! oui! non fl oui! non E oui! non E oui n non. ! non! oui I non fl oui D non I oui! non
|
|
- Liliane Dumas
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Y a-t-il des risques liés à I'injection? L'injection est un acte très courant, habituellement très bien toléré. Cependant, comme avec les autres médicaments. des réactions peuvenl survenir : La piqûre peut provoquer la fclrmation d'un petit hématome sans gravité, qui se résorbera spontanément en quelques jours. Lors de I'injection, sous I'ettet de la pression, il peut se produire une fuite du produit sous la peau, au niveau de la veine. Cette complication est rare (un cas sur plusieurs centaines d'injections, généralement sans suites graves), et pourrait nécessiter exceptionnellement un traitement local. L'injection de produit iodé peut entraîner une réaction d'intolérance. Ces réactions imprévisibles sont plus fiéquentes chez les patients ayant déjà eu une injection mal tolérée d'un de ces produits ou ayant des antécédents allergiques. Elles sont généralement transitoires et sans gravité. Elles peuvent être plus sévères, se traduire par des troubles cardio-respiratoires et nécessiter un traitement. Les complications réellement graves sont rarissimes ; pour votre information, le risque de décès est de moins d'un cas sur , soit l4 fois moins que le risque d'être tué dans I'année lors d'un accident de la route. Des accidents rénaux, également liés au produit iodé, sont également possibles, notamment chez certains sujets atteints de maladies fiagilisant le rein (insuffisance rénale chronique, diabète avec insuffisance rénale, etc). Des modalités particulières seront observées en cas de tàcteurs de risques particuliers, qui seront identiflés au moment du dialogue entre l'équipe et vous. Dans tous les cas, si vous pensez avoir un f-acteur de risque, vous devez le signaler au moment de la prise de rendez-vous. Résultats Un premier commentaire pourra vous être donné juste après I'examen. Il ne s'agira là que d'une première approche, car les images doivent être ensuite analysées sur un ordinateur par le médecin radiologue. Le compterendu écrit sera disponible dans les meilleurs délais. Avant I'examen, répondez attentivement aux questions suivantes : - Avez-vous ou avez-vous eu des problèmes d'allergie (cutanée ou asthme par exemple)? - Une réaction particulière lors d'un examen radiologique? - Avez-vous une maladie cardiaque, pulmonaire ou rénale? - Prenez-vous des Béta-Bloquants? - Etes-vous diabétique? - Si oui, prenez-vous des biguanides (Glucinan, Glucophage, Stagid)? - Avez-vous eu récemment une radiographie de I'estomac, de I'intestin ou du côlon? - Etes-vc'lus enceinte ou susceptible de l'être? - Allaitez-vous? [] oui! non! oui! non fl oui! non E oui! non E oui n non û oui! non! oui I non fl oui D non I oui! non D'une manière générale, n'hésitez pas à fournir tout renseignement qui vous paraîtrait important à communiquer et à nous informer de toute maladie sérieuse. Apportez le jour de I'examen : I ) la demande de votre médecin (ordonnance, lettre,...) 2) la liste écrite des médicaments que vous prenez, 3) le dossier radiologique en votre possession (radiographies, échographies, scanners et IRM), 4) tous vos résultats d'analyses de sang. S'il vous est demandé de venir à jeun :. N'avalez pas d'aliments solides pendant les trois heures précédant le rendez-vous. e Ne fumez pas avant I'examen.. Mais, sauf indication contraire, buvez normalement de I'eau et prenez vos médicaments habituels.
2 Pendant I'examen Suivez attentivement les indications qui vous seront données ; votre coopération est essentielle pour que les images ne soient pas floues. Si vous ressentiez une douleur lors de I'iniection. il faut la sicnaler imrnédiatement. A votre retour au domicile Dans l'immense majorité des cas, vous ne ressentirez rien de particulier. N'hésitez pas cependant à signaler à l'équipe tout événement qui vous paraîtrait anormal. Si vous avez reçu une injection. pour accélérer l'élimination du produit, buvez de I'eau abondantnrent (sauf régime particulier. dans les cas d'insufl-isance cardiaque ou rénale). Il est ttormal (lue vou,\ volts posiei.tles que,stiotts sur l'exom.en que vous êtes urnetté à passer. Nous espérorts t, tn,oir réportdu. N'ltésitez. ptts à n.ous interroger à rnuveart pour lout retrseignenrerû cotnpléntenlaire. SERVICE DE RADIOLOGIE / SCANNER << CLINtqur Lns FoNt.qtNes >> 54 BOULI,VAT) ARISTIDI' BRhND 77OOO MELUN Té1.: 0l Cette feuille est à nous remettre le jour de votre examen lors de votre enregistrement Madame, Mademoiselle. Monsieur DERVILLE Marie Pierre a personnellement rempli cette fiche le et donné son accord pour que I'examen soit réalisé. Ce document explicatif vous a-t-il semblé clair?! oui! non ure :
3 res, Il"NrrrTBArrgri s {pbamr}rari.p s prj BAçr{I,s!,çMBAISp ST,ç.pRytçAr CONSÆI{TËMÆNT E C L/I I R E LE SCANNER UTILISE DES RAYONS X En matière d'irradiation des patients, aucun risque n'a pu être démontré chez les patients compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée. A titre d'exemple, un cliché simple correspond en moyenne à I'exposition moyenne naturelle (soleil) subie lors d'un voyage de 4 heures en avion. Toutefois, pour les femmes enceintes, des précautions doivent être prises systématiquement : c'est pourquoi il est imporlant de signaler si vous pouvez être dans ce cas. LE DEROULEMENT DE L'EXAMEN Pendant I'infiltration, suivez bien les recommandations du médecin et du technicien. Votre coopération est essentielle : elle contribuera à la rapidité du geste de ponction et diminuera les risques de douleur et de complications. Après une désinfection très soigneuse de la peau, le médecin procède à I'anesthésie locale, de plus en plus profonde, jusqu'à I'endroit à traiter. Celle-ci va réduire la sensibilité de la peau et des muscles afin que I'infiltration soit la plus confortable possible pour vous. Sous contrôle scanner (télévision), une aiguille est mise en place dans I'articulation. Une faible quantité de produit de contraste iodé est injectée pour vérifier la bonne position de l'extrémité de I'aiguille, puis le médicament est injecté. Quelques images radiologiques seront prises durant les differentes phases de I'exarnen. Ouels sont les bénélices et limites de I'infiltration? cette infiltration peut diminuer votre douleur, mais le résultat n'est pas constant. Ouelles sont les comnlications liées à I'infiltration? Toute intervention sur le corps humain, même conduite dans des conditions de compétence et de sécurité maximales, comporte un risque de complication. Comme pour toute ponction, il existe un très faible risque d'infection. Toutes les précautions nécessaires sont prises pour 1'éviter. Le malaise vagal est toujours possible. Il se manifeste par des sueurs profuses associées à une baisse de la tension, une baisse du r1'thme cardiaque voir à une perte de connaissance brève. Il est le plus souvent bénin et transitoire et survient pendant ou au décours du geste. Dans ce cas, le simple repos avec les jambes surélevées suffit pour faire disparaître ce malaise. Parfois, des < flushs ) peuvent survenir. lls se manilèstent par une rougeur du visage avec sensation de chaleur et parfois de maux de tête. Cet incident est bénin et disparaît spontanément en quelquesjours. Les allergies voire les chocs anaphylactiques sont toujours possibles. CE QUE VOUS DEVEZ FAIRE L'infiltration se fait en ambulatoire : elle ne nécessite donc pas d'hospitalisation.. Apportez le iour de I'infiltration : l. la demande de votre médecin (ordonnance, lettre...), 2. les résultats des examens de laboratoire qui vous auraient été demandés, 3. le dossier radiologique en votre possession (radiographies, échographies, scanners, IRM, scintigraphies osseuses...), 4. les médicaments qui vous ont été prescrit pour I'examen, 5. la liste écrite des médicaments que vous prenez.. Pour l'infiltration : - A I'exception des médicaments que I'on vous aurait précisément demandé d'arrêter, vous prendrez normalement vos autres traitements. - Yenez de préférence accompagné. Il ne faut pas être àjeun. - Pour être plus à I'aise, il est conseillé d'aller aux toilettes avant la ponction.
