Prévention des risques :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prévention des risques :"

Transcription

1 Dans un article antérieur (SYCODÉS Informations n 37 de 1996) nous rendions compte des statistiques établies sur un ensemble de sinistres impliquant des attaques biologiques du bois dans les constructions (insectes ou champignons). En raison des constats de l époque, confortés par quelques données plus récentes que nous allons examiner ici, nous voulons revenir sur le domaine le plus critique au niveau de la prévention et correspondant à la pathologie la plus fréquente : l emploi du bois en milieu humide. LE CONSTAT Dans l article référencé précédemment, nous constations, sur 274 dossiers, la grande tendance suivante : 86% des cas étaient répertoriés comme consistant en des pourritures (le reste en des attaques d insectes). Parallèlement, la même enquête signalait des valeurs à rapprocher de la précédente : 84% des ouvrages sinistrés étaient jugés comme situés en classe de risque 3 ou 4. Les ouvrages concernés se répartissaient comme 58% de balcons et 5% de pieds de poteaux, 20% de charpente (dont la moitié par insectes), 1% de planchers, 16% d autres cas (essentiellement des menuiseries). Délai moyen d apparition des désordres : 6 ans Dans une nouvelle analyse de 31 ouvrages (soit 27 dossiers de sinistres, traités entre décembre 99 et janvier et février 2000), on constate : 90% de pourritures (28 ouvrages) se répartissant comme 15 garde-corps ou pièces diverses de balcons, 5 pergolas, Classe 2 terrasses, 5 éléments de murs ou de charpentes exposés aux intempéries, 1 parquet ancien en ambiance confinée par des travaux de rénovation, les 3 derniers cas étant constitués par des vermoulures de 2 escaliers (dont 1 de cave) et de poteaux extérieurs. Dans cette dernière enquête, le délai moyen d apparition des pourritures semble un peu plus long puisqu il se situe entre 8 ans et 8 ans et demi. Situation en service 1 Bois toujours sec. Humidité des bois toujours inférieure à 18%. 2 Bois sec dont la surface est humidifiée temporairement ou accidentellement. Humidité des bois en moyenne inférieure à 18%. 3 Bois soumis à des alternances humidité/sécheresse. 4 Bois d humidité toujours supérieure à 20% en tout ou partie de son volume. 5 Bois en contact permanent avec l eau de mer. Exemples d emploi Menuiseries intérieures à l abri de l humidité : parquets, escaliers intérieurs. Charpente, ossatures correctement ventilées en service. Toutes pièces de construction ou menuiseries extérieures verticales soumises à la pluie : bardages, fenêtres... pièces abritées mais en atmosphère condensante. Bois horizontaux en extérieur (balcons, coursives...) et bois en contact avec le sol ou une source d humidification prolongée ou permanente. Piliers, pontons, bois immergés Zone sensible 2mm 2mm Toute la partie humidifiable de la zone Toute la zone Toute la zone Risque biologique - Champignons de surface - Champignons de surface - Pourriture y compris termites - Pourriture - Térébrants marin SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août

2 Ces données objectives se recoupent parfaitement et confirment l expérience courante des experts et spécialistes bois que l on peut résumer comme 1. D un point de vue pratique et économique, les risques de pourriture du matériau bois, en cas de mauvais emploi, sont beaucoup plus importants que ceux liés aux insectes (vermoulure). 2. La pourriture est toujours liée à une mauvaise adaptation relative de la conception de l ouvrage (détails d exécution notamment) et des options concernant le couple essence-préservation. 3. Le développement des pourritures est automatique, dès lors que, en conditions d humidité défavorables (classe 3 ou 4), la nature du bois et de son éventuel traitement n est pas adaptée à ces conditions, contrairement aux attaques d insectes qui, elles, sont aléatoires, même pour un bois sensible, car liées au hasard des infestations. LA PRÉVENTION C est donc en fonction de ce constat que l on a voulu cibler le présent article plus spécialement sur la prévention des risques encourus par les pièces de bois massif ou lamellé-collé soumises à des conditions d humidité élevée (soit en classes de risque 3 et 4, voir encadré). La clef du problème posé par ces pièces réside dans le fait suivant : le développement des champignons lignivores, quels qu il soient, ne peut s initier que dans des volumes de bois se trouvant à une humidité supérieure à 20/21%, associée à une possibilité d apport en oxygène (les bois gorgés d eau en permanence ne risquent pas de pourrir). Sous nos climats de zone tempérée, cette humidité ne peut pas, en pratique, être atteinte par le seul équilibrage du bois avec l humidité de l air ambiant. En revanche tout apport d eau liquide (pluie, condensation, fuites de réseau, etc.) amène, au moins localement, la matière au dessus de ce seuil critique. Dès lors, la question qui se pose concerne la durée de cette situation favorable aux champignons, qui dépendra des possibilités et de la vitesse d évacuation de l eau par gravité et par évaporation. On comprend donc que les paramètres conditionnant la durabilité pratique d une pièce exposée à des apports d eau liquide sont très nombreux, notamment : fréquence des apports, quantités, fissuration, orientation des fibres, géométrie de la section, configurations des points singuliers (assemblages), rapport surface/volume, illumination SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août

