Des cohortes VIH à l épidémie cachée. D Costagliola UMR S 943 INSERM et UPMC
|
|
- Fabien Labranche
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Des cohortes VIH à l épidémie cachée D Costagliola UMR S 943 INSERM et UPMC
2 Définition (IRESP) Une cohorte est la réunion d un groupe de sujets partageant ensemble un certain nombre de caractéristiques, suivis longitudinalement, à l échelle individuelle. Elle repose sur la collecte d informations concernant des caractéristiques et des expositions des sujets suivis qui sont recueillies avant le moment d apparition des effets analysés, susceptibles de modifier le risque de survenue de phénomènes de santé divers La quantification des risques, ainsi que l analyse fine du mode de constitution de la cohorte et de la cohérence des résultats observés permettent d argumenter l éventuelle causalité des liens mesurés
3 Objectifs (1) Objectifs descriptifs Incidence/prévalence Description de la prise en charge et des résultats de la prise en charge Représentativité Exhaustivité
4 Objectifs (2) Objectifs déterminants de la maladie ou de son évolution Facteurs de risque Biologiques, sociaux, génétiques, contextuel, Biomarqueurs Objectifs impact de la prise en charge «Comparative effectiveness research»
5 Enjeux institutionnels Durée de vie respective d une structure de recherche et d une cohorte Grande infrastructure de recherche très consommatrice en personnels dans un environnement ou le personnel de statut pérenne se raréfie Temps de latence de la productivité scientifique
6
7 FHDH, la base de données hospitalière française sur l infection à VIH, ANRS CO4
8 La première publication Guiguet M, Mary M, Costagliola D, Armengaud M, Cartier F, Micoud M, Mouton Y, Sobesky G, Valleron AJ. Trends in zidovudine prescription since 1987 in AIDS-free HIV-positive French patients attending university hospitals. AIDS 1992; 6(11): a montré que la pratique de traiter en dessous d un taux de CD4 <350/mm 3 a préexisté à la recommandation
9 La production scientifique 1 ère publication en publications dans des revues à comité de lecture : 18 entre 1992 et 2001, 98 entre 2002 et 2011, 21 en 2012
10 Cohorte Cohorte fermée Inclusions fixées au début de l étude Cohorte ouverte Inclusions en continu Différences possibles Population présente au début de l étude avec histoire différente Evolution de la population incluse au cours du déroulement de l étude
11 Ledergerber B, et al. HIV Med 2011; 12:279-88
12 Cohorte Cohorte par intervalle Visites planifiées Inclusion de sujets volontaires Standardisation du recueil Information éventuellement déclarative Risque de perte de vue des plus malades Cohorte clinique Visites pour soins Sujets suivis dans le système de soin Extraction dossier médical Validation des informations médicales Risque de perte de vue des moins malades
13 Evaluation of human immunodeficiency virus biomarkers : Inferences from interval and clinical cohort studies (1) B. Lau et al, Epidemiology 2009; 20: Analyse de 244 patients co-inclus dans cohorte par intervalle et cohorte clinique Intervalle médian entre 2 visites (IQR) 182 jours ( ) 11 jours (1 54) entre 2 visites avec CD4 (IQR) 77 jours (38 121) CD4 : médiane nb mesures/patient (IQR) [nb total mesures] 7 (4-12) [1951] 9 (4 20) [3387] Pts avec CD4 bas à To : augmentation nb mesures
14 (2) Association entre CD4 et mortalité Même valeur prédictive pour CD4<275 Cohorte clinique Ratio estimations intervalle vs clinique par intervalle
15 Cas-témoin niché Constitution d une cohorte et suivi Identification des cas à la fin du suivi Sélection échantillon témoin parmi les «non-cas» Avantages : Recueillir des informations «couteuses» sur un nombre limité de sujets Limiter les biais de sélection et de mesure Limites : Bonne qualité du suivi de la cohorte
16 Lang S, et al. Arch Intern Med 2010; 170: Population d étude Patients suivis dans la cohorte FHDH entre janvier 2000 et décembre 2006 (n=74 958) Cas Patients avec un premier épisode d infarctus du myocarde (ATCD exclus) Date index : date de l épisode du cas Témoins Patients sans ATCD ni diagnostic d infarctus du myocarde à la date index du cas Appariement sur age, sexe, centre clinique
17 Méthodes d analyse multivariée et mesures d association Mesure d association Odds Ratio (OR) Rapport de Taux d incidence (IRR) Rapport de risque instantané (HR) Méthode d analyse Régression logistique (conditionnelle si appariement) Régression de Poisson Taux constant Modèle de Cox Rapport de risque instantané constant Schéma d étude Cas-témoins Transversale (Prevalence OR) Cohorte Cohorte
18 Correspondance entre les mesures d association 2 Que l événement soit rare ou non l OR peut être interprété selon l échantillonnage des témoins. Si les témoins sont choisis parmi les personnes indemnes à la fin de l étude : OR dans la population au moment de la survenue du cas (concurrent controls, density sampling) : IRR pour une étude cas-témoin RR pour une étude cas-cohorte C est le cas dans l étude cas-témoins sur le risque d IdM au sein de FHDH ANRS CO4 au début de l étude : RR
19 Facteurs de risque d IDM chez les patients infectés par le VIH (1) Lang et al, Clin Infect Dis 2012 HDL- chol en mmol/l : OR = 0,67 (IC 95%, 0,12-1,12) IMC < 21 kg/m 2 : OR = 1,62 (IC 95%, 1,10-2,37)
20 Facteurs de risque d IDM chez les patients infectés par le VIH (2) CV > 50 copies/ml OR = 1,51 (IC 95%, 1,09-2,10) Nadir CD4 (log 2 ) : OR = 0,90 (IC 95%, 0,83-0,97) CD8 > cellules /mm 3 : OR = 1,48 (IC 95%, 1,01-2,18)
21 Pourquoi des collaborations? Avoir la puissance statistique nécessaire +++ Pronostic long terme sur événements cliniques devenus rares Pas de RCT Etudier des problématiques identiques avec plus de variabilité et des contextes différents => Augmente la généralisabilité des résultats Etablir des collaborations méthodologiques avec des équipes internationnales reconnues terrains d échanges scientifiques formateurs
22 Apports des collaborations Apports scientifiques et méthodologiques Résultats scientifiques valides implémentés dans les recommandations nationales et internationnales Publications dans revues à fort IF Apports en interne Méthodes statistiques Confrontation aux autres => regard sur ses propres pratiques Amélioration des procédures internes data management par le travail sur les format d échange de données
23 Collaborations et publications
24 Les éléments du succès Harmonisation des données collectées Ni trop, ni trop peu Etape qui doit prendre du temps Adapté à la pathologie et à sa prise en charge Centre coordinateur ayant une force de frappe suffisante Indépendant des cliniciens Place des différents centres producteurs de données dans le fonctionnement (Conseil Scientifique, publications) et la possibilité d initier des projets de recherche Sélectionner des projets de recherche nécessitant la collaboration Retour d information, valorisation en matière d épidémiologie descriptive, de pratique et en matière de publication Il faut un certain temps Financement des personnels locaux et du centre coordinateur
25 Epidémie du VIH en France : Les derniers chiffres et pistes pour le dépistage
26 Epidémie de l infection à VIH : personnes vivants avec le VIH Personnes diagnostiquées et suivies Personnes diagnostiquées et non suivies Personnes non diagnostiquées
27 Epidémie de l infection à VIH CNAMTS (ALD 7) FHDH ANRS CO4 Personnes diagnostiquées et suivies Personnes diagnostiquées et non suivies Personnes non diagnostiquées
28 Nombres et caractéristiques des VIH+ suivies en 2010 Données CNAMTS : personnes percevaient ALD 7 87% population assurée par la CNAMTS VIH+ sont diagnostiquées et suivies
29 Nombres et caractéristiques des VIH+ suivies en 2010 Données CNAMTS : personnes en ALD 7 87% population assurée par la CNAMTS VIH+ sont diagnostiquées et suivies Données FHDH ANRS CO4 :
