Présentation plan gouvernemental actualisé de lutte contre la pandémie grippale d origine aviaire

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1 Présentation plan gouvernemental actualisé de lutte contre la pandémie grippale d origine aviaire Publié le 6 janvier Les enseignements tirés de l exercice national de juin dernier et de l exercice européen de novembre ainsi que l évolution de la situation internationale, ont montré qu il était nécessaire d actualiser le plan français de 2004 et de le rendre plus opérationnel : - en se conformant aux niveaux d alerte établis par l OMS, - en développant les mesures de prévention et de lutte contre l épizootie, - en renforçant les aspects de coordination nationale et internationale, - en accentuant la nécessité d un programme de formation, d information, et de communication, - et en faisant enfin un véritable outil de gestion de crise. Afind être efficace et performant, ce Plan a vocation à évoluer, notamment en fonction de l état des connaissances scientifiques. I- LES PRINCIPALES EVOLUTIONS DU PLAN. La stratégie générale de ce plan s inscrit dans la continuité du précédent. Prévenir l apparition et le développement de foyers de virus aviaire sur le territoire national en les détectant au plus tôt et en les éradiquant. Freiner l apparition et la diffusion sur le territoire national d un nouveau virus adapté à l homme, par des mesures de santé publique précoces et adaptées à chaque phase. Organiser et adapter le système de santé publique : prise en charge ambulatoire proportionnée à l état des malades traitement à domicile et hospitalisation des formes graves. Mobiliser tous les établissements de santé au maximum de leurs capacités avec un circuit pour les patients grippés. Maintenir un approvisionnement en matériels médicaux et équipements de protection. Organiser la continuité de l Etat et de la vie économique : action de proximité et de solidarité (personnes âgées dépendantes et isolées), maintien des activités essentielles pour la sécurité et 1

2 la vie de la population (nourriture, eau, électricité ) et accompagner cette stratégie par un large effort de communication, d information et de formation afin de préparer le pays à la gestion de ce risque et de la crise. Le phasage du plan. Conformément au phases de l OMS, la version actualisée de notre plan distingue 6 phases. De la phase 2 à la phase 5, on distingue deux situations, selon que les faits observés se produisent à l étranger ou en France. A titre d exemple, la France était au 6 janvier en phase 3A, correspondant à des cas humains sans transmission inter-humaine, observés à l étranger. L observation en France d une contamination humaine à partir de volailles infectés, ferait passer en phase 3B. - En phase 1, il ne circule chez l animal aucun virus aviaire «hautement pathogène», c est à dire occasionnant un risque substantiel de maladie humaine. - En phase 2, un tel virus hautement pathogène provoque une épizootie à l étranger (phase 2A) ou en France (phase 2B). - En phase 3, la contamination de l animal à l homme est avérée sans qu il y ait transmission inter humaine. 3A si ces cas sont à l étranger ; 3B s ils sont en France. - En phase 4, il existe une transmission inter humaine limitée, due à un virus encore mal adapté à l homme, qui provoque des cas humains groupés et limités géographiquement. - En Phase 5, ces foyers de cas humains groupés s étendent géographiquement, et ne sont plus maîtrisables. - La Phase 6, c est la phase «pandémique» à proprement parler. Elle correspond à une forte transmission interhumaine et une extension géographique rapide et massive. Pour chaque phase, des objectifs sont définis, et elle renvoie à un catalogue de mesures à examiner et mettre en œuvre au cas par cas. En pratique. (1) Le plan définit notamment selon chaque niveau d alerte les différents acteurs de la conduite de l action gouvernementale : Premier Ministre, Ministre de l Intérieur, Ministre de la Santé, Ministre de l Agriculture. Le Premier Ministre dirige l action gouvernementale. En situation 1, 2 et 3A l action est déléguée au ministre de l Agriculture. Dès la phase 3B (présence en France de cas humains sans contamination inter humaine) la conduite opérationnelle est déléguée au ministre de la 2

3 Santé. Quand les questions de sécurité civile, d ordre public, ou de continuité de la vie collective, deviennent prédominantes la conduite opérationnelle est déléguée au ministre de l Intérieur ; le ministre de la Santé conservant la responsabilité de la gestion opérationnelle des questions sanitaires. (2) Il détermine les structures interministérielles de gestion de crise en cas de franchissement d un seuil critique (phase 4b ou 5a) ainsi que les principales chaînes opérationnelles. Une Cellule Interministérielle de Crise (CIC) à vocation décisionnelle est mise en place auprès du ministre chargé de l'action gouvernementale. (3) Il présente l aspect européen et international de la gestion de la crise. L OMS assure la surveillance épidémiologique, l analyse des données virologiques, et déclare les phases d alerte sur ces bases. Elle coordonne l assistance technique aux pays touchés, et la mobilisation de l expertise internationale. C est elle qui isolera la souche virale pandémique et la transmettra aux producteurs de vaccins. Elle constitue enfin, un stock d intervention d urgence notamment d antiviraux. Au plan européen, la Commission coordonne l action des Etats membres qui doivent l informer des mesures qu ils mettent en place. (4) Il définit une stratégie de communication claire et transparente. Le succès du plan repose sur un lien de confiance à tisser entre les autorités et la population. La communication doit donc être pédagogique (sur les comportements à adopter) et informative (sur la préparation du pays). (5) Il présente les principes de l action sanitaire. En période pandémique, le plan prévoit la répartition optimale des patients, l objectif étant de soigner le plus possible à domicile ces malades afin de ne pas surcharger les hôpitaux réservés aux urgences les plus graves. Ce dispositif repose sur la mobilisation en première ligne des médecins libéraux, renforcés éventuellement par d autres professionnels de santé, avec, en cas de besoin, un relais hospitalier sur régulation des SAMU-centres 15. (6) La protection individuelle repose en cas de pandémie, sur trois moyens de lutte : 3

4 1. Les masques. On en distingue deux sortes : les masques de protection individuelle (FFP2) pour les professionnels en contact avec les malades, et les masques «anti-projection» portés par les malades pour protéger leur entourage. 2. Les médicaments anti-viraux. Il en existe deux de la même famille, ayant approximativement le même niveau d efficacité, mais se présentant sous une forme différente. Le Tamiflu en gélules, et le Relenza en spray. 3. Les vaccins. On en distingue deux. Le vaccin «prépandémique» fabriqué à partir du virus aviaire H5N1 actuel (donc non muté, non réassorti). Et le vaccin «pandémique» qui ne pourra être fabriqué qu après isolement du virus une fois muté ou réassorti. Enfin, des fiches techniques opérationnelles, qui seront présentées prochainement, complèteront le plan. Elles définiront précisément l organisation des soins et la prise en charge des malades telles que : les modalités de distribution des antiviraux et des protections individuelles, les modalités de vaccination, d hospitalisation, et de traitement à domicile, les conduites à tenir devant des cas ou des suspicions de cas, etc. Elles présenteront également les mesures logistiques à adopter dans chaque secteur d activité en cas de pandémie qui pourrait avoir pour conséquence une désorganisation de la société : absentéisme du personnel, problème de garde des enfants en cas de fermeture d école, transports collectifs, gestion des décès, organisation des services de l Etat, traitement des déchets, télétravail, etc. II- CONSTITUTION DE STOCKS DE MASQUES, DE MEDICAMENTS ANTIVIRAUX ET DE VACCINS. Constitution de stocks de masques : (a) En ce qui concerne les masques de protection individuelle pour les professionnels en contact avec les malades dont les professionnels de santé : médecins, infirmières, kinésithérapeutes, etc. 68,5 millions de masques ont été livrés d ici fin janvier

5 Deux autres commandes correspondant à 148 millions de masques sont d ores et déjà été passées et 80 millions seront livrés de février à fin mai Au total, plus de 200 millions de masques qui ont été commandés à ce jour pour le système de santé masques l ont également été pour les autres professionnels en possible contact de malades et des commandes supplémentaires sont en cours (b) En ce qui concerne les masques anti-projection destinés aux malades, 250 millions ont été commandés, et sont dès à présents disponibles tandis que 750 autres millions ont été commandés. Constitution de stocks de médicaments antiviraux : Au début de l année 2006, la France dispose de 13,8 millions de traitements antiviraux Tamiflu et de traitements antiviraux de Relenza déjà disponibles. Elle a souhaité porter ces réserves de médicaments anti-viraux à un niveau supérieur, pour traiter, dans l attente des vaccins, les personnes qui pourraient être atteintes par la maladie ou y être directement exposées. La France a donc commandé 10 millions de traitements Tamiflu supplémentaires et 9 millions de traitements Relenza, qui seront livrés entre 2006 et Une partie du stock de Tamiflu est en vrac, transformable en gélules en moins de deux mois par la Pharmacie centrale des Armées. La péremption de ces stocks de vrac est de 10 ans. Avec ces 33 millions de traitements antiviraux, la couverture de 25% de la population préconisée par l OMS sera largement dépassée. Cela permettra de prévenir des risques de résistance, et d être plus souple, plus adaptable dans les stratégies mises en œuvre, en fonction des caractéristiques du virus et de la pandémie. Concernant les vaccins : Outre les 2 millions de doses de vaccin pré-pandémique H5N1 disponibles début 2006, 40 millions de doses de vaccin pandémique à fabriquer ont été réservés en cas de crise sanitaire. La France souhaite aller au-delà, afin de réserver 62 millions de vaccins et assurer 5

6 ainsi la vaccination de l ensemble de nos concitoyen ; le gouvernement français a donc sollicité 5 laboratoires pharmaceutiques pour obtenir leurs propositions. III- EN CE QUI CONCERNE LA COMMUNICATION, LA FORMATION ET L INFORMATION. La communication est un volet capital de la gestion de crise, tant en amont que pendant celleci. La France a donc d ores et déjà créé des outils de formation et d information adaptés tant aux professionnels de santé qu au grand public. La stratégie de communication sur la grippe aviaire repose sur des principes de transparence, de réactivité et de continuité. Elle suppose également une gestion interministérielle de la formation comme de l information afin de garantir sa cohérence et son efficacité. L organisation de la communication se structure autour des acteurs interministériels que sont le Délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire (DILGA) et le Service d information du Gouvernement (SIG). Chaque semaine, un comité de pilotage interministériel se réunit autour du DILGA et du SIG pour élaborer les outils de communication sur la grippe aviaire. La communication sur la grippe aviaire a pour but d informer la population sur ce qu est une pandémie grippale d origine aviaire, son évolution et les moyens de s en prémunir. Elle est aujourd hui mise en œuvre à travers les outils suivants - La plate-forme téléphonique Info'Grippe Aviaire à destination du grand public, des voyageurs et des médecins, (7j/7j 8h-22h). - La création par le SIG du site interministériel permettant la mise en ligne de l ensemble des informations sur les volets «information» et «action du gouvernement» ainsi que l information en continue de tous les ministères et des experts ad hoc. - Point presse bimensuels du DILGA sur l état de la situation. 6

7 - 3 Modules vidéo de l Institut national de prévention et d éducation pour la santé (INPES) consultables en ligne : - un premier d information générale sur la grippe aviaire (module 1), - un second sur les modes de prévention (module 2), - un troisième sur la pandémie grippale (modules 3). - Modules vidéo, dépliants, affiches d information et bandeaux défilant en anglais et en français à destination des voyageurs en provenance et destination des pays touchés (1,3 million d exemplaires ont édités à ce jour), Le Comité de pilotage Communication sur la grippe aviaire travaille aussi sur d autres outils en cours d élaboration : dépliant grand public en cas pandémie, avec pédagogie sur «les gestes barrières», rédaction des messages clés pour le grand public, à la fois sur le volet animal et sur le volet humain. Elle doit également habituer la population à la préparation d une gestion de crise et la préparer à la crise elle même, à travers les relais d opinion et les exercices locaux d entraînement à la grippe aviaire notamment. Cela nécessite aussi d anticiper sur les outils et les dispositifs d information afin d en disposer sans délai en cas de crise : C est pourquoi un marché public spécifique relatif «aux risques sanitaires liés à des événements exceptionnels» a été mis en place par l Institut national de prévention et d éducation à la santé. Il vise à concevoir et mettre en œuvre des dispositifs, des outils et des actions de communication média et hors média pour la prévention des risques sanitaires tels que le SRAS, la grippe aviaire, la canicule. La formation et l information des professionnels de santé par le Ministère de la santé : L objectif affiché de la stratégie de formation et d information doit être d intégrer les relais en amont de la stratégie de formation, afin que les outils leur soient adaptés, qu ils puissent se les approprier et les «faire vivre». Cette méthode leur permet également d être source de propositions pour l amélioration constante du Plan gouvernemental. Suite à la diffusion de la brochure «Repères pour votre pratique professionnelle», une première réunion d information a été organisé au ministère de la santé le 10 novembre dernier avec une partie des professionnels de santé pour poursuivre l information et la formation. 7

8 Une autre a été organisée le 5 décembre. Des rencontres ont eu lieu avec les professionnels de santé (12 Décembre 2005) et avec le Haut Comité de Défense Civile (20 Décembre 2005). Il existe à ce jour 5 groupes de contact créées avec les professionnels de santé : «Prise en charge à domicile», «Recours aux Etablissements de santé», «Délivrance des produits et rôle des médecins et des pharmaciens», «Information et communication vers le grand public», «outils de formation». 8

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