Prévention des risques :
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- André Mélançon
- il y a 6 ans
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1 Dans un article antérieur (SYCODÉS Informations n 37 de 1996) nous rendions compte des statistiques établies sur un ensemble de sinistres impliquant des attaques biologiques du bois dans les constructions (insectes ou champignons). En raison des constats de l époque, confortés par quelques données plus récentes que nous allons examiner ici, nous voulons revenir sur le domaine le plus critique au niveau de la prévention et correspondant à la pathologie la plus fréquente : l emploi du bois en milieu humide. LE CONSTAT Dans l article référencé précédemment, nous constations, sur 274 dossiers, la grande tendance suivante : 86% des cas étaient répertoriés comme consistant en des pourritures (le reste en des attaques d insectes). Parallèlement, la même enquête signalait des valeurs à rapprocher de la précédente : 84% des ouvrages sinistrés étaient jugés comme situés en classe de risque 3 ou 4. Les ouvrages concernés se répartissaient comme 58% de balcons et 5% de pieds de poteaux, 20% de charpente (dont la moitié par insectes), 1% de planchers, 16% d autres cas (essentiellement des menuiseries). Délai moyen d apparition des désordres : 6 ans Dans une nouvelle analyse de 31 ouvrages (soit 27 dossiers de sinistres, traités entre décembre 99 et janvier et février 2000), on constate : 90% de pourritures (28 ouvrages) se répartissant comme 15 garde-corps ou pièces diverses de balcons, 5 pergolas, Classe 2 terrasses, 5 éléments de murs ou de charpentes exposés aux intempéries, 1 parquet ancien en ambiance confinée par des travaux de rénovation, les 3 derniers cas étant constitués par des vermoulures de 2 escaliers (dont 1 de cave) et de poteaux extérieurs. Dans cette dernière enquête, le délai moyen d apparition des pourritures semble un peu plus long puisqu il se situe entre 8 ans et 8 ans et demi. Situation en service 1 Bois toujours sec. Humidité des bois toujours inférieure à 18%. 2 Bois sec dont la surface est humidifiée temporairement ou accidentellement. Humidité des bois en moyenne inférieure à 18%. 3 Bois soumis à des alternances humidité/sécheresse. 4 Bois d humidité toujours supérieure à 20% en tout ou partie de son volume. 5 Bois en contact permanent avec l eau de mer. Exemples d emploi Menuiseries intérieures à l abri de l humidité : parquets, escaliers intérieurs. Charpente, ossatures correctement ventilées en service. Toutes pièces de construction ou menuiseries extérieures verticales soumises à la pluie : bardages, fenêtres... pièces abritées mais en atmosphère condensante. Bois horizontaux en extérieur (balcons, coursives...) et bois en contact avec le sol ou une source d humidification prolongée ou permanente. Piliers, pontons, bois immergés Zone sensible 2mm 2mm Toute la partie humidifiable de la zone Toute la zone Toute la zone Risque biologique - Champignons de surface - Champignons de surface - Pourriture y compris termites - Pourriture - Térébrants marin SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août
2 Ces données objectives se recoupent parfaitement et confirment l expérience courante des experts et spécialistes bois que l on peut résumer comme 1. D un point de vue pratique et économique, les risques de pourriture du matériau bois, en cas de mauvais emploi, sont beaucoup plus importants que ceux liés aux insectes (vermoulure). 2. La pourriture est toujours liée à une mauvaise adaptation relative de la conception de l ouvrage (détails d exécution notamment) et des options concernant le couple essence-préservation. 