Périmètre coopératif et alliances entre groupes coopératifs : une analyse en terme d innovations

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1 Périmètre coopératif et alliances entre groupes coopératifs : une analyse en terme d innovations Pierre Triboulet UMR AGIR Toulouse Maryline Filippi USC GAIA ENITA Bordeaux PSDR3 en Midi-Pyrénées, un programme co-financé par : 1

2 Contexte et enjeux Un contexte de mutations organisationnelles des coopératives agricoles qui questionne : leurs capacités à trouver les moyens financiers pour se développer leur positionnement au sein des filières face à la concentration des acteurs de l aval et à la pression des marchés leurs modes de gouvernance en lien avec le développement des groupes coopératifs Un enjeu de compréhension des évolutions des coopératives agricoles : Déterminants des fusions-acquisitions et des partenariats Efficacité de la forme coopérative 2

3 Objectifs Mesurer les contours du périmètre coopératif Organisation sous forme de groupes coopératifs Concentration et diversification des activités Hétérogénéité des formes organisationnelles Caractériser les modalités d alliance entre groupes coopératifs comme innovations organisationnelles Gouvernance des alliances Déterminants du choix et de l intensité des alliances Question : les innovations organisationnelles sont-elles suffisantes pour permettre aux coopératives agricoles de faire face aux enjeux actuels? 3

4 Plan 1. Des constats sur la coopération agricole 2. Les choix théoriques et méthodologiques 3. La mesure du périmètre coopératif 4. Les alliances stratégiques 5. Discussion 4

5 1- L importance des opérations de fusion-acquisition Trois faits marquants dans ces opérations (Coop de France, 2010) Développement européen et international Renforcement des leaders coopératifs Partenariats Un nombre de coopératives qui diminue : Source : Coop de France, 2010 Environ 1 nouvel agrément pour 3 retraits sur (HCCA, 2010) 5

6 1- Un poids important mais variable de la coopération agricole 75% des agriculteurs adhèrent à une coopérative (Coop de France, 2010) Les coopératives agricoles pèsent 40% de l agroalimentaire (Coop de France, 2010) 1 seule coopérative agricole dans le top10 des coopératives agricoles européennes (Cogeca 2010, Essec 2011) Des chiffres qui varient beaucoup selon les sources et les modes de mesure 6

7 1- Une activité institutionnelle soutenue : lois dites de modernisation de la coopération agricole Renforcer les fonds propres et développer la filialisation 2004 : plainte auprès de la Commission Européenne à l encontre du régime fiscal dérogatoire des coopératives agricoles Enfreinte à la concurrence versus prise en compte des contraintes spécifiques 2006 : Loi d Orientation Agricole avec la création du Haut Conseil de la Coopération Agricole HCCA : 3 sections Juridique, Révision et Economique et financière 2008 : statut de Société Coopérative Européenne transposé dans le droit français Mais aucune SCE à ce jour en France 2012 : année internationale des coopératives Les coopératives, des entreprises pour un monde meilleur Les coopératives comme un modèle de gouvernance pour un développement durable : place des alliances comme innovations organisationnelles 7

8 2- Choix théoriques et méthodologiques Enjeu théorique : les coopératives sont-elles des entreprises comme les autres? Banalisation, démutualisation versus identité, spécificité Quelle est l influence des statuts sur le fonctionnement des coopératives? Sociétés de personnes à capital variable Détention et contrôle démocratique par les associés-coopérateurs Double exclusivisme sur les activités Impartageabilité des réserves Statut assorti d options 8

9 2- Une approche centrée sur les liens financiers Quelles théories peut-on mobiliser pour les analyser? Efficacité de la forme coopérative et besoin de coordination pour assurer la production de biens agro-alimentaires Coûts de transaction, droits de propriété, agence, contrats (Cook, ) Modes de gouvernance des coopératives et enjeux du développement durable Valeur partenariale, ressources, compétences La prise en compte des frontières légales de la firme est importante pour comprendre le fonctionnement économique (Hodgson, 2002) L identification des spécificités coopératives Le lien financier comme indicateur de la possession et du contrôle (Morin, 1998) Identification des groupes d entreprises mais aussi des alliances capitalistiques Révélation des modes de gouvernance 9

10 2- La mesure du périmètre coopératif Prise en compte des liens financiers via le taux de détention du capital social (propriété et contrôle) Mobilisation des enquêtes nationales sur les entreprises («petites coopératives», EAE- Enquête Annuelle d Entreprise, LIFI-Liaisons Financières) 1995, 2000 et 2005 Partenariat avec le SSP sur la base de données «coopératives» Identification des différentes formes de contrôle entre entreprises Contrôle exclusif : groupe Contrôle partagé : 50/50, autres cas Détermination de l activité dominante des groupes : produit et secteur 100 P P7 30 P8 C1 100 P2 30 P4 10 C2 C3 C P P5 90 P6 10

