Modélisation des interactions vagues / solide Stéphane Abadie
|
|
- Thérèse Martineau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Modélisation des interactions vagues / solide Stéphane Abadie Contribution : C. Mokrani (post-doc), B. Ducassou (doc), M. Roboam (M1)
2 SIAME EA 4581 IPRA Equipe Mécanique (17 EC) Groupe IVS ISABTP Campus Montaury - Anglet
3 1. Introduction 3
4 1. Introduction 1.1 Positionnement du problème Interface complexe air Solide fixe eau 4
5 1. Introduction 1.1 Positionnement du problème Interface complexe solide mobile Ω i M F i Torseur externe 5
6 1. Introduction 1.2 Applications : Houlomoteur Colonne d'eau oscillante Houlomoteur Système Oyster (Aquamarine) 6
7 1. Introduction 1.2 Applications : Sollicitations/survivabilité Blocs mobiles? Digue verticale Digue à talus Houlomoteur Mutrilu 7
8 1. Introduction 1.2 Applications : Tsunamis 8
9 1. Introduction 1.2 Applications : Tsunamis Transport de structures et débris Potentiel d'évènements historiques 9
10 1. Introduction 1.2 Applications : Tsunamis Tsunamis générés par glissement de terrain 10
11 1. Introduction 1.2 Applications : Ballottement Atténuation de la résonance 11
12 2. Le modèle numérique 12
13 2. Le modèle numérique 2.1 Généralités Développé à l'i2m Bordeaux depuis 20 ans Solveur Navier-Stokes multifluide Vitesse/pression sur grille décalée Volumes finis Lagrangien augmenté ou projection VOF Parallèle MPI 13
14 2. Le modèle numérique 2.2 Navier-Stokes multifluide & domaines fictifs Densité : Moyenne arithmétique air, air M s li de Viscosité : Moyenne harmonique?, sli de Poreux ou solide fixe Formulation Brinkman ρ( M )( water, water U =0 U μu +(U )U )+B u (U U )+ =ρ( M ) g P + ((μ ( M )+μ T ( M ))( U + t U )) t K Terme de pénalisation (CL ou interne) RANS ou LES (mixte) 14
15 2. Le modèle numérique 2.3 Méthode VOF F=0.5 F=0.03 F=0 PLIC F=1 F=0.5 F=1 F=0.85 F=0 F=0.5 Épaisseur de régularisation f + (a f )=0 t Pianet et al.,
16 3. Interaction vague/solide mobile 16
17 3. Interaction vague / solide mobile 3.1 Position du problème Centre de rotation Champ de vagues solide mobile C Ω i M F i Torseur externe 1. Problème de l'interaction 17
18 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Maillage externe à Ω P n ds=m γ S S 18
19 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Maillage déformable! Ω 19
20 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Domaines fictifs Ω Navier-Stokes Navier-Stokes + pénalisation 20
21 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Ω ρ( U +(U )U )=ρ g P + (μ( U + t U )) t 0! Si résolution converge Contrainte de rigidité 21
22 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Ω ρ( U +(U )U )=ρ g P + (μ ( U + t U )) t Ritz (1998), Abadie et al. (2010), Vincent et al., (2014) Mouvement solide autorisé (translation et rotation) Interaction «naturelle» (pas de calcul de P à l'interface) ~ Pa.s 0! 22
23 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Critère de rigidité? - borne sup taux déformation local E ( M )= (ϵ I ( M )2 + ϵii ( M )2 ) Ω M - paramètre de contrôle t simul D= max Ω ( E ( M )) dt t=0 =5.107 D <
24 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Exemples d'application : tsunamis généré par un glissement rigide t=0.5s Vertical Slide displacement t=1 s t=0.5s 24
25 3. Interaction vague / solide mobile 3.2 Méthode de pénalisation par la viscosité Exemples d'application : tsunamis généré par un glissement rigide Abadie et al., CENG,
26 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Rappel + amortissement Pour un solide rigide : Torseur externe ponctuel?? Ω f d Ω R ^ f d Ω M Ω OM 26
27 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures f e + Rappel amortissement Rappel + amortissement Ω Torseur externe ponctuel U ρ( +(U )U )+ Bu (U U )=ρ g P + (μ( U + t U )) + f e t 0! 27
28 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en translation ρ( U +(U )U )+ Bu (U U )=ρ g P + (μ( U + t U ))+ f e t 1 f e = Ω (k x +ν x ) x x (t )= u( M, t) d Ω Ω t x (t )=x 0 + u( M,t ) dt t0 28
29 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en translation Comparaison THETIS / eqt diff + runge Kutta Sous critique critique 29
30 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en translation Application : atténuation du sloshing 30
31 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en translation Application : atténuation du sloshing Projet ECOS SUD en cours d'analyse... 31
32 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en translation Application : atténuation du sloshing 32
33 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en rotation imposition centre de rotation Ω (C )= V 0!!??? C Axe de rotation U μu ρ( +(U )U )+ Bu (U U )+ =ρ g P + ((μ ( M )+μ T ( M ))( U + t U )) t K 33