30 Pourcentage des VIH+ suivies sous ART (>6 mois) en % (IC : 81%-82%) des VIH+ suivies sous ART (>6 mois) % plus élevé pour les UDI et plus faible pour les FHS étrangères
31
32 Pourcentage des VIH+ sous ART (>6 mois) avec CV<50 copies/ml en % des VIH+ traitées depuis plus de 6 mois ont une CV < 50 copies/ml % plus faible pour les HHS étrangers
33 Epidémie de l infection à VIH CNAMTS (ALD 7) FHDH ANRS CO4 Personnes diagnostiquées et suivies Personnes diagnostiquées et non suivies Personnes non diagnostiquées DO VIH (InVS) Modèle mathématique
34 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Données surveillance InVS (DO) Nombre de nouveaux diagnostics VIH Statut clinique des nouveaux diagnostics VIH Modèle de rétrocalcul* (IC: ) VIH+ ignorent leur séropositivité *Ndawinz JD, Costagliola D, Supervie V. (2011) New method for estimating HIV incidence and time from infection to diagnosis using HIV surveillance data: results for France. AIDS 25:
35 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Données surveillance InVS (DO) Nombre de nouveaux diagnostics VIH Statut clinique des nouveaux diagnostics VIH Modèle de rétrocalcul (IC: ) VIH+ ignorent leur séropositivité
36 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( )
37 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Les nombres d HSH, d hétérosexuels français, et d hétérosexuels étrangers VIH+ qui ignorent leur statut sont similaires
38 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Les hommes constituent les 2/3 de l épidémie cachée
39 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour (IC à 95%) 7 (5-9) 288 ( ) 3 (1-4) 36 (23-47) 62 (12-99) 10 (7-13) 5 (3-6)
40 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour (IC à 95%) 7 (5-9) 288 ( ) 3 (1-4) 36 (23-47) 62 (12-99) 10 (7-13) 5 (3-6) Tester +++ d hétérosexuels que d HSH pour trouver les non diagnostiqués
41 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour (IC à 95%) 7 (5-9) 288 ( ) 3 (1-4) 36 (23-47) 62 (12-99) 10 (7-13) 5 (3-6) Stratégie coûtefficace si taux > 10 pour (Yazdanpanah Y, Plos One, 2010)
42 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour (IC à 95%) 7 (5-9) 288 ( ) 3 (1-4) 36 (23-47) 62 (12-99) 10 (7-13) 5 (3-6) Stratégie coûtefficace si taux > 10 pour (Yazdanpanah Y, Plos One, 2010) Dépistage généralisé pas coût-efficace
43 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour (IC à 95%) 7 (5-9) 288 ( ) 3 (1-4) 36 (23-47) 62 (12-99) 10 (7-13) 5 (3-6) Stratégie coûtefficace si taux > 10 pour (Yazdanpanah Y, Plos One, 2010) Dépistage ciblé coût-efficace
44 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Hétérosexuels français Hétérosexuels étrangers Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Total ( ) HSH 9000 ( ) 9800 ( ) 9500 ( ) UDI 500 ( ) Total Hommes ( ) Total Femmes 9200 ( ) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour (IC à 95%) 7 (5-9) 288 ( ) 3 (1-4) 36 (23-47) 62 (12-99) 10 (7-13) 5 (3-6) Stratégie coûtefficace si taux > 10 pour (Yazdanpanah Y, Plos One, 2010) Dépistage généralisé chez les hommes coût-efficace
45 Où faire le dépistage généralisé chez les hommes? Médecin généraliste? Tester 1000 personnes pour en moyenne en trouver 1 perte de motivation Services des urgences des hôpitaux «turn over» important du personnel soignant grand nombre de passages Deux études ont montré que le dépistage généralisé dans les services d urgences d Ile de France (1-2) était coût-efficace : Taux de positif dans (1) : 0,14% (IC: 0,08-0,22) Taux de positif dans (2) : 0,61% (IC: 0,46-0,79) (1) d'almeida K. W., Kierzek G., de Truchis P., et al. Modest public health impact of nontargeted human immunodeficiency virus screening in 29 emergency departments. Arch Intern Med. 2012;172(1): (2) Casalino E, Bernot B., Bouchaud O., et al. Twelve months of routine HIV screening in 6 emergency departments in the Paris area: Results from the ANRS URDEP study. PLoS One. 2012;Accepted.
