LA LETTRE D ACTUALITÉS
|
|
- Céline Doucet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA LETTRE D ACTUALITÉS N Novembre 2014 SOMMAIRE 1) Tour d Europe des antibiotiques : résistance et consommation 2) La situation en établissements de santé Le mot de la rédaction 18 novembre ) La situation en ville 4) Réponses au quizz d octobre 2014 ACTUALITES Rapport de l ANSM L évolution des consommations antibiotiques en France entre 2000 et 2013 Retrouvez l intégralité du rapport sur le site de l Ansm ww.ansm.sante.fr Entre 2000 et 2013, la consommation d antibiotiques a baissé de 10,7%, mais elle a augmenté de 5,9% depuis En volume, plus de 90% de la consommation d antibiotiques se fait dans le secteur de ville et un peu moins de 10% à l hôpital. En 2013, les femmes représentent 59,3% des consommateurs d antibiotiques et les hommes 40,7%. 70% des prescriptions faites en ville se rapportent à des affections des voies respiratoires. L exposition aux antibiotiques est élevée à l hôpital où environ 4 patients sur 10 reçoivent, un jour donné, une dose d antibiotique. FORMATION ANTIBIOTIQUE LES INFECTIONS URINAIRES Jeudi 4 décembre Nantes Programme et inscription en pièce jointe La journée européenne d information sur les antibiotiques est à l initiative de l ECDC (European Centre for Disease prevention and Control). Depuis 2008, la France participe à cette journée de prévention et d information qui se déroule chaque 18 novembre, afin de sensibiliser professionnels de santé et patients face à la menace de la résistance des bactéries au regard des antibiotiques, et ainsi de maîtriser leur consommation pour favoriser leur efficacité dans les années futures. Le rapport de l OMS d avril 2014 est très alarmant. «Nous devons nous attendre à voir de plus en plus de morts par infection dans les années à venir [ ] surtout parmi les patients les plus vulnérables : les prématurés, les patients immunodéprimés, séropositifs ou qui viennent de subir un acte chirurgical lourd.» Il y a donc urgence à agir pour un usage raisonné des antibiotiques. Bonne lecture. L Equipe MedQual MedQual CHU de Nantes Hôpital Saint Jacques Nantes Cedex 1 Tel : /7
2 1) Tour d Europe des antibiotiques : consommation et résistance Il y a plusieurs décennies, le développement des antibiotiques dans la stratégie thérapeutique fut une révolution pour le traitement des maladies infectieuses. Aujourd hui, face à une utilisation massive et incontrôlée des antibiotiques, notamment dans les pays développés, des mesures de sensibilisation doivent être prises pour mobiliser professionnels de santé et patients à une utilisation raisonnée de ces traitements. En Europe, l augmentation de la résistance des bactéries aux antibiotiques est un problème de santé publique de plus en plus préoccupant. Dans de nombreux pays, les taux de résistance ont plus que doublé au cours des cinq dernières années (sources ECDC). En 2011, l'apparition de Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM) se stabilise, ou même parvient à diminuer, dans plusieurs pays européens. Toutefois, le pourcentage de SARM parmi les Staphylococcus aureus est resté au-dessus de 25 % dans huit des 28 pays déclarants de l'ue. Depuis quelques années, la résistance combinée à plusieurs antibiotiques est observée notamment pour Escherichia coli et Klebsiella pneumoniae dans plus d un tiers des pays déclarants de l UE. La consommation d antibiotiques ainsi que leur mode de prise conditionne l émergence de ces résistances. En Europe, la consommation des antibiotiques varie d un pays à l autre. On observe une consommation relativement importante chez les français, classant la France au 4 ème rang des pays les plus consommateurs d antibiotiques en Europe (4 ème rang en ambulatoire et 5 ème rang en établissement de santé). Ces derniers résultats montrent que la France se situe à un niveau de consommation d antibiotiques nettement supérieur à la moyenne européenne, même si elle n est plus le premier consommateur en Europe comme au début des années Figure 1 : Consommation d antibiotiques chez les patients en ambulatoire dans 29 pays européens en 2011 (exprimée en doses définies journalières (DDJ) pour habitants et par jour). Source : ESAC. 2/7
