Evolution à long terme des PRNc

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Evolution à long terme des PRNc"

Transcription

1 Centre de Référence Maladies Rares Neuropathies Amyloïdes Familiales et autres NEuropathies Périphériques Rares Evolution à long terme des PRNc Pierre Lozeron NNERf

2 PLAN Introduction Rappel Facteurs pronostiques Réponse au traitement Evolution à moyen terme Cohorte Bicêtre Données 1994 Données 2009

3 Introduction Facteurs pronostics-effet des traitements-évolution à long terme Hippocrate La convulsion à la suite d une blessure est mortelle. Section V-2 La convulsion ou le hoquet après une grande hémorragie, est trèsgrave. Section V-3 Dans une affection chronique, le dégoût pour les aliments et les déjections mêlées sont un mauvais signe. Section VII-6 Maladie d individualisation récente

4 Facteurs pronostiques Multiples facteurs pronostics identifiés Démographiques Cliniques Biologiques Electrophysiologiques Histologiques

5 Facteurs pronostiques La perte axonale: «intuitif» 5-15% des fibres sont en dégénérescence axonale dans démyélinisation expérimentale (Said 1981) Perte de 35% des fibres nerveuses (Nagamatsu 1999) 50% des patients ont perdu 50% de leurs fibres (Bouchard 1999)

6 Facteurs pronostiques Démographique Sghirlanzoni 2000 Age de début <45ans de meilleur pronostic Clinique Kuwabara 2005: 43% réponse au traitement si début subaigu 0 si début chronique Biologiques Haq 2000: 88% de réponse au traitement si hyperproteinorachie 25% si pas d hyperproteinorachie

7 Facteurs pronostiques Histologiques Haq 2000: Réponse indépendante des signes de démyé en MO Bouchard 1999: Démyélinisation active 60% des fibres chez patients cloués au lit 21% de fibres chez patients autonomes

8 Facteurs pronostics EMG Perte axonale Iijima 2005: CMAP moyen < chez les non répondeurs aux IVIg Sghirlanzoni 2000: Pronostic moins bon qd EMG Axo+Démyé vs Démyé Démyélinisation EMG distale / intermédiaire / Diffus (Kuwabara ) Distale: bonne réponse cortico Intermédiaire: réfractaire aux corticoïdes et EP et évolution chronique Diffus: bonne réponse (poussées) Critères EMG démyélinisation (Haq 2000) 100% de réponse (8/8) si critères + 50% de réponse (4/8) si critères Blocs de conduction Iijima 2005 Plus fréquents chez répondeurs

9 Réponse aux traitements Fonction du type clinique B. Tackenberg, Neurology 2007;68; (35%) IgIV 82% Cortico 66%

10 Réponse aux traitements Fonction du type clinique: FORMES MOTRICES K. Viala Brain (2004) Meilleur effet des Veinoglobulines dans les formes motrices A. Kimura J Neurol (2010) 5 patients 2 patients sous cortico seuls en remission Très bonne réponse sous IVIg

11 Réponse aux traitements Fonction de la forme évolutive B. Tackenberg, Neurology 2007;68; IgIV Cortico

12 Réponse aux traitements 2 Fonction de la forme évolutive Mygland MN 2005

13 Facteurs prédictifs de la réponse aux IVIg B. Tackenberg, Neurology 2007;68;

14 Evolution à moyen terme Rémission complète Atteinte modérée Atteinte sévère Mort Gorson 1997 Bouchard 1999 Simmons 2005 Kuwabara 2005 Mygland 2005 Médiane 3 ans (1-24ans) Moyenne 6ans (1-50ans) 9% 62% 29% 7% 10% 56% 24% aucune réponse Tmt 17% Rankin score 38% 49% 9% 4% A 5 ans 26% 61% 13% A 4 ans 53% 32% TOTAL 30% 50% 25% 10%

15 Mc Combe Brain % Mc Leod Ann Neurol % 9.8% 30% 25% 10% 35% Bouchard Neurology % 55%

16 En fin de suivi Environ 30% de formes «sévères» Evolution handicap Au début de la maladie 47% de patients non traités (Bouchard 1999) Au cours de la maladie Van Doom % ambulatoire après traitement Lunn 1999 Score Rankin moyen 1.5 Au cours de la maladie 54% de poussées sévères Chio % atteinte peu sévère au jour J Au cours de la maladie 52% de poussées modérées ou sévères

17 Cohorte Bicêtre Bouchard Neurology 1999 Critères cliniques Neuropathie acquise Durée phase d aggravation >2mois Critères paracliniques Proteinorachie >0.45g/l EMG: Critères AAN 1991 Histologique >10% des fibres Démyélinisation Remyelinisation Bulbes d oignons

18 Critères diagnostiques Neuropathie Critères paracliniques n= Définie + 3 / 3 32 Probable + 2 / 3 42 Possible + 1 / 3 26 Ponction lombaire: n=63 EMG: n= 91 BNM: n=93

19 Formes évolutives Evolution n= Rémittente poussées 14 Monophasique Un épisode initial 39 Progressive Aggravation lente patients 63H / 37F Age moyen 52 ans (10-82) 5 enfants (10-14 ans)

20 Flux des patients Recrutement N=100 Perdus de vue N= Première évaluation suivi 6ans N=69 Décédés N=14 Perdus de vue N= Deuxième évaluation Suivi 19ans N=28 Décédés N=21

21 1994 Première évaluation: C Bouchard Suivi moyen 6 ans Facteurs pronostiques Perte axonale Autres Age>60ans Atteinte motrice des quatre membres Atteinte du SNC Démyélinisation active Meilleure évolution Formes rémittentes

22 2009 Deuxième évaluation: J Joux Données évolutives sur 63 patients Vivants en 2009 DCD depuis leur inclusion 28 patients toujours vivants 28% des patients initiaux 40% de la cohorte de patients DCD 37 patients perdus de vue

23 2009 Deuxième évaluation 37% des patients perdus de vue Recherche de patients toujours en cours Etude limitée DCD Patients jamais traités

24 9 patients jamais traités DCD Forme Evolution Age Durée Age décès début d évolution Cause décès Patient 1 Probable Progressive Démence Patient 2 Possible Progressive AVC Vivants Forme Evolution Age Durée début d évolution Patient 1 Définie Progressive Patient 2 Définie Progressive Patient 3 Définie Mono Patient 4 Probable Mono Patient 5 Probable Mono Patient 6 Possible Progressive Patient 7 Possible Mono 51 24

25 PRNc non traitées 9 patients 7H / 2F Age de début: 44 ans (médiane 30 ans ;10-87 ans) Durée d évolution 23 ans (vivants) / 21,5 ans (tous) EMG Démyé 5 (1 BC); Normal 2; Axo 1; Non réalisé 1

26 PRNc non traitées BNM 8/9 pas de lésion évolutive 6/9 signes de démyélinisation Densité axonale 0.44 (moyenne tot BNM 0.45)

27 1 patient atteint de cancer de vessie 35 PRNc DCD En 1994 Pas de cancer 9 des suites de la neuropathie décès connus 8 patients DCD de cancer 1 Leucémie 3 cancers du poumon, 1 cancer du foie, 3 non déterminés 1patient des suites de la neuropathie

28 Patients DCD 21 patients 15 H / 6 F Age de début: 62 ans Durée d évolution: 15 ans Forme: Def:n=6; Prob: n=10; Poss: n=5 Diagnostic: R:n=3, M: n=9, P: n=9 Age de décès: 78 ans (médiane 81ans; 52-96ans)

29 Mortalité par cancer Cause du décès 8% cancer 2 EP (autonomes), 2 AVC, 1 démence Suites de la neuropathie: 1 patient Données INVS 2006 (à 80 ans) Hommes / = 13 % Femmes / = 10,5 % Mortalité autoimmunité (Am J public health 2005) 5ème cause chez femmes de 15 à 44 ans 7ème cause chez femmes de ans

30 Traitement DCD Nombre moyen=1.9 (0-6) Rien n=3 Type de traitements IVIg n=5 Cortico n=8 EP n=2

31 Patients toujours vivants 28 patients: 15 H / 13 F Age de début: 38 ans Diagnostic: Def n=13; Prob n=8; Poss n=7 Durée d évolution: 21,8 ans Forme évolutive: R=3; Mono=10; P=14

32 Traitements patients vivants Nombre moyen= 1,4 (0-4) Rien: n=6 Type de traitement: IVIg: n=8 Cortico: n=15 EP:n=2 Immunosuppresseurs: Imurel n=5; Endoxan n=5

33 Perte axonale Biopsie Total 0.43 PM>= 1000m 0.48 PM<500m 0.33

34 Evolution clinique patients vivants PM: 700m Aide à la marche 1 canne=3; 2 cannes=2, déambul=1, fauteuil=1 Score Norris = 67 (0-81) 18 patients avec Norris >=70 Dont 5 jamais traités Dont 3/5 enfants

35 Synthèse évolution Pas de différence de handicap final Age Forme diagnostique Forme évolutive Proteinorachie EMG Perte axonale BNM Evolutivité BNM Infiltrats BNM

36 Conclusion Pas de facteur pronostic identifié Influence de la perte axonale initiale semble persister à 19ans Bon pronostic chez 18% des patients 6% des patients évolution bénigne (jamais traités)

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?

LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il? LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Les définitions des saignements ACS/PCI

Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,

Plus en détail

Rééducation des accidents vasculaires cérébraux

Rééducation des accidents vasculaires cérébraux Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première

Plus en détail

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours

Plus en détail

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté

Plus en détail

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre

Fondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Place de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter

Place de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter «Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)

Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

mal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire

mal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître

Plus en détail

Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation. R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen

Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation. R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen Etat des lieux : prélèvements et greffes à l AP-HP Forte Activité de l AP-HP au plan national

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

MODELES DE DUREE DE VIE

MODELES DE DUREE DE VIE MODELES DE DUREE DE VIE Cours 1 : Introduction I- Contexte et définitions II- Les données III- Caractéristiques d intérêt IV- Evènements non renouvelables/renouvelables (unique/répété) I- Contexte et définitions

Plus en détail

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium

Plus en détail

Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.

Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Glossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...

Glossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ... Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7

Plus en détail

Définitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave

Définitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements

Plus en détail

Déficit moteur et/ou sensitif des membres

Déficit moteur et/ou sensitif des membres 1 Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres I. UN TROUBLE DE LA MOTILITÉ PEUT AVOIR DE NOMBREUSES CAUSES NON NEUROLOGIQUES II. L ORIENTATION DIAGNOSTIQUE, FACE À UN DÉFICIT MOTEUR OU SENSITIF

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008 SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes

Plus en détail

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Études épidémiologiques analytiques et biais

Études épidémiologiques analytiques et biais Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»

«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès» 2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE

DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,

Plus en détail

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

Agenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER

Agenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER 23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)

Plus en détail

Les maladies vasculaires cérébrales

Les maladies vasculaires cérébrales Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur

Plus en détail

ÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique

ÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant

ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage

Plus en détail

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS

Objectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Neuropathie motrice multifocale (NMM) Diagnostic difficile, confusion facile, traitement efficace

Neuropathie motrice multifocale (NMM) Diagnostic difficile, confusion facile, traitement efficace CURRICULUM Forum Med Suisse 2006;6:981 987 981 Neuropathie motrice multifocale (NMM) Diagnostic difficile, confusion facile, traitement efficace Andreas Baumann, Matthias Sturzenegger Neurologische Klinik

Plus en détail

Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III

Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III COMMUNIQUE DE PRESSE Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III - Présentation de nouvelles données

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,

Plus en détail

Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement

Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

Déficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro

Déficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE

INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

Traitements de l hépatite B

Traitements de l hépatite B Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique

Plus en détail

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL

Plus en détail

[Sondage France Lyme] Votre vécu de la maladie de Lyme

[Sondage France Lyme] Votre vécu de la maladie de Lyme [Sondage ] Votre vécu de la maladie de Lyme Bonjour, Ce sondage a été créé par l'association. Nous souhaitons analyser la situation des malades en France à large échelle. Votre réponse nous sera très utile.

Plus en détail

Jour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales. 22 octobre 2013. Pause réseautage et visite des exposants

Jour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales. 22 octobre 2013. Pause réseautage et visite des exposants 8 : 00 am 9 : 00 am 9 : 00 am 10 : 00 am Jour 1 : Les concepts Les forces du système de santé québécois Comparaisons internationales 22 octobre 2013 8 : 00 Inscription et accueil 8 : 30 Ouverture Président

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail