Charançon du bourgeon terminal & grosse altise : état des résistances et conséquences sur la stratégie de lutte

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1 RTR Décembre 2015 Zone Nord & Est Charançon du bourgeon terminal & grosse altise : état des résistances et conséquences sur la stratégie de lutte Laurent Ruck Terres Inovia L. Ruck, C. Robert, M. Leflon Terres Inovia

2 Plan de l intervention Rappels de biologie Résistances, les mécanismes en jeu Méthodologie mise en oeuvre Résultats du monitoring Résultats insecticides Conséquences pour la stratégie de lutte 2

3 Quelques rappels sur le cycle du charançon et de la grosse altise

4 La grosse altise alimentation sur cotylédons et feuilles, ponte dans le sol diapause estivale vol été automne hiver montée des larves dans les pétioles nouvelle génération printemps développement des larves dans les pétioles nymphose dans le sol

5 Le charançon du bourgeon terminal vol ponte dans les pétioles diapause estivale été automne hiver printemps développement des larves dans les pétioles et le cœur des plantes nouvelle génération (fin floraison) nymphose dans le sol Bourgeon terminal entamé port buissonnant au printemps

6 Résistances Les phénomènes en jeu 6

7 Mécanismes de sélection de populations résistantes Les produits phytosanitaires ne fabriquent pas la résistance mais la révèlent. 4 facteurs sont nécessaires: 1. La mutation résistante doit exister dans la population. 2. Une proportion de la population doit être contrôlée par l insecticide (individus sensibles). 3. Une proportion doit survivre à l agent de sélection (individus résistants). 4. Les survivants doivent se reproduire et transmettre la résistance à la génération suivante. Application Reproduction de l insecticide 7

8 Les grands mécanismes de la résistance aux pyréthrinoïdes Détoxification (surproduction d une enzyme) : résistance métabolique Modification de la cible par mutation (l insecticide se fixe moins bien) La modification de gènes impliqués dans la résistance peut avoir des effets collatéraux (positif ou négatif) sur d autres caractères (ex: reproduction, fitness, sensibilité à d autres facteurs ) 8

9 Caractéristiques des différents mécanismes de résistance aux pyréthrinoïdes Ces caractéristiques sont variables selon les espèces concernées. Les informations regroupées dans ce tableau sont une synthèse de ce qui a pu être établi sur d autres espèces et reste à vérifier sur l altise d hiver et le CBT Caractéristiques Nombre de mutations impliquées Niveau de résistance (estimation sur d autres espèces) Effet pléiotrope : perte de fitness Résistance métabolique Résistance par mutation de cible kdr Super kdr Plusieurs 1 1 Résistance progressive niveau variable faible à moyenne Élevé à très élevé Elevé Faible Elevé Risque de résistances croisées (IMPREVISIBLE) Souvent POSITIVES (pyréthrinoïdes, néonicotinoïdes, organophosphoré ) NON NON Expression différente selon stade (adultes ou larves) POSSIBLE NON NON 9

10 Risques si maintien de l utilisation massive de pyréthrinoïdes Sélection de mécanismes de résistance de type super kdr Augmentation du niveau de résistance métabolique et de résistances croisées positives. Vers une inefficacité totale des pyréthrinoïdes au champ, mais également une baisse d efficacité des autres familles chimiques Réversibilité de la résistance aux pyréthrinoïdes? La réversibilité dépend : Du coût de la résistance De la quantité d insectes sensibles restant dans l environnement De l utilisation des insecticides La réversibilité totale de la résistance aux pyrèthres est presque impossible et très longue 10

11 Comment gérer les résistances, en théorie: Règles Efficacité pour gérer les : Limiter les interventions Alterner les modes d actions (temps et espace) Mélanges (associations de produits) Ajouter un inhibiteur d enzyme de détox. Augmenter les doses Résistances métaboliques ou détox. OUI Pas toujours (risque d apparition de résistances croisées) Pas toujours (Risque de sélection de résistances croisées positives) OUI OUI, à très court terme (Augmentation du niveau de résistance + risque de sélection de résistances croisées positives) Résistances par mutation de cible OUI OUI OUI (Les deux modes d action doivent être efficaces) NON OUI sur Kdr à très court terme, NON sur skdr (risque de sélection de s kdr) 11

12 Comment identifier les mécanismes de résistance? 12

13 Détermination des mécanismes de résistance : test biologique 1 Gamme d insecticide dans acétone puis évaporation 3 Dénombrement des insectes morts/vivants au bout de 24h 2 Introduction d environ 25 insectes par flacon Permet d identifier la présence d une résistance et de mesurer son niveau quelque soit le mécanisme en jeu 13

14 Détermination des mécanismes de résistances aux pyréthrinoïdes 1/ Résistances métaboliques L insecte résistant surproduit des enzymes lui permettant d atténuer l effet des pyréthrinoïdes. Ce type de résistance est mis en évidence sur insectes vivants (test flacon) en ajoutant un ou des inhibiteurs de ces enzymes (3 grands types d enzymes en jeu) Test insecticide en présence des 3 inhibiteurs (PBO, DEM, DEF) PBO restaure efficacité DEM et DEF ne restaurent pas d efficacité = témoin Mécanisme en jeu mono-oxygénase à cytp450 14

15 Détermination des mécanismes de résistances aux pyréthrinoïdes 2/Mutation au niveau du gène du canal sodium Résistance aux pyréthrinoïdes: super kdr ATATCCATTATGGGCAGAACAATGGGTGCTTTAGGTAATCTAACCTTCGTGTTGTGTATTATTATATTTATATTCGCTGTGATGG GTATGCAACTTTTCGGCAAAAATTATACGGGTAAGGACATTGGGTAAAATATGTATGTAAGTTCGATTGATATTTTATGTCATGT TCTTTTCAGATAACGTGGACAGGTTTCCGGACCACGATCTACCTCGTTGGAATTTCACGGATTTTATGCATTCTTTTATGATAGT GTTTAGAGTGTTATGCGGGGAATGGATAGAATCGATGTGGGACTGTATGTTGGTCGGTGATGTGTCCTGTATTCCCTTCTTTTTG GCCACTGTGGTTATCGGTAATCTTGTGGTAAGTACTTGCTACTTGCTAGTT Tolérance aux pyréthrinoïdes: kdr Analyses moléculaires sur insectes morts (20-25) mais l ADN ne doit pas être dégradé. Analyse individu par individu. L insecte doit être plongé vivant dans de l alcool à 96 non dénaturé pour conserver l ADN. 15

16 Étapes pour déterminer les principaux types de résistance TEST FLACON Insecticide seul Résistance oui/non + niveau de résistance TEST FLACON Insecticide+/- inhibiteur Détection de résistances métaboliques ANALYSE MOLECULAIRE Détection de résistance par mutation cible (kdr ou s kdr) 16

17 Résultats du monitoring résistances sur altises d hiver et ch. du bourgeon terminal 17

18 Etat des résistances en Europe sur les ravageurs du colza Pucerons verts Résistance aux pyréthrinoïdes et au pyrimicarbe sur colza. Résistance aux néonicotinoïdes sur pêchers France: résistance par détoxification et mutation de cible Méligèthes Résistance aux pyréthrinoïdes dans de nombreux pays d Europe France: résistance par détoxification Altises d hiver Résistances détectées dans le Nord de l Allemagne et au Royaume-Uni Résistance par mutation de cible Charançon des siliques Résistances détectées en Allemagne. 18

19 Taux de mortalité du CBT à la dose de référence de 15 ng/cm2 (lambda-cyhalothrine) * * * * * * * ng = nanogramme (10-9 g) Cher 18.8 ng/cm 2 Cher Loiret Yonne Aube Jura Autres départements 19

20 Cartographie des résultats CBT Analyses SYNGENTA - Détection de mutations kdr en fortes proportions dans le Centre - Situation plus variable dans l Yonne, l Aube et le Jura. (Attention: mutations super kdr sans doute non recherchées) 20

21 Résultats des tests flacons (lambdacyhalothrine tests sur adultes de grosses altises) Les tests en flacons révèlent une moindre sensibilité des populations de l Yonne 21

22 Résistance par détoxification (tests sur adultes de grosses altises) Pour 4 lots de l Yonne résistants pour lesquels un test de détection de résistance métabolique a été fait, 2 lots présentent ce type de résistance 22

23 Résistances par mutations de cible 39 analyses en 2015 sur larves de grosses altises 1 Nombre d échantillons 3 Mutation kdr recherchée Répartition des échantillons analysés 23

24 Résistances par mutations de cible 39 analyses en 2015 sur larves de grosses altises R: allèle résistant; S: allèle sensible Seules les mutations kdr ont été recherchées par l IRAC 24

25 Résultats des tests flacons (lambda-cyhalothrine tests sur adultes de grosses altises) Mutations super kdr trouvées sur 4 lots d insectes originaires de l Yonne par le laboratoire de Terres Inovia 25

26 Résistances identifiées Charançon bourgeon terminal Grosse altise Perte de sensibilité oui oui Mutation cible kdr oui oui Mutation cible s kdr Test en cours d élaboration Oui sur qq échantillons Détoxification Manque d échantillon Oui sur qq échantillons Actuellement le nombre d échantillons est trop faible pour faire une cartographie précise Il manque également des échantillons d adultes suffisamment importants pour faire un maximum de tests sur une même population. 26

