Correction - TD n 17 - Diffraction

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Correction - TD n 17 - Diffraction"

Transcription

1 Correction - TD n 17 - Diffraction 1 Application directe A FAIRE PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

2 2 Diffraction par une fente PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

3 PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

4 3 Devinette En utilisant les résultats du cours, on peut déduire directement de la figure de diffraction que la pupille diffractante correspond à deux ouvertures rectangulaires identiques : Chaque ouverture rectangulaire donne lieu à la même figure de diffraction en croix, avec PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

5 une tache centrale de largeur : On en déduit donc que : L l = 2λf b 2λf h b = 2λf L = m = 0.110mm h = 2λf = m = 0.112mm l De plus, la présence de deux ouvertures éclairés par une seule source donne lieu à un phénomène d interférence en lumière cohérente. La direction des centres des ouvertures est orthogonale à la direction des franges d interférence obtenues sur l écran. De plus, l interfrange est donné par : i = λf a où a est la distance entre les centres des ouvertures, et on en déduit donc que : a = λf = 0.27mm i en mesurant sur la figure de diffraction i l 5. La pupille diffractante est représentée sur la figure ci-dessous. a b h PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

6 4 Diffraction par des fentes d Young PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

7 5 Diffraction de Fraunhofer par un prisme de petit angle 1. D après les lois de Descartes de la réfraction : les rayons ne subissent pas de déviation sur le premier dioptre (face d entrée du prisme) ; les rayons ont un angle d incidence de α sur le deuxième dioptre (face de sortie du prisme), d où un angle de réfraction r tel que n sin (α) = n air sin (r) (loi de la réfraction de Descartes). Comme α 1, on a aussi r 1 et nα n air r. Les rayons émergents du prisme font ainsi un angle β = r α = Oz. ( ) n 1 α avec l axe n air 2. On se place maintenant dans le cadre de la diffraction (notamment, on n a pas forcément n sin (α) = n air sin (r) car on travaille dans un cadre plus général que l optique géométrique). a) Le rayon frappant le prisme au point P d abscisse x traverse une épaisseur de verre : e (P ) = tan (α) X αx. L amplitude de l onde diffractée dans une direction θ correspondant à M donné s écrit : s 0 (M) = C te P Σ e jk 0(SP M) dσ P avec (SP M) = (SP ) + n e (P ) + (QM). Or dans une situation sans prisme (ss.pr.) mais avec seulement une fente, on aurait : (P M) ss.pr. n air e (P ) + (QM). P M ; Justification : (P M) ss.pr. = n air P Q + (Q M) où Q est le projeté orthogonal de Q sur de plus, P Q = e(p ) cos(θ) e (P ) avec θ 1 ; enfin, (Q M) = (QM). On en déduit (SP M) = (SP ) + (P M) ss.pr. + (n n air ) e (P ) puis s 0 (M) = C te P Σ e jk 0(n n air )e(p ) e jk 0((SP )+(P M) ss.pr. ) dσp 2π j (n n d où la fonction de transparence du prisme : t (X) ˆ= e λ air )αx 0 (on se ramène ainsi au cas d une ouverture diffractante plane affectée d une certaine fonction de transparence). b) Dans le cadre de la diffraction de Fraunhofer, l amplitude de la vibration correspondant à l interférence des ondelettes émises par les sources secondaires de l ouverture diffractante s écrit, dans la direction θ du plan Oxz : s 0 (θ) = s og ab a X=0 t (X) ejk(θ 0)X dx b 0 dy = s og a a s 0 (θ) = sog a a X=0 ejk 0ΘX dx = s og 1 jk 0 Θ a X=0 ejk 0(n air θ (n n air )α)x dx ( ) e jk0θa 1 avec Θ = n air θ (n n air ) α e s 0 (θ) = s jk 0 Θa/2 og k 0 Θ a/2 ejk 0 Θa/2 e jk 0 Θa/2 2j = s og e jk0θa/2 sinc ( k 0 Θ a ) 2. On en déduit "l éclairement diffracté" dans la direction θ via I = s 0 (M) s 0 (M) : ( I = I max sinc 2 π (n air θ (n n air ) α) a ) λ 0 PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

8 c) Si a λ 0 alors I = I max pour θ β = résultat de l optique géométrique. 6 Figures de diffraction à l infini ( ) n 1 α et I = 0 sinon : on retrouve le n air 1. Le dispositif est celui du cours dans le cas des conditions de Fraunhofer (source dans le plan focal objet d une première lentille, et écran dans le plan focal image de la lentille de projection). 2. Les trois figures correspondent à différentes expériences des trous d Young : la tache d Airy montre que les ouvertures sont circulaires, et la présence de franges regulières verticales atteste d un phénomène d interférence à 2 ondes. Le diamètre de la tache centrale correspond à : d = 1.22 λf où R est le rayon des ouvertures. R De plus, l interfrange est donné par : i = λf où a est la distance entre les trous. a Dans les figures a), b) et c) on mesure respectivement d 6i, d 3i et d i. On peut en déduire les résultats suivants présentés dans la figure ci-dessous. a = 6R a = 3R a = R La pupille de diffraction est toujours percée de trous circulaires d après les anneaux de diffraction. Cependant, deux trous ne peuvent expliquer la formation des franges d interférences en carré. Afin d obtenir des franges suivant les deux directions du plan d observation, il faut donc une pupille s apparentant à deux dispositifs de trous d Young orthogonaux. PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

9 En fait, cette figure de diffraction correspond à quatre trous identiques placés au sommet d un carré. 7 Ecrans complémentaires PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

10 Ceci permet de comprendre pourquoi la figure de diffraction d un cheveu est indentique à celle obtenue avec une fente fine. 8 Diffraction et symétrie Il est facile de montrer que la figure de diffraction est elle-même symétrique par rapport à l axe (Ox) en utilisant une transparence complexe t(p ) paire dans l expression du principe d Huygens Fresnel. 9 Détermination du pas d un réseau, mesure d une longueur d onde PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

11 10 Minimum de déviation PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

12 11 Caractérisation et capacité d un Compact Disc (CD) Un CD peut contenir un grand volume d information numérique (codé en binaire : ) enregistré sur un sillon en forme de spirale creusé sur la surface du disque. Localement, ce sillon peut être vu comme un réseau (fentes rectilignes parallèles, voir photo). C est donc la diffraction de la lumière par la structure en surface du CD qui est à l origine des irisations de couleur qui s expliquent dans le cadre de l optique ondulatoire. Il ne faut pas les confondre avec les irisations obtenues avec un prisme ou des gouttes d eau (arc-en-ciel) qui s expliquent dans le cadre de l optique géométrique par les lois de la réfraction et le pouvoir dispersif du milieu : dépendance de l indice avec la longueur d onde (loi de Cauchy : n(λ) = A + B/λ 2 ). x/2 d laser θ CD -x/2 Figure 1: Dispositif pour mesurer le pas a de la spirale d un CD. Le dispositif utilisé pour mesurer le pas a de la spirale du réseau est schématisé ci-dessus. En incidence, la formule du réseau s écrit sin θ = pλ/a où p est l ordre. L angle θ s exprime en fonction de la distance x mesurée entre les ordres 1 et 1 (attention on ne peut pas faire l approximation des petits angles), le pas du réseau s écrit alors : ( d 2 a = λ x) La mesure est d autant plus précise que les spots diffractés sont petits pour cela le spot laser doit éclairer sur le CD beaucoup de pas de la spirale (pouvoir de résolution du réseau R = Np), mais pas trop pour que le rayon de courbure de la spirale (quelques centimètres) soit négligeable. Ainsi, une tâche du laser sur le CD de l ordre du millimètre donne une bonne précision de mesure. On déduit des mesures que le pas de la spirale d un CD est de 1, 58µm en très bon accord avec la vue obtenue au microscope à force atomique (microscope à champ proche permettant de visualiser la topologie d une surface à l aide d une pointe montée sur un microlevier scannant la surface à interactions constantes). La capacité d un CD est le nombre de bits enregistrables. Il est égal à longueur de la spirale du sillon divisée par le pas b entre 2 bits. Or, d après la vue au microscope à force atomique b est de l ordre du micromètre et la longueur de la spirale est donnée par la surface enregistrable π(r2 2 r2 1 ) divisée par le pas a (penser au bonbon réglisse), soit : N bit = 8 N octet = π(r2 2 r2 1 ) ab PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