46 Taux de CD4 des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en % éligibles aux ART 39% tardifs 19% stade avancé
47 Epidémie de l infection à VIH CNAMTS (ALD 7) FHDH ANRS CO4 Personnes diagnostiquées et suivies Personnes diagnostiquées et non suivies Personnes non diagnostiquées Estimation personnes non diagnostiquées FHDH ANRS CO4 DO VIH (InVS) Modèle mathématique
48 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui sont diagnostiquées mais pas suivies en 2010 non suivies Personnes diagnostiquées et non suivies Personnes non diagnostiquées VIH+ nouvellemen t prises en charge
49 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui sont diagnostiquées mais pas suivies en 2010 non suivies Personnes diagnostiquées et non suivies Personnes non diagnostiquées VIH+ nouvellemen t prises en charge FHDH : 23% des VIH+ nouvellement prises en charge connaissaient leur statut (>3 mois)
50 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui sont diagnostiquées mais pas suivies en 2010 non suivies Personnes diagnostiquées et non suivies (23%) Personnes non diagnostiquées (77%) VIH+ nouvellemen t prises en charge FHDH : 23% des VIH+ nouvellement prises en charge connaissaient leur statut (>3 mois)
51 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui sont diagnostiquées mais pas suivies en 2010 non suivies Personnes diagnostiquées et non suivies (23%) Personnes non diagnostiquées (28800 en 2010) (77%) VIH+ nouvellemen t prises en charge FHDH : 23% des VIH+ nouvellement prises en charge connaissaient leur statut (>3 mois) 8800 (IC: ) VIH+ diagnostiquées mais non suivies
52 Nombres et caractéristiques des VIH+ qui sont diagnostiquées mais pas suivies en
53 Nombres et pourcentages estimés de VIH+ dans les différentes étapes de la prise en charge du VIH en France en
54 Pourcentages estimés de VIH+ dans les différentes étapes de la prise en charge du VIH en France et aux Etats-Unis* *Cohen SM et al. (2011) Vital sign: HIV prevention through care and treatment United States. MMRW, 60:
55 Pourcentages estimés de VIH+ dans les différentes étapes de la prise en charge du VIH en France et aux Etats-Unis* 81% 93% 81% 86% 81% 51% 89% 77% *Cohen SM et al. (2011) Vital sign: HIV prevention through care and treatment United States. MMRW, 60:
56 Conclusions personnes vivaient avec le VIH en France en 2010 ( suivies (75%) et non suivies (25%)); VIH+ ignoraient leur séropositivité (i.e. 20% des personnes infectées par le VIH); Cohérent avec les 32000* estimé par l InVS. 60 % des VIH+ qui ignorent leur séropositivité étaient éligibles pour recevoir un traitement antirétroviral; 52 % des VIH+ ont une CV contrôlée; ce pourcentage varient entre les groupes de transmission; retard au dépistage chez les hommes hétérosexuels et chez les étrangers; Piste pour le dépistage : dépistage ciblé chez les HSH et généralisé chez les hommes; renforcer le dépistage des femmes hétérosexuelles étrangères lors de leur grossesse. *Cazein F et al. (2012) Prevalence and Characteristics of Individuals With Undiagnosed HIV Infection in France: Evidence From a Survey on Hepatitis B and C Seroprevalence. JAIDS, 60:e114-e116.
57 Remerciements Collaborateurs: -Virginie Supervie, INSERM U943 -Jacques Ndawinz, INSERM U943 -Sara Lodi, Instituto de Salud Carlos III -Céline Beaudoux, INSERM U943 Tous ceux qui contribuent à faire de la FHDH ce qu elle est.
58
59 Estimation de la prévalence en France Méthode directe 2000 Rétrocalcul/SIDA ( ) ( ) Hypothèse forte : 7500 nouvelles infections/an et 1700 décès/an prévalence augmente de 5800 personnes/an fin ( ) ( ) personnes bénéficient de l ALD fin 2010 fin ( ) fin ( ) vivent avec le VIH/SIDA ignorent leur séropositivité ou non suivies ( ) 26% nouvellement PEC connaissent leur statut sérologique > 3 m ignorent leur séropositivité ( )
LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailVanina Bousquet 24 mars 2015
Traitement des données manquantes par une méthode d imputation multiple : Application à des données d enquête et de surveillance des maladies infectieuses Vanina Bousquet 24 mars 2015 Plan 1. Contexte
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailLes Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment?