4 . Après votre retour à domicile : Un repos est conseillé pour une meilleure efficacité de l'infiltration dont I'effet ne se manifestera qu'après quelques jours. En cas de fièvre ou de douleur importante dans les jours suivant l'inf,rltration (possibles signes d'infection), il est important de contacter immédiatement votre médecin ou notre équipe au numéro de téléphone suivant : Il est normal que vous vous posiez des questions sur I'examen que vous êtes amené à passer. Nous espérons y avoir répondu. N'hésitez pas à nous interroger à nouveau pour tout renseignement complémentaire. En octobre 2008, I'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) a réalisé une enquête officielle sur les effets indésirables neurologiques après injection radio guidée de suspension de glucocorticoides au rachis lombaire et cervicale, suite à la survenue de cas de paraplégie ou tétraplégie après injection foraminale dans les pathologies rhumatismales. Il est nécessaire d'informer les patients qu'il existe : t un risque plus élevé d'infarctus médullaire après infiltration lombaire par voie foraminale radio-guidée sur rachis opéré, ' un risque d'accident vasculaire cérébral essentiellement fatal et d'infarctus médullaire après infiltration du rachis cervical. Fréquence des complications neurologiques : i âu rachis lombaire : sur I'enquête nationale 8 cas d'infarctus médullaire ont été rapportés. I au râchis cervical: I cas d'infarctus médullaire avec tétraplésie et 3 cas d'infarctus cérébraux ont été rapportés. Indication des iniections cortisoniques radio-guidées au rachis cervical : ' névralgie cervico-brachiale évoluant depuis plusieurs mois et résistante aux traitements médicaux bien conduits chez un patient bien informé des risques inhérents à cette pratique. Indication des iniections cortisoniques radio-guidées au rachis lombaire : I traitement des lombo-radiculalgies communes rebelles au traitement médical bien conduit et chez un patient informé des risques inhérents neurologiques Facteurs de risques de ces accidents neurolosiques : ' la voie d'injection essentiellement au rachis cervical : éviter la voie transforaminale et préferer la voie articu laire postérieure.. à l'étage lombaire : éviter la voie foraminale sur rachis opéré. QUESTIONS A POSER Avez-vous été opéré du rachis lombaire : OUI f NON n DeDuis combien de temps suivez-vous un traitement anti - inflammatoire pour vos douleurs? : Avez-vous des troubles de la coagulation? Etes vous allersique? Etes vous diabétique? OUI N NON OUI r NON OUI r NON AVEZVOUS COMPRIS LES INFORMATIONS OUI VOUS ONT ETE REMISES? Mr ou Mme a personnellement rempli cette fiche le OUI u NON r_ Et donné son accord pour que I'examen soit réalisé Signature
5 LES II{FILTRATIONS ARTICULAIRES RADIO.GUIDEES OU ECHO.GUIDEES CONSENTEMENT ECLAIRE Votre médecin vous a proposé une infiltration radiologique. Elle sera pratiquée avec votre conscntement. Vous avez en effet la liberté de l'accepter ou de la refuser. Une inforrnation vous est fournie sur le déroulement de I'intervention et de ses suites. Le médecin radiologue est qualifié pour juger de I'utilité dc cette intervention, pour répondre au problème diagnostique que se pose votre médecin. Toutefois, il se peut que cette intcrvention nc donne pas toutes les réponses. Il est très important que vous répondiez bien aux questions qui vous seront évcntuellement posées sur votre état de santé ainsi que sur les médicaments que vous prenez (liste écrite des médicarnents). Certains traitements doivent en effet être modifiés ou interrompus pour certains examens d'imagerre. N'oubliez pas que vous devez vous munir de vos anciens examens pour une comparaison ct surtout de respecter les recommandations qui vous sont faites. DE QUO S'AGIT - IL? L'infiltration consiste à injecter un médicament anti-inflammatoire à base de cristaux de cortisone directernent au contact de la zone douloureuse. Les injections locales sont de pratique courante dans le traitctnent des affections rhumatologiques. ll s'agit d'une injection d'un médicament dont le but est d'agir au contact de votre lésion articulaire. Ce traitement appliqué directcment au sein de votre articulation aura une action thérapeutique plus efficace qu'un traitement administré par voie générale en évitant la majorité des elfets sccondaires. Le plus souvent, le produit injecté est un anti-inflammatoire appartenant à la famille des cortico'tdes. Cependant, d'autres produits peuvent être utilisés comme les anesthésiques locaux (à but diagnostic et parfois thérapeutique), et les produits de visco-supplémentation utilisés dans certain type d'arthrose. Pourquoi faire cette ponction dans le service de radiologie? Le gcste sera eflectué par radioguidage (télévision). Cette technique permet de choisir le bon point d'entrée de I'aiguille et de suivre son trajet. LA RADIOGRAPHIE UTILISE DES RAYONS X En matière d'irradiation des patients, aucun risque n'a pu être démontré chez les patients compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinéc. A titre d'exemple, un cliché simple correspond en moyenne à I'exposition tnoyenne naturelle (solcil) subie lors d'un voyage de 4 heures en avion. Toutefois, pour les femmes enceintes, des précautions doivent être prises systématiquement : c'est pourquoi il est irnportant de signaler si vous pouvez être dans ce cas. LE DEROULEMENT DE L'EXAMEN Pendant l'infiltration, suivez bien les recomrnandations du médecin et du technicien. Votrc coopération est essentielle : elle contribuera à la rapidité du geste de ponction et diminuera les risques de doulcur et de complications. Après une désinfection très soigneuse de la peau, le médecin procède à I'ancsthésie locale, dc plus en plus profonde, jusqu'à I'endroit à traiter. Celle-ci va réduire la sensibilité de la pcau et des muscles afin que I'infiltration soit la plus confortable possible pour vous. Sous contrôle radioscopique (télévision), une aiguille est mise en place dans I'articulation. Une faible quantité de produit de contraste iodé est injectée pour vériher la bonne position de I'extrémité de I'aiguille, puis le rnédicament cst injecté. Quelques images radiologiques seront prises durant les différentes phases de I'examcn. Ouels sont les bénéiices et limites de I'infiltration? Cette infiltration peut diminuer votre douleur, rnais le résultat n'est pas constant. Ouelles sont les comnlications liées à I'infiltration? Toute intervention sur le corps humain, môme conduite dans des conditions de compétence et de sécurité maximales, comporte un risque de complication. Comme pour toute ponction, il existe un très faible risque d'infection. Toutes les précautions nécessaires sont prises pour l'éviter. Le malaise vagal est toujours possible. Il se manifeste par des sueurs profuses associées à unc baisse de la tension, une baisse du rythme cardiaque voir à une perte de connaissance brève. 11 est le plus souvent bénin et transitoire et survient pendant ou au décours du geste. Dans ce cas, le simple repos avec les jambes surélevées suffit pour faire disparaître"ce malaise. Parfois, dcs < flushs ) peuvent survenir. lls se manifestent par une rougeur du visage avec sensation de chaleur et parfois de maux de tête. Cet incident est bénin et clisparaît spontanément en quelques jours. Les allergies voire les chocs anaphylactiques sont toujours possibles.
