBG) n ont pas versé de dividendes en raison notamment de contraintes réglementaires. Restaurer la confiance La restauration de la confiance dans le secteur bancaire a été une fois de plus un sujet clé dans les messages des dirigeants. Sept dirigeants (Deutsche Bank, LBG, ING, BBVA, RBS, UBS et Nordea) ont abordé le sujet cette année et reconnaissent que la performance de leurs activités dépend fortement de la confiance que leur porte la société. Les orientations mises en avant afin de renforcer cette confiance incluent d une part, une offre clientèle simplifiée et transparente, et d autre part, un comportement citoyen et responsable dans la société. Les dirigeants des banques HSBC, LBG et Standard Chartered ont également rappelé l importance de leur réputation et la nécessité d entretenir leur image dans la situation actuelle. Banques européennes de l échantillon par taille au 31 décembre En milliards d euros Résultat net part du groupe en Résultat net part du groupe en Total actif en Total actif en HSBC 12,82 9, , ,31 BNPP 6,05 7, , ,16 ING 5,77 2, , ,01 Sant 5,35 8, , ,50 DB 4,13 2, , ,63 SCB 3,70 3,15 462,66 389,80 Barc 3,55 4, , ,01 UBS 3,38 5, , ,70 BBVA 3,00 4,61 597,69 552,74 Nda 2,63 2,66 716,20 580,84 SG 2,39 3, , ,07 CoBa 0,64 1,43 661,76 754,30 RBS -2,36-1, , ,90 LBG -3,29-0, , ,56 UniC -9,21 1,32 926,77 929,49 Total 38,55 55, , ,01 Défi pour la transparence / 11
14 Performance Résultats et performances des banques Résultat net en baisse par rapport à pour 2/3 des banques. Baisse des revenus générés par la banque d investissement. Très faible évolution à la baisse de la taille des bilans. Résultat net part du groupe (en millions d euros) 1 er trimestre ème trimestre 1 er trimestre BNPP HSBC Sant DB BBVA UniC Nda SG UBS ING CoBa LBG Barc RBS Remarque : SCB ne publie pas de résultat trimestriel La timide reprise économique de a été freinée par les événements survenus en Europe en. L année a été marquée par des éléments exceptionnels tels que les dépréciations liées à la dette souveraine, les coûts relatifs aux litiges au titre de la commercialisation d assurance-crédit en Angleterre (PPI) ainsi que les passages en pertes sur écarts d acquisition. Même les banques qui n ont pas été directement impactées par ces événements ont souffert des conditions difficiles sur les marchés financiers et de l environnement économique général. Les banques n ont pas hésité à avancer ces facteurs pour justifier la baisse des résultats et de la rentabilité pour les actionnaires, en espérant que le pire était derrière elles. L arbitrage entre risque et rendement continue d être sensible pour les banques. Le rendement pour les actionnaires n a pu revenir aux niveaux observés avant la crise. Notre étude met en évidence une hausse des coûts et une diminution du retour sur investissement. Des objectifs de rendement des fonds propres à deux chiffres figurent néanmoins dans certains rapports annuels. Cependant, il est difficile d imaginer le retour à une situation d avant crise même à long terme avec une situation économique morose persistante et des exigences règlementaires plus strictes en termes de capital et de liquidité. Les perspectives à moyen et long termes quant à la performance tiennent compte des défis auxquels les banques sont confrontées. La confiance dans le secteur bancaire n a pas été retrouvée depuis la crise financière et les scandales tels que les défauts de conseil relatifs à l assurance crédit en Angleterre, le rapport Vickers... n incitent pas les clients à accorder leur confiance au secteur. 12 / Défi pour la transparence
15 Performance Avec les conséquences des nombreux événements exceptionnels survenus en et des nouvelles problématiques à venir (litiges, hausse du coût du capital, nouvelles réglementations, taxe sur les transactions financières, etc ), les sujets d actualité continuent à affecter la performance des banques. La capacité des banques à faire face à ces problématiques va sans doute devenir un facteur discriminant entre elles. Performance générale des banques en Résultats Résultat courant avant impôts (en millions d euros) Performance globale - Résultat courant avant impôts (en millions d euros) HSBC BNPP Sant Barc ING DB SCB UBS SG BBVA Nda CoBa RBS LBG UniC Remarque : les données incluent, lorsqu il est significatif, le résultat avant impôts des activités destinées à être cédées. Hausse du résultat courant avant impôts pour 5 banques Compte tenu du contexte économique global, en particulier dans la