AGRONOMIE ET ÉCONOMIE FACE AUX
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- Dominique Renaud
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1 AGRONOMIE ET ÉCONOMIE FACE AUX ENJEUX DE DURABILITÉ EN AGRICULTURE: POURQUOI ET COMMENT FAIRE CONVERGER LES APPROCHES MARIE-HÉLÈNE JEUFFROY, UMR AGRONOMIE, GRIGNON SEPTEMBRE 2013
2 Les questions posées par l agronomie (évolution historique) Raisonnement des techniques: proposer des outils et méthodes de raisonnement qui soient basées sur des connaissances agronomiques, et qui allient performances environnementales et économiques (ex: fertilisation N) Conception et évaluation d itinéraires techniques : Certaines performances ne peuvent être atteintes qu en changeant, de manière cohérente, plusieurs éléments de l itinéraire technique. Conception et évaluation de systèmes de culture : Pour faire face aux enjeux multiples, divers et d envergure, certains leviers doivent être recherchés à l échelle de la succession: comment combiner changements dans la succession et changements dans l itinéraire technique pour construire des systèmes de culture doublement performants? Nécessité d une adaptation locale des SdC à construire (adaptation au milieu et à l envt socio-économique, mobilisation de savoirs locaux) Conduite des transitions au niveau des des paysages et des territoires : proposer des méthodes pour accompagner le changement technique avec les acteurs.02
3 Les questions posées par l agronomie: des rapprochements récents avec les économistes Comment changer l agriculture pour accroitre la durabilité des systèmes agricoles? 1ers rapprochements Une question récente en agronomie: quelle contribution de l agronomie à la construction des politiques publiques nouvel objet de recherche en collaboration avec des économistes, après avoir joué un rôle d expert pendant longtemps sur un objet privilégié des économistes. Une question toute nouvelle, l Agronomie Globale : les changements d usage des sols (incluant les modes de conduite qui y sont appliqués) pour combiner sécurité alimentaire et réduction des impacts environnementaux, à des échelles larges.03
4 Un concept clé de l agronomie : le système de culture «L ensemble des modalités techniques mises en œuvre sur des parcelles traitées de manière identique. Chaque système de culture se définit par : La nature des cultures et leur ordre de succession Les itinéraires techniques appliqués à ces différentes cultures (choix variétal, date de semis, densité de semis, fertilisation, protection phytosanitaire, )» Sebillotte,
5 Plan de la présentation 1. L effet précédent des cultures: comment tenir compte de ce concept agronomique dans les données économiques? 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques 3. Intégrer la diversité des contraintes et objectifs des acteurs dans les changements de systèmes de culture à l échelle des territoires en combinant savoirs agronomiques et économiques 4. Analyser ensemble le verrouillage technologique et proposer des politiques publiques favorables au déverrouillage.05
6 1. L effet précédent des cultures: comment tenir compte de ce concept agronomique dans les données économiques?
7 L effet précédent des cultures: un concept agronomique de base Effet bénéfique sur le rendement de la culture suivant un pois Moyenne de 2 années d essai à Grignon ( ; ) + 11 q/ha - 45 kgn/ha + 8 q/ha - 23 kgn/ha Blé tendre / blé Blé tendre / pois Colza / blé Colza / pois Pois d'hiver Rendement dose N engrais azoté q/ha aux normes (15% B, 14% P et 9% C) kg N / ha N résidus de culture quantité N kg/ha résidus aériens CASDAR Pois-Colza-Blé,
8 Les marges des cultures assolées sont différentes! Marge semi-directe (en euro/ha/an) en Bourgogne dans deux contextes étudiés (en conduite conventionnelle) par culture selon son précédent (et avec son inter-culture le cas échéant) CASDAR Pois-Colza-Blé, Colza de pois Blé de pois Colza de paille Blé de blé.08
9 Comment tenir compte de ce concept agronomique dans les données économiques? Ex étude Gaz Effet de Serre (2013): estimer les coûts de mesures techniques visant à réduire les GES MB du RICA 2010: blé tendre blé dur maïs grain orge protéagineux colza tournesol C-B-O = = 687 /an C-B-P-B-O = 645 /an Pas d intérêt économique à inclure des légumineuses dans les rotations.09