3. Le développement des pourritures est automatique, dès lors que, en conditions d humidité défavorables (classe 3 ou 4), la nature du bois et de son éventuel traitement n est pas adaptée à ces conditions, contrairement aux attaques d insectes qui, elles, sont aléatoires, même pour un bois sensible, car liées au hasard des infestations. LA PRÉVENTION C est donc en fonction de ce constat que l on a voulu cibler le présent article plus spécialement sur la prévention des risques encourus par les pièces de bois massif ou lamellé-collé soumises à des conditions d humidité élevée (soit en classes de risque 3 et 4, voir encadré). La clef du problème posé par ces pièces réside dans le fait suivant : le développement des champignons lignivores, quels qu il soient, ne peut s initier que dans des volumes de bois se trouvant à une humidité supérieure à 20/21%, associée à une possibilité d apport en oxygène (les bois gorgés d eau en permanence ne risquent pas de pourrir). Sous nos climats de zone tempérée, cette humidité ne peut pas, en pratique, être atteinte par le seul équilibrage du bois avec l humidité de l air ambiant. En revanche tout apport d eau liquide (pluie, condensation, fuites de réseau, etc.) amène, au moins localement, la matière au dessus de ce seuil critique. Dès lors, la question qui se pose concerne la durée de cette situation favorable aux champignons, qui dépendra des possibilités et de la vitesse d évacuation de l eau par gravité et par évaporation. On comprend donc que les paramètres conditionnant la durabilité pratique d une pièce exposée à des apports d eau liquide sont très nombreux, notamment : fréquence des apports, quantités, fissuration, orientation des fibres, géométrie de la section, configurations des points singuliers (assemblages), rapport surface/volume, illumination SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août
3 solaire, ventilation, température, perméabilité et couleur des finitions, durabilité naturelle du cœur, présence d aubier, nature et niveau de pénétration des traitements de préservation (généralement limitée à l aubier). De ce fait on est tenté d affirmer que l essentiel de la lutte contre les champignons se fait sur la planche à dessin, c est-à-dire au niveau de l architecture et au niveau des détails constructifs, de manière à éviter, si possible, qu aucune pièce soit en classe 4, et à tendre même à éviter les conditions de la classe 3. Nous ne détaillerons pas ici les techniques de préservation ou les critères d'efficacité correspondant, ni les références pour établir les prescriptions. On se reportera, pour approfondir ces aspects au "Guide de la préservation du bois" édité par le CTBA. CLASSE DE RISQUE 3 Les pièces situées dans cette classe de risque sont exposées à des ambiances qui ne correspondent qu'exceptionnellement à des humidités d'équilibre supérieures à 20%, elles peuvent être périodiquement exposées à la pluie mais peuvent bénéficier d'une ventilation et d'un draînage assurant la limitation de leur humidité interne ou une évacuation rapide, et elles ne sont pas en contact avec le sol. Ce qui précède suppose, entre autres, une étude attentive des détails d'exécution (par exemple au niveau des assemblages) afin d'éviter que certaines zones du bois ne se trouvent, de fait, en classe de risque 4. On tient à souligner que les pièces considérées ici (pièces de structure d'une épaisseur supérieure à 60 mm) présentent un facteur défavorable à l'égard de leur équilibre hygrothermique : leur "massiveté" (rapport volume/surface élevé) qui les rend sensibles au risque d'accumulation interne d eau ("piégeage") du fait du faible débit d'évaporation. On tient à rappeler ici, en effet, qu aucun aubier ne présente de durabilité naturelle compatible avec les classes de risque 3 ou 4. Pour des durées de vie plus longues, il convient de s orienter vers des cœurs plus durables, avec les mêmes conditions concernant l aubier : Chêne, Châtaignier, Azobé, Ipé, Western Red Cedar. Imprégnation du produit Photo Cecil Dans ce contexte, le facteur temps prend une importance toute particulière, comme l'expérience le montre abondamment, et c'est pourquoi la durée de vie envisagée pour l'ouvrage projeté est un facteur important de décision, pour ce qui concerne la classe 3. Pour des ouvrages de durée de vie faible à moyenne (n excédant pas une cinquantaine d année environ) on peut s en tenir à des essences à cœur moyennement durable, pourvu que leur aubier soit éliminé ou traité par injection profonde (et, donc, imprégnable) : Pin (maritime ou sylvestre), Mélèze, Douglas, Iroko, Jatoba, Angélique, par exemple. CLASSE DE RISQUE 4 Dans ce cas, où certaines zones des pièces seront soumises à des humidités élevées sur de longues durées, ou en contact avec le sol, on doit craindre des attaques fongiques particulièrement rapides, notamment dans les zones de transition vers les régions moins humides des pièces et recourir à des essences particulièrement durables (en veillant Traitement curatif par injection Photo Cecil 64 SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août 2000
