Magnétisme. I. Les milieux matériels
|
|
- Clémence Cormier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Magnétisme Jusquà présent, nous avons étudié les propriétés des champs électriques et magnétiques dans le vide. Lorsque ces champs dépendent du temps, nous avons vu qu'ils sont solutions des équations de Maxwell. Une des conséquences de ces équations est la propagation des champs dans le vide. Les équations de Maxwell permettent de calculer les champs présents en un point de l'espace lorsque l'on connait les densités de charges et courants présentes en ce point. Or la matière, même neutre à notre échelle d'observation, et isolée de tout générateur, comporte des charges qui créent des champs. De plus ces charges sont susceptibles de se déplacer sous l'action de champs extérieurs appliqués, donc de générer des effets électromagnétiques différents selon les conditions extérieures. I. Les milieux matériels 1. Comportement des matériaux Une simple observation de la matière nous fait apparaitre sa grande diversité. En se limitant aux propriétés électromagnétiques, c'est à dire liées aux champs E ou B, et à leurs sources ρ et j, on constate que tous les matériaux n'ont pas, et de loin, les mêmes propriétés. Ainsi certains matériaux sont isolants ( j = 0 quelques soient les conditions extérieures), d'autres sont conducteurs ; parmi ces derniers, certains suivent la loi locale d'ohm j = E, d'autres non. Certains matériaux ont des propriétés magnétiques : les aimants. Ils génèrent un champ magnétique (alors qu ils sont en général isolants, et qu'il ne circule donc aucun courant dedans). 2. Charges dans la matière Les charges dans la matière se classent en deux catégories : * les charges liées, qui ne peuvent que très légèrement se déplacer à notre échelle d'observation sous l'effet d'une action extérieure ; * les charges mobiles qui peuvent se déplacer sur une grande distance, et dont le mouvement correspond à un courant électrique.
2 Par exemple pour les solides, les charges liées sont les noyaux et les électrons liés, les charges mobiles les électrons libres lorsqu'il y en a. Dans un gaz ionisé, qui comporte des ions chargés positivement et des ions chargés négativement, on peut avoir des charges mobiles des deux signes. Les conséquences électromagnétiques de la présence de matière vont résulter des influences de toutes ces charges. Les équations de Maxwell sont des équations locales qui font intervenir les densités volumiques de charges et de courants au point considéré. Elles dépendent des densités de charges et de courant associées aussi bien aux charges liées qu'aux charges mobiles. Pour comprendre l'influence des charges liées, prenons le cas d'un matériau isolant, globalement neutre. Il est constitué de noyaux chargés positivement et d'électrons chargés négativement, liés à un atome donné. En l'absence de champ appliqué, pour chaque atome le barycentre des charges positives et celui des charges négatives sont confondus, au centre du noyau. Le matériau est partout localement neutre. En présence d'un champ électrique appliqué, les noyaux et les électrons vont avoir tendance à se déplacer légèrement dans des directions opposées. Bien que ces déplacements soient faibles (en raison des forces de cohésion de la matière), les barycentres des charges positives et négatives ne seront plus confondus. L'atome constitue alors un petit dipôle, qui comme tout dipôle crée un champ électrique, qui s'ajoute au champ initial. Le champ agissant sur les charges est donc modifié, donc l'action sur ces charges aussi, donc la valeur du dipôle, donc la valeur du champ correctif...bien que le matériau reste globalement neutre, cette neutralité n'est plus vérifiée au niveau local, et le champ réellement présent dans la matière n'est pas celui appliqué de l'extérieur. De même si le champ appliqué est non stationnaire, les barycentres seront en mouvement ce qui traduit l'apparition d'une densité de courant associée aux charges dites "liées"... Ce sont ces petits déplacements des charges liées qui différencient les propriétés des différents matériaux, selon l'importance qu'elles prennent. Dans le vide (non vide de charges et de courants), il n'existe que des charges rigoureusement fixes ou totalement libres. Il existe deux types de matériau dans lesquels la situation sera plus simple : * ceux dans lesquels les propriétés sont dominées par les charges mobiles : les milieux bons conducteurs comme par exemple les métaux ou les plasmas ; * ceux dont les propriétés sont dominées par les charges liées ; Là encore, on constate deux cas : - les charges liées influent par leur présence mais leurs mouvements sont négligeables : c est le cas de certains milieux isolants tels l'air, l'eau ou le verre ; - les charges liées influent par les courants provoqués par leurs petits mouvements : c est le cas des milieux ayant des propriétés magnétiques. 3. Les milieux magnétiques L'expérience montre que les propriétés magnétiques des matériaux dépendent fortement de leur nature, et parfois aussi des conditions extérieures dans lesquelles ils sont placés.
3 Ainsi les "aimants" créent en permanence un champ magnétique autour d'eux ; un morceau de fer doux génère un champ magnétique seulement s'il est lui même plongé dans un champ extérieur (principe des électroaimants) ; le bois n'a aucune propriété magnétique, quelque soit les conditions extérieures. Les courants électriques génèrent des champs magnétiques ; par conséquent tout déplacement de charges dans la matière peut provoquer la création d un champ magnétique. Dans la matière, les électrons sont en mouvement de rotation orbitale autour du noyau ; chaque électron en mouvement constitue ainsi une source de champ magnétique. Dans un modèle simple, chaque électron a une trajectoire circulaire autour de son noyau (modèle de Bohr), ce qui est équivalent à une spire circulaire parcourue par un courant. Il est donc source d un champ magnétique. Cette notion de spire de courant permet une interprétation simple des propriétés magnétiques de la matière. II. Spires de courant (ou dipole magnétique) Elles constituent l élément fondamental de la théorie du magnétisme dans la matière. 1. Moment magnétique d une spire ds Soit un circuit C filiforme fermé, parcouru par un courant d intensité I. On oriente ce circuit suivant le sens de parcours de I. C I Σ Soit Σ une surface s'appuyant sur la courbe C, orientée par la règle du tire bouchon à partir de l'orientation de C. On définit le vecteur surface associé à la courbe C par : S = ds et le moment magnétique du circuit par : m = I S Un circuit caractérisé exclusivement par son moment magnétique est appelé dipôle magnétique. 2. Champ magnétique créé par le dipôle magnétique L'expression du champ magnétique créé à grande distance par un dipôle magnétique est admise.
4 u θ u r Μ θ Β =Β r u r + Β θ u θ B r = o 4 2 m cos r 3 B = o 4 m sin r 3 Lignes de champ créées par un dipole magnétique 3. Actions mécaniques subies par un dipôle magnétique Nous admettrons les relations données dans ce paragraphe. Considérons un dipôle magnétique m plongé dans un champ magnétique extérieur B ext ; ce champ n est celui créé par le dipôle lui même, mais provient des autres éléments présents (autres dipôles, aimants, courants...). On constate alors que le dipôle magnétique subit : * un couple de moment = m. B ext ; sous l action de ce couple, le dipôle va (s il est libre) pivoter sur lui même jusqu à atteindre une position où m et B ext sont colinéaires et de même sens (position stable) ou colinéaires et sens contraires (position instable). * une force résultante F = grad ( m * B ext ) ; sous l action de cette force, le dipôle va (s il est libre) se déplacer en suivant une ligne de champ en allant vers les zones de fort champ. Notons que cette résultante est nulle si le champ est uniforme. A cette interaction entre le dipôle et le champ extérieur on peut associer une énergie potentielle E p = m * B ext. On retrouve bien que la position stable, correspondant à un minimum d énergie potentielle correspond à m et B ext colinéaires et de même sens, et que cette énergie diminue en allant vers les zones de fort champ.
5 III. Propriétés magnétiques de la matière 1. Origine Dans la matière, les électrons sont en mouvement de rotation orbitale autour du noyau ; un électron en mouvement est donc équivalent (à grande distance, ce qui est vite réalisé compte tenu des dimensions de l'atome) à un dipôle magnétique. L'atome possède en général plusieurs électrons ; le moment magnétique de l'atome est la somme vectorielle des moments de chaque électron. En général, les moments associés aux différents électrons ayant des directions aléatoires, le moment résultant est nul. Les théories quantiques qui prennent en compte à la fois le mouvement orbital de l'électron mais aussi son spin, montrent que le moment résultant est essentiellement dû au moment magnétique des électrons célibataires, lorsqu'il en existe. Les matériaux sont ainsi classés en plusieurs catégories, dont les principales sont : * les corps diamagnétiques : ils ne possèdent pas d'électrons célibataires, et n'ont pas ou très peu de propriétés magnétiques. Exemples : N 2 Cl 2 * les corps paramagnétiques : ils possèdent des électrons célibataires. Chaque atome ou molécule possède un moment magnétique non nul, mais par agitation thermique ces moments sont orientés de manière aléatoire les uns par rapport aux autres. Le moment magnétique résultant est nul, ces matériaux ne présentent pas de moment magnétique permanent à l'échelle macroscopique en l'absence de champ extérieur. Si l'on applique un champ extérieur, les dipôles élémentaires auront tendance à s'aligner sur ce champ, et le moment résultant ne sera plus nul. Le matériau aura alors des propriétés magnétiques, qui disparaitront si l'on supprime le champ extérieur. * les corps ferromagnétiques : comme les précédents, chaque molécule possède un moment non nul, mais les interactions entres ces dipôles sont très fortes, plus fortes que l'agitation thermique, et les dipôles qui ont tendance à s'orienter parallèlement entre eux sous l action d un champ extérieur (comme pour les matériaux précédents) conserveront cette orientation même après suppression du champ extérieur. Ces matériaux présentent des propriétés magnétiques permanentes. 2. Vecteur aimantation Dans un élément de volume dτ de matière centré en M, chaque molécule possède un moment magnétique dipolaire. m i Soit dm le moment dipolaire résultant d'un élément de volume dτ (soit la somme vectorielle de tous les moments dipolaires atomiques présents dans ce volume dm = ). On définit le vecteur aimantation M par : dm = M d m i Le vecteur aimantation représente donc le moment dipolaire magnétique par unité de volume présent dans la matière.
6 Comme sous l'effet d'un champ magnétique appliqué les dipoles élémentaires ont tendance à s'aligner parallèlement les uns aux autres, le vecteur aimantation est une grandeur fonction du champ appliqué. C'est de plus une grandeur locale, car B n'est pas nécessairement uniforme. 3. Cas des matériaux ferromagnétiques Dans le cas des milieux ferromagnétiques, les dipôles élémentaires sont intenses, et vont, sous l'action d'un champ magnétique extérieur appliqué, s'aligner sur la direction de ce champ. L'aimantation résultante sera alors forte. Cette tendance à l'orientation est en compétition avec l'agitation thermique qui tend elle au contraire à répartir les dipôles dans toutes les directions, ainsi qu'à des effets microscopiques liés à la cohésion de la matière qui s'opposent à la rotation des dipôles (comparable à une force de frottement solide). En fonction du champ extérieur appliqué, l'aimantation va évoluer entre M = 0 (situation où les dipôles élémentaires sont répartis de façon isotrope) et une valeur maximale M = M s (situation où tous les dipôles élémentaires sont exactement colinéaires et de même sens). Cette valeur maximale est appelée aimantation de saturation. Cette saturation fait que le matériau ne peut pas être linéaire. 4. Champ magnétique généré Au champ magnétique extérieur va s ajouter ceux créés par tous les dipôles. Si les dipôles sont répartis de façon aléatoire ( M = 0 ) les directions des champs magnétiques créés par chacun des dipôles seront elles même aléatoires donc de résultante nulle. Si à l inverse M est non nul, un champ magnétique sera généré par l ensemble des dipôles. Dans le cas où M = M s, tous les dipôles créent en un point d obsevation donné des champs colinéaires et de même sens, donc le champ magnétique résultant sera fort. On obtient ainsi des champs de l ordre du Tesla ( le champ magnétique terrestre en France est de l ordre de T ) 5. Aimants Le principe des aimants est d amener à une orientation non aléatoire des dipôles dans un matériau (par l action d un champ extérieur, les dipôles vont s aligner dessus) afin d obtenir M non nul, puis de conserver cette propriété d alignement lorsque le champ extérieur est supprimé. Cette propriété est obtenue pour les matériaux ferromagnétiques, en raison des forces de frottements qui dominent les effets de l agitation thermique. Un aimant peut donc être décrit comme un dipôle magnétique de moment La carte de champ qu il génère est donc la même que celle créée par un dipôle isolé. M par unité de volume.
7 IV. Equation de Maxwell Ampère Dans le vide, l éqution de Maxwell Ampère relie le champ B à la densité de courant j lib corresondant aux mouvements des charges libres et à la densité de courant de déplacement : j d Rot B = o ( j lib + j d ) avec j d = Ø E o Ø t 1. Sources de champ magnétique dans la matière Nous venons de voir que les matériaux ferromagnétiques (généralement isolants) pouvaient générer un champ magnétique par le mouvement des charges LIEES. Et que ce champ magnétique est dépendant de la valeur du vecteur aimantation M. On va donc étendre l équation de Maxwell Ampère en y ajoutant une distribution de courant j lié dont l expression doit dépendre de M. Rot B = o ( j lib + j d + j lié ) Equation de Maxwell Ampère pour B Nous admettrons la relation liant et M : j lié j lié = Rot M 2. Vecteur excitation magnétique L équation de Maxwell Ampère s écrit donc : Rot B = o ( j lib + j d + Rot M ) Soit Rot ( B o M ) = o ( j lib + j d ) On définit le vecteur excitation magnétique H par : B = o ( H + M ) L équation de Maxwell Ampère s écrit alors :
8 Rot H = j lib + j d Equation de Maxwell Ampère pour H Rmq : La définition du vecteur excitation magnétique conduit à la relation dans le vide, entre ces deux vecteurs : B = o H 3. Cas de l ARQS a) Equations locales Dans le cadre de l ARQS, les équations précédentes deviennent : Rot B = o ( j lib + Rot M ) qui montre que les sources de B sont les courants électriques libres et l aimantation ; Rot H = j lib qui montre que les sources de matériels. H sont les courants électriques libres même dans les milieux b) Théorème d Ampère Dans le vide, à partir de l équation Stokes, établi le théorème d Ampère : Rot B = o j lib nous avions, en utilisant le théorème de (c) B (N). d l N = o I e Avec C une courbe fermée orientée, I e le courant enlacé par cette courbe (courant qui traverse une surface Σ s appuyant sur C et orientée par la règle du tire bouchon). Dans un milieu matériel, la même méthode conduirait à devoir prendre en compte l intensité enlacée associée aux courants liés (conséquence du terme Rot M ), ce qui rend en pratique le théorème non exploitable. Par contre on peut procéder de même à partir de la formulation locale pour H : Rot H = j lib entrainera (c) H (N). d l N = I e où I e correspond exclusivement au courant associé aux charges libres (donc au courant réellement mesurable, car on peut le faire passer dans un circuit extérieur comportant un ampèremètre).
Plan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailDifférents types de matériaux magnétiques
Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille
Plus en détailContrôle non destructif Magnétoscopie
Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détail5. Les conducteurs électriques
5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,
Plus en détail!!! atome = électriquement neutre. Science et technologie de l'environnement CHAPITRE 5 ÉLECTRICITÉ ET MAGNÉTISME
1 DÉFINITION DE L ÉLECTRICITÉ ET DE LA CHARGE ÉLECTRIQUE 2 LES FORCES D ATTRACTION ET DE RÉPULSION L électricité c est l ensemble des phénomènes provoqués par les charges positives et négatives qui existe
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailF = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailChapitre 7 : CHARGES, COURANT, TENSION S 3 F
Chapitre 7 : CHARGES, COURANT, TENSION S 3 F I) Electrostatique : 1) Les charges électriques : On étudie l électricité statique qui apparaît par frottement sur un barreau d ébonite puis sur un barreau
Plus en détailLES APPAREILS A DEVIATION EN COURANT CONTINU ( LES APPREILS MAGNETOELECTRIQUES)
Chapitre 3 LES APPARELS A DEVATON EN COURANT CONTNU ( LES APPRELS MAGNETOELECTRQUES) - PRNCPE DE FONCTONNEMENT : Le principe de fonctionnement d un appareil magnéto-électrique est basé sur les forces agissant
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailUne réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen
Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Manière heuristique d'introduire l'approximation de champ moyen : on néglige les termes de fluctuations
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailTravaux dirigés de magnétisme
Travaux dirigés de magnétisme Année 2011-2012 Christophe GATEL Arnaud LE PADELLEC gatel@cemesfr alepadellec@irapompeu Travaux dirigés de magnétisme page 2 Travaux dirigés de magnétisme page 3 P r é s e
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailÉlectricité. 1 Interaction électrique et modèle de l atome
4 e - AL Électricité 1 Électricité 1 Interaction électrique et modèle de l atome 1.1 Électrisation par frottement Expérience 1.1 Une baguette en matière plastique est frottée avec un chiffon de laine.
Plus en détailMathématiques et petites voitures
Mathématiques et petites voitures Thomas Lefebvre 10 avril 2015 Résumé Ce document présente diérentes applications des mathématiques dans le domaine du slot-racing. Table des matières 1 Périmètre et circuit
Plus en détailCHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailPropriétés électriques de la matière
1 Propriétés électriques de la matière La matière montre des propriétés électriques qui ont été observées depuis l antiquité. Nous allons distinguer les plus fondamentales de ces propriétés. 1 Propriétés
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailPHY2723 Hiver 2015. Champs magnétiques statiques. cgigault@uottawa.ca. Notes partielles accompagnant le cours.
PHY2723 Hiver 2015 Champs magnétiques statiques cgigault@uottawa.ca otes partielles accompagnant le cours. Champs magnétiques statiques (Chapitre 5) Charges électriques statiques ρ v créent champ électrique
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailMagnétisme - Electromagnétisme
Magnétisme - Electromagnétisme D re Colette Boëx, PhD, Ingénieur biomédical Neurologie, HUG et Faculté de médecine Figures principalement issues de : - "Physics for scientists and engineers, with modern
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détail3 Charges électriques
3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailDe la sphère de Poincaré aux bits quantiques :! le contrôle de la polarisation de la lumière!
De la sphère de Poincaré aux bits quantiques :! le contrôle de la polarisation de la lumière! 1. Description classique de la polarisation de la lumière!! Biréfringence, pouvoir rotatoire et sphère de Poincaré!
Plus en détailTechniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité
Techniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité Andreea Grigoriu avec Jean-Michel Coron, Cătălin Lefter and Gabriel Turinici CEREMADE-Université Paris Dauphine
Plus en détailCARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT
TP CIRCUITS ELECTRIQUES R.DUPERRAY Lycée F.BUISSON PTSI CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT OBJECTIFS Savoir utiliser le multimètre pour mesurer des grandeurs électriques Obtenir expérimentalement
Plus en détailÉlectricité statique. Introduction. Quelques étapes historiques importantes
Électricité statique Introduction L'électricité statique peut apparaître comme peu importante de nos jours en regard de l'électrodynamique mais cette dernière a été précédée historiquement par l'observation
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailTP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT
TP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT Introduction : Certaines substances, lorsqu on les frotte, sont susceptibles de provoquer des phénomènes surprenants : attraction de petits corps légers par une règle
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailINTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X
INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailThéorie : Introduction
Méthode et objectifs Electricité et électronique Quelques symboles conventionnels L'anglais en électronique Théorie : Introduction Méthode et objectifs Compte tenu du fait que cet ouvrage s'adresse à des
Plus en détailLes effets de température
Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailOn peut accumuler la charge on la déposant sur un corps métallique isolé. Expérience: Frottement verre contre soie et plastique contre peau de chat.
LCD Physique IV e III. Electricité 1 III. Electricite 1. Charges électriques 1.1. Electrisation par frottement Thalès de Millet (600 av. J.C.) savait déjà que si on frotte un morceau d'ambre jaune (en
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailLa notion de temps. par Jean Kovalevsky, membre de l'institut *
La notion de temps par Jean Kovalevsky, membre de l'institut * Introduction : le temps classique Nous avons de la notion de temps une connaissance primaire, vivant dans un présent coincé entre un passé
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailNotice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker
Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction
Plus en détailLE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL?
Document professeur Niveau : Seconde LE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL? Compétences mises en œuvre : S approprier : extraire l information utile. Communiquer. Principe de l activité : La question posée à la classe
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détail