LE LUPUS. plus grande fréquence chez les noirs, les amérindiens et les asiatiques que chez les caucasiens. fréquence des groupes HLA A1, B8, DR3
|
|
- Jean-François Lavergne
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE LUPUS Le lupus est une maladie auto-immune chronique caractérisée par la production d anticorps antinucléaires et d anticorps anti-adn. C est la plus fréquente des connectivites. Sa prévalence est estimée entre 0,5 et 1,5 pour La maladie lupique peut atteindre de nombreux organes, les manifestations les plus fréquentes étant les manifestations articulaires, cutanées, hématologiques et rénales. Si la majorité des malades ont une forme modérée, le lupus n en constitue pas moins une maladie grave, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, notamment du fait des atteintes rénales. Le lupus est une maladie essentiellement féminine, affectant 10 à 15 femmes pour 1 homme. 3 formes sont à distinguer : le lupus discoïde le lupus érythémateux disséminé le lupus induit Physiopathologie : La cause du lupus est inconnue, mais des facteurs génétiques et d environnements sont impliqués : - génétique : plus grande fréquence chez les noirs, les amérindiens et les asiatiques que chez les caucasiens. fréquence des groupes HLA A1, B8, DR3-1 -
2 sexe ratio 10 à 15 femmes / 1 homme cependant, seuls 10% des lupiques ont des antécédents familiaux de lupus et 5% des enfants de femmes lupiques développent un lupus - environnement : infections exposition aux ultraviolets fréquence des anticorps anti-nucléaires et anti-adn chez les familiers de lupiques et les laborantins réalisant les dosages d auto-anticorps stress médicaments Les atteintes organiques sont pour l essentiel la conséquence des dépôts de complexes immuns dans les différents tissus. Les manifestations cliniques : Les manifestations articulaires : Elles sont extrêmement fréquentes (90 à 95% des cas) et sont volontiers inaugurales. Il s agit le plus souvent d arthralgies de rythme inflammatoire, de distribution symétrique à prédominance distale (mains, poignets, coudes, chevilles, genoux), accompagnées d un enraidissement matinal. Les arthrites sont également très fréquentes. Ces arthrites prennent volontiers la forme d une polyarthrite chronique symétrique à prédominance distale pouvant mimer une polyarthrite rhumatoïde au début. Des déformations des mains peuvent survenir : coup de vent cubital, cols de cygne (= main de Jaccoud). Ces arthrites ne sont jamais érosives, ce qui les différencient de l évolution habituelle des arthrites rhumatoïdes. Plus rarement il s agit d une monoarthrite récidivante. Les manifestations musculaires : L atteinte musculaire est fréquente, se manifestant essentiellement par des myalgies des ceintures, plus rarement par une authentique myosite, confirmée par une élévation des enzymes musculaires
3 Les manifestations osseuses : Des ostéonécroses épiphysaires (fémur, astragale, humérus) peuvent survenir, même en l absence de traitement corticoïde. Elles sont souvent latentes. Une ostéopénie est également souvent retrouvée, dans laquelle intervient pour une large part la corticothérapie à laquelle ces malades sont souvent soumis. Les manifestations générales : Secondes manifestations en fréquence, elles associent fébricule, asthénie et amaigrissement. Les manifestations cutanéo-muqueuses : Également très fréquentes, les atteintes cutanées sont inaugurales dans 20% des cas environ. Différentes lésions peuvent être distinguées : les lésions discoïdes : ce sont des placards érythémateux de forme arrondie ou ovalaire, excoriés ou squameux. L aspect clinique n est pas caractéristique du lupus discoïde, de telles lésions peuvent se voir dans le lupus systémique. Seule l histologie cutanée (et l absence d autre atteinte clinique) permet de différencier lupus localisé et lupus systémique. le vespertilio : très caractéristique du lupus, il s agit d un placard érythématosquameux siégeant sur le dos et les ailes du nez, les pommettes, en forme d ailes de papillon, gagnant parfois les régions sus-orbitaires, dessinant alors un masque (loup). la photosensibilité : se traduit par un érythème plus ou moins œdèmatié des zones découvertes : décolleté, visage, avant-bras, face d extension des doigts. Cette photosensibilité peut être favorisée par un traitement antipaludéen. Ces réactions à l exposition solaire peuvent être à l origine d une poussée de la maladie. Elles imposent l usage d un photoprotecteur (écran total). les lésions de vascularite : elles peuvent prendre des aspects très variables : urticaire systémique, livedo, vascularite nécrosante, nodules cutanés l alopécie : en plaques plus ou moins étendues, conséquence du développement de lésions discoïdes au niveau du cuir chevelu. Les cheveux repoussent le plus - 3 -
4 souvent rapidement. les ulcérations muqueuses : elles réalisent un aspect de stomatite ulcérée Les manifestations rénales : Elles sont généralement asymptomatiques. Le développement d un syndrome néphrotique peut néanmoins se traduire par une prise rapide de poids et des œdèmes des membres inférieurs. Les manifestations pleuro-pulmonaires : La pleurésie sérofibrineuse est la plus fréquente de ces manifestations. Elle est généralement modérée et bien supportée. L atteinte du parenchyme pulmonaire peut se traduire par une pneumopathie récidivante ou par une fibrose pulmonaire. Les manifestations cardiaques : Les 3 tuniques peuvent être concernées : la péricardite : elle est la plus fréquente, volontiers précoce et récidivante l endocardite : de type verruqueuse (endocardite de Libman-Sacks), elle affecte le plus souvent la valve mitrale ou la valve aortique. Les greffes bactériennes ne sont pas rares la myocardite est plus rare, limitée à des troubles électriques ( troubles du rythme ou blocs de conduction) l hypertension artérielle est fréquente, conséquence de la néphropathie ou favorisée par la corticothérapie les thrombophlébites, observées dans 20% des cas, sont habituellement la conséquence d un syndrome des antiphospholipides, associé à 30% des lupus environ. Elles peuvent être inaugurales Les manifestations neurologiques : Elles rassemblent : des céphalées sont décrites par 20% des patients environ, particulièrement ceux - 4 -
5 qui présentent également un phénomène de Raynaud des troubles psychiatriques variables, de type psychotique ou névrotique des crises comitiales focalisées ou généralisées Les manifestations digestives : Il s agit le plus souvent de douleurs abdominales, conséquences d une péritonite lupique ou plus rarement d une vascularite intestinale. Une atteinte hépatique peut se traduire par un ictère, une hépatomégalie. Les manifestations hématologiques : Des adénopathies, voire une splénomégalie sont parfois retrouvées. les manifestations lupiques et leur fréquence : arthralgies : % arthrites : % fièvre > 38 : % asthénie : % éruptions cutanées : % anémie : % atteintes rénales : % atteinte pleuro-pulmonaires : % vespertilio : % photosensibilité : % calvitie : % phénomène de Raynaud : % comitialité : % ulcères muqueux : % Les signes biologiques : - 5 -
6 La biologie est essentielle tant pour le diagnostic que pour le suivi du lupus. La numération formule sanguine met en évidence : une anémie, qui peut être la conséquence du syndrome inflammatoire, de l atteinte rénale ou d une hémolyse auto-immune une neutropénie et surtout une lymphopénie, pouvant expliquer la sensibilité aux infections. beaucoup plus rarement une thrombopénie Le syndrome inflammatoire se traduit par une accélération de la vitesse de sédimentation, une hypergammaglobulinémie polyclonale, une hyperalpha-2 globulinémie. La protéine C-réactive n est en revanche traditionnellement pas élevée au cours du lupus, en dehors des complications infectieuses. Le bilan immunologique met en évidence la présence d auto-anticorps : anticorps anti-nucléaires (95% des cas) anticorps anti-adn natif, spécifiques du lupus systémique (20 à 40%) anticorps anti-sm, spécifiques du lupus systémique (5 à 10%) anticorps anti-histones (95% des lupus induits contre 35% des lupus spontanés) anticorps anti-ssa (= anti-ro) différents autres auto-anticorps : anticoagulant circulant, anti-cardiolipines, antihématies, anti-lymphocytes, anti-plaquettes, anticorps spécifiques d organes cryoglobulinémie diminution du complément sérique, et particulièrement des fractions C3 et C4 complexes immuns circulants D autres anomalies peuvent être retrouvées : sérologie syphilitique dissociée : positivité isolée du VDRL correspondant à la présence d un antiphospholipide rarement positivité de la réaction de Waaler-Rose élévation des enzymes musculaires en cas de myosite cholestase Le bilan néphrologique est un élément important du suivi. Il peut mettre en évidence - 6 -
7 : une élévation de la créatininémie, de l urémie, traduisant une altération de la fonction rénale une protéinurie une hématurie une leucocyturie Les signes histologiques : L histologie cutanée : L histologie cutanée révèle en immunofluorescence, dans 70% des cas, la présence de dépôts d IgG et de complément à la jonction dermo-épidermique. Cet aspect est constaté aussi bien en peau saine qu en peau lésée dans le lupus érythémateux disséminé, uniquement en peau lésée dans le lupus discoïde. L histologie rénale : La biopsie rénale a un intérêt essentiellement pronostic. Le choix du traitement dépend souvent de l histologie rénale. Différents aspects peuvent être retrouvés : lésions glomérulaires minimes, habituellement responsables d une protéinurie modérée, sans gravité glomérulonéphrite extra-membraneuse, souvent responsable d une protéinurie massive (syndrome néphrotique), d une hématurie. L évolution est généralement favorable : il n y a pas d insuffisance rénale glomérulonéphrite segmentaire et focale, habituellement responsable d une protéinurie modérée sans hématurie, d évolution bénigne glomérulonéphrite membrano-proliférative diffuse, forme la plus grave et malheureusement la plus fréquente, responsable dans 75% des cas d un syndrome néphrotique impur, associé à une hématurie et à une insuffisance rénale dans 50% des cas. Il est capital de différencier en histologie les lésions actives, accessibles parfois au traitement corticoïde et immunosuppresseur, des lésions scléreuses définitives - 7 -
8 L évolution : Elle se fait par poussées, volontiers déclenchées par une exposition solaire, une infection, une grossesse Le pronostic est dominé par les atteintes viscérales, et notamment l atteinte rénale Les formes cliniques : Le lupus discoïde : C est une forme localisée du lupus, n affectant que la peau. Les perturbations biologiques se limitent le plus souvent à la présence de taux faibles d anticorps antinucléaires, parfois même absents. L histologie cutanée n est positive qu en peau lésée. Cependant, l évolution se fait dans 10% des cas vers la forme systémique. Le lupus induit : Différentes substances médicamenteuses sont susceptibles d induire un lupus, quelquefois limité aux perturbations biologiques, mais pouvant être à l origine d un tableau clinique plus ou moins complet. Les drogues habituellement incriminées sont : hydralazine procaïnamide ß bloquants carbamazepine dopamine isoniazide griseofulvine sels d or D-pénicillamine sulfasalazine estrogènes de synthèse L évolution est généralement bénigne et se fait vers la normalisation plus ou moins - 8 -
9 rapide à l arrêt du produit en cause. Le syndrome des antiphospholipides : les anticorps antiphospholipides regroupent 3 types d autoanticorps : les antiprothrombinases, les anticardiolipides et les anticorps responsables de la sérologie syphilitique dissociée (fausse positivité du VDRL. Ils sont associés à différentes manifestations cliniques : risque accru de thrombose veineuse, livedo, risque élevé de fausse couche et de malformations cardiaques pour le foetus. Différents traitements préventifs ont été proposés, sans que leur intérêt ne soit démontré à l heure actuelle : anticoagulants, antiaggrégants plus ou moins associés à un corticoïde. Les formes de chevauchement : Elles sont très fréquentes. Elles peuvent associer des manifestations de différentes pathologies systémiques : lupus et polyarthrite rhumatoïde, lupus et polymyosite Le traitement : Il dépend beaucoup de la gravité des différentes atteintes de la maladie lupique : dans les formes à expression essentiellement articulaire et cutanée : antiinflammatoires non stéroïdiens associés à un antipaludéen de synthèse et à une photoprotection. Éviction systématique des inducteurs lupiques. dans les formes systémiques sans atteinte rénale grave : corticoïdes et antipaludéens de synthèse. dans les atteintes rénales graves (glomérulonéphrite segmentaire et focale avec sclérose encore modérée), les autres manifestations viscérales graves et les vascularites sévères : corticoïdes et immunosuppresseurs (cyclophosphamide ou azathioprine) dans les atteintes rénales graves avec sclérose étendue : même traitement que dans les atteintes systémiques modérées (inutile alors de courir le risque d un traitement lourd), en attendant l heure de la dialyse ou de la transplantation - 9 -
10 rénale en présence d un antiphospholipides et de complications thrombo-emboliques : traitement anti-aggrégant plaquettaire et corticothépapie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLupus Systémique. zahir.amoura@psl.aphp.fr
Lupus Systémique Pr. Zahir AMOURA Institut E3M Service de médecine interne 2, Hôpital de la Pitié, Paris. Centre National de Référence du lupus systémique et du syndrome des antiphospholipides zahir.amoura@psl.aphp.fr
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailInformation transmise sous l autorité de l Agence fédérale des médicaments et des produits de santé
Les Direct Healthcare Professional Communications (DHPC) sont des courriers envoyés aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, afin de les informer de risques potentiels apparus lors
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLe Lupus. (Manuel à l usage des patients, adapté du fascicule «Understanding Lupus» [Professeur Graham Hughes, Londres])
- 1 - Le Lupus (Manuel à l usage des patients, adapté du fascicule «Understanding Lupus» [Professeur Graham Hughes, Londres]) Préface Le lupus est une maladie plus fréquente qu on ne le pense habituellement.
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailrhumatoïde DES de Biologie médicale Cours d immunologie 2012-2013 Vincent Elsermans
Polyarthrite rhumatoïde DES de Biologie médicale Cours d immunologie 2012-2013 Vincent Elsermans Plan Notions cliniques Démarche diagnostique Les facteurs rhumatoïdes : techniques, performances Les anticorps
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLa périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier
Maladie de Küssmaul-Maier La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailConduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque
Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Définition Œdèmes généralisés : Œdèmes de stase : Normoprotidiques Hypoprotidémiques Œdèmes inflammatoires
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailHEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES
HEPATITES VIRALES CHRONIQUES ET AIGUES INFORMATIONS Pré-requis : Durée de l'item : Auteur(s) : Professeur Louis Buscail (mail : ) Objectifs : RAPPEL : LE DIAGNOSTIC D HEPATITE CHRONIQUE La fréquence de
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT AVONEX 30 microgrammes poudre et solvant pour solution injectable 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque flacon
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailLe rhumatisme articulaire aigu Maladie de Bouillaud
Le rhumatisme articulaire aigu Maladie de Bouillaud M 52 : Le rhumatisme articulaire aigu Objectifs : 1- Définir le rhumatisme articulaire aigu. 2- Décrire les caractéristiques épidémiologiques du rhumatisme
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailLa maladie de Wegener La granulomatose de Wegener
La granulomatose de Wegener La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailItem 121 : Polyarthrite rhumatoïde
Item 121 : Polyarthrite rhumatoïde COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Polyarthrite rhumatoïde
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailNotice : Informations de l utilisateur. Pantomed 20 mg comprimés gastro-résistants. Pantoprazole
Notice : Informations de l utilisateur Pantomed 20 mg comprimés gastro-résistants Pantoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailPhysiopathologie Symptômes / Manifestations Diagnostic Biologie. Douleurs matinales = dérouillage matinal ( en cours de journée)
Version du dimanche 18 novembre 2007 Maladie de risques Polyarthrite Rhumatoïde (PR) Le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires [150 300 personnes touchées] 3 F / 1 H Début = 30aine HLA DR1 et DR4
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DENOMINATION DU MÉDICAMENT Betaferon 250 microgrammes/ml, poudre et solvant pour solution injectable. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Interféron
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLa sclérodermie Sclérodermie localisée systémique Syndrome de CREST
Sclérodermie localisée systémique Syndrome de CREST La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT IntronA 3 millions d UI/0,5 ml solution injectable ou perfusion 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un flacon de solution
Plus en détail