4 toujours à l élimination ou au traitement en profondeur de l aubier) : Robinier, Bilinga, Doussié, Makoré, Merbau, Moabi, Okan, Padouk, Pau- Amarello, Tatajuba On attire l'attention des concepteurs sur le fait que, quand les conditions très sévères de la classe 4 sont effectives, aucune essence ne peut assurer une durabilité indéfinie et que les pertes de masse dues aux attaques fongiques conduiront inévitablement, après quelques décennies, à des pertes de résistance substantielles. CAS DES BOIS LAMELLÉS-COLLÉS L'intégrité à long terme des collages, en emploi exposé à des variations hygrothermiques notables nécessite de minimiser le développement de contraintes internes et donc la réduction des sections unitaires de lamelles, associée, si possible, à la pratique d'un rainurage longitudinal de celles-ci et à certaines mesures spécifiques dans le processus de collage. Des dispositions détaillées à cet égard sont en cours de préparation en collaboration avec le syndicat professionnel, mais, en tout état de cause, dès que l on décide de coller des bois à haute durabilité, généralement des feuillus denses, le plus souvent tropicaux, on doit être conscient qu il s agit de technologies d exception et faire appel systématiquement à l appui technique de spécialistes (du CTBA, par exemple). INSECTES (AUTRES QUE TERMITES) L'absence éventuelle de traitement anti-fongique par injection profonde (dans le cas du recours à une essence à cœur durable vis-àvis des champignons) ne dispense nullement de la nécessité d'un traitement anti-insecte de surface, après fabrication. Y sont soumis tous les ouvrages de charpente, chaque fois que l'aubier est présent ou que le cœur de l'essence considérée n'est pas durable vis à vis de ce risque. C est le cas, notamment, de la plupart des essences indigènes telles que le Chêne, le Châtaignier ou le Robinier (par ailleurs réputés durables vis à vis des champignons). ATTENTION! Les risques d'attaques par insectes xylophages (inclusivement par les termites des genres endémiques en France métropolitaine), pour les essences qui y sont sensibles, existent quelle que soit la classe de risque, et doivent être prévenus par des traitements superficiels adaptés, effectués (ou complétés) sur les pièces après tous les enlèvements de matière (usinages) nécessaires à leur mise en œuvre. SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août
5 TERMITES Une attention particulière est à apporter au risque d'attaque par les termites dans les lieux où il existe. Il convient de souligner que la distribution géographique de l'infestation par les termites est évolutive et qu'il convient d'une part de se montrer prudent dans les régions voisines des zones infestées, d'autre part de prendre connaissance des cartes, régulièrement publiées, qui précisent cette distribution. La maîtrise de ce risque, hormis les interventions sur les sols ou fondations (technologies à effet barrière ), réside en partie dans les options architecturales (construction sur piles en maçonnerie ou sousbassement en béton par exemple) et que le traitement des bois ne devrait être considéré que comme un complément de protection. Toutefois, il faut noter que certaines des essences déjà citées présentent une durabilité : Moyenne : Chêne, Châtaignier, Tatajuba, Jatoba, Angélique, Ou bonne : Robinier, Bilinga, Doussié, Makoré, Merbau, Moabi, Okan, Padouk, Pau-Amarello, Azobé, Ipé, Iroko. Philippe Crubilé CTBA 66 SYCODÉS Informations n 61 - juillet - août 2000
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