MT10. Mathématiques pour la cryptographie Partie 4 Factorisation : algorithme du crible quadratique (1) Walter SCHÖN
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- Marie-Claire Rondeau
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1 MT10 Mathématiques pour la cryptographie Partie 4 Factorisation : algorithme du crible quadratique (1) Walter SCHÖN 1 : Source pour ce cours : Carl Pomerance «A Tale of Two Sieves» Notices of the American Mathematical Society, December 1996
2 Introduction Ø L algorithme p-1 Pollard fonctionne dans les cas où le degré de superfriabilité du p-1 d un des deux facteurs est suffisamment petit ce qui constitue une propriété particulière. Ø A contrario connaissant l attaque, on peut s arranger pour qu aucun des facteurs n ait cette faiblesse. Ø Il est donc bon d avoir un algorithme qui ne dépende que de la taille des facteurs et non de propriétés particulières. Ø L algorithme du crible quadratique est à ce jour le meilleur pour factoriser des entiers jusqu à un peu plus d une centaine de digits. Ø Pour des tailles plus grande il est devancé par l algorithme du crible généralisé sur corps de nombres, très compliqué (et dont malgré tout les idées générales restent semblables à celles du crible quadratique). Ø Ce cours contient une description détaillée du crible quadratique, avec exemples complets. 2
3 Introduction : méthode de Fermat Ø Exemple : soit à factoriser N=8051 Ø Dans ce cas on peut remarquer que 8051= = Ø Il s ensuit que 8051=(90+7)(90-7)=97*83 Ø Cet algorithme, qui fonctionne quand le nombre a deux facteurs voisins de sa racine carrée, est le suivant : ü Pour les entiers x à partir du premier entier supérieur à la racine de N (ici 90) ü Calculer les valeurs successives de x 2 -N et espérer tomber sur un carré y 2 (ici dès le premier coup on tombe sur 49) ü Dès que c est le cas on a la factorisation N=(x-y)(x+y) Ø Question : cet algorithme fonctionne-t-il dans tous les cas? 3
4 Introduction : méthode de Fermat Ø Réponse : Oui pour tout entier composite impair (seul cas d intérêt pratique) Ø En effet si N=a.b est un entier composite impair, a et b sont donc tous deux impairs. Ø Par conséquent, l identité! a.b = 1 $ (a + b) " 2 % montre que N peut bien être mis sous la forme de la différence des carrés de deux entiers. Ø Mais dès lors que les facteurs a et b ne sont plus très proches de la racine de l entier à factoriser, la méthode de Fermat est bien pire que la méthode d essais de divisions en force brute qui nécessite de l ordre de N divisions 2! 1 $ (a b) " 2 % 2 4
5 Amélioration : méthode de Kraitchik (1920) Ø L idée consiste à rechercher non pas une différence de carrés égale à N, mais égale à un multiple de N. Ø En effet si N divise x 2 -y 2 pour deux entiers x et y ü Soit N divise (x-y) ou (x+y) et nous sommes dans un cas «inintéressant» (il faut alors chercher une autre congruence du même type), ü Soit N ne divise ni (x-y) ni (x+y) donc les facteurs de N se répartissent entre (x-y) et (x+y) et par conséquent pgcd(x-y,n) fournit un facteur non trivial de N (ainsi d ailleurs que pgcd(x+y,n)). Ø Or de telles congruences «intéressantes» existent, mais comment les trouver efficacement? 5
6 Amélioration : méthode de Kraitchik (1920) Ø Exemple : si on chercher à factoriser N=2041 par la méthode de Fermat. Ø L entier immédiatement supérieur à la racine de N est 46, et on obtient donc la suite : x x 2 -N Aucun carré identifié : la méthode de Fermat ne fonctionne pas 6
7 Amélioration : méthode de Kraitchik (1920) Ø Mais au lieu de rechercher un x pour lequel x 2 -N est un carré, Kraitchik propose de rechercher un ensemble de x pour lesquels le produit des x 2 -N est un carré Y 2. Ø Pour cela il remarque que dans certains cas, x 2 -N (beaucoup plus petit que N car x est voisin de la racine de N) se factorise facilement avec de petits facteurs premiers : x x 2 -N Factorisation * *3* (263) *3 2 * (3 3 *17) *5*7 7
8 Amélioration : méthode de Kraitchik (1920) Ø Si l on tient un ensemble de x pour lesquels le produit des x 2 -N est un carré Y 2 alors le produit des x 2 (noté par la suite X 2 ) est congru à Y 2 modulo N donc X 2 -Y 2 est divisible par N. Si l on est dans un cas «intéressant» pgcd(x-y,n) fournit donc un facteur! Ø Or dans notre exemple un «miracle» s est produit : on a bien réussi à trouver un carré en assemblant quatre «morceaux». x x 2 -N Factorisation * *3* (263) *3 2 * (3 3 *17) *5*7 (3*5 2 )*(2 3 *3*7)* (2 3 *3 2 *5)*(2 4 *5*7)= 2 10 *3 4 *5 4 *7 2 =(2 5 *3 2 *5 2 *7) 2 Par conséquent N=2041 divise (46*47*49*51) 2 - (2 5 *3 2 *5 2 *7) 2 Avec un peu de chance on est dans un cas «intéressant» et on a un diviseur! 8
9 Amélioration : méthode de Kraitchik (1920) Ø En effet notant X=46*47*49*51 et Y=2 5 *3 2 *5 2 *7 Ø X mod 2041=311 et Y mod 2041 =1416 donc X-Y mod 2041= =-1105=936 et X+Y mod 2041=1727 Ø Par conséquent ni X-Y ni X+Y n est divisible par N donc on est bien dans un cas intéressant! Ø Effectivement pgcd(x-y,n)=pgcd(936,2041) ou pgcd(y-x,n)=pgcd(1105;2041) donne le facteur 13 Ø On peut maintenant diviser N par 13 ou calculer pgcd(x+y,n)=pgcd(1727,2041) qui vaut 157 Ø Finalement 2041=13*157 (dans cet exemple les essais de divisions auraient été plus rapides, mais cela donne les idées générales ) Ø Dès lors : existe-t-il une méthode pour trouver un carré autrement que par «miracle»? 9
10 Méthode systématique de recherche de carrés Ø C est à M. A. Morrison and J. Brillhart en 1975 que l on doit une méthode systématique, qui (bizarrement) n utilise que de l algèbre linéaire tout à fait élémentaire! Ø En effet tout entier positif peut s exprimer sous la forme d un «vecteur d exposants» donnant les puissances de sa décomposition (unique d après le théorème fondamental de l arithmétique) sur les différents nombres premiers. Ø Ainsi les nombres d un degré de friabilité («smooth») inférieur ou égal à B peuvent s exprimer dans une «base de facteurs» constituée des nombres premiers inférieurs ou égaux à B. Ø Dans notre exemple, les 4 nombres 7-smooth sont représentés par : 75=3*5 2 : (0,1,2,0) 168=2 3 *3*7 : (3,1,0,1) 360=2 3 *3 2 *5 : (3,2,1,0) 560=2 4 *5*7 : (4,0,1,1) 10
11 Méthode systématique de recherche de carrés Ø Maintenant comme le vecteur d exposants d un produit de nombres est la somme des vecteurs d exposants de ces nombres, trouver un carré revient à trouver une somme de vecteurs dont toutes les composantes sont paires! Ø En d autres termes il suffit de conserver les modulo 2 des composantes des vecteurs d exposants et à chercher un ensemble de vecteurs de somme (modulo 2) nulle! Ø Dans notre exemple : 75=3*5 2 : (0,1,0,0) 168=2 3 *3*7 : (1,1,0,1) 360=2 3 *3 2 *5 : (1,0,1,0) 560=2 4 *5*7 : (0,0,1,1) Ø Et l on voit bien que (addition dans Z/2Z) : (0,1,0,0)+(1,1,0,1)+(1,0,1,0)+(0,0,1,1)=(0,0,0,0) 11
12 Méthode systématique de recherche de carrés ( Z / 2Z) 4 et nous Ø Plus formellement, nous avons ici 4 vecteurs de cherchons s il existe 4 coefficients x i de Z/2Z non tous nuls tels que : Ø x 1.(0,1,0,0)+x 2. (1,1,0,1)+x 3. (1,0,1,0)+x 4. (0,0,1,1) =(0,0,0,0) Ø En d autres termes les vecteurs doivent être liés ce qui ici n est pas garanti (4 vecteurs en dimension 4 peuvent être indépendants). Ø Cette relation peut être mise sous forme matricielle (noter la transposition) :! " $! % " x 1 x 2 x 3 x 4 $! = % " $ % 12
