INTRODUCTION... 1 PARTIE 1 : GENERALITES... 5
|
|
- Emmanuelle Corriveau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2
3 Plan
4 INTRODUCTION... 1 PARTIE 1 : GENERALITES GENERALITES GENERALITES SUR LES ANTISEPTIQUES Définition Mécanisme d action Les facteurs influençant l activité des antiseptiques Les qualités exigées d un antiseptique RAPPELS SUR LA FLORE BUCCALE Généralités Les bactéries choisies pour l étude Lactobacillus acidophilus Streptococcus mutans Actinomyces naeslundii DIFFERENTS COMPOSANTS DES BAINS DE BOUCHE LES BAINS DE BOUCHES ANTISEPTIQUES Bisguanides : Chlorhexidine Structure chimique Spectre d activité Propriétés et indications Inconvénients et effets indésirables Ammoniums quaternaires Hexahydropyrimidines Hexétidine Structure chimique Spectre d activité Propriétés et indications Inconvénients et effets indésirables Alcools Dérivés halogénés Phénols et dérivés phénoliques Aldéhydes... 31
5 Dérivés métalliques Agents oxydants non halogénés Acides Colorants Dérivés mercuriels Sanguinarine Récapitulatif des principaux antiseptiques cf. tableaux I et II LES BAINS DE BOUCHE ANTI-INFLAMMATOIRES LES BAINS DE BOUCHES ANTIBIOTIQUES LES BAINS DE BOUCHES AUX CORTICOÏDES LES BAINS DE BOUCHE FLUORES LES BAINS DE BOUCHE NEUTRALISANT DE LA MAUVAISE HALEINE LES BAINS DE BOUCHE UTILISES DANS NOTRE ETUDE ELUDRIL Composition Indications Contre-indications Posologie et mode d administration Interactions médicamenteuses Surdosage et mise en garde Durée de conservation HEXTRIL Composition Indications Contre-indications Posologie et mode d administration Interactions médicamenteuses et surdosage Durée de conservation... 42
6 PARTIE 2 : MATERIELS ET METHODES DETERMINATION DES CMI DES BAINS DE BOUCHE PAR MICROMETHODE DETERMINATION DES CMB DES BAINS DE BOUCHE PAR MICROMETHODE BIOFILMS DENTAIRES ET LEUR TRAITEMENT AVEC LES BAINS DE BOUCHE PARTIE 3 : RESULTATS ET DISCUSSION RESULTATS RESULTATS DES CMI ET CMB Résultats des CMI et CMB pour Eludril Résultats des CMI et CMB pour Hextril RESULTATS DES BIOFILMS IN VITRO Résultats des biofilms jeunes Résultats des biofilms matures DISCUSSION DISCUSSION DES RESULTATS DES CMI ET CMB Discussion des résultats d Eludril Discussion des résultats d Hextril DISCUSSION DES RESULTATS DES BIOFILMS Discussion des résultats d Eludril Discussion des résultats d Hextril Discussion des résultats des deux bains de bouche CONCLUION RESUMES BIBLIOGRAPHIE ANNEXES
7 - 1 - Introduction
8 - 2 - La flore orale est constituée d une grande diversité de microorganismes. Elle comprend des virus, des bactéries, des champignons, des mycoplasmes et parfois des protozoaires. Les bactéries, représentées par plus de 500 espèces (Kolenbrander 2000; Dewhirst et coll. 2010), occupent, au sein de cet ensemble, la part la plus importante. Les microorganismes qui colonisent les surfaces dentaires s organisent en biofilm, appelé plaque dentaire. Le biofilm dentaire ou plaque dentaire se compose de différentes populations bactériennes entourées d une matrice de polysaccharides et de glycoprotéines. La prévention des maladies associées à la présence de biofilm, telles que la carie dentaire ou les maladies parodontales, passe par le contrôle de ce biofilm dentaire. Celui-ci est réalisé le plus souvent par des moyens mécaniques, tel que le brossage, mais aussi par des moyens chimiques. Les agents chimiques sont utilisés surtout sous forme de bains de bouche, en complément des moyens mécaniques. Les agents anti-biofilm se définissent par leur capacité de perturber le biofilm et ainsi prévenir le développement de gingivite ou de carie dentaire. Tous les agents antimicrobiens n ont pas nécessairement ces propriétés. Les agents anti-biofilm actifs peuvent agir sur sa formation en interférant avec les mécanismes impliqués dans l adhésion bactérienne ou de coaggrégation entre les bactéries, en affectant la vitalité bactérienne ou
9 - 3 - en perturbant le biofilm déjà organisé. De nombreux agents antibactériens ont été testés dans des essais cliniques mais peu ont montré des propriétés antiplaques. Le digluconate de chlorhexidine (CHX) compte parmi les composés les plus éprouvés. Ses propriétés antiplaques sont bien établies. La CHX est un bisbiguanide cationique qui interagit avec les charges négatives de la pellicule acquise et inhibe l adhésion bactérienne à la surface amélaire. La CHX est également connue pour ses caractéristiques bactériostatiques vis-à-vis de la majorité des bactéries orales. À haute concentration, elle devient bactéricide et agit tel un détergent en endommageant les membranes bactériennes. L Hexétidine qui est un antiseptique de synthèse dérivé de la pyrimidine a prouvé sa capacité à réduire le biofilm supra-gingival et l inflammation gingivale, son effet anti-biofilm reste inférieur à celui de la chlorhexidine, tandis qu il présente une activité in vitro au mieux égale à la chlorhexidine. L objectif principal de cette étude est de comparer, in vitro, les effets antimicrobiens et anti-plaques de deux bains de bouche : Eludril et Hextril. Cette comparaison se fera : 1. Entre un Eludril fabriqué et commercialisé en France avec son homologue fabriqué et commercialisé au Maroc.
10 Entre un Hextril fabriqué et commercialisé en France avec son homologue fabriqué et commercialisé au Maroc. 3. Entre Eludril et Hextril. Cette étude sera réalisée sur des bactéries responsables de la carie dentaire (Streptococcus mutans, Lactobacillus acidophilus, Actinomyces naeslundii), dans leurs états planctoniques en déterminant les CMI et les CMB des bains de bouche (concentrations minimales inhibitrices, concentrations minimales bactéricides), et dans leurs états adhérés en biofilm in vitro que se soit immature (jeune) ou mature.