zone Euro, seules cinq banques affichent en une augmentation de leurs résultats avant impôts. Pour les banques qui ont vu leurs résultats augmenter (notamment HSBC et Standard Chartered), une diversification des portefeuilles en direction des pays émergents et asiatiques est observée. Les résultats record annoncés par HSBC pour son activité de banque commerciale s expliquent par l augmentation des prêts en Asie, au Moyen-Orient et en Amérique latine. Presque 70% des résultats générés par la banque en proviennent des activités de banques de gros et d investissement. La contribution de la banque d investissement s élève à 32%, en diminution par rapport à (48%). Défi pour la transparence / 13
16 Performance La marge d intérêt nette de Deutsche Bank a augmenté de 1,9 milliards d euros. L amélioration de ces résultats s explique principalement par la récente acquisition de Postbank. Pour ING, ce sont les gains générés par les activités en gestion extinctive ou cédées qui expliquent l augmentation de ses résultats. Trois banques (RBS, LBG et UniCredit) ont enregistré des pertes. Les résultats d UniCredit ont été principalement impactés par les pertes de valeur sur écarts d acquisition et les dépréciations des immobilisations incorporelles qui s élèvent à 9,6 milliards d euros. Pour LBG, le facteur le plus important a été le coût lié aux litiges relatifs à l assurance crédit (PPI), qui représente 3,8 milliards d euros sur une perte nette avant impôts du groupe s élevant à 4,2 milliards d euros. Les pertes de RBS s élèvent à 851 millions d euros. Elles comprennent les dépréciations des dettes souveraines à hauteur de 1,3 milliards d euros et un gain de 2,2 milliards d euros attribuable au risque de crédit propre. Pour RBS, les pertes liées aux dépréciations sont un sujet d inquiétude majeur pénalisant les résultats, en particulier au sein des secteurs en dehors du cœur de métier de la banque mais aussi parmi les métiers de la filiale Ulster Bank. Néanmoins, malgré l impact de la dette souveraine grecque en, le niveau des dépréciations continue à diminuer du fait de la gestion extinctive des actifs risqués hérités de la crise. Pour certaines banques, les résultats affichés sont largement attribuables aux gains relatifs à la dette propre qui témoignent des conditions de marché défavorables et volatiles ayant eu des conséquences importantes sur les notations de crédit. Une dégradation de la notation de crédit d une banque a pour conséquence une diminution de la juste valeur de sa dette et il en résulte un gain sur sa dette propre constaté au compte de résultat. Pour Barclays par exemple, le gain de juste valeur représente 46% du résultat avant impôts du groupe. Cet impact positif a néanmoins été compensé par les pertes de valeurs sur les écarts d acquisition, les dépréciations des participations ainsi que les provisions pour litiges (PPI). Impact positif sur les résultats du risque de crédit propre Gains de juste valeur sur la dette propre (en millions d euros) Banques Profits enregistrés en compte de résultat au titre du risque de crédit propre (en millions d euros) Pourcentage du résultat courant avant impôt (%) Résultat courant avant impôts (en millions d euros) Dégradation des notations * Barc de A+ à A le 29/11/11 HSBC de AA- à A+ le 29/11/11 RBS de A à A- le 29/11/11 BNPP de AA à AA- le 14/10/11 UBS de A+ à A le 29/11/11 SG de A+ à A le 23/01/12 Remarque : Seules les banques affichant un gain de juste valeur supérieur à 500 millions d euros ont été retenues. RBS : le pourcentage négatif correspond au rapport entre le gain de juste valeur sur la dette propre et la perte de l année du groupe. Les gains et pertes de valeurs sur la dette propre étaient peu importants en avec seulement une banque présentant un gain de plus de 500 millions d euros (Nordea : gain de 652 millions d euros en ). * Source : Standard & Poor s Les résultats de certaines banques ont été pénalisés par des éléments exceptionnels survenus en. Parmi ces derniers, on peut citer les dépréciations relatives à la dette souveraine grecque, les pertes de valeur sur écarts d acquisition et les dépréciations de participations. Les éléments les plus significatifs sont présentés dans le tableau ci-dessous : 14 / Défi pour la transparence
