17 novembre 2010 DCEM III CAS CLINIQUES. DERMG Université de Nice Sophia Antipolis. Docteur Nicolas HOGU Docteur Sébastien PILLET
|
|
- Isaac Roux
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 17 novembre 2010 DCEM III CAS CLINIQUES Docteur Nicolas HOGU Docteur Sébastien PILLET DERMG Université de Nice Sophia Antipolis
2 DOSSIER 1 Jules Huyavédi de Pavenir (vieille noblesse bretonne) à 65 ans. il cultive les roses dans sa serre et a présenté une pneumonie l hiver dernier. Traitement en cours glimepiride, cardensiel. Sa petite fille va accoucher avant Noël mais compte bien passer les fêtes au château.
3 Questions Quel rattrapage rechercher? Quelles vaccinations proposer au vu de ses risques personnels? Quelles vaccinations proposer au vu du contexte familial?
4 Rattrapage Le TETANOS (+dp) La couverture vaccinale est de 55% à65 ans La mortalité est de l ordre de 30% (Antona D «Le tétanos en France » BEH 2008; (30 31) : ). La pratique du jardinage est un risque reconnu. Si rappel > 10 ans une seule injection. Effets indésirables : locaux > douleur rougeur gonflement (Rare) dtp> BEH Calendrier Vaccinal 2010 (rappel tous les 10 ans)
5 Facteurs de risques personnels GRIPPE reco. OMS Facteurs de risques > risque de forme grave Age > 65 ans Glimepiride = Diabète Présence d un nourrisson < 1 an Craintes d effets secondaires Syndrome de Guillain Barré: Fréquence habituelle : 2,8 cas pour habitants Après grippe naturelle : 4 à 7 cas pour grippés Après vaccin grippal saisonnier : 1 cas pour un million de vaccinés
6 Facteurs de risques personnels GRIPPE Effets secondaires locaux > douleur rougeur gonflement (15à20%) Généraux > fièvre, fatigue, arthralgies, myalgies (<1%), allergie à l œuf (9/10M), vascularites. A faire : 1 injection de vaccin trivalent: A/ Californie/7/2009 (H1N1): analogue pandémie 2009 A/Perth/16/2009 (H3N2): nouvelle souche B/Brisbane/60/2008: idem saison
7 Facteurs de risques personnels PNEUMOCOQUE Personne à risque ( atcd pneumonie, diabète, cœur?) Vaccination Pneumo 23: 1 injection tous les 5 ans (!) Protection théorique 85 90% ( immunogénicité faible pour 23F,6, 10A, 18B, 19F, 22) Etudes cliniques discordantes: Efficacité 50 70% infections sévères avec bactériémie (GDV) Pas d efficacité sur pneumonies de toutes causes ou décès (Huss A et coll.»efficacy of pneumococcal vaccination in adults: a meta analysis» CMAJ 2009;180 (1); )
8 Facteurs de risque contextuel Contact: Coqueluche et Nourrisson : le cocooning (personnes en garde de l enfant) > dtcap ( pas plus d une dose chez l adulte) > BEH Calendrier Vaccinal Vérifier les vaccinations de la mère en post partum.
9 DOSSIER 2 Marie Anne H. a réussi son concours de P1 à18 ans. Ses rappels ont été un dtp à 16 ans (DTP 11 ans), elle n est pas vaccinée pour l hépatite B. Elle est allergique à la levure de bière. Que lui proposez vous comme mise à jour générales? Vaccinations contextuelles recommandées? Argumentaire sur la vaccination VHB? sports.gouv.fr/img/pdf/calendrier_vactab_profession_2010.pdf
10 Vaccinations Recommandées dtp àjour, prochaine vaccination dans 8 ans. Coqueluche : pas de rappel à 11 ans ni 16 ans ; il existe un délai dtp/ dtcap de deux ans possible > rappel à faire (*). Hépatite B (*) ROR en l absence d ATCD (contraception, *) Varicelle en l absence d ATCD (90% immunisés sans le savoir) et sérologie négative (*). Gardasil et vie personnelle. Méningocoque: 1 dose méningocoque conjugué ( ratr. jusqu à l âge de 24 ans)
11 Vaccinations obligatoires Hépatite B: L article L CSP Pour certains cas particuliers, un schéma adapté incluant 3 doses rapprochées et une 4ème dose 1 an plus tard, peut être proposé lorsque l immunité doit être rapidement acquise (étudiants non vaccinés des filières médicales et paramédicales). HBVaxPro, EngerixB : levure de bière Tuberculose : articles L , R et R du Code de la santé publique > carnet ou cicatrice Tubertest: test de référence sports.gouv.fr/img/pdf/calendrier_vactab_profession_2010.pdf