11 - 5 - Partie 1 : Généralités
12 GENERALITES : 1-1 GENERALITES SUR LES ANTISEPTIQUES : Définition : L antisepsie est un acte médical préventif ou thérapeutique vis-à-vis des infections localisées, superficielles ou profondes. Elle a été définie par l AFNOR (association française de normalisation) en 1999 comme étant «une opération au résultat momentané, permettant au niveau des tissus vivants, dans la limite de leur tolérance, d éliminer ou de tuer les micro-organismes et/ou d inactiver les virus, en fonction des objectifs fixés. Le résultat de cette opération est limité aux micro-organismes présents au moment de l opération». [57] Elle est réalisée au moyen d antiseptiques, leur spectre d activité est variable d un produit à l autre. Ils peuvent exercer sur les microorganismes soit un effet létal (bactéricide, fongicide et virucide), ou une simple inhibition de croissance (bactériostatique, fongistatique, virustatique). [54] Remarque : L appellation antiseptique est aujourd hui limitée aux produits utilisés sur la peau ou muqueuse lésée, alors que la désinfection concerne les surfaces inertes (sols, dispositifs médicaux, ) et la peau saine (solution biocide). (D.Muster, 2008). [61]
13 Mécanisme d action : Les antiseptiques ont un mécanisme d action caractérisé par une absence de spécificité aux concentrations utilisées : ils agissent globalement sur les différentes structures cellulaires par un mécanisme physico-chimique non spécifique. Les différents antiseptiques peuvent être classés selon leur mécanisme d action et l on peut distinguer ainsi: [61] Ceux qui dénaturent les protéines ; Ceux qui entrainent un éclatement osmotique de la cellule ; Ceux qui interférent avec des processus métaboliques spécifiques. Les antiseptiques qui causent une dénaturation des protéines ou un éclatement osmotique vont tuer les micro-organismes. Tandis que l interférence avec des processus métaboliques spécifiques affectent habituellement la croissance cellulaire et la reproduction, sans tuer la cellule. (D.Muster, 2008) [57] Les facteurs influençant l activité des antiseptiques : L étude des multiples phénomènes qui influencent l activité des antiseptiques (notamment les modalités d utilisation et le nombre des germes résiduels) est encore très incomplète.
14 - 8 - De nombreux facteurs physico-chimiques viennent modifier l activité des antiseptiques en intervenant sur leur disponibilité au niveau de leur(s) site(s) d action. (D.Muster, 2008) [61] (L. Ben Slama, M. Djemil, 2004) [11] La température : liée à l énergie d activation du produit. Les solvants : ils peuvent être synergiques ou antagonistes. ph : ph entre 5,5-8,5 : l activité des produits peut être totalement modifiée selon qu ils se trouvent ionisés ou non. Les électrolytes : les sels de l eau dure interférent avec de nombreux antiseptiques. Formation de complexes et adsorption : elles diminuent la disponibilité du produit. Les surfactants : l effet est lié à l affinité de l antiseptique pour les micelles. Concentration de l antiseptique : il existe une relation exponentielle entre la concentration de l antiseptique et le temps nécessaire pour obtenir l effet attendu. Distribution entre phases liquides non miscibles : effet liée au coefficient de distribution entre les phases. Temps de contact. Interaction avec les matières organiques.
15 - 9 - suivantes : Les qualités exigées d un antiseptique : Les principales qualités que l on attend d un antiseptique sont les [61, 54, 42] Action germicide puissante à basse concentration. Activité antimicrobienne rapide, létale et persistance (effet de rémanence dans le temps). Stabilité et résistance à la contamination, absence d inactivation par les cellules de l organisme, les fluides tissulaires ou les exsudats résultant de l infection : interaction avec les matières organiques. Adhésion et pénétration grâce à une tension superficielle basse lorsqu il est appliqué de façon topique sans absorption par les tissus en quantité susceptible d entrainer une toxicité générale. Efficacité contre les micro-organismes à une concentration non irritante pour les tissus, absence d interférence avec la guérison et la réparation tissulaire. Absence d induction d hypersensibilité même appliqué de façon répétée. Absence de toxicité en cas d ingestion accidentelle ou de résorption inattendue. D être stable et conserver ses caractéristiques dans le temps et dans la solution.
16 RAPPELS SUR LA FLORE BUCCALE : Généralités : La cavité buccale est l un des écosystèmes bactériens les plus complexes de l organisme. Plusieurs espèces de micro-organismes cohabitent dans le milieu buccal : bactéries, levures, protozoaires et virus. Cette cavité naturelle constitue avec le côlon, les parties les plus septiques de l organisme humain (M. Sixou et coll. 2006) [79] La flore bucco-dentaire renferme plus de 50 milliards de bactéries, réparties sur plus de 500 espèces différentes, soit plus de 20 genres distincts (AFSSAPS 2001, GENDRON et coll. 2000). [27] Ces différents groupes de bactéries colonisent les différentes surfaces buccales notamment en formant le biofilm. Le biofilm constitue un habitat bactérien important de la cavité buccale. Il s agit d une organisation bactérienne complexe (Eriksen HM et coll [22], dont les premiers stades de formation correspondent à un dépôt de glycoprotéines sur les surfaces des tissus durs ou des tissus mous baignant dans la salive. Cette première couche porte le nom de pellicule exogène acquise. Elle est principalement composée de glycoprotéines (albumine, lysozyme, amylase, phosphoprotéines riches en cystéine, IgA(s), lactoferrine, protéines riches en proline, statherine, mucines ), et est secondairement colonisée par des micro-organismes qui vont
17 s organiser en fonction de critères physico-chimiques, nutritionnels ou relationnels. (Diaz PI et coll. 2006). [21] Deux types de biofilms ont fait l objet d un grand nombre d études, Il s agit du biofilm supra-gingival et biofilm sous-gingival. Comme leurs noms l indiquent, ces deux types de biofilms sont définis en fonction de leur localisation anatomique par rapport à la gencive. Le biofilm supragingival est spécifiquement impliqué dans la pathologie carieuse alors que le biofilm sous-gingival est associé aux pathologies parodontales (gingivites, parodontites, Abcès parodontaux) (M. Sixou et Coll. 2006). [79] Les principales bactéries retrouvées dans le biofilm supra-gingival sont : Streptococcus sobrinus, S. mutans, S. sanguis, S. mitis, S. salivarius, Lactobacillus sp. Actinomyces sp. (notamment A. naeslundii). Des interactions spécifiques ont été décrites entre ces différentes bactéries. (M. Sixou et coll. 2006) [79] Bien que le biofilm dentaire ne puisse être éliminé, la pratique d une hygiène orale mécanique individuelle et quotidienne par un brossage dentaire, associée à des interventions professionnelles tel que le détartrage, permettent généralement un contrôle de l évolution du biofilm dentaire et [In 57] donc du risque pathologique. «Axelsson 1998» Cependant, dans certaines situations et/ou pour des populations à risque (difficulté de brossage, fumeurs ) des mesures supplémentaires doivent être envisagées.
18 Ainsi, de nombreux auteurs recommandent l usage de bains de bouche comme adjuvant à l hygiène orale mécanique (Addy et coll. 1994, Brecx et coll. 1992, Brecx et coll. 1993, Neutushil et coll. 1995). [In 57] L usage des bains de bouche ou de solutions en rinçage à propriétés antiseptiques dans la prévention et le traitement des pathologies buccodentaires est très ancien. Ceci a conduit, depuis environ 50 ans (Slanetz et Brown, 1949) [in74], au développement d études dont l objectif est de définir leur efficacité in vitro et in vivo. Notre étude qui a pour objectif de comparer l effet bactéricide et bactériostatique de deux bains de bouche antiseptiques (Eludril : Chlorhexidine à 0.1%, Hextril : Hexétidine 0.1%) ayant le même principe active mais fabriqués et commercialisés dans deux pays différents (France et Maroc), sera menée sur trois bactéries responsables de la carie dentaire. La carie dentaire qui est une maladie infectieuse, se manifeste par une déminéralisation acide d origine bactérienne. Trois genres bactériens ont démontré des propriétés cariogènes chez l animal : Streptococcus, Lactobacillus et Actinomyces. Les espèces directement impliquées dans les processus carieux sont : Streptococcus mutans, Streptococcus sobrinus, Streptococcus sanguis, Streptococcus salivarius, Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus casei, Actinomyces viscosus et Actinomyces naeslundii. [79] Si ces bactéries cariogènes rencontrent dans la cavité buccale des glucides fermentescibles, une quantité importante d acides se produit au contact des tissus durs de la dent. Le phosphate de calcium à la surface de
19 l émail passe en solution sous l action de la chute de ph si la salive n est pas capable de compenser, par son pouvoir tampon, la production d acides (Eriksen HM et coll. 2006). [22] Ce phénomène d acidogénèse du biofilm est responsable du processus carieux Les bactéries choisies pour l étude : Les bactéries que nous avons choisi dans notre étude sont : (Lactobacillus acidophilus, Streptococcus mutans et Actinomyces naeslundii) dans leurs états planctoniques (en suspension) et adhérés en biofilm Lactobacillus acidophilus : L appellation Lactobacillus a été proposée plus de 100 ans, en 1901 par Beijerinck M. W. L espèce acidophilus ''acide aimé'' a été ainsi probablement nommée parce que, historiquement, les lactobacilles sont isolés à partir de tractus intestinal et vaginal de l'homme et des animaux, où le milieu peut être très acide. [29] L. acidophilus est l'une des espèces les plus communément reconnues du genre Lactobacillus. Ceci est principalement dû à la commercialisation de cette espèce dans divers promotions de la santé, des aliments fermentés et des compléments alimentaires. [28] Les lactobacilles sont des bacilles rectilignes ou incurvés de longueur et d épaisseur variables. Ils sont immobiles, à Gram positif, asporulés et acapsulés le plus souvent (Figure 1). Les espèces les plus fréquemment
20 isolées dans la cavité buccale sont : L. acidophilus, L. casei, L. fermentum, L. crispatus, L. grasseri. [79] Le genre Lactobacillus est classé dans les bactéries lactiques. Leur caractère fortement acidogène les a fait classer en bactéries cariogènes. En fait, les lactobacilles sont des colonisateurs secondaires des cavités carieuses. Leur faible capacité d adhésion aux surfaces lisses explique leur localisation préférentielle dans les sillons et les faces occlusales. Dans les conditions normales, la salive et les tissus mous sont l habitat préférentiel des lactobacilles. [79] Le nombre de L. acidophilus décroit avec l âge, selon l étude de Gizani et coll. (2009) réalisée sur 93 enfants, de 3 à 12 ans. [72] Comme lactobacillus préfère des conditions microaérophiles, il est retrouvé en nombre important au niveau des canaux radiculaires. [80]
21 Figure 1 : Photos de Lactobacillus acidophilus : (a et b) culture sur gélose au sang, (c) microscopie optique après coloration de Gram, (d) microscopie électronique à balayage. Pr. T. Rochd
22 Streptococcus mutans : S. mutans est l un des streptocoques quantitativement dominants de la flore orale humaine. Il synthétise des polysaccharides extracellulaires à partir du saccharose salivaire. De nombreuses études ont montré le rôle étiologique de ce microorganisme dans la carie. Dans l espoir de mettre au point un vaccin anti carie. L antigénicité de S. mutans a fait l objet de nombreuses études. Cette espèce bactérienne a également été fortement impliquée dans l étiologie des endocardites infectieuses chez l Homme. [In 79] (Mitchell 2003; Banas 2004; Kuramitsu 2006) Le genre Streptococcus est constitué de petits cocci, de forme sphérique ou ovoïde, dont le diamètre varie entre 0.5 et 2 µm, ils sont immobiles, asporulés et à Gram positif, se retrouvent en paires (culture en boîte de Pétri) ou en chaînettes (milieu liquide) (Figure 2). Ce sont des bactéries anaérobies facultatives qui nécessitent un milieu de culture enrichi (gélose Columbia), additionné de sang de mouton 5% et une atmosphère avec 10% de CO 2. Leur métabolisme est de type fermentatif. (Schelgel et Bouvet, 2000) [74] Les streptocoques sont classés en quatre groupes ; les streptocoques de groupe D, les streptocoques pyogènes, généralement pathogènes pour l Homme, les streptocoques oraux peu ou pas pathogènes pour l Homme et les streptocoques non classés (Schelgel et Bouvet, 2000). [74] oraux. Les streptocoques mutans appartiennent au groupe des streptocoques
23 Les streptocoques mutans sont les bactéries prédominantes du biofilm cariogène, car ils sont les plus armés pour utiliser les glucides fermentescibles, en particulier, le saccharose de l alimentation. Ils possèdent de nombreux facteurs de virulence (Burne 1998, Banas 2004): [10,19] Leur seul habitat naturel est la surface dentaire. Ce sont des bactéries acidogènes; ils produisent des acides. Ils synthétisent des polysaccharides extracellulaires produits à partir du saccharose de l alimentation. Ces polysaccharides jouent un rôle prépondérant dans la cohésion des bactéries entre elles et dans leur adhérence à la surface de l émail. Ils possèdent de nombreuses adhésines, permettant une meilleure fixation aux surfaces dentaires et aux autres espèces bactériennes.
24 Figure 2 : Photos de Streptococcus mutans (a et b) culture sur gélose au sang, (c) microscopie optique après coloration de Gram, (d) microscopie électronique à balayage. Pr. T. Rochd
25 Actinomyces naeslundii : Le genre Actinomyces est constitué d'un groupe diversifié d'espèces à croissance lente qui sont à Gram positif, non sporulés, en forme de bacilles. Ce sont généralement, des bâtonnets droits ou légèrement incurvés de 0.2 à 1 µm de diamètre, de longueur variable, présentant parfois des renflements terminaux les faisant confondre avec les champignons. Ils peuvent se rencontrer seuls ou par paires avec des arrangements en V, You L, en palissade ou en petits groupes, ils sont catalase-négatifs. [30, 60] (Figure 3) Au microscope, les cellules semblent polymorphes, allant de courtes tiges aux longues formes filamenteuses avec une vraie ramification. Bien qu elles soient généralement classées dans les bactéries anaérobies, elles sont couramment décrites comme étant anaérobies facultatives, microaérophiles ou anaérobies obligatoires (Sarkonen et coll. 2001), (Forbes et coll. 2002). [73, 24] Certaines espèces se développent en présence d'oxygène, car ils sont fermentaires, elles n'utilisent pas l'oxygène comme accepteur terminal d'électrons et sont probablement mieux décrites comme étant anaérobies aérotolérants. La croissance de la plupart des espèces d Actinomyces est améliorée quand elles sont incubées avec l'augmentation de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ou le bicarbonate dans le milieu (Schaal 1986). [In 16]
26 Le genre Actinomyces est fortement représenté dans la cavité buccale et est présent sur l ensemble des surfaces orales. Il apparait chez le jeune enfant dès l éruption des dents et est capable de coloniser les surfaces dures ainsi que les espaces gingivo-dentaires. La colonisation de la cavité buccale par les espèces pionnères S. salivarus puis S. sanguis, S. mutans et Actinomyces va permettre l établissement de 200 à 300 espèces. On les retrouve essentiellement dans le biofilm dentaire, la salive, le tartre et les amygdales. (M. Sixou et coll. 2006) [79] Ces bactéries jouent un rôle important dans l étiologie des caries chez l Homme. en particulier A. naeslundii, et A. odontolyticus (Shuster 2002), (Trümmel et Behnia, 2002). Elles ont été plus spécifiquement impliquées dans les caries cémentaires (caries des racines généralement rencontrées chez des sujets de plus de 50 ans), (M. Sixou et coll. 2006). [71, 78, 82]
27 Figure 3 : Photos d Actinomyces naeslundii (a et b) : culture sur gélose au sang, (c) : microscopie optique après coloration de Gram et (d) : microscopie électronique à balayage. Pr. T. Rochd
28 DIFFERENTS COMPOSANTS DES BAINS DE BOUCHE: Un bain de bouche est une préparation médicamenteuse d utilisation locale externe. Il joue un rôle dans le traitement préventif, curatif et dans la maintenance de l hygiène dans diverses affections stomatologiques et pharyngées. être : Les bains de bouche possèdent des actions principales qui peuvent Anti-carieuse. Antibiotique. Antiseptique. Anti-inflammatoire. Antalgique. Cicatrisante Ils peuvent également avoir des effets adjuvants tel que l effet désodorisant.
29 LES BAINS DE BOUCHE ANTISEPTIQUES : Biguanides : Cette famille comprend principalement la chlorhexidine. La chlorhexidine est un biguanide chloré, découverte en 1950 en Angleterre. De part son efficacité clinique et microbiologique, la chlorhexidine «CHX» fait figure de «gold standard» ou la norme d or de l antisepsie orale. (Segreto et coll [75] ; Lang et Brecx [In17] ; Addy et coll. 1991a [1] ; Franco Neto et coll [In 86] ). Structure chimique : La formule développée de la chlorhexidine se compose de deux anneaux symétriques 4-chlorophényl et deux groupes biguanide reliés par une chaine centrale d hexaméthylène, comme illustré dans la figure 4. Spectre d activité : Les concentrations d efficacité optimale étant comprises entre 0.10% et 0.20%. Selon Sixou et Hamel 2002 [18], elle serait bactériostatique à faible dose et bactéricide à forte dose. En effet, à faible concentration la membrane cellulaire sera lésée, tandis qu à forte concentration les protéines et les acides nucléiques précipiteraient. (O. Jame et coll. 2004) [41]
30 Son action est très puissante sur les bactéries à Gram positif, en particulier les streptocoques (P. Agarwal, L. Nagesh 2011) [67], tandis qu elle a une activité plus faible et variable sur les bactéries à Gram négatif et les lactobacilles lui seraient résistants. Il en est de même pour les spores, mycobactéries et virus. Cet antiseptique possède également une activité fongistatique sur Candida albicans et est faiblement virucide in vivo. Propriétés et indications : Son pouvoir de fixation sur les tissus de la cavité buccale est à l origine de : la persistance de son effet bactéricide dans le temps (effet de rémanence). Sa capacité à prévenir la formation du biofilm dentaire supragingival et l apparition de gingivite «action anti-biofilm». Segreto et coll ont montré qu une concentration à 0.12% a la même efficacité que celle à 0.20% en termes de réduction du biofilm dentaire et gingivite, mais associée à une moindre fréquence d effets indésirables. [75]
31 Figure 4 : Structure chimique de la Clorhexidine. [48]
32 Les solutions pour bains de bouche (0.1% à 0.2%) peuvent se présenter seules «Corsodyl, Parodex, Prexidine..» ou associées à d autres principes actifs qui ont un effet analgésique ou anesthésique local : chlorobutanol, chloroforme, menthol «Exemple : Eludril». Ces bains de bouche sont utilisés dans la prévention de la formation du biofilm dentaire et l apparition des gingivites (réduction du biofilm de 40 à 60% selon les études) et aussi dans le traitement d appoint des infections bucco-dentaires et dans les soins pré- et post-opératoires lors de chirurgie parodontale ou extraction dentaire. Inconvénients et effets indésirables : On peut noter : [54] Coloration brunâtre superficielle réversible du dos de la langue, des dents, et des restaurations composites. Dysgueusie, sensation de brûlure ou de picotement de la langue. Desquamation de la muqueuse buccale. Allergie de contact. Incompatibilité chimique avec les dérivés anioniques (savon) Ammoniums quaternaires : Ce sont des agents tensio-actifs, ils possèdent un pôle hydrophobe et un pôle hydrophile, ce dernier étant chargé positivement, on parle de «surfactifs cationiques». Ils sont le plus souvent associés à d autres principes actifs : alcool, anesthésique local
33 Le chlorure de benzalkonium est le plus connu des ammoniums quaternaires, mais d autres existent tels que le cétrimide, le chlorure de miristalkonium, le chlorure de cétalkonium et le chlorure de cétylpyridinium. Ces deux derniers étant destinés aux affections buccodentaires Hexahydropyrimidines : L hexétidine est un antiseptique de synthèse dérivé de la pyrimidine, fréquemment rencontré dans les préparations à usage pharyngé et buccodentaire. [61, 54, 5] (Figure 5)
34 - 28-1,3-bis (2-ethylhexyl)-5-methyl-1,3-diazinan-5-amine Figure 5 : Structure chimique de l Hexétidine. [59]
35 Spectre d activité : La solution à 0.1% est plus active sur les bactéries à Gram positif que sur celles à Gram négatif, son action serait antibactérienne en bloquant la synthèse d adénosine triphosphate (ATP). [42] A concentration thérapeutique l Hexétidine n a pas d activité sur Candida albicans et les virus. [54] D autres études ont prouvé l activité de l Hexétidine in vivo et in vitro contre les bactéries à Gram positif, à Gram négatif ainsi que les levures (Candida. albicans). (Roberts & Addy 1981, Ashley 1984, Wile et coll. 1986) [In5] Propriétés et indications : L Hexétidine utilisé sous forme de bain de bouche «Exemple : Hextril» a un effet anti-plaque mais inférieur à celui de la chlorhexidine. Elle présente une activité in vitro au mieux égale à celle de la chlorhexidine (Roberts & Addy 1981, Ashley 1984). [57] Sa capacité à réduire la plaque dentaire supra-gingivale et l inflammation gingivale a été prouvée. (Sharma et coll. 2003) [70] Proposée dans le traitement des infections bucco-dentaires comme la gingivite, stomatite, les aphtes buccaux et en cas de mauvaise haleine.[5] L Hexétidine peut réduire jusqu'à 98% le nombre des germes de la salive directement après le rinçage, mais à raison de sa faible rétention
36 sur les surfaces buccales, les bactéries retournent à leur chiffre initial après 70 à 90 min (Roberts & Addy 1981)[ 57]. Inconvénients et effets indésirables [61, 42, 11] : Son action reste inférieure à celle des autres antiseptiques et sa durée d action est limitée. L Hexétidine possède une faible capacité de rétention aux surfaces dentaires par rapport à la Chlorhexidine. Contre indiqué chez les enfants de moins de 6 ans. Elle a comme effet indésirable une altération temporaire du goût et un engourdissement buccal Alcools : Les alcools sont des agents bactéricides pouvant être utilisés comme antiseptiques ou désinfectants, sont généralement peu toxiques lorsqu ils sont utilisés localement. Les composés les plus utilisés sont : l éthanol et le chlorobutanol, qui sont des agents bactéricides et servent aussi de solvants à de nombreux antiseptiques. Le chlorobutanol a un effet anesthésique local et commercialisé sous forme d association. (Exemple : Eludril qui associe le chlorobutanol et le digluconate de chlorhexidine) Dérivés halogénés : Les dérivés iodés et les dérivés chlorés sont les principaux dérivés halogénés utilisés comme antiseptiques en odontostomatologie, ce sont des agents oxydants très actifs.
37 Phénols et dérivés phénoliques : Le phénol fut le premier antiseptique utilisé pendant les interventions chirurgicales. Les principaux dérivés phénoliques retrouvés dans les bains de bouche : l eugénol, thymol, menthol, et le triclosan qui est un bis-phénol Aldéhydes : Les aldéhydes sont des substances résultant de l oxydation d un alcool. Les principaux dérivés sont l aldéhyde formique ou formaldéhyde et le glutaraldéhyde. Ce dernier est utilisé pour la désinfection du matériel médical qui ne peut supporter la chaleur comme les endoscopes Dérivés métalliques : Les métaux lourds sont les «vieux» antiseptiques dont l utilisation est considérablement restreinte ces dernières années, compte tenu de leur rapport efficacité/tolérance souvent défavorable. Représentés par l argent, le sulfate de cuivre et de zinc Agents oxydants non halogénés : Les oxydants sont très hautement réactifs, ils ont des propriétés antiseptiques par libération d oxygène. Le plus utilisé aujourd hui est le peroxyde d hydrogène (H 2 O 2 ) Acides : Ce sont des antiseptiques représentés par l acide acétique, l acide benzoïque et l acide borique.
38 Colorants : Les colorants sont des antiseptiques faibles qui sont de moins en moins utilisés : rouge à l éosine, vert de méthyle, cristal violet, ils peuvent être prescrits en solution aqueuse ou faiblement alcoolique Dérivés mercuriels : En raison de leur toxicité et de leurs effets indésirables importants, ils ont été retirés du marché Sanguinarine : C est un alcaloïde de synthèse extrait de Sanguinaria canadensis qui a des propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. Il inhibe les mécanismes d adhésion des bactéries à la pellicule exogène acquise. Malgré tout, cet agent tend à disparaître de la plupart des spécialités, car son activité in vivo reste faible. En effet, certains auteurs ont démontré une activité tant sur les bactéries que sur l inflammation gingivale, d autres semblent mettre en doute l efficacité du produit. [43] Récapitulatif des principaux antiseptiques cf. tableaux 1 et 2 :
39 Tableau 1 : Spectre d activité théorique des principaux antiseptiques (d après Plats et coll. 2002) : Bactéries à Gram positif Bactéries à Gram négatif Champignons Spores Virus VE Virus VN et Pox V Biguanides ± 0 Chlorhexidine Halogénés Dérivés iodés Dérivés chlorés Alcools ± Alcool éthylique 70 Alcool isopropylique Tensioactifs ? 0 Ammoniums quaternaires Diamidines Carbanilides ++ ± 0?? 0 Triclocarban Dérivés métalliques ± ± Oxydants + ++ ± + ± 0 Péroxyde d hydrogène 10 Vol Anaérobies Lentement levuricide Lentement virucide Colorants ± ± Activité létale : forte : +++ ; moyenne : ++ ; faible : + ; nulle : 0 ; non précisée :? ; VE = virus enveloppés : Herpes virideae (cytomégalovirus, varicelle-zona, herpès simplex, Epstein- Barr), virus des oreillons, de la rougeole, de la rubéole, de la fièvre jaune, de la rage, virus respiratoire syncytial, influenzae (grippe) et para influenzae, rétrovirus : VIH, HTLV, hépatite C, hépatite B (± hépatite D). VN = virus nus : entérovirus, polio, coxsackie, écho-virus, adénovirus, papillomavirus (verrues, condylomes), parvovirus, calcivirus, astrovirus ; Pox V = poxvirus (variole, vaccine, Molluscum contagiosum, ) virus enveloppé très résistant.
40 Tableau 2 : Adaptation des spectres d activité antibactérienne des antiseptiques à diverses pathologies buccales (d après Feki et coll. 2006) : Alcool Dérivés oxygénés Formaldéhyde Triclosan Listérine Sanguinarine Dérivés iodés Ammonium Hexétidine Chlorhexidine à 0,20% Chlorhexidine à 0,12% Gingivite Parodontite Flore agressive Flore perturbée Flore stabilisée Halitose candidose Complicatio ns post chirurgicales : Spectre adapté ; + : spectre moyennement adapté ; - : spectre inadapté.
41 LES BAINS DE BOUCHE ANTI-INFLAMMATOIRES: Ils sont utilisés en cas d inflammation et de saignement gingival provoqués ou non par le port d appareils orthodontiques. Ils contiennent souvent l énoxolone «Arthrodont» ou de l acide salicylique «Synthol». L absence de fluor et d antiseptique dans leur formule doit cependant limiter leur utilisation à usage ponctuel symptomatique destiné seulement à soulager l irritation. En effet, la cause de l inflammation ou du saignement est le plus souvent liée à une surcharge bactérienne buccale due à une accumulation du biofilm dentaire, et doit être prise en charge par un antiseptique. [15] 2-3 LES BAINS DE BOUCHE ANTIBIOTIQUES : La tétracycline est utilisée en bains de bouche de 2 minutes, quatre fois par jour, dans le traitement des aphtes, les aphtoses herpétiformes ou majeures en association avec la triamcinolone acétonide ou la nystatine. La tétracycline inhiberait l activité de la collagénase et son application locale semble agir également par action caustique en raison du ph très basique du chlorhydrate de tétracycline. [62] 2-4 LES BAINS DE BOUCHES AUX CORTICOÏDES : La prednisolone (Solupred 20 mg) en comprimés effervescents permet de réaliser un bain de bouche prescrit à raison de deux ou trois fois par jour, pur ou associé à l Eludril (si on veut éviter qu il soit avalé), essentiellement dans les cas de lichen érosif ou d ulcérations aphtoïdes. [62]
42 LES BAINS DE BOUCHE FLUORES : Ils participent à la lutte contre les caries dentaires, grâce à l action reminéralisante. Le fluor permet de diminuer la déminéralisation de l émail dentaire, il agit sur le métabolisme du biofilm bactérien par inhibition de la glycolyse et de la production d acides et de polysaccharides, exemple de bains de bouche fluorés : «Fluocaril, Elmex». [15] 2-6 LES BAINS DE BOUCHE NEUTRALISANT DE LA MAUVAISE HALEINE : Ils agissent principalement sur le développement des bactéries au niveau de la langue et des gencives. Les antiseptiques sont souvent associés aux agents neutralisant les enzymes qui produisent les composés sulfurés volatils comme les huiles essentiels «Listérine» et le lactate de zinc «Halita, Méridol Halitosis», ces derniers neutralisent les composés sulfurés volatils. [15] 2-7 LES BAINS DE BOUCHE UTILISES DANS NOTRE ETUDE On entend souvent dire que les médicaments fabriqués et commercialisés au Maroc sont moins efficaces que ceux fabriqués en France.
43 Les médias aussi parlent souvent de médicaments en circulation en Afrique et passant les barrières douanières marocaines, seraient de faux médicaments et contiendraient moins de principe actif ou pas du tout. Le but de notre travail est de confirmer ou d infirmer cette rumeur en réalisant une étude comparative de l effet bactéricide de deux bains de bouche fabriqués et commercialisés en France avec les mêmes fabriqués et commercialisés au Maroc. Les bains de bouche choisis pour cette étude sont (Figure 6): 1. Hextril : 0,1% d héxétidine 2. Eludril : 0,1% de Chlorhexidine gluconate
44 Figure 6 : Photo des bains de bouche antiseptiques choisis pour l étude
45 ELUDRIL : ELUDRIL est une solution pour bain de bouche. Il se présente sous la forme de flacon de 90ml. Composition : 0.5 ml de solution de digluconate de chlorhexidine à 20% pour 100ml de solution de bain de bouche. 0.5 g de chlorobutanol hémihydraté pour 100ml de solution de bain de bouche. Excipient aromatisé q.s.p : éthanol, glycérine, dioctylfosuccinate de sodium, nipagine, nipasol, rouge de cochenille, menthol naturel, essence de menthe, eau). Indications : ELUDRIL est utilisé depuis 40 ans pour le traitement local d appoint des affections de la cavité buccale et lors de soins postopératoires en odonto-stomatologie. Contre-indications : En cas d allergie connue à la chlorhexidine, au chlorobutanol ou aux autres constituants de la solution.
46 Posologie et mode d administration : Eludril est réservé à l adulte et à l enfant de plus de 6 ans. Il s utilise localement en bain de bouche (il ne faut pas l avaler). Sa posologie usuelle est de 10 à 15 ml de solution à diluer dans le gobelet doseur en complétant jusqu au trait supérieur avec de l eau tiède. 2 à 3 fois par jour pendant 30 secondes à chaque fois, sachant que la dose maximale est de 20ml (à diluer), 3 fois par jour. Il est nécessaire de se brosser les dents et de rincer la bouche à l eau avant chaque utilisation d Eludril. Interactions médicamenteuses : L utilisation simultanée ou successive d autres antiseptiques est à éviter compte tenu des interférences possibles (antagonisme, inactivation ). Surdosage et mise en garde : Un surdosage n est pas attendu dans les conditions normales d utilisation de cette solution en bain de bouche. Toutefois, en cas de passage systémique, des manifestations de toxicité neurologique peuvent apparaître. Elles seraient à traiter en milieu spécialisé. L usage prolongé de ce médicament peut modifier l équilibre microbien naturel de la bouche et de la gorge.
47 Durée de conservation : 3ans Hextril : Hextril est une solution pour bain de bouche, il se présente sous forme de flacon de 200 ou 400ml. Composition : 0.1g d Hexétidine pour 100ml de solution bain de bouche les autres composants sont : Polysorbate 60, saccharine sodique, salicylate de méthyle, huile essentielle de girofle, menthol, huile essentielle d anis, huile essentielle de menthe poivrée, huile essentielle d eucalyptus, azorubine 85% (E122) acide citrique monohydraté, éthanol à 96%, eau purifiée. Indications : Hextril est indiqué dans le traitement local d appoint des affections buccales la gingivite, stomatite, les aphtes buccaux et en cas de mauvaise haleine. Contre-indications : En cas d allergie à l Hexétidine ou de l un des autres composants contenus dans la solution bain de bouche. Posologie et mode d administration : Hextril est réservé à l adulte et à l enfant de plus de 6ans. Utilisation locale en bain de bouche (ne pas l avaler).
48 Hextril s emploie pur ou dilué en versant la solution bain de bouche dans le gobelet doseur jusqu'à l encoche indiquant 15ml et en complétant par de l eau en cas d utilisation d Hextril dilué, une dose 2 à 3 fois par jour. Il est nécessaire de se brosser les dents et de rincer la bouche avant utilisation d Hextril. Interactions médicamenteuses et surdosage : L utilisation simultanée ou successive d autres antiseptiques est à éviter. Certains constituants d Hextril (huiles essentielles) peuvent entraîner à doses excessives, des accidents neurologiques à type convulsion chez l enfant. Durée de conservation : 3ans à une température ne dépassant pas +25 C.
49 Partie 2 : Matériels et méthodes
50 DETERMINATION DES CMI DES BAINS DE BOUCHE PAR MICROMETHODE : Les souches bactériennes : Souches bactériennes testées : Streptococcus mutans (Prélevé et identifié dans notre laboratoire FMDC) Lactobacillus acidophilus (Prélevé et identifié dans notre laboratoire FMDC) Actinomyces naeslundii IP (souche référencée) Milieu de culture : Gélose trypticase soja (GTS) (Biokar Diagnostics) Bouillon trypticase soja (BTS) (Biokar Diagnostics) Neutralisant de l activité bactéricide : Thiosulfate de sodium 0.5% Tween 80 2% Lécithine 2 % Bouillon TS qsp Appareillage : Microplaques stériles à 96 puits (TPP, Suisse) Tubes à essais en verre stériles à fond rond
51 Boîtes de Pétri en plastique stériles pour culture (90 mm de diamètre) Etuve à 37 C (Binder) Hotte à flux laminaire vertical (Telstar Bio-II-A) Spectrophotomètre lumière visible (Jenway 6300) Micropipettes (100µl, 1000µl et multicanaux) Produits : Les solutions de bains de bouche utilisées sont : Eludril Maroc : (Laboratoire Inava, Pierre Fabre Médicament) Flacon de 90 ml : Chlorhexidine à 0.10% Eludril France : (Pierre Fabre, Oral Care) Flacon de 200 ml Chlorhexidine à 0.10% Hextril Maroc : (laboratoire Pfizer) Flacon de 200 ml : Hexétidine 0.1% Hextril France : (Laboratoire Famar Orléans) Flacon de 200 ml : Hexétidine 0.1%
52 Description de la méthode AFNOR : Pour la détermination des CMI et CMB, nous avons choisi d appliquer la microméthode en suivant les normes de l AFNOR (Association Française de Normalisation). L'activité bactéricide d'un agent antimicrobien est mesurée en mettant en contact les germes et le produit à tester pendant une durée de 5 minutes. L'action bactéricide est alors stoppée par transfert dans un mélange neutralisant (10 min) qui va inactiver l antiseptique et le diluer (méthodes de dilution neutralisation selon les normes AFNOR NF T72-150). D'après les normes AFNOR, la concentration minimale bactéricide est la plus petite concentration à laquelle le produit est capable de réduire d'au moins 10 5 fois (= réduction de 5log) le nombre de cellules vivantes après 5 minutes de contact germes-antiseptique. Au préalable, un test de validité du neutralisant doit être effectué. Le neutralisant doit stopper l'activité du désinfectant sans avoir d'effet bactéricide, il doit être capable de disperser les produits en émulsion, de stabiliser les cellules atteintes et les préserver de la mort jusqu'à leur mise en culture. On se doit alors de : * vérifier d'une part son innocuité sur les germes testés. Le neutralisant est alors mis en présence des germes pendant 10 mn de contact.
53 S'il n'a aucun effet létal, le nombre de germes/ml viables restant (N') doit être proche du nombre de germes/ml inoculé au départ (N). * s'assurer d'autre part de la bonne neutralisation de l antiseptique et de l'innocuité du ou des produits formés : un contact préalable de l'antiseptique avec le neutralisant pendant 10min, est nécessaire avant l'inoculation des germes. Si l'antiseptique est bien neutralisé et si les produits formés ne sont pas bactéricides, une quantité voisine de germes viables (n') doit être retrouvée après la mise en contact avec le mélange antiseptique/neutralisant. Détermination des CMI (Concentrations Minimales Inhibitrices): La CMI est la plus faible concentration d un antiseptique ou antibiotique capable de provoquer une inhibition complète de la croissance d une bactérie donnée, appréciable à l œil nu, après une période d incubation donnée. La microméthode est largement utilisée, notamment pour la détermination des Concentrations Minimales Inhibitrices (CMI) de divers produits antiseptiques et antibiotiques. Elle permet en effet de tester rapidement une plus large gamme de concentrations, ce qui serait difficilement réalisable avec la macrométhode de l'afnor; méthode trop lourde pour tester plusieurs paramètres dans des conditions strictement identiques.
54 Préparation des suspensions bactériennes : Les concentrations minimales inhibitrices et les concentrations minimales bactéricides ont été déterminées sur des bactéries en suspension. Les souches ayant été préalablement repiquées la veille sur gélose Trypticase Soja. Après vérification de la pureté des souches par coloration de Gram et observation de la morphologie microscopique. Les suspensions bactériennes ont été obtenues par écouvillonnage de la surface des géloses et dispersion dans le milieu de culture bouillon Trypticase Soja. Elles sont ajustées par la suite à environ 10 9 bactéries/ml correspondant à une mesure de la densité optique (DO : transmission optique : 40% à la longueur d onde 640 nm). Une dilution de 1/10 a été réalisée dans le bouillon TS pour l obtention d une concentration de 10 8 bactéries/ml. La microméthode utilisée est la suivante : Une distribution de 100 µl de bouillon Trypticase soja a été réalisée dans chaque cupule d une microplaque stérile à 96 puits à l aide d une pipette multicanaux. (Figure 7) Les dilutions de l'antiseptique sont réalisées de la 1 ère colonne à la 10 ème. 100 µl de la solution mère du produit testé sont ajoutés à la 1 ère colonne. A l'aide d'une pipette multicanaux, une homogénéisation est assurée, puis 100 µl sont transférés de la 1 ère à la 2 ème colonne, et ceci jusqu'à la 10 ème colonne (dilutions de raison 1/2).
55 Les colonnes 11 et 12 représentant respectivement les témoins positif et négatif, contiennent uniquement 100µl de bouillon TS. 100µl de suspension bactérienne ajustée à 108 bactéries/ml, a été introduite dans toutes les cupules de la microplaque à l exception de ceux de la 12ème colonne (témoin négatif). Les microplaques sont ensuite placées dans l étuve à 37 C sous anaérobiose. la procédure a été réalisée pour chaque souche bactérienne. La lecture des résultats se fait visuellement : après 48h d incubation. La plus grande dilution donnant lieu a une clarté identique au témoin négatif, représente la concentration minimale inhibitrice.
56 Figure 7 : Préparation de la microplaque pour la CMI.
57 DETERMINATION DES CMB DES BAINS DE BOUCHE PAR MICROMETHODE : Préparation des souches bactériennes : Les souches ayant été préalablement repiquées la veille sur gélose Trypticase soja. Une vérification microscopique de la morphologie des souches a été réalisée. Les CMB ont été déterminées sur les bactéries en suspension obtenues par écouvillonnage de la surface des géloses et dispersion dans le milieu de culture bouillon TS. Elles sont ajustées ensuite à 10 9 bactéries /ml, correspondant à une mesure de la densité optique (DO : 640nm, transmission optique 40%). La détermination des CMB par microméthode a été le plus rigoureusement possible, adaptée à celle préconisée par la norme AFNOR NF T , en respectant les concentrations, les temps de contact et les interprétations des résultats. La microméthode par dilution neutralisation utilisée est la suivante : Dans une 1 ère microplaque stérile à 96 puits, 100 µl d eau distillée stérile ont été distribués dans chaque puits de la microplaque. une distribution de 100µl des produits bains de bouche a eu lieu dans les puits de la 1ère colonne (deux cupules par produit).
58 les dilutions des bains de bouche (100µl) ont été réalisées de la 1ère colonne vers la 10ème (raison de ½) à l aide de pipette multicanaux. Les colonnes 11 et 12 présentant respectivement les témoins positif et négatif contiennent uniquement 100µl d eau distillée. 20 µl de suspension bactérienne ajustée à 109 bactéries/ml sur bouillon TS ont été introduits dans tous les puits de la microplaque à l exception de ceux de la 12ème colonne (témoin négatif). Après 5min de contact (± 10sec), 50µl de chaque puits a été transféré dans les puits correspondants d une 2ème microplaque contenant 150µl de neutralisant par puits à l aide d une pipette multicanaux. Après 10 min de contact avec le neutralisant, un repiquage de 1.5µl a été réalisé à l aide d un ensemenceur multipoint vers une 3ème microplaque contenant 200µl de milieu de culture bouillon TS. Les microplaques sont ensuite placées dans l étuve à 37 C sous anaérobiose pendant 48h. testée. La procédure a été réalisée pour chaque souche bactérienne Les résultats sont ensuite lus en observant la turbidité de chaque puits. L absence de croissance bactérienne correspond à une destruction supérieure ou égale à 10 5 bactéries/ml.
59 Figure 8 : Schéma illustrant la réalisation de la CMB par microméthode.
60 BIOFILMS DENTAIRES ET LEUR TRAITEMENT AVEC LES BAINS DE BOUCHE: Les biofilms ont été établis selon le modèle de biofilm Zürich (Guggenheim et coll. 2001) [73], qui a décrit un modèle de biofilm supragingival dans lequel les cellules sont cultivées en anaérobiose dans un milieu à base de la salive sur des disques d'hydroxyapatite revêtus d'une pellicule salivaire, avec un matériau, des pièces et des appareils communes à tous les laboratoires de microbiologie. Dans notre étude nous avons choisi d utiliser des incisives de bœuf comme support pour la formation du biofilm. Traitement des dents : Après leur extraction, les dents ont été raclées puis trempées dans une solution NaOCl à 5% pendant 2 heures, afin d éliminer les débris organiques attachés à la racine. (Perez F et coll. 1996) [66] La solution NaOCl a été renouvelée toutes les 30min (3 renouvellements ont été réalisés). La standardisation de la surface de l émail vestibulaire a été réalisée à l aide d un microtour et une fraise métallique en taillant les bords, afin d obtenir une surface d émail de 5 mm sur 5 mm (25mm 2 ). Une concavité au niveau du collet anatomique a été faite pour faciliter le raclage du biofilm par la suite.
61 Après leur standardisation, les dents ont été trempées dans une solution NaOCl à 5% pendant 1h avec un renouvellement de la solution après 30min. Les dents sont ensuite rincées abondamment à l eau distillée et stérilisées dans de l eau distillée (à 120 C pendant 20min) puis conservées à 4 C jusqu'à utilisation.(figure 9)
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailL hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée
L hygiène buccale et dentaire chez la personne âgée Un constat En France Si les Français déclarent user 1,5 6 brosses à 4,4 dents et 22 tubes de dentifrice par an, Journée CCLIN Paris Nord ARELIN NPC 10
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailLISTE DES AGENTS CONSERVATEURS QUE PEUVENT CONTENIR LES PRODUITS COSMETIQUES ET D HYGIENE CORPORELLE
ANNEXE V LISTE DES AGENTS CONSERVATEURS QUE PEUVENT CONTENIR LES PRODUITS COSMETIQUES ET D HYGIENE CORPORELLE PREAMBULE: 1-On entend par agents conservateurs les substances qui sont ajoutées comme ingrédients
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailLa science derrière Sonicare AirFloss
La science derrière Sonicare AirFloss Table des matières Enlèvement de la plaque 1 Réduction de la gingivite et élimination de la plaque 2-4 Maintien de saines habitudes de brossage 5 Sécurité 6 Préférence
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailLa carie dentaire - Plaque dentaire prophylaxie de la carie
La carie dentaire - Plaque dentaire prophylaxie de la carie 2 Le fluide buccal 2.01. La salive Fonction de la salive 2.02. Origine de la salive La salive glande salivaire 2.03. Composition de la salive
Plus en détail1.3 Recherche de contaminants au cours de la production de Saccharomyces boulardii
Série STL Biochimie génie biologique EPREUVE PRATIQUE 1. CONTROLE MICROBIOLOGIQUE DE PROBIOTIQUES Les préparations de probiotiques sont utilisées préventivement comme additifs dans l alimentation humaine
Plus en détailCHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE
CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailPeroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires
P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailImplants dentaires. Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES
Implants dentaires Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES Introduction La réussite d une thérapeutique implantaire
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailInsert System. BRANDplates. Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails
Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails BRANDplates Insert System H I G H - T E C H D I S P O S A B L E S Plaques de culture cellulaire et inserts innovants de BRAND pour la
Plus en détailRAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailEffet systémique d un complément alimentaire sur la plaque dentaire. et les dépôts de tartre
Effet systémique d un complément alimentaire sur la plaque dentaire et les dépôts de tartre Sune Wikner 1, Christina Timander 2, Jan Bergström 3 1. SweDenCare AB, Umea, Suède 2. Cabinet dentaire, Stockholm,
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détail!"#$%&#'()&*+",#%)-"#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3)
"#$%&#'()&*+",#%)-"#.),%)/&*01%')2%1'&0.%3) 4."2#0'+)5/","607#%+)) -.(+%1'%) 89:8)9;5) >%)?(10% ) 2%), @A60B1%)6,"*&,%) )))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))
Plus en détailRetrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel.
Retrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel. La Valeur d un Sourire 2 Qu est ce qu un implant dentaire? 3 Comparaison entre implant et dent naturelle
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailMINISTERE DE LA JEUNESSE, DE L EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE. ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Sciences de la Vie et de la Terre MEMOIRE
MINISTERE DE LA JEUNESSE, DE L EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Sciences de la Vie et de la Terre MEMOIRE Présenté par Anne-Lise BERTRAND Pour l obtention du diplôme
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailPériodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire.
Périodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire. Laver les surfaces à l aide d une solution d eau tiède et de savon,
Plus en détailKIT (de soins) POUR IMPLANT APORIS
KIT (de soins) POUR IMPLANT APORIS KIT (de soins) POUR IMPLANT APORIS Soins et nettoyage d implant Les implants peuvent résister toute une vie De nouvelles dents peuvent représenter une amélioration de
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage
PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailDouleur dentaire. LACAVITÉ BUCCALE constitue l habitat naturel de nombreux. est-elle d origine infectieuse?
L A B O U C H E R É V È L E L E S S E C R E T S D U C O R P S Douleur dentaire est-elle d origine infectieuse? 5 par Michelle Bourassa Simon, 9 ans, se présente au cabinet dentaire mardi en fin de journée.
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailTenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active!
aide à guérir. TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active! Soin de plaies Tenderwet active, le pansement irrigopour la détersion efficace et pratique de toutes La
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTraitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.
SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.
Plus en détailCODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)
SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc
NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailProduits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE
Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques
Plus en détailLA BONNE PROPHYLAXIE DES DENTS SAINES, UNE VIE DURANT
CHEF DE FILE EN BROSSESÀ DENTS CHEF DE FILE EN BROSSETTES INTERDENTAIRES CHEF DE FILE EN ÉDUCATION LA BONNE PROPHYLAXIE DES DENTS SAINES, UNE VIE DURANT Un savoir qui motive Un savoir-faire qui assure
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailNETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION
NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES
Plus en détailNotice publique PERDOLAN - PÉDIATRIE
Notice publique PERDOLAN - PÉDIATRIE Lisez attentivement cette notice jusqu'à la fin car elle contient des informations importantes pour vous. Ce médicament est délivré sans ordonnance. Néanmoins, vous
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détail92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE.
INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE. *Moyenne de tous les composants du kit de coloration ÆQUO COLOR 92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques ÆQUO, toute la philosophie de la marque
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailUniversité Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016
Université Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016 Orthodontie Ma. 07/07/2015 Je. 09/07/2015 Ve. 10/07/2015 Sa. 11/07/2015
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détail