DEPARTEMENT DE PARIS SCHEMA DIRECTEUR DE L ANIMATION DE LA VIE SOCIALE

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1 DEPARTEMENT DE PARIS SCHEMA DIRECTEUR DE L ANIMATION DE LA VIE SOCIALE Centres sociaux Espaces de vie sociale Associations de quartier

2 Sommaire Préambule : L animation de la vie sociale, historique à Paris... 3 L animation de la vie sociale : finalités, principes, missions principales... 6 Les centres sociaux, espaces de vie sociale et associations de quartier : fonctionnement et missions... 7 Les moyens financiers et les compétences d ingénierie sociale en direction des équipements Nos objectifs respectifs et nos objectifs partagés La gouvernance de l animation de la vie sociale L observation sociale et l évaluation Les axes de développement partagés Annexes... 18

3 Préambule L animation de la vie sociale à Paris : historique En France, l animation de la vie sociale est un secteur d intervention sociale enraciné dans des initiatives privées de la fin du XIX e siècle. Il s est développé à partir des politiques de reconstruction de l après-guerre 39-45, en s appuyant principalement sur les centres sociaux et sur le travail social collectif. Aujourd hui, ce sont près de 2800 structures de proximité, centres sociaux et structures d animation locale, qui s inscrivent dans la politique d animation de la vie sociale en France. Depuis le début des années 1970, par délégation de l État, la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) et les Caf ont été positionnées comme un acteur central en raison de leur responsabilité en matière d agrément, agrément qui, ipso facto, engage des financements institutionnels et entraîne le soutien des partenaires. La collectivité parisienne s est engagée pour sa part avec la signature en 2000 d une première charte départementale des centres sociaux associatifs, renouvelée en 2005 avec la Caf et la Fédération des centres sociaux, et l adoption par le Conseil de Paris en octobre 2001 d un Plan de renforcement du dispositif parisien en direction des jeunes en difficulté et de leurs familles. À Paris, différents types de structures contribuent à l animation de la vie sociale. Il s agit en premier lieu des centres sociaux, mais aussi des espaces de vie sociale accompagnés par la Caf et des associations de quartier financées par le Département. Au-delà, il convient de mentionner les centres d animation, les antennes jeunes et espaces jeunes de la Ville de Paris qui contribuent également à alimenter le lien social et la solidarité de proximité (cf annexe 1). Les Centres sociaux Les centres sociaux sont des équipements de proximité, inspirés de structures anglo-saxonnes des années vingt. Ils sont agréés par la Caisse d allocations familiales depuis la circulaire Cnaf du 31 décembre d entre eux sont actuellement gérés par des associations et 6 autres le sont directement par la Caf. Le plan de renforcement voté par le conseil de Paris en octobre 2001 a permis de faire bénéficier chaque centre social associatif d un soutien renforcé du Département. Celui-ci s organise dans le cadre d une convention globale qui s articule autour de deux dotations principales : - Une dotation animation globale conclue avec l ensemble des centres sociaux qui permet d assurer, aux côtés de la Caf, un financement stable des missions essentielles des centres sociaux, définies par la Caf et par le Département. - Une dotation dédiée aux actions de prévention et d animation en direction de la jeunesse : elle permet de renforcer les actions en direction des enfants, préadolescents et jeunes adolescents qui accèdent plus difficilement aux dispositifs d intégration sociale de droit commun. Par ailleurs, le Département inclut dans la dotation annuelle une part de compensation des charges locatives supportées par les centres. Il y ajoute également une participation pour les actions d accompagnement à la scolarité. Le plan de renforcement d octobre 2001 prévoyait également la création de nouveaux centres au bénéfice de quartiers en difficulté. Neuf nouveaux centres ont ainsi été créés entre 2001 et 2005, dans le cadre d une démarche partenariale spécifique réunissant les instances départementales et municipales (élus et administrations), les élus d arrondissements, la Caf, la Fédération, les bailleurs sociaux. En mars 2005, le Département de Paris a renouvelé les conventions le liant aux associations agréées, en précisant les missions qu il leur confie et les engagements qui en découlent. Quatre équipements ont ainsi émergé dans les deux années suivantes. 3

4 Pour la période , la Caf, la Collectivité et leurs partenaires ont soutenu l émergence de quatre nouveaux centres sociaux à travers la définition d un processus d accompagnement des projets et de la mobilisation des habitants. Leurs ouvertures effectives sont prévues en 2014 et Le Schéma Départemental parisien de Prévention et de Protection de l Enfance pour les années met l accent sur la nécessité à prendre en compte les facteurs de risques rencontrés par les familles et sur le renforcement de la prévention entendue au sens large : prévenir les difficultés mais également la dégradation des situations familiales et des jeunes. Le Schéma rappelle l importance de la consolidation des liens sociaux et de la solidarité de proximité comme levier de la politique de prévention. A ce titre les centres sociaux jouent un rôle d acteur de proximité pour mieux agir sur les principaux facteurs de risque en prenant en compte les diversités et en favorisant le développement de la mixité sociale. Les centres sociaux parisiens et leur année de création : Centre social LE PICOULET (11 e ) ANNAM (20 e ) CHARENTON (12 e ) CHEVALERET (13 e ) BOUTROUX TOUSAREGO (13 e ) TANGER (19 e ) LA CLAIRIERE (2 e ) OCM CEASIL (15 e ) ENS (18 e ) BELLIARD (18 e ) RELAIS 59 (12 e ) FOYER GRENELLE (15 e ) RIQUET (19 e ) RELAIS MENILMONTANT (20 e ) CROIX SAINT SIMON (20 e ) AIRES 10 (10 e ) SOLIDARITE ROQUETTE (11 e ) CEFIA (17 e ) ARDENNES 19 e ) BELLE VILLE (19 e ) DIDOT-BROUSSAIS (14 e ) CERISE (2 e ) PARI S DES FAUBOURGS (10 e ) ACCUEIL GOUTTE D OR (18 e ) CAMBRAI (19 e ) ARCHIPELIA (20 e ) LIEN ANIMATION CULTURE LAC puis M. NOGUES (en 2011) (14 e ) DANUBE ET SOCIAL (19 e ) ETINCELLES (20 e ) MAISON DU BAS BELLEVILLE (20 e ) 13 POUR TOUS (13 e ) J2P (19 e ) SOLEIL SAINT BLAISE (20 e ) LA 20 e CHAISE (20 e ) MAURICE NOGUES (suite LIENS CULTURE ANIMATION) (14 e ) MAISON 13 SOLIDAIRE (13 e ) LA MAISON BLEUE PORTE MONTMARTRE (18 e ) PORTE POUCHET (17 e ) PARIS NORD EST (18-19 e ) Année d agrément (pré-agrément) 2013 (pré-agrément) 2014 (EVS) 2014 (EVS) 4

