Ordre du jour. 10h30-12h00: Bloc 1: Méthodes de tarification prix harmonisé prix unique Discussion questions 1 et 2

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Ordre du jour. 10h30-12h00: Bloc 1: Méthodes de tarification prix harmonisé prix unique Discussion questions 1 et 2"

Transcription

1 11 mars 2013 Belval

2 Ordre du jour 10h00-10h30: Introduction 10h30-12h00: Bloc 1: Méthodes de tarification prix harmonisé prix unique Discussion questions 1 et 2 12h00-13h00: Bloc 2: Modèles de tarification prix unique Discussion question 3 13h00-14h00: Pause midi 14h00-15h00: Bloc 3: Schémas de tarification sectoriels Discussion question 4 15h00-16h00: Bloc 4: Prise en compte des effets sociaux Discussion question 5 16h00-16h30: Résumé des discussions

3 Introduction - Cadre légal La Directive 2000/60/CE du 23 octobre 2000, transposée par la loi du 19 décembre 2008 relative à l eau. Objectifs jusque 2015 (resp. 2021/2027): bon état écologique et chimique des masses d eau de surface; bon état quantitatif et qualitatif des masses d eau souterraines. Moyens: Mesures multiples dont: tarification au coût réel selon le principe du pollueur-payeur (Verursacherprinzip), resp. de l utilisateur-payeur. sensibilisation à une utilisation parcimonieuse de l eau La récupération des coûts suivant le principe du pollueur/payeur et utilisateur/payeur ne constitue donc pas une fin en soi, mais un moyen pour atteindre un but.

4 Mesures Introduction contexte actuel Le programme de mesures du plan de gestion définit des mesures pour atteindre le bon état (investissement de près de 1,2 Mrd. jusqu en 2027). Très bon Bon Moyen Médiocre Mauvais

5 Introduction contexte actuel Rappel Seulement 7% des masses d eau de surface se trouvent actuellement dans un bon état (0% dans un très bon état).

6 Introduction contexte actuel Rappel 2 des 5 masses d eau souterraines se trouvent actuellement en mauvais état chimique.

7 Introduction syndicats Organisation dans le domaine de l eau potable Organisation dans le domaine de l assainissement

8 Introduction Avis reçus 47 Communes Berdorf, Bettembourg, Betzdorf, Bissen, Boulaide, Differdange, Dudelange, Echternach, Esch-sur-Sûre, Eschweiler, Ettelbruck, Feulen, Frisange, Grosbous, Hesperange, Junglinster, Käerjeng, Kayl, Kehlen, Koerich, Kopstal, Lac de la Haute-Sûre, Lorentzweiler, Mersch, Mondercange, Nommern, Parc Hosingen, Préizerdaul, Pétange, Putscheid, Roeser, Rosport, Rumelange, Sanem, Schifflange, Stadbredimus, Steinfort, Tandel, Tuntange,, Useldange, Vianden, Ville de Luxembourg, Wahl, Walferdange, Weiswampach, Winseler et Wormeldange 9 Secteurs de l eau ALUSEAU, DEA, SEBES, SES, STEP, SIACH, SIDEN, SIDERO, SIDEST 2 Chambres professionnelles Chambre des Métiers, Chambre des Salariés 8 Utilisateurs Centrale paysanne, Camprilux, Fédération des artisans, HORESCA, Mouvement écologique, OAI, ULC, UEL 1 Parti politique LSAP

9 Introduction Synthèse des avis 6% 3% 16% 30% tarification unique tarification harmonisée avis mitigé délai supplémentaire demandé non concernés 45%

10

11 1)Méthodes de tarification prix harmonisé Situation actuelle: Proposition de rééquilibrage communiquée et délibération conforme à la loi relative à l eau Proposition de rééquilibrage communiquée sans nouvelle délibération Proposition de rééquilibrage en cours Données insuffisantes pour rééquilibrage

12 1)Méthodes de tarification prix harmonisé Rôle et responsabilités des communes Mission originaire des communes: garantir l hygiène et la salubrité publique sur leur territoire décrets de 1789 et 1790; les lois successives que l Etat a édictées par la suite n ont rien changé à ce principe de base. La création et la gestion des infrastructures d approvisionnement en eau potable et d évacuation des eaux usées: responsabilité exclusive des communes; autonomie communale; le coût de revient de l eau se calcule au niveau communal; autant de prix de l eau que d opérateurs.

13 1)Méthodes de tarification prix harmonisé Rôle du MIGR Surveillance générale de la gestion de l eau par les communes en veillant à l application des lois et règlements. Dans le contexte du prix de l eau: faciliter aux communes et syndicats de communes la tâche de déterminer les coûts de l'eau; assurer une approche harmonisée pour l'ensemble des communes; Émissions de recommandations par voie de circulaires, Vademecum, fichiers informatiques* pour le calcul du coût de l'eau (Circulaire n 2821 du , précisée par les circulaires n 2877 du et n 2889 du ); Invitations répétées aux communes de faire parvenir leur schéma de calcul du coût de l eau à l AGE afin de pouvoir déterminer les facteurs permettant de rééquilibrer le prix de l'eau en tenant compte des conditions prévues par la loi.

