Les déterminants sociaux de la santé. Pierre Chauvin
|
|
- Basile Couture
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les déterminants sociaux de la santé Pierre Chauvin
2 I. Les inégalités sociales de santé
3 Le gradient social des principaux indicateurs de santé : la mortalité
4 L espérance de vie
5 Des inégalités en ce qui concerne aussi l impact des troubles de santé sur la situation sociale
6 Des disparités géographiques et spatiales Espérance de vie à la naissance ( ) à l échelle départementale Ratios standardisés de mortalité toutes causes ( ) à l échelle cantonale
7 Des inégalités socioéconomiques de consommations de soins Nb de consultations mensuelles et % d hospitalisations en 3 mois selon la CSP (ESPS, ) Mizrahi A. In: Lebas J, Chauvin P, eds. Précarité et santé. Flammarion, Paris, 1998, 300p. Dépenses en soins ambulatoires par CSP (OFCE-ESPS 2000) Delvallée C, Ventelou B. Assurance maladie : Redéfinir le partage entre couverture obligatoire et complémentaire? Revue de l'ofce 2004; 4:
8 Quelques exceptions au gradient sociosanitaire habituel Proportion des jeunes parisiens de 17 ans usagers réguliers de Alcool Tabac Cannabis
9 Deux constats fondamentaux de l épidémiologie sociale : 1) La tendance séculaire des inégalités sociales de mortalité
10 Et si le progrès médical générait, en lui-même, des inégalités sociales? Des inégalités de diffusion, d information, de disponibilité, d accès et de recours, au moins (ou au mieux!) transitoires. L exemple de l accès aux dépistages des cancers féminins chez les consultants de centres de soins gratuits % frottis du col 2 dernières années % mammographie 3 dernières années % 100,0 90,7 % 100,0 Précar Baromètre santé 75,0 58,6 77,2 54,7 75,4 75,0 71,7 59,7 50,0 25,0 37,8 50,0 25,0 9,8 24,1 18,8 31,3 0,0 0,0 < > >= 50 classes d'âge Chauvin P, Parizot I. Le recours aux soins des personnes en situation précaire : une recherche auprès de consultants de centres de soins gratuits en région parisienne. Rev Epidemiol Santé Publ 2003; 51:
11 L exemple de l accès aux traitements antiviraux du VIH en 1999 un antécédent de toxicomanie, une nationalité étrangère, un faible niveau de revenus être une femme constituaient des facteurs de risque (cumulatifs) de moindre accès aux nouveaux traitements antiviraux Chauvin P, De Montaigne AB. Enquête auprès des bénéficiaires de Aides. Aides Fédération Nationale, Paris, 2000.
12 L exemple de l utilisation de l «Internet santé» Facteurs associés à l utilisation d Internet Facteurs associés à la recherche d infos en santé sur Internet (chez les internautes) SIRS agglo parisienne 2005 Modèles ajustés sur la nationalité, la perception de la situation socio-économique, la taille du ménage, l intégration sociale et l état de santé Renahy E, Parizot I, Cadot E, Roustit C, Chauvin P. Recherche d information en santé sur Internet : une analyse contextuelle des données de la cohorte SIRS. Santé Pub 2010 ; 21(HS2) :
13 Deux constats fondamentaux de l épidémiologie sociale : 2) La faible part des facteurs de risque biomédicaux
14 L importance de prendre en compte les expositions et les facteurs de risque tout au long de la vie La part des comportements de santé dans le lien entre CSP et mortalité cardiovasculaire selon qu ils sont mesurés transversalement ou longitudinalement Stringhini S, Sabia S, Shipley M, Brunner E, Nabi H, Kivimaki M, Singh-Manoux A. Association of socioeconomic position with health behaviors and mortality. JAMA 2010; 303:
15 L importance de prendre en compte d autres facteurs, matériels et/ou psychosociaux L exemple du renoncement aux soins pour raisons financières Facteurs associés au renoncement à des soins au cours des 12 derniers mois pour raisons financières (SIRS, agglo parisienne, )
16 La variabilité des attentes et représentations de santé % sexe hommes 77,2 femmes 85,4 p<0,02 nationalité francais 77,1 francais issus de l'immigration 83,6 étrangers 87,4 p<0,02 revenus revenus > 800 /UC 75,6 revenus <= 800 /UC 83,2 p<0,04 statut emploi CDI 77,1 chomeur indemnisé + retraité 79,1 CDD 82,2 autre inactif et chomeur non indemnisés 89,3 p<0,03 Source: SIRS, agglo parisienne, 2005
17 La variabilité des liens subjectifs entre conditions de vie et santé «Mes conditions de vie nuisent à ma santé physique ou mentale» 22,5% (similaire à tous les âges)
18 II. Les déterminants sociaux de la santé
19 Les modèles des déterminants de la santé (1)
20 Les modèles des déterminants de la santé (2)
21 Les modèles des déterminants de la santé (2) d après Dahlgren G & Whitehead M, 1991.
22 Un champ de recherche à part : les déterminants macrosociaux et politiques Relation entre les dépenses sociales et la mortalité toutes causes dans 18 pays européens en 2000 Stuckler, D. et al. BMJ 2010;340:c3311
23 Relation entre les dépenses de santé et l espérance de vie à la naissance dans différents pays du monde en 2006
24 Les déterminants microsociaux... Décès Naissance
25 Les hypothèses de la cohorte SIRS méthode 25 Source: Cadot E, Chauvin P. Inégalités sociales, inégalités territoriales. Colloque international "Réduire les inégalités sociales de santé". Paris, Ministère de la Santé et Institut de Recherche en Santé Publique, 11 janvier 2010.