5 Les grandes étapes du développement des centres sociaux à Paris : Créations antérieures à 1990 de 1990 à 1999 de 2000 à à 2012 Créations 2013 Projets centres sociaux et 6 gestions directes Caf 5 centres sociaux 9 centres sociaux 4 centres sociaux 2 centres sociaux 2 centres sociaux Les Espaces de Vie Sociale (EVS) et Associations de Quartier Depuis 1998, les Caf peuvent verser une prestation animation locale à des structures de voisinage. Ces espaces de vie sociale visent à favoriser la participation d habitants, le développement des partenariats et à créer des lieux favorisant les liens sociaux. De son côté, la Collectivité finance des associations de quartier qui pour certaines bénéficient aussi de la labellisation EVS. La Caf et la Collectivité de Paris ont favorisé, dès 2003, le développement de ces espaces et associations et ont ainsi soutenu la création et l agrément de 21 projets en 10 ans. Associations Espace de vie sociale Association de quartier Petit Ney (18 e ) Jeunesse Saint Vincent de Paul (10 e ) Animômes de Beaugrenelle(15 e ) Réel Symbolique Imaginaire (RSI) La Ressource (17 e ) Association pour le Dialogue et l Orientation Scolaire (ADOS) (18 e ) Compagnie Resonances (18 e ) Espoir 18 (18 e ) Entr aide (19 e ) Association de Culture Berbère ACB (20 e ) AEPCR (20 e ) Le Moulin (14 e ) Quartier Saint Bernard (11 e ) REPI 2000 (13 e ) Le moulin à café (14 e ) Plus Loin (20 e ) Arc 75 Club Tournesol (10 e ) Culture sur cour (18 e ) Tout autre chose (9 e Môm artre (18 e ) Le amis de la Maison Verte (18 e ) CAFEZOIDE (19 e ) Le présent Schéma directeur d animation de la vie sociale, étape nouvelle du partenariat entre la Caf et la Collectivité au profit du développement de la vie sociale à Paris, a pour objectifs : - de développer la lisibilité et la cohérence de ce secteur d intervention sociale en précisant les finalités et en actualisant les missions des structures, - d encourager les différents acteurs à s engager dans un partenariat renouvelé et renforcé. 5

6 L Animation de la Vie Sociale : finalités, principes, missions L Animation de la Vie Sociale est un axe constant de la politique familiale et sociale qui prend principalement appui à Paris sur les centres sociaux, les espaces de vie sociale et les associations de quartier, même si d autres structures peuvent y contribuer (centres d animation, antennes et espaces jeunes ). Ces équipements de proximité sont à vocation globale, familiale et intergénérationnelle, accueillant toute la population en veillant à la mixité sociale. Ils sont également des lieux de la vie sociale permettant aux habitants d exprimer, de concevoir et de réaliser des projets. La circulaire Cnaf du 20 juin 2012 est le document de référence visant au développement d une politique territoriale de l Animation de la Vie Sociale. Elle précise les modalités du partenariat. Les finalités de l animation de la vie sociale sont réaffirmées L inclusion sociale et la socialisation des personnes. Le développement des liens sociaux et la cohésion sociale sur les territoires. La prise de responsabilité et le développement de la citoyenneté. Les deux grands principes d action sont par ailleurs consolidés : - la participation des habitants Si la participation des habitants ne se décrète pas, tous les moyens doivent être engagés pour faire de celle-ci une réalité. Certains moments sont propices au développement de l implication des usagers et habitants : le diagnostic, l élaboration du projet social, des temps de la vie collective (fêtes, périodes de tension sur le territoire, etc.) mais également dans les phases de bilan et d évaluation. Aussi la structure crée les conditions favorables à la participation : - d abord, le temps d accueil, de prise de connaissance et de reconnaissance des personnes, est primordial, en particulier pour les publics les plus vulnérables car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile, - mais aussi, aller vers les habitants, sur leurs lieux de vie, diversifier les formes et les espaces de communication, - et surtout instaurer des instances et des actions favorisant la prise de parole et de responsabilité. - le partenariat Le projet social est articulé avec le ou les projets des autres partenaires et avec le projet du territoire, s il existe. Cette recherche d articulation, voire d harmonisation permet de développer des complémentarités, des partenariats opérationnels et/ou des synergies de façon à renforcer l efficacité de l action publique. Le projet social : des missions d intérêt général adaptées aux besoins des habitants du territoire Actrices du développement social local, les structures de l Animation de la Vie Sociale élaborent leur projet dans une démarche participative, associant les usagers et les bénévoles. Le projet social est la clé de voûte de ces structures. Il se fonde sur une démarche transversale pour répondre à la fois aux besoins des familles et à leurs difficultés de vie quotidienne, mais aussi pour répondre aux problématiques sociales collectives d un territoire. Plusieurs outils permettent d identifier les problématiques sociales des territoires : du côté de la Collectivité, la Direction de l Action Sociale de l Enfance et de la Santé (DASES) élabore désormais, à la faveur de la démarche de territorialisation des services sociaux, des diagnostics sociaux de territoire. La Délégation à la Politique de la Ville et à l Intégration (DPVI) de la Ville de Paris élabore pour sa part des projets de territoire. Enfin, l Observatoire des familles et l Observatoire social de la Collectivité apportent des éléments de connaissance sur les caractéristiques des territoires, des familles et des besoins sociaux. 6