10 Comment tenir compte de ce concept agronomique dans les données économiques? Marges : Résultats de systèmes de culture incluant du pois CasDar ; Schneider et al., 2010; SdeC conçus à dire d experts Ecart de Marge : succession sans pois succession avec pois /ha/an (et en %) Beauce (OP, PH, BD) Thymerais (OH, PP) Bourgogne (OH, PH) Plateau Lorrain (OH, PP) C-B-(P)-B-O (prix bas Blé: 126; pois: 150) C-B-(P)-B-O (prix élevés Blé: 200; pois: 225) C-B-O-(P)-C-B-O (prix bas Blé: 126; pois: 150) C-B-O-(P)-C-B-O (prix élevés Blé: 200; pois: 225) + 14 (+ 3 %) + 35 (+ 3.9 %) -1 (- 0.2 %) +5 (+ 0.5 %) (+ 1.5 %) - 16 ( %) -3 (- 0.3 %) -1 (- 0.3 %) + 8 (+ 1.1 %) - 2 (- 0.6 %) +2 (+ 0.3 %) + 22 (+ 5.8 %) + 44 (+ 5.8 %) + 9 (+ 2.2 %) + 21 (+ 2.7 %).010
11 Comment tenir compte de ce concept agronomique dans les données économiques? Ex étude Gaz Effet de Serre (2013): MB du RICA 2010: Prise en compte de l effet précédent des légumineuses L intérêt économique des légumineuses apparaît dès lors que l on tient compte des effets bénéfiques qu elles ont sur la conduite et le rendement de la culture suivante Intérêt de la collaboration : combiner des données récurrentes sur un très large échantillon d EA en France (RICA) avec des informations agronomiques = un véritable challenge!!.011
12 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques
13 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques a. Les agronomes mettent au point (ou identifient) des innovations techniques répondant à certains enjeux. Ex. les itinéraires techniques à bas niveau d intrant du blé ITK1: Itinéraire technique à haut niveau d intrants, conçu pour maximiser le rendement: Dose d engrais N de l ITK2 + 30kg/ha, 1 ou 2 régulateurs, 2 ou 3 fongicides ITK2: Conduite de référence, conseillée dans la région pour le blé d hiver (référence Arvalis ou Chambre d Agriculture, année 2000): Dose N calculée par bilan prévisionnel, 3 apports, 1 régulateur de croissance, 1 ou 2 fongicides ITK3: Par rapport à l ITK2, réduction cohérente de la dose d engrais azoté (de 30 kg.ha -1 ; pas d apport de sortie hiver) et de la densité de semis (de 40%). Pas de régulateur de croissance; un seul traitement fongicide au maximum ITK4: Par rapport à l ITK2, réduction de la dose d engrais azoté (de 60 kg.ha -1 ) et de la densité de semis (de 40%); pas de traitement fongicide, pas de régulateur de croissance.013
14 RDT à 15% (qx/ha) 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques b. Mais la réponse du rendement (et d autres critères) à ces innovations varie en fonction des situations (milieux) Trémie Itinéraire technique Résultats du réseau ITK Blé Bas Niveau Intrant,
15 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques a. Les agronomes mettent au point (ou identifient) des innovations techniques répondant à certains enjeux. b. Mais la réponse du rendement (et d autres critères) à ces innovations varie en fonction des situations (milieux) Comment adapter les politiques publiques pour tenir compte de ces innovations tout en tenant compte de ces différences régionales?.015
16 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques Exemple de Ecophyto R&D (2010): Analyse par grandes régions agricoles françaises, pour tenir compte : -de la variabilité des potentiels de rendement -de la variabilité des pressions parasitaires -donc de la variabilité de l usage des produits phytosanitaires Construction de matrices techniques par grande région Guichard, Butault, Jacquet.016
17 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques Ecophyto R&D,
18 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques Diversité des matrices techniques selon les régions (diversité des ITK et des performances): extrait Indicateurs de performance Conduite T2 dans différentes régions Poitou Ile de France Lorraine-Alsace Nord-Picardie Sud-Est Dose totale N IFT tous produits Rendement (q/ha) Marge brute ( /ha) prix Ecophyto R&D,
19 2. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques Ecophyto R&D,
20 3. Opérer un changement d échelle pour gérer l adoption d innovations techniques dans les politiques publiques a. Les agronomes mettent au point (ou identifient) des innovations techniques répondant à certains enjeux. b. Mais la réponse du rendement (et d autres critères) à ces innovations varie en fonction des situations (milieux) c. adapter les politiques publiques pour tenir compte de ces innovations tout en tenant compte de ces différences régionales Intérêt de la collaboration: intégrer des innovations agronomiques dans des outils économiques pour étudier l adoption de pratiques innovantes et cohérentes sur le plan agronomique, à l échelle France entière, tout en tenant compte des diversités locales.020