17 Performance Résultats pénalisés par des éléments dits exceptionnels Eléments significatifs du compte de résultat (en millions d euros) Banques Dépréciation de la dette souveraine grecque Dépréciation du goodwill Provision pour litiges (PPI*) Autres ** Total Résultat avant impôts Résultat avant impôts et éléments non récurrents UniC Barc LBG BNPP RBS CoBa UBS BBVA Sant ING SG Remarque : Seuls les montants supérieurs à 500 millions d euros sont présentés. *: Payment Protection Insurance ** UniC : Dépréciation d autres actifs incorporels ; Barc : Dépréciation de BlackRock, Inc ; UBS : Incident lié à une opération de trading non autorisée. Hausse des coefficients d exploitation pour 2/3 des banques Coefficient d exploitation La réduction des coûts est l un des objectifs clés de beaucoup de banques. Cependant, dix d entre elles ont connu une augmentation de leur coefficient d exploitation en. Coefficient d'exploitation (en %) BBVA Sant Nda SCB HSBC BNPP Barc ING SG RBS UniC LBG DB UBS CoBa Remarque : Le coefficient d exploitation est le rapport entre les charges d exploitation (qui comprennent les dotations aux amortissements et dépréciations mais ne comprennent pas les pertes de valeur sur écarts d acquisition et les dépréciations des prêts) et le produit net bancaire. Défi pour la transparence / 15
18 Performance Baisse générale de 13,5% des revenus de la banque d investissement Définition de la banque d investissement Barclays Barclays Capital BBVA Wholesale Banking & Asset Management BNP Paribas Corporate & Investment Banking Commerzbank Corporates & Markets Deutsche Bank Corporate and investment bank HSBC Global Banking & Markets Nordea Capital Markets Products Royal Bank of Scotland Global Banking & Markets Santander Global Wholesale Banking Société Générale Corporate & Investment Banking Standard Chartered Wholesale Banking UBS Investment Bank UniCredit Corporate & Investment Banking Les charges d exploitation ont augmenté pour dix banques de l étude. Pour HSBC, cette augmentation est attribuable à une hausse d éléments spécifiques (coûts de restructuration, taxe sur les banques au Royaume-Uni, plus fortes indemnisations de la clientèle) ainsi qu à l augmentation des charges de personnel dans les régions à forte croissance. Dans de nombreux cas, des événements exceptionnels ont contribué à l augmentation des coûts (charges de provisions PPI pour LBG. Il est donc difficile de mesurer précisément l impact des coûts des activités clés des banques dans leur rentabilité globale. LBG a annoncé des charges d exploitation en baisse de 6%, principalement grâce à des économies générées par son programme d intégration et par la réduction des bonus. Ces économies sont partiellement compensées par la taxe sur les banques et les cotisations au fonds de garantie des dépôts (FSCS : Financial Services Compensation Scheme). Par ailleurs, sept banques ont également vu leurs revenus diminuer. La baisse des revenus de LBG (-17%) et les coûts liés aux PPI ont également contribué à l augmentation du coefficient d exploitation qui passe de 53% en à 78% en. Résultats de la banque d investissement La majorité des banques ont connu en une baisse de la performance de leurs activités de banque d investissement (revenus nets des dépréciations), excepté pour Standard Chartered qui est la seule banque à afficher une augmentation significative de ses revenus. Deutsche Bank, Barclays et BNP Paribas ont enregistré une baisse de plus de 2 milliards d euros (baisse moyenne de 11,5%), ce qui témoigne du poids prépondérant de leurs activités de banque d investissement. L ensemble des banques a subi une baisse de leurs revenus nets de l ordre de 13,5%, largement attribuable à la forte dégradation de leurs revenus bruts en avec un niveau de dépréciations qui tend à diminuer d année en année. Les facteurs avancés par toutes les banques sont les conditions de marchés difficiles, particulièrement au cours du 2 ème semestre. Ainsi, la crise de la zone Euro a provoqué une baisse des niveaux de marge et des volumes de transactions avec un impact direct sur les revenus des banques. Revenus générés par la banque d investissement nets des dépréciations (en millions d euros) DB HSBC Barc BNPP SCB UBS RBS UniC SG Sant BBVA Remarque : Les dépréciations représentent les dépréciations et provisions relatives au risque de crédit. ING ne présente pas distinctement une activité de banque d investissement. LBG a intégré son activité de banque d investissement dans ses autres lignes de métier et n est donc pas présentée dans le graphique ci-dessus. 16 / Défi pour la transparence CoBa Nda
