F02 : Changements climatiques contemporains et futurs

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Cyril René
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latente, le trait noir avec des ronds, le flux de chaleur sensible et le trait noir fin, le flux conductif dans le sol.

1 F02 : Changements climatiques contemporains et futurs Figure 1 : (haut) éléments du bilan radiatif mesurés toutes les heures le 22/8/1990 à Avignon (station INRA de Montfavet) en Watts/m 2 ; Le trait noir épais représente le rayonnement net, le trait noir avec les croix, le flux de chaleur latente, le trait noir avec des ronds, le flux de chaleur sensible et le trait noir fin, le flux conductif dans le sol. Les valeurs positives indiquent un gain énergétique pour la surface et les valeurs négatives une perte pour la surface. (bas) température mesurée sous abri toutes les heures le 22/8/1990.

Figure 2 : courbes = moyennes des températures minimales et maximales (en C) ; histogrammes = moyennes des précipitations mensuelles en millimètres mesurées sur la période 1971-2000 (source :

2 Figure 2 : courbes = moyennes des températures minimales et maximales (en C) ; histogrammes = moyennes des précipitations mensuelles en millimètres mesurées sur la période (source : MétéoFrance). Figure 3 : températures moyennes mensuelles minimales et maximales mesurées à Lerwick (gauche) - Shetland et à Yakutsk (à droite) - Sibérie sur la période (source Météo-France). Les deux stations se situent approx. à 60 N Figure 4 : températures à Marseille du 11/1/2006 Le trait noir correspond au cycle saisonnier moyen sur La période (source : CPC)

Figure 5 : températures à Brest du 11/1/2006 Le trait noir correspond au cycle saisonnier moyen sur La période 1971-2000 (source : CPC) Figure 6 : températures à Strasbourg du 11/1/2006 Le trait noir

3 Figure 5 : températures à Brest du 11/1/2006 Le trait noir correspond au cycle saisonnier moyen sur La période (source : CPC) Figure 6 : températures à Strasbourg du 11/1/2006 Le trait noir correspond au cycle saisonnier moyen sur La période (source : CPC) Figure 7 : températures à Marseille du 11/1/2006 Les valeurs quotidiennes sont exprimées en anomalies par rapport au cycle saisonnier moyen de la période , puis lissées par une moyenne mobile sur 31 jours (source : CPC) Figure 8 : températures à Brest du 11/1/2006 Les valeurs quotidiennes sont exprimées en anomalies par rapport au cycle saisonnier moyen de la période , puis lissées par une moyenne mobile sur 31 jours (source : CPC)

Figure 9 : températures à Strasbourg du 11/1/2006 Les valeurs quotidiennes sont exprimées en anomalies par rapport au cycle saisonnier moyen de la

en surface en 2006 par rapport à la moyenne 1971-2000 (source : Météo-France).

4 Figure 9 : températures à Strasbourg du 11/1/2006 Les valeurs quotidiennes sont exprimées en anomalies par rapport au cycle saisonnier moyen de la période , puis lissées par une moyenne mobile sur 31 jours (source : CPC) Figure 10 : anomalie de température (moyenne annuelle) observée en surface en 2006 par rapport à la moyenne (source : Météo-France). La teinte la plus claire correspond à des anomalies entre 0 et +1 C et la teinte la plus foncée à des anomalies entre +1 et +2 C. Le maximum > +2 C est atteint dans le NW des Yvelines et l W du Gard et le SW de la Lozère.

Figure 11 : anomalies thermiques (moyenne annuelle et planétaire) observées en surface entre 1850 et 2005 par rapport à la moyenne 1961-1990 (Source : Climatic Research Unit, Norwich, UK).

5 Figure 11 : anomalies thermiques (moyenne annuelle et planétaire) observées en surface entre 1850 et 2005 par rapport à la moyenne (Source : Climatic Research Unit, Norwich, UK). Les barres donnent la valeur annuelle et la courbe les valeurs lissées sur 30 ans. Figure 12 : température moyenne annuelle (moyenne ) réduite au niveau de la mer. Les isothermes sont cotées de 10 C en 10 C (données du NCEP, USA).

6 Figure 13 : rayonnement solaire absorbé en surface (moyenne annuelle ) en Watts/m 2 (données du NCEP, USA). Figure 14 : absorption de l atmosphère et des différents gaz à effet de serre en fonction de la longueur d onde en micromètres. Les bandes blanches ou grises correspondent à des fenêtres où le rayonnement n est pas absorbé et les plages noircies correspondent à l absorption de rayonnement. Les éléments sont H 2 O = vapeur d eau ; CO 2 = dioxyde de carbone ou gaz carbonique ; O 3 = ozone ; N 2 0 = oxyde nitreux ou protoxyde d azote ; CH 4 = méthane ou gaz naturel (source ; A. Foucault).

7 Figure 15 : températures moyennes mensuelles en janvier (haut) et en juillet (bas) réduites au niveau de la mer. Les isothermes sont cotées de 10 C en 10 C (source des données : NCEP, USA).

8 Figure 16 : rayonnement solaire absorbé en surface (moyenne de décembre-février en haut et de juin-août en bas sur la période ) en Watts/m 2 (source des données : NCEP, USA).

9 Figure 17 : pressions atmosphériques moyennes réduites à la surface de la mer en hpa en décembre-février (en haut) et en juin-août (en bas) sur la période (source des données : NCEP, USA).

10 Figure 18 : les principaux courants marins de surface. Figure 19 : schéma du système climatique.

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