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1 Département de Linguistique CH-1211 Genève 4 Tél Fax FRANÇAIS MODERNE, MODULE AB4 INTRODUCTION A LA LINGUISTIQUE FRANÇAISE 1ERE ANNEE, 2EME SEMESTRE EXAMEN: QUESTIONNAIRE A CHOIX MULTIPLES, 15 JUIN 2004 CORRIGE. NOM:... q Case qui ne doit pas être cochée. Q Case qui doit être cochée Case qui peut être cochée ou ne pas être cochée 1 point par question entièrement correcte. Note au crayon svp, car peut-être pondérée en fonction des résultats globaux. 1. La polyphonie au sens de Ducrot Un énoncé polyphonique manifeste deux voix C est la réponse ci-dessous qui est exacte, mais cette formulation pouvait être trompeuse, puisque dans les exemples observés en cours, il y avait toujours deux énonciateurs. Q Un énoncé polyphonique manifeste une pluralité de voix sous celle du locuteur. Q Un énoncé négatif est polyphonique. q Un énoncé ironique est polyphonique car il est contradictoire avec le contexte. Un énoncé ironique est contradictoire avec le contexte, mais ce n est pas pour cela qu il est polyphonique. Q Un énoncé ironique est polyphonique car il manifeste les pensées de deux énonciateurs. q Tout discours est polyphonique.

2 2. Attitudes propositionnelles, modus, dictum Q Certains verbes, comme croire ou penser sont des verbes d attitude propositionnelle car ils marquent la subjectivité du locuteur. Q Il y a des adverbes qui portent sur l attitude propositionnelle du locuteur. Une modélisation permet d exprimer l attitude propositionnelle du locuteur Bien sûr, c est la modalisation et non la modelisation dont il s agit. Mais c était un piège trop fourbe. q La modalité épistémique concerne la nécessité. Q La modalité déontique concerne la nécessité. 3. Qu est-ce qu une présupposition? Qu est-ce qu une implication? q Une présupposition est un énoncé qui présuppose de l information. Une présupposition n est pas un énoncé. Q Une présupposition est une information nécessaire pour que l énoncé fasse sens. Q Une présupposition est toujours vraie, que l énoncé soit asserté ou nié. q Une présupposition est vraie si l énoncé est asserté, mais fausse s il est nié. q Une présupposition est un type particulier d implication. Certains considèrent que la présupposition est un type particulier l implicature, mais non pas d implication. q Une implication est toujours vraie, que l énoncé soit asserté ou nié. q Une implication est une implicature. 4. La théorie de Weinrich Q Pour Weinrich, les types de textes se distinguent entre monde raconté et monde commenté. q Pour Weinrich, les types de textes de distinguent entre récit et histoire. q Pour Weinrich, le passé simple est typique du monde commenté. q Pour Weinrich, le passé composé est typique du monde raconté. q Pour Weinrich, le monde raconté implique une tension soutenue et le monde commenté une tension relâchée. Q Pour Weinrich, le monde raconté implique une tension relâchée et le monde commenté une tension soutenue. 5. Différence phrase énoncé Q Un énoncé est une occurrence particulière d une phrase dans un discours / contexte donné. q Un énoncé est assorti d une signification. Q Une phrase est assortie d une signification. Q Un énoncé est assorti d un sens. q Une phrase est assortie d un sens. q L étude de la phrase relève de la pragmatique. 2

3 q L étude de l énoncé relève de la sémantique. 6. La sui-référence. Quelles sont, parmi les phrases suivantes, celles qui sont correctes? q L énoncé est sui-référentiel car il réfère toujours au monde. q L énoncé est sui-référentiel car il réfère toujours au locuteur lui-même. q Le locuteur est sui-référentiel car il réfère toujours à lui-même. Q L énoncé est sui-référentiel car il réfère toujours à lui-même. q Les énoncés ne sont pas sui-référentiels. Ce sont les phrases qui sont sui-référentielles. Q L énoncé est sui-référentiel car il communique de l information à son propre sujet. q La phrase est sui-référentielle car elle communique de l information à son propre sujet. 7. Le modèle du code Q C est un modèle de la communication dans lequel la communication est assurée par un code partagé par les interlocuteurs. Q La communication entre les interlocuteurs peut échouer s il y a un bruit au niveau de la transmission par le canal qui achemine le message. Q Le modèle du code a été élaboré par Jakobson. q Le modèle du code a été élaboré par la théorie de la pertinence. q Le modèle du code correspond au modèle hiérarchique de Roulet. q Le code, dans toutes les versions du modèle du code, est purement linguistique. Q Le modèle du code peut faire intervenir également des codes non linguistiques. 8. Les implicatures conversationnelles q Une implicature conversationnelle est une information automatiquement déclenchée par une expression linguistique donnée. Q Une implicature conversationnelle est une information implicite. Q Une implicature conversationnelle est une implicature découverte sur la base de conventions d usage du langage. Q Le respect ou la violation d une maxime conversationnelle peut produire une implicature conversationnelle. q Le principe qui sous-tend les maximes conversationnelles est le principe de pertinence. Q Le principe qui sous-tend les maximes conversationnelles est le principe de coopération. q Le principe qui sous-tend les maximes conversationnelles est la condition de félicité. q Les implicatures conversationnelles ne sont pas défaisables sans produire une contradiction. 3