12 Vaccinations contextuelles Coqueluche*: rappel possible (délai de 2 ans, voir un mois si contact) par dtcap. Hépatite A: ( àl époque de la conscription 80% des appelés étaient immunisés) > sérologie ROR* en l absence de vaccination > sérologie (vérifier la contraception), 1 dose de trivalent Varicelle* (90% des adolescents et adultes qui disent ne pas être immunisés le sont en réalité. Prescrire : Dossier thématique vaccinations 2010) > sérologie 2 doses ( éviter tout contact avec immunodéprimés si rash pendant 10 jours, test de grossesse et contraception) Grippe * * > Stages gynéco pédiatrie, immunodéprimés, maladies infectieuses, néphrologie
13 ARGUMENTAIRE 1 11 études ont déjà été réalisées ( 5 AFSSAPS) 10 de ces études n ont pas pu démontrer la responsabilité de la vaccination contre le VHB dans la survenue de ce type d affections neurologiques Exception : une étude cas témoins américaine publiée en septembre 2004 (Hernan M et Coll. ; Neurology 2004 ; 63 :838 42) mettant en évidence un risque significatif mais faible de sclérose en plaques chez des adultes vaccinés contre le VHB.
14 ARGUMENTAIRE 2 Commission nationale de Pharmacovigilance du 28 janvier 2008 (Etude ESCALE) Depuis la mise sur le marché (juin 1981) 33 millions de personnes vaccinées ( 12 M < 15 ans et 3.4 M < 2 ans) 1396 affections démyélinisantes déclarées (dont 1115 SEP) Aucune chez l enfant < 2 ans Soit 1.2 cas de SEP/ doses Diminution importante ces dernières années : 2.5 cas/ en cas/ en 2005
15 ARGUMENTAIRE 3 En 2006 : 32 cas d affection démyélinisantes centrales ou périphériques 1 seul avait une histoire de SEP familiale 0 enfant de moins de 8 ans. 5 enfants entre 8 et 13 ans
16 Dossier 3 Syrine Orhay a 1 an, une partie de la famille est toujours en Algérie, on vient de découvrir chez son grand frère, vivant au domicile en France, une HBV. Vous la voyez pour son rappel Pneumo13. Vaccinations recommandées? Quelles conduite àtenir vis à vis de la vaccination HBV ( argumentaire, indication)?
17 Vaccinations recommandées Pneumo 13 ( 2 injections à un mois dès 2 mois, rappel à12 mois); Méningocoque C conjugué (12 24 mois, rattrapage jusqu à 24 ans) 1 dose; ROR ( 1ere dose àl âge de 12 mois rappel entre 13 et 24 mois); BEH Calendrier vaccinal 2010
18 Vaccinations recommandées HAV ( population àrisque: zone endémie. Sérologie?) 2 doses: 0 6M( jusqu'à 5A) mais pas en dessous de 1 an; BCG ( adultes originaires d un pays d endémie), faire d abord une IDR puis si négative vaccination. BEH Calendrier vaccinal 2010
19 Hépatite B HBV vacciner l entourage d un sujet infecté par le virus de l hépatite B ou porteur chronique de l antigène HBs (personnes vivant sous le même toit). Rappel de l épidémiologie du VHB en France : 0.65% de prévalence (soit personnes) de l Ag HbS dans la population française (la France est un pays de faible endémie) Contagiosité +++ (sang, rapports sexuels, TMF, entourage proche) Les enjeux de la vaccination : Prévenir les complications graves : hépatites fulminantes Cirrhoses Hépatocarcinomes Réduire le nombre de porteurs de l Ag HBs Réduire l incidence pour éliminer le virus Les recommandations : Vacciner les nourrissons et les groupes àrisque
20 Hépatite B Le bénéfice de la vaccination contre l'hépatite B est supérieur au risque potentiel de la vaccination. BEH 9/1999 Une cohorte de adolescents non vaccinés risquent 29 hépatites fulminantes 147 cirrhoses ou hépato carcinomes versus 0 à2 première atteinte démyélinisante si elle existe Depuis la mise sur le marché (juin 1981) : 33 millions de personnes vaccinées ( 12 M < 15 ans et 3.4 M < 2 ans) 1396 affections démyélinisantes déclarées (dont 1115 SEP) Aucune chez l enfant < 2 ans
21 DOSSIER 4 Jean Navaiun va avoir 6 ans, il doit partir pour 8 mois en Tunisie avec ses parents. Quelles sont les vaccinations obligatoires à vérifier? Quelle vaccination proposer?
22 CALENDRIER VACCINAL 2010 (+: vaccinations obligatoires) Vaccins/âge 2 mois 3 mois 4 mois 12 mois mois 2 ans 6 ans ans 14 ans ans DTP /+ +/+ +d Ca Hib HBV Méningo C + Pneumo ROR + 9 mois coll. + 13/23M 12/15M si coll. HPV 3 d CAS PARTICULIERS BCG Grippe HAV Enfants à risque 1 dose (pas IDR avant 2 mois) Enfant à risque 1 dose annuelle > 6 mois Enfants à risque 2 doses (0-6mois) HBV Mère AgHbs+ 3 doses (0-1-6 mois) 2 doses Méningo 1 ou 2 doses +R si risque particulier Pneumo Si risque mois 2doses Pn conj + P23 Après 5 ans Pn23/5ans Varicelle 2 doses entourage à risque 2 doses (sérologie?)
23 PROPOSITION HAV ( population àrisque: zone endémie. Séjour supérieur à un mois. Sérologie?) 2 doses: 0 6M( jusqu'à 5A) mais pas en dessous de 1 an; Exception: nées avant 1945, avec antécédent connu d ictère et ayant séjourné plus d un an dans un pays de forte endémicité. Recommandations sanitaires pour les voyageurs, 2010 BEH N 21/22
24 BCG La vaccination par le BCG est recommandée, pour les enfants, dès la naissance en cas de séjours fréquents ou prolongés dans les pays à forte incidence Tuberculeuse. Chez les enfants non vaccinés, la vaccination peut être réalisée jusqu à l âge de 15 ans. Les zones géographiques àforte incidence tuberculeuse1sont : le continent africain dans son ensemble ; le continent asiatique dans son ensemble, y compris les pays du Proche et du Moyen Orient ; les pays d Amérique Centrale et du Sud ; les pays d Europe Centrale et de l Est y compris les pays de l ex URSS et, dans l Union européenne la Bulgarie, l Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, le Portugal et la Roumanie. Le vaccin BCG est un vaccin vivant atténué.
25 Dossier 4 Isabelle Atre 8 mois vient de la région Parisienne. Elle va rentrer en crèche et l on vient de découvrir une tuberculose chez son père, séparé, demeuré à Paris. Quelles vaccinations proposer? Conduite àtenir par rapport à la tuberculose?
26 Proposition 8 mois, entrée en collectivité > ROR à 9 mois Tuberculose Enfant à risque: BEH calendrier vaccinal 2010 antécédents familiaux de tuberculose (collatéraux ou ascendants directs) ; résidant en Île de France ou en Guyane ; > IDR puis vaccination
27 Dossier 5 Sylvain Queur est né en Il va être papa dans 6 mois. Il travaille comme égoutier, dernière vaccination DTP àl âge de 16 ans. Carnet de vaccination Quel rattrapage proposer? Quelles vaccinations contextuelles sont indiquées?
28 Retour diapo précédente
29 Dossier 5 29 ans, futur papa, égoutier. Mise àjour dtp ( 26ans) Cocooning ( coqueluche) Discussion Hépatite B, Hépatite A. Facteur de risque professionnel: Leptospirose Rattrapage Méningocoque mais âge supérieur à24 ans. Varicelle: mais 3 me mois de grossesse
30 Dossier 6 Jean Luc P. est né en Il arrive d Afrique du Sud en 2008 Carnet de vaccination page 1 Carnet de vaccination page 2
31 PXXX X Retour dossier 6
32 Suite dossier 6
33 Dossier 6 Dernier dtcap 2009 ROR à jour Vacciné contre la tuberculose Pas de vaccination Méningocoque Rappel HBV? Pas de vaccination pneumocoque? > pas d indication. Pas de vaccination varicelle?> pas de recommandations.
34 CALENDRIER VACCINAL 2010 (+: vaccinations obligatoires) Vaccins/âge 2 mois 3 mois 4 mois 12 mois mois 2 ans 6 ans ans 14 ans ans DTP /+ +/+ +d Ca Hib HBV Méningo C + Pneumo ROR + 9 mois coll. + 13/23M 12/15M si coll. HPV 3 d CAS PARTICULIERS BCG Grippe HAV Enfants à risque 1 dose (pas IDR avant 2 mois) Enfant à risque 1 dose annuelle > 6 mois Enfants à risque 2 doses (0-6mois) HBV Mère AgHbs+ 3 doses (0-1-6 mois) 2 doses Méningo 1 ou 2 doses +R si risque particulier Pneumo Si risque mois 2doses Pn conj + P23 Après 5 ans Pn23/5ans Varicelle 2 doses entourage à risque 2 doses (sérologie?)
35 Germe isolé associés BCG Vaccin BCG SSI Tétanos Tétanique Pasteur Revaxis Boostrix-tetra Infanrix- tetra Imovax Polio Repevax Tetravac a Diphtérie Polio Infanrix- Quinta Pentavac Infanrix- Hexa Coqueluche H. Influenzae b Act-HIB HBVaxPro HBV EngerixB GenhevacB HAV Méningocoque C Avaxim Havrix Méningitec Menjugate-kit Neisvac Twinrix Pneumocoque Oreillons Rougeole Rubéole HPV Grippe Varicelle Rotavirus Pneumo 23 Prevenar 13 Pneumovax Rouvax Rudivax Priorix MMRVaxPro Cervarix, Gardasil Aggripal, Fluarix, Gripguard, Immugrip, Influvac, Mutagrip, Previgrip, Vaxigrip. Varivax, Varilrix. Rotarix, Rotateq.
36 Dossier 7 Jean Naiplus a 16 ans, il a perdu son carnet de santé. Que faire? > PMI, CG.
Vaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailPour l'entrée en institut de formation paramédicale
FORMER Dossier médical Pour l'entrée en institut de formation paramédicale Avril 2015 Aide-soignant-e Auxiliaire de puériculture Infirmier-e Masseur-kinésithérapeute Manipulateur-trice en électroradiologie
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailvaccinale en France Mesure de la couverture Bilan des outils et des méthodes en l an 2000
Mesure de la couverture vaccinale en France Bilan des outils et des méthodes en l an 2000 Document préparé par le Comité de pilotage sur la couverture vaccinale en France sous la coordination de l InVS
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailTout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner
Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailDu 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination
Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailC a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e
C a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e Etude préalable à la mise en place du carnet de vaccination électronique au Burkina Faso Présenté par MME DELPHINE RUIZ Directeur Pr JEAN-LOUIS KOECK
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLa politique vaccinale de la France
COMMUNICATION A LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES DU SENAT ARTICLE LO. 132-3-1 DU CODE DES JURIDICTIONS FINANCIERES La politique vaccinale de la France Octobre 2012 SOMMAIRE Avertissement... 5 Résumé...
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailQuelles Vaccina,ons en santé au travail? Actualités. DIU- IST Mardi 14 avril 2015 ACMS Dr Arthur Fournier
Quelles Vaccina,ons en santé au travail? Actualités DIU- IST Mardi 14 avril 2015 ACMS Dr Arthur Fournier Plan 1. Cadre réglementaire 2. Bases ra:onnelles de la vaccina:on 3. Vaccina:ons recommandées en
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailSimplification du calendrier vaccinal. Collection Avis et Rapports
Simplification du calendrier vaccinal Collection Avis et Rapports Simplification du calendrier vaccinal Rapport 21 décembre 2012 Ce rapport a été adopté par la Commission spécialisée Maladies transmissibles
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailSTAGE DE NATATION. Perfectionnement A GRAND-COURONNE. Comité Ile de France de Natation. (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015
Comité Ile de France de Natation STAGE DE NATATION Perfectionnement A GRAND-COURONNE (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015 Ouvert aux 11 / 13 ans - Licencié(e)s FFN 340 Transport compris - Départ
Plus en détailTransmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»
Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a
Plus en détailLA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?
LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailSYNDICAT NATIONAL DE L ENSEIGNEMENT PRIVE
SYNEP Le «+ santé» Le «+ santé» est une mutuelle santé réservée aux adhérents de la CFECGC, à des conditions préférentielles négociées par la CFECGC en décembre 2007. Le «+ santé», mis à disposition des
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailNOTICE D INFORMATIONS DU CONCOURS D ENTREE EN INSTITUT DE FORMATION EN ERGOTHERAPIE
D I R E C T I O N D E S R E S S O U R C E S H U M A I N E S C O O R D I N A T I O N D E S I N S T I T U T S D E F O R M A T I O N Institut de Formation en Ergothérapie NOTICE D INFORMATIONS DU CONCOURS
Plus en détailVACCINER? MIEUX COMPRENDRE POUR DÉCIDER. ProVac
Comité de rédaction : M.C. Miermans, Provac, Université de Liège, Service STES-APES Dr B. Swennen, Provac, Université libre de Bruxelles, Ecole de santé publique M.C. de Terwangne, Service Education pour
Plus en détailPlan québécois de promotion de la vaccination
Plan québécois de promotion de la vaccination INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Plan québécois de promotion de la vaccination Direction des risques biologiques et de la santé au travail Octobre
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailMutuelle santé. Vous pourrez. toujours compter. sur votre mutuelle! Activance TNS
Mutuelle santé Activance TNS Vous pourrez toujours compter sur votre mutuelle! Activance TNS Le haut de gamme pour les professionnels! Les Produit Prise en charge maximale pour l hospitalisation dès la
Plus en détailPour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 :
Pour JANVIER 2010 : EPREUVE ECRITE du DF1 : DUREE 1H30 - Notation sur 20 (18 pts pour les questions et 2 pts pour la forme) ATTENTION : 4 questions sont proposées, vous ne devez traiter que 3 questions
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailPROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014
PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
DOSSIER D INSCRIPTION AUX ACCUEILS PERISCOLAIRES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES AGLY-FENOUILLEDES NAP ALSH DES MERCREDIS APRES-MIDI ALAE RESTAURATION SCOLAIRE Nom de l enfant :... Prénom :... Date de naissance
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailPlace et limites de la vaccination en santé au travail. Audition d experts
dmt TC d o s s i e r m é d i c o - t e c h n i q u e 122 Place et limites de la vaccination en santé au travail Audition d experts Une audition d experts (encadré 1), organisée par l INRS, a eu lieu à
Plus en détailLe contenu d un vaccin
Qu y a-t-il dans un vaccin, qu est-ce qu on y voit? et qu est-ce qu on n y voit pas? La grippe H1N1 a engendré un questionnement sur les composants des vaccins et de nombreuses personnes qui ne s étaient
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailTOUS !"#$ ENSEMBLE REDUCTION DE LA MORTALITE DES ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS #!"$& #!"$' RAPPORTS THEMATIQUES 2013
RAPPORTS THEMATIQUES 2013 - OMD 1 ELIMINER L EXTRÊME PAUVRETE ET LA FAIM RAPPORT NATIONAL TOUS ENSEMBLE Union des Comores! " # $ % & ' & () *!"#$%&'"$%()'*+," Le gouvernement de l Union des Comores et
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailFormation d Auxiliaire ambulancier
Formation d Dossier d inscription Site de Lyon L Ambulancier assure les transports sanitaires et la surveillance de patients stables à bord des Véhicules Sanitaires Légers. Il est le second membre de l
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailRECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE. Stratégies de dépistage biologique des hépatites virales B et C. Argumentaire
RECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE Stratégies de biologique des hépatites virales B et C Argumentaire Mars 2011 L argumentaire scientifique de cette évaluation en santé publique est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailContacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 -
50 QUESTIONS SUR LES VACCINS Contacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 - vpautre@leem.org 1 Les vaccins,
Plus en détailListes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016
Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Classe de 6 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petit) Classe de 5 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petits) Classe de 4 ème
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailEtes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch
Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailVivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique
PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a
Plus en détailBulletin d inscription Circuit de tournois 2015
Bulletin d inscription Circuit de tournois 2015 Renseignements sur le ou la stagiaire Documents à fournir Nom : Prénom :... Date de naissance : / / Tél portable :... E-Mail :... Classement FFT :... N de
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailReprésentant légal 1. Représentant légal 2. Situation de la famille
DOSSIER FAMILLE PERISCOLAIRE 2014-2015 Ce dossier est à rendre en mairie avec les pièces justificatives et ce, quelque soit votre situation avant le Tout dossier non complet ne sera pas traité. Date de
Plus en détailVaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques
Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Collection Avis et Rapports Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Rapport 2012 Haut Conseil
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION A L INSTITUT DE FORMATION EN MASSO-KINESITHERAPIE DE BREST 2015
INSTITUT DE FORMATION EN MASSO- KINESITHERAPIE Faculté de médecine de BREST 22, avenue Camille Desmoulins CS 93837 29238 BREST CEDEX DOSSIER D INSCRIPTION A L INSTITUT DE FORMATION EN MASSO-KINESITHERAPIE
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailMISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE
RELEVÉ DES MALADIES TRANSMISSIBLES AU CANADA RMTC JANVIER 213 VOLUME 39 DCC-1 ISSN 1481-8531 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détail