17/11/2012. Trois interrogations. BO : maîtrise de la contamination aéroportée et traitement de l air

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1 BO : maîtrise de la contamination aéroportée et traitement de l air Dr Joseph HAJJAR Service d hygiène et d épidémiologie Trois interrogations Relation entre l air et la survenue d une infection du site opératoire Qualité requise de l air et son obtention Bonnes pratiques pour le maintien de cette qualité «Qualité de l air au bloc opératoire» Consensus formalisé d experts

2 AIR ET ISO Pathogénie de l ISO Déterminant principal / micro-organisme Source principale = patient Sources exogènes = équipe opératoire et environnement dont l air Facteurs de risque / abaissement du seuil nécessaire à la survenue de l ISO Acte et environnement Patient et défenses immunitaires Caractère multifactoriel de l infection Nombre de personnes en salle Classe élevée de chirurgie Hémostase Expérience du chirurgien Affection sévère Procédures multiples Drains Urgence Prothèse Traumatisme tissulaire Durée d'intervention > P 75 Immunodépression AIR Malnutrition Grand âge Obésité Cancer Infection à distance Pilosité Diabète Contamination de la zone opératoire Type de chirurgie Séjour préopératoire prolongé 2

3 Contamination de l air L air extérieur Particules (inertes de nature minérale ou organique) Microorganismes (levures, moisissures et bactéries) A l intérieur des locaux Augmentation des particules diverses installations re-largage par les textiles et matériaux émission par l homme en fonction de son activité particules rhinopharyngées et squames Augmentation des microorganismes homme, principal producteur de microorganismes Microorganismes (bactéries) Cheveux : 1 million / cm² Nez / bouche : 10 à 100 millions / g Aisselles : 1 à 10 millions / cm² Mains : 100 à 1000 / cm² Matières fécales : + de 100 millions / g Aéro et aérobiocontamination Aérocontamination Particules inertes Grosses Diamètre > 5µm, distance émetteur et récepteur < 1m, sédimentation relativement rapide Fines Diamètre 0,5 à 5µm, gouttelettes ayant séché, suspension longtemps, transport sur de longues distances Aérobiocontamination Bactéries portées par des particules de 1 à 2 µ Champignons portés par des particules de 3 à 4 µ 3

4 Classes particulaires * Classe particulaire Nombre maximal de particules > 0,5µm / m3 ISO ISO ISO * Norme NF S Juin 2003 En cours de révision Classes bactériologiques * Classe bactériologique Nombre de particules viables UFC / m 3 B B B * Norme NF S Juin 2003 En cours de révision Cinétique de décontamination particulaire Temps nécessaire pour obtenir une décroissance de 90 % (un log) / à un pic de pollution initial, obtenu par diffusion d une fumée froide à l aide d un générateur de fumée (poire à fumée par exemple) ou par une série de mesures de l empoussièrement en fin d activité Mesure réalisée toutes les minutes (créneau 0,5 μm et 5 μm/m 3 ) 4

5 Cinétique de décontamination particulaire Capacité d autoépuration d une salle Reflet des performances de ventilation Inférieure ou égale à 10 minutes si salle ISO 5 Inférieure ou égale à 20 minutes si salle ISO 7 Relation contamination de l air et contamination du site opératoire Chirurgie de classe 1 (implantation de prothèse) Nombre de micro-organismes présents au niveau du site opératoire plus faible si flux unidirectionnel (vs flux non unidirectionnel) Chirurgie de classe 2, 3 ou 4 Nombre de micro-organismes présents au niveau du site opératoire fonction d autres facteurs 5

6 Relation contamination de l air et taux d ISO Chirurgie de classe 1 (implantation de prothèse articulaire) Taux d ISO plus faible si flux unidirectionnel (vs flux non unidirectionnel) Bénéfice du flux unidirectionnel inférieur à celui de l antibioprophylaxie Chirurgie de classe 2, 3 ou 4 : Pas de preuve de la diminution des taux d ISO Relation contamination de l air et taux d ISO Comparaison des taux d ISO Air UP seul : 3,4 % à 1,6 % ATP seule : 3,4 % à 0,8 % Air UP + ATP : 3,4 % à 0,7 % Réduction de l incidence des ISO, avant tout liée à l antibioprophylaxie Supplément de gain de réduction avec de l air ultra propre dans la chirurgie orthopédique prothétique Lidwell OM, et al. Ultraclean air and antibiotics for prevention of postoperative infection. A multicenter study of 8,052 joint replacement operations. Acta Orthop Scand 1987;58(1):4-13. Au total Place de l air parmi les autres facteurs d ISO Pas bien quantifiée (étude expérimentale ou observationnelle) Surtout étudiée dans la chirurgie prothétique orthopédique 6

7 QUALITE DE L AIR ET SON OBTENTION Norme NF S juin 2003 Décrit l ensemble des processus à mettre en œuvre pour définir, concevoir, réaliser, livrer, réceptionner, exploiter et contrôler une installation technique destinée à maîtriser la contamination aéroportée (salle ou zone avec des activités sensibles à cette contamination) Laisse aux professionnels, la responsabilité d une analyse de risques pour établir le niveau d exigences de l installation En cours de révision Obtention Structure - 4 principes associés Gradient de pression Cascade de filtration Taux de renouvellement Régime de distribution Flux uni-directionnel Flux non uni-directionnel Organisation Comportement et discipline de l équipe 7

8 Structure Gradient de pressions Surpression Cascade de filtration Filtres G, F et HEPA Taux de renouvellement > 20 vol/h Régime de distribution Flux unidirectionnel (laminaire) Flux non unidirectionnel (turbulent) Régime de distribution Dilution Flux non unidirectionnel dont certains plafonds soufflants Mélange Rinçage Evacuation Par déplacement Flux unidirectionnel Effet piston ou balayage Mise en œuvre de grands débits Importance de la vitesse d air > 0.25 m/sec QUALITE DE L AIR ET SON CONTROLE 8

9 2 types d indicateurs De résultats Qualification de performances Contrôle des valeurs cibles de contamination attendue De processus Qualification opérationnelle de fonctionnement (Surpression, filtration, taux renouvellement ) En pratique Exigences des utilisateurs A définir à la conception ou lors de rénovation Maintenance préventive du système de traitement Contrôle des procédés (objectif préventif) et contrôle des résultats (objectif curatif) Carnet sanitaire de la centrale de traitement d air Points critiques Niveaux de qualité Actions correctives BONNES PRATIQUES POUR LE MAINTIEN DE LA QUALITE 9

10 Quelques éléments Ordre de passage du patient selon son statut Comportement de l équipe chirurgicale Bionettoyage et temps de repos Prise en charge des DM Qualité des textiles Maintenance préventive et curative des systèmes Témoins de fonctionnement Contrôles périodiques Formation des professionnels 10

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