4 9. Quels sont les principes à la base de la théorie de la pertinence de Sperber & Wilson? Q La théorie de la pertinence considère que les maximes conversationnelles se réduisent à un seul principe, le principe de pertinence. q Tout énoncé communique la présomption de sa pertinence minimale. Q Tout énoncé communique la présomption de sa pertinence optimale. q Un énoncé est plus pertinent lorsqu il permet d obtenir un maximum d effet pour un maximum d effort. Q Un énoncé est plus pertinent lorsqu il permet d obtenir un maximum d effet pour un minimum d effort. Q Pour obtenir les effets voulus par le locuteur, le destinataire doit enrichir l énoncé à l aide d informations tirées de son environnement cognitif. q Le contexte est équivalent à la situation dans laquelle se déroule l énonciation. Q Les implicatures sont déduites à l aide de prémisses explicites et implicites. 10. Les expressions procédurales Une expression procédurale est un concept susceptible d entrer dans une procédure de raisonnement. La formulation pouvait induire en erreur. Mais une expression procédurale n est pas un concept puisque les expressions procédurales s opposent aux expressions conceptuelles. Q Les expressions procédurales sont grosso modo équivalentes aux expressions «instructionnelles» de Ducrot. Q Les déictiques sont des expressions procédurales. q Les verbes sont des expressions procédurales. Q Les pronoms sont des expressions procédurales. Q Les expressions procédurales encodent des procédures de compréhension. 11. Parmi les énoncés suivants, cochez ceux qui sont performatifs (Austin) : On parle des phrases qui comportent un verbe performatif à la première personne, c est à dire que l énoncé, lorsqu il est prononcé, suffit à réaliser l action décrite. Ainsi, «je te promets» réalise la promesse, mais «je suis content» ne réalise pas le contentement. Par la suite, tout énoncé sera envisagé comme acte de langage, mais non plus comme «performatif». q Je suis content de vous voir. Q Je déclare ouvertes les 23èmes olympiades. q Je pense que vous avez raison. Q Je te promets de venir. Q Je te baptise, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, Amen. q Paul jura de dire la vérité, rien que la vérité. Q Je t assure que Max sera de la partie. 4

5 12. L approche d Austin des actes illocutoires q Un acte illocutoire est un énoncé évaluable en termes de vérité et de fausseté. Q Un acte illocutoire est un énoncé qui n est pas évaluable en termes de vérité et de fausseté. Q Un acte illocutoire est un acte de langage qui peut être heureux ou malheureux. q Un acte illocutoire est un acte qui consiste à signaler un acte de langage. q L acte illocutoire est le fait de dire quelque chose. 13. Qu est-ce que le principe d exprimabilité de Searle? q C est un principe qui pose que tout acte de langage exprime une pensée. q C est un principe qui pose que tout acte de langage direct peut s exprimer par un acte de langage indirect. Q C est un principe qui pose que toute pensée est exprimable par une forme linguistique appropriée. C est un principe qui pose que tout acte de langage indirect peut s exprimer par un acte de langage direct. C est là une conséquence du principe, ce n est pas le principe lui-même. Toutefois, comme c est cette conséquence qui a été évoquée en cours, cette case ne compte pas si elle est cochée. 14. Searle et l acte de langage indirect q Un acte de langage indirect est un moyen non conventionnel de réaliser des intentions. Q Un acte de langage indirect est un acte de langage implicite. q Un acte de langage indirect est un acte de langage secondaire, réalisé par l intermédiaire d un acte de langage primaire. Q Un acte de langage indirect est un acte de langage primaire, réalisé par l intermédiaire d un acte de langage secondaire. 15. Le modèle hiérarchique de Roulet Q Selon ce modèle, la conversation est analysable en constituants, eux-mêmes analysables en constituants de rang inférieur. Q Les principes qui sous-tendent ce modèle sont l analyse en constituants et sousconstituants, le principe de segmentation et le principe de clôture. q Le modèle hiérarchique s appuie sur les travaux de Goffman, qui montre que la conversation n est pas régie par des règles de nature conventionnelle. Q Le modèle hiérarchique s appuie sur les travaux de Goffman, qui montre que la conversation est régie par des règles de nature conventionnelle. Q Les échanges d ouverture et de clôture ont pour fonction de confirmer l existence des relations sociales entre les interlocuteurs. 5

6 16. Usage métalinguistique q Un usage métalinguistique est un usage dans lequel l expression porte sur le contenu des énoncés. Q Un usage métalinguistique est un usage dans lequel l expression porte sur l énonciation. q Un usage métalinguistique est un usage dans lequel l expression porte sur le locuteur. q Un usage métalinguistique est un usage dans lequel l expression porte sur la linguistique. 17. Parmi les énoncés suivants, cochez ceux dans lesquels l expression en gras est en usage métalinguistique : q Jean s est cassé la jambe parce qu il est tombé à ski. q Jean s est cassé la jambe parce qu il était distrait. Q Jean s est cassé la jambe parce qu il a la jambe dans le plâtre. q Jean s est cassé la jambe parce qu il y avait une couche de glace Q Jean n a pas arrêté de fumer, puisqu il n a jamais fumé. Jean n a pas arrêté de fumer, puisqu il fume toujours Cet énoncé peut être vu comme ambigu. 18. Parmi les énoncés suivants, cochez ceux dans lesquels l expression en gras est en usage métalinguistique (idem) : q Je ne suis pas en train de couper la viande, mais les pommes de terre. Q Je ne suis pas en train de couper le viande, mais la viande. q On sait qu ils se voient souvent, maintenant ils se voient même tous les jours. Q On sait qu ils se voient souvent, maintenant, on ne sait pas s ils sont amants. Q D abord, je ne suis pas un menteur, ensuite mêlez-vous de vos affaires. Q D abord, je ne suis pas un menteur, ensuite mêlez-vous de vos affaires. 6

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