3 solaire, ventilation, température, perméabilité et couleur des finitions, durabilité naturelle du cœur, présence d aubier, nature et niveau de pénétration des traitements de préservation (généralement limitée à l aubier). De ce fait on est tenté d affirmer que l essentiel de la lutte contre les champignons se fait sur la planche à dessin, c est-à-dire au niveau de l architecture et au niveau des détails constructifs, de manière à éviter, si possible, qu aucune pièce soit en classe 4, et à tendre même à éviter les conditions de la classe 3. Nous ne détaillerons pas ici les techniques de préservation ou les critères d'efficacité correspondant, ni les références pour établir les prescriptions. On se reportera, pour approfondir ces aspects au "Guide de la préservation du bois" édité par le CTBA. CLASSE DE RISQUE 3 Les pièces situées dans cette classe de risque sont exposées à des ambiances qui ne correspondent qu'exceptionnellement à des humidités d'équilibre supérieures à 20%, elles peuvent être périodiquement exposées à la pluie mais peuvent bénéficier d'une ventilation et d'un draînage assurant la limitation de leur humidité interne ou une évacuation rapide, et elles ne sont pas en contact avec le sol. Ce qui précède suppose, entre autres, une étude attentive des détails d'exécution (par exemple au niveau des assemblages) afin d'éviter que certaines zones du bois ne se trouvent, de fait, en classe de risque 4. On tient à souligner que les pièces considérées ici (pièces de structure d'une épaisseur supérieure à 60 mm) présentent un facteur défavorable à l'égard de leur équilibre hygrothermique : leur "massiveté" (rapport volume/surface élevé) qui les rend sensibles au risque d'accumulation interne d eau ("piégeage") du fait du faible débit d'évaporation. On tient à rappeler ici, en effet, qu aucun aubier ne présente de durabilité naturelle compatible avec les classes de risque 3 ou 4. Pour des durées de vie plus longues, il convient de s orienter vers des cœurs plus durables, avec les mêmes conditions concernant l aubier : Chêne, Châtaignier, Azobé, Ipé, Western Red Cedar. Imprégnation du produit Photo Cecil Dans ce contexte, le facteur temps prend une importance toute particulière, comme l'expérience le montre abondamment, et c'est pourquoi la durée de vie envisagée pour l'ouvrage projeté est un facteur important de décision, pour ce qui concerne la classe 3. Pour des ouvrages de durée de vie faible à moyenne (n excédant pas une cinquantaine d année environ) on peut s en tenir à des essences à cœur moyennement durable, pourvu que leur aubier soit éliminé ou traité par injection profonde (et, donc, imprégnable) : Pin (maritime ou sylvestre), Mélèze, Douglas, Iroko, Jatoba, Angélique, par exemple. CLASSE DE RISQUE 4 Dans ce cas, où certaines zones des pièces seront soumises à des humidités élevées sur de longues durées, ou en contact avec le sol, on doit craindre des attaques fongiques particulièrement rapides, notamment dans les zones de transition vers les régions moins humides des pièces et recourir à des essences particulièrement durables (en veillant Traitement curatif par injection Photo Cecil 64 SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août 2000