13 En prenant les dimensions d un CD, on obtient un capacité de l ordre de 1Go correspondant bien à celle indiquée sur un CD (800Mo). Enfin, Le nombre d ordres observables est donné par le fait que le sinus est borné entre 1 et 1 soit 5 ordres : 2, 1, 0, 1, 2 dans le cas proposé. D après la deuxième mesure, le pas d un DVD est deux fois plus petit a = 0.72µm, c est pourquoi il a une capacité 5 6 fois plus grande que le CD en supposant que le pas b est aussi 2 à 3 fois plus petit. Pour réussir à graver et à lire un disque, il faut que la taille du spot laser qui balaie le sillon du CD soit inférieure aux pas a et b. Ces tailles étant de l ordre de la longueur d onde, on atteint les limites technologiques de l optique dues à la diffraction qu on peut considérer comme proportionnelle à λ. Ainsi, pour augmenter la capacité des disques, il faut des pas plus petits et donc utiliser des diodes-lasers de longueur d onde plus faible. L évolution historique de la capacité des disques a suivi celle des diodes lasers, au début on ne savait fabriquer que des diodes de grandes longueurs d onde ce qui a donné la technologie CD d une capacité de 800Mo (longueur d onde : 780nm), puis le DVD de 5Go (635nm) et récemment le Blu-ray Disc de 25Go (405nm utilisant un doubleur de fréquence). 12 Apodisation 1. a) Le principe de Huygens-Fresnel stipule qu une ouverture ("ouverture diffractante" ou "pupille diffractante" ou "diaphragme") éclairée par une source primaire ponctuelle et monochromatique peut se décomposer en surfaces élémentaires se comportant comme des sources secondaires cohérentes émettant des ondes sphériques dont l amplitude est proportionnelle à l amplitude de l onde incidente et à chaque surface élémentaire. b) La diffraction de Fraunhofer peut être considérée comme le cas particulier où la source S et le point d étude M sont situés à l infini par rapport à l ouverture diffractante ("diffraction à l infini"). Pour observer la figure de diffraction à l infini d une fente fine de largeur a, on peut utiliser un montage avec 2 lentilles (la source étant dans le plan focal objet de la première et l écran dans le plan focal image de la deuxième). La figure obtenue sur l écran se trouve selon une direction perpendiculaire à la fente et est constituée d une tache centrale de largeur angulaire 2 λ a (largeur sur l écran : 2 λ a f 2 ), ainsi que de taches secondaires ("pieds"). Dans le cadre de la diffraction de Fraunhofer, l amplitude de la vibration correspondant à l interférence des ondelettes émises par les sources secondaires de l ouverture diffractante s écrit : s 0 (M) = sog Σ P Σ ejk((α d α i )X+(β d β i )Y ) dσ P La source se trouvant sur l axe optique, on a α i = 0 et β i = 0. De plus, b a implique que I 0 seulement pour β d = 0. Avec α α d, on a s 0 (α) = s og ab a/2 X= a/2 ejkαx dx b/2 Y = b/2 dy soit s 0 (α) = s og e jkαa/2 jkα d a ( e jkαa/2 e jkαa/2 ) = s og e jkαa/2 sinc ( kα a 2 d où I (M) = s 0 s 0 : I (α) = I maxsinc 2 ( πa λ α ) avec I max = s og s og. Notamment, on retrouve le fait que la figure obtenue est constituée d une tache centrale de largeur angulaire 2 λ πa a (annulation de I (α) pour λ α = ±π), ainsi que de taches secondaires. c) Un déplacement x S de la source revient à changer α en α α S (notamment, I (α s ) = I max ) : ) PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

