Les enjeux de la comptabilité pour les institutions financières islamiques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les enjeux de la comptabilité pour les institutions financières islamiques"

Transcription

1 Les enjeux de la comptabilité pour les institutions financières islamiques Geneviève CAUSSE, professeur émérite, IAE G. Eiffel Université Paris-Est et ESCP-Europe 1

2 Plan de l intervention 1. Qu est-ce que la comptabilité? A quoi sert-elle? 2. Les constats relatifs aux institutions financières islamiques (IFI) 3. Comptabilité et système économique 4. La normalisation en marche 5. Les options et leur incidence 2

3 Plan de l intervention 1. Qu est-ce que la comptabilité? A quoi sert-elle? 2. Les constats relatifs aux institutions financières islamiques (IFI) 3. Comptabilité et système économique 4. La normalisation en marche 5. Les options et leur incidence 3

4 Définition «La comptabilité est un système d organisation de l information financière permettant de : - saisir, classer, enregistrer des données de base chiffrées, - fournir, après traitement approprié, un ensemble d informations conformes aux besoins des divers utilisateurs intéressés». En conséquence : -Ce n est pas une science mais un «construit» -Ce «construit» est fonction de conventions visant à répondre au mieux aux besoins des différents utilisateurs 4

5 La comptabilité est une construction Il faut attribuer une valeur aux éléments, or l évaluation est consubstantielle à la comptabilité : Evaluer pour qui? Evaluer quand? Il faut répartir ces valeurs dans le temps, afin de déterminer la situation à la fin de chaque période, Il faut classer les éléments (ce qui n est pas neutre), Il faut choisir un mode de présentation, afin de donner la visibilité souhaitée. 5

6 La comptabilité est un ensemble de conventions La comptabilité n a rien de scientifique, c est un ensemble de conventions : «les principes généralement admis». Ces principes sont les produits : de l histoire, de la culture du pays, du mode de gouvernement et de fonctionnement des institutions, du degré de développement économique, des groupes de pression, etc. 6

7 La comptabilité répond à un besoin universel Les principes ne sont pas universels mais la comptabilité répond à un besoin universel. Un système comptable élaboré existait déjà sous l empire romain pour enregistrer les dépenses et recettes de l Etat (Cf. Fourastié, 1976, faisant référence aux écrits de Pline l Ancien)). Le même phénomène se produisit au sein des califats islamiques de Médine, de Koufa, de Bagdad et de Cordoue (Hamidullah, 1993). 7

8 Ces brefs rappels historiques indiquent que la comptabilité est une réponse à un besoin d information économique, né du développement des affaires. Il est donc dans la logique des choses que le développement de la comptabilité des Institutions financières islamiques accompagne le développement de ces institutions. 8

9 Plan de l intervention 1. Qu est-ce que la comptabilité? A quoi sert-elle? 2. Les constats relatifs aux institutions financières islamiques (IFI) 3. Comptabilité et système économique 4. La normalisation en marche 5. Les options et leur incidence 9

10 La nécessité d introduire plus de transparence dans la gestion et la communication financières des IFI n est plus à démontrer. «Il faut que les IFI adoptent les meilleures techniques de communication, de gestion et de comptabilité, afin d être vraiment contemporaines et de devenir de bons outils d investissement servant l intérêt de tous, à condition qu elles conservent leur identité et leurs spécificités» (Cheick Abdullah Bin Bayyah, Conférence au Ministère de l Economie, de l Industrie et de l Emploi, le 24/11/2009). 10

11 Dans la citation précédente on trouve deux idées importantes : 1. La nécessité d utiliser les meilleures techniques, notamment de comptabilité, 2. La condition étant de conserver l identité et la spécificité des Institutions financières islamiques. Nous reviendrons sur ce deuxième point plus loin. Pour ce qui concerne la comptabilité il faut reconnaître le rôle très important rempli par l AAOIFI et les difficultés de sa mission. 11

12 Rôle difficile, pourquoi? Ce n est pas un organisme intergouvernemental, ses propositions n ont pas force de loi. L élaboration des normes comptables et financières suppose préalablement une harmonisation des pratiques. Les IFI sont tenues de respecter la réglementation nationale de leur pays d implantation, éventuellement présentent également leurs comptes selon les normes internationales, si elles ont des activités internationales. L activité financière islamique est en pleine évolution (nouveaux produits). 12

13 Même si les IFI d un pays sont membres de l AAOIFI, elles n appliquent pas pour autant les normes islamiques. On remarque une disparité importante selon le lieu d implantation de l IFI. R. Siddiqui (Thomson Reuters) lors de la 2 ème rencontre Euromoney sur la FI, la semaine dernière (28/9/2010) distinguait les pays selon 2 dimensions : -1 ère catégorie : Ceux dans lesquels le développement de la FI a eu lieu sous l impulsion du gouvernement, -2 ème catégorie : Ceux dans lesquels c est le marché qui a contribué à son développement. 13