4 toujours à l élimination ou au traitement en profondeur de l aubier) : Robinier, Bilinga, Doussié, Makoré, Merbau, Moabi, Okan, Padouk, Pau- Amarello, Tatajuba On attire l'attention des concepteurs sur le fait que, quand les conditions très sévères de la classe 4 sont effectives, aucune essence ne peut assurer une durabilité indéfinie et que les pertes de masse dues aux attaques fongiques conduiront inévitablement, après quelques décennies, à des pertes de résistance substantielles. CAS DES BOIS LAMELLÉS-COLLÉS L'intégrité à long terme des collages, en emploi exposé à des variations hygrothermiques notables nécessite de minimiser le développement de contraintes internes et donc la réduction des sections unitaires de lamelles, associée, si possible, à la pratique d'un rainurage longitudinal de celles-ci et à certaines mesures spécifiques dans le processus de collage. Des dispositions détaillées à cet égard sont en cours de préparation en collaboration avec le syndicat professionnel, mais, en tout état de cause, dès que l on décide de coller des bois à haute durabilité, généralement des feuillus denses, le plus souvent tropicaux, on doit être conscient qu il s agit de technologies d exception et faire appel systématiquement à l appui technique de spécialistes (du CTBA, par exemple). INSECTES (AUTRES QUE TERMITES) L'absence éventuelle de traitement anti-fongique par injection profonde (dans le cas du recours à une essence à cœur durable vis-àvis des champignons) ne dispense nullement de la nécessité d'un traitement anti-insecte de surface, après fabrication. Y sont soumis tous les ouvrages de charpente, chaque fois que l'aubier est présent ou que le cœur de l'essence considérée n'est pas durable vis à vis de ce risque. C est le cas, notamment, de la plupart des essences indigènes telles que le Chêne, le Châtaignier ou le Robinier (par ailleurs réputés durables vis à vis des champignons). ATTENTION! Les risques d'attaques par insectes xylophages (inclusivement par les termites des genres endémiques en France métropolitaine), pour les essences qui y sont sensibles, existent quelle que soit la classe de risque, et doivent être prévenus par des traitements superficiels adaptés, effectués (ou complétés) sur les pièces après tous les enlèvements de matière (usinages) nécessaires à leur mise en œuvre. SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août

5 TERMITES Une attention particulière est à apporter au risque d'attaque par les termites dans les lieux où il existe. Il convient de souligner que la distribution géographique de l'infestation par les termites est évolutive et qu'il convient d'une part de se montrer prudent dans les régions voisines des zones infestées, d'autre part de prendre connaissance des cartes, régulièrement publiées, qui précisent cette distribution. La maîtrise de ce risque, hormis les interventions sur les sols ou fondations (technologies à effet barrière ), réside en partie dans les options architecturales (construction sur piles en maçonnerie ou sousbassement en béton par exemple) et que le traitement des bois ne devrait être considéré que comme un complément de protection. Toutefois, il faut noter que certaines des essences déjà citées présentent une durabilité : Moyenne : Chêne, Châtaignier, Tatajuba, Jatoba, Angélique, Ou bonne : Robinier, Bilinga, Doussié, Makoré, Merbau, Moabi, Okan, Padouk, Pau-Amarello, Azobé, Ipé, Iroko. Philippe Crubilé CTBA 66 SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août 2000

Menuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES

Menuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES Menuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES 171 Bois résineux Les bois résineux de menuiserie sont particulièrement adaptés aux fabrications de menuiseries industrielles ou artisanales,

Plus en détail

FORMATION PATHOLOGIES BIOLOGIQUES DU BOIS DANS LA CONSTRUCTION. Connaître le bois et ses technologies. Identifier les agents de dégradation du bois

FORMATION PATHOLOGIES BIOLOGIQUES DU BOIS DANS LA CONSTRUCTION. Connaître le bois et ses technologies. Identifier les agents de dégradation du bois Alain LEMAIGRE Expert Bois Consultant Expertise construction bois Expertise préservation et attaques biologiques SEB Membre de la Société des Experts Bois (Wood Experts Society EU) FORMATION PATHOLOGIES

Plus en détail

Entretenez votre bonheur

Entretenez votre bonheur GUIDE D ENTRETIEN Entretenez votre bonheur Commencez avec vos meubles en bois et terrasse Rectavit PROTECTION TOTALE contre le vieillissement, la décoloration et les saletés Légende Vos meubles en bois

Plus en détail

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE II Le toit / Leçon 4 : La charpente 19. Voir Leçon 5. 20. Pour les solins, voir p. 38. LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE On s alarme souvent de la courbe d un arbalétrier ou d un entrait

Plus en détail

Nos bois de Midi-Pyrénées. Quelle essence pour quelle utilisation?

Nos bois de Midi-Pyrénées. Quelle essence pour quelle utilisation? Nos bois de Midi-Pyrénées Quelle essence pour quelle utilisation? ce Quelle essen pour quelle u tilisation? avant-propos Fort de sa valeur environnementale et de ses performances remarquables, le bois

Plus en détail

Présentation : Notre équipe se compose :

Présentation : Notre équipe se compose : SUEUR CONSTRUCTION BOIS 6, route de Haute-Avesnes 62 144 ACQ Téléphone : 03 21 59 05 40 Fax : 03 21 59 17 01 www.sueur-construction-bois.fr sueurconstructionbois@wanadoo.fr Présentation : La Société SUEUR

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

Principe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs

Plus en détail

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE ET DECENNALE CONTRACTANTS GENERAUX

QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE ET DECENNALE CONTRACTANTS GENERAUX QUESTIONNAIRE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE ET DECENNALE CONTRACTANTS GENERAUX 1 RENSEIGNEMENTS GENERAUX Merci de compléter ce document en lettres capitales Date d effet souhaitée : /

Plus en détail

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00

Plus en détail

Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009. Document d information non contractuel

Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009. Document d information non contractuel Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009 Document d information non contractuel L Anah, Agence nationale de l habitat, attribue des aides financières aux propriétaires

Plus en détail

Diagnostic immobilier : les responsabilités connexes Compte-rendu de la réunion de la Commission de droit immobilier

Diagnostic immobilier : les responsabilités connexes Compte-rendu de la réunion de la Commission de droit immobilier Diagnostic immobilier : les responsabilités connexes Compte-rendu de la réunion de la Commission de droit immobilier La sous-commission "Responsabilité assurance construction" de la Commission ouverte

Plus en détail

RÈGLEMENT 569. Et résolu à l unanimité des conseillers présents que le règlement suivant soit adopté :

RÈGLEMENT 569. Et résolu à l unanimité des conseillers présents que le règlement suivant soit adopté : 2011-06-117 CANADA PROVINCE DE QUÉBEC MRC DRUMMOND MUNICIPALITÉ DE SAINT-FÉLIX-DE-KINGSEY RÈGLEMENT 569 RÈGLEMENT ÉTABLISSANT LES CONDITIONS DE SALUBRITÉ ET D'ENTRETIEN DES LOGEMENTS CONSIDÉRANT QU en

Plus en détail

MARDI 11 DÉCEMBRE À 20:50

MARDI 11 DÉCEMBRE À 20:50 MARDI 11 DÉCEMBRE À 20:50 Avoir sa propre maison, c est le rêve de toute une vie. Un nid douillet, où l on voit grandir ses enfants Un abri contre les intempéries Mais que se passe-t-il quand ce toit,

Plus en détail

ISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR

ISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS DÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LES MURS PAR

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p.

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p. solutions B É T O N Inertie thermique et confort d été UNE TROP FORTE CHALEUR À L INTÉRIEUR D UNE HABITATION EST UN Logements Paris FACTEUR D INCONFORT IMPORTANT.SI CELA EST SOUVENT VÉCU COMME UNE FATALITÉ,

Plus en détail

SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS

SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Lignes directrices 2. Issue extérieure au niveau du sol Accès et aire de manœuvre Sécurité fonctionnelle 3. Étages desservis par un Bâtiment protégé par des extincteurs automatiques

Plus en détail

SOLUTIONS BOIS EXPERTISE & QUALITÉ. www.owatrol.com www.owatrol.pro. www.linitop.com

SOLUTIONS BOIS EXPERTISE & QUALITÉ. www.owatrol.com www.owatrol.pro. www.linitop.com SOLUTIONS BOIS EXPERTISE & QUALITÉ www.owatrol.com www.owatrol.pro www.linitop.com Sommaire Il est primordial de bien comprendre ce qu est le bois si on veut le protéger efficacement. De nos jours, le

Plus en détail

AMENAGEMENT LOCAL INFIRMIERES ET ESPACE ASSOCIATIF Le bourg 71960 Verzé

AMENAGEMENT LOCAL INFIRMIERES ET ESPACE ASSOCIATIF Le bourg 71960 Verzé MAITRE DE L'OUVRAGE MAIRIE Le Bourg 71960 Verzé AMENAGEMENT LOCAL INFIRMIERES ET ESPACE ASSOCIATIF Le bourg 71960 Verzé Cahier des Clauses Techniques Particulières Lot 02: Charpente/Bardage/Isolation Architecte