14 ( ) πa I = I max sinc 2 λ (α α s) La figure de diffraction est donc seulement translatée, son centre correspondant à l image géométrique de la nouvelle source. Remarque : la démonstration plus complète consiste à considérer : s 0 (M) = K P Σ e jk 0(SP ) e jk 0(P M) dσ P = C te ( kd P Σ ej ) k i. OP dσ P = s OG Σ P Σ ejk(α αi)x dσ P. 2. a) La limite de résolution d un instrument est la distance angulaire limite entre deux objets pour que les deux images soient discernables. Selon le critère de Rayleigh, le "bord" de la tâche de diffraction (premier minimum) d une image correspond alors au centre (maximum) de l autre. La distance angulaire des images géométriques est alors α = λ a ( 1, 22 s il s agit d ouvertures circulaires de diamètre a). b) Dans le cas de l oeil, l ouverture diffractante est la pupille, avec a = 2, 0 mm de diamètre. Avec λ 0, 6 µm (le domaine visible correspond à [0, 4; 0, 8] µm), on obtient une limite de résolution de l oeil d environ rad = 2 (par exemple, on peut distinguer au mieux un intervalle de 1 mm à une distance de 2 m). Remarque : la rétine étant à 1, 5 mm de la pupille, la distance entre 2 images rétiniennes à la limite de séparation angulaire est de 7, 5 µm ; or la taille d un cône est d environ 3 µm : on peut donc tout juste placer trois cônes (rouge, vert, bleu) dans cet intervalle. Ainsi, l évolution naturelle s est adaptée au mieux à la limite de résolution imposée par la diffraction de la pupille. 3. a) Pour une lame absorbante de coefficient de transmission t(x), l amplitude diffractée est : s 0 (α) = K P Σ t (X) ejkαx dσ P = K e 2 X /a e jkαx dx s 0 (α) = K 0 e( 2 a +j 2π λ α)x dx + K 0 e ( 2 a +j 2π λ α)x dx ( s 0 (α) = K 1 2 a +j 2π λ α 1 lim X e2 X a e j 2π λ )+K αx 1 s 0 (α) = K 1 2 a +j 2π λ α (1 0) + K 1 s 0 (α) = K 2 a j 2π λ α ( 2 a j 2π α) λ = K a ( a) 2 2 +( 2π λ α)2 2 a +j 2π λ α (0 1) = K ( 1+( 2π a λ 2 α)2 2 a +j 2π λ α ( lim X + e 2 X a ) 1 2 a +j 2π λ α 1 2 a +j 2π λ α On en déduit l intensité diffractée : I(α) = s 0 s 0 = K 2 a 2 ( 1 + ( πa λ α) 2 ) 2 ) e j 2π λ αx 1 Ainsi, I max = K 2 4d 2 (obtenu pour α = 0, correspondant d ailleurs à l image de ( ( ) 2 2 l optique géométrique) et I = I max 4 pour α 1/4 tel que 1 + πa λ 1/4) α = 4 soit α 1/4 = λ πa. La figure de diffraction a donc une largeur angulaire au quart de la hauteur de 2α 1/4 = 2 λ πa. b) On compare ci-dessous les figures de diffraction obtenues pour une fente dont le coefficient PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

15 de transmission t(x) est discontinu (fente classique, courbe en pointillés) ou continu (t(x) = e 2 X /a, courbe en traits pleins). Remarque : on a une même hauteur de pic principal. Lorsque t(x) est continu, les maxima secondaires ("pieds") sont atténués (voire supprimés ici) : on parle d apodisation (figure du haut : cas d une source à l infini, une étoile simple par exemple). L intérêt de l apodisation est par exemple la mise en évidence d un astre situé proche d une étoile brillante (deuxième étoile, planète...), donnant une intensité beaucoup plus faible pouvant être confondue avec des maxima secondaires de l étoile brillante. Ainsi, la figure du bas correspond à une deuxième étoile écartée de α S = 1, 3 λ a et de luminosité égale à 5% de celle de l étoile principale ; la présence de la deuxième étoile est douteuse avec une fente classique de transmission discontinue (courbe en pointillés), indubitable avec la fente de transmission continue utilisée ici (courbe en traits pleins). Intensité Intensité étoile seule αa/λ étoile double t(x) b=a/ x/a αa/λ 13 Holographie A FAIRE PSI - Année 2010/ Lycée Paul Eluard

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques ÉCOLE POLYTECHNIQUE FILIÈRE MP Option Physique et Sciences de l Ingénieur CONCOURS D ADMISSION 2010 COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR (Durée : 4 heures) L utilisation des calculatrices

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Pour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction

Pour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction Compétences exigibles au baccalauréat Savoir que l'importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d'onde aux dimensions de l'ouverture ou de l'obstacle. Exercice 19 p : 78 Connaître

Plus en détail

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

SOMMAIRE. TP "Avancés" TP "Classiques"

SOMMAIRE. TP Avancés TP Classiques CATALOGUE 20 009 SPECIAL TRAVAUX PRATIQUES SOMMAIRE TP "Avancés" Effet Pockels et Modulation Electro-Optique p.3 Effet et Modulation Acousto-Optique p.4 Caractéristiques Electriques et Optiques d une Diode

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

Travauxpratiqueset stage d observation

Travauxpratiqueset stage d observation Travauxpratiqueset stage d observation Coursdu Prof J. Surdej SPAT0037-1 (Observation du Ciel et de la Terre) ASTR0004-2 (Astrophysique et techniques spatiales) Encadrants: O. Absil, M. Devogèle, O. Wertz

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm? Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Repérage d un point - Vitesse et

Repérage d un point - Vitesse et PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne) Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de

Plus en détail

Étoiles doubles par Interférométrie des tavelures au T60 du pic du midi

Étoiles doubles par Interférométrie des tavelures au T60 du pic du midi Étoiles doubles par Rappels historiques Analyse Harmonique : la transformée de Fourier FOURIER, Jean Baptiste Joseph (21 Mars 1768, Auxerre, France - 16 Mai 1830, Paris, France) Expérience des trous d

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

Colonnes de signalisation

Colonnes de signalisation COLONNES LUMINEUSES Ø 7 5 Ø 7 compactes à diodes Avantages : Solution complète prête à être raccordée Faible hauteur de montage Durée de vie des diodes extrêmement longue (au moins 70.000 h) et donc pratiquement

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Interférences et applications

Interférences et applications Interférences et applications Exoplanète : 1ère image Image de la naine brune 2M1207, au centre, et de l'objet faible et froid, à gauche, qui pourrait être une planète extrasolaire Interférences Corpuscule

Plus en détail

Mesure d angles et trigonométrie

Mesure d angles et trigonométrie Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi

Plus en détail

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants & INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes M. Aubert To cite this version: M. Aubert. Famille continue de courbes terminales du spiral

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban

GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban Gabriel Cormier, Ph.D., ing. Université de Moncton Hiver 2012 Gabriel Cormier (UdeM) GELE5222 Chapitre 9 Hiver 2012 1 / 51 Introduction Gabriel Cormier (UdeM)

Plus en détail

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R. Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES SCIENTIFIQUES SUR SYSTÈME

TRAVAUX PRATIQUES SCIENTIFIQUES SUR SYSTÈME Baccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie SOUS - EPREUVE E12 TRAVAUX PRATIQUES SCIENTIFIQUES SUR SYSTÈME Durée 3 heures coefficient 2 Note

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Chapitre 1 Cinématique du point matériel

Chapitre 1 Cinématique du point matériel Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)

Plus en détail

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Deux disques dans un carré

Deux disques dans un carré Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

2014-2015 TRAITEMENT DES PHOTOS A.D.S.B. COURS INFORMATIQUE GARCIN Robert

2014-2015 TRAITEMENT DES PHOTOS A.D.S.B. COURS INFORMATIQUE GARCIN Robert 2014-2015 A.D.S.B TRAITEMENT DES PHOTOS COURS INFORMATIQUE GARCIN Robert 2 Leçon N 1 Généralités Avant de commencer le cours sur la Traitement des photos numériques, il est bon de rappeler quelques principes

Plus en détail

"La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs" Walter Scott Houston

La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs Walter Scott Houston "La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs" Walter Scott Houston F.Defrenne Juin 2009 Qu est-ce que la collimation en fait? «Newton»? Mais mon télescope est

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est

Plus en détail

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2 Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est: Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Intégrales doubles et triples - M

Intégrales doubles et triples - M Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5

Plus en détail

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire

Plus en détail

Cours Fonctions de deux variables

Cours Fonctions de deux variables Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté

Plus en détail

TP Modulation Démodulation BPSK

TP Modulation Démodulation BPSK I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples 45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire 2010-2011 Faculté de physique LICENCE SNV L1 EXERCICES DE PHYSIQUE Par Année universitaire 2010-2011 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE: GÉNÉRALITÉS ET MIROIR PLAN Ex. n 1: Citer quelques systèmes optiques, d'usage courant. Ex.

Plus en détail

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement

Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Chapitre 2 : étude sommaire de quelques instruments d optique 1 Grandeurs caractéristiques des instruments d optique Grossissement Puissance Pouvoir de résolution ou pouvoir séparateur Champ 2 l œil comme

Plus en détail

LA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE

LA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau

Plus en détail

Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice 1 5 points 1. Réponse d. : 1 e Le coefficient directeur de la tangente est négatif et n est manifestement pas 2e

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Partie Agir : Défis du XXI ème siècle CHAP 20-ACT EXP Convertisseur Analogique Numérique (CAN)

Partie Agir : Défis du XXI ème siècle CHAP 20-ACT EXP Convertisseur Analogique Numérique (CAN) 1/5 Partie Agir : Défis du XXI ème siècle CHAP 20-ACT EXP Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Objectifs : Reconnaître des signaux de nature analogique et des signaux de nature numérique Mettre en

Plus en détail