7 La Caf a, pour sa part, engagé une démarche similaire d amélioration et de partage de ses différents outils de connaissance des territoires et des familles (diagnostics thématiques territoriaux, offre de service et d expertise au moment de l élaboration des projets des structures). Concrètement, en référence aux finalités et missions générales de l Animation de la Vie Sociale d une part, et en réponse aux besoins sociaux constatés sur le territoire d autre part, le projet social global explicite les axes d interventions prioritaires et propose un plan d actions et d activités adaptées. Les missions générales des structures de l animation de la vie sociale sont confirmées : - Un lieu de proximité à vocation globale, familiale et intergénérationnelle, qui accueille toute la population en veillant à la mixité sociale Il est ouvert à l ensemble de la population à qui il offre un accueil, des activités et des services ; par là même, il est en capacité de déceler les besoins et les attentes des usagers et des habitants. C est un lieu de rencontre et d échange entre les générations, il favorise le développement des liens familiaux et sociaux. - Un lieu d animation de la vie sociale permettant aux habitants d exprimer, de concevoir et de réaliser leurs projets Il prend en compte l expression des demandes et des initiatives des usagers et des habitants, et favorise la vie sociale et la vie associative. Il propose des activités ou des services à finalité sociale, éducative, culturelle ou de loisirs, ainsi que des actions spécifiques pour répondre aux problématiques sociales du territoire. Il favorise le développement des initiatives des usagers en mettant des moyens humains et logistiques à leur disposition. Il favorise et encourage le lien social et contribue ainsi à lutter contre l isolement. Le centre social, l espace de vie sociale, l association de quartier : fonctionnement et missions L Animation de la Vie Sociale s incarne dans des structures de proximité, les centres sociaux ainsi que les espaces de vie sociale et associations de quartier. Ces structures ont en commun les mêmes finalités, valeurs et principes d action, et les mêmes missions générales. Elles se distinguent par leur capacité d intervention. Les premières disposent de professionnels et de ressources plus importants que les secondes. Les centres sociaux Animés par une équipe de professionnels et de bénévoles, l objectif global des centres sociaux est de rompre l isolement des habitants d un territoire, de prévenir et réduire les exclusions, de renforcer les solidarités entre les personnes en les intégrant dans des projets collectifs, leur permettant d être acteurs et d assumer un rôle social au sein d un collectif dans leur environnement. - Cinq missions complémentaires aux missions générales : Organiser une fonction d accueil et d écoute des habitants - usagers, des familles et des groupes informels ou des associations. L accueil, basé sur une écoute attentive, s étend à la capacité à proposer une offre globale d information et d orientation, surtout il doit être organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs. Assuré à titre principal par une des personnes qualifiées, l accueil doit être appréhendé comme une fonction portée collectivement par l ensemble de l équipe d animation du centre social. Cette fonction doit être reconnue et repérée sur le territoire d intervention, elle doit être considérée comme une action à part entière. 7