14 A cet égard, il est donc logique de constater que l adoption (ou non-adoption) des normes islamiques correspond à ces deux dimensions : --1 ère catégorie : les pays dans lesquels le développement de la FI a eu lieu sous l impulsion (ou avec l appui) du gouvernement, on applique les normes AAOIFI (Bahrein, Soudan, ), --2 ème catégorie : les pays dans lesquels c est le marché qui a contribué à son développement, on applique les normes IFRS (Arabie Saoudite, EAU, ), Dans les autres ce sont les normes nationales (Malaisie, Indonésie) ou les normes internationales avec des amendements (Koweit, Qatar, ) qui sont appliquées. 14

15 A l heure actuelle les constats sont plutôt alarmants : -«La lecture des comptes des BI est un exercice difficile tant les concepts et les termes employés sont étrangers au jargon financier standard, le contenu informationnel des états financiers est souvent pauvre» (Hassoune, 2010). -Il est impossible de comparer les comptes des BI entre elles, a fortiori d effectuer des comparaisons entre BI et banques conventionnelles. Cette situation n est pas sans conséquences. 15

16 Cette non transparence a des conséquences : sur la crédibilité et plus généralement l image des IFI, Sur le développement des marchés financiers islamiques, Sur le développement d outils de gestion. En effet, la comptabilité n est pas seulement un instrument de communication et de contrôle. C est également le socle à partir duquel on peut développer des instruments de gestion : gestion des risques, surveillance des grands équilibres, gestions des actifs/passifs, pilotage de la performance, 16

17 Autre enjeu L IFI, particulièrement la BI, est le maillon central d une économie basée sur le partage des risques. C est le système financier qui actuellement représente la dimension économique de l islam, d où son rôle stratégique dans le développement d un système économique qui peut être considéré comme une voie alternative. La comptabilité est de nature à contribuer à la viabilité du système. Pour s en convaincre rappelons qu un système comptable est représentatif d un système économique. 17

18 Plan de l intervention 1. Qu est-ce que la comptabilité? A quoi sert-elle? 2. Les constats relatifs aux institutions financières islamiques (IFI) 3. Comptabilité et système économique 4. La normalisation en marche 5. Les options et leur incidence 18

19 Il existe plusieurs courants de pensée à propos de la nature de la comptabilité. -Pour les uns elle serait inhérente au capitalisme -Pour d autres, elle est l outil essentiel au bon fonctionnement d une société communiste (Marx, 1867). -Enfin certains pensent qu il s agit d une technique universelle. En réalité si la comptabilité est universelle le cadre comptable est contingent 19

20 Quelques exemples sont significatifs à cet égard : -Au moment de l éclatement de l URSS, il a fallu changer de système comptable -Dans les systèmes économiques libéraux le résultat n est pas celui de l entreprise mais le résultat pour les apporteurs de capitaux. -Dans les systèmes d économie capitaliste à dimension sociale, les salariés (bien que toujours considérés comptablement comme un facteur de production) ont droit à une participation aux résultats. 20

21 D autres facteurs du contexte entrent en considération, comme souligné plus haut : la culture, l histoire, le mode de fonctionnement des institutions, etc. Ainsi, en France, on peut considérer que «l administratif» et «le juridique», dominent «l économique». La comptabilité est faite pour rendre compte selon des règles précises, d où des incompréhensions concernant des termes ou pratiques qui ne sont pas en cohérence avec la culture : - «l image fidèle», - «l importance relative», - la «juste valeur» - Autant de concepts et principes introduits en Europe continentale lors de l entrée du R-U dans l UE en

22 Le système comptable d un pays est également régi par ses finalités Il ne peut être me même dans un pays dont l objectif assigné à la comptabilité est d abord d être un instrument au service des investisseurs et dans un PVD qui souhaite disposer d un outil au service de sa politique de développement : aménagement du territoire, équilibre entre les secteurs, Qu en est-il du système comptable convenant aux IFI? 22

23 Les IFI peuvent-elles être soumises au même système que les autres entités financières? Préalablement il faut répondre à certaines questions essentielles. 1 - Les BI sont-elles des établissements financiers comme les autres? 2 - Les BI sont-elles soumises à des particularités juridiques justifiant éventuellement des traitements particuliers? 3 Les principes de la «théorie économique et sociale islamique» peuvent-ils être respectés si on applique les mêmes règles? 4 Est-on prêt à abandonner ces principes? 23

24 1 ère question : Les BI sont-elles des établissements financiers comme les autres? Réponse : non Elles présentent des différences importantes : - Absence d intérêt - Opérations spécifiques qui n existent pas dans le système conventionnel - Etc. 24