6 CE QUE VOUS DEVEZ FAIRE L'infiltration se fait en ambulatoire : elle ne nécessite donc pas d'hospitalisation. AWNT L'EMM,EN REPONDEZ ATTENTIVEMENT AUX OUESTIONS SUIVANTES : Avez-vous des risques particuliers de saigner? - avez-vous une maladie du sang ou des saignements fréquents ou prolongés (du nez par exemple) OUI u NON r. - prenez-vous un traitement fluidifiant le sang (anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire type Aspirine, Asasantine, Kardégic, Persantine, Plavix, Previscan, Sintrom, Solupsan, Ticlid...) outout simplement souvent de I'Aspirine contre le mal de tête? OUI r NON J Dan,v ce cas, il sera nëcessaire d'arrêler ces mëclicament.s avant I'examen : nolts vous préciserons combien de lemps. Etes-vous allersique? - à certains médicaments ou pommades, ou êtes-vous asthmatique? OUI f NON fr - avez-vous mal toléré un examen radiologique? tl - Etes-vous diabétique? OUI n NON OUI r NON f Les cortic'oi'des ont lendanc'e à dëséquilibrer le diabète, ce qui nëcessite une surveillance porîiculière de vos glycémies capillaires après le geste. Etes-vous enceinte ou suscentible de l'être? OUI n NON n Allaitez-vous? OUI I NON f D'une n.ranière générale, n'hésitez pas à fournir tout renseignement qui vous paraîtrait important à communiquer et à nous informer de toute maladie sérieuse :... Apportez le jour de I'infiltration : l. la demande de votre médecin (ordonnance, lettre...), 2. les résultats des examens de laboratoire qui vous auraient été demandés, 3. le dossier radiologique en votre.possession (radiographies, échographies, scanners, IRM, scintigraphies osscuses...), 4. les rnédicaments qui vous ont été prescrit pour l'examen, 5. la liste écrite des médicaments que vous prenez.. Pour I'inliltration : - à l'exception des médicaments que I'on vous aurait précisément demandé d'arrêter, vous prendrez normalement vos autres traitements, - venez de préference accompagné. 11 ne faut pas être àjeun, - pour être plus à I'aise, il est conseillé d'aller aux toilettes avant la ponction.. Après votre retour à domicile : un repos est conseillé pour une meilleure efficacité de I'infiltration dont l'effet ne se manifestera qu'après quelques jours. En cas de fièvre ou de douleur importante dans les jours suivant f infiltration (possibles signes d'infection), il est important de contacter immédiatement votre médecin ou notre équipe au numéro de téléphone suivant : Il est normal que vous vous posiez des questions sur l'examen que vous êtes amené à passer. Nous espérons y avoir répondu. N'hésitez pas à nous interroger à nouveau pour tout renseignement complémentaire. Mr Mme a personnellement rempli cette fiche le, et donné son accord pour que l'examen soit réalisé. Signature ADporter votre Carte Vitale et vos anciens examens radiographiques. scanner ou IRM.
Item 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailVOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto
VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto Carnet-conseils appartenant à :.... Adresse :......................... Tel :............................ Médecin Généraliste : Adresse
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailRésonance magnétique (IRM)
(IRM) Le médecin a prescrit une résonance magnétique (IRM) et vous vous demandez en quoi consiste cet examen. Afin de répondre à vos questions, voici quelques informations. But de l examen Les examens
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détaille traitement de la douleur
le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailSe préparer à une angiographie artérielle
Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailAprès l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées
Brochure à l attention du patient Après l intervention des varices Informations et conseils sur les suites du traitement Réponses aux questions fréquemment posées Les suites de l intervention En résumé
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailTélémédecine, télésanté, esanté. Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr
Télémédecine, télésanté, esanté Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr Télémédecine : Définition et domaines «Exercice de la médecine à distance» => Implique un médecin En France : Décret n 2010-1229
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailLivret d anticoagulation
Livret d anticoagulation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT ANTICOAGULANT MOTIF DE L ANTICOAGULATION DURÉE PRÉVUE DU TRAITEMENT Du
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détail