Plus en détail

Présentation renouveau école Georges Pamart

Présentation renouveau école Georges Pamart MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges

Plus en détail

ESCALIERS CATALOGUE 20 14-20 15

ESCALIERS CATALOGUE 20 14-20 15 ESCALIERS CATALOGUE 2014-2015 INTRODUCTION Entreprise familiale, Cashin Frères SARL conçoit et assemble ses terrasses en bois, abris pour voiture, appentis et accessoires sur son site près de Colmar en

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.

Plus en détail

Ossature - Poteaux-poutres

Ossature - Poteaux-poutres Construction Bois Ossature - Poteaux-poutres 2015 Construction de clos-couverts isolés en ossature bois ou système poteaux-poutres Pionnier de la construction bois dans l Ain, ELCC intègre toutes les compétences

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Programme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par

Programme interreg Eco Fab. Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011. Compte rendu réalisé par Programme interreg Eco Fab Rencontre avec Woodnet 28 juin 2011 Compte rendu réalisé par Contexte : Le projet ECO FAB vise à créer un groupe de réflexion transmanche destiné à la création de réseaux thématiques

Plus en détail

Composants de menuiserie Escaliers Définition : Escalier : Types d escaliers : Rôle d un escalier :

Composants de menuiserie Escaliers Définition : Escalier : Types d escaliers : Rôle d un escalier : Composants de menuiserie Escaliers Definition Caractéristiques Références normatives Spécifications Marquage C.E Acquis environnementaux Définition : Escalier : Ouvrage de menuiserie constitué de gradins

Plus en détail

Construction en bottes de paille

Construction en bottes de paille Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

Plus en détail

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête 74 RUE DE VIENNE, 27140 GISORS RAPPORT DE DIAGNOSTIC DES SONDAGES REALISES DANS LA SALLE DE PROJECTION 0. TABLE DES MATIERES 0. Table des matières...

Plus en détail

Quels travaux confier à un professionnel?

Quels travaux confier à un professionnel? CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!

Plus en détail

L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS

L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS INFORMATIONS TECHNIQUES T 22 Mutuelle des Architectes Français assurances SEPTEMBRE 2011 ANNULE ET REMPLACE LA FICHE T 22 DE NOVEMBRE 1996 L HUMIDITÉ DANS LES BÂTIMENTS Fiche élaborée par Clément Carpentier,

Plus en détail

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

LA CONSTRUCTION OSSATURE BOIS BASSE CONSOMMATION

LA CONSTRUCTION OSSATURE BOIS BASSE CONSOMMATION LA CONSTRUCTION OSSATURE BOIS BASSE CONSOMMATION PREAMBULE : les différentes techniques de construction ti bois Construction en madriers ou en rondins : Le principe consiste à empiler des pièces de bois

Plus en détail

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT :

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT : Proposition d Assurance Responsabilité Civile et décennale des Entreprises de Construction A retourner par Fax au 04 37 24 52 79 ou par mail à narjisse.boughanemi@entrepreneursdelacite.org Tél : 04 37

Plus en détail

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme * Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats

Plus en détail

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense 5 ème Forum International Bois Construction FBC 2015 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense P. Gontier 1 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense Pascal Gontier Architecte

Plus en détail

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01 Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)

Plus en détail

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

SolutionS rénovation ConDuitS DE FuMéES pour ChauDièrES à ConDEnSation Poujoulat

SolutionS rénovation ConDuitS DE FuMéES pour ChauDièrES à ConDEnSation Poujoulat Solutions rénovation CONDUITS DE FUMéES pour chaudières à condensation Conduit individuel Le conduit individuel se rencontre dans les immeubles anciens de l époque haussmannienne et en maison individuelle.

