Incidences et représentations de la caméra à l Université de Bordeaux III

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1 Incidences et représentations de la caméra à l Université de Bordeaux III Aurore DRUEL La caméra dans l espace public, un phénomène récent. Depuis une vingtaine d années, la France développe une politique de vidéosurveillance dans l espace publique. Les premières raisons de sa mise en place sont la sécurité des individus et la lutte contre le terrorisme. Peu à peu les usages de la caméra se diversifient afin de lutter contre la délinquance, l insécurité et le sentiment d insécurité. Les nouvelles fonctionnalités de la caméra et sa promotion étatique incité les universités et notamment celle de Bordeaux III à adopter ce système de sécurisation de l espace. Bordeaux III sous les projecteurs! C est en 2002 que les premières caméras ont commencé à coloniser l espace universitaire. En 2011, il y en avait environ 45 sur le campus de Bordeaux III, intérieur et extérieur confondus. Soit environ 30 caméras à l intérieur des bâtiments et une quinzaine à l extérieur. Les caméras d intérieur sont installées au niveau des accès principaux des bâtiments 1. Les caméras sont reliées à une salle dédiée à la surveillance. Tous les bâtiments sont équipés d un système d intrusion. En cas d infraction, une alarme sonore se met en route, reliée à la télésurveillance. Ces caméras «protègent» 20 % de l ensemble des bâtiments explique M. Xavier 2, responsable du patrimoine immobilier et logistique de l université de Bordeaux III. Un agent surveille les six moniteurs de 8h30 à 12h et de 13h à 17h. Aujourd hui, un enregistrement sur disque dur est autorisé par la préfecture. Il s efface automatiquement au bout de quinze jours. M. Xavier est le seul à pouvoir transmettre les images et seule la police peut les récupérer. «L Université de Bordeaux III songe à améliorer le système. En effet, en 10 ans celuici donne des signes de fatigue». M. Xavier poursuit, «depuis un an et demi il tombe régulièrement en panne. Une nouvelle étude est lancée afin de remplacer les caméras en noir et blanc par des caméras en couleur. C est un système plus intéressant, plus performant qu il y a 10 ans, les images sont de meilleures qualités, notamment pour reconnaitre les individus» estime M. Xavier. Le coût de remplacement des caméras varie entre et euros. placées aux endroits dits sensibles, dans les 1 Le refus opposé à notre demande d accéder aux salles ou les amphithéâtres, où du matériel de plans d emplacement des caméras nous pousse à repérer les caméras directement sur place. Voir le valeur comme les rétroprojecteurs sont schéma des caméras p 8. Afin de préserver l anonymat des interlocuteurs installés. A l extérieur, les caméras sont l utilisation de pseudonymes est préférable décembre 2012

2 Chaque accès porte une étiquette prévenant les usagers de Bordeaux III, qu ils rentrent dans une zone placée sous «vidéosurveillance». Pourquoi des caméras à l université? M.Xavier, justifie la mise en place des caméras par la volonté de protéger les biens et les personnes. «La «vidéoprotection» a été installée suite à des vols à répétition, au vandalisme et aux agressions dans l université. Il y a des caméras dans les amphithéâtres, car il y a des rétroprojecteurs. Toujours pour protéger et pas pour surveiller l étudiant ou le professeur», explique M. Xavier. Il légitime l installation de ce système en indiquant, «il y a quarante ans on n avait pas besoin de caméras, aujourd hui il y a plus de risque et d insécurité à l Université». [ ] «Il y a eu le viol d une étudiante dans les toilettes. L agresseur à été arrêté grâce à la vidéoprotection, nous l avons reconnu par sa tenue». L Université de Bordeaux III, un lieu à risque et de criminalité? Les résultats de l étude 3 permettent d affirmer que les usagers de l Université pensent le risque comme la probabilité de la criminalité. La plupart des étudiants sondés (89 %), considèrent l Université de Bordeaux III comme un lieu dépossédé de criminalité. Contrairement au personnel administratif et de gestion qui constatent régulièrement de la criminalité. Toutefois les responsables ne sont pas les étudiants, selon M. Xavier. Le responsable du SIGDU (Service Interuniversitaire de Gestion du Domaine Universitaire), M. Zala, explique «l université est un endroit sûr et tranquille la journée». Cependant il émet des objections par rapport à ce qui peut se dérouler la nuit. «Il y a toujours eu des vols et de la criminalité durant la nuit». Les problèmes de criminalités à l Université de Bordeaux III diffèreraient selon une temporalité jour-nuit. L Université a réalisé une étude sur la criminalité entre 2000 et Selon M. Xavier : «D année en année on a eu une diminution des incivilités. Et là ça reprend». Il continue son propos en avouant, «personnellement vous ne me feriez pas venir à l université la nuit». M. Fable, responsable des relations internationales de l Université de Bordeaux III explique que ce sont surtout les espaces où se trouvent les cités universitaires qui sont les plus à risque la nuit pour les étudiants car ils sont mal éclairés et peu fréquentés. «Il est clair que nous avons un trop grand nombre d agressions. Chaque année, des étudiantes, sont agressées à coté des cités universitaires». 3 Les enquêtes de terrain se sont adressées au personnel administratif et de gestion de l Université de Bordeaux III avec lesquels des entretiens ont été réalisés. Le second groupe est composé d étudiants à qui des questionnaires ont été proposés, suivis d entretiens pour certains décembre

3 M. André, Vice Président des étudiants, fait le même constat. «Je pense que c est plus risqué quand je me balade dans un endroit sombre, peu éclairé et peu fréquenté». Parmi les personnes présentes sur le domaine de Bordeaux III, la nuit, une sur cinq d entre elles n osent pas aller dans certains lieux. M. Dupond responsable de l entretien du domaine universitaire au SIGDU justifie cette situation. «Ma femme travaille à Bordeaux III et je sais qu il y a des endroits où elle n ose pas aller. Donc elle passe dans les couloirs intérieurs». L éclairage apparait comme la première technique de sécurisation de l espace durant la nuit. La caméra serait le nouveau dispositif de sécurité. «La vidéosurveillance rend moins obscure -au sens propre et figuré- les territoires entrant dans le champ de ses caméras. Elle les rendrait donc plus sûrs» 4. Le campus de Bordeaux III, un lieu d incivilité? Certains actes sont perçus comme des incivilités puisqu ils menacent nos codes sociaux, nos rituels et l ordre social. Les incivilités sont au cœur du sentiment d insécurité. «L incivilité est une menace personnelle pour l individu et la société [...] C est une passerelle entre l ordre vécu et conçu» 5. Les interlocuteurs définissent les incivilités comme le non respect des règles de société. Les résultats de la recherche démontrent que l université n est pas dénuée d incivilités, même si elles restent peu fréquentes. En effet, 55% des sondés considèrent l Université de Bordeaux III comme un lieu où il y a un peu d incivilité et 39% qui pensent qu il n y en a pas du tout. La faible perception des incivilités révèle que l Université n est pas un lieu où l ordre social a été rompu. Le sentiment d insécurité des usagers de Bordeaux III. Le sentiment d insécurité nait à la fois de la confrontation à la délinquance et à l incivilité. Son degré varie selon les expériences vécues et dépend en même temps des formes de sensibilités individuelles et collectives. Comme l indique M. Fable, responsable des relations internationales de l Université de Bordeaux III, qui ne semble pas ressentir de l insécurité. Il raconte : «Je me sens en sécurité car je ne me sens pas vulnérable. J ai vécu tellement de moments dangereux, j ai connu des guerres civiles, j ai été au milieu des cadavres. Donc le campus de Bordeaux III, c est peinard». Les interlocuteurs et les sondés justifient le sentiment d insécurité, pour une grande majorité, par le manque d éclairage, l expérience des incivilités et de la 4 RUEGG.J., FLÜCKIGER.A., NOVEMBER.V., KLAUSER.F., Vidéosurveillance et risques dans délinquance. l espace à usage public : Représentations des risques, régulation sociale et liberté de mouvement. Il apparait que 74% des sondés se sentent en Genève : Travaux CETEL, 2006, n 55, p. 29. sécurité à l Université de Bordeaux III. Suite à 5 ROCHE, Sébastian. Le sentiment d insécurité. Paris, PUF, 1993, p ce constat, les sondés répondent que les décembre 2012

4 caméras situées sur le domaine ne leur provoqueraient pas un sentiment de sécurité plus important (42%) et pour d autres qu ils ne savent pas si les caméras renforceraient leur sentiment de sécurité (42%). Seul, 16% d entre eux pensent qu ils se sentiraient plus en sécurité. La caméra un dispositif de contrôle social? La fréquentation des lieux «vidéoprotégés» ne suscite pas beaucoup d interrogations, ni d inquiétude. «Tout se passe comme si, implicitement, il était admis que la vidéosurveillance ne pouvait déranger que ceux et celles qui ont quelque chose à se reprocher» 6. Même si à la question, avezvous peur que les caméras soient utilisées à une autre fin que la protection? Les réponses sont mitigées, 42% des sondés ont peur qu il y ait une dérive de l utilisation de la caméra, contre 58% qui ne le pensent pas. La perception des interlocuteurs dans la logique de la prévention situationnelle 7, ne les rend pas méfiants ou en tout cas très peu face à la probabilité de la dérive de l utilisation de la caméra. Ils considèrent en grande majorité que la caméra ne s adresserait qu aux individus déviants et que son pouvoir est essentiellement dissuasif. «Il y a un aspect dissuasif lorsque l on voit une caméra, on réfléchit à deux fois avant de faire quelque chose», explique M. André. La caméra rendrait les opportunités de la déviance plus compliquées. Ce dispositif, provoquerait une domestication de l espace, le rendant dépourvu de «danger» en repoussant la déviance vers des lieux sans caméras. De plus, la caméra apparait comme un dispositif, servant de preuve, si toutefois il y avait un événement non normatif qui se produisait. En effet, la plupart des personnes interrogées pensent que la caméra ne peut pas protéger car elle ne peut pas réagir à une agression. «C est plus de la répression que de la protection parce qu elles sont faites pour être utilisées après le délit et pas avant», selon Antoine, un étudiant. Au fur et à mesure de l enquête, nous avons constaté que le dispositif de «protection» mis en place à l Université de Bordeaux III n a pas vraiment d influence sur les pratiques spatiales quotidiennes et le comportement des individus. M. Emile, une étudiante : «Non, je n ai pas changé mes habitudes parce qu il y a des caméras, sinon je ne sortirais plus. Mais ça ne me rassure pas plus». Selon M. Bernard, un étudiant (doctorant) : «ça ne me dérangerait pas que l on me filme, ça ne me choque pas. Mon 6 RUEGG.J., FLÜCKIGER.A., NOVEMBER.V., comportement global ne va pas changer». KLAUSER.F., Op.cit. 7 «La théorie criminologique de la prévention Dans certaines circonstances, les situationnelle s analyse comme une prévention individus prennent soin de s éloigner du champ primaire du crime qui met l accent sur la réduction des opportunités». Ministère de l intérieur. Votre de vision de la caméra, même s ils n ont rien à projet de vidéoprotection. Guide méthodologique. se reprocher. Par exemple, M. Dupond, explique : «je ne cherche pas à prendre un décembre

5 autre chemin. Mais si je dois rester longtemps à un endroit où il y a une caméra, je vais changer de place». De la vidéosurveillance à la vidéoprotection La notion de «vidéosurveillance» apparait comme intrusive, s attaquant aux libertés individuelles et au respect de la vie privée. Le terme de surveillance fait l objet d une défiance ou d un rejet par les individus. M. Chapel, vice-président délégué aux partenariats et aux systèmes d informations de l Université de Bordeaux III, a le même sentiment, «on a l impression qu avec la vidéosurveillance il y a une connotation policière quelque part qui subsiste» La notion de vidéosurveillance apparaît trop connotée. Lors des divers entretiens beaucoup ont fait référence à l œuvre de George Orwel, La «vidéoprotection» apparait plus comme un abus de langage, qu un réel changement selon les interlocuteurs. Rémy (étudiant) nous dit : «je crois qu'on est dans une époque de manipulation des mots, d'où le changement de nom. Vidéoprotection et non pas vidéosurveillance, ça permet de faire passer un peu plus le message». La portée symbolique de la caméra reste la même, que ce soit la protection ou la surveillance. Selon François, thésard, «c est du marketing, c est beaucoup plus vendeur de parler de vidéoprotection que de vidéosurveillance. Car dans le terme de surveillance les gens pensent que l on va regarder nos faits et gestes, alors que la protection c est beaucoup plus rassurant. C est parfaitement markéting. La vidéoprotection c est exactement la même chose que vidéosurveillance, dans les faits». Ce glissement sémantique remet donc en cause le rôle d une caméra comme protectrice. Ces différentes interventions, révèlent que la vidéosurveillance et la vidéoprotection auraient les mêmes fonctions. Il s agirait d'un projet purement idéologique : obtenir la soumission volontaire des individus et l acceptation de la caméra par le biais du glissement sémantique. La coercition voulue serait d'abord celle des esprits qui pourraient penser un peu différemment. Maintenant nous ne sommes plus surveillés, mais protégés. Ce serait un processus de rassurance de la population. En utilisant le mot protection, les personnes passent du statut de possibles délinquants à celui de possibles victimes. Plus de protection et moins de liberté? «Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre et finit par perdre les deux» écrivait le troisième président des États-Unis d'amérique Thomas Jefferson ( ). Cette réflexion sur la nature de la relation qu'entretiennent ces deux valeurs fondatrices de la République Française, reflète toute la complexité de l'action étatique pour assumer son rôle principal : garantir les libertés fondamentales des citoyens tout en assurant leur sécurité décembre

6 Que pensent les usagers de Bordeaux III de la relation entre la liberté et la sécurité au regard de la caméra? M Dupont, confie : Je ne me sens pas surveillé, mais je ne me sens pas plus en sécurité, mais la sécurité des biens c est autre chose. La vidéoprotection ne change rien. Je préfère être plus libre et avoir moins de sécurité. On peut avoir plus de sécurité sans les caméras, il y a d autres moyens d agir, le contact humain c est important». La question des caméras dans l espace public est mal vue par l opinion publique nationale. «Brandie par certains élus locaux comme l outil magique d une politique sécuritaire agressive, elle surfe en effet sur le spectre d un pouvoir big brother déterminé à surveiller tous les faits et gestes de chaque citoyen au mépris des libertés individuelles et du respect dû à la vie privée». (INHES, Mai 2008) 8. En réponse à l argument selon lequel il pourrait s agir d une atteinte à la liberté, le ministre de l Intérieur de l époque, Brice Hortefeux ( ), répond : «Si vous n avez rien à vous reprocher, vous n avez pas a avoir peur d être filmé. Lorsque vous faites vos courses au supermarché, lorsque vous retirez de l argent au guichet ou que vous utilisez les transports en commun, vous êtes déjà filmés. Qui cela dérange-t-il?» veut protéger, il n y a pas d autres moyens». Nous percevons bien, toute la grandeur du «mythe technologique» où le progrès est associé à la performance selon Laurent Mucchielli 9. Caméras et politiques font bon ménage! Pour M. André, la caméra s installerait dans un but politique afin de prouver à la population que les élus agissent pour lutter contre l insécurité et la délinquance. «Ils ne savent plus quoi inventer, donc ils mettent des caméras partout, parce qu ils ne savent pas faire autrement. C est un argument politique électoral de ces dernières années». La «vidéosurveillance» devient un outil d'action publique et utile dans le traitement des problèmes publics. Les élus en retirent un bénéfice politique, en prouvant par la mise en place de caméras, qu ils agissent pour la sécurité des personnes 10. Pour M. Xavier, il n y a pas de liberté sans sécurité, il n y a pas de protection sans surveillance. «Comment voulez-vous protéger sans surveiller? A part ce système là, quant on 8 ideoprotectionjuillet2008.pdf mucchielli-dans-la-voix-est_news 10 MUCCHIELLI Laurent, Vous avez dit sécurité?, Nîmes Champ Social, décembre

7 Méthodologie de l enquête L enquête de terrain s est déroulée sur le domaine de l Université de Bordeaux III, d avril à juin, Six entretiens ont été réalisés avec le personnel administratif et de gestion du domaine universitaire. Ils ont été menés de manières semi-directives, la majorité a été enregistrée. Les entretiens ont par la suite été retranscrits afin de permettre une analyse pertinente du discours, sachant que tout discours est subjectivement et objectivement construit. La réalité sociale prend donc un sens différent en fonction du statut des interlocuteurs, guidés par leurs systèmes de valeurs. Le questionnaire a été proposé à 19 sondés, au restaurant universitaire, le Sirtaki. Celui-ci est composé de questions fermées et de questions ouvertes. Le plan de l université de Bordeaux III a été rempli afin d établir les pratiques spatiales et les perceptions des lieux que les sondés considèrent à risque par l exercice de placement des caméras. Cependant, le peu de questionnaires réalisés ne permettent pas d avoir de vraies valeurs statistiques, mais seulement d apporter une typologie. Des entretiens ont ensuite été réalisés avec six étudiants, afin de compléter et de mieux comprendre les réponses du questionnaire décembre

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