De nouvelles normes bétons (partie 1: nouvelle version de la norme NBN B )

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "De nouvelles normes bétons (partie 1: nouvelle version de la norme NBN B )"

Transcription

1 NORMALISATION RÉGLEMENTATION CERTIFICATION. Jusqu à cette année, les bétons étaient spécifiés, produits et mis en oeuvre sur la base de la norme NBN B de Celle-ci devrait être remplacée, en 2004, par la norme européenne NBN EN et par la nouvelle version de la norme NBN B , qui constitue un supplément à la NBN EN 206-1, adapté au contexte belge. Nous présentons ici les modifications prévues pour les classes de résistance, les classes d exposition et la teneur en chlorures des bétons. De nouvelles normes bétons (partie 1: nouvelle version de la norme NBN B ) 1 LES NORMES RELATIVES AUX BÉTONS La nouvelle norme NBN B traite uniquement de la spécification, des caractéristiques, de la production et de la conformité du béton. La mise en oeuvre du béton, qui faisait l objet du 10 de l ancienne norme NBN B , est traitée dans la norme NBN ENV relative à l exécution des structures en béton. On y retrouve également des recommandations en matière de durée de la cure et de protection du béton contre le gel. En ce qui concerne le béton, soulignons la récente publication ou l élaboration de nouvelles séries de normes : NBN EN Essais pour béton frais NBN EN Essais pour béton durci pren Evaluation de la résistance à la compression du béton dans les structures ou les éléments structuraux NBN EN Essais pour béton dans les structures. 2 PRINCIPALES MODIFICATIONS APPORTÉES PAR LA NORME NBN EN ET SON SUPPLÉ- MENT (NBN B ) 2.1 CLASSES DE RÉSISTANCE bétons (maigres) de classe C8/10 et les bétons des classes C55/67 à C100/115. Les bétons à haute résistance sont donc davantage pris en compte que par le passé. Quant aux bétons légers, les gammes de résistance ont également été élargies (LC8/9 et LC55/60 à LC 80/88). 2.2 CLASSES D EXPOSITION ET D ENVIRONNE- MENT Une des principales modifications est la nouvelle définition des classes d exposition. Dans la précédente norme NBN B , 5 classes d exposition principales (de 1 à 5) étaient considérées. Elles étaient divisées, dans certains cas, en 3 sous-classes maximum (de a à c). Elles étaient générales et pouvaient englober plusieurs processus de dégradation. Les nouvelles normes NBN EN et NBN B prévoient 18 classes d exposition divisées en 6 classes principales et en 4 sousclasses maximum selon les processus de dégradation (voir tableau 1, p. 3 et 4). Ces classes sont désignées par la lettre X, suivie d une lettre qui renvoie au type de dégradation considéré : C de carbonatation D de deicing salt (agents de déverglaçage) S de sea water (eau de mer) F de frost (gel) et A pour un milieu chimiquement agressif. Un chiffre renvoyant à une caractéristique importante du mécanisme de dégradation considéré a encore été ajouté à la lettre. Il peut varier de 1 à 4 maximum suivant l agressivité de l exposition. Ces différents mécanismes de dégradation pourront intervenir en fonction de l exposition du béton. Il y a donc lieu d identifier, pour chaque béton, tous les mécanismes de dégradation potentiels. Les conditions environnementales auxquelles il est soumis peuvent nécessiter d être exprimées sous la forme d une combinaison de classes d exposition. Soulignons la présence, dans la norme européenne NBN EN 206-1, d un tableau permettant de classifier les attaques chimiques des sols naturels et des eaux souterraines. Grâce à des caractéristiques chimiques déterminées à l aide de méthodes d essai également spécifiées dans la norme, on peut différencier les attaques de faible agressivité (), d agressivité modérée () et de forte agressivité () (voir tableau 2, p. 5). Sur la base des classes d exposition européennes, la nouvelle norme NBN B a défini des classes d environnement applicables en Belgique (voir tableau 3, p. 5). Ces classes correspondent à des situations d environnement couramment rencontrées en Belgique. Leur désignation commence par la lettre E L ancienne norme NBN B considérait les classes de résistance C12/15 à C50/60. La norme NBN EN couvre en plus les V. Pollet, ir., chef de division adjoint, Division Technologie et Environnement, CSTC J. Apers, ir.-arch., Febelcem, secrétaire du Groupement belge du béton J. Desmyter, ir., chef de division, Division Technologie et Environnement, CSTC Comment spécifier la ou les classes d exposition d un béton pour une paroi extérieure verticale? Selon l ancienne norme NBN B , c est la classe d exposition 2b qui devait être spécifiée. Elle correspondait à un environnement humide avec gel. Suivant la nouvelle norme NBN B , les deux classes d exposition suivantes devront être spécifiées : XC4 : corrosion induite par la carbonatation alternance humidification/séchage : attaque par les cycles de gel/dégel avec ou sans agents de déverglaçage saturation d eau modérée sans agent de déverglaçage. En effet, outre le gel, le risque de corrosion par la carbonatation est un facteur de dégradation possible. Une autre approche permise par la norme NBN B est la spécification de la classe d environnement EE3 : application extérieure gel et contact avec la pluie. Les Dossiers du CSTC Cahier n 4 3 e trimestre 2004 page 1

2 NORMALISATION RÉGLEMENTATION CERTIFICATION. (pour environment) suivie d une des lettres suivantes : I pour intérieur E pour extérieur S pour mer (sea) et A pour agressif. Le tableau 3 (p. 5) donne les classes d exposition entrant en ligne de compte pour chaque classe d environnement. Il existe donc une relation entre les deux. 3 TENEUR EN CHLORURES La norme NBN B de 1992 prévoyait que le béton armé puisse contenir un maximum de 0,4 % ou de 1 % de chlorures exprimés par rapport au poids du ciment, selon qu on était ou non en présence d un environnement pouvant être exposé à un accroissement de la teneur en chlorures pendant la durée de vie de l ouvrage. Ainsi, la limite de 1 % était ramenée à 0,4 % pour les bétons armés des classes d exposition 3, 4 et 5. Pour le béton précontraint, la teneur était limitée à 0,2%. La norme NBN EN prévoit 2 classes de chlorures pour le béton armé (0,2 % et 0,4 % maximum) et précontraint (0,1 % et 0,2 % maximum). Le supplément belge que constitue la NBN B n a retenu qu une valeur limite de 0,4 % pour le béton armé et de 0,2% pour le béton précontraint. Quant au béton non armé, il peut contenir jusqu à 1 % de chlorures. En outre, il est important de noter que l interdiction des adjuvants à base de chlorures (chlorure de calcium, par exemple) a été étendue au béton armé. 4 CONCLUSIONS Nous avons présenté ici les principales modifications apportées, dans la norme NBN B , aux classes d exposition, aux classes de résistance et à la teneur en chlorures des bétons. Nous traiterons, dans un prochain article, des modifications portant sur les classes de consistance, les exigences de durabilité, l introduction des bétons types ainsi que l identification de la répartition des responsabilités techniques entre le prescripteur, le producteur et l utilisateur. t BIBLIOGRAPHIE Comité européen de normalisation pren Evaluation de la résistance à la compression du béton dans les structures ou les éléments structuraux. Bruxelles, CEN, s.d. NBN B Béton, performance, production, mise en œuvre et critères de conformité. Bruxelles, IBN, NBN EN Béton. Partie 1 : Spécifications, performances, production et conformité. Bruxelles, IBN, NBN EN Essai pour béton frais. Bruxelles, IBN, 1999/2000. NBN EN Essai pour béton durci. Bruxelles, IBN, NBN EN Essais pour béton dans les structures. Bruxelles, IBN, 2000/2001. NBN ENV Execution of concrete structures. Part 1 : Common. Bruxelles, IBN, Les Dossiers du CSTC Cahier n 4 3 e trimestre 2004 page 2

3 NORMALISATION RÉGLEMENTATION CERTIFICATION. Tableau 1 Classes d exposition du béton selon la norme NBN B (supplément à la NBN EN 206-1). Désignation de la classe Description de l environnement Exemples informatifs illustrant le choix des classes d exposition 1. Aucun risque de corrosion ni d attaque XO Béton non armé et sans pièces métalliques noyées : toutes les expositions, sauf en cas de gel/dégel, d abrasion et d attaque chimique Béton armé ou avec des pièces métalliques noyées : environnement très sec Béton à l intérieur de bâtiments où le taux d humidité de l air ambiant est très faible Note : un environnement intérieur très sec est très rare, voire inexistant en Belgique. 2. Corrosion induite par carbonatation Les classes d exposition mentionnées ci-après s appliquent au béton armé et au béton contenant des pièces métalliques noyées lorsqu ils sont exposés à l air et à l humidité. Note : les conditions d humidité visées ici correspondent à l humidité du béton recouvrant les armatures ou les pièces métalliques noyées; toutefois, cette humidité peut souvent être considérée comme le reflet de l humidité ambiante. Dans ces cas-là, une classification fondée sur les différents milieux ambiants peut être appropriée; il peut ne pas en être de même s il existe une barrière entre le béton et son environnement. XC1 Sec ou humide en permanence Béton à l intérieur de bâtiments où le taux d humidité de l air ambiant est faible Béton immergé en permanence dans l eau XC2 Humide, rarement sec Surfaces de béton soumises au contact prolongé de l eau Un grand nombre de fondations XC3 Humidité modérée Béton à l intérieur de bâtiments dont l air ambiant présente un taux d humidité moyen ou élevé Béton exposé à l extérieur, mais à l abri de la pluie XC4 Alternance d humidité et de sécheresse Surfaces en contact avec de l eau, mais n entrant pas dans la classe d exposition XC2 3. Corrosion induite par les chlorures d origine non marine Les classes d exposition mentionnées ci-après s appliquent au béton armé et au béton contenant des pièces métalliques noyées en contact avec de l eau d origine non marine contenant des chlorures, y compris des sels de déverglaçage. Note : au sujet des conditions d humidité, se reporter à la note de la section 2 du tableau. XD1 Humidité modérée Surfaces de béton exposées à des chlorures transportés par voie aérienne XD2 Humide, rarement sec Piscines Béton exposé à des eaux industrielles contenant des chlorures XD3 Alternance d humidité et de sécheresse Eléments de pont exposés à des projections contenant des chlorures; chaussées Aires de stationnement de véhicules (suite du tableau page suivante) Les Dossiers du CSTC Cahier n 4 3 e trimestre 2004 page 3

4 NORMALISATION RÉGLEMENTATION CERTIFICATION. Tableau 1 Classes d exposition du béton selon la norme NBN B (supplément à la NBN EN 206-1) (suite). Désignation de la classe Description de l environnement Exemples informatifs illustrant le choix des classes d exposition 4. Corrosion induite par les chlorures présents dans l eau de mer Les classes d exposition mentionnées ci-après s appliquent au béton armé et au béton contenant des pièces métalliques noyées en contact avec de l eau d origine marine contenant des chlorures, y compris des sels de déverglaçage. Note : au sujet des conditions d humidité, se reporter à la note de la section 2 du tableau. XS1 Exposition à l air véhiculant du sel marin, mais pas Structures situées en bordure de mer ou à proximité au contact direct avec l eau de mer de la côte XS2 Immersion permanente dans l eau de mer ou dans Eléments de structures marines l eau saumâtre XS3 Zones de marée, zones soumises à des projections Eléments de structures marines ou des embruns 5. Attaques dues aux alternances de gel/dégel, avec ou sans agent de déverglaçage Les classes d exposition mentionnées ci-après s appliquent au béton à l état humide attaqué de manière significative par les cycles de gel/dégel. Saturation moyenne en eau, sans agent de déver- Surfaces de béton verticales exposées à la pluie et glaçage au gel XF2 Saturation moyenne en eau, avec agent de déver- Surfaces de béton verticales des ouvrages routiers, glaçage exposées au gel et à de l air véhiculant des agents de déverglaçage XF3 Forte saturation en eau, sans agent de déverglaçage Surfaces de béton horizontales exposées à la pluie et au gel XF4 Forte saturation en eau, avec agent de déverglaçage Routes et tabliers de pont exposés aux agents de ou eau de mer déverglaçage et surfaces de béton verticales directement exposées aux projections d agents de déverglaçage et au gel Zones des structures marines soumises aux projections et exposées au gel 6. Attaques chimiques Les classes d exposition mentionnées ci-après s appliquent au béton exposé aux attaques chimiques se produisant dans les sols naturels, les eaux de surface, les eaux souterraines, comme indiqué au tableau 2 de la norme NBN EN La classification de l eau de mer dépend de la localisation géographique; en conséquence, il convient d adopter la classification en vigueur sur le lieu d utilisation du béton. Note : une étude particulière peut être nécessaire pour déterminer la classe d exposition adéquate dans certains environnements, tels que par exemple : - les environnements n entrant pas dans les limites du tableau 2 de la NBN EN les environnements contenant d autres substances chimiques agressives - les sols ou les eaux pollués chimiquement - les environnements présentant une vitesse d écoulement de l eau élevée, en combinaison avec certaines substances chimiques énumérées au tableau 2 de la NBN EN Environnement à faible agressivité chimique selon le tableau 2 de la NBN EN 206-1; béton en contact avec l eau de mer ou l eau saumâtre Environnement d agressivité chimique modérée selon le tableau 2 de la NBN EN Environnement à forte agressivité chimique selon le tableau 2 de la NBN EN Les Dossiers du CSTC Cahier n 4 3 e trimestre 2004 page 4

5 NORMALISATION RÉGLEMENTATION CERTIFICATION. Tableau 2 Valeurs limites pour les classes d exposition, correspondant aux attaques chimiques des sols naturels et des eaux souterraines (NBN EN 206-1). Les environnements chimiques agressifs classés ci-dessous sont fondés sur des sols et eaux souterraines naturels à une température eau/sol comprise entre 5 et 25 C et où la vitesse d écoulement de l eau est suffisament faible pour être assimilée à des conditions statiques. Le choix de la classe se fait par rapport à la caractéristique chimique conduisant à l agression la plus élevée. Lorsqu au moins deux caractéristiques agressives conduisent à une même classe, l environnement doit être classé dans la classe immédiatement supérieure, sauf si une étude spécifique démontre que ce n est pas nécessaire. Caractéristique chimique Méthode de référence Eaux de surfaces et souterraines Sulfates (en mg SO 4 2- /l) EN et 600 > 600 et 3000 > 3000 et 6000 ph ISO ,5 et 5,5 < 5,5 et 4,5 < 4,5 et 4,0 Gaz carbonique agressif (en mg CO 2 /l) pren 13577: et 40 > 40 et 100 > 100 jusqu à saturation Ammonium (en mg NH 4 + /l) ISO ou ISO et 30 > 30 et 60 > 60 et 100 Magnésium ( en mg Mg 2 + /l) ISO et 1000 > 1000 et 3000 > 3000 jusqu à saturation Sol Sulfates (en mg So 4 2- /kg) ( 1 ) total EN ( 2 ) 2000 et 3000 ( 3 ) > 3000 ( 3 ) et > et Acidité (en ml/kg) DIN > 200 Baumann Gully N est pas rencontré dans la pratique ( 1 ) Les sols argileux dont la perméabilité est inférieure à 10-5 m/s peuvent être classés dans une classe inférieure. ( 2 ) La méthode d essai prescrit l extraction du SO 4 2- à l acide chlorhydrique; alternativement, il est possible de procéder à cette extraction à l eau si c est l usage sur le lieu d utilisation du béton. ( 3 ) La limite doit être ramenée de 3000 mg/kg à 2000 mg/kg, en cas de risque d accumulation d ions sulfate dans le béton due à l alternance de périodes sèches et de périodes humides, ou par remontée capillaire. Tableau 3 Relation entre les classes d environnement et les classes d exposition (NBN B , à paraître). CLASSES D ENVIRONNEMENT CLASSES D EXPOSITION CLASSE DESCRIPTION EXEMPLES BNA ( 1 ) BA ( 2 ) ou BP ( 3 ) E0 Environnement non agressif Pas d application EI Application intérieure Parois intérieures des habitations et des immeubles de bureaux XC1 EE EE1 EE2 EE3 EE4 Application extérieure Pas de gel Gel, mais pas de contact avec la pluie Gel et contact avec la pluie Gel et agents de déverglaçage (présence d eau contenant des agents de déverglaçage provenant de la fonte sur place, de projections ou d un ruissellement) Fondations sous le niveau de gel Garages ouverts couverts, vides sanitaires, passages ouverts dans un bâtiment Murs extérieurs exposés à la pluie Eléments d infrastructures routières XF4 XC2 XC3, XC4, XC4, XD3, XF4 ES ES1 ES2 ES3 ES4 Environnement marin Pas de contact avec l eau de mer, mais bien avec l air marin jusqu à 3 km de la côte et/ou avec de l eau saumâtre Pas de gel Gel Contact avec l eau de mer Eléments exposés aux marées et aux éclaboussures Eléments immergés Fondations sous le niveau de gel exposées à l eau saumâtre Murs extérieurs de bâtiments exposés à la pluie en zone côtière Murs de quai XF4, XC2, XS2, XC4, XS1, XC4, XS3, XF4, XC1, XS2, EA EA1 EA2 EA3 Environnement agressif Environnement à faible agressivité chimique selon le tableau 2 de la NBN EN 206-1:2001 Environnement d agressivité chimique modérée selon le tableau 2 de la NBN EN 206-1:2001 Environnement à forte agressivité chimique selon le tableau 2 de la NBN EN 206-1:2001 ( 1 ) Béton non armé. ( 2 ) Béton armé. ( 3 ) Béton précontraint. Les Dossiers du CSTC Cahier n 4 3 e trimestre 2004 page 5

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique

Plus en détail

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383 Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

Formulaire de déclaration de chantier pour l assurance garantie Euracor-Protect.

Formulaire de déclaration de chantier pour l assurance garantie Euracor-Protect. Formulaire de déclaration de chantier pour l assurance garantie Euracor-Protect. Après signature par le courtier mandataire de l assureur Euracor Gougnard ce forlulaire à valeur d accord provisoire de

Plus en détail

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques de grand format et de format oblong collés au moyen de mortiers-colles dans les locaux P3 au plus en travaux neufs Cahier des Prescriptions Techniques

Plus en détail

Classement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs

Classement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments

Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

FIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision.

FIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. SCHOTT Instruments Solutions Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. L exactitude de la mesure de ph dépend de l exactitude de l étalonnage.

Plus en détail

Comprendre l efflorescence

Comprendre l efflorescence Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

>I Maçonnerie I Escaliers

>I Maçonnerie I Escaliers ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Illustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments

Illustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Illustration des activités du Centre Scientifique et Technique de la Construction dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Journée Smart Cities 07 juin 2012 Centre collectif de recherche

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

ENV 1993 1 1 ANB. EC1 Eurocode EN 1994 1 2

ENV 1993 1 1 ANB. EC1 Eurocode EN 1994 1 2 Implémentation des EUROCODES 3 et 4 en Belgique r.debruyckere@seco.be 18 novembre 2010 ENV 1993 1 1 ANB EC1 Eurocode NAD, DAN EC4 EN 1994 1 2 EC3 1. Un petit peu d histoire 2. Les Eurocodes en Europe 21ENV

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58

Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 PROCES-VERBAL PROCES-VERBAL DE CLASSEMENT n 13 A - 789 Résistance au feu des éléments de construction selon

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Rapport du Conseil communal au Conseil général

Rapport du Conseil communal au Conseil général République et Canton de Neuchâtel COMMUNE DE L A T E NE Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de 53 000 francs pour la réfection des points d ancrage de trois

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

AVEC ARDEX, vous MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX

AVEC ARDEX, vous MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX AVEC ARDEX, vous pouvez regarder de pres! MORTIERS DE JOINTOIEMENT ARDEX ARDEX EG 8 Joint hybride Protection longue durée contre les agents agressifs. Nous sommes fiers de vous présenter ARDEX EG 8, le

Plus en détail

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

N09 Viaduc de Chillon

N09 Viaduc de Chillon Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

Utilisation des tabelles de dimensionnement

Utilisation des tabelles de dimensionnement ponctuelle Tabelle A - Sans tuyaux de chauffage sol Tabelle B - Avec tuyaux de chauffage sol répartie Tabelle C - Résistance à la compression de l'isolation thermique par m 2 Utilisation des tabelles de

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES

PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES BELGIAN CONSTRUCTION CERTIFICATION ASSOCIATION asbl BCCA Etabli par SECO et le CSTC PRESCRIPTIONS TECHNIQUES POUR MORTIERS DE CALAGE, DE BOURRAGE ET DE SCELLEMENT A BASE DE LIANTS HYDRAULIQUES Système

Plus en détail

Murs poutres & planchers

Murs poutres & planchers Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

I Facades I Système de murs rideaux ventilés I. StoVentec R

I Facades I Système de murs rideaux ventilés I. StoVentec R I Facades I Système de murs rideaux ventilés I StoVentec R StoVentec: système de murs rideaux ventilés StoVentec Façade est la solution optimale en tant que système de murs rideaux ventilés pour les nouvelles

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Acier d armature inoxydable Top12 Ouvrages d art durables

Acier d armature inoxydable Top12 Ouvrages d art durables Acier d armature inoxydable Top12 Ouvrages d art durables Les travaux de remises en état sont coûteux mais évitables Aujourd hui, de nombreuses constructions en béton armé présentent des dommages dus

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

Construire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88

Construire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88 Construire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88 P.Dantec (consultant expert) Ch.Peyral (DIRMC) PLAN Enjeux et risques

Plus en détail

Acoustique et thermique

Acoustique et thermique Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton

l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1 Ref. Ares(2014)4124941-09/12/2014 SN : si nécessaire - : 1x par jour - : 1 x par semaine - 2M : 2 x par mois - : 1 x par mois - 4A : 1 x par trimestre - 2A : 1 x tous les six mois - 1A : 1 x par an techni

Plus en détail

I. Définitions et exigences

I. Définitions et exigences I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type

Plus en détail

Batteries. Choix judicieux, résultats performants

Batteries. Choix judicieux, résultats performants Batteries Choix judicieux, résultats performants Batteries pour tous les défi s, besoins et budgets Sans danger - pas de dégazement Sans entretien Facile à installer Puissance constante Mastervolt vous

Plus en détail

(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS

(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS 15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière

Plus en détail

Marquage CE. pour structures en acier

Marquage CE. pour structures en acier Marquage CE pour structures en acier guide pratique - édition 2013 Marquage CE pour structures en acier Guide pratique Avant-propos La première édition de cette publication a été rédigée en 2010 et éditée

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Cloisons de distribution Caroplatre

Cloisons de distribution Caroplatre 04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration

Plus en détail

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance

Plus en détail

A apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive

A apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!

Plus en détail

bcdefghijklmnopq tuvwxyzabcdefgh lmnopqrstuvwxyz

bcdefghijklmnopq tuvwxyzabcdefgh lmnopqrstuvwxyz Lexique bcdefghijklmnopq tuvwxyzabcdefgh lmnopqrstuvwxyz A Accélérateur Adjuvant, soluble dans l eau, qui augmente la vitesse d hydratation du ciment. On distingue : les accélérateurs de prise, les accélérateurs

Plus en détail

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure

Plus en détail

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²

Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques

Plus en détail

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

Guide des autorisations d urbanisme

Guide des autorisations d urbanisme Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Méthodologie d application du concept de performance équivalente des bétons

Méthodologie d application du concept de performance équivalente des bétons Méthodologie d application du concept de performance équivalente des bétons Recommandations professionnelles provisoires Mars 2009 Document élaboré sous l égide de la Fédération Nationale des Travaux Publics

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

Documents scientifiques et techniques. Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion

Documents scientifiques et techniques. Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion Groupe de travail AFGC "Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion" Documents scientifiques et techniques Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion Novembre 2003 AFGC Réhabilitation

Plus en détail

INBTP-TECHNOBAT-LECON_011

INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux

Plus en détail

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

PROGRAMME ESCALIERS ESCALIERS ET ACCESSOIRES

PROGRAMME ESCALIERS ESCALIERS ET ACCESSOIRES PROGRAMME ESCAIERS ESCAIERS ET ACCESSOIRES UN CHOIX IMPORTANT E PROGRAMME ESCAIERS longueur m/ to./ Marches-blocs* en cm palette palette Revêtements gravillons lavés (G) lavé (R) lavé fin (F) poncé + grenaillé

Plus en détail

Informations produit

Informations produit Informations produit Ce document légal doit être conservé en magasin et mis à la disposition des clients ou représentants chargés de faire respecter la loi sur demande. Version 8 mars 2015 60616 Gâteau

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

VILLE DE CLOUANGE. Personne publique, Commune de Clouange Représentée par le Maire de Clouange

VILLE DE CLOUANGE. Personne publique, Commune de Clouange Représentée par le Maire de Clouange VILLE DE CLOUANGE Personne publique, Commune de Clouange Représentée par le Maire de Clouange RENOVATION DE L AIRE DE JEUX A PROXIMITE DE L ECOLE PRIMAIRE CENTRE 1, RUE MAL JOFFRE MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE

Plus en détail

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières Terminologie Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

Solutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables

Solutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage

Plus en détail

INSTALLER DES DETECTEURS DE FUMEE

INSTALLER DES DETECTEURS DE FUMEE INSTALLER DES DETECTEURS DE FUMEE POURQUOI, OU ET COMMENT? Elektrotechnisch materiaal, technische oplossingen en diensten. www.cebeo.be Matériel électrotechnique, solutions techniques et services. www.cebeo.be

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite

Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite Mars 2013 Introduction Objectifs de ce livret A compter du 1 er juillet 2013, le marquage CE des produits

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion. FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

ASSURANCE F-10 DE LA RESPONSABILITE DECENNALE DES ARCHITECTES ET ENTREPRENEURS 30.15.001/00 12/08

ASSURANCE F-10 DE LA RESPONSABILITE DECENNALE DES ARCHITECTES ET ENTREPRENEURS 30.15.001/00 12/08 ASSURANCE F-10 DE LA RESPONSABILITE DECENNALE DES ARCHITECTES ET ENTREPRENEURS 30.15.001/00 12/08 L assurance F-10 de Fédérale Assurance couvre durant 10 ans la responsabilité de l entrepreneur et de l

Plus en détail

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de

Plus en détail

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise

Plus en détail