8 Assurer une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés, notamment les familles monoparentales, et le cas échéant leur proposer un accompagnement adapté. Développer des actions d intervention sociale adaptées aux besoins de la population et du territoire ; en raison des problématiques sociales auxquelles ils sont confrontés, ils peuvent initier des actions collectives avec une dimension d accompagnement social. Ces actions collectives, parfois expérimentales, sont réalisées en concertation avec les partenaires opérationnels. Mettre en œuvre une organisation et/ou un plan d actions visant à développer la participation et la prise de responsabilités par les usagers et les bénévoles. Organiser la concertation et la coordination avec les professionnels et les acteurs impliqués dans les problématiques sociales du territoire et / ou sur leurs axes d interventions prioritaires. Les coordinateurs sociaux de territoire du Département seront notamment associés à ces démarches. La mise en place d un projet familles dans les centres sociaux Au cours de ces dix dernières années, en complément des obligations départementales en matière de politique familiale, la Collectivité parisienne a développé une politique publique ciblée pour les familles, dans toute leur diversité dont le cœur est l accompagnement de la parentalité. Celle-ci vise à apporter une aide ponctuelle ou durable qui consolide le parent dans son rôle et son autorité parentale et qui prend en compte toutes les constellations familiales. Cette ambition s est traduite par le développement de nouveaux services pour les familles (notamment les Relais Informations Familles) ou de nouvelles prestations et dispositifs innovants dans le champ social. L accompagnement de la parentalité se structure autour de cinq grands axes : l amélioration de l offre globale d informations pour les familles, le rapprochement des familles de la communauté éducative, le développement d une offre périscolaire innovante et atypique, le développement d activités partagées entre parents et enfants, enfin, la création d espaces dédiés où parents et enfants trouvent écoute et solidarité (médiation familiale notamment). Les centres sociaux sont, parmi d autres acteurs, des opérateurs de cette dynamique. En effet, en 2013, une vingtaine de centres sociaux, d espaces de vie sociale et d associations de quartier, également conventionnés par la Caf, a été subventionnée pour la conduite de projets spécifiquement orientés vers les familles. Ce soutien technique et financier vise au développement d actions diverses au service des familles : création de ludothèques, de coins jeux et d offres de loisirs partagés, développement d une offre d animation extra-scolaire complémentaire, dispositifs Paris Collèges Familles en lien avec la Direction des Affaires Scolaires, accompagnement de groupes de parole familles, création de réseaux solidaires de voisinage. Cette dynamique pourrait être intensifiée dans le cadre de l élaboration d un réseau d acteurs d accompagnement de la parentalité, à l échelle de chaque territoire. La parentalité constitue également un axe fort de la Convention d Objectifs et de Gestion (COG) de la branche Famille. A cet égard, les centres sociaux, constituent des acteurs importants de l amélioration de la vie personnelle et sociale des familles. Ils sont ainsi fortement invités à développer un projet familles visant à répondre aux problématiques familiales du territoire, et à soutenir tout particulièrement les parents dans leur rôle éducatif, avec une attention particulière aux familles monoparentales. Dans la perspective d un agrément spécifique familles, ce projet, intégré à celui de l animation globale du centre social, présente les caractéristiques suivantes : répondre aux problématiques familiales repérées sur le territoire, développer des actions collectives contribuant à l épanouissement des parents et des enfants, au renforcement de la cohésion intra-familiale et aux relations et solidarités inter familiales, coordonner les actions et services de soutien à la parentalité développés au sein du centre social, 8

9 Faciliter l articulation des actions familles du centre social avec celles conduites par les partenaires du territoire. Par leur position d acteurs du développement social local, les centres sociaux peuvent également contribuer à la mise en cohérence des actions parentalité sur leur territoire et constituer des relais efficaces des dispositifs de soutien à la parentalité, en particulier, les réseaux d écoute, d appui et d accompagnement des parents et les contrats locaux d accompagnement à la scolarité. Le projet familles s appuie sur la capacité d écoute des besoins et des attentes des parents et des enfants, ainsi que sur les relations privilégiées que les centres sociaux tissent avec les familles. Il permet la transformation de demandes individuelles informelles en actions collectives qui ont également vocation à inscrire les familles dans la vie sociale de leur territoire. La mise en œuvre du projet familles repose sur une démarche participative réunissant les parents, les enfants, les professionnels du centre social et, le cas échéant, d autres acteurs du territoire. En s appuyant sur le savoir faire et les compétences des parents et des enfants, les actions portées dans ce cadre sont variées : l accueil parents-enfants, les sorties familiales, les loisirs collectifs en famille, les projets de départ en vacances permettent de travailler sur les liens entre les parents et les enfants, les groupes d échanges favorisent l expression de la parole et le soutien entre pairs, les actions d accompagnement à la scolarité visent à renforcer le lien entre les familles et l école et à offrir les ressorts nécessaires à la réussite de l enfant, les manifestations notamment festives favorisent l établissement de relations de confiance entre les parents et les professionnels et retissent du lien social. Une attention particulière au public jeune Le Département de Paris, à travers le Schéma de prévention et de protection de l enfance, reconnaît le rôle éducatif et préventif des centres sociaux auprès des familles. Ainsi, le centre social, par son approche globale et sa méthodologie d intervention, permet, par exemple, de mobiliser les ressources des jeunes et de leur environnement proche, donner corps à leur projet pour favoriser leur inclusion sociale et l accès à la citoyenneté. Les formes d organisation des centres sociaux Le centre social s incarne dans un lieu repéré par les habitants. Il peut néanmoins prendre différentes formes pour être au plus près des usagers : centré sur un seul équipement social, installé sur plusieurs locaux, voire partiellement itinérant. Des modalités d organisation sont arrêtées localement afin de répondre à certaines spécificités territoriales : articulation avec des projets de partenaires, prise en compte de l évolution des compétences des collectivités territoriales, mutualisation de moyens ou de certaines fonctions, etc. Ces modalités particulières sont mises en place dans le respect de la réglementation et dans un souci de bonne gestion. La qualité de gestion des centres sociaux Pour mettre en œuvre l ensemble de leurs missions et projets, les centres sociaux se dotent d outils adaptés de pilotage, de suivi d activités et d anticipation des risques. Il s agit d envisager, dans un cadre pluriannuel, les évolutions prévisibles en matière de ressources humaines (départ en retraite, fin de contrats aidés ), de gestion locative et de recettes. Par ailleurs, des mutualisations entre structures pourront être recherchées. Les espaces de vie sociale et associations de quartier Les espaces de vie sociale financés par la Caf et les associations de quartier financées par la Collectivité contribuent à la politique d Animation de la Vie Sociale au même titre que les centres sociaux. Ils visent les mêmes finalités et méthodologies mais leur action est adaptée aux moyens humains et financiers dont ils disposent. Leur territoire d intervention et leur projet social répondent aux besoins repérés et sont définis en fonction de leur capacité d intervention. 9

10 L implantation des espaces de vie sociale sera favorisée par la Caf dans les situations suivantes : les territoires totalement dépourvus d équipements d animation de la vie locale, les territoires isolés d un pôle d activités, les territoires sur lesquels l action d un centre social a besoin d être renforcée au regard de problématiques sociales préoccupantes ; dans ce cas de figure, il devra y avoir deux gestionnaires distincts et une coordination des interventions ainsi qu une vigilance concernant leur complémentarité. Le projet social des espaces de vie sociale répond aux finalités, aux principes et aux missions générales de l animation de la vie sociale. Il est défini en fonction des ressources disponibles, et prévoit prioritairement des actions permettant : le renforcement des liens sociaux et familiaux, et les solidarités de voisinage, la coordination des initiatives favorisant la vie collective et la prise de responsabilité des usagers. Un espace de vie sociale ne peut pas reposer sur une mono - activité Ses champs d action doivent être multiples et adaptés aux besoins du territoire. Il peut s agir : de soutien à la fonction parentale et de renforcement des relations intergénérationnelles, de renforcement des solidarités et des réseaux sociaux de proximité, d appropriation de l environnement et du cadre de vie, de service facilitant l organisation de la vie quotidienne, d inclusion et de socialisation. L espace de vie sociale touche tous les publics et a minima les groupes enfants - jeunes et les familles. Ses actions se déroulent tout le long de l année. Les espaces de vie sociale sont gérés exclusivement par des associations locales qui veillent à l implication et à la participation des habitants tant pour l élaboration des projets, que pour la conduite des activités ou la gestion. Le responsable du projet de l espace de vie sociale doit être clairement identifié. Il peut s agir d un professionnel de l intervention sociale ou d un bénévole de l association gestionnaire. Au besoin, il pourra lui être suggéré une formation dans le cadre de son adaptation à la prise de fonction. Les associations de quartier contribuent à la politique sociale territoriale mise en œuvre par la Collectivité parisienne Leur vocation est proche des espaces de vie sociale. Elles touchent tous les publics. Elles mettent en place des actions répondant aux besoins des habitants sur leur territoire d intervention, mais elles disposent de moyens humains et financiers plus restreints que les centres sociaux. Elles favorisent le lien social et le vivre ensemble dans les quartiers en organisant des actions diversifiées. Elles encouragent et accompagnent les habitants dans leur projet collectif et/ou individuel. Elles établissent un partenariat resserré avec les acteurs du tissu associatif et institutionnel local dans un souci de complémentarité. La Collectivité et les associations sont liées par convention pluriannuelle. Sur les 12 associations de quartier, 6 sont également labellisées espaces de vie sociale par la Caf. Le soutien aux centres sociaux, espaces de vie sociale et associations de quartier : moyens financiers et ingénierie sociale La Collectivité et la Caf soutiennent les structures de l animation de la vie sociale par des moyens financiers, en mobilisant leurs compétences en ingénierie et interventions sociales. 10

11 Les partenaires engagent des moyens financiers en faveur des structures La Collectivité Sur la base de l agrément accordé par la Caf, la Collectivité finance les centres sociaux dans le cadre d une convention pluriannuelle comprenant une participation pour l animation globale, la jeunesse et l accompagnement scolaire à laquelle s ajoute une compensation partielle des loyers. La convention liant le Département au centres sociaux pour les années inclut dans sa dotation globale, pour les centres sociaux qui les pratiquent, les actions linguistiques (ASL) et d accès aux droits. Les associations de quartier sont également financées dans le cadre d une convention pluriannuelle. La Caf L agrément accordé par le conseil d administration de la Caf ouvre droit à des prestations de service sur fonds nationaux et, selon la politique locale de la Caf, à des subventions complémentaires financées sur la dotation d action sociale. Les prestations de service sont des aides à la fonction. Pour les centres sociaux, elles contribuent au financement de l animation globale et de la coordination ainsi qu au projet familles. Pour les espaces de vie sociale, elles concourent au financement de l animation locale. Il existe ainsi 3 prestations de service. Animation Globale et Coordination La prestation de service Fonction Animation Globale et Coordination correspond à une prise en charge partielle des dépenses de pilotage auxquelles s ajoutent une partie des dépenses de logistique dans la limite d un prix plafond. Animation Collective Famille La prestation Animation Collective Famille correspond à une prise en charge partielle des charges salariales du référent Famille dans la limite d un demi-poste et des dépenses de fonctionnement propres au projet (hors dépenses liées aux activités) dans la limite d un prix plafond. Animation Vie Locale La prestation de service d Animation Vie Locale pour les espaces de vie sociale correspond à une prise en charge partielle des charges inhérentes au projet global dans la limite d un prix plafond. Les financements sur fonds locaux de la Caf de Paris Les financements sur fonds locaux sont accordés en référence aux priorités identifiées localement et réexaminés à l occasion de chaque Convention Pluriannuelle d Objectif et de Gestion (CPOG) par le Conseil d Administration. Ils aident au fonctionnement et/ou à l investissement. Actuellement, ils portent principalement sur l accompagnement de la fonction accueil dans les centres sociaux. Le financement de la fonction accueil apporte des éléments de connaissance sur les caractéristiques des territoires, des familles et des besoins sociaux. Véritable levier d action au service de l animation globale, l accueil est avant tout une fonction d écoute et de lien. Il contribue à la veille et l observation sociale. Il participe activement à la dynamique de projet. La spécificité de son fonctionnement réside dans l engagement d un ensemble d intervenants : habitants, bénévoles, professionnels. L aménagement de l espace encourage le dialogue et l action. La fonction accueil nécessite de la disponibilité, de l engagement et de la rigueur. Elle doit être questionnée, analysée et perfectionnée en permanence. 11

12 Les partenaires apportent également leur capacité d expertise et d ingénierie sociale Pour soutenir la fonction pilotage et pour la mise en œuvre d actions spécifiques, les partenaires participent à l animation et à la coordination du réseau et des acteurs des professionnels. Au sein des services de la Caf, l équipe animation de la vie sociale constitue l interlocutrice privilégiée des équipements et associations. Pour la collectivité, le Bureau de la Prévention pour la Jeunesse et de l Insertion (BPJI) à la Direction de l Action Sociale, de l Enfance et de la Santé (DASES) constitue l interlocuteur privilégié des centres sociaux et des associations de quartier. D autres directions de la Collectivité parisienne comme la Direction des Affaires Scolaires (DASCO), la Direction des Familles et de la Petite Enfance (DFPE) et la délégation à la politique de la ville et à l intégration (DPVI) sont associées à des degrés différents selon les actions et projets engagés avec la population. Sur le terrain un lien étroit est recherché par les centres sociaux avec les coordonnateurs sociaux de territoire, en charge à la DASES de la coordination des services et acteurs sociaux sur le territoire. L objectif poursuivi est aussi une meilleure articulation avec les services sociaux polyvalents du département et les sections locales du CASVP. Au-delà du suivi des conventions, la Caf et la Collectivité peuvent répondre à un besoin de soutien ou d accompagnement à certains moments particulièrement sensibles de la vie des structures. Dans la phase d élaboration du projet social ou à tout moment de sa mise en œuvre et de son évaluation, ils apportent leur expertise, en particulier afin : - d établir le diagnostic social, rechercher des données et mettre en évidence les problématiques sociales du territoire, - de concevoir certains projets spécifiques, - de favoriser la réflexion et le travail inter-partenarial opérationnel, - de faciliter les procédures de travail avec les partenaires, - d accompagner les structures dans certaines situations difficiles, parfois en état de crise financière. Le bureau des études de la Caf peut par ailleurs être sollicité, en appui, pour répondre à ces besoins Les Centres sociaux gérés par la Caf constituent également des points d appui de l animation de la vie sociale sur leur territoire d implantation (cf. annexe 2). Par ailleurs des travailleurs sociaux des partenaires peuvent être missionnés au sein des structures de l animation de la vie sociale pour développer une action ou un projet correspondant à leurs priorités. Il s agit alors : - soit d une mission ponctuelle, pour la mise en place d une action particulière, - soit d une mission spécifique, sur un horaire limité, un temps partiel, voire un temps plein, pour assurer une activité ou une action de façon régulière. Dans ce cas, un dispositif conventionnel devra confirmer que le partenaire concerné n interfère pas dans la gestion de la structure. La Caf et la Collectivité contribuent également à l élaboration et au suivi d un dispositif de veille et de soutien autour des structures : alerte, appui technique à la gestion, soutien au management, professionnalisation du recrutement (voir partie 7. Les axes de développement partagés). Enfin, les partenaires contribuent ensemble à l animation du réseau des structures d animation de la vie sociale. Le soutien à la fédération des Centres sociaux et socioculturels de Paris La Fédération des Centres Sociaux et socioculturels de Paris est un partenaire essentiel de l animation du réseau associatif des Centres Sociaux. Ce partenariat étroit entre la Collectivité, la Caf et la Fédération des Centres Sociaux de Paris est mis en place autour d objectifs concernant : - la méthodologie de diagnostic partagé, 12

13 - la mobilisation des habitants, - la formation des bénévoles et des salariés, - le soutien auprès des Centres Sociaux en difficultés et la mise en place d indicateurs de veille et d alerte, - la maîtrise des outils de pilotage et de gestion, - l observation partagée de l Animation de la vie sociale. Une intervention spécifique de la Fédération est demandée par la Caf de Paris et la Collectivité pour accompagner le processus d émergence de nouveaux projets. La Collectivité La Collectivité finance la Fédération des Centres Sociaux et socioculturels depuis 2005, avec l objectif de développer la mise en œuvre de sa mission d appui aux centres sociaux et socioculturels associatifs parisiens et à la création de nouveaux centres, à la participation effective des habitants et à la promotion du développement social local. La Caf La Cnaf finance la fédération nationale des centres sociaux sur la base d objectifs généraux. Les Caf peuvent, sur fonds propres, financer les fédérations départementales sur la base d un cadre contractuel adapté au contexte local et comprenant des objectifs ciblés sur des structures ou sur le réseau local. La Caf de Paris intervient financièrement auprès de la Fédération des Centres Sociaux depuis 1995 via une Convention pluriannuelle d objectifs et de financement. Une subvention de fonctionnement est ainsi versée annuellement sur proposition validée par le Conseil d Administration. Nos objectifs respectifs, nos objectifs partagés Les objectifs de la Collectivité parisienne La Collectivité parisienne a pour objectifs de développer la mise en œuvre au sein du centre social d une action sociale globale collective de proximité, dont le centre a l initiative de la conception. Cette action contribue à l animation de la vie locale et au développement social du territoire, à la prévention et à la prise en compte des facteurs de risques susceptibles d affecter les jeunes et leurs familles, en favorisant leur insertion et leur promotion sociale. La Collectivité parisienne souhaite par ailleurs que les centres sociaux développent des collaborations avec les services sociaux et les acteurs territorialisés de la collectivité parisienne (CST, PMI, coordonnateurs jeunesse ), ainsi qu avec les acteurs de l Éducation Nationale et ceux de l insertion professionnelle. Les objectifs de la Caisse d allocations familiales La Convention d objectifs et de gestion a fixé à la branche Famille l objectif de faciliter l intégration des familles dans la vie collective et citoyenne, en particulier au travers des centres sociaux et des structures d animation locale. Quatre objectifs de travail en découlent pour la Caf de Paris : - faciliter l insertion sociale des familles dans leur environnement et favoriser le développement des liens sociaux et de la cohésion sociale, - rendre lisible le projet social global des structures d animation de la vie sociale et développer des outils de gestion et d évaluation, - encourager les initiatives des habitants, la dynamique participative au sein des structures et la concertation entre acteurs de l animation de la vie sociale, - améliorer l économie générale du secteur de l animation de la vie sociale. 13

14 Les objectifs partagés par la Caf et la Collectivité Le Schéma directeur d animation de la vie sociale, étape nouvelle du partenariat entre la Caf et la Collectivité au profit du développement de la vie sociale à Paris, a pour objectifs : - de développer la lisibilité et la cohérence de ce secteur d intervention sociale en précisant les finalités et valorisant les missions des structures, - d encourager les différents acteurs à s engager dans un partenariat renouvelé et renforcé, - de consolider l économie générale des structures existantes, notamment en les accompagnant et en travaillant avec les bailleurs des structures sur une évolution maîtrisée des charges locatives. Ces objectifs sont déclinés dans la partie axes de développement partagés du présent document. La gouvernance de l animation de la vie sociale Le comité de pilotage départemental Il est composé des partenaires signataires et présidé de façon alternative par la Caf et le Département. Il associe la Fédération des centres sociaux. Pourront être associés au comité de pilotage en fonction des points à l ordre du jour : la Région Île-de-France, la Direction Départementale de la Cohésion Sociale (DDCS), la Caisse nationale d assurance vieillesse (Cnav) et les bailleurs de l ensemble des structures. Il est chargé de : - la coordination des politiques en faveur des centres sociaux et animation de la vie sociale à l échelle départementale, - la conception et la mise en œuvre et de l évaluation du présent Schéma d animation de la vie sociale, - la validation des travaux du comité technique départemental. Il se réunit 1 fois par an. Le comité d agrément Il est composé des services des partenaires signataires : - pour la Collectivité : les représentants du BPJI, - pour la Caf : les représentants de la Mission AVS. Il est chargé : - d étudier les conditions préalables et nécessaires à l émergence et à l agrément des centres sociaux et espaces de vie sociale, - de donner un avis consultatif en vue de l agrément. Il est animé par la Caf et il se réunit en tant que de besoin pour examiner les projets d agrément. Le comité technique départemental Il est composé : - des membres du Comité d agrément, - du Délégué de la Fédération des Centres sociaux parisiens, - des représentants de la DFPE et de la DPVI, - de tout autre acteur compétent selon l ordre du jour. Il est chargé : - de promouvoir et de mettre en œuvre l observation partagée des centres sociaux et des espaces de vie sociale à Paris (notamment par l utilisation de l outil SENACS), - de proposer et mettre en œuvre un dispositif concerté de veille et d alerte sur les situations de difficulté des structure, 14

15 - de suivre et d évaluer les équipements, et notamment, dans le respect des attributions de chacun, des équipements en difficulté jusqu au retour à un équilibre durable, - de proposer au comité de pilotage toute réflexion ou projet spécifique. Il est animé alternativement par le Responsable du Bureau de la Prévention pour la Jeunesse et l Insertion (DASES) et la Responsable de la mission AVS (Caf) Il se réunit une fois par trimestre et en tant que de besoin. L observatoire départemental de l Animation de la vie sociale et l évaluation des centres sociaux et espaces de vie sociale - La création de l observatoire départemental de l animation de la vie sociale La Caf en lien avec la Fédération des centres sociaux et socioculturels parisiens et la Collectivité a mis en place en 2013, à titre expérimental un observatoire départemental de l Animation de la vie sociale. La Collectivité y participera en Les objectifs poursuivis dans le cadre de cet observatoire sont : - rendre plus visible et lisible ce que sont et ce que font les centres sociaux, - évaluer leur impact collectif sur le territoire parisien et permettre les comparaisons aux niveaux régional et national, - susciter l échange et la rencontre entre acteurs de centres sociaux. L observatoire s appuie sur le Système d échanges National des Centres Sociaux (SENACS), outil basé sur des technologies Internet et permettant le véritable dialogue pour une analyse partagée entre les centres sociaux et leurs partenaires. Au regard des résultats de l expérimentation 2013, les partenaires souhaitent poursuivre et généraliser cette fonction d observation. Elle donnera lieu chaque année à la publication des principaux résultats, conjointement avec la Fédération des centres sociaux parisiens. (cf. annexe 1, plaquette Les Centres sociaux parisiens). Le site SENACS est actuellement un outil à destination des centres sociaux uniquement. Les partenaires s attacheront à poursuivre son extension aux Espaces de vie sociale et aux associations de quartier sur la période couverte par le présent Schéma directeur. - L évaluation du projet des centres sociaux et des espaces de vie sociale Les équipements d animation de la vie locale ont su démontrer dans la période récente leur souplesse, leur adaptabilité aux situations locales et à leurs évolutions, ainsi que leur proximité aux habitants des quartiers. Cependant, il convient, autant que possible, de garder une vigilance constante sur la qualité, l utilité et la pertinence des actions réalisées. C est grâce à cette évaluation, nécessaire tout à la fois aux gestionnaires, aux financeurs et aux acteurs locaux que les centres sociaux, espaces de vie sociale et associations de quartier continueront à agir pour le bénéfice de tous. Exprimé depuis 1995, le besoin d une évaluation simple et concrète a conduit les partenaires à proposer en 2005 la mise en place d un outil de diagnostic partagé, permettant d apprécier la pertinence du projet social des centres sociaux ainsi que la qualité de leur fonctionnement et des services qu ils rendent aux habitants. C est ce référentiel d évaluation et les outils associés qu il convient aujourd hui d adapter aux nouveaux enjeux. Cette actualisation du processus d évaluation des projets d animation de la vie sociale poursuit trois objectifs : - partager un référentiel commun CAF-Collectivité-Equipements d animation de la vie sociale (centres sociaux et espaces de vie sociale et à terme associations de quartier), - simplifier les démarches administratives des gestionnaires (notamment les documents et informations demandées aux associations), - adapter les différents outils d évaluation existants à l évolution des besoins et de l environnement (notamment la mise en œuvre de l observatoire départemental de l animation de la vie sociale et le déploiement de l outil SENACS). 15

16 Les axes de développement partagés pour la période Les cosignataires pourront, courant 2014, préciser ces engagements, notamment concernant les développements envisageables sur les territoires pour la période Objectifs Action Indicateur de résultat Échéance Affirmer la gouvernance partagée de l animation de la vie sociale Fin Moderniser le dispositif d évaluation des projets des CS, Associations de quartier et EVS pour l adapter aux nouveaux enjeux et à la réalité du fonctionnement des structures à Paris Consolider l économie générale et les projets des CS, Associations de quartier et EVS existants afin de garantir leur pérennité Élaborer en commun un schéma directeur d animation de la vie sociale (centres sociaux, associations de quartier et espaces de vie sociale). Assurer le pilotage et la coordination des instances du partenariat départemental. Mettre en œuvre ce schéma directeur sur la période Construire un référentiel commun de l évaluation CAF- Collectivité-Structures d animation de la vie sociale (centres sociaux, associations de quartier, espaces de vie sociale). Simplifier les démarches administratives des gestionnaires (notamment les documents et informations demandées de manière redondante aux associations chaque année). Adapter les différents outils d évaluation existants à l évolution des besoins et de l environnement (notamment le déploiement de l outil SENACS et l évaluation des équilibres financiers). Poursuivre et renforcer le soutien à la Fédération départementale des centres sociaux à travers une convention pluriannuelle commune Caf-Ville-Fédération. Animer le réseau en organisant régulièrement des rencontres collectives avec les centres sociaux, associations de quartier et espaces de vie sociale. Définir conjointement des modalités de veille, d alerte et de réactivité sur la situation des équipements en difficultés (financières ou de gouvernance). La structure située dans la zone d alerte sera systématiquement accompagnée pour éviter des difficultés structurelles. Travailler avec les bailleurs des structures, et notamment les bailleurs sociaux, sur des évolutions maîtrisées des charges locatives. Signature d un Schéma directeur de l animation de la vie sociale à Paris. Animation des instances en alternance. Voir indicateurs de résultat des objectifs ci-dessous. Édition d un nouveau guide de l évaluation partagée avec : des indicateurs et des documents à compléter par les structures (annuels et pluriannuels) qui pourront être communs à la Caf et au Département. Signature d une convention d objectifs tripartite de 2014 à réunions annuelles thématiques organisées avec tous les opérateurs. Mise en place d un système partagé de veille en identifiant plusieurs indicateurs de vigilance (finances, RH, nombre d emplois aidés, participation des habitants, neutralité, place des administrateurs ). Évolution de la part des charges locatives dans le budget des structures Encourager les initiatives des habitants, la dynamique participative au sein des structures et la concertation entre acteurs de l animation de la vie social Favoriser le partenariat local Réaffirmer la participation des usagers-habitants comme principe d action des centres sociaux, associations de quartiers et espaces de vie sociale. Généraliser l articulation des projets des structures d animation de la vie sociale avec l action sociale départementale (CST, SSDP, CASVP, RJT...). Des projets sociaux construits avec 2014 les habitants-usagers avant présentation à la Caf et au Département. Le projet social précise comment les usagers participent à sa mise en œuvre, voire à la gestion de la structure. L effectivité de cette participation 2015 sera incluse dans le nouveau guide de l évaluation. Densité du partenariat Développer l observation sociale partagée de l animation de la vie locale à Paris Généraliser la fonction d observation expérimentée en 2013 via l outil SENACS Publier en commun chaque année les principaux résultats, conjointement avec la Fédération des centres sociaux parisiens (cf annexe plaquette Les Centres sociaux parisiens). Étendre l observatoire départemental aux Espaces de vie sociale et aux associations de quartiers. Publication annuelle de la plaquette départementale avec 100 % des centres sociaux de Paris répondant. Publication d une plaquette annuelle avec 100 % des CS, associations et EVS répondants

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18 Annexes ANNEXE 1 État des lieux et diagnostic Annexe État des lieux : centres sociaux, espaces de vie sociale et associations de quartier Annexe L observatoire de centres sociaux ANNEXE 2 Les centres sociaux gérés par la Caf, point d appui de l animation de la vie sociale sur leur territoire

19 ANNEXE 1 État des lieux et diagnostic Paris a une identité spécifique : Ville, Département et Capitale. Cette superposition de réalités politiques et administratives sur un même territoire complexifie les approches du lien social. Certains quartiers populaires accueillent des structures historiquement ancrées, d autres ont bénéficié de la dynamique de la mise en œuvre de la politique