14 1)Méthodes de tarification prix harmonisé - Rééquilibrages Des corrections et des rééquilibrages dans les schémas de calcul du coût de l eau ont été opérés sur base de critères objectifs qui tiennent compte des conditions géographiques de la région concernée ainsi que des conséquences économiques des coûts, permettant ainsi d aboutir à des résultats plus équilibrés et comparables.* Tous les secteurs (ménages, industrie, agriculture) bénéficient de ces rééquilibrages. Les résultats obtenus permettent ainsi d aboutir à une tarification répondant davantage aux attentes des différents secteurs sans recourir pour autant à des solutions spécifiques par secteur, tout en restant conforme au droit en vigueur. Une composante sociale est prévue par le biais de l articulation du prix, voire d autres mécanismes de compensation. * L article 12 4 de la loi dispose que les redevances peuvent être fixées par la commune en tenant compte des conséquences 12/03/2013 environnementales 11:02 et économiques des coûts ainsi que des conditions géographiques de la région. 14

15 1)Méthodes de tarification prix harmonisé - Rééquilibrages Rééquilibrage des conditions économiques via plafonnement forfaitaire du prix des services de l eau à hauteur de 7 /m3 (3,50 /m3 pour l eau potable et 3,50 /m3 pour l eau usée). Rééquilibrage des facteurs géographiques pour l eau potable Elimination de l effet «sources» qui désavantage les communes qui n ont pas un accès direct aux sources; Elimination de l effet «dispersion d habitat» qui désavantage les communes dont la population et/ou les localités sont disséminées sur un large territoire et requérant de ce fait un réseau de distribution dont le rapport longueur/débit est défavorable (via effet «PPRI»).** Rééquilibrage des facteurs géographiques pour l eau usée Elimination de l effet «amortissements» par la suppression partielle et forfaitaire du coût de la charge de l amortissement moyennant prise en compte de la moitié de l'amortissement renseigné (Principe d augmentation progressive); Elimination de l effet «Frais de fonctionnement» qui désavantage les petites communes dont la proportion nécessairement importante des frais fixes désavantage l exploitation optimale des services techniques de l eau.

16 1)Méthodes de tarification prix harmonisé - Rééquilibrages Prise en compte des facteurs géographiques Dispersion des zones d habitations au sein d une commune Elimination des interconnexions Effet PPRI Illustration graphique de l effet PPRI* *PPRI = Plus petit réseau d interconnexion

17 1)Méthodes de tarification - prix unique Le prix unique nécessite une réorganisation plus fondamentale des services liés à l eau et par conséquent des changements au niveau de la législation. Le prix unique entraîne une mutualisation des coûts entre les différents opérateurs des services et nécessitera une diminution des opérateurs L application d une tarification unitaire engendrera un surcoût pour 89% de la population et une réduction pour seulement 11% de la population.

18 1)Méthodes de tarification: prix unique /m3 Coût de revient unique (somme des coûts de l'échantillon/somme de la quantité d'eau) 6,24 Prix de l eau unique pour les différents secteurs Eau Potable Eau Usée Var. Fixe Var. Fixe /m3 /mm /m3 /EH Secteur des ménages (variable: 80% / fixe: 20%) 2,49 5,84 2,50 27,04 Secteur industriel (variable: 30% / fixe: 70%) 0,93 20,44 0,94 94,64 Secteur agricole (variable: 40% / fixe: 60%) 1,25 17,52 1,25 81,12 Exemples de Tarifications /an Comparaison par rapport au Prix harmonisé Banlieue ville Rural Nord urbain Agglomération sud Coût annuel pour un ménage-type % -10% -3% +19% Coût annuel pour une industrie-type % -21% -9% +8% Coût annuel pour une expl. Agricole type (céréalière) % -8% +5% +11% 18

19 1)Méthodes de tarification - prix unique Différentes options sont possibles afin d implémenter un prix unique de l eau au Luxembourg : a) l Etatisation des services liés à l utilisation de l eau b) la gestion commune de l eau dans le cadre d une société commerciale c) la gestion commune de l eau dans le cadre d un établissement public d) la mise en place d un syndicat de communes à rayonnement national e) la mutualisation des coûts sous forme syndicale ou étatique par la mise en place d une agence de compensation

20 Discussion: Questions 1 et 2 Êtes-vous en faveur de l introduction d une tarification unitaire de l eau? Quelle est la motivation de votre choix? Êtes-vous en faveur d une introduction progressive d une tarification unitaire? 1 ère étape : prix unique de l eau potable 2 ème étape : prix unique pour le cycle urbain de l eau (eau potable et assainissement)