11 2. La place des alliances dans les relations inter-entreprises Définition d une alliance stratégique Coordination de moyens (compétences, ressources) sur une activité ou un projet donné entre entreprises (potentiellement) concurrentes Focus sur les liens financiers : alliances capitalistiques Liens intra-groupes Structure unitaire de gouvernance Liens minoritaires Interdépendances entre groupes Motivations à nouer des alliances Caractéristiques internes : taille, structure, diversification/spécialisation Caractéristiques externes : localisation, présences d autres groupes à proximité géographique, secteur 11

12 2- Identification et modélisation des alliances Bases de données statistiques nationales Enquêtes LIFI (Liaisons Financières) et EAE (Enquêtes Annuelles d Entreprises) en 2005 Identification des alliances Présence d au moins deux entreprises de groupes distincts dans le capital social d une société quel que soit le taux de détention (> 1%) Plus de 50% du capital social détenu par les groupes étudiés (minimum 1 groupe coop, minimum 2 groupes coop) Modèles de régression Sur variable qualitative oui/non : engagement dans au une alliance Sur variable de comptage : intensité du nombre d alliances 12

13 3- L extension du périmètre coopératif entre 1995 et en % en % 2000 en % salariés salariés salariés Têtes de groupe coopératif Entreprises contrôlées à statut coopératif Entreprises contrôlées à statut non coopératif Entreprises à statut non coopératif contrôlées par plusieurs coopératives Coopératives indépendantes Sources : INSEE/SESSI/SCEES Enquêtes LIFI et EAE 1995, 2000, 2005 Le développement des groupes coopératifs Le poids des entreprises à statut non coopératif Le maintien d interdépendances fortes entre acteurs coopératifs 13

14 3- Un poids économique dominant des groupes coopératifs de 1000 salariés et + en 2005 Nombre de groupes Tranches d effectifs (en valeur) (en %) Effectif salarié (en %) Chiffre d affaires (en %) Diversification produit (en NEE) Part autres activités (en % du CA) 0 à 49 salariés ,2 3,3 4,7 1,01 26,2 50 à 249 salariés ,7 12,9 14,8 1,08 23,2 250 à 499 salariés 41 10,5 11,7 13,2 1,40 31,4 500 à 999 salariés 19 4,8 10,8 11,1 1,61 16, salariés et ,9 61,3 56,2 2,09 19,1 Total ,0 100,0 100,0 1,17 24,8 Source Agreste Primeur n 235, 2009 Facteurs jouant sur la diversification produit (viande, lait, céréales, ) gradient selon taille du groupe et caractéristiques du produit : viande, lait, Facteurs jouant sur la part autres activités (appro, LISA, transport, ) taille du groupe (petits groupes) et filière céréales 14

15 3- Poids coopératif dans les filières agro-alimentaires en % Coopératives Filiales des coop. Total périm. coop Nombre d entreprises 9,2 8,8 18,0 Effectif salarié 6,2 13,0 19,2 Chiffre d affaires 7,8 13,6 21,4 Exportations 3,9 11,6 15,5 Rôle majeur des filiales dans la transformation agroalimentaire Investissement 12,6 10,1 22,6 Valeur Ajoutée 6,2 8,8 15,0 Marques distributeurs 3,6 17,3 20,8 Entreprises ayant + de 19 salariés ou + de 5 Meuros de CA Source Agreste Primeur n 235, 2009 en % Coopératives Filiales des coop. Total périm. coop Profil atypique des coopératives dans la commercialisation agroalimentaire Nombre d entreprises 17,3 6,8 24,1 Effectif salarié 21,6 5,4 27,0 Chiffre d Affaires 26,5 6,6 33,1 Exportations 13,4 12,3 25,7 Investissement 33,9 5,0 38,9 Valeur Ajoutée 19,9 4,6 24,5 Immobilisations corpor. 54,3 5,0 59,3 Entreprises ayant + de 19 salariés ou + de 38 Meuros de CA 15

16 3- Et en Midi-Pyrénées Analyse des performances des entreprises agroalimentaires en fonction de leur positionnement par rapport aux groupes Groupe de travail avec la DRAAF Population d étude : 1108 entreprises ayant + de 300Keuros de CA en 2007 (BvDEP Diane et SSP EAE) 16

17 3- Le poids du secteur coopératif en Midi-Pyrénées en % Coopératives Filiales de coop. Total périm. coop Nombre d entreprises 5,5 4,5 10,0 Effectif salarié 5,4 20,3 25,7 Industries Agro- Alimentaires Chiffre d affaires 6,3 19,4 25,7 Valeur Ajoutée 5,5 18,7 24,2 Investissements corporels 11,3 16,9 28,2 Charges financières 9,1 26,6 35,7 Entreprises ayant + de 300Keuros de CA en Sources Diane + SSP EAE Commerce de gros agricole et agroalimentaire en % Coopératives Filiales de coop. Total périm. coop Nombre d entreprises 8,2 3,4 11,6 Effectif salarié 25,4 4,4 29,8 Chiffre d Affaires 33,8 4,9 38,7 Valeur Ajoutée 23,3 3,8 27,1 Investissements corporels 46,4 5,6 52,0 Charges financières 50,2 8,3 58,5 Entreprises ayant + de 300Keuros de CA en 2007 Sources Diane + SSP EAE 17

18 4- Des alliances essentiellement entre groupes coopératifs Les 3 populations de base tous groupes (50 sal. et +) groupes coop (50 sal et +) nb groupes eff. salariés nb groupes eff. salariés Ensemble des groupes groupes privés groupes coop dont ayant au moins une alliance groupes privés groupes coop Nombre total de liens d'alliance Nombre total d'alliances 288 Sources : INSEE/SESSI/SCEES Enquêtes LIFI et EAE 2005 Choix d analyser les alliances sur la population des groupes coopératifs de 50 salariés et + 18

19 4- Modes de gouvernance des alliances Une majorité d alliances dans des sociétés à statut non coopératif et avec du contrôle exclusif Un poids important des alliance productives Industrie Agro- Alimentaire Commerce agro-alim. Activités amont Activités aval Total 0-9 sal sal sal. et Total Les alliances mobilisent fortement la proximité géographique Localisation de la société co-détenue : même département qu au moins une Tête de Groupe (59% des cas) Localisation des Têtes de Groupe : même région (37% des cas) ou régions contiguës (34% des cas) 19

20 4- Modèle d engagement d un groupe dans une alliance Caractéristiques internes effectif salarié du groupe + * réseau d'entreprises + * Diversification produit +/- *** poids sal. ent. non coop 0 Environnement sectoriel Secteur activité +/- Produit dominant +/- *** Environnement spatial Localisation +/- Proximité groupes même produit + *** N=215 pseudo-r2 = 0.43 p-value : *** < 1%, ** < 5%, * < 10% Joue favorablement sur la propension à nouer des alliances Taille Diversification produit légère Commerce de gros / IAA Céréales Peu d influence de la localisation Proximité géographique d autres groupes ayant le même produit dominant 20

21 4- Modèle d intensité des alliances des groupes Caractéristiques internes effectif salarié du groupe + ** réseau d'entreprises + *** Diversification produit + poids sal. ent. non coop Environnement sectoriel Secteur activité +/- *** Produit dominant +/- *** CA groupe/ca produit + *** Environnement spatial Localisation +/- Proximité groupes même produit +/- *** N=215 pseudo-r2 = 0.48 p-value : *** < 1%, ** < 5%, * < 10% Joue favorablement sur la propension à nouer des alliances Taille Diversification produit (mais non significatif) Commerce de gros / IAA Céréales et Viande Groupes dominants dans leurs produits Sud-Ouest / à Sud-Est Proximité géographique : groupes ayant des voisins même produit à distance moyenne 21

22 5- L identification des déterminants des alliances entre coopératives Poids avéré dans les filières avec des performances différentes selon le statut juridique de l entreprise Positionnement différencié selon les filières produit Développement des groupes avec renforcement des interdépendances entre acteurs coopératifs Evolution des modes de gouvernance avec poids croissant des sociétés à statut non coopératif Quelles évolutions et quels modes d organisation pour combiner une compétitivité à l échelle internationale avec le maintien d un ancrage territorial fort? 22

23 5. Le rôle important de la proximité géographique dans les stratégies d alliances Un maintien du contrôle coopératif avec comme toile de fond un engagement productif Obtention d une taille critique Insertion vers l aval des filières Contraintes et valeurs coopératives communes Poids de la proximité géographique Groupes de même taille économique Alliances de type additif, sur base régionale, avec faible échange de compétences et risques limités Mais une affirmation d acteurs leader Poids du contrôle exclusif Extension de la zone d influence et du périmètre géographique Asymétrie dans les tailles des groupes Asymétrie des positions concurrentielles avec basculement vers une firme pivot et élargissement du périmètre d action 23

24 5- Discussion et perspectives - Midi-Pyrénées Performances contrastées Faible valeur ajoutée, fort niveau d investissement et charges financières élevées Distinction IAA/commerce de gros, coop/filiales, filières produit Mouvements importants de fusion-acquisition sur les deux dernières années qui interrogent le lien au territoire (Arterris, Lur Berri/Arcadie/Spanghero, ) Extension des périmètres d action Concentration des outils industriels Reconfiguration des groupes coopératifs Tension entre ancrage territorial et affirmation à l échelle nationale et internationale 24

25 5- Conclusion générale et perspectives Les alliances éclairent les processus de réorganisation des groupes coopératifs avec maintien du contrôle mutualiste sur des sociétés le plus souvent à statut non coopératif La recherche d une taille critique dans un contexte de mondialisation motive la constitution d alliances entre les coopératives La proximité géographique joue fortement dans les jeux d alliance mais l élargissement des échelles d action des groupes leader interroge leur capacités de gouvernance. Nécessité d approfondir l analyse des modes de contrôle des alliances en lien avec les risques (perte du contrôle, identité, ) et les besoins (financement, mode de gouvernance, ) Contrôle mutualiste partagé souvent emblématique des questions de gouvernance des groupes coopératifs Contrôle mutualiste exclusif avec émergence d acteurs leader Contrôle non mutualiste avec asymétrie des positions des acteurs Introduction de nouveaux partenaires (FSI ) 25

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