3 2) La situation en établissements de santé Dans les hôpitaux européens, la sécurité des patients est menacée face à la résistance des bactéries aux antibiotiques. Le taux de bactéries multirésistantes continue d augmenter, entrainant une prise en charge difficile par des traitements antibiotiques appropriés et à l origine de complications chez les patients, de séjours prolongés à l hôpital, de maladies plus graves, ou encore de décès évitables. Le site de l ECDC propose des témoignages de patients victimes de l émergence de ces résistances bactériennes. «Suite à la pose d un cathéter après un accident survenu en Inde, une bactérie résistante aux antibiotiques a colonisé mes urines. Cette bactérie (K. pseumoniae) s est avérée sensible à un seul traitement antibiotique : la colistine.» Lill-Karin, Norvège «Atteint d une leucémie myéloïde aigüe, mon système immunitaire était affaibli. Suite à une forte fièvre, les médecins ont découvert qu une bactérie (E.coli) très résistante colonisait mes intestins sans savoir ni comment ni pourquoi je l avais contractée. La production d une enzyme par ces bactéries leur confère une très grande résistance, même face aux antibiotiques de dernier recours (les carbapénèmes), rendant ainsi les traitements extrêmement difficiles.» Mohammed, Angleterre L utilisation inappropriée d'antibiotiques est retrouvée dans plusieurs situations : la prescription d antibiotiques lorsque ceux-ci ne sont pas nécessaires ; l administration retardée d antibiotiques chez des patients dans un état critique ; l utilisation trop généreuse d antibiotiques à large spectre ou l utilisation incorrecte d antibiotiques à spectre étroit ; une dose d antibiotiques plus faible ou plus forte que nécessaire chez le patient traité ; une durée du traitement antibiotique trop courte ou trop longue ; un traitement antibiotique non rationalisé en fonction des résultats de l antibiogramme. Grâce à une utilisation prudente des antibiotiques, chaque médecin prescripteur peut prévenir l émergence et la sélection de bactéries résistantes. La mise en culture Réalisation de cultures appropriées et à un stade précoce avant l instauration d un traitement antibiotique et mise en place du traitement antibiotique en fonction des résultats des cultures. La surveillance des schémas de résistance aux antibiotiques Une connaissance des schémas de résistance aux antibiotiques (antibiogrammes) permet de bien choisir le traitement antibiotique. La consultation de spécialistes Participation de spécialistes des maladies infectieuses, de microbiologistes et de pharmaciens lors des prises de décision concernant le traitement antibiotique pendant le séjour hospitalier du patient. Toutes ces mesures contribuent au Plan National d Alerte sur les Antibiotiques , mené par le Ministère chargé de la Santé et décliné en région par MedQual. 3/7
4 3) La situation en ville La médecine de ville est responsable de plus de 80 % des prescriptions d antibiotiques. La communication avec les patients est donc primordiale. La satisfaction du patient dépend plus d une communication efficace que du fait de recevoir une ordonnance d antibiotiques. Le conseil du professionnel de santé influence la perception des patients et leur attitude face à la maladie et face à la prise d antibiotiques. L ECDC propose une méthode de dialogue afin d entamer la discussion avec le patient et le convaincre que la non prescription d antibiotiques est justifiée. 3-1 Méthodes de dialogue avec le patient Source : Vous pouvez retrouver ces outils de communication sur le site de l ECDC à l adresse Rubrique «Matériels de campagne», «Informations à l intention des médecins». Des outils d information aux patients sont également disponibles. 4/7