Les Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment? Pascal Staccini IRIS Department - School of Medicine of Nice Nice-Sophia Antipolis University UMR 912 - SESSTIM - INSERM et pour quoi faire? Les données
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailNOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU
1/ Résultats de l enquête sur la couverture vaccinale et l accès aux soins de santé des populations roms sur Bruxelles 2/ Quelques bonnes pratiques: «film» 3/ Piste pour la suite NOUS SOIGNONS CEUX QUE
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailPrise en charge médicale des personnes infectées par le VIH
Rapport 2010 sous la direction du Pr. Patrick Yeni Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH (version préliminaire) Recommandations du groupe d experts Édition spéciale «AIDS 2010 ( Vienne,
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailApplication des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires
Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailRecherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines
18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD
ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailLes traitements antirétroviraux très précoces chez l adulte, actualités. Christine DANEL
Les traitements antirétroviraux très précoces chez l adulte, actualités Christine DANEL Contexte Les recommandations OMS En 2006 : antirétroviraux si CD4
Plus en détailInformatique Médicale & Ingénierie des Connaissances Pour la e-santé
Li ics Laboratoire d Informatique Médicaleet d Ingénierie des Connaissances en e-santé Projet de création d une UMR Inserm Université Pierre et Marie Curie, Université Paris Nord Informatique Médicale
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLe point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013
Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités Juin 2013 RÉSUMÉ Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailLa prise en charge précoce de
Ministère de l Enseignement Supérieur Et de la Recherche Scientifique La prise en charge précoce de l adulte Temprano infecté Quantiféron par le VIH : de «Cotrimo CI ANRS 12» à 224 «Temprano» Dr Christine
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailListe des principales abréviations
2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailApproche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH
Approche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH Boris Hejblum 1,2,3 & Rodolphe Thiébaut 1,2,3 1 Inserm, U897
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détail9. Les registres d essais cliniques
9. Les registres d essais cliniques Les registres d essais thérapeutiques sont des bases de données qui enregistrent les essais thérapeutiques planifiés, en cours de réalisation ou terminés, possédant
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailTHÈSE DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS XI
UNIVERSITE PARIS XI FACULTE DE MEDECINE PARIS SUD Ecole Doctorale de Santé Publique - ED420 Année 2011/2012 N attribué par la bibliothèque THÈSE Pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS XI
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailSeuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien
14 15 octobre 2010 Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien Bruno Hoen 1 Plan de la discussion Quelle(s) définition(s)? Quelle réalité épidémiologique? Quelle
Plus en détailWorking Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR
Suivi de l emergence des résistances aux ARV et facteurs associés au Sénégal Working Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR HIV Drug Resistance Programme de TARV Résistance Transmise
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailRubrique SNIIRAM dans Statistiques et publications/ameli.fr
Rubrique SNIIRAM dans Statistiques et publications/ameli.fr Contenu Finalités du SNIIRAM... 2 Structure du SNIIRAM... 3 Comment est constitué le SNIIRAM?... 3 Comment sont restituées les données du SNIIRAM?...
Plus en détailLe début de l aventure
CONTEXTE L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium : au cœur du roulement de patient Contexte L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium forment un nouveau groupe hospitalier qui
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailTHESE DE DOCTORAT. VIH : comment la recherche en épidémiologie s est orientée de l évaluation thérapeutique au dépistage et à la prévention
UNIVERSITE LILLE NORD DE FRANCE Ecole doctorale Biologie Santé, Lille Année 2011 Thèse n THESE DE DOCTORAT Discipline : Santé publique Spécialité : Epidémiologie Présentée par Karen Champenois Pour obtenir
Plus en détailLa physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique
La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique Ahmed Meghzifene Chef de la Section Dosimétrie et Physique Médicale, Division de la Santé Humaine, Dept
Plus en détailLe rôle des traitements antirétroviraux dans la prévention du VIH. Dossier de synthèse documentaire et bibliographique. août 2011
Le rôle des traitements antirétroviraux dans la prévention du VIH Dossier de synthèse documentaire et bibliographique août 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. : 04 91 59 83
Plus en détailPrise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH
Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH 2004 Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH Rapport 2004 Recommandations du groupe d experts Sous la direction
Plus en détailgalités s sociales de cancer chez les travailleurs
Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailMALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux
ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailRapport technique : CRÉATION D UNE MESURE DE VISITE AU DÉPARTEMENT D URGENCE À PARTIR DE DONNÉES ADMINISTRATIVES DU QUÉBEC
Rapport technique : CRÉATION D UNE MESURE DE VISITE AU DÉPARTEMENT D URGENCE À PARTIR DE DONNÉES ADMINISTRATIVES DU QUÉBEC E. Belzile, 1 S. Sanche, 1 J. McCusker, 1,2 A. Vadeboncoeur, 3 A. Ciampi, 1,2
Plus en détailL appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles
PROGRAMME 2015 ESPOIRS DE LA RECHERCHE Le programme Espoirs de la recherche de la Fondation pour la Recherche Médicale soutient des projets de recherche dans tous les domaines de la biologie et de la santé.
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailThierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea.
Thierry DELZESCAUX «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France Thierry.Delzescaux@cea.fr Thierry DELZESCAUX Ingénieur chercheur CEA Experience Since 2008:
Plus en détailDépistage de l infection par le VIH en France
RECOMMANDATIONS EN SANTÉ PUBLIQUE Dépistage de l infection par le VIH en France Stratégies et dispositif de dépistage ARGUMENTAIRE Octobre 2009 Document non soumis à relecture typographique Avec la participation
Plus en détail