34 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en rotation θrot = θinit + θ rot. δ t θ rot = nm δ x ( M )² + δ y ( M )² RM nm Rappel + amortissement Mvt en rotation [ k x. δ x c x. δ x Fv ( M ) = Fv t ( M ) + Fv r ( M )= k y. δ y c y. δ y 0 ] [ γ.θrot.sin (θ M ) c. θ rot. sin (θm ) rm rm + γ.θrot. cos(θ M ) c. θ rot. cos(θ M ) rm rm 0 ] 34
35 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en rotation 35
36 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en rotation Comparaison THETIS / eqt diff + runge Kutta Rappel + amortissement Rappel 36
37 3. Interaction vague / solide mobile 3.3 Torseur des forces extérieures Mouvement en rotation Projet EMACOP : étude rendement = f(k,c) et survivabilité système Oyster 37
38 4. Pressions générées par le déferlement sur un obstacle fixe 38
39 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.1 Position du problème Engineering Quelles sont les sollicitations sur la structure?? Dimensionnement des structures (Digues, EMR, etc...) 39
40 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.1 Position du problème Aspects physiques 40
41 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.1 Position du problème Aspects physiques Air dissous (compressibilité) Pressions instantanées chaotiques Effet de surface libre Impulsion de pression stable (cf. Cooker & Peregrine) Air piégé 41
42 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.2 Impacts faciles. cas du soliton 42
43 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.3 Jet triangulaire 43
44 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.3 Jet triangulaire 44
45 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.3 Jet triangulaire 45
46 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.3 Jet triangulaire =70, rôle de la régularisation de phase 46
47 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.3 Jet triangulaire From Lugni et al Où est la réalité?? Validité de la Condition limite P=cste à la surface libre?? 47
48 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.3 Jet triangulaire Zone instable physique et numérique 48
49 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.4 Conséquences?? 49
50 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.4 Conséquences 50
51 4. Impact du déferlement sur un obstacle fixe 4.5 Analogie du jet triangulaire 51
I. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailContribution à l étude de l écoulement dans un milieu compressible
Contribution à l étude de l écoulement dans un milieu compressible Infusion de résine dans un composite déformable Pierre CELLE *, Sylvain DRAPIER *, Jean-Michel BERGHEAU ** * MeM / SMS (CELLE), BioMM
Plus en détailRéalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale
Réalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale F. GUINOT a, S. BOURGEOIS a, B. COCHELIN a, C.HOCHARD a, L. BLANCHARD b a. Laboratoire de Mécanique et d Acoustique (LMA), 31
Plus en détailCHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté
CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailDéveloppement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort
Développement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort Thomas Delwiche, Laurent Catoire et Michel Kinnaert Faculté des Sciences Appliquées Service d Automatique
Plus en détailSYLLABUS SEMESTRE 9 Année 2011-2012
SYLLABUS SEMESTRE 9 2011-2012 Parcours GM «Génie Mer» Responsable : Olivier Kimmoun Tel.: 04 91 05 43 21 E-mail : olivier.kimmoun@centrale-marseille.fr TRONC COMMUN GM Nb heures élèves (hors examen) GMR-51-P-ELMA
Plus en détailFIMA, 7 juillet 2005
F. Corset 1 S. 2 1 LabSAD Université Pierre Mendes France 2 Département de Mathématiques Université de Franche-Comté FIMA, 7 juillet 2005 Plan de l exposé plus court chemin Origine du problème Modélisation
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détail(Edition de chèques)
(Edition de chèques) T.F. Informatique F-61570 ALMENECHES http://www.tfinformatique.com Chèques_Fac, est destiné à vous supprimer la corvée du remplissage des chèques, que ce soit à titre de fournisseur
Plus en détailRuntime. Gestion de la réactivité des communications réseau. François Trahay Runtime, LaBRI sous la direction d'alexandre Denis Université Bordeaux I
Runtime Gestion de la réactivité des communications réseau François Trahay Runtime, LaBRI sous la direction d'alexandre Denis Université Bordeaux I 1 Le calcul hautes performances La tendance actuelle
Plus en détailVI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)
Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLimitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing
Introduction Plan Limitations of the Playstation 3 for High Performance Cluster Computing July 2007 Introduction Plan Introduction Intérêts de la PS3 : rapide et puissante bon marché L utiliser pour faire
Plus en détailQuick Tower. Blocs verticaux nus Page 123. Quick Point. Plaques pour Quick Tower Page 124. Präge Fix. Makro Grip. Quick Point. Quick Tower.