5 Méthode de dialogue avec le patient Demander au patient quels sont ses symptômes. Recueillir les antécédents du Précise l histoire de la maladie actuelle. Décrit les antécédents médicaux et les facteurs de risque. Dresse la liste des médica- Discuter de la maladie du pa- NE PAS PRESCRIRE PRESCRIRE Demande des antibiotiques. S informe sur les traitements Donner des informations sur la résistance aux antibiotiques, les bénéfices potentiels et les effets indésirables des antibiotiques. Conseiller de ne pas prendre Conseiller le patient sur la dose et la durée du traitement antibiotique et lui recommander de signaler au médecin tout effet indésirable. Donner des informations sur la résistance aux antibio- Conseiller en matière de stratégies d auto-prise en charge, comme par exemple un traite- Informer sur l évolution prévue et conseiller de consulter de nouveau si les symptômes Susciter d autres questions de la part du patient pour lui faire exprimer ses inquiétudes. Confirmer que le patient a = médecin = patient Source : 5/7
6 3-2 Quand prescrire des antibiotiques? La Haute Autorité de Santé rappelle des notions clés concernant la prescription d antibiotiques : À SAVOIR Toute fièvre n est pas d origine infectieuse. Il n y a pas lieu de prescrire un antibiotique en cas de fièvre isolée. La plupart des infections sont virales. L utilisation de tests rapides d orientation diagnostique (TROD) permet d éviter des traitements antibiotiques inutiles : test de diagnostic rapide (TDR) dans l angine, bandelette urinaire dans la cystite. L aspect purulent ou muco-purulent des sécrétions nasales n est pas synonyme d infection bactérienne. En cas de doute sur l utilité d une prescription d antibiotiques, il est préférable de réévaluer l utilité à 48 heures. DANS QUELS CAS ÉVITER UNE PRESCRIPTION INUTILE D ANTIBIOTIQUE? Il n y a pas lieu de prescrire un antibiotique dans les infections suivantes, le plus souvent virales : rhinopharyngite aiguë, angine virale ; épisode grippal ; otite moyenne aiguë (OMA) de l enfant de plus de 2 ans ; otite moyenne aiguë congestive et otite séromuqueuse ; otite externe (en dehors de l otite externe maligne du diabétique) ; otorrhée sur drain ; bronchite aiguë de l adulte sain, y compris chez le fumeur ; exacerbation aiguë d une bronchite chronique simple (sans obstruction) ; exacerbation aiguë d une bronchite chronique obstructive légère ou modérée, en l absence de sécrétions purulentes ; bronchiolite ou trachéobronchite d évolution favorable dans les 72 heures, en l absence d OMA associée ; sinusite maxillaire de l enfant ou de l adulte quand l évolution sous traitement symptomatique est favorable. Retrouvez la fiche mémo complète sur le site de la Haute Autorité de Santé sur «Principes généraux et conseils de prescription des antibiotiques en premier recours». Février /7
7 4) Réponses au quizz d octobre / Concernant la gale humaine, indiquez la(les) réponse(s) vraie(s) : A : Depuis une dizaine d années, l incidence de la gale s est stabilisée. FAUX. La gale est en recrudescence. B : Elle touche préférentiellement les personnes de faible condition sociale. FAUX C : La transmission de la gale est accentuée par la vie en collectivité. VRAI D : Le nombre moyen de cas de gale est estimé à 345 cas/ hab/an. VRAI E : Seul l homme peut être contaminé. FAUX. L environnement (literie, canapés, mobiliers) peut aussi être infecté. 2/ VRAI/FAUX : A : Le prurit est dû à un parasite mâle : Sarcoptes scabiei. FAUX. C est la femelle. B : Le diagnostic s effectue principalement par la présence d un prurit à prédominance nocturne. VRAI C : Il faut rechercher systématiquement la présence de sillons scabieux.faux. Leur présence est inconstante. D : La transmission se fait par contact direct et indirect indifféremment.faux. La transmission s effectue majoritairement par contact direct. E : La contagion s effectue par contact rapide et rapproché. FAUX. Un contact rapproché et prolongé est nécessaire. 3/ Concernant la prise en charge de la gale : A : L ivermectine est le traitement oral de choix chez tous les sujets touchés par la gale. FAUX. Ce traitement n est pas adapté aux enfants de moins de 15 kg. B : Pour un sujet de 75kg, 5 comprimés d ivermectine en prise unique sont nécessaires. VRAI. La posologie est de un comprimé pour 15 kg de poids corporel. C : Tous les traitements de la gale sont remboursés à 65% par la Sécurité Sociale. FAUX. Seul le traitement oral est remboursé. D : L utilisation d un aérosol tel que le SPREGAL est contre-indiqué chez le sujet asthmatique. VRAI. E : Un prurit persistant nécessite une seconde application. FAUX. Le prurit peut persister jusqu à 4 semaines après le début du traitement. 4/ VRAI/FAUX A : La prise en charge de la gale n est pas toujours nécessaire. FAUX. Il n y a pas de guérison spontanée. B : Il est essentiel de traiter le patient, son entourage et son environnement. VRAI C : Si vous êtes en contact avec une personne infectée par la gale, utilisez immédiatement une solution hydro-alcoolique pour tuer le parasite. FAUX. Rien ne sert de désinfecter. Il faut éliminer le parasite par un lavage des mains et autres parties en contact. D : Un lavage des vêtements en machine à 60 C est nécessaire pour éliminer le sarcopte. VRAI E : Le traitement local de l homme peut être utilisé pour le traitement des canapés, mobiliers FAUX. Il existe un traitement spécifique pour l environnement. 7/7
Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détail«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?
«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailQuestionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans
_0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailL'OTITE CHEZ LE BÉBÉ ET L'ENFANT
L'OTITE CHEZ LE BÉBÉ ET L'ENFANT Certains bébés souffrent d otite à répétition, d autres n en auront jamais. Pour mieux comprendre ce problème d oreille, voici quelques renseignements de base et des conseils.
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE. Infections ORL et respiratoires basses
ANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE Infections ORL et respiratoires basses RECOMMANDATIONS 1 Les recommandations ont été établies par un groupe de travail multidisciplinaire, sous l égide de l Agence du
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailComment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?
Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailÉvaluation du régime général d assurance-médicaments
Évaluation du régime général d assurance-médicaments mémoire présenté à la Commission parlementaire des affaires sociales par la Fédération de médecins omnipraticiens du Québec LE RÉGIME GÉNÉRAL d assurancemédicaments
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailPolitique de remboursement des anti-infectieux? Dr Y. Van Laethem (ULB) Prof. P. Tulkens (UCL)
Politique de remboursement des anti-infectieux? Dr Y. Van Laethem (ULB) Prof. P. Tulkens (UCL) Séminaire de Pathologie Infectieuse UCL / St Luc 1 avril 2002 1 Qui sommes nous? Membres de La Commission
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailGENERALITES SUR LA GALE
DEPARTEMENT DES SPECIALITES DE MEDECINE Service de Dermatologie et Vénérologie HUG PRISE EN CHARGE DE LA GALE Fig. 1 : Sarcopte femelle, Taille entre 0,2 et 0,5 mm Source : laboratoire de dermatologie
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détail2. Accords généraux concernant la prescription
2. Accords généraux concernant la prescription INTRODUCTIon La prescription doit permettre au pharmacien de délivrer de manière adéquate le bon médicament. La prescription doit satisfaire à un certain
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS
SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailgale - Brochure d information -
gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailASSURANCE VOYAGE ET ANNULATION
ASSURANCE VOYAGE ET ANNULATION EST-CE QUE LA COUVERTURE OFFERTE AVEC VOTRE CARTE DE CRÉDIT EST SUFFISANTE I? Vous ne vous êtes probablement jamais soucié de l étendue de la couverture d assurance offerte
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailIntrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?
Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailDOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS Références juridiques : Articles L.5125-33 à L.5125-41, article L.5122-6-1 et article
Plus en détailBOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailVoyager avec la fibrose kystique
Fibrose kystique Canada Voyager avec la fibrose kystique Faites des recherches sur votre destination et obtenez toute la documentation requise afin d éviter surprises et retards. Préparez votre voyage
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS N.B. : la règlementation relative à la vente de médicaments par internet est susceptible de
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détail