26 Epidémiologie sociale et épidémiologie contextuelle Analyse de données individuelles l hypothèse sous jacente = seules les caractéristiques propres des individus jouent un rôle sur leurs comportements ou états de santé erreur atomiste de données agrégées ne permet pas de prendre en compte les spécificités individuelles erreur écologique Le principe et l objectif de «l analyse contextuelle» en épidémiologie Etudier et prendre en compte simultanément - les caractéristiques propres (individuelles) des individus - et les caractéristiques de leur milieu (contextuelles)
27 L erreur atomiste Réduire les déterminants des inégalités sociales de santé aux caractéristiques propres des personnes Négliger l environnement de vie des personnes et les caractéristiques, notamment sociales, des milieux ou des espaces de vie : ménages : environnement familial quartiers : environnement résidentiel Quartiers pauvres Quartiers favorisés Diez-Roux A, Merkin SS, Arnett D, et al, Neighborhood of residence and incidence of coronary heart disease, N Engl J Med, 2001; 12: , Bas revenu individuel Haut revenu individuel
28 L erreur écologique L impossibilité de déduire de corrélations écologiques toute inférence au niveau individuel Taux de mortalité infantile à l échelle des zones d emploi Ile-de-France ( ) Part des naissances de mères de 40 ans et plus par département Ile-de-France ( ) Part de la population dont le niveau d éducation ne dépasse pas le certificat d étude par commune Ile-de-France ( )
29 Le principe de l analyse contextuelle Niveau agrégé Macro variables explicatives Analyses écologiques Macro variables expliquées Analyses multiniveau Niveau individuel Micro variables explicatives Analyses individuelles Micro variables expliquées
30 Les analyses multiniveau Les analyses multiniveau sont des méthodes statistiques utilisées par plusieurs disciplines : sciences humaines et sociales, mais aussi épidémiologie ou économie, Elles constituent une des meilleurs solutions statistiques pour traiter une information quantitative à plusieurs niveaux d emboîtement, Elles permettent d analyser l impact de facteurs contextuels, variables qui caractérisent les groupes («toutes choses égales par ailleurs» concernant les caractéristiques individuelles des personnes introduites simultanément dans les modèles) : entités spatiales (quartier de résidence, département, etc,) groupes de population : ménages, écoles, lieux de travail, hôpitaux, etc.
31 Modèles multiniveau (2 niveaux) La présence de résidus aux deux niveaux (individuel et quartier) exprime l idée qu on fait l hypothèse qu un fait de santé varie aux deux niveaux : scinder la variance totale (v T ): une variance entre individus : v i une variance entre quartiers : v N v T = v i + v N Merlo J, Chaix B, Yang M, et al, A brief conceptual tutorial on multilevel analysis in social epidemiology, J Epidemiol Community Healh 2005 ;59: ,
32 Au total l analyse contextuelle en épidémiologie sociale permet de : 1. Distinguer les effets de contexte des effets de composition 2. Estimer ces effets distinctement et simultanément 3. Estimer l impact des caractéristiques contextuelles sur les associations individuelles observées
33 la cohorte SIRS Cohorte généraliste en population générale représentative agglomération parisienne surreprésentation quartiers défavorisés 3000 personnes adultes, francophones 50 IRIS surreprésentation des types ZUS et O 60 ménages / IRIS 1 adulte / ménage suivi tous les 18 mois
34 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Cinq exemples de résultats : dépression et support social obésité et environnement de vie soutien social et recours aux soins ambulatoires recours au test VIH et origine migratoire recours aux soins préventifs et mobilité 34
35 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) une analyse multiniveau des données 2005 facteurs biographique et contextuels Sexe Hommes 1 OR [IC 95%] Femmes 1,85 [1,40-2,44] Nationalité Français 1 Étrangers 1,85 [0,65-2,51] Conditions de vie Ne vit pas seul 1 Vit seul 1,57 [1,25-1,98] Revenu des ménages (UC) 4 ème quartile (+ riche) 1 3 ème quartile 1,10 [0,67-1,79] 2 ème quartile 1,52 [0,89-2,57] 1 er quartile 1,86 [1,01-3,43] Événements traumatiques dans l enfance Abus physique 2,13 [1,18-3,84) Mauvaises relations avec la mère 1,54 [1,11-2,11] Mauvaises relations ave le père 1,32 [1,00-1,74] Typologie quartier résidence Non ZUS 1 La dépression ZUS 1,39 [1,05-1,85] 35
36 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) une analyse prospective Influence du support social en 2005 sur l incidence de la dépression en 2007 Sexe Hommes 1 OR [IC 95%] Femmes 2,04 [1,43-2,91] Revenu des ménages (UC) 4 ème quartile (+ riche) 1 3 ème quartile 1,10 [0,67-1,79] 2 ème quartile 1,52 [0,89-2,57] 1 er quartile 1,86 [1,01-3,43] Événements traumatiques dans l enfance Abus physique 2,25 [1,00-4,43) Mauvaises relations avec la mère 1,89 [1,22-2,92] Mauvaises relations ave le père 0,97 [0,65-1,46] Support social en 2005 Fort 1 La dépression faible 2,53 [1,28-5,02] 36
37 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Ruptures familiales et troubles internalisés* chez les adolescents * Index élevé de détresse psychologique et/ou tentative de suicide Sans les variables de fonctionnement familial OR a 95% CI Séparation des parents 1,32 1,01-1,72 Avec les variables de fonctionnement familial Séparation des parents 1,09 0,77-1,54 Soutien émotionnel maternel haut Ref, moyen 1,14 0,81-1,61 faible 1,31 0,90-1,91 Soutien émotionnel paternel haut Ref, moyen 1,92 1,35-2,74 faible 3,18 2,21-4,59 Détresse psychologique parentale 1,45 1,04-2,01 Violence inter-parentale 1,89 1,43-2,51 a ajusté sur l âge, le sexe et le statut socio-économique du ménage Source: ESSEAQ, Chez l adolescent
38 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Prévalence du surpoids et de l obésité selon le quartier de résidence en 2005 Prévalence selon le type de quartier Prévalence de l obésité selon le niveau socio-économique du quartier 15,1% d obèses dans les quartiers pauvres (1 er quartile) 6,2% dans les quartiers aisés (4 ème quartile) L obésité Source : cohorte SIRS,
39 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Facteurs sociaux et contextuels de l obésité (1)L obésité Sexe Age <30 Revenus / UC Niveau d éducation Activité physique Statut tabagique Revenu moyen annuel des ménages du quartier masculin féminin >60 1er quartile 2eme quartile 3eme quartile 4eme quartile primaire secondaire supérieur oui non fumeur jamais fumé ex fumeur 1er quartile 2eme quartile 3eme quartile 4eme quartile Modèle vide Modèle1 ORa [IC 95% 1 1,12 [0,86 1,46] 1 2,01 [1,20 3,36] 3,58 [2,14 5,98] 4,20 [2,45 7,19] 0,98 [0,71 1,34] 0,60 [0,41 0,87] 0,57 [0,36 0,89] 1 1,02 [0,73 1,42] 0,57 [0,37 0,87] 1 2,23 [1,61 3,08] 1 1,44 [1,04 1,98] 1,71 [1,20 2,44] 1 Modèle 2 ORa [IC 95 %] 1 1,15 [0,88 1,50] 1 2,01 [1,20 3,37] 3,61 [2,17 6,04] 4,44 [2,60 7,60] 1 1,01 [0,74 1,39] 0,67 [0,46 0,97] 0,67 [0,42 1,00] 1 1,04 [0,74 1,45] 0,62 [0,40 0,96] 1 2,20 [1,59 3,03] 1 1,14 [1,02 1,94] 1,74 [1,22 2,48] 1 0,79 [0,53 1,18] 0,50 [0,32 0,80] 0,43 [0,26 0,71] Odds Ratio Moyen 1,70 1,50 1,38 L obésité
40 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) L Facteurs sociaux et contextuels de l obésité (2) Niveau d éducation moyen du quartier 5ème quintile 1 OR* IC 95% 1er quintile 2,87 (1,58 5,21) Distance moyenne aux magasins alimentaires de détail 1 1er quintile 1 5eme quintile 2,09 (1,24 3,54) Proportion de restauration rapide parmi les restaurants 2 1er quintile 1 5eme quintile 1,80 (1,10 2,93) Nombre de commerces et services de voisinage 3 5eme quintile 1 1er quintile 1,91 (1,09 3,32) Sentiment d insécurité 4 1er quintile 1 5eme quintile 2,69 (1,51 4,81) * Ajustés sur les variables individuelles (sexe, âge, niveau éducation, revenus, activité physique, statut tabagique) 1 Moyenne des distances à la boulangerie, la boucherie et la poissonnerie les plus proches 2 Dans un rayon de 500 m 3 Nomb re de commerces et services dans un rayon de 500 m ( 36 types: banques, com merces de deta il, superm arché s, pharm aci es, salons de coiffure, cinémas, postes, médeci ns libéraux, etc.) 1-3 Sources: BPE et SIRENE, Insee, 2004 et Effet aléatoire au niveau quartier du modèle multiniveau (individus, quartiers) correspondant. L obésité
41 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Recours aux soins ambulatoires Intensité du soutien social et recours aux soins ambulatoires Recours ambulatoire au médecin au cours des 12 derniers mois, tous lieux, toutes spécialités et toutes causes confondues (sauf accidents) OR a 95% CI Sexe femmes ref. hommes 0,51 0,42-0,63 Niveau de revenus quartile sup ref. quartile moyen sup 0,78 0,57-1,06 quartile moyen inf 0,66 0,49-0,91 quartile inf 0,54 0,39-0,74 Couverture maladie SS + complémentaire ref. CMU AME 0,70 0,52-0,95 SS seule 0,47 0,17-1,32 Maladies chroniques aucune ref. 1 2,25 1,77-2,87 2 ou plus 6,25 4,39-8,90 Soutien social faible ref. moyen 1,39 1,09-1,78 fort 1,92 1,40-2,64 a ajusté sur l âge ans ans ans 60 ans et + ouvrier moyen supérieur 1,2 par âge 1,9 2,1 2, par type de quartier 1,6 1,8 2,
42 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Absence de test VIH (vie entière) chez les femmes (49%) aor* [95% CI] aor* [95% CI] Individual variables Religious affiliation No affiliation or practice Ref. Ref. Yes 1.29 [ ] 1.27 [ ] Education level University Ref. Ref. Primary 2.51 [ ] 2.49 [ ] Lower secondary 1.70 [ ] 1.72 [ ] Upper secondary 1.24 [ ] 1.27 [ ] Children Children under 15 years* Ref. Ref. No children under 15 years 2.82 [ ] 2.89 [ ] Number of steady relationships over lifetime 3 or more Ref. Ref [ ] 1.52 [ ] [ ] 2.52 [ ] [ ] 4.22 [ ] Neighbourhood variables Mean household income (in euros per household unit) First quartile ( 14,580) Ref. Second quartile (14,581-19,074) 0.88 [ ] Third quartile (19,075-25,859) 0.63 [ ] Fourth quartile ( 25,860) 0.98 [ ] Level 2 variance (0.045) (0.045) (0.038) P-value Median odds ratio Le recours au test VIH *further adjusted on age and occupation status 42
43 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Absence de test VIH (vie entière) chez les hommes (41%) Le recours au test VIH aor* 95%CI aor* 95%CI Individual variables Religious affiliation No affiliation or practice Ref. Ref. Yes 1.36 [ ] 1.38 [ ] Education level University Ref. Ref. Primary 1.85 [ ] 1.86 [ ] Lower secondary 1.67 [ ] 1.73 [ ] Upper secondary 1.16 [ ] 1.18 [ ] Self-perception of HIV risk High Ref. Ref. Low 1.69 [ ] 1.71 [ ] Migration origin French/French parents Ref. Ref. Number of steady relationships over lifetime Neighbourhood variables French/ foreign parent(s) 1.64 [ ] 1.69 [ ] Foreigner 1.62 [ ] 1.71 [ ] 3 or more Ref. Ref [ ] 1.57 [ ] [ ] 2.82 [ ] [ ] 3.90 [ ] Mean household income (in euros per household unit) First quartile ( 14,580) Ref. Second quartile (14,581-19,074) 1.31 [ ] Third quartile (19,075-25,859) 0.81 [ ] Fourth quartile ( 25,860) 0.82 [ ] Level 2 variance (0.059) (0.000) (0.000) P-value Median odds ratio *further adjusted on age 43
44 Disparités spatiales du recours au frottis du col de l utérus Le recours aux soins préventifs 44 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC)
45 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Disparités spatiales du recours au frottis du col de l utérus Le recours aux soins préventifs Etudier les inégalités de recours aux soins en intégrant des caractéristiques contextuelles (niveau socio-économique du quartier et densité médicale) Et en tenant compte des comportements individuels / quartier de résidence = mobilité quotidienne Hypothèses : la mobilité joue un rôle sur le recours aux soins en réduisant les distances aux service de santé en diversifiant les interactions sociales en s affranchissant de l influence du quartier de résidence 45
46 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Femmes avec un espace de mobilité + large que le quartier Femmes avec un espace de mobilité restreint au quartier Toutes femmes Pas de frottis du col de l utérus depuis 2 ans 23,4% (n= 1620) 31,3% (n=154) 24,2% (n=1774) p=0,07 Dépistage moins fréquent pour les femmes qui déclarent un espace restreint de mobilité Le recours aux soins préventifs Mobilité et recours aux soins de prévention (données brutes) Pas de mammographie depuis 2 ans 20% (n= 655) 36,5% (n=86) 22,1% (n=741) p=0,004 46
47 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Une mobilité restreinte pour qui? 10% des franciliens restreignent leurs activités à leur seul quartier de résidence Effet contraire de la pauvreté Pauvreté de l individu Mobilité - - Pauvreté du quartier Mobilité + + Espace de mobilité restreint au quartier (n=3023) Genre ( / hommes) Odds Ratio (IC 95 %) Femmes 0.79 ( ) Age ( / 60 ans) ans 1.59 ( ) ans 1.14 ( ) ans 1.10 ( ) Origine (/ français de parents français) Français avec un parent étranger 1.18 ( ) Étranger 1.55 ( ) Niveau d éducation ( / Supérieur) Secondaire 2 ème cycle 1.37 ( ) Secondaire 1 er cycle 1.40 ( ) Aucun ou primaire 1.76 ( ) Revenu du ménage (par UC) (/ riche) Intermédiaire 1.07 ( ) Pauvre 1.77 ( ) Occupation professionnelle (/ actif occupé) Sans emploi 1.31 ( ) Retraité 2.28 ( ) A la maison 1.76 ( ) Étudiant 0.34 ( ) Durée de résidence dans le quartier ( / <20 ans) 20 ans 1.46 ( ) Moy. revenus des ménages par UC (/pauvre) Intermédiaire 1.67 ( ) Riche 3.32 ( ) Densité de commerces par km² (/ faible) Intermédiaire 1.88 ( ) Forte 2.27 ( ) 47
48 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Mobilité et recours aux soins de prévention : un exemple d interaction inter-niveau Pas de FCU depuis 2 ans ou + Localisation Femmes avec espace de mobilité restreint Femmes avec espace de mobilité large Toutes les femmes OR* (IC 95%) OR* (IC 95%) OR* (IC 95%) Banlieue Paris 0,37 (0,20-0,66) 0,62 (0,42-0,91) 0,59 (0,43-0,82) Moyenne des revenus fiscaux des ménages du quartier de résidence** (par UC) Riche Pauvre 2,63 (1,29-5,38) 1,61 (1,15-2,25) 1,66 (1,22-2,26) Densité médicale du quartier de résidence** Le recours aux soins préventifs Forte Pauvre 2,91 (1,43-5,93) 1,19 (0,85-1,67) 1,28 (0,94-1,75) *après ajustement sur les caractéristiques individuelles suivantes : âge, couverture maladie, revenu du ménage par UC, occupation professionnelle, vie en couple et limitation fonctionnelle **le quartier de résidence est défini par la réunion de l IRIS de résidence et de tous les IRIS adjacents (données respectivement de 2005 et 2007) Vallée J, Cadot E, Grillo F, Parizot I, Chauvin P. The combined effects of perceived activity space and neighbourhood of residence on participation in preventive health-care activities. The case of cervical screening in the Paris metropolitan area (France). Health & Place 2010; 16:
49 Limites et difficultés des analyses contextuelles Quelle échelle spatiale pour le regroupement au niveau 2? Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC)
50 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Le «Modifiable Areal Unit Problem» (MAUP) Le MAUP désigne la sensibilité des résultats aux découpages spatiaux utilisés. L influence du découpage spatial peut résulter d un effet d agrégation (ou effet de zonage), d un effet d échelle, et/ou d un effet de découpage Exemple de l influence du zonage :
51 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Exemple de l influence du découpage : (a) Proportion of ethnic population in Merseyside,1991 (a) (b) in 119 wards in 119 zones with equal population Le «Modifiable Areal Unit Problem» (MAUP) Openshaw S, Rao L. Algorithms for re-aggregating 1991 census geography. Environment & Planning 1995; 27: Cité dans ESPON The modifiable areas unit problem. Luxemburg, (b)
52 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Exemple de l influence de l échelle : Filocom. Inegality in households incomes in Paris metropolitan areas. Géographie-cités, Cité dans ESPON The modifiable areas unit problem. Luxemburg, Le «Modifiable Areal Unit Problem» (MAUP)
53 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Quelle échelle spatiale pour la mesure des (possibles) effets contextuels? Zones administratives Frontières «naturelles» Limites et difficultés des analyses contextuelles Zones adaptatives définies par leur superficie ou leur population
54 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Un exemple de résultats / zone adaptative Effet du niveau socio-économique du quartier sur les troubles liés à la consommation de substances psycho-actives, Malmö, 2001 Ajusté sur l âge, le sexe, l état matrimonial, le niveau d éducation et le revenu Chaix B, et al. Comparison of a spatial perspective with the multilevel analytic approach in neighborhood studies: the case of mental and behavioral disorders due to psychoactive substance use in Malmö, Sweden, Am J Epidemiol 2005; 162:
55 Limites et difficultés des analyses contextuelles Quel environnement d exposition? Quel territoire vécu? Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC)
56 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) Des difficultés pratiques disponibilité des données (au mieux spatialisées) la nécessité de recourir à des SIG d autres modèles statistiques Des difficultés conceptuelles les contours des «territoires vécus» la distinction composition et contexte Des analyses prudentes Examiner attentivement la distribution spatiale Etablir des hypothèses : plausibilité épidémiologique, sociologique, politique Quel(s) territoire(s) et/ou quelle(s) échelle(s) pour chaque outcome de santé pour chaque facteur contextuel Conclusions
57 Équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins, UMRS 707 (Inserm UPMC) 57
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailLe renoncement aux soins pour raisons financières dans l agglomération parisienne :
Le renoncement aux soins pour raisons financières dans l agglomération parisienne : Déterminants sociaux et évolution entre 2005 et 2010. Rapport pour la DREES Emilie Renahy Isabelle Parizot Julie Vallée
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailPrécarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne
O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailSanté et recours aux soins des populations précaires
Santé et recours aux soins des populations précaires La santé a toujours été une priorité des politiques sociales en France. Celles-ci portaient sur l hygiénisme, les vaccinations et la lutte contre les
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailGarder et faire garder son enfant
Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,
Plus en détailMaster de Santé Publique et Management de la Santé
Master de Santé Publique et Management de la Santé Spécialité : Epidémiologie Année 2007-2008 MEMOIRE ENVIRONNEMENT PHYSIQUE ET SOCIAL DE RESIDENCE ET ACTIVITE PHYSIQUE RECREATIVE : UNE ETUDE A PARTIR
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailUNIVERSITÉ PARIS VI PIERRE ET MARIE CURIE
UNIVERSITÉ PARIS VI PIERRE ET MARIE CURIE ECOLE DOCTORALE : SANTÉ PUBLIQUE ET SCIENCES DE L INFORMATION BIOMÉDICALE THÈSE pour l obtention du titre de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS VI Présentée par : Basile
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailInégalités sociales de santé : Quels constats? Quels leviers d action? Florence Jusot. LEDA-LEGOS (Univ. Paris-Dauphine) - IRDES
Inégalités sociales de santé : Quels constats? Quels leviers d action? Florence Jusot LEDA-LEGOS (Univ. Paris-Dauphine) - IRDES ARS Ile-de-France, 4 octobre 2010 Introduction Il existe en France de fortes
Plus en détailIDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M
IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M La loi de la protection de l enfance La loi du 5 mars 2007 insiste sur la prévention et confie au Président du Conseil Général le soin d organiser,
Plus en détailLa mobilité professionnelle revêt
Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailConsolidation de jeux de données pour la prospective : la génération d une population synthétique pour les communes de Belgique
Consolidation de jeux de données pour la prospective : la génération d une population synthétique pour les communes de Belgique Philippe Toint (with J. Barthélemy) Centre de Recherche en Systèmes Complexes
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailCONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ,
CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015 entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, LA MINISTRE DÉLÉGUÉE AUX PERSONNES AGÉES ET A L AUTONOMIE, LA MINISTRE
Plus en détailSANTE ET RECOURS AUX SOINS DES JEUNES EN INSERTION
Master 2 de Recherche en Santé Publique Parcours HSR SANTE ET RECOURS AUX SOINS DES JEUNES EN INSERTION Document réalisé par Sarah ROBERT Directeur de stage Pierre Chauvin Laboratoire d accueil Equipe
Plus en détailL Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode
L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détailMENTION PSYCHOLOGIE OBJECTIF DE LA FORMATION. Les spécialités :
MENTION LOGIE Les spécialités : Psychologie clinique et pathologique () Cliniques criminologiques et victimologiques () Psychologie du travail et ingénierie psychologique () Psychologie Sociale et communautaire
Plus en détailÀ retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires
1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...
Plus en détailLes femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées à la pauvreté
DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUÉ DE PRESSE 7 mars 2008 Les femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées
Plus en détailEtude conduite par les Missions locales et les Centres d examens de santé de l Assurance Maladie
«Bien-être, mal-être? Mieux vous connaître» - décembre 2009 La souffrance psychique et la santé mentale des jeunes en insertion Etude conduite par les Missions locales et les Centres d examens de santé
Plus en détailLes allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins
études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes
Plus en détailObésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention. PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV
Obésité chez l enfant Epidémie, Causes, Prévention PD Dr. Jardena Puder Service de l endocrinologie, diabétologie et métabolisme, CHUV Menu du jour Épidémie de l obésité chez l enfant Epidémiologie Facteurs
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailDEMANDE EN TRAITEMENT D ORTHODONTIE A MADAGASCAR : INFLUENCE DE L AGE, DU SEXE ET DU STATUT SOCIO-ECONOMIQUE.
DEMANDE EN TRAITEMENT D ORTHODONTIE A MADAGASCAR : INFLUENCE DE L AGE, DU SEXE ET DU STATUT SOCIO-ECONOMIQUE. RANDRIANARIMANARIVO HM, RASOANIRINA MO, ANDRIAMBOLOLO-NIVO OR, ANDRIAMBOLOLO-NIVO RD. Institut
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailFormulaire de demande(s) auprès de la MDPH
Tampon dateur de la MDPH Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH N 13788*01 A - Identification de l enfant ou de l adulte concerné par la demande Nom de naissance : Nom d épouse ou nom d usage : Prénom(s)
Plus en détailEnquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines
Direction de l action sociale, de l habitat et de la santé publique 12 ème congrès national des ORS Territoires et Santé des populations 9 et 10 novembre 2010 Enquête sur la santé des résidents des foyers
Plus en détailSYMPOSIA 11. Thursday, September 12 th. Room : Salle des conférences à 15h00
SYMPOSIA 11 «Offre et accès au système de soins» Thursday, September 12 th Room : Salle des conférences à 15h00 ANISSA AFRITE Town : PARIS, France Job Title : CHARGEE DE RECHERCHE - STATISTICIENNE Company
Plus en détailExercices M1 SES 2014-2015 Ana Fermin (http:// fermin.perso.math.cnrs.fr/ ) 14 Avril 2015
Exercices M1 SES 214-215 Ana Fermin (http:// fermin.perso.math.cnrs.fr/ ) 14 Avril 215 Les exemples numériques présentés dans ce document d exercices ont été traités sur le logiciel R, téléchargeable par
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailContexte - 2 - Colloque Santé et Société Mai 2015
www.irdes.fr Quel impact attendre de la généralisation de la complémentaire santé d entreprise sur le taux de non couverture en France? Une simulation à partir de l Enquête Santé et Protection Sociale
Plus en détailLa complémentaire santé : un bien normal?
La complémentaire santé : un bien normal? Anne Legal 1, Florence Jusot 2, Jérôme Wittwer 3. Le système français de financement des dépenses de soins a la particularité de laisser au patient un reste à
Plus en détailASSURANCE MALADIE : REDÉFINIR LE PARTAGE ENTRE COUVERTURE OBLIGATOIRE ET COMPLÉMENTAIRE? *
333-348.qxp 10/11/2004 11:53 Page 333 ASSURANCE MALADIE : REDÉFINIR LE PARTAGE ENTRE COUVERTURE OBLIGATOIRE ET COMPLÉMENTAIRE? * Christine Delvallée Département des études de l OFCE Bruno Ventelou INSERM
Plus en détailLa microsimulation à Statistique Canada
La microsimulation à Statistique Canada Chantal Hicks Chantal.hicks@statcan.gc.ca Présentation à «La démographie de demain : innovations, intersections et collaborations» Colloque de l Association des
Plus en détailINFOS. n 27. Les étudiants, une population inégalement protégée en matière de santé. de la vie étudiante. Mars 2013. Observatoire national
Observatoire national de la vie étudiante INFOS n 27 Mars 2013 Les étudiants, une population inégalement protégée en matière de santé Feres BELGHITH, Ingénieur d études à l OVE Simon LE CORGNE, Ingénieur
Plus en détail5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*
Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailL allocataire dans un couple : l homme ou la femme?
L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et
Plus en détailLes chiffres de l égalité
Quelques statistiques sur l égalité entre la femme et l homme d le canton de Berne Berne, 10 novembre 2014 Les chiffres de l égalité Bureau cantonal de l égalité entre la femme et l homme Postgasse 68
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailCHAPITRE 2. Population, ménages et familles
CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de
Plus en détailSanté mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure?
Santé mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure? Contexteet facteursqui devraient motiverl ACTIONet l INNOVATION Seulement 41% des employés croient pouvoir reconnaître une
Plus en détailCARDIOLOGIE. Conférences scientifiques
www.cardiologieconferences.ca FÉVRIER 25 volume X, numéro 2 CARDIOLOGIE Conférences scientifiques COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DE LA DIVISION DE CARDIOLOGIE, HÔPITAL ST. MICHAEL S, UNIVERSITÉ
Plus en détailPREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un peuple - Un but - Une Foi ----------------- PREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI TEHERAN 15-17 AVRIL 2013 Présenté par
Plus en détailL endettement privé des ménages début 2010
Dossier L endettement privé des ménages début 2010 Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Début 2010, 46 % des ménages sont endettés pour un motif privé, c est-à-dire sans lien avec l activité professionnelle,
Plus en détailConsignes déclaratives DSN
Consignes déclaratives DSN Pôle emploi 1/8 Contenu PREAMBULE... 3 1. GERER UNE FIN DE CDD / GERER UNE PROLONGATION DE CDD... 4 2. GERER UNE ABSENCE NON REMUNEREE OU PARTIELLEMENT REMUNEREE... 5 3. GERER
Plus en détailHéritages, donations et aides aux ascendants et descendants
Dossier Héritages, donations et aides aux ascendants et descendants Bertrand Garbinti, Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Le patrimoine d un ménage est constitué par la somme de tous les biens qu il
Plus en détailCONTRAT COLLECTIF OBLIGATOIRE
Salarié-es de droit privé CONTRAT COLLECTIF OBLIGATOIRE Complémentaire : frais de santé invalidité/arrêt de travail décès Sommaire Page 2-3 : présentation de l accord Page 4-5 : arrêt maladie/invalidité
Plus en détailPublic Health Agency of Canada Agence de la santé publique du Canada
Public Health Agency of Canada Agence de la santé publique du Canada Notre rôle individuel et collectif face aux déterminants sociaux de la santé et de l équité en santé Séance d éducation 2 : Conseil
Plus en détailGroupe de travail «Santé et accès aux soins»
Groupe de travail «Santé et accès aux soins» Pour un accès plus égal et facilité à la santé et aux soins Responsable du groupe de travail : Michel Legros Rapporteures : Denise Bauer et Nathalie Goyaux
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailRevue de la littérature en épidémiologie sur les facteurs psychosociaux au travail. Anne DUBURCQ Laurène COUROUVE Francis FAGNANI
Revue de la littérature en épidémiologie sur les facteurs psychosociaux au travail Anne DUBURCQ Laurène COUROUVE Francis FAGNANI Contexte Nombreux modèles sur les facteurs psychosociaux au travail Liens
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailRapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne
Croix-Rouge suisse Département santé et intégration Service santé Werkstr. 18 3086 Wabern Rapport : Examen et ajustement des politiques cantonales dans le cadre du programme «Poids corporel sain» sous
Plus en détailPistes pour une évaluation économique des politiques de prévention en santé au travail
Pistes pour une évaluation économique des politiques de prévention en santé au travail Hélène Sultan-Taïeb Laboratoire d Economie et Gestion (UMR CNRS 5118) Université de Bourgogne Travaux menés en collaboration
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailDEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF)
>DPC Unique DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) A RETOURNER A L ADRESSE DE VOTRE CENTRE DE
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailRevue de la jurisprudence récente du TAQ en matière d affaires sociales. M e Lucie Allard et M e Laurence Ferland 29/11/12
Revue de la jurisprudence récente du TAQ en matière d affaires sociales M e Lucie Allard et M e Laurence Ferland 29/11/12 TRIBUNAL ADMINISTRATIF DU QUÉBEC, SECTION DES AFFAIRES SOCIALES: Assurance automobile
Plus en détailProjet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss
Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailÀ quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030?
À quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030? Nicholas-James Clavet (CIRPÉE) Jean-Yves Duclos (CIRPÉE, CIRANO) Bernard Fortin (CIRPÉE, CIRANO) Steeve Marchand (CIRPÉE) 1 / 23 De grandes questions En quoi
Plus en détailDescription des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population
Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,
Plus en détailLE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS
LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Première partie DE LA SOCIÉTÉ DE PLANTATION À LA SOCIÉTÉ DE TRANSFERTS : UNE SOCIOLOGIE DE LA RÉUNION
Remerciements...7 Introduction...9 Politiques sociales et société créole : la construction d un objet...9 Condition salariale, désaffiliation, réaffiliations : l intégration par le travail en débat...
Plus en détailBUSINESS & IMPACT. Etude Européenne
BUSINESS & IMPACT SORTIR DE LA PAUVRETÉ EN INVENTANT DE NOUVEAUX MODÈLES À LA CROISÉE DU SOCIAL, DU PRIVÉ ET DU PUBLIC Février 2013 avec le soutien en mécénat de compétences d ACCENTURE www.ashokacentre.org
Plus en détailLa complémentaire santé : une généralisation qui
La complémentaire santé : une généralisation qui n efface pas les inégalités Thibaut De Saint Pol, François Marical To cite this version: Thibaut De Saint Pol, François Marical. La complémentaire santé
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailIndicateurs de suivi de l'évolution des inégalités sociales de santé dans les systèmes d'information en santé. Collection Documents
Indicateurs de suivi de l'évolution des inégalités sociales de santé dans les systèmes d'information en santé Collection Documents Indicateurs de suivi de l'évolution des inégalités sociales de santé dans
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailConseil national de l information statistique
Conseil national de l information statistique Commission Système financier et financement de l économie Accessibilité et inclusion bancaire 25 septembre 2014 1 Pourquoi la Croix-Rouge française s occupe-t-elle
Plus en détailQui fait quoi sur internet?
Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet
Plus en détailLa Mutualité en chiffres
La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailBase de données sociales sur Paris
Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)
Plus en détailBREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE
BREF Thématique N 25 mai 2011 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi d Ile de France L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE LES PRINCIPAUX
Plus en détailEtude Elfe, Le de de e v nir de 20 000 en a f n a t n s
Etude Elfe, Le devenir de 20 000 enfants Le projet ELFE I Quelques informations sur le projet ELFE Objectifs scientifiques Echantillon des enfants ELFE Outils de communication Perspectives du déroulement
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailDÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN
DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN Analyse secondaire des données des enquêtes démographiques et de santé réalisées au Bénin et à Madagascar Avril
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailL accessibilité financière à la complémentaire santé en France : les résultats de l enquête Budget de Famille 2006
SANTÉ L accessibilité financière à la complémentaire santé en France : les résultats de l enquête Budget de Famille 2006 Florence Jusot, Clémence Perraudin et Jérôme Wittwer* La Sécurité sociale prenant
Plus en détailMENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES
MENTION ADMINISTRATION DES TERRITOIRES ET DES ENTREPRISES Les spécialités : MASTER PROFESSIONNEL 00 Management des activités tertiaires () Management public : métiers de l administration territoriale ()
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailPortrait des Jeunes de 12 à 25 ans de la MRC Memphrémagog
Document Statistiques Portrait des Jeunes de 12 à 25 ans de la MRC Memphrémagog Préparé pour La Table Jeunesse Socio-économique de Memphrémagog Par Martine Caillier mandatée par la Corporation de développement
Plus en détail