BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 52 du 26 novembre PARTIE PERMANENTE État-Major des Armées (EMA) Texte 3

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 52 du 26 novembre PARTIE PERMANENTE État-Major des Armées (EMA) Texte 3"

Transcription

1 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 52 du 26 novembre 2015 PARTIE PERMANENTE État-Major des Armées (EMA) Texte 3 INSTRUCTION N 294/DEF/EMA/CIE relative à l'organisation et aux principes de fonctionnement du commandement interarmées de l espace. Du 15 septembre 2015

2 ÉTAT-MAJOR DES ARMÉES : sous-chefferie «performance» ; bureau «organisation». INSTRUCTION N 294/DEF/EMA/CIE relative à l'organisation et aux principes de fonctionnement du commandement interarmées de l espace. Référence : Du 15 septembre 2015 NOR D E F E J Arrêté du 7 juillet 2010 (JO n 163 du 17 juillet 2010, texte n 32 ; signalé au BOC 37/2010 ; BOEM ). Textes abrogés : Instruction n 727/DEF/EMA/ESMG/NP du 9 juillet 2010 (n.i. BO). Instruction n 878/DEF/EMA/ESMG/ORG/NP du 1er février 2011 (n.i. BO). Classement dans l'édition méthodique : BOEM Référence de publication : BOC n 52 du 26 novembre 2015, texte 3. Préambule. Le libre accès et l utilisation de l espace sont des conditions de l autonomie stratégique nationale. Ils sont garantis par le maintien et le développement de capacités technologiques dont dépendent la réactivité, l efficacité et la qualité de notre outil de défense. Au regard de l importance des services et des missions auxquels pourvoient les moyens spatiaux, préserver la liberté d accès et d utilisation de l espace constitue un enjeu majeur pour la défense. L espace joue par ailleurs un rôle croissant dans l acquisition et la conservation de la supériorité opérationnelle sur des adversaires potentiels. Dans ce contexte, suivre et maîtriser la situation spatiale est essentiel pour se prémunir des risques et menaces susceptibles d affecter (1) les capacités spatiales de défense et pour optimiser leur intégration à la planification et à la conduite des opérations en vue de favoriser l action des forces. Afin d assurer la prise en compte de l espace comme milieu stratégique, catalyseur de force et domaine capacitaire, la doctrine, les opérations et les programmes spatiaux sont placés sous la responsabilité d un commandement interarmées identifié et dédié, le commandement interarmées de l'espace (CIE), organisme interarmées relevant du chef d'état-major des armées (CEMA). Déclinée de l arrêté du 7 juillet 2010, la présente instruction fixe les principes d organisation et de fonctionnement du CIE. Une note interne, rédigée par l'officier général commandant le CIE (GCIE) et actualisée en tant que de besoin, décline la présente instruction d organisation et en précise son fonctionnement. 1. MISSIONS. L action du CIE porte sur l ensemble des capacités spatiales (2) utilisées par la défense, qu elles soient patrimoniales, duales ou commerciales. Le CIE élabore la politique spatiale militaire pour le CEMA et contribue à sa mise en œuvre.

3 À ce titre : - il représente l'état-major des armées (EMA) pour l'élaboration et la conduite des coopérations européennes, internationales et multilatérales dans le domaine spatial militaire ; - il participe à l expression du besoin opérationnel et contribue à la conception et à la mise en œuvre de la stratégie d acquisition des capacités spatiales de défense ; - il commande les capacités spatiales militaires françaises et coordonne l'emploi des moyens nécessaires ; - il contribue à la maîtrise de l'environnement spatial et au respect par l'état français de ses engagements internationaux dans le domaine spatial. Il peut aussi apporter son concours à l'ensemble des organismes du ministère de la défense ou au profit d'organismes extérieurs au ministère pour l'exercice des missions d'intérêt général nécessitant son intervention. Le contenu des missions du CIE est décrit dans l arrêté du 7 juillet SUBORDINATION ET ATTRIBUTIONS Subordination. Le CIE, organisme interarmées relevant du CEMA, est placé sous l autorité du major général des armées (MGA). La tutelle du CIE est exercée par le sous-chef opérations (SC OPS) de l EMA au nom du MGA. Le CIE travaille : - au profit du SC OPS de l EMA pour la contribution des systèmes spatiaux à la planification et à la conduite des opérations militaires ; - au profit du sous-chef plans (SC Plans) de l EMA pour la mise en place de nouvelles capacités spatiales ; - selon les directives de l officier général chargé des relations internationales militaires (OGRIM) en matière de coopération spatiale. À ce titre, le CIE intervenant dans les domaines de responsabilité respectifs des sous-chefs de l EMA et de l OGRIM pour ce qui a trait à l utilisation militaire de l espace, le SC OPS veille à la coordination de son action avec le SC Plans et l OGRIM. Le CIE est commandé par un officier général. Son positionnement hiérarchique et fonctionnel traduit la pluralité des missions du CIE, qui relèvent à la fois de la protection, de l emploi et de la coordination des moyens spatiaux, du recueil du besoin et de la préparation de l avenir ainsi que des coopérations et de la politique spatiale Attributions. Le GCIE est le conseiller du CEMA dans le domaine de l utilisation de l espace par les forces armées. À ce titre, il est le point d entrée unique pour toute question relative à l espace extra-atmosphérique relevant du domaine de compétence des armées.

4 Sous la tutelle du SC OPS de l EMA, le GCIE commande les capacités spatiales militaires françaises et coordonne l emploi des moyens nécessaires. À ce titre, le GCIE est en permanence informé de l état de fonctionnement des systèmes spatiaux de la défense et des segments sol associés. Le GCIE apporte sa contribution et son expertise aux autorités de l EMA pour : - protéger et préserver les capacités spatiales de défense existantes ; - optimiser leur utilisation dans le cadre des opérations militaires, en élaborant des directives d emploi notamment au vu des retours d expérience ; - acquérir de futures capacités spatiales ; - rechercher des coopérations (de nature opérationnelle et capacitaire). Dans ce cadre, le GCIE propose des plans d actions adaptés, contrôle leur mise en œuvre et rend compte périodiquement des résultats obtenus à son autorité de tutelle. Le GCIE a également pour mission d assurer la promotion du domaine spatial militaire et de démontrer l importance de l appui spatial aux opérations en interne et en externe défense, tant en contexte national qu international. Le GCIE veille à la représentation de l EMA au sein de l équipe CNES-Défense, aux côtés du CNES et de la direction générale pour l'armement (DGA). Le GCIE est secondé dans l exercice de ses attributions par un chef d'état-major (CEM CIE). 3. ORGANISATION Organisation générale. Le CIE est structuré autour de fonctions métiers et de domaines techniques qui visent à renforcer la cohérence globale des travaux conduits. Dans le cadre de son organisation, le CIE dispose d une fonction juridique intégrée, spécialiste du droit des activités spatiales [traités internationaux, loi sur les opérations spatiales (3)]. Maîtrisant l environnement juridique du secteur, elle conseille, élabore et propose des solutions adaptées à la réalisation des activités et objectifs du CIE. Transverse aux fonctions métiers et aux domaines techniques, elle participe à la cohérence juridique d ensemble et à l efficacité de l action du CIE Fonctions métiers. Les missions du CIE se déclinent en quatre fonctions métiers multi-domaines : politique spatiale et coopérations, préparation de l avenir, emploi et coordination, et maîtrise de l environnement. Les fonctions métiers mobilisent des connaissances qui sont transverses aux domaines techniques du secteur spatial. La fonction «politique spatiale et coopérations» contribue : - à l élaboration de la politique spatiale militaire française et des principes de coopérations, en respectant les directives de l OGRIM. Les propositions émises par le CIE sont soumises à l approbation de l OGRIM (relation avec nos alliés), du SC Plans (coopération capacitaire) (4) et du SC OPS (coopération sur l emploi des moyens spatiaux). L objectif est d harmoniser les positions de l EMA en matière de politique spatiale en cohérence avec les autres organismes de défense concernés [DGA, direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS)] ;

5 - à la représentation de l EMA aux instances européennes en charge des questions spatiales ; - à la promotion de l espace en contextes défense, hors défense, en national et international ; - au renforcement des liens de travail avec le CNES. La fonction «préparation de l avenir» comprend : - la participation à l expression du besoin opérationnel. Ce travail est conduit en liaison avec la chaîne «opérations» de l EMA pour la prise en compte du retour d expérience ; - la participation à la définition de la stratégie d acquisition et de pérennisation des capacités spatiales de la défense ; - la participation au pilotage et à la coordination des affaires et programmes du domaine spatial ; - la tenue de situation d un tableau de bord capacitaire. Cette fonction est assurée en interne sous le contrôle du SC Plans (5) de l EMA, dans le cadre de l approche capacitaire globale de l EMA. Le CIE apporte son expertise à la sous-chefferie plans lors de tous les stades des programmes d armement du domaine spatial (comités, commissions et réunions technico-opérationnelles). Cette fonction est assurée en externe en coordination avec le CNES et la DGA. Les travaux de préparation de l avenir sont également conduits en cohérence avec la direction interarmées des réseaux d'infrastructure et des systèmes d'information de la défense (DIRISI) (capacité de communication par satellites) et le commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) (capacité de surveillance de l espace). Au profit de la division emploi et du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), la fonction «emploi et coordination» : - assure le commandement et la coordination de l emploi des capacités spatiales à la disposition de la défense (6) ; - optimise l emploi et la coordination des capacités spatiales à la disposition de la défense dans le cadre de la planification et de la conduite des opérations militaires au CPCO ; - organise l élaboration de la situation spatiale (surveillance de l espace) avec les chaînes opérations et renseignement de la défense [CDAOA-direction du renseignement militaire (DRM)] ; - contribue à la protection de nos capacités spatiales (vulnérabilité, sécurité) et la préservation de la capacité d utilisation des moyens avec la chaîne opérations ; - élabore des directives d emploi des moyens spatiaux vers les contrôleurs opérationnels et mesure leur efficacité vis-à-vis des objectifs opérationnels fixés. Le contrôle opérationnel des moyens spatiaux de la défense est confié au CDAOA pour la surveillance de l espace, à la DRM pour l observation et l écoute, à la DIRISI pour les télécommunications par satellites. La fonction «maîtrise de l environnement» impose une coordination étroite avec les différentes chaînes fonctionnelles de la défense, le niveau interministériel et international, et le secteur privé.

6 Cette fonction prend en compte les aspects suivants : - la veille et l anticipation des évolutions du secteur spatial d intérêt de défense et de sécurité ; l objectif est de préserver l avance capacitaire acquise par la défense et de lui garantir une liberté d accès et d utilisation de l espace (réflexions sur les capacités de lancement, la météorologie spatiale, les risques de collisions, etc.) ; - la connaissance de l ordre de bataille spatial international détaillé, utilisé en soutien des travaux des divisions «maîtrise des armements» et «euratlantique» de l EMA ; - la participation à la définition et au contrôle de la politique de diffusion des données d origine spatiale, dans le cadre des travaux conduits par la commission interministérielle des données d'origine spatiale (CIDOS) ; - la contribution de l EMA, en tant qu expert spatial, à l examen des demandes de licence d exportation ou de transfert instruites par la commission interministérielle pour l'étude des exportations de matériels de guerre (CIEEMG) ; - l organisation de parcours de formation et de sessions de sensibilisation au domaine spatial, afin d alimenter et d entretenir un vivier de compétences humaines «espace». Cette responsabilité est assurée en liaison avec la chaîne ressources humaines du ministère de la défense Domaines techniques. Les domaines techniques correspondent aux capacités spatiales militaires : observation, écoute, alerte, télécommunications, surveillance de l espace, positionnement/navigation/datation. Ils sont pris en charge par l échelon technique du CIE (cf. point 4.2.) Organisation interne. Le CIE est composé de trois échelons : - un échelon de commandement dirigé par le GCIE et en son absence par le CEM CIE. Le CEM CIE coordonne les travaux conduits par les échelons subordonnés et assure la permanence du commandement en l absence du GCIE. Cet échelon commande les échelons subordonnés en définissant les axes d effort à entreprendre déclinés des directives de l EMA. Le GCIE dispose par ailleurs de deux conseillers : un conseiller espace détaché du CNES et un conseiller juridique, spécialiste du droit spatial ; - un échelon de synthèse composé de quatre bureaux à vocation transverse assurant les fonctions métiers de : - politique spatiale et coopérations (BPOL) ; - préparation de l'avenir (BPAV) ; - emploi et coordination (BEC) ; - maîtrise de l'environnement (BME). Ces quatre bureaux commandent et organisent les travaux conduits dans les différents domaines techniques spatiaux.

7 Le BPOL s appuie sur les compétences des officiers de liaison étrangers ou français relevant du CIE. Le BPAV pilote les activités des officiers de programme du domaine spatial et de l équipe de marque interarmées de l'espace (EMIE). À ce titre, le chef du BPAV du CIE assure la fonction «d officier de cohérence interarmées espace» (OCIA espace). Le BEC dirige les officiers «emploi» de l échelon technique, l officier de liaison espace du CIE au CPCO. Il dirige le personnel du centre d opérations «espace» du pôle opérationnel de Balard. Sur la base des travaux de l échelon de synthèse et de l échelon technique, le BME propose au GCIE des recommandations visant à conforter le statut de la France en tant que puissance spatiale militaire globale. Trois officiers de l échelon de synthèse participent à l équipe CNES-Défense. Ils conseillent et orientent le CNES en matière de besoin opérationnel spatial. Ils informent également le CIE des avancées technologiques dans le domaine spatial utilisables en contexte défense, grâce à leurs relations de travail régulières avec les ingénieurs du CNES et de la DGA ; - un échelon technique qui est composé de six sections (7), d une EMIE et d une équipe d appui spatial aux opérations, qui arme le centre d opérations «espace» du pôle opérationnel de Balard. Cet échelon, armé d officiers spécialistes, constitue la référence interarmées de ces domaines. Il participe : - à l appui spatial aux opérations ; - à la protection des ressources spatiales existantes ; - au recueil du besoin des armées ; - à l acquisition des futurs moyens spatiaux de la défense. Les sections sont armées de un à quatre officiers selon les domaines techniques et selon les stades de réalisation des programmes spatiaux en cours. 4. EFFECTIFS. Les directions des ressources humaines d armées et de service (8) sont chargées de l armement quantitatif et qualitatif des postes décrits dans le référentiel des effectifs en organisation (REO), validé annuellement par la direction des ressources humaines du ministère de la défense. Le REO évolue en fonction des missions confiées au CIE. En particulier, il peut être modifié en fonction de l évolution des organisations, du lancement ou de l aboutissement de nouveaux programmes ou de la mise en place de nouvelles coopérations internationales. Pour l accomplissement de ses missions, le CIE bénéficie de renforts en personnel (armement du centre d opérations «espace», officiers de la réserve opérationnelle, et d un conseiller espace du CNES, etc.). 5. GESTION, ADMINISTRATION ET DISCIPLINE DU PERSONNEL Discipline. Les dispositions applicables au personnel militaire en matière de discipline relèvent des articles L à L et D à D du code de la défense.

8 Les autorités militaires de premier niveau et de deuxième niveau sont désignées par arrêté régulièrement mis à jour Notation. Conformément aux dispositions des articles R à R du code de la défense, la notation du personnel affecté au CIE est effectuée selon les prescriptions des directives annuelles de notation élaborées par les armées et services interarmées. Le GCIE participe également à la notation : - des officiers de liaison «espace» français insérés au sein d armées étrangères ; - des officiers français en poste au centre satellitaire de l union européenne ; - des officiers de liaison «espace» étrangers insérés au sein du CIE Administration quotidienne. Le personnel du CIE est administré par les organismes compétents, selon les modalités propres aux statuts et règlements en vigueur. Le conseiller juridique affecté au CIE assure, en complément des aspects juridiques spécifiques au domaine spatial, l expertise auprès du GCIE pour les domaines de l administration/chancellerie du personnel, et du budget de fonctionnement. Il est le point d entrée privilégié pour les liens de travail du CIE avec les organismes compétents. 6. SOUTIEN GÉNÉRAL. Le soutien du CIE est assuré par les organismes de soutien localement compétents. Les modalités du soutien fourni par la base de défense (BdD) de Creil au personnel du CIE stationné à Creil (EMIE) sont définies et formalisées dans un protocole particulier. La fourniture et la maintenance des matériels de toute nature, nécessaires au fonctionnement du CIE, sont assurées selon les procédures en vigueur par les organismes localement compétents. 7. BUDGET. Dans le domaine budgétaire, le CIE est soutenu de la façon suivante : Le CIE : - au titre de ses activités, par le BOP C «Emploi des forces» ; - au titre de son soutien courant : par le BOP C «Administration centrale». - exprime ses besoins auprès du responsable de l unité opérationnelle compétent, conformément à l organisation retenue au sein de chaque BOP ; - emploie ses ressources conformément aux directives reçues de chaque responsable de BOP. 8. INFRASTRUCTURE. Le CIE occupe des locaux classés «zone réservée (ZR)» au sein du pôle opérationnel du commandement des armées de Balard et du segment spatial de défense de la BdD de Creil.

9 Les infrastructures attribuées permettent l exploitation de données et de supports classifiés jusqu au niveau «secret défense» et «secret OTAN». L archivage des documents «secret défense» et «secret OTAN» est centralisé dans un local adapté. 9. INSPECTIONS. Une inspection du CIE est effectuée à la demande des autorités du ministère de la défense et en particulier du SC OPS de l EMA en tant que de besoin. 10. DIVERS. Le GCIE est chef d organisme, au sens du décret n du 29 mars 2012 relatif à la santé et à la sécurité au travail au ministère de la défense. À ce titre, il est responsable de la bonne application des règlements en matière de prévention vis-à-vis de son personnel, civil ou militaire. Ces obligations s'étendent également au personnel placé temporairement sous sa responsabilité. 11. PUBLICATION. La présente instruction sera publiée au Bulletin officiel des armées. 12. ABROGATION. Les textes ci-dessous sont abrogés : - instruction n 727/DEF/EMA/ESMG/NP du 9 juillet 2010 (9) relative aux attributions et à l'organisation du commandement interarmées de l'espace ; - instruction n 878/DEF/EMA/ESMG/ORG/NP du 1er février 2011 (9) relative aux attributions et à l'organisation de l'équipe interarmées des systèmes d'observation par satellite. Pour le ministre de la défense et par délégation : Le général d'armée aérienne, major général des armées, Gratien MAIRE. (1) Notamment la multiplication des débris spatiaux et l émergence de possibilités d agressions directes sur les satellites, leurs segments-sol et sur les liaisons de données. (2) On entend par capacité spatiale utilisée par la défense, l ensemble que constitue tout système (le segment spatial ou satellite, les segments sol de contrôle du satellite et de la charge utile ainsi que les moyens de réception et de production des données primaires) dont la défense française assure la direction ainsi que les ressources que représentent les droits qu elle a acquis sur d autres systèmes spatiaux, c est-à-dire, produisant des données, des services ou des effets dans ou à partir de l espace exo-atmosphérique.

10 (3) Loi n du 3 juin 2008 (n.i. BO ; JO n 129 du 4 juin 2008, p. 9169, texte n 1) modifiée, relative aux opérations spatiales ainsi que ses décrets et arrêtés d application. (4) Avec le bureau coopération et planification interalliée (COPI). (5) En coordination avec les divisions cohérence capacitaire (COCA), cohérence des programmes interarmées (CPI), plans programmes évaluation (PPE), le COPI ainsi qu avec le commandement des programmes interarmées et de la cyberprotection (CPIC). (6) C'est-à-dire les moyens à même d intervenir dans et à partir de l espace. (7) Soit une section par capacité spatiale militaire (observation, l écoute, l alerte, les télécommunications, la surveillance de l espace et positionnement-navigation-datation). (8) La direction des ressources humaines de l'armée de terre (DRH-AT), la direction du personnel militaire de la marine (DPMM), la direction des ressources humaines de l'armée de l'air (DRH-AA) et la direction centrale du service du commissariat des armées (DCSCA). (9) n.i. BO.

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 49 du 3 octobre 2014. PARTIE PERMANENTE État-Major des Armées (EMA) Texte 15

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 49 du 3 octobre 2014. PARTIE PERMANENTE État-Major des Armées (EMA) Texte 15 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 49 du 3 octobre 2014 PARTIE PERMANENTE État-Major des Armées (EMA) Texte 15 INSTRUCTION N 1988/DEF/EMA/CPI portant organisation et fonctionnement du

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 20 du 3 mai 2013 TEXTE SIGNALE

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 20 du 3 mai 2013 TEXTE SIGNALE Conforme à l'original produit; Début du texte, page suivante. BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES Edition Chronologique n 20 du 3 mai 2013 TEXTE SIGNALE ARRÊTÉ portant organisation de l agence de reconversion

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 31 du 9 juillet 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 31 du 9 juillet 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 31 du 9 juillet 2015 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 3 INSTRUCTION N 240462/DEF/SGA/DRH-MD relative à la gouvernance des données de

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 19 du 26 avril 2013. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte n 1

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 19 du 26 avril 2013. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte n 1 BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES Edition Chronologique n 19 du 26 avril 2013 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte n 1 INSTRUCTION N 12300/DEF/SGA/DSN/SDDC/BR relative aux demandes d'exemption médicale

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 9 du 19 février 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 6

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 9 du 19 février 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 6 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 9 du 19 février 2015 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 6 ARRÊTÉ N 1733/DEF/SGA/DMPA/SDIE/BENV portant approbation du plan de prévention

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 35 du 6 août 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 2

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 35 du 6 août 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 2 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 35 du 6 août 2015 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 2 INSTRUCTION N 351673/DEF/SGA/DRH-MD relative à la comptabilisation de la provision

Plus en détail

CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER

CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR

BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions

Plus en détail

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 33 du 4 juillet 2014. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 2

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 33 du 4 juillet 2014. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 2 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 33 du 4 juillet 2014 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 2 DIRECTIVE N 32/DEF/DGSIC portant sur la sécurité de l hébergement des systèmes

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF

Plus en détail

sommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE

sommaire dga maîtrise de l information...6 2 LA CYBERDéFENSE La cyberdéfense sommaire LE PACTE DéFENSE CYBER...3 La cyberdéfense au ministère de la Défense...4 L organisation opérationnelle de la Cyberdéfense...5 l expertise technique en cyberdéfense dga maîtrise

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 13 du 14 mars 2014. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 13 du 14 mars 2014. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 13 du 14 mars 2014 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 3 PROTOCOLE D'ACCORD portant sur la mise en œuvre d une information générale sur

Plus en détail

Maintenance/évolution d'un système d'information

Maintenance/évolution d'un système d'information Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Procédure Qualité Maintenance/évolution d'un système d'information Référence : CNRS/DSI/conduite-projet/maintenance-evolution/presentation/proc-maintenance

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication

Tableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 41 du 20 septembre 2013. PARTIE PERMANENTE Etat-Major des Armées (EMA) Texte n 4

BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES. Edition Chronologique n 41 du 20 septembre 2013. PARTIE PERMANENTE Etat-Major des Armées (EMA) Texte n 4 BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES Edition Chronologique n 41 du 20 septembre 2013 PARTIE PERMANENTE Etat-Major des Armées (EMA) Texte n 4 CIRCULAIRE N 2855/DEF/DCSEA/SDO/SDO2/RD2 relative aux contrôleurs en

Plus en détail

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004 Recrute Le/la directeur(trice) adjoint(e) de l établissement I. Les missions et l

Plus en détail

N 115 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1966-1967 PROJET DE LOI ADOPTÉ PAR LE SÉNAT. portant réforme du régime relatif

N 115 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1966-1967 PROJET DE LOI ADOPTÉ PAR LE SÉNAT. portant réforme du régime relatif PROJET DE LOI adopté le 25 mai 1967 N 115 SÉNAT SECONDE SESSION ORDINAIRE DE 1966-1967 PROJET DE ADOPTÉ PAR LE SÉNAT LOI portant réforme du régime relatif aux droits de port et de navigation. Le Sénat

Plus en détail

D. 12-01-2007 M.B. 20-03-2007. Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :

D. 12-01-2007 M.B. 20-03-2007. Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : Lois 31723 p.1 Décret relatif au renforcement de l'éducation à la citoyenneté responsable et active au sein des établissements organisés ou subventionnés par la Communauté française D. 12-01-2007 M.B.

Plus en détail

NAVIGABILITE et CERTIFICATION. des avions étatiques. RACAM 4-8 juin 2010

NAVIGABILITE et CERTIFICATION. des avions étatiques. RACAM 4-8 juin 2010 NAVIGABILITE et CERTIFICATION des avions étatiques RACAM 4-8 juin 2010 Navigabilité et certification des avions étatiques Contexte réglementaire Elaboration du certificat de type Suivi de navigabilité

Plus en détail

Rapport technique n 8 :

Rapport technique n 8 : Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions

Plus en détail

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d

Plus en détail

~AISSE D'EPARGNE D'ALSACE

~AISSE D'EPARGNE D'ALSACE ~AISSE D'EPARGNE D'ALSACE DEFINITION D'EMPLOI: Gestionnaire de Clientèle Patrimoniale Code emploi: Filière d'activité: Métier: Rôle: Ventes et Services -- Gestionnaire de Clientèle Spécialiste Clients

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

politique de la France en matière de cybersécurité

politique de la France en matière de cybersécurité dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le

Plus en détail

Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse

Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse ODR, Bases de données administratives à différentes échelles spatiales Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse 2èmes journées de recherches en sciences sociales INRA SFER CIRAD 11 & 12 décembre 2008 LILLE, France

Plus en détail

50 mesures pour changer d échelle

50 mesures pour changer d échelle Pacte Défense Cyber 50 mesures pour changer d échelle M M A O N C D E M C Y B E R D É F E E S N E N T O P É R A T I O N N E L D E Sommaire Préambule... 2 Axe 1 : Durcir le niveau de sécurité des systèmes

Plus en détail

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B.

Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une

Plus en détail

BEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS

BEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS ANNEXE I a RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES I. APPELLATION DU DIPLÔME BEP métiers des services administratifs RÉFÉRENTIEL

Plus en détail

Lancement du projet TOP (Tracabilité et Optimisation des Process)

Lancement du projet TOP (Tracabilité et Optimisation des Process) Lancement du projet TOP (Tracabilité et Optimisation des Process) Stéphane POUX Colloque «Bilan de la DiVE» 3 juillet 2008 Objectifs et contexte du projet TOP Développer le système d information de la

Plus en détail

L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE

L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE I - LES SOURCES DU DROIT DE LA FONCTION PUBLIQUE A - La Constitution et le bloc de constitutionnalité Certains grands principes du droit de la fonction publique

Plus en détail

Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C

Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Secret de la défense nationale Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Textes source : Articles 413-5, 413-7, 413-9 à 413-12,

Plus en détail

Piloter le contrôle permanent

Piloter le contrôle permanent Piloter le contrôle permanent Un cadre règlementaire en permanente évolution L évolution des réglementations oblige les institutions financières à revoir leur dispositif de contrôle Secteur bancaire CRBF

Plus en détail

MINISTERE DES SPORTS. La ministre des sports

MINISTERE DES SPORTS. La ministre des sports MINISTERE DES SPORTS Direction des sports Sous-direction de la vie fédérale et du sport de haut niveau Bureau du sport de haut niveau, des filières et des établissements nationaux Personne chargée du dossier

Plus en détail

CONVENTION. sur le contrôle du travail au noir dans le canton du Valais

CONVENTION. sur le contrôle du travail au noir dans le canton du Valais Case postale 141 1950 Sion Tél. : 027/327.51.11 Fax : 027/327.51.80 CONVENTION sur le contrôle du travail au noir dans le canton du Valais Le Conseil d'etat du canton du Valais et les parties ci-après

Plus en détail

Développement spécifique d'un système d information

Développement spécifique d'un système d information Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Procédure Qualité Développement spécifique d'un système d information Référence : CNRS/DSI/conduite-proj/developpement/proc-developpement-si

Plus en détail

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de

Plus en détail

Formation de dirigeant de PME

Formation de dirigeant de PME Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise

Plus en détail

Université de Lausanne

Université de Lausanne Université de Lausanne Records management et archivage électronique : cadre normatif Page 2 Ce qui se conçoit bien s énonce clairement Nicolas Boileau Page 3 Table des matières Qu est- ce que le «records

Plus en détail

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements Dahir n 1-09-22 du 22 safar 1430 portant promulgat ion de la loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements. B.O. n 5714 du 5 mars 2009 Vu la Constitution, notamment

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 14 du 26 mars 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 14 du 26 mars 2015. PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3 BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES Édition Chronologique n 14 du 26 mars 2015 PARTIE PERMANENTE Administration Centrale Texte 3 INSTRUCTION N 30650/DEF/CAB/SDBC/DECO/A4 fixant les modalités d application du

Plus en détail

Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13

Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000 EVOLUTIONS INDICE DATE NATURE DE L'EVOLUTION 00 09/06/2000 Edition Originale 01 29/09/2000 Modification suite à audit interne

Plus en détail

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 INSTRUCTION GENERALE relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 SOMMAIRE 1 - La réglementation 3 2 - Principes généraux 2.1 Principes fondamentaux en matière d hygiène

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

Le champ d application de notre système de management

Le champ d application de notre système de management NOS ACTIVITES NOTRE ENGAGEMENT NOTRE FONCTIONNEMENT Le périmètre de notre système de management Le périmètre du Système de Management correspond au site de Bordeaux (usine, Unité de Développement des Systèmes

Plus en détail

++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI

++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI Réglementation de la profession d expert comptable en Tunisie - Loi 88-108 du 18 août 1988, portant refonte de la législation relative à

Plus en détail

LA COMPTABILITE MATIERE

LA COMPTABILITE MATIERE INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité

Plus en détail

PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES

PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES 29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU

Plus en détail

Pour la gestion du personnel Norme simplifiée n 46

Pour la gestion du personnel Norme simplifiée n 46 Pour la gestion du personnel Norme simplifiée n 46 1. Les finalités suivantes : La gestion administrative des personnels : gestion du dossier professionnel des employés, tenu conformément aux dispositions

Plus en détail

RAPPORT DE PRESENT A TION

RAPPORT DE PRESENT A TION République du Sénégal Un Peuple -un But -une Foi Décret modifiant le décret n 2004-1038 du 23 Juillet 2004 portant création et fixant les règles d'organisation et de fonctionnement de l'agence de l'informatique

Plus en détail

Dossier de presse L'archivage électronique

Dossier de presse L'archivage électronique Dossier de presse L'archivage électronique Préambule Le développement massif des nouvelles technologies de l information et de la communication (TIC) a introduit une dimension nouvelle dans la gestion

Plus en détail

SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS

SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS Septembre 2014 BTS Services informatiques aux organisations - 1/123 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l éducation nationale, l enseignement

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

Description synthétique (11)

Description synthétique (11) Catégorie professionnelle recherchée (1) Catégorie A ou B Fonctionnaire techniq ue ou administratif Intitulé du poste (2) Réalisateur de contenu pédagogique Multimédia / Gestionnaire de formation Famille

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges

C11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie

Caisse Nationale de l'assurance Maladie Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Mesdames et Messieurs les Médecins Conseils Régionaux Date : Monsieur le Médecin Chef de La Réunion

Plus en détail

Sage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance

Sage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Gagner des parts de marché, optimiser ses investissements, sécuriser

Plus en détail

Le programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE

Le programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE Le programme brésilien d'observation de la Terre. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE La vision de l'inpe au 21e siècle. L'INPE est une référence mondiale en matière de recherche

Plus en détail

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) 3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

La fonction publique en France

La fonction publique en France MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE édition 2013 La fonction en France Des métiers au service des citoyens les essentiels Dans la fonction, tous les agents

Plus en détail

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE

LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE Une fois les objectifs fixés pour son équipe, le manageur doit définir une stratégie et mettre en place un plan d actions. Outil de prévision et de planification, ce

Plus en détail

Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015

Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015 Orléans, le 5 octobre 2012 Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015 Introduction L intelligence économique, c est le dispositif par lequel tout acteur économique assure

Plus en détail

Valorisation des résultats de la recherche. Objet et domaine d application du manuel Qualité...2

Valorisation des résultats de la recherche. Objet et domaine d application du manuel Qualité...2 Valorisation des résultats de la recherche Version : décembre 2003 Objet et domaine d application du manuel...2 Champ d application du manuel 2 Périmètre d application du manuel 2 Terminologie 2 Présentation

Plus en détail

Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008

Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008 ACTIONS EN MATIÈRE D'INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008 LE CONTEXTE La Commission nationale Culture-Handicap La

Plus en détail

Politique de Référencement Intersectorielle de Sécurité (PRIS)

Politique de Référencement Intersectorielle de Sécurité (PRIS) PREMIER MINISTRE ADAE PREMIER MINISTRE SGDN - DCSSI =========== Politique de Référencement Intersectorielle de Sécurité (PRIS) Service de confiance "Authentification" =========== VERSION 2.0 1.2.250.1.137.2.2.1.2.1.5

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Economie et des Finances Décret n relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés

Plus en détail

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION

Plus en détail

Le Conseil des Ministres

Le Conseil des Ministres UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE -------------- Le Conseil des Ministres UEMOA DIRECTIVE N 0 2 / 07 /CM/UEMOA PORTANT CREATION D'UN ORDRE NATIONA DES EXPERTS-COMPTABLE ET DES COMPTABLES AGREES

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION

REFERENTIEL DE CERTIFICATION REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) d'assistance en Informatique Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

GROUPE CS COMMUNICATION & SYSTEMES

GROUPE CS COMMUNICATION & SYSTEMES GROUPE CS COMMUNICATION & SYSTEMES CS, CONCEPTEUR, INTEGRATEUR ET OPERATEUR DE SYSTEMES CRITIQUES Répondre aux enjeux de ses clients par la conception, l intégration, l exploitation ou le maintien en condition

Plus en détail

OBJET : Mise en œuvre du décret n 2004-1144 du 26 octobre 2004 relatif à l'exécution des marchés publics par carte d'achat.

OBJET : Mise en œuvre du décret n 2004-1144 du 26 octobre 2004 relatif à l'exécution des marchés publics par carte d'achat. Secrétariat général DIRECTION DE L'EVALUATION DE LA PERFORMANCE, ET DES AFFAIRES FINANCIERES ET IMMOBILIERES SOUS-DIRECTION DES AFFAIRES IMMOBILIERES SLAC/N AFFAIRE SUIVIE PAR : Pierre AZZOPARDI Tél :

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

Les nouveaux tableaux de bord des managers

Les nouveaux tableaux de bord des managers Alain Fernandez Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet Business Intelligence clés en main Sixième édition Tableaux bord NE.indd 3 26/03/13 15:22 Introduction Piloter la performance, un travail

Plus en détail

Décret n 2002-254/PRES/PM/SGG-CM du 17 juillet 2002 (JO N 31 2002)

Décret n 2002-254/PRES/PM/SGG-CM du 17 juillet 2002 (JO N 31 2002) Décret n 2002-254/PRES/PM/SGG-CM du 17 juillet 2002 (JO N 31 2002) portant organisation-type des départements ministériels. LE PRESIDENT DU FASO, PRESIDENT DU CONSEIL DES MINISTRES, Vu la Constitution

Plus en détail

M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense. Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA

M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense. Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA MINISTÈRE DE LA DÉFENSE M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA A Toulouse, le 9 juillet 2015 Seul le prononcé fait foi Page 1 sur

Plus en détail

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE

UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

Présentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé

Présentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé Atelier ORAS Pilotage des rémunérations variables Groupe RH&M Le volet informatisation Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé EURISTIC 4 février 2010 Présentation Intervenant EURISTIC Jean-Louis BAUDRAND

Plus en détail

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

Visée par le SGMCAS le 25 juillet 2015 Inscrite pour information à l ordre du jour du CNP du 31 juillet 2015 N 51

Visée par le SGMCAS le 25 juillet 2015 Inscrite pour information à l ordre du jour du CNP du 31 juillet 2015 N 51 Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social Ministère de la ville, de la jeunesse et des

Plus en détail

LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses

LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE. Questions/réponses LA MOBILITÉ ET LES PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE Questions/réponses QUI EST CONCERNÉ PAR LA LOI DU 3 AOÜT 2009 RELATIVE A LA MOBILITÉ ET AUX PARCOURS PROFESSIONNELS DANS LA FONCTION

Plus en détail

La sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande

La sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande La sécurité & sûreté maritime en Tunisie Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande 1 QUELQUES DONNEES Une façade maritime de 1300 Km de côtes. La flotte nationale Tunisienne comporte

Plus en détail

Sage 100. pour les PME. Faites de votre gestion un levier de performance

Sage 100. pour les PME. Faites de votre gestion un levier de performance Sage 100 pour les PME Faites de votre gestion un levier de performance À propos de Sage Leader des éditeurs de logiciels de gestion sur le marché des PME dans le monde* Plus de 6 millions d entreprises

Plus en détail

Loi n 0005/2008 du 11 juillet 2008 portant création, organisation et fonctionnement de l Agence Nationale de l Aviation civile

Loi n 0005/2008 du 11 juillet 2008 portant création, organisation et fonctionnement de l Agence Nationale de l Aviation civile - 1 - Loi n 0005/2008 du 11 juillet 2008 portant création, organisation et fonctionnement de l Agence Nationale de l Aviation civile L Assemblée nationale et le Sénat ont délibéré et adopté Le Président

Plus en détail

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION 02 CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

Plus en détail

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL

Plus en détail

DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015

DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015 2015-09 NOR : CESL1500009X Lundi 27 avril 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015 REVOLUTION NUMERIQUE ET ävolutions DES MOBILITES INDIVIDUELLES ET

Plus en détail

European Assistant Assistant de Manager

European Assistant Assistant de Manager European Assistant Assistant de Manager REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne. Cette publication n'engage que son auteur et la Commission

Plus en détail