Plus en détail

TRAVAIL EMPLOI FORMATION

TRAVAIL EMPLOI FORMATION TRAVAIL EMPLOI FORMATION Equipement de protection Hygiène et sécurité Prévention Santé MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL Direction générale du travail

Plus en détail

Plan de modernisation des installations industrielles

Plan de modernisation des installations industrielles Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction

Plus en détail

Guide des autorisations d urbanisme

Guide des autorisations d urbanisme Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A

Plus en détail

Terminologie et définitions

Terminologie et définitions IV.70 OUVERTURES EXTÉRIEURES IV.701.1 IV.701 TERMINOLOGIE ET DÉFINITIONS RELATIVES AUX FENÊTRES ET PORTES EXTÉRIEURES IV.701.1 Terminologie et définitions extrémités inférieure et supérieure de la porte

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs

Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs 7.1 Isolant soufflé 7.2 Rénovation de l intérieur 7.3 Rénovation de l extérieur 7.4 Endroits divers : garages attenants et autres espaces 7.5 Ajouts et nouvelles

Plus en détail

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1

LOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1 Ref. Ares(2014)4124941-09/12/2014 SN : si nécessaire - : 1x par jour - : 1 x par semaine - 2M : 2 x par mois - : 1 x par mois - 4A : 1 x par trimestre - 2A : 1 x tous les six mois - 1A : 1 x par an techni

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

IMPORTANT : Cette page de synthèse ne peut être utilisée indépendamment du rapport d expertise complet

IMPORTANT : Cette page de synthèse ne peut être utilisée indépendamment du rapport d expertise complet Bien immobilier expertisé : 1 RUE MAURICE PELLERIN PC 699803 Etage : SS-2 et SS-1 92600 ASNIERES SUR SEINE Lot(s) : 2132à2141.2160.2161.2167.2169.2170.2176.2183. 2184.2169.2168 Références cadastrales :

Plus en détail

LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE

LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE L'énergie est notre avenir, économisons-la! LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE L avis des Experts Economies d énergie : + Répartition homogène de la température et confort optimal. + Gain d espace

Plus en détail

RÈGLEMENT 2012-24 VERSION REFONDUE

RÈGLEMENT 2012-24 VERSION REFONDUE PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT D ABITIBI VILLE DE VAL-D'OR RÈGLEMENT 2012-24 VERSION REFONDUE Règlement concernant la salubrité et l entretien des habitations. PRÉAMBULE CONSIDÉRANT QUE la Loi sur l aménagement

Plus en détail

Entreprise de charpente :

Entreprise de charpente : Maîtres d ouvrage : M. et Mme Lepavec, 05 Château-Vieux Maître d œuvre : M. Romuald Marlin, 05 Sigoyer BE Bois : S.A.R.L. E.Tech.Bois, 04 Sisteron Entreprise de charpente : S.A.R.L. Garcin, 04 Sisteron

Plus en détail

Construire. Statique. Styled by Smou. SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240

Construire. Statique. Styled by Smou. SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240 Construire Statique Styled by Smou SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240 Manuel d'application - Calcul statique -- Ferme et pannes à devers Page

Plus en détail

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN

PLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de

Plus en détail

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free. VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.fr RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE DES MATERIAUX ET PRODUITS

Plus en détail

Solution rapide d'habitation. habitaflex.com

Solution rapide d'habitation. habitaflex.com Solution rapide d'habitation habitaflex.com DÉPLIABLEHabitaflex Habitaflex, une filiale Laprise, chef de file et fabricant-phare de la maison en panneaux pré-usinés haute performance au Québec depuis 1989,

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

ESCALIER DROIT AVEC RAMPE A BALUSTRES EN BOIS

ESCALIER DROIT AVEC RAMPE A BALUSTRES EN BOIS DROIT AVEC RAMPE A BALUSTRES EN BOIS UN PRODUIT SIMPLE, UNE FABRICATION SOLIDE BEST DEAL - - SAPIN escalier droit - 15 marches ouvertes en sapin 15 x 44,04 = 660,60 balustres droits 34/34-3mc 3 x 77,08

Plus en détail

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2 CHAPITRE OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2.1. CAS GÉNÉRAL L installation d un garde-corps est obligatoire lorsque la hauteur de chute comptée à partir de la zone de stationnement normal (ZSN)

Plus en détail

Descriptif technique Maison ossature bois

Descriptif technique Maison ossature bois Structure : Descriptif technique Maison ossature bois Murs porteurs en ossature bois 45/200mm avec panneaux de contreventement en OSB 11mm Charpente traditionnelle avec débords de toiture de 50cm en long

Plus en détail

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE

LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE Habitat, bureaux, commerces : le W conjugue les trois fondamentaux de l urbain. Dans cet esprit, Vauban Immobilier, Scharf Immobilier, GIPA et Rive Gauche CB Richard