13 Méthode systématique de recherche de carrés Ø Pour résoudre ce genre de système on cherche à mettre la matrice sous forme triangulaire (méthode de Gauss) en utilisant :! " Ø Permutation des lignes (=permutation d équations) Ø Combinaison linéaire (ici somme) de deux lignes (somme d équations) $ % L1<->L2! " $ % L4=L4+L2! " $ % L4=L4+L3! " $ % La matrice est donc de rang 3 (4 ème équation triviale) et les solutions sont tous les vecteurs tels que x 1 =x 2 et x 2 =x 3 et x 3 =x 4 soit (0,0,0,0) solution triviale et (1,1,1,1) 13
14 Méthode systématique de recherche de carrés Ø Pour systématiser la procédure, il suffit de : ü Se fixer un seuil de friabilité (revient à limiter la base aux K premiers nombres premiers pour un certain K), ü Explorer les x 2 -N à partir de l entier immédiatement supérieur à N à la recherche d entiers factorisables sur cette base (étape très coûteuse qui sera l objet du «crible» cf. plus loin) ü Dès qu on en a trouvé K+1 on a par conséquent K+1 vecteurs de l espace vectoriel ( Z / 2Z) K (de dimension K), et qui sont donc linéairement dépendants, ü Il existe donc au moins une combinaison linéaire nulle, et (les scalaires étant réduits à 0 et 1) donc une somme de vecteurs nulle. ü Reste à vérifier si l on est dans un cas «intéressant» ou non Noter que dans l exemple nous avons eu un peu de chance : pour être sûr d avoir une combinaison (en dimension 4) il fallait 5 vecteurs, 4 ont suffi. 14
15 Extension aux nombres négatifs Ø On peut aussi inclure les nombres négatifs en explorant les x 2 -N inférieurs à N Ø Pour cela il suffit de rajouter le nombre -1 dans la base de facteurs (qui doit donc aussi être à une puissance paire pour avoir un carré) x x 2 -N Factorisation (-1)* (-1)*3*5* (-1)*2 6 * (-1)* (-1)*(2 3 *3 2 *5) (-1)*3 2 *7 2 Certes cela augmente de 1 la dimension de l espace vectoriel mais cela peut être rentable en fournissant beaucoup d autres nombres 15
16 Exemple de résolution complète Ø Cela donne finalement 9 relations dans un espace de dimension 5 (base : -1, 2, 3, 5, 7) : x x 2 -N Factorisation Vecteur *5*7 (0,0,0,1,1) *3 2 *5 (0,1,0,1,0) *3*7 (0,1,1,0,1) *5 2 (0,0,1,0,0) (-1)*2 4 (1,0,0,0,0) (-1)*3*5*7 (1,0,1,1,1) (-1)*2 6 *3 (1,0,1,0,0) (-1)*(2 3 *3 2 *5) (1,1,0,1,0) (-1)*3 2 *7 2 (1,0,0,1,0) 16
17 Exemple de résolution complète Ø Cet ensemble de vecteurs nous donne donc une fois transposé la matrice suivante : Vecteur (0,0,0,1,1) (0,1,0,1,0) (0,1,1,0,1) (0,0,1,0,0) (1,0,0,0,0) (1,0,1,1,1) (1,0,1,0,0) (1,1,0,1,0) (1,0,0,1,0)! " $ % 17
18 Ø L échelonnement de la matrice en utilisant les deux opérations ci-dessous produit le résultat suivant : Exemple de résolution complète! " $ %! " L1<->L $ %! " L5:=L5+L1+L $ %
19 Le système à résoudre est donc :! " Exemple de résolution complète x 9 =0 x 5 =x 6 +x 7 +x 8 x 3 =x 4 +x 6 +x 7 x 2 =x 4 +x 6 +x 7 +x 8! $ % " x 1 x 2 x 3 x 4 x 5 x 6 x 7 x 8 x 9 $! = " % $ % Ce qui conduit à : x 1 =x 4 +x 7 Où : x 4, x 6, x 7, x 8 peuvent prendre toutes les valeurs possibles soit 0 ou 1 (16 solutions) 19
20 Exemple de résolution complète x 1 x 2 x 3 x 4 x 5 x 6 x 7 x Liste des 16 jeux de valeurs possibles (en rouge : valeurs libres (table de vérité de toutes les valeurs possibles) en bleu : valeurs liées calculées par les équations obtenus grâce à la résolution précédente : x 1 =x 4 +x 7 x 2 =x 4 +x 6 +x 7 +x 8 x 3 =x 4 +x 6 +x 7 x 5 =x 6 +x 7 +x 8 x 9 =0 20