27 Résultats insecticides alternatives aux pyréthrinoïdes Jusqu à la récolte colza 2015 (résultats présentés), le niveau de sensibilité aux pyréthrinoïdes des altises ou des charançons du bourgeon terminal n est pas connu dans les essais 27

28 Résultats insecticides charançon du bourgeon terminal 1 seule application visant les adultes Vol jours à premières pontes Référence = Decis Protech 0.33 l/ha 28

29 Charançon du bourgeon terminal PROTEUS l/ha 14 essais sortie hiver et printemps : 2007 à 2014 Sortie hiver : % plantes avec au moins une larve dans témoin de 20 à 100%, 65% en moyenne Printemps : % plantes buissonnantes dans témoin de 17 à 84%, 41% en moyenne DECIS PROTECH et PROTEUS sont significativement moins touchés que le témoin non traité 29

30 Charançon du bourgeon terminal NURELLE D l/ha, RELDAN 2M 1.5 l/ha et DASKOR l/ha 9 essais sortie hiver et 10 essais printemps de 2012 à Sortie hiver : % plantes avec au moins une larve dans témoin de 28 à 100%, 70% en moyenne Printemps : % plantes buissonnantes dans témoin de 17 à 97%, 54% en moyenne NURELLE D550, RELDAN 2M et DASKOR 440 sont équivalents à la référence DECIS PROTECH et significativement moins touchés que le témoin non traité 30

31 Charançon du bourgeon terminal HOREME V ou 0.25 kg/ha 4 essais sortie hiver et printemps de 2007 à Sortie hiver : % plantes avec au moins une larve dans témoin de 20 à 95%, 59% en moyenne Printemps : % plantes buissonnantes dans témoin de 10 à 84%, 32% en moyenne HOREME V200 est équivalent aux références DECIS PROTECH et PROTEUS en sortie hiver mais en tendance inférieur au printemps. 31

32 Charançon du bourgeon terminal pyréthrinoïde particulier : TREBON 30EC 0.2 l/ha 3 essais sortie hiver de 2007 et % plantes avec au moins une larve dans témoin de 20 à 95%, 60 % en moyenne TREBON 30EC est équivalent à la référence DECIS PROTECH et significativement différent du témoin. 32

33 Charançon du bourgeon terminal bilan efficacité sortie hiver Les indices d efficacité présentés sont calculés à partir du nombre de larves par plante moyen. Les analyses statistiques sont réalisées sur le nombre de larves par plante. Nombre d essais % attaque témoin 14 essais 65% 9 essais 70% 4 essais 59% 3 essais 60% DECIS PROTECH PROTEUS NURELLE D550 RELDAN 2M à 40 DASKOR 440 HOREME V200* Différent du témoin et 30 TREBON 30EC Différent du témoin et équivalent référence équivalent référence Différent du témoin et équivalent référence 45 Différent du témoin et 30 équivalent référence si suspicion de résistance, utiliser une association organophosphoré + pyréthrinoïde sinon un pyréthrinoïde seul (en l absence de problème altise). Pas d organophosphoré seul. Différent du témoin et Néonicotinoïde seul à réserver aux pucerons. équivalent référence Néonicotinoïde + pyréthrinoïde uniquement si présence simultanée pucerons * 0.2 ou 0.25 kg/ha 33

34 Résultats insecticides altise d hiver adulte et larves Larves : 1 seule application courant novembre (2-3 larves par plante) et comptages sortie hiver Adultes : 1 seule application (environ 30-50% plantes avec morsures) Référence = Decis Protech 0.33 l/ha 34

35 Larve de grosse altise PROTEUS l/ha 13 essais de 2007 à 2015 Témoin non traité : 1 à 13 larves/plante 5.5 en moyenne PROTEUS est significativement différent du témoin et équivalent à la référence DECIS PROTECH 35

36 Larve de grosse altise pyréthrinoïdes particuliers Trebon 30EC 0.2 l/ha et Mavrik Flo 0.2 l/ha TREBON 30EC 7 essais 2007 à 2015 (1 à 13 larves/plante 5.2 en moyenne) MAVRIK FLO 3 essais 2014 et 2015 (1 à 13 larves/plante 4.4 en moyenne) TREBON 30 EC est significativement différent du témoin mais inférieur à la référence DECIS PROTECH. MAVRIK FLO n est pas différent du témoin et inférieur à la référence DECIS PROTECH 36

37 Larve de grosse altise Horême V kg/ha 4 larves/plante en moyenne dans témoin entrée hiver et 2.2 sortie hiver 1 seul essai HOREME V * kg/ha est en tendance inférieur à DECIS PROTECH et PROTEUS. * Dose pucerons 37

38 Larve de grosse altise organo-phosphoré seul ou associé RELDAN 2M, DASKOR essais 2012 et de 4 à 11 larves/plante dans témoin 6.7 larves par plante en moyenne sortie hiver RELDAN 2M est différent du témoin mais inférieur à la référence DECIS PROTECH DASKOR 440 est équivalent à la référence DECIS PROTECH 38

39 Lutte contre les adultes protection plantes Agen et En Crambade 2014 % plantes avec +de ¼ SF détruite à T+7jours Témoin : 60.1 % Organo P. Pyréthrinoïdes OP+pyr. 39

40 Lutte contre les adultes protection plantes Agen et En Crambade 2014 % plantes avec +de ¼ SF détruite à T+14jours Témoin : 68.2 % Pyréthrinoïdes Organo P. OP+pyr. 40

41 Grosse altise larves : bilan efficacité Les indices d efficacité présentés sont calculés à partir du nombre de larves par plante moyen. Les analyses statistiques sont réalisées sur le nombre de larves par plante. Nombre larves dans témoin (nb essais) DECIS PROTECH PROTEUS TREBON 30 EC MAVRIK FLO RELDAN 2M DASKOR 440 HOREME V (13) Différent du témoin et équivalent référence 5.2 (7) différent du témoin et < référence 6.6(3) comparable au témoin et < référence 6.7 (6) (6) *3.1 (1) *55 *55 *40 *Moyenne entrée et sortie hiver 1 seul essai Différent du témoin et < référence Différent du témoin et équivalent référence Intermédiaire entre témoin et références Sur larves de grosse altise: si suspicion de résistance, utiliser une association organophosphoré + pyréthrinoïde sinon un pyréthrinoïde «classique» seul. Pas d organophosphoré seul. Néonicotinoïde seul à réserver aux pucerons. Néonicotinoïde + pyréthrinoïde uniquement si présence simultanée pucerons 41

42 Grosse altise adulte : bilan efficacité Si une intervention est nécessaire utiliser un organophosphoré seul : BORAVI WG (+ acidifiant) supérieur aux chlorpyriphos. Eventuellement si absence de résistance: pyréthrinoïde classique ou association organophosphoré + pyréthrinoïde qui exercera une pression de sélection moins forte que des pyréthrinoïdes seuls. Si présence simultanée de pucerons, association néonicotinoïde + pyréthrinoïde 42

43 Stratégie de lutte et contraintes réglementaires 43

44 Le contrôle des larves d altise ne passe pas par la lutte contre les adultes La lutte contre les adultes se justifie si la survie de la culture est en jeu. La lutte contre les larves se raisonne indépendamment. 44

45 Rappels réglementaires 1 L utilisation des chlopyriphos (1) seuls ou associés (par ex NURELLE D550/GEOTION XL, PYRINEX ME, RELDAN 2M, DASKOR440) est réglementairement limitée à une application de produit commercial par an ou par campagne sur une parcelle. Cas particulier PYRINEX ME : pour protéger les oiseaux et les mammifères, ne pas appliquer ce produit ou tout autre produit contenant du chlorpyriphos-éthyl ou du chlorpyriphos-méthyl plus d une fois par an sur la même parcelle (ré-évaluation 2015). BORAVI WG (phosmet) peut être appliqué 2 fois en respectant un intervalle minimal de 7 jours. (1) A ce jour pour les chlorpyriphos, seuls les usages de NURELLE D550/GEOTION XL et PYRINEX ME sont recommandés par les firmes détentrices. 45

46 Rappels réglementaires 2 L utilisation de PROTEUS sur grosse altise ou charançon du bourgeon terminal n est possible que si présence simultanée de pucerons. La famille des néonicotinoïdes est aujourd hui la seule efficace sur le puceron vert du colza résistant aux pyréthrinoïdes et au pyrimicarbe. A réserver donc en priorité pour cet usage. Sont concernés : PROTEUS association thiachlopride + deltaméthrine HOREME V200 : acétamipride 46

47 Des insecticides à utiliser en dernier recours Le moyen la plus efficace pour limiter la résistance consiste à réduire au maximum les interventions! 1- Mettre en œuvre les mesures préventives Favoriser la croissance des colza (taille, dynamique) : date de semis, engrais starter, roulage Associer colza et légumineuses notamment pour le CBT 2- N utiliser les insecticides que si la survie de la culture est mise en péril Révision des règles de décision en cours Recherche et test de nouvelles solutions chimiques et biocontrôle pour alterner les modes d action 47

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