21 Discussion : Questions 1 et 2 Avis reçus: spécificités du prix unique principe d'équité fondamentale Amortissement de la disparité des coûts entre régions approche solidaire nationale coût réduit pour 11% de la population de maximal 0,76 /m3 surcoût pour 89% de la population prix unique risque de diluer les mauvais investisseurs communaux dans le pool des opérateurs irréprochables risque d'entrainer une non-conformité du principe pollueur-payeur/utilisateur/payeur de la directive 2000/60/CE incitation aux investissements surdimensionnés, voire inutiles, le prix unique risque d'augmenter davantage, manque de transparence des investissements préserver l'attractivité du choix de résidence contre le surcoût du prix unique contraire au principe de l'autonomie communale / perte d'autonomie dans la gestion de l'eau Favorise la libéralisation des services de l eau

22

23 2)Modèles de tarification du prix unique Option I) Etatisation des services liés à l utilisation de l eau Une gestion durable, efficace professionnelle des infrastructures des services liés à l utilisation de l eau par la mise en place d un seul opérateur (utilisation rationnelle et efficiente des ressources humaines et matérielles, économies d échelle) Contrôle politique sur la tarification de l eau l État assume une fonction de contrôleur et de régulateur, en se chargeant de la gestion des infrastructures liées à l utilisation de l eau les communes ne sont plus impliquées ni dans la fourniture d eau potable ni dans l assainissement. La question du libre accès à la prestation de services se pose (directive services) Une intervention législative est requise (Constitution et législation communale)

24 2)Modèles de tarification du prix unique Option II) Gestion commune de l eau dans le cadre d une société commerciale Une gestion durable, efficace professionnelle des infrastructures des services liés à l utilisation de l eau par la mise en place d un seul opérateur (utilisation rationnelle et efficiente des ressources humaines et matérielles, économies d échelle) Meilleure flexibilité au niveau des stratégies d investissement et du fonctionnement de la structure Il y a de fortes différences de poids entre les différentes communes à l intérieur de cette structure (actionnariat) Les services liés à l utilisation de l eau sont soumis aux lois du marché Le contrôle politique sur la tarification de l eau est limité la solidarité et la mutualisation des coûts ne sont pas tout à fait dans la logique de fonctionnement d une société commerciale création d un opérateur unique pose la question du libre accès à la prestation de services Au sens strict la gestion des services liés à l utilisation de l eau n est plus un service public Une intervention législative est requise (Constitution et législation communale)

25 2)Modèles de tarification du prix unique Option III) Gestion commune de l eau dans le cadre d un établissement public Une gestion durable, efficace professionnelle des infrastructures des services publics liés à l utilisation de l eau par la mise en place d un seul opérateur (utilisation rationnelle et efficiente des ressources humaines et matérielles, économies d échelle) Meilleure flexibilité au niveau des stratégies d investissement et du fonctionnement de la structure Un certain contrôle politique sur la tarification de l eau Cette option ne répond pas au souci de préserver la notion de mission communale rattachée à la gestion de l eau. création d un opérateur unique pose la question du libre accès à la prestation de services Une intervention législative est requise (Constitution et législation communale)

26 2)Modèles de tarification du prix unique Option IV) Mise en place d un syndicat de communes à rayonnement national Une gestion durable, efficace professionnelle des infrastructures des services publics liés à l utilisation de l eau par la mise en place d un seul opérateur (utilisation rationnelle et efficiente des ressources humaines et matérielles, économies d échelle) Contrôle politique sur la tarification de l eau Meilleure flexibilité au niveau des stratégies d investissement de la structure création d un opérateur unique pose la question du libre accès à la prestation de services une intervention législative est requise (législation communale) cadre législatif rigide pour les syndicats intercommunaux

27 2)Modèles de tarification du prix unique Option V) Mutualisation des coûts sous forme syndicale ou étatique et mise en place d une agence de compensation Gestion des services liés à l utilisation de l eau reste au secteur communal Mutualisation des coûts avec possibilité de redistribution en fonction de critères tenant compte d une gestion durable de la ressource eau Contrôle politique sur la tarification de l eau Meilleure flexibilité au niveau des stratégies d investissement au niveau national Une intervention législative est requise (législation de l eau) création d un acteur supplémentaire dans le secteur des services liés à l eau

28 Discussion: Question 3 Quel est le modèle de la tarification unitaire que vous préconisez? a) étatisation b) société commerciale c) établissement public avec toutes les administrations communales d) syndicat intercommunal e) mutualisation

29 Discussion: Question 3 30 % des acteurs optent pour le prix unique Syndicat intercommunal Mutualisation 45 % des acteurs s opposent au prix unique Aucune des 5 options Opposition formelle générale à une gestion par une société commerciale!!!