25 2 ème question : Les BI sont-elles soumises à des particularités juridiques justifiant éventuellement des traitements particuliers? Réponse : oui, Des différences existent, notamment sur les points suivantes : - Notion d entité juridique comptable -Principe de la stabilité du pouvoir d achat -Existence de comptes non-restreints -Nature commerciale (et non pas financière) de nombreuses opérations -Actifs ayant des classes de risques différentes différenciation souhaitée 25

26 3 ème question : Les principes de la «théorie économique et sociale islamique» peuvent-ils être respectés si on applique les mêmes règles? Citons : L importance du facteur travail, d où de l association capital-travail, La justice sociale, Le partage des risques, La participation au développement économique et social, La solidarité, Etc. Ce sont des principes d un ordre supérieur, qui ne sont pas pris en considération dans les banques conventionnelles, et que l on a d ailleurs tendance à voir s estomper dans les IFI. 26

27 Il nous apparaît que ces principes d un ordre supérieur ont tendance à s estomper dans les IFI. Dans un univers de compétition on se limite à respecter les interdictions : «non Riba, non» et on considère que la conformité est respectée. Un seul exemple pour illustrer : La rémunération des comptes de dépôts non restreints En principe la rémunération est fonction des résultats de la BI, elle est donc fluctuante. Pour éviter cela, on assiste à l utilisation d astuces (réserves, diminution de commission de la banque, ) qui permettent de verser une rémunération régulière (donc fixe). Ce choix, économiquement rationnel, est-il en conformité avec les principes? (Notamment celui de partage des risques et de justice sociale) 27

28 Il faut revenir alors à la citation du 1 er paragraphe «Il faut que les IFI adoptent les meilleures techniques de communication, de gestion et de comptabilité, afin d être vraiment contemporaines et de devenir de bons outils d investissement, servant l intérêt de tous, à condition qu elles conservent leur identité et leurs spécificités» (Cheick Abdullah Bin Bayyah, 24/11/2009). Pour les IFI, conserver ses spécificités est-il compatible avec la normalisation internationale? 28

29 Plan de l intervention 1. Qu est-ce que la comptabilité? A quoi sert-elle? 2. Les constats relatifs aux institutions financières islamiques (IFI) 3. Comptabilité et système économique 4. La normalisation en marche 5. Les options et leur incidence 29

30 La comptabilité n est pas un système d information uniquement à usage interne, elle doit être conforme aux besoins des différents utilisateurs. En conséquence, son langage doit être compréhensible par tous. Il doit donc être «normé». Le processus de normalisation s est fait en trois étapes : -Le niveau national -Le niveau régional, -Le niveau mondial La normalisation n a généralement pas posé de problèmes lorsqu il s est agi d une normalisation nationale. 30

31 Mais lorsque les intérêts politiques et économiques poussent à une intégration régionale, le problème est alors différent. La difficulté est alors fonction de la «proximité» des entités intégrées. On peut illustrer cela par deux exemples : -L adoption d un système comptable commun en Afrique de l Ouest (le SYSCOA) a pu se faire facilement -La difficile normalisation européenne où il fallait concilier la manière de se comporter dans les affaires des européens continentaux et des britanniques. L élaboration des directives comptables européennes a d ailleurs mis tellement de temps que le processus a été dépassé par la nécessité de se situer au niveau mondial. 31

32 Au niveau mondial il a fallu, sous la pression croissante du besoin des groupes multinationaux, agir très vite. C est donc l idéologie du marché qui a prévalu. Il faut rappeler que ces normes IFRS : - sont d abord des normes financières, - élaborées par un organisme privé (firmes multinationales, grands cabinets d audit, - l objectif clairement affiché est de supprimer la disparité entre les informations destinées aux investisseurs (acteurs des marchés financiers). Naturellement, pour être rendues obligatoires au niveau d un pays, elles doivent avoir été adoptées par le gouvernement du pays. 32

33 Etant donné la manière dont elles ont été élaborées, et les objectifs pris en considération, on peut se poser la question : La généralisation de ces normes est-elle souhaitable? Le monde n est -il qu un vaste marché fonctionnant grâce à un système d information élaboré à cet effet : prendre des décisions financières optimales à l échelle du monde? En France, le choix qui a été fait est le suivant : - IFRS pour les sociétés cotées, - Système national pour les autres (la majorité), ce qui n est pas très confortable, d où la recherche d une «convergence». 33

34 Les options, pour un pays, sont actuellement les suivantes : 1. L utilisation d un système spécifique, adapté au contexte, mais on se coupe alors du reste du monde. 2. L adoption des IFRS, mais on risque d adopter des normes qui sont en déphasage avec le contexte. 3. L adoption d un double système. 4. L adoption des IFRS avec amendements. 34

35 Plan de l intervention 1. Qu est-ce que la comptabilité? A quoi sert-elle? 2. Les constats relatifs aux institutions financières islamiques (IFI) 3. Comptabilité et système économique 4. La normalisation en marche 5. Les options et leur incidence 35

36 Le problème de choix se situe à deux niveaux : - celui de l élaboration des normes, - celui de leur application. Les options au niveau de l élaboration des normes Les deux premières possibilités présentées ci-dessus : -système spécifique -IFRS peuvent être exclues, pour les raisons indiquées. Il reste les deux suivantes : - système «dual» (Normes islamiques + autre système) - IFRS avec amendements. 36

37 L adoption d un double système Cela permet de résoudre le plus rapidement le problème de l application des normes : les IFI se soumettent à 2 systèmes ( 2 types de documents) -le système imposé dans le pays - donc se conforment à la loi, -les normes islamiques. Plusieurs raisons militent contre cette solution : 1. Choix très coûteux, surtout pour les petites entités, 2. Les IFRS ne traitent pas des opérations spécifiques de la FI 3. On ne voit pas comment les IFRS peuvent être appliquées facilement et dans leur intégralité, étant donné les spécificités signalées précédemment. 37

38 L adoption des IFRS avec amendements C est un choix : -sage : on ne peut pas se couper du reste du monde - astucieux : n est-ce pas un moyen de faire admettre son système en évitant l inconvénient précédent? Selon l importance des amendements, on se trouvera : - soit face à un système essentiellement spécifique, - soit face à un système quasiment identique aux IFRS sauf quelques exceptions identifiées. Ainsi certains PVD, sous la pression des bailleurs de fonds internationaux, ont adopté un système qualifié de «conforme aux IFRS» mais l importance des exceptions et des options possibles est tel que l on est plus proche du système ancien que des IFRS. Cette manière de procéder n est pas critiquable, elle est même rationnelle. 38

39 Quel est le choix fait par l AAOIFI? Il est clair : Elaboration de normes spécifiques lorsqu il s agit d opérations spécifiques, lorsque les normes IFRS ne sont pas compatibles avec la réglementation islamique Adoption des normes IFRS dans les autres cas. 39

40 Options au niveau de l application des normes Toutes les IFI devraient appliquer les normes ainsi élaborées, mais l AAOIFI ne peut imposer le respect de ces normes. Même si c est un organisme reconnu mondialement et auquel adhèrent plus de 180 pays membres, il faut que les normes soient adoptées par les instances des pays d implantation des IFI. Un autre problème se pose : celui de la coexistence, dans la plupart des pays, de BI et de banques conventionnelles. En conséquence, si les BI sont soumises aux normes islamiques, les deux types d établissements financiers, n appliqueront pas les mêmes normes. Mais ce dernier problème est relativement mineur. 40

41 Le problème de la coexistence de deux types d établissements financiers n appliquant pas les mêmes normes est relativement mineur : 1. d une part, le système d information des BI sera considérablement amélioré et des comparaisons entre BI seront possibles, 2. d autre part, le choix effectué - c'est-à-dire l adoption des IFRS sauf les cas d impossibilité - devrait faciliter les comparaisons avec les banques conventionnelles. En effet, il s agit de deux systèmes ayant une base commune, et dont l un admet des particularités identifiables. Le même problème se pose en ce qui concerne l application des règles prudentielles et des règles fiscales. C est dans la nature des choses que lorsque l on est différent on n est pas identique. 41

42 Le problème qui demeure est donc celui de l application généralisée des normes comptables et financières islamiques à tous les IFI. Les soumettre à ces normes, c est leur donner l occasion d améliorer leur gestion et leur image, c est donc contribuer à leur développement. 42

43 Références bibliographiques Capron M. (1985), La comptabilité, Ed. La Découverte. Causse G. (2009), La finance islamique, Ed. Revue Banque. Causse G. (2000), Développement et comptabilité, rubrique de l Encyclopédie de Comptabilité, Contrôle, Audit, (Coord. Colasse), Ed. Economica. Causse G. (1996), Le choix d un système comptable dans les pays de l Est La quadrature du cercle, Congrès de l Association Francophone de Comptabilité. Causse G. et Saci D. (1995), La comptabilité en pays d Islam, in Finance et développement en pays d Islam, (coord. Traimond), ed. EDICEF. Fourastié (1976), Histoire de la comptabilité, Collection Que sais-je? PUF, 4 ème ed. Gambling T.E. et Karim R.A.A. (1986), Islam and social Accounting, Journal of Business Finance and Accounting, n 13 (1), Spring. Hamidullah M. (1977), Le Coran (Traduction), Ed. Le club français du livre. Hamidullah M. (1993), Initiation à l Islam. Hassoune A. (2010), Fonds propres des banques islamiques face aux exigences réglementaires, présentation à l IFFI, janvier. Marx K. (1867), Le capital, PUF. Saci D. (1991), Comptabilité de l entreprise et système économique l expérience algérienne, Office des publications universitaires, Alger. 43

44 Merci de votre attention 44

L assurance Takaful au Maroc Quels préalables et quelles perspectives?