Blocs verticaux nus Page 123 Plaques pour Page 124 119 - La solution idéale pour vos machines à broche horizontale Pour plaques ou 96 Grille de positionnement continue Compatible avec tous les systèmes
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailProjets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne
Projets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne Titre : «Comprendre la couleur» Public : Collégiens, Lycéens. Nombre de participants : 5 à 10 (10 Maxi ) Lieu : Campus Universitaire
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailLes calottes polaires Isostasie Champ de température
1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité
Plus en détailSYSTÈMES DE CONFÉRENCE. Système de conférence analogique CDS 4000 04. Système de conférence numérique DCS 6000 06
Système de conférence analogique CDS 4000 04 Système de conférence numérique DCS 6000 06 DIS, Danish Interpretation Systems, fait partie des fabricants les plus réputés de systèmes de conférences. DIS
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détailPour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients
Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire
Plus en détailSérie 77 - Relais statiques modulaires 5A. Caractéristiques. Relais temporisés et relais de contrôle
Série 77 - Relais statiques modulaires 5A Caractéristiques 77.01.x.xxx.8050 77.01.x.xxx.8051 Relais statiques modulaires, Sortie 1NO 5A Largeur 17.5mm Sortie AC Isolation entre entrée et sortie 5kV (1.2/
Plus en détailFormation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau
Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»
Plus en détailINTRODUCTION. 1 k 2. k=1
Capes externe de mathématiques : session 7 Première composition INTRODUCTION L objet du problème est l étude de la suite (s n n définie par : n, s n = Dans une première partie, nous nous attacherons à
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailExercice 1 Trouver l équation du plan tangent pour chaque surface ci-dessous, au point (x 0,y 0,z 0 ) donné :
Enoncés : Stephan de Bièvre Corrections : Johannes Huebschmann Exo7 Plans tangents à un graphe, différentiabilité Exercice 1 Trouver l équation du plan tangent pour chaque surface ci-dessous, au point
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailAlgorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome
Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailEric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle
Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi
Plus en détailIntroduction à l analyse numérique : exemple du cloud computing
Introduction à l analyse numérique : exemple du cloud computing Tony FEVRIER Aujourd hui! Table des matières 1 Equations aux dérivées partielles et modélisation Equation différentielle et modélisation
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailPrésentation des actions de la DGDDI cofinancées par le FFE et le FR
Séminaire d informations Présentation des actions de la DGDDI cofinancées par le FFE et le FR Jean-Christophe DELESTREES Adjoint au chef du bureau B2 Moyens d'intervention des services aériens et maritimes
Plus en détailModélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.
Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailExemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre
Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre 1 Démarche générale Avec Gambit Création d une géométrie Maillage Définition des conditions aux limites Avec Fluent 3D Choix des équations
Plus en détaillivreblanc REALISATION D UN RESEAU INFORMATIQUE AVEC L OFFRE DE COMPOSANT FOLAN CLASSIC LAN
livreblanc REALISATION D UN RESEAU INFORMATIQUE AVEC L OFFRE DE COMPOSANT FOLAN CLASSIC F LAN.net Introduction Ce livre blanc a pour but d aider les personnes intervenant dans la réalisation de réseaux
Plus en détailPhysique quantique et physique statistique
Physique quantique et physique statistique 7 blocs 11 blocs Manuel Joffre Jean-Philippe Bouchaud, Gilles Montambaux et Rémi Monasson nist.gov Crédits : J. Bobroff, F. Bouquet, J. Quilliam www.orolia.com
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailLeçon 01 Exercices d'entraînement
Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =
Plus en détail3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels
3ème séance de Mécanique des fluides Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait 1 Généralités 1.1 Introduction 1.2 Équation d Euler 1.3 Premier théorème de Bernoulli 1.4
Plus en détailGestion de projet. GanttProject Didacticiel V1.0. 23 novembre 2013. Gérard Gervois Frédéric Giamarchi
Gestion de projet GanttProject Didacticiel V1.0 23 novembre 2013 Gérard Gervois Frédéric Giamarchi Département G.E.I.I. I.U.T. de Nîmes Université Montpellier II Présentation GanttProject est un logiciel
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailOpenOffice Base Gestionnaire de Base de Données
OpenOffice Base OpenOffice Base Gestionnaire de Base de Données Version 2.3 / 2.4.1 Module d'introduction Document de présentation Contributions : Charles BURRIEL, Pauline CONSTANT, Frédéric PIRARD Jeffrey
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailElec II Le courant alternatif et la tension alternative
Elec II Le courant alternatif et la tension alternative 1-Deux types de courant -Schéma de l expérience : G -Observations : Avec une pile pour G (courant continu noté ): seule la DEL dans le sens passant
Plus en détailUne variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants)
CIVILITE-SES.doc - 1 - Une variable binaire prédictrice (VI) et une variable binaire observée (VD) (Comparaison de pourcentages sur 2 groupes indépendants) 1 PRÉSENTATION DU DOSSIER CIVILITE On s intéresse
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailProjet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals
Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals Pierre-Michel Guilcher, Olivier Payen, Aurélien Drouet, Erwan Jacquin Plan de l exposé Contexte général Définition
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailIntroduction : présentation de la Business Intelligence
Les exemples cités tout au long de cet ouvrage sont téléchargeables à l'adresse suivante : http://www.editions-eni.fr Saisissez la référence ENI de l'ouvrage RI3WXIBUSO dans la zone de recherche et validez.
Plus en détailAnalyse des Systèmes Asservis
Analyse des Systèmes Asservis Après quelques rappels, nous verrons comment évaluer deux des caractéristiques principales d'un système asservi : Stabilité et Précision. Si ces caractéristiques ne sont pas
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailBeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m
BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.
Plus en détailCréer son questionnaire en ligne avec Google Documents
Créer son questionnaire en ligne avec Google Documents (actualisation et précision de l article paru sur http://www.marketing- etudiant.fr/actualites/collecte-donnees.php) Se connecter avec son compte
Plus en détailLe turbo met les gaz. Les turbines en équation
Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception
Plus en détailLaboratoire de Photophysique et de Photochimie Supra- et Macromoléculaires (UMR 8531)
Unité Mixte du CNRS (UMR8531) Institut de Chimie Directeur : Keitaro NAKATANI (PU ENS Cachan) Courrier électronique : nakatani@ppsm.ens-cachan.fr http://www.ppsm.ens-cachan.fr Problématique générale :
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailSystème formé de deux points
MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailFiche technique CPU 314SC/DPM (314-6CG13)
Fiche technique CPU 314SC/DPM (3146CG13) Données techniques N de commande 3146CG13 Type CPU 314SC/DPM Information générale Note Caractéristiques SPEEDBus Technologie SPEED7 24 x DI, 16 x DO, 8 x DIO, 4
Plus en détailThermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE
MAKING MODERN LIVING POSSIBLE Fiche technique Thermostate, Type KP Les thermostats de type KP sont des commutateurs électriques unipolaires dont le fonctionnement est lié à la température (SPDT). Un thermostat
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailInnovation pour l intégration des systèmes
Innovation pour l intégration des systèmes PERFORMANCE MADE SMARTER PLATINE PR Solution de montage simple et fiable entre le système DCS/API/SIS et les isolateurs/interfaces S. I. TEMPÉRATURE INTERFACES
Plus en détailVERTELIS SUITE Suite logicielle pour optimiser votre performance énergétique
VERTELIS SUITE Suite logicielle pour optimiser votre performance énergétique Accompagnez votre démarche de performance énergétique Que vous soyez gestionnaire d énergie d un site industriel ou exploitant
Plus en détailNombre de marches Nombre de facons de les monter 3 3 11 144 4 5 12 233 5 8 13 377 6 13 14 610 7 21 15 987 8 34 16 1597 9 55 17 2584 10 89
Soit un escalier à n marches. On note u_n le nombre de façons de monter ces n marches. Par exemple d'après l'énoncé, u_3=3. Pour monter n marches, il faut d'abord monter la première. Soit on la monte seule,
Plus en détailefelec NOTES D'INFORMATIONS TECHNIQUES LES TESTS DIELECTRIQUES LES ESSAIS DE RIGIDITE ET D'ISOLEMENT
NOTES D'INFORMATIONS TECHNIQUES LES ESSAIS DE RIGIDITE ET D'ISOLEMENT efelec Parc d'activités du Mandinet - 19, rue des Campanules 77185 -LOGNES - MARNE LA VALLEE Téléphone : 16 (1) 60.17.54.62 Télécopie
Plus en détailProposition technique et financière pour Le raccordement Sur le réseau public de distribution électricité Raccordement de puissance < kva
Proposition technique et financière pour Le raccordement Sur le réseau public de distribution électricité Raccordement de puissance < kva Numéro d affaire : Etablie entre : Vialis, Gestionnaire de Réseau
Plus en détailQu est-ce qu un raccordement?
mars 2012 La prestation de raccordement : vue d ensemble pages 4/5 Votre demande de raccordement page 6 La proposition de raccordement d ERDF page 7 modalités de paiement prix du branchement Les travaux
Plus en détailCloud computing et sécurité
Cloud computing et sécurité Comparaison de systèmes chiffrés Rokhaya CISSE 1 1 2A ISI Grenoble INP -Ensimag 19 Mai 2015 Rokhaya CISSE Grenoble INP-Ensimag Comparaison de systèmes chiffrés 19 Mai 2015 1
Plus en détailCOMMENT FAIRE DES ESCALIERS?
COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR
Plus en détailConsignes d'utilisation de l'aérodrome de Saint Tropez-La Môle. Pour une exploitation en Transport public
Consignes d'utilisation de l'aérodrome de Saint Tropez-La Môle NOTE D INFORMATION A L ATTENTION DES OPERATEURS D APPAREILS DE MTOW INFERIEURE A 5.7t Pour une exploitation en Transport public Page 2 Consignes
Plus en détailL eau chaude sanitaire. Le confort et l efficacité.
EAU CHAUDE ÉNERGIES RENOUVELABLES CHAUFFAGE L eau chaude sanitaire. Le confort et l efficacité. CHAUFFE-EAUX INSTANTANÉS Chauffage de l eau décentralisé pour une haute efficacité énergétique 09 2012 Le
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailClassement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements
Plus en détailn N = u N u N+1 1 u pour u 1. f ( uv 1) v N+1 v N v 1 1 2 t
3.La méthode de Dirichlet 99 11 Le théorème de Dirichlet 3.La méthode de Dirichlet Lorsque Dirichlet, au début des années 180, découvre les travaux de Fourier, il cherche à les justifier par des méthodes
Plus en détailInfrastructures Parallèles de Calcul
Infrastructures Parallèles de Calcul Clusters Grids Clouds Stéphane Genaud 11/02/2011 Stéphane Genaud () 11/02/2011 1 / 8 Clusters - Grids - Clouds Clusters : assemblage de PCs + interconnexion rapide
Plus en détailCommunications numériques
Communications numériques 1. Modulation numérique (a) message numérique/signal numérique (b) transmission binaire/m-aire en bande de base (c) modulation sur fréquence porteuse (d) paramètres, limite fondamentale
Plus en détailMICROINFORMATIQUE NOTE D APPLICATION 1 (REV. 2011) ARITHMETIQUE EN ASSEMBLEUR ET EN C
Haute Ecole d Ingénierie et de Gestion Du Canton du Vaud MICROINFORMATIQUE NOTE D APPLICATION 1 (REV. 2011) ARITHMETIQUE EN ASSEMBLEUR ET EN C Programmation en mode simulation 1. DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE...
Plus en détailLes mathématiques de la finance Université d été de Sourdun Olivier Bardou olivier.bardou@gdfsuez.com 28 août 2012 De quoi allons nous parler? des principales hypothèses de modélisation des marchés, des
Plus en détailT. Gasc 1,2,3, F. De Vuyst 1, R. Motte 3, M. Peybernes 4, R. Poncet 5
Modélisation de la performance et optimisation d un algorithme hydrodynamique de type Lagrange-Projection sur processeurs multi-cœurs T. Gasc 1,2,3, F. De Vuyst 1, R. Motte 3, M. Peybernes 4, R. Poncet
Plus en détail5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques
5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques 5.1 Ouvrages de protection : perspectives d innovation pour faire face à des contraintes d emprise, de haute énergie et environnementales :
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailFiche technique CPU 315SN/PN (315-4PN33)
Fiche technique CPU 315SN/PN (315-4PN33) Données techniques N de commande 315-4PN33 Information générale Note - Caractéristiques SPEED-Bus - Données techniques de l'alimentation Alimentation (valeur nominale)
Plus en détail! analyse du fonctionnement
Coloreau chaude MT V P1 V MT! Le composant repéré TH1 sur le schéma structurel et une thermistance. Son rôle est de détecter une grandeur physique la température, et de la convertir en une grandeur électrique
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détail