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

Base. Centrales à béton. Vue d ensemble

Base. Centrales à béton. Vue d ensemble Base Centrales à béton Vue d ensemble Votre spécialiste des installations de préparation de béton Le partenariat est une tradition de longue date chez Ammann. Le partenariat est un élément vivant de notre

Plus en détail

Immeuble collectif AQC

Immeuble collectif AQC AQC Immeuble collectif Comment bien utiliser votre assurance construction «Dommages-Ouvrage»? Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité

Plus en détail

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable

Les règles d or de la. con struction écologique. Rénover l habitat. écologique économique climatiquement. en énergie sain durable Les règles d or de la con struction écologique Rénover l habitat écologique économique climatiquement neutre peu gourmand en énergie sain durable Le Centre suisse d études pour la rationalisation de la

Plus en détail

Combles et couvertures

Combles et couvertures FICHE TECHNIQUE Combles et couvertures 2 5 6 8 CONNAÎTRE > Protection et esthétique > Couverture > Charpente REGARDER > Couverture > Charpente ENTRETENIR AMÉLIORER > Changer le matériau de couverture >

Plus en détail

Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO

Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO Version: Mars 2014 Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/-) ECO 1. Introduction e présent document permet de calculer facilement le degré de lumière naturelle pour la demande Minergie-Eco.

Plus en détail

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d

Plus en détail

COMMENT EVALUER UN RISQUE

COMMENT EVALUER UN RISQUE COMMENT EVALUER UN RISQUE Rappel : danger et risque Le danger est la propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, d un environnement à causer un dommage

Plus en détail

adapto solutions de bureau dynamiques technologie modulaire

adapto solutions de bureau dynamiques technologie modulaire adapto solutions de bureau dynamiques technologie modulaire 2 5 FLEXIBLE 1 3 6 2 3 «adapto» NOUS AVONS PENSE A TOUT Vous créez une nouvelle société ou votre entreprise 1 Bâtiment administratif Réalisation

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

EXTENSIONS ECOLOGIQUES

EXTENSIONS ECOLOGIQUES www.josefapricoupenko.com Louise Ranck, Latitude 48 www.latitude48.net EXTENSIONS ECOLOGIQUES www.josefapricoupenko.com 27 mars 2010 Extensions écologiques, Joséfa Pricoupenko 1 Structure associative créée

Plus en détail

Offre industrielle de maisons bois en kit. Fabricant structure bois

Offre industrielle de maisons bois en kit. Fabricant structure bois Offre industrielle de maisons bois en kit Fabricant structure bois Fabricant structure bois > Offre industrielle de maisons bois en kit RUSTICASA propose des composants industriels qui s adaptent à tous

Plus en détail

La sécurité physique et environnementale

La sécurité physique et environnementale I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en

Plus en détail

LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête

LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential

Plus en détail

EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE

EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette

Plus en détail

INSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud

INSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

LES MENUISERIES INTÉRIEURES

LES MENUISERIES INTÉRIEURES Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,

Plus en détail

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Union des Villes et Communes de Wallonie asbl RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain

Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs

Plus en détail

LES MURS EN STRUCTURE BOIS

LES MURS EN STRUCTURE BOIS LES MURS FICHE TECHNIQUE / 03 LES TECHNIQUES CONSTRUCTIVES TRADITIONNELLES Le mur en structure bois est toujours posé sur une base en pierre ou maçonnerie afin de le protéger de l'humidité (voir fiche

Plus en détail

Proposition pour une assurance par chantier de la responsabilité décennale des entrepreneurs en France.

Proposition pour une assurance par chantier de la responsabilité décennale des entrepreneurs en France. Proposition pour une assurance par chantier de la responsabilité décennale des entrepreneurs en France. ANNEXE 1 : ACTIVITES EXERCEES Pour le chantier objet de la proposition, je déclare que mon entreprise

Plus en détail

SYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE

SYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE *Des solutions polymères à l infini www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Les bâtiments tertiaires possèdent des équipements

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu

Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu Plania Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu Chapitre 11 Dispositions particulières applicables à certaines zones P031607 303-P031607-0932-000-UM-0023-0A Municipalité de Saint-Marc-sur-Richelieu 102

Plus en détail

Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE

Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements

Plus en détail

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les

Plus en détail