21 3. Intégrer la diversité des contraintes et objectifs des acteurs dans les changements de systèmes de culture à l échelle des territoires en combinant savoirs agronomiques et économiques
22 3. Intégrer la diversité des contraintes et objectifs des acteurs dans les changements de systèmes de culture à l échelle des territoires en combinant savoirs agronomiques et économiques Poursuite de l histoire précédente, mais en l adaptant localement a. Prendre plus finement en compte la diversité des milieux à l échelle d une petite région agricole (une AAC) b. Décrire plus finement les matrices techniques c. Prendre en compte une diversité d objectifs des acteurs pour construire les scénarios construction multi-critères Exemple de action 21 (Ecophyto): Guichard, Chantre, Jacquet.022
23 Exemple: Changer les pratiques agricoles pour améliorer la qualité de l eau dans les Aires d Alimentation de Captage Potentialités agronomiques : 4 milieux 800 agriculteurs, env ha SAU orgep 8,9% orgeh 4,3% colza 7,9% Des assolements variés Bett 13,4% Assolement actuel Mais 8,6% blé 49,1% pois 3,1% feve 3,4% Plateau pdt 0,9% tourn 0,3% colza 26,3% Assolement actuel orgeh 14,6% blé 50,8% Sables orgep 6,3% Bett 1,1% tourn 0,8% Mais 0,0% AAC= La Fosse de Melun (77) Plateau Sables Comment changer les systèmes de culture sur l ensemble de l AAC pour atteindre une qualité de l eau du captage satisfaisante? En tenant compte des acteurs concernés (nombreux, divers, à titres variés)
24 Des attentes variées par rapport à l agriculture de l AAC selon les acteurs : AAC de Brienon (Yonne) 1700 ha Enquêtes : - 6 agriculteurs - 2 élus - 5 agents de COOPs - 5 agents d organismes (agences de l eau, DDT) Ravier et al., soumis.024
25 Construction de scénarios de combinaisons de techniques (N0, N1, N2a ) : via un modèle d optimisation sous contraintes 1. Construction de matrices techniques par zone 2. Construction de scénarios (combinaisons de techniques par culture) avec un modèle d optimisation sous contraintes : Objectifs des acteurs: Maximisation ou minimisation d un indicateur calculé au niveau territorial (exemple : Marge Nette, IFT ) Ajout de «contraintes» à d autres indicateurs Ex: sur les modifications éventuelles d assolement, la production de certaines cultures, la part de certaines techniques Le modèle: 1) détermine la surface de chaque culture conduite selon chaque technique dans chaque milieu 2) calcule différents indicateurs au niveau du territoire (et par milieu) Un scénario
26 Légumes industriels 16% Prise en compte itérative des objectifs et contraintes des acteurs dans la construction des scénarios Exemple d un captage du Pas de Calais Grandes cultures 84% Situation actuelle Exploratoire Prédictif Normatif Tout en AB Zéro légumes Scénario «réaliste» Chantre et al., 2012 (Evolution en % de la référence) 26
27 3. Intégrer la diversité des contraintes et objectifs des acteurs dans les changements de systèmes de culture à l échelle des territoires en combinant savoirs agronomiques et économiques Intérêt de la collaboration: - introduire des innovations agronomiques dans des modèles économiques, - tenir compte de la diversité des situations, - construire des changements de systèmes de culture en tenant compte de la diversité des objectifs et contraintes des acteurs.027
28 4. Analyser ensemble le verrouillage technologique et proposer des politiques publiques favorables au déverrouillage
29 4. Analyser ensemble le verrouillage technologique et proposer des politiques publiques favorables au déverrouillage Les techniques sont mises en œuvre par les agriculteurs ce sont les «décideurs finaux», ceux qui sont «visés» en priorité par les politiques publiques Mais leur décision est influencée (souvent indirectement) par les activités de nombreux autres acteurs Pour agir sur les pratiques, il faut agir sur tous ces acteurs simultanément, par une analyse croisée (A+E) de leur influence! Exemple de l étude «freins et leviers à la diversification des cultures», 2012: Meynard, LeBail, Messéan, Farès, Magrini.029
30 4. Analyser ensemble le verrouillage technologique et proposer des politiques publiques favorables au déverrouillage L ensemble des acteurs ont organisé leurs stratégies autour des "grandes espèces", pour des raisons organisationnelles ou logistiques, pour répondre à l offre ou à la demande de leurs partenaires économiques, pour réaliser des économies d échelle ou pour réduire des coûts de transaction. De nombreux mécanismes d auto-renforcement interconnectés, caractéristiques d un verrouillage technologique : Le processus de verrouillage : Une technologie A peut être adoptée de façon durable, voire irréversible, par la plupart des acteurs d un système et ce même si apparaît une technologie B plus efficace Rendements croissants d adoption = plus une technologie est adoptée plus elle devient attractive et performante (auto-renforcement) «Une technologie n est pas choisie parce qu elle est la meilleure, mais elle devient la meilleure parce qu elle a été choisie» (Arthur, 1994) Meynard et al.,
31 Combiner savoirs agronomiques et économiques pour analyser les freins à la diversification: cas du pois pour l alimentation animale Meynard et al., Un progrès génétique moins rapide sur les espèces de diversification que sur les espèces majeures sélection 2- des produits homologués parfois peu efficaces et des produits efficaces non homologués! entreprises d homologation 3-Un accès souvent difficile au conseil technique et à des références locales sur une «nouvelle» culture conseil technique 4-La disponibilité limitée des ressources de l exploitation (sol, main d œuvre, matériel, stockage, eau ) agriculteur 5-la difficulté d identifier l intérêt économique pour l agriculteur: pas toujours de débouché rémunérateur, difficulté d appréhender les intérêts de la diversification à moyen terme dans un contexte très fluctuant à court terme filière 6-Des références techniques plus ou moins abondantes selon les espèces de diversification : des effets 'précédent' souvent évoqués, pas toujours quantifiés conseil technique 7- des références économiques annuelles plus fréquentes que pluri-annuelles (toujours favorables à la diversification!) conseil économique
32 Proposer des voies de déverrouillage par une combinaison de politiques publiques Meynard et al., le levier de la Recherche & Développement: favoriser l innovation Variétés Process de transformation Insertion des cultures de diversification dans les rotations 2- le levier des débouchés Fonder la différenciation des produits issus des cultures de diversification sur des qualités reconnues par le marché : Un supplément de valeur ajoutée qui peut être réparti entre les acteurs de la filière Renforcer le dispositif des mentions valorisantes pour mieux positionner auprès du consommateur les produits issus des cultures de diversification 3- le levier de la coordination des acteurs L insuffisance de la coordination entre les acteurs, de l aval à l amont, cause majeure de l échec de la construction de filières de diversification Favoriser la mise en place de dispositifs de partenariat de longue durée entre acteurs des filières, de la recherche, du conseil, de la sélection et des collectivités locales
33 Conclusions
34 Intérêts de la synergie pour l agronomie? Favoriser le changement d échelle pour la généralisation des innovations agronomiques, tout en tenant compte de la diversité des situations et des interactions entre milieux et techniques et de la diversité des points de vue des acteurs Appréhender les conséquences des choix techniques audelà de leur seul effet sur la production (approches au niveau des filières, étude de l impact d innovations) Enrichissement de nouveaux critères pour évaluer les performances économiques des systèmes de culture, des innovations (mais on reste un peu sur notre faim ) Nous aider à nous saisir d un nouvel objet de recherche, sur lequel les agronomes avaient quelquechose à dire: les politiques publiques.034
35 Des perspectives de collaborations Se ressaisir de l échelle de l exploitation agricole Prendre en compte les caractéristiques des exploitations agricoles, en interaction avec les techniques culturales, dans la construction des politiques publiques Etudier les liens entre taille des EA et techniques (dépasser les études de compétitivité passées) Quelle agriculture écologique au niveau du globe? Comment résoudre le hiatus apparent entre accroissement nécessaire de la production alimentaire et réduction indispensable des impacts environnementaux? Comment passer de l agronomie locale à l agronomie globale (rentrer de l agronomie dans les modèles d usage des sols???) Faut-il identifier des zones d intensification et des zones d extensification à l échelle mondiale?.035
36 Merci!!!
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