L assurance Takaful au Maroc Quels préalables et quelles perspectives? L assurance Takaful au Maroc Quels préalables et quelles perspectives? Mohammad Farrukh Raza Directeur Général, Groupe IFAAS IFAAS - cabinet conseil international dédié a la finance islamique Rendez-vous

Plus en détail

Introduction à la comptabilité financière

Introduction à la comptabilité financière PARTIE 1 Introduction à la comptabilité financière Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 D une approche patrimoniale et juridique à une approche économique et financière... 3 Les tableaux de synthèse

Plus en détail

Quel contrôle de gestion pour les ONG 1?

Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans

Plus en détail

The Promotion of Employee Ownership and Participation

The Promotion of Employee Ownership and Participation The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French

Plus en détail

Islamic Banking Master Class

Islamic Banking Master Class Executive Education Islamic Banking Master Class Marrakech 06, 07 et 08 Avril 2015 Stratégies de marché Retour d expérience Etude de cas Réel Préambule Mot du Directeur de Programme A Finéopolis Consulting,

Plus en détail

Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens

Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité II, contrats responsables, normes IFRS, fiscalité : conséquences de ces normes sur le devenir des opérateurs et des couvertures

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :

Art. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant : Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations

Plus en détail

PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET. Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé «l escamoteur»

PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET. Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé «l escamoteur» PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET LA TRANSPARENCE EST-ELLE LA SOLUTION POUR RÉTABLIR LA CONFIANCE DANS LA FINANCE? Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé

Plus en détail

L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement

L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement Pratiques en matière de partenariat n o 3b L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement La Division des partenariats avec les bailleurs de fonds

Plus en détail

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante? Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle

Plus en détail

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées. Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

Cabinet Conseil en Intelligence d Affaires. L'Intégration de données et la Qualité des données dans l'écosystème BI actuel et future

Cabinet Conseil en Intelligence d Affaires. L'Intégration de données et la Qualité des données dans l'écosystème BI actuel et future Cabinet Conseil en Intelligence d Affaires L'Intégration de données et la Qualité des données dans l'écosystème BI actuel et future Nous croyons que Les données sont des actifs corporatifs Les projets

Plus en détail

Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui?

Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui? 13 décembre 2012 Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui? Conférence Academy & Finance du 13 décembre 2012 Alexandre de Senarclens ads@oher.ch

Plus en détail

Recommandation sur le traitement des réclamations

Recommandation sur le traitement des réclamations Recommandation sur le traitement des réclamations 1. Contexte 2015-R-03 du 26 février 2015 L information du client sur les modalités d examen des réclamations ainsi que le traitement de ces dernières font

Plus en détail

Archivage électronique et valeur probatoire

Archivage électronique et valeur probatoire Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc 2 Sommaire 1 Introduction 3 2 Archive et archivage 5 2.1 Qu est-ce qu une archive? 5 2.2

Plus en détail

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Plus en détail

IFRS 10 États financiers consolidés

IFRS 10 États financiers consolidés IFRS 10 États financiers consolidés PLAN DE LA PRÉSENTATION Aperçu Application Dispositions transitoires Prochaines étapes Ressources PRÉSENTATEURS Alex Fisher, CPA, CA Directeur de projets, Orientation

Plus en détail

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE

CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations

Plus en détail

FORMATION INTENSIVE ET CERTIFIANTE DE TROIS JOURNÉES SUR : «Le métier de banquier. islamique» en partenariat avec

FORMATION INTENSIVE ET CERTIFIANTE DE TROIS JOURNÉES SUR : «Le métier de banquier. islamique» en partenariat avec FORMATION INTENSIVE ET CERTIFIANTE DE TROIS JOURNÉES SUR : «Le métier de banquier islamique» en partenariat avec L institut ALBANKI, en partenariat avec le Centre Marocain de Finance Participative -QUODWA-

Plus en détail

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Introduction Rapport explicatif 1. La Conférence de haut niveau sur l avenir

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015?

Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015? Les grandes tendances Data & Analytics 2015 L épreuve de la réalité janvier 2015 Introduction Que s est-il passé en 2014? Qu attendre de 2015? 2014 a confirmé l intérêt croissant pour la donnée au sein

Plus en détail

Brochure d information pour le preneur d assurance

Brochure d information pour le preneur d assurance Brochure d information pour le preneur d assurance Votre protection lors de la conclusion d un contrat d assurance conformément aux règles déontologiques MiFID Bienvenue chez Arces Arces, c est la meilleure

Plus en détail

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors Guide pratique Pour une recherche efficace de sponsors Guide Pratique Association Interfédérale du Sport Francophone asbl Quai de Rome 53 4000 LIEGE Tél.: 04/344 46 06 Fax: 04/344 46 01 E-mail: info@aisf.be

Plus en détail

Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques»

Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques» Foire aux questions (FAQ) Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques» (Dernière modification : 22 juillet 2015) 1. Comment faut-il traiter les provisions, constituées initialement pour des limites de crédit

Plus en détail

Représentation des Nombres

Représentation des Nombres Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...

Plus en détail

Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement?

Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement? Évolution du processus de normalisation en ce qui a trait à la présentation de l information financière Vivons-nous un changement d environnement? Le processus de normalisation de l IASB auparavant Proposition

Plus en détail

CONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL

CONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL 5 COM ITH/10/5.COM/CONF.202/INF.7 Paris, le 27 octobre 2010 Original : anglais/français CONVENTION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL COMITÉ INTERGOUVERNEMENTAL DE SAUVEGARDE DU PATRIMOINE

Plus en détail

OBSERVATIONS INTRODUCTION

OBSERVATIONS INTRODUCTION Comité d experts gouvernementaux d UNIDROIT sur l applicabilité des clauses de compensation avec déchéance du terme Deuxième session FR UNIDROIT 2013 C.E.G/Netting/2/W.P. 5 Original: anglais Rome, 4-8

Plus en détail

Rencontres. La Mutuelle Européenne, un moyen de diversification géographique Etat des lieux

Rencontres. La Mutuelle Européenne, un moyen de diversification géographique Etat des lieux Rencontres La Mutuelle Européenne, un moyen de diversification géographique Etat des lieux Pedro Bleck da Silva Président du Groupe de Travail Mutualité Association Internationale de la Mutualité (AIM)

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

ALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales

ALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales Août 2009 ALGERIE Loi de finances complémentaire pour 2009 Mesures fiscales Comme tous les ans le gouvernement algérien a adopté fin juillet une loi de finances complémentaires (LFC) pour 2009 (Ordonnance

Plus en détail

SECTION NATIONALE DU DROIT DES ASSURANCES DE L ASSOCIATION DU BARREAU CANADIEN

SECTION NATIONALE DU DROIT DES ASSURANCES DE L ASSOCIATION DU BARREAU CANADIEN Mémoire sur : Les relations entre assureurs et intermédiaires Document de consultation SECTION NATIONALE DU DROIT DES ASSURANCES DE L ASSOCIATION DU BARREAU CANADIEN Septembre 2005 TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires

Plus en détail

Big Data et le droit :

Big Data et le droit : Big Data et le droit : Comment concilier le Big Data avec les règles de protection des données personnelles? CRIP - Mercredi 16 Octobre 2013 Yann PADOVA, avocat Baker & McKenzie SCP est membre de Baker

Plus en détail

Commande publique. 1. Une question délicate : la détermination du champ d application de l article 2.I. de la loi «MURCEF»

Commande publique. 1. Une question délicate : la détermination du champ d application de l article 2.I. de la loi «MURCEF» Compétence juridictionnelle à l égard des contrats d assurance souscrits par les personnes publiques : retour vers une interprétation raisonnable de la loi «MURCEF» Par Florence Caille La première chambre

Plus en détail

GARANTIE LEGALE DU VENDEUR

GARANTIE LEGALE DU VENDEUR GARANTIE LEGALE DU VENDEUR L ensemble des biens achetés auprès d Apple, y compris les biens qui ne sont pas de la marque Apple, sont couverts par la garantie légale de deux ans du vendeur contre les défauts

Plus en détail

Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation

Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Vue d ensemble du Processus de consultation et de participation Société financière

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

Communiquer efficacement : la stratégie du «30-3-30»

Communiquer efficacement : la stratégie du «30-3-30» Communiquer efficacement : la stratégie du «30-3-30» Intervenants Olivier Chaduteau Associé-fondateur du cabinet Day One Pierre-François Le Roux expert-comptable Pays de Loire Sommaire Préliminaire Se

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre

Plus en détail

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE

LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation

Plus en détail

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE sous réserve de validation des modifications Niveau : MASTER année Domaine : Mention : DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT M2 Spécialité : FINANCE 120 ES Volume horaire étudiant : 335 h 35 h

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

Code AFEP-MEDEF Un an après les nouvelles dispositions

Code AFEP-MEDEF Un an après les nouvelles dispositions Code AFEP-MEDEF Un an après les nouvelles dispositions Mai 2014 Sommaire 1. Les évolutions de juin 2013 2 1.1 L origine de l évolution 1.2 Sociétés concernées 1.3 Principales évolutions du code 2. Les

Plus en détail

Fonds d investissement Tangerine

Fonds d investissement Tangerine Fonds d investissement Tangerine Prospectus simplifié Portefeuille Tangerine revenu équilibré Portefeuille Tangerine équilibré Portefeuille Tangerine croissance équilibrée Portefeuille Tangerine croissance

Plus en détail

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002

Plus en détail

La gouvernance dans les grandes associations et fondations

La gouvernance dans les grandes associations et fondations La gouvernance dans les grandes associations et fondations Institut Français des Administrateurs Evaluer son Conseil d administration 7 rue Balzac 75008 PARIS Tel. : 01 55 65 81 32 - email : contact@ifa-asso.com

Plus en détail

2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009

2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009 L apport de la sociologie des professions 1 à une définition positive des professions libérales. Il est très difficile de trouver une définition «positive» des professions libérales, souvent les professions

Plus en détail

Implanter un tableau de bord stratégique de type «Balanced ScoreCard» en contexte PME : pourquoi et comment?

Implanter un tableau de bord stratégique de type «Balanced ScoreCard» en contexte PME : pourquoi et comment? Implanter un tableau de bord stratégique de type «Balanced ScoreCard» en contexte PME : pourquoi et comment? Le cas «Didan Sport SPRL» 22 avril 2005 Institut des Experts-Comptables, Verviers Par Didier

Plus en détail

PGE 2 Fall Semester 2015. Purchasing Track. Course Catalogue. Politique, Stratégie & Performance des Achats p. 2

PGE 2 Fall Semester 2015. Purchasing Track. Course Catalogue. Politique, Stratégie & Performance des Achats p. 2 PGE 2 Fall Semester 2015 Purchasing Track Course Catalogue Politique, Stratégie & Performance des Achats p. 2 Méthodes Outils associés au Processus Opérationnel des Achats p. 3 Gestion d un Projet Achat

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION

LA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION Incidences du passage aux IFRS sur la comptabilité du secteur public PAR JIM KEATES, DIRECTEUR DE PROJETS, CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC, L INSTITUT CANADIEN DES COMPTABLES AGRÉÉS

Plus en détail

QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS?

QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS? QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS? Ces questions concernent toutes les associations loi de 1901. Concernant les associations sportives, des exigences particulières peuvent être demandées par vos fédérations

Plus en détail

Mon Master à l ESTIM

Mon Master à l ESTIM Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique L Ecole Supérieure des Technologies d Informatique et de Management Mon Master à l ESTIM Livret des études «A l ESTIM Business School

Plus en détail

La Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer

La Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque

Plus en détail

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Retour sur l expérience Marketing live Lexik/Yatooprint 1 ère partie

Retour sur l expérience Marketing live Lexik/Yatooprint 1 ère partie Retour sur l expérience Marketing live Lexik/Yatooprint 1 ère partie Dans le cadre du salon Connec sud Lexik et sa filiale Yatooprint se sont associés pour réaliser une expérience marketing en direct afin

Plus en détail

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la

Plus en détail

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre

Plus en détail

Mise à jour du Manuel de l ICCA

Mise à jour du Manuel de l ICCA Normes et règlements Montréal, le 30 mars 2004 Mise à jour du Manuel de l ICCA La collection Normes et recommandations de l'icca sur Internet a été mise à jour pour refléter les modifications apportées

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Intitulé du métier ou de l activité : Avocat

FICHE TECHNIQUE. Intitulé du métier ou de l activité : Avocat Codification NAA : KK 74.11 Codification ONS : 74 11 Codification CNRC : / FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Avocat Inscription de l activité : au tableau de l ordre des avocats Observation

Plus en détail

Contrôle interne Le nouveau cadre prudentiel

Contrôle interne Le nouveau cadre prudentiel Contrôle interne Le nouveau cadre prudentiel ASF Formation 10 février 2015 Sommaire 1. Introduction 2. Focus sur le nouvel arrêté relatif au contrôle interne 3. Les principales mesures de transposition

Plus en détail

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques

Plus en détail

Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009

Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009 Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009 Position du BEUC

Plus en détail

Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre

Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Principes de base Durant le premier semestre, vous serez amenés à remettre un travail effectué en groupe. Le but de celui-ci est de s intéresser

Plus en détail

Al Maali Islamic Finance Consulting & Optima-Finance Consulting organisent une série de séminaires en Finance Islamique

Al Maali Islamic Finance Consulting & Optima-Finance Consulting organisent une série de séminaires en Finance Islamique OPTIMA FINANCE Consulting Al Maali Islamic Finance Consuling www.miifb.com P.O. Box 483020- Dubai Casablanca 20 380 Tel: +97142942242 Tél: (212) 5 22 98 82 43 OPTIMA FINANCE Consulting 264, Route d'el

Plus en détail

Informations générales

Informations générales PHARMACEUTICAL INSPECTION CONVENTION PHARMACEUTICAL INSPECTION CO-OPERATION SCHEME Informations générales PS/INF 71/2012 26 septembre 2012 Le schéma de coopération dans le domaine de l inspection pharmaceutique

Plus en détail

CHANTIRI-CHAUDEMANCHE Rouba

CHANTIRI-CHAUDEMANCHE Rouba CHANTIRI-CHAUDEMANCHE Rouba Associate professor rouba.chantiri@dauphine.fr Phone : 0144054352 Office : P607 Current Position - Status Department of attachment : MSO Education and qualification Ph.D. Sciences

Plus en détail

Systèmes d information et bases de données (niveau 1)

Systèmes d information et bases de données (niveau 1) Systèmes d information et bases de données (niveau 1) Cours N 1 Violaine Prince Plan du cours 1. Bibliographie 2. Introduction aux bases de données 3. Les modèles 1. Hiérarchique 2. Réseau 3. Relationnel

Plus en détail

Vous êtes marié avec un conjoint de

Vous êtes marié avec un conjoint de Divorce et résidence à l étranger Quel tribunal peut-on saisir? Les époux peuvent-ils choisir la loi applicable à leur divorce? Sous quelle forme? À défaut, quelle sera la loi applicable au divorce? Quels

Plus en détail

Le financement participatif : L état du droit luxembourgeois

Le financement participatif : L état du droit luxembourgeois Revue générale du droit Etudes et réflexions 2015 numéro 7 Actes du colloque organisé le 27 juin 2014 par le Centre juridique franco-allemand de l Université de la Sarre : Le Crowdfunding ou financement

Plus en détail

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s) P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités

Plus en détail

Il existe un certain nombre d activités qui sont interdites par l Islam, ou haram en arabe.

Il existe un certain nombre d activités qui sont interdites par l Islam, ou haram en arabe. Qu est ce que la finance islamique (FI)? La Finance Islamique est l ensemble des instruments financiers qui ont été adoptés suivant les principes de l islam. La FI généralement réduite à l interdiction

Plus en détail

Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences

Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Les imperfections de concurrence dans l industrie bancaire : spécificités et conséquences Entretiens Enseignants Entreprises Jean-Paul POLLIN 30 août 2012 Laboratoire d Economie d Orléans (LEO) 1 Plan

Plus en détail

Solution Progiciel de Gestion Intégrée

Solution Progiciel de Gestion Intégrée Solution Progiciel de Gestion Intégrée INTEGRATED DIGITAL SYSTEMS 2014 Notre savoir-faire en développement des solutions de PGI remonte en 1991. La Gamme de Logiciels Financiers LIBRA a été implémentée

Plus en détail

L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1

L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1 L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies

Plus en détail

Foire Aux Questions Cocagne Investissement

Foire Aux Questions Cocagne Investissement Foire Aux Questions Cocagne Investissement POURQUOI SOUSCRIRE?... 1 En quoi Cocagne Investissement est-il un fonds citoyen et solidaire?... 1 Quelles sont les modalités d intervention de Cocagne Investissement

Plus en détail

Stratégie Tier 2 : Quels avantages pour votre entreprise?

Stratégie Tier 2 : Quels avantages pour votre entreprise? Stratégie Tier 2 : Quels avantages pour votre entreprise? Les décideurs ont beaucoup à gagner de l intégration des données de gestion externes et internes, afin d assurer la disponibilité des informations

Plus en détail

Credit Suisse Invest Le nouveau conseil en placement

Credit Suisse Invest Le nouveau conseil en placement Credit Suisse Invest Le nouveau conseil en placement Vos besoins au centre Credit Suisse Invest Mandate Expert Partner Compact 2 / 20 4 Des arguments qui font la différence Profitez d un conseil en placement

Plus en détail

la séparation totale des activités des postes et télécommunications;

la séparation totale des activités des postes et télécommunications; LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,

Plus en détail

TRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé. Shadow IT, la menace fantôme. Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques.

TRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé. Shadow IT, la menace fantôme. Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques. TRIBUNE BRAINWAVE GOUVERNANCE ET SéCURITé Shadow IT, la menace fantôme Une tendance irréversible mais pas dénuée de risques. Par Sébastien Faivre Chief Marketing Officer de Brainwave Shadow IT, la menace

Plus en détail

les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux

les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux Personnes et familles Vie familiale / vie à deux les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux www.notaires.paris-idf.fr Vie familiale, vie à deux LES CONTRATS DE MARIAGE ET LES RÉGIMES MATRIMONIAUX

Plus en détail

Prise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs

Prise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs Prise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs Les notaires d Europe réunis au sein du CNUE suivent avec grand intérêt les travaux des

Plus en détail

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps

Plus en détail

Règles concernant les avantages accessoires du secteur parapublic

Règles concernant les avantages accessoires du secteur parapublic Règles concernant les avantages accessoires du secteur parapublic Apprenez-en davantage au sujet de la Directive applicable aux avantages accessoires du secteur parapublic. Au sujet de la Directive applicable

Plus en détail

FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION

FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du

Plus en détail

Outsourcing : la sauvegarde en ligne des données de l entreprise.

Outsourcing : la sauvegarde en ligne des données de l entreprise. Outsourcing : la sauvegarde en ligne des données de l entreprise. Sur quels marchés votre entreprise de Sauvegarde en Ligne évolue t elle? Dans un contexte de montée en puissance de l insécurité, les solutions

Plus en détail