30

31 3)Schémas de tarification sectoriels Les schémas de tarification sont décomposés pour les différents secteurs économiques : a) le secteur des ménages b) le secteur industriel «Grossverbraucher» > m3/an «Starkverschmutzer» > 300 EHm) c) le secteur agricole activité des agriculteurs, viticulteurs, éleveurs, arboriculteurs, horticulteurs, pépiniéristes, jardiniers, maraîchers, pisciculteurs, sylviculteurs et apiculteurs :

32 3)Schémas de tarification sectoriels Principe des vases communicants: Application globale du principe de la récupération des coûts, c est-à-dire parmi tous les consommateurs et non pas au sein de chaque secteur (ménages, industrie, agriculture): tout avantage accordé à un secteur particulier est automatiquement répercuté en surcoût sur les autres, un transfert au profit d un secteur est à charge de l autre! Conformément à l article 9 de la Directive 2000/60/CE, de tels transferts peuvent se faire «de manière appropriée» («angemessener Beitrag»).

33 Discussion Questions 4 Êtes-vous en faveur de l introduction de schémas de tarifications sectorielles supplémentaires? Si oui, lesquels?

34 Discussion Questions 4 introduction d'un secteur supplémentaire éventuellement secteur du tourisme (camping et HoResCa) tarification particulière pour le secteur de l'artisanat introduction d'un secteur gros utilisateurs introduction d'une tarification séparée pour la production de produits alimentaires éviter tout alourdissement administratif supplémentaire maintient du principe 3 secteurs afin d'éviter une politique discriminatoire d'une part entre secteurs commerciaux et ménages et d'autre part au sein des différents secteurs commerciaux

35

36 4)Prise en compte des effets sociaux Les communes disposent de plusieurs instruments pour la prise en compte de la composante sociale: Loi du 18 décembre 2009 organisant l aide sociale des ménages défavorisés prise en charge de l eau potable et usée pour les besoins de base (alimentation et hygiène) Loi du 18 décembre 2008 relative à l eau Articles 43 et 47: Les communes peuvent faire bénéficier certains ménages d une allocation à la vie chère pour l eau potable et l assainissement Remarque: L articulation du rapport partie fixe / partie variable du prix de l eau favorisant les familles nombreuses, p.ex: Coût Fixe Eau potable: 120 / raccordement 30 par tête pour une famille moyenne (dans une maison unifamiliale) 12 par appartement dans une résidence de 10 unités

37 4)Prise en compte des effets sociaux Établissement d un lien entre le subside du prix de l eau et la consommation d eau potable. facturation de l eau en fonction de la consommation afin d appliquer d un côté un prix réduit sur la consommation de première nécessité et d éviter de l autre côté le gaspillage de la ressource eau : Consommation Ristourne via Allocation de vie journalière/personne chère < 20 litres 90%* litres 50% > 100 litres 0% *Taux par rapport au tarif appliqué au secteur «ménage» dans la commune concernée. ristourne en faveur des bénéficiaires de l allocation de vie chère: entre 350 et 450 par an.

38 Discussion Questions 5 Êtes-vous en faveur de l introduction d une tarification de l eau à gradation sociale? Quel est le modèle que vous préconisez pour la prise en compte des effets sociaux? Selon vous, quels devraient être les destinataires d une prise en compte d effets sociaux au niveau de la tarification de l eau?

39 Discussion Questions 5 modèles gradation sociale proposé mettre une certaine quantité d'eau disponible à titre gratuit mise en œuvre d'une tarification progressive, voir échelonnée par tranches de m3: 1 tranche gratuite, 2eme tranche à x ainsi de suite Fonds de péréquation de l'eau les effets sociaux du prix de l'eau sont d'ores et déjà pris en compte par la loi du 18 décembre 2009 organisant l'aide sociale allocation de vie chère en contradiction avec le principe du pollueur-payeur, respectivement de l'utilisateur-payeur veiller à une charge administrative à un niveau faible

40

41 Conférence annuelle tarification de l eau Qualité de l eau Plus de transparence et ainsi plus d efficience (iwwergreiwend struktur) Prix unique =Solidarité (péréquation (?)) Emverdeelung Suen Deckelung 7 -art 12, 4 Secteurs: Grossverbraucher mei struktureiren Prix progressif- a voir avec commission si compatible avec pollueur-payeur Gradation sociale: allocation de vie chère acceptable pour la majorité Amortissement des infrastructures

Site www.inspectorat-men.lu : Guide du remplaçant Version 09.2010

Site www.inspectorat-men.lu : Guide du remplaçant Version 09.2010 Site www.inspectorat-men.lu : Guide du remplaçant Version 09.2010 Inspectorat-MEN.lu Guide du remplaçant Version 09-2010 Ce guide s adresse aux personnes qui effectuent des remplacements dans les classes

Plus en détail

Stratégie globale pour une mobilité durable

Stratégie globale pour une mobilité durable I. Les constats et les défis Stratégie globale pour une mobilité durable pour les résidents et les frontaliers 1 Stratégie globale pour une mobilité durable pour les résidents et les frontaliers Stratégie

Plus en détail

Présentation des projets de plans directeurs sectoriels

Présentation des projets de plans directeurs sectoriels Présentation des projets de plans directeurs sectoriels Le plan sectoriel logement PSL Sommaire Considérations générales Le PSL, ses éléments réglementaires et la mise en conformité des PAG 3 Considérations