19 Performance VaR : outil de mesure du risque de marché contesté Volatilité des résultats La Value at Risk ( VaR ) est un outil de mesure du risque de marché utilisé par les banques, principalement dans le cadre de leur activité de marché. La VaR repose sur une méthode statistique qui permet d estimer la volatilité des résultats à partir d un historique de l évolution des données de marchés. La VaR est calculée à partir d un intervalle de confiance (la plupart des banques utilisent 99%). Par exemple, une VaR à un jour de 200 euros avec un intervalle de confiance de 99% signifie qu il y a une chance sur 100 pour que le résultat varie de plus de 200 euros en une journée. Bien qu elle soit largement utilisée par les banques, la VaR présente des limites : la méthodologie s appuie sur des données historiques qui ne reflètent pas les évolutions futures. Les chiffres présentés ci-dessous correspondent à la VaR exprimée en pourcentage des revenus de transaction (avant dépréciations) et fournissent ainsi une estimation de la volatilité des revenus des activités de marché pour chaque banque. Ratio VaR à un jour / revenus des activités de trading (en %) CoBa Nda RBS BNPP SG HSBC BBVA Barc UniC Sant UBS DB LBG SCB Forte baisse des ROE depuis la crise financière Les écarts de VaR à un jour des banques sont importants. Ils s expliquent pour la moitié des banques par une diminution des revenus des activités de marché. Ce constat peut être surprenant compte tenu de la forte volatilité des marchés financiers à la fin de l année mais cela s explique aussi par d autres facteurs tels que les changements de niveaux de volatilité pris en compte dans les historiques de scénarios, et un contexte de marché difficile marqué par une diminution des transactions risquées et du volume d activité de la clientèle. Rendement des fonds propres Le rendement des fonds propres (ROE) reste un indicateur de performance clé pour les banques et pour les actionnaires. Depuis la crise financière, le ROE a diminué de manière significative pour toutes les banques. Défi pour la transparence / 17
20 Performance Rendement des fonds propres (ROE) en % Banques * * ROE publié en SCB 12,3 13,1 12,2 ING 12,1 6,7 8,7 HSBC 11,2 9,7 10,9 Nda 10,4 11,3 10,6 BBVA 9,0 14,6 8,0 DB 8,2 5,3 8,2 UBS 8,1 17,1 8,5 BNPP 8,1 11,0 8,8 Sant 7,5 11,8 7,1 Barc 6,2 7,5 5,8 SG 5,5 8,8 6,0 CoBa 2,8 5,4 2,2 RBS -2,6-1,9 10,5** LBG -5,8-0,6-6,2 UniC -14,3 2,7 NC * Le ROE a été calculé et correspond au rapport entre le résultat après impôts et la moyenne des capitaux propres comptables. ** RBS : Core ratio NC : non communiqué Taille des bilans Total Actif Toutes les banques de l échantillon, à l exception de deux d entre elles, ont connu une augmentation de leur total bilan en moyenne de 5%. Si l on exclut les instruments dérivés, une baisse de 0,3% du total bilan est observée. Les banques ont continué, bien que lentement, à réduire leurs risques, avec pour principales préoccupations le renforcement de leur capital et de leur liquidité ainsi qu une politique de gestion des prêts prudente. La gestion des actifs gérés en voie d extinction ou non stratégiques demeure toutefois un sujet majeur. Nordea a enregistré la plus forte hausse (23%), principalement attribuable à l augmentation des prêts envers les établissements de crédit et la clientèle (18%). Ce constat est en partie lié aux bonnes performances réalisées par les activités de banque commerciale et institutionnelle implantées dans les pays scandinaves. L augmentation de l activité des instruments dérivés de 78% est notamment due à un effet volume provoqué par une croissance des activités de la clientèle. Total Actif (en millions d'euros) DB HSBC BNPP Barc RBS ING Sant SG UBS LBG UniC Nda CoBa BBVA SCB Baisse en moyenne de 0,3% du total bilan (en excluant la hausse de la juste valeur des dérivés) 18 / Défi pour la transparence Pour la plupart des autres banques, la croissance de l activité de prêts a été plus timide du fait d une politique de prêts prudente, conséquence de la crise financière, et d une diminution de la demande de la clientèle dans un contexte économique difficile, tout particulièrement dans la zone Euro. Les banques ont pour la plupart renforcé leur position de liquidité en, à la fois pour des raisons de gestion des risques mais également pour répondre au renforcement des exigences règlementaires. Compte tenu des conditions économiques actuelles, disposer d un excédent de liquidité en trésorerie ou vis-à-vis des banques centrales constitue, selon beaucoup de banques, un gage de sécurité.
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