21 On vérifie que l on obtient bien des carrés et on reporte les valeurs de X et Y : x x 2 -N *5* *3 2 * *3* * (-1)* (-1)*3*5* (-1)*2 6 * (-1)*(2 3 *3 2 *5) 9 40 (-1)*3 2 *7 2 Exemple de résolution complète x 1 x 2 x 3 x 4 x 5 x 6 x 7 x 8 X Y *45* *3 2 * *49*47*45* *3 2 *5* *47*43* *3 2 *5* *47*45* *3 2 *5* *44* *3 2 *5* *44* *3*5* *49*45*44*43* *3 3 *5 2 * *49*47* *3 2 *5 2 * *47*46*45* *3 2 *5 2 * *45* *3* *46*43* *3 3 * *46*45* *3*5 2 * *49*46*44* *3 3 *5 3 * *47*46*44* *3 3 *5 2 * *46*45*44*43* *3 3 *5 2 *7 21
22 Exemple de résolution complète Il ne reste plus qu à parcourir les solutions, à la recherche d un cas «intéressant» (en testant la divisibilité de X+Y et X-Y par N), ici 8 cas sur 15 (d une manière générale environ la moitié des cas sont «intéressants» X mod N Y mod N X-Y mod N X+Y mod N pgcd(x-y,n) pgcd(x+y,n)
23 Restriction de la base de facteurs Ø Certains facteurs premiers peuvent être exclus car ne peuvent pas diviser x 2 -N Ø En effet si p divise x 2 -N, on a x 2 =N+k.p (k entier), donc N est un carré (on dit aussi résidu quadratique) modulo p Ø Or certains nombres ne sont pas des carrés modulo p, donc si N est dans ce cas, on peut exclure p de la base des facteurs. Ø Exemples : ü Dans Z/2Z : tous les éléments (0 et 1) sont des carrés ü Dans Z/3Z : 0 et 1 sont des carrés mais 2 ne l est pas (2*2=1) ü Dans Z/5Z : les carrés sont 0, 1, 4 mais 2 et 3 ne le sont pas ü Dans Z/7Z : les carrés sont 0, 1, 2, 4 mais 3, 5 et 6 ne le sont pas ü Dans Z/11Z : les carrés sont 0, 1, 3, 4, 5, 9 mais 2, 6, 7, 8, 10 ne le sont pas ü Dans Z/pZ pour p>2 (donc impair) outre 0 (qui est un carré) il y a (p-1)/2 carrés non nuls et (p-1)/2 non carrés (voir ci-après) 23
24 Résidus quadratiques et symbole de Legendre Ø En effet, pour p premier différent de 2 : ü (p-1)/2 est donc entier ü Z/pZ est un corps son sous groupe multiplicatif est d ordre p-1 (donc pour tout a du groupe a p-1 =1 : théorème de Fermat) ü Par conséquent a (p-1)/2 =±1 ü Ce sous-groupe est cyclique on peut en trouver au moins un générateur, soit g l un quelconque d entre eux, ü Tout élément a non nul de Z/pZ peut donc se mettre sous la forme a=g k où k (0 k p-2) est appelé logarithme à base g de x (nombre modulo p-1 car g p-1 =1 comme pour tout élément) ü Si a est le carré d un élément b de logarithme j, alors a=(g j ) 2 =g 2j le logarithme de a qui vaut 2j modulo p-1 est donc pair car p-1 est pair 24
25 Résidus quadratiques et symbole de Legendre Ø Réciproquement si le logarithme k de a est pair (soit k=2t) alors a=g 2t =(g t ) 2 et est donc bien un carré Ø Un élément non nul de Z/pZ est donc un carré si et seulement si son logarithme (a base n importe quel générateur de (Z/pZ) * ) est pair. Ø La moitié des p-1 logarithmes possibles entre 0 et p-2 est pair Ø Les carrés non nuls de Z/pZ sont donc exactement les (p-1)/2 éléments g k pour k valant 0, 2 p-3 Ø Les p-1 autres éléments sont donc des non carrés Ø Remarque : les générateurs sont donc forcément des non carrés. La réciproque et fausse. Ø Exemple dans Z/7Z : 6 est un non carré (les carrés sont 1, 2 (3 2 ) et 4) et son groupe cyclique est : 6->1 (ordre 2 qui divise 6), donc c est un non carré non générateur (seul exemple dans ce cas car 3 et 5 sont générateurs) 25
26 Résidus quadratiques et symbole de Legendre Ø Maintenant si un élément a est un carré donc de logarithme k=2t a (p-1)/2 =(g 2t ) (p-1)/2 =g p-1 =1 Ø Réciproquement si un élément a de logarithme k est tel que a (p-1)/2 =1 alors (g k ) (p-1)/2 =g k(p-1)/2 =1 donc k(p-1)/2 est congru à 0 modulo p-1 donc k est pair donc a est un carré Ø Un élément non nul de Z/pZ est donc un carré si et seulement si a (p-1)/2 =1 Ø Il en résulte que pour les non carrés a (p-1)/2 =-1 (seule autre valeur possible). 26
27 Résidus quadratiques et symbole de Legendre Ø Conclusion : soit p un nombre premier impair, et a un entier :! a $ Ø Notant " p % (symbole de Legendre) la quantité a (p-1)/2 mod p (signifiant : «a est il un carré modulo p?», le contexte permet d éviter de le confondre avec une simple fraction).! a $ Ø " p % vaut : 1 si a est un carré non nul modulo p -1 si a n est pas un carré modulo p 0 si a est multiple de p (donc 0 modulo p) Pour p=2 tout nombre pair est 0 2 modulo p et tout nombre impair 1 2 modulo p 27
28 Restriction de la base des facteurs : conclusion Ø Pour déterminer la base des facteurs, par conséquent : ü On se fixe un seuil de friabilité ü Pour tous les nombres premiers p impairs inférieurs à ce seuil, on calcule le symbole de Legendre N (p-1)/2 mod p (calculé comme : (N mod p) (p-1)/2 mod p avec l exponentiation rapide). ü S il vaut 1 retenir le facteur, s il vaut -1 l écarter car N n est pas un carré modulo p donc aucun x 2 -N ne peut être divisible par p (s il vaut 0 on a trouvé un facteur!). ü Dans notre exemple : 2041 mod 3=1, 2041 mod 5=1, 2041 mod 7=4 et 4 3 mod 7 =1 donc 3, 5, 7 (ainsi que 2) peuvent être des facteurs. Par contre 2041 mod 11=6 et 6 5 mod 11 =-1, par conséquent 11 devrait être écarté de la base des facteurs si on avait pris un seuil de friabilité >7. Quant à 13 28
29 Identification des nombres friables par criblage Ø C est à Carl Pomerance en 1981 que l on doit une amélioration décisive simplifiant la coûteuse phase d identification des nombres friables. Ø L idée repose sur une généralisation du crible d Erathostène pour l identification des x 2 -N friables sur la base des facteurs. Ø Les x 2 -N étant scannés pour x autour de la racine du nombre N à factoriser, comment trouver ceux qui sont factorisables sur la base des facteurs (et dans ce cas la factorisation associées) sans procéder à des essais de division par les facteurs? x x 2 -N
30 Identification des nombres friables par criblage Ø Etant donné un facteur p de la base, si x 2 -N est divisible par p, alors x est congru modulo p à une racine de N dans Z/pZ (dont on sait qu elle existe car sinon p ne serait pas dans la base). Ø Or il existe des algorithmes efficaces de calculs de racines carrées (Shanks-Tonelli, mais ceci est un autre sujet) : soit r et -r les deux racines carrées de N modulo p (distinctes sauf si p=2) Ø Les x 2 -N divisibles par p sont ceux dont les x sont des représentants de la classe d équivalence de ces deux racines dans la congruence modulo p, qu il est facile de «cribler» dans tout le tableau. x x 2 -N
31 Ø Ø Ø Identification des nombres friables par criblage Pour notre exemple (N=2041) : pour p=2, N modulo p vaut 1 l unique racine est donc 1 et les x 2 -N divisibles par 2 sont ceux qui correspondent à des x impairs. Pour p=3, N modulo p vaut 1 donc les racines sont 1 et -1 et les x 2 -N divisibles par 3 sont ceux qui correspondent à des x non divisibles par 3. Pour p=5, N modulo p vaut 1 donc les racines sont 1 et -1 et les x 2 -N divisibles par 5 sont ceux qui correspondent à des x congrus à 1 ou 4 modulo 5. Ø Pour p=7, N modulo p vaut 4 dont les racines sont 2 et -2 les x 2 -N divisibles par 7 sont ceux qui correspondent à des x congrus à 2 ou 5 modulo 7 Ø (Le facteur -1 de x 2 -N qui a son importance est également identifié) x x 2 -N Facteur -1 X X X X X X Facteur 2 X X X X X X Facteur 3 X X X X X X X X Facteur 5 X X X X X Facteur 7 X X X X 31
32 Identification des nombres friables par criblage Ø Maintenant au lieu de bêtement se borner à cribler, Pomerance propose : ü Pour tout p de la base Pour tout élément dont le x 2 -N identifié comme divisible par p Diviser x 2 -N par la plus grande puissance de p possible garder cette puissance dans la coordonnée correspondante d un vecteur associé à l élément ü Next p x x 2 -N x 2 -N divis Facteur
33 Identification des nombres friables par criblage Ø Maintenant au lieu de bêtement se borner à cribler, Pomerance propose : ü Pour tout p de la base Pour tout élément dont le x 2 -N identifié comme divisible par p Diviser x 2 -N par la plus grande puissance de p possible Garder cette puissance dans la coordonnée correspondante d un vecteur associé à l élément ü Next p x x 2 -N x 2 -N divis Facteur Facteur
34 Identification des nombres friables par criblage Ø Maintenant au lieu de bêtement se borner à cribler, Pomerance propose : ü Pour tout p de la base Pour tout élément dont le x 2 -N identifié comme divisible par p Diviser x 2 -N par la plus grande puissance de p possible garder cette puissance dans la coordonnée correspondante d un vecteur associé à l élément ü Next p x x 2 -N x 2 -N divis Facteur Facteur Facteur
35 Identification des nombres friables par criblage Ø Maintenant au lieu de bêtement se borner à cribler, Pomerance propose : ü Pour tout p de la base Pour tout élément dont le x 2 -N identifié comme divisible par p Diviser x 2 -N par la plus grande puissance de p possible garder cette puissance dans la coordonnée correspondante d un vecteur associé à l élément ü Next p x x 2 -N x 2 -N divis Facteur Facteur Facteur Facteur
36 Identification des nombres friables par criblage Ø Maintenant au lieu de bêtement se borner à cribler, Pomerance propose : ü Pour tout p de la base Pour tout élément dont le x 2 -N identifié comme divisible par p Diviser x 2 -N par la plus grande puissance de p possible garder cette puissance dans la coordonnée correspondante d un vecteur associé à l élément ü Next p x x 2 -N x 2 -N divis Facteur Facteur Facteur Facteur Facteur
37 Identification des nombres friables par criblage Ø Finalement tous les éléments pour lequel les x 2 -N sont devenus 1 (9 dans l exemple), ont été complètement factorisés sur la base des facteurs et la factorisation se lit directement dans le vecteur, dont il suffit de prendre le modulo 1 pour s engager dans la phase d algèbre linéaire décrite plus haut x x 2 -N x 2 -N divis Facteur Facteur Facteur Facteur Facteur
38 Récapitulatif : première étape Ø Reprenons les différentes étapes en illustrant par un exemple plus conséquent : N=87463 Ø On commence par chercher la base des facteurs en calculant pour les premiers nombres premiers (>2) (N mod p) (p-1)/2 mod p (symbole de Legendre). Pour l exemple prenons les nombres premiers jusqu à 29 : p N mod p (p-1)/ (N mod p)^(p-1)/ ,42719E+13 1,82059E+20 (N mod p)^(p-1)/2 mod p NOMBRE! NOMBRE! Ø Même dans cet exemple simple, l exponentiation rapide s avère indispensable 38
39 Récapitulatif : première étape Ø Pour N=87463, calculs de (N mod p) (p-1)/2 mod p (symbole de Legendre) par l exponentiation rapide pour les nombres premiers de 3 à 29 : p (p-1)/ : N mod p : (N mod p)^2 mod p : ((N mod p)^2 mod p)^2 mod p : (((N mod p)^2 mod p)^2 mod p)^2 mod p (N mod p)^(p-1)/ (20 mod 7) (96 mod 19) (221 mod 23 =14) Ecriture binaire de (p-1)/2 : (252 mod 23=22) Ø Les nombres manipulés ne sont jamais beaucoup plus grands que p, et on trouve finalement la table des symboles de Legendre : p N (p-1)/2 mod p Ø Comme -1 et 2 peuvent toujours être retenus comme facteurs (rappel : tout entier est un carré modulo 2), la base de facteurs retenue est donc : -1, 2, 3, 13, 17, 19, 29 39
40 Récapitulatif : deuxième étape Ø N=87453, base de facteurs -1, 2, 3, 13, 17, 19, 29 Ø Deuxième étape : On cherche les racines de N modulo ces facteurs (sauf -1 évidemment), il y en a deux opposées (sauf si p=2 auquel cas elles sont égales). Ø En pratique on cherche la racine de N modulo p (rappel : p est petit) problème pas facile mais il existe des algorithmes efficaces (Shanks-Tonelli). Dans l exemple, la force brute suffit (et peut suffire dans des cas plus grands : les p sont petits et en nombre limité). p N modulo p Racines de N modulo p 1 ±1 ±5 ±7 ±5 ±12 (25-13) (49-34) (25-19) ( ) 40
41 Ø Récapitulatif : troisième étape p Racines de N modulo p 1 ±1 ±5 ±7 ±5 ±12 Cribler en utilisant ces racines, sur un intervalle autour de l entier immédiatement inférieur la racine de n (ici 295) : phase coûteuse nécessite une division par le facteur p pour trouver un représentant d une racine de N modulo p dans l intervalle (les autres se déduisent par simples «décalages»), puis pour chaque x 2 -N identifié comme divisible autant de divisions que possible par p. x x 2 -N x 2 -N divis x x 2 -N x 2 -N divis
42 Récapitulatif : troisième étape p Racines de N modulo p 1 ±1 ±5 ±7 ±5 ±12 x x 2 -N x 2 -N divis x x 2 -N x 2 -N divis x x 2 -N x 2 -N divis
43 Ø Récapitulatif : quatrième étape Bilan : 6 Nombres se factorisent complètement sur la base des facteurs choisie. Phase d algèbre linéaire : espace vectoriel de dimension 7 avec 6 vecteurs, trouver une combinaison linéaire nulle avec coefficients non tous nuls n est pas garanti, cela va dépendre du rang de la matrice x x 2 -N ! " De plus la 6 ème équation imposant x 4 =0, cette dimension (correspondant à x=299) peut être supprimée du problème, ainsi que la sixième équation (correspondant au facteur de base 19). On note alors que les équations 1 et 3 sont identiques et qu on peut donc en supprimer une, idem pour la 4 ème et la 7 ème $ % 43
44 Récapitulatif : quatrième étape Finalement en supprimant une variable et 3 équations reste :! " $ %! "! " $ % $ % La somme des trois premières étant triviale on peut en supprimer une : Enfin remplaçant la troisième par la somme des trois :! " $ % Ce qui donne la matrice échelonnée recherchée. 44
45 ! " Récapitulatif : quatrième étape $ % Pour rappel, le nombre x=299 ainsi que le facteur 19 n ont plus lieu d être donc la base est la suivante : x x 2 -N Les solutions sont donc tous les quintuplets vérifiant x 3 =x 4 +x 5 et x 1 =x 2 =x 4 soit 4 possibilités seulement dont une triviale. x 1 x 2 x 3 x 4 x 5 X Y * * *278*296*307 2*3 4 *13 2 *17* *278*307*316 2*3 6 *13 2 *17*29 45
46 N=87463 Récapitulatif : dernière étape Il ne reste plus qu à rechercher les cas «intéressants» ce qui nécessite le calcul de X-Y mod N et X+Y mod N, si aucun ne vaut 0, les pgcd donnent des facteurs non triviaux. Ici 2 cas sur 3 sont intéressants. X mod N Y mod N X-Y mod N X+Y mod N pgcd(x-y,n) pgcd(x+y,n) =149*587 Deux facteurs premiers très loin d être évidents De plus le degré de superfriabilité le plus faible de p-1 est pour 148 avec un degré 37 (attaque par p-1 Pollard pas très aisée mais réalisable). 46
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