Plus en détail

Enquête de l UEL portant sur les. Zones d activités économiques au Grand-Duché du Luxembourg

Enquête de l UEL portant sur les. Zones d activités économiques au Grand-Duché du Luxembourg Enquête de l UEL portant sur les Zones d activités économiques au Grand-Duché du Luxembourg Avril 2005 Sommaire Objectifs de l étude et moyens de mise en œuvre...1 Principaux enseignements tirés de l étude...2

Plus en détail

Le Dispatching de Heisdorf. Le centre de conduite pour l électricité et le gaz naturel. Energy in motion

Le Dispatching de Heisdorf. Le centre de conduite pour l électricité et le gaz naturel. Energy in motion Le Dispatching de Heisdorf Le centre de conduite pour l électricité et le gaz naturel Energy in motion Creos Luxembourg S.A. détient, gère et exploite des réseaux d électricité et de gaz naturel au Luxembourg.

Plus en détail

La formation comprend quatre domaines de compétences: 1. Connaître les TIC 2. S informer 3. Communiquer 4. Créer

La formation comprend quatre domaines de compétences: 1. Connaître les TIC 2. S informer 3. Communiquer 4. Créer La formation I N T E R N E T - F Ü H R E RS C H Ä I N transmet les connaissances et les compétences nécessaires pour être en mesure d utiliser les technologies de l'information et de la communication (TIC)

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

EDITION DU 7 JUILLET 2015

EDITION DU 7 JUILLET 2015 PackUp EDITION DU 7 JUILLET 2015 Sommaire La structure des adresses PackUp p. 3 La structure des adresses PackUp Import p. 5 PackUp p. 6 PackUp Sites p. 13 PackUp Stations 24/24 p. 15 2/15 PackUp en pratique

Plus en détail

MEMORIAL MEMORIAL. Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg. Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION

MEMORIAL MEMORIAL. Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg. Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 1463 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 101 14 juillet 2008 S o m m a i r e Règlement grand-ducal du 1 er

Plus en détail

INFORMATIONS UTILES. Guide pratique pour seniors

INFORMATIONS UTILES. Guide pratique pour seniors INFORMATIONS UTILES Guide pratique pour seniors Situation 01.11.2012 Mes numéros de téléphone importants Urgences 112 En cas d accident : ménage, circulation, travail, loisirs, etc. En cas d incendie et

Plus en détail

La banque d un monde qui change

La banque d un monde qui change NOS SOLUTIONS DE FINANCEMENT POUR VOS PROJETS Besoin d un crédit pour financer votre achat? Choisissez la formule qui vous convient. La banque d un monde qui change LE PRÊT PERSONNEL POUR UN ACHAT PLANIFIÉ

Plus en détail

La banque d un monde qui change

La banque d un monde qui change EASINVEST PLUS DE RENDEMENT POUR VOTRE ÉPARGNE Communication Marketing Avril 2015 La banque d un monde qui change 2 Avant de prendre une décision relative à un tel investissement, tout investisseur potentiel

Plus en détail

ensemble Rapport RSE 2013

ensemble Rapport RSE 2013 ensemble Rapport RSE 2013 Sommaire 4 Message du Directeur général 8 À propos de notre rapport 10 Groupe POST Luxembourg 26 Réalisations et engagements 2013 42 Comité d Évaluation 44 Indicateurs G4 50 GRI

Plus en détail

Réunion du conseil communal de la commune de Putscheid en date du 17 novembre 2011

Réunion du conseil communal de la commune de Putscheid en date du 17 novembre 2011 Réunion du conseil communal de la commune de Putscheid en date du 17 novembre 2011 Présences : Jean Kinn, bourgmestre ; Kanivé-Biewer Lotty, Aloyse Lieners, échevins ; Urhausen-Heischbourg Louise, Schirtz

Plus en détail

Assurance groupe ProLife Un régime complémentaire de pension, la protection aux profits partagés

Assurance groupe ProLife Un régime complémentaire de pension, la protection aux profits partagés Assurance groupe ProLife Un régime complémentaire de pension, la protection aux profits partagés Communication Marketing Septembre 2011 bgl.lu 2 Une assurance groupe attrayante L assurance groupe est un

Plus en détail

Astuces. L eau. moins. dépenser. pour

Astuces. L eau. moins. dépenser. pour Astuces pour! dépenser moins 2 >>> ÉDITO eau est une ressource précieuse, indispensable dans nos logements, que ce soit pour l alimentation, la préparation des L repas, l hygiène ou tout simplement notre

Plus en détail

IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND

IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003 François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND *CREDEN-LASER, Université Montpellier 1 GREEN, Université Laval, Québec Introduction Partout

Plus en détail

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011. Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,

Plus en détail

Faciliter l adhésion à une complémentaire santé

Faciliter l adhésion à une complémentaire santé Faciliter l adhésion à une complémentaire santé la CPAM de l Oise aide financièrement les assurés qui en ont besoin 4 octobre 2011 Contacts presse : Françoise De Rocker 03 44 10 11 12 francoise.de-rocker@cpam-oise.cnamts.fr

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Date : 29/01/99 Origine : AC Mmes et MM. les Directeurs Mmes et MM. les Agents Comptables. des Caisses

Plus en détail

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES

Plus en détail

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET)

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) (Articles 2, 47, 77, 78 et 99 de la loi de finance pour 2010) Actuellement, la taxe professionnelle (TP)

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e

RECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2487 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 162 110 14 22 août mai 2009 2014 S o m m a i r e Règlement grand-ducal

Plus en détail

BGL BNP Paribas vous accompagne à chaque étape de votre projet d installation au Luxembourg

BGL BNP Paribas vous accompagne à chaque étape de votre projet d installation au Luxembourg Bienvenue! BGL BNP Paribas vous accompagne à chaque étape de votre projet d installation au Luxembourg Vous venez d arriver au Luxembourg et vous envisagez d y installer votre résidence principale? Une

Plus en détail

SOCIETE MAROCAINE D ASSURANCE A L EXPORTATION

SOCIETE MAROCAINE D ASSURANCE A L EXPORTATION SOCIETE MAROCAINE D ASSURANCE A L EXPORTATION LA SMAEX, INSTRUMENT DE SÉCURISATION DES EXPORTATIONS Nezha LAHRICHI Présidente Directrice Générale 02 Novembre 2009 1 A propos de la SMAEX: Exporter c est

Plus en détail

DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX

DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX Monsieur AIT ABDERRAHMANE Abdelaziz Directeur Général de la Régulation et de l Organisation

Plus en détail

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2 Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:

Plus en détail

Pouvoirs locaux. Cadastre des subsides

Pouvoirs locaux. Cadastre des subsides Pouvoirs locaux Cadastre des subsides Pouvoirs locaux Sommaire Pourquoi un cadastre des subsides? Que trouverez-vous sur ce site? Quels sont les renseignements disponibles pour chaque subside? Comment

Plus en détail

012 10.01-2007. 1-1 0701

012 10.01-2007. 1-1 0701 1 «mobil 2020» signifie: 1. Relever les défis «mobilité» et «changement climatique» Amélioration considérable du partage modal entre les transports en commun et le trafic individuel motorisé Augmentation

Plus en détail

Mise sur le marché des engrais en Europe. Paris, le 9 septembre 2009. Vincent Delvaux

Mise sur le marché des engrais en Europe. Paris, le 9 septembre 2009. Vincent Delvaux Mise sur le marché des engrais en Europe Paris, le 9 septembre 2009 Vincent Delvaux Implémentation pratique des Articles 28 et 30 et 95 du Traité CE Législation harmonisée garantit que les produits sont

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE)

STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE) STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE) Circulaire 31 août 2012 Références : - Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations

Plus en détail

La tarification «intelligente» de l eau : tarifs progressif, différencié, social, saisonnier

La tarification «intelligente» de l eau : tarifs progressif, différencié, social, saisonnier Direction de la Stratégie, des relations institutionnelles et de la communication La tarification «intelligente» de l eau : tarifs progressif, différencié, social, saisonnier Suite à l'adoption d'un vœu

Plus en détail

Vu la directive 2004/49/CE du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 concernant la sécurité des chemins de fer communautaires modifiée ;

Vu la directive 2004/49/CE du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 concernant la sécurité des chemins de fer communautaires modifiée ; Avis n 2015-006 du 3 mars 2015 sur le projet d arrêté relatif aux tâches essentielles pour la sécurité ferroviaire autres que la conduite de trains, pris en application des articles 6 et 26 du décret n

Plus en détail

ASSOCIATIONS INTERMÉDIAIRES 28 MAI - TOURCOING 02 JUIN - BRUAY

ASSOCIATIONS INTERMÉDIAIRES 28 MAI - TOURCOING 02 JUIN - BRUAY LA GENERALISATION DE L ACCES A UNE COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE ET COLLECTIVE AU 1 ER JANVIER 2016 ASSOCIATIONS INTERMÉDIAIRES 28 MAI - TOURCOING 02 JUIN - BRUAY CCN ESS 1 OBJET DE LA REFORME La réforme

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT 1414214 D Intitulé du texte : projet de décret relatif aux modalités de calcul du taux annuel effectif de l assurance Ministère à l origine de la

Plus en détail

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences

Plus en détail

Cadre et Structures Organiques

Cadre et Structures Organiques 1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

Guide du Prêt au Logement

Guide du Prêt au Logement Aides étatiques Taux d intérêt Guide du Prêt au Logement sommaire Quand et pourquoi demander un prêt au logement? Différentes formules de prêt au logement : à chaque situation, sa solution! Quel montant

Plus en détail

Investir dans nos fonds

Investir dans nos fonds Investir dans nos fonds épargne RESPONSABLE INVESTISSEMENT diversifié PROJETS fonds d investissement bgl.lu L ensemble des indications est fourni à titre informatif et ne constitue ni une offre, ni une

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-1531 du 17 décembre 2014 relatif au taux des cotisations d allocations familiales et d assurance

Plus en détail

UNE MUTUELLE POUR TOUS

UNE MUTUELLE POUR TOUS Direction de la communication Tél. : 05 59 46 60 40 Courriel : communication@bayonne.fr Le 15 décembre 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE UNE MUTUELLE POUR TOUS LA PROPOSITION DE LA VILLE DE BAYONNE POUR UN EGAL

Plus en détail

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014

Plus en détail

Compte Courant à la Carte

Compte Courant à la Carte Compte Courant à la Carte Communication Marketing Septembre 2014 bgl.lu Votre compte courant personnalisé selon vos besoins Votre Compte Courant à la Carte c est : l Essentiel, des composantes indispensables

Plus en détail

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive

Plus en détail

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC

COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Phone/Fax Banking. Mode d emploi

Phone/Fax Banking. Mode d emploi Phone/Fax Banking Mode d emploi Communication Marketing Décembre 2009 3 Sommaire Téléphonez, c est facile! 6 Premier accès 8 Accès normal 9 BGL BNP Paribas 24/24 : double sécurité 30 4 BGL BNP Paribas

Plus en détail

COOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007

COOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007 COOPERATION DECENTRALISEE CESR 5 octobre 2007 La coopération internationale et décentralisée S insère dans le cadre plus large de l action extérieure des collectivités Regroupe les actions de coopération

Plus en détail

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe «Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter

Plus en détail

RAPPORT DU GROUPE I. Nouvelles gammes de produits et services financiers et accès accru aux produits et services existants

RAPPORT DU GROUPE I. Nouvelles gammes de produits et services financiers et accès accru aux produits et services existants RAPPORT DU GROUPE I Nouvelles gammes de produits et services financiers et accès accru aux produits et services existants MEMBRES DU GROUPE I 1. Raoul G.SANOU: Coordonnateur PAMER. PRESIDENT 2. Yacouba

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

Votre banque à distance

Votre banque à distance Votre banque à distance 1 Communication Marketing Mai 2010 Sommaire Votre banque à distance 5 Web Banking 6 Mobile Banking 7 Phone/Fax Banking 8 MultiLine 9 En bref 10 Sécurité : bon à savoir... 11 2 3

Plus en détail

Frontaliers belges, saviez-vous que vous avez des avantages à choisir une banque internationale?

Frontaliers belges, saviez-vous que vous avez des avantages à choisir une banque internationale? Frontaliers belges, saviez-vous que vous avez des avantages à choisir une banque internationale? Plus d informations dans une agence BGL BNP Paribas ou sur frontaliers-saviezvous.lu bgl.lu bgl.lu Parce

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris

Plus en détail

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Direction Générale Organisation et Ressources Humaines Direction des Ressources Humaines Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Personnel municipal - Adaptation du tableau des effectifs -

Plus en détail

Mémorial du. Memorial des. Großherzogtums Luxemburg. Grand-Duché de Luxembourg. N 19. Freitag, den 13. Mai 1949. Vendredi, le 13 mai 1949.

Mémorial du. Memorial des. Großherzogtums Luxemburg. Grand-Duché de Luxembourg. N 19. Freitag, den 13. Mai 1949. Vendredi, le 13 mai 1949. 391 Mémorial du Grand-Duché de Luxembourg. Memorial des Großherzogtums Luxemburg. Vendredi, le 13 mai 1949. N 19 Freitag, den 13. Mai 1949. Arrêté grand-ducal du 29 avril 1949 concernant la masse d habillement

Plus en détail

SYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges

SYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges SYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges Origine du projet et création du SYTEPOL Face à des difficultés d approvisionnement en eau potable constatées sur le Sud- Ouest du Département

Plus en détail

Conseil Communal du 6/07/2012

Conseil Communal du 6/07/2012 source : google Ville d Esch-sur-Alzette Conseil Communal du 6/07/2012 Stratégie 2012-2016 LOGEMENTS ETUDIANTS Esch-sur-Alzette, le 12 juin 2012 Inventaire des résidences en fonctionnement 1. Maison Victor

Plus en détail

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Pour en savoir plus : www.commercequitable.org

Pour en savoir plus : www.commercequitable.org Des centaines de millions de personnes sur la planète travaillent dans des conditions extrêmement précaires et pour des salaires dérisoires pour cultiver ou fabriquer des matières premières et des biens,

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE

1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE Les chefs d exploitation ou d entreprise agricole peuvent exercer plusieurs activités simultanément, sous forme d entreprise individuelle ou sous forme sociétaire. Ces activités peuvent être : 1- de nature

Plus en détail

Réaliser votre rêve du logement.

Réaliser votre rêve du logement. Réaliser votre rêve du logement. Epargne-Logement Financer et Assurer. Brochure d Information 3 Le financement immobilier en toute clarté. Une initiative en matière de conseil de la Caisse d Epargne- Logement

Plus en détail

Assurez votre avenir, diminuez vos impôts

Assurez votre avenir, diminuez vos impôts Assurez votre avenir, diminuez vos impôts Sommaire OptiPension. L assurance d une solution souple et avantageuse. 6 Un avantage fiscal conséquent Une épargne régulière OptiPension Classic OptiPension

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : JUSC1502013D Intitulé du texte : décret relatif à la liste limitative des prestations particulières et au contrat type de syndic prévus à l article 18-1

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

Marquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés

Marquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés Marquage CE Mode d emploi Août 2014 SOMMAIRE : I. Les produits concernés II. Les acteurs concernés a. Le fabricant b. Le mandataire c. L importateur d. Le distributeur III. La mise en conformité des produits

Plus en détail

Argumentaires Contre

Argumentaires Contre Parlamentsdienste Services du Parlement Servizi 13.095 del Parlamento Servetschs dal parlament Argumentaires Contre Remplacer la taxe sur la valeur ajoutée par une taxe sur l énergie. Initiative populaire

Plus en détail

La rémunération de l apprenti :

La rémunération de l apprenti : F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

réforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14

réforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14 réforme La fiscalité de la indirecte Avant-projet Avril 06 1/14 LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ INDIRECTE I. UNE FISCALITÉ INDIRECTE A BOUT DE SOUFFLE 1.1. Le constat : une fiscalité archaïque et inadaptée

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence

Plus en détail

Fermeture? Faillite? Le Syndicat libéral est là pour vous aider. Le Syndicat libéral est là pour vous aider. fermeture de votre entreprise

Fermeture? Faillite? Le Syndicat libéral est là pour vous aider. Le Syndicat libéral est là pour vous aider. fermeture de votre entreprise Fermeture? Faillite? Le Syndicat libéral est là pour vous aider Le Syndicat libéral est là pour vous aider Introduction L entreprise qui vous occupe a été déclarée en faillite. Certes, il s agit d un coup

Plus en détail

Votre projet immobilier Le guide pratique

Votre projet immobilier Le guide pratique Votre projet immobilier Le guide pratique Communication Marketing Septembre 2013 La banque et l assurance d un monde qui change bgl.lu Les projets 5 Acquérir un appartement dans une résidence sur plans

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Catherine EDWIGE, Hélène GASSIN et Jean-Pierre SOTURA, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Catherine EDWIGE, Hélène GASSIN et Jean-Pierre SOTURA, commissaires. Délibération Délibération du 16 juillet 2014 de la Commission de régulation de l énergie portant proposition de décret modifiant le décret n 2010-1022 du 31 août 2010 relatif aux dispositifs de comptage

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014

Pacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon

Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour

Plus en détail

La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010

La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010 La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010 1 Le règlement de copropriété Le règlement de copropriété est avant tout un contrat interne, dont les copropriétaires sont les parties contractantes.

Plus en détail

LE PROCESSUS DE GÉNÉRALISATION DE L ASSURANCE SANTÉ COMPLÉMENTAIRE EN FRANCE ET LE CADRE JURIDIQUE EUROPÉEN

LE PROCESSUS DE GÉNÉRALISATION DE L ASSURANCE SANTÉ COMPLÉMENTAIRE EN FRANCE ET LE CADRE JURIDIQUE EUROPÉEN Nouveaux enjeux de l assurance santé complémentaire en Europe LE PROCESSUS DE GÉNÉRALISATION DE L ASSURANCE SANTÉ COMPLÉMENTAIRE EN FRANCE ET LE CADRE JURIDIQUE EUROPÉEN Marion DEL SOL, Professeur de droit

Plus en détail

L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes. Réunion d information le 16 novembre 2012

L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes. Réunion d information le 16 novembre 2012 L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes Réunion d information le 16 novembre 2012 1. Introduction générale 2. Projection du film «Auto-construction accompagnée

Plus en détail

Congé de soutien/solidarité familiale

Congé de soutien/solidarité familiale Congé de soutien/solidarité familiale Si un membre de votre famille, handicapé ou dépendant, a besoin de votre présence pour quelques temps, sachez que vous pouvez désormais bénéficier d'un congé spécifique.

Plus en détail

LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013

LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

Édito. Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas.

Édito. Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas. Édito Le meilleur déchet reste celui que l on ne produit pas. Depuis janvier 2011, le Syndicat Emeraude s est engagé résolument dans un programme local de prévention. Ne nous limitons pas à l objectif

Plus en détail

Professionnels Le Compte Courant à la Carte

Professionnels Le Compte Courant à la Carte Professionnels Le Compte Courant à la Carte Communication Marketing Juillet 2012 bgl.lu Votre compte courant personnalisé selon vos besoins privés et professionnels Votre Compte Courant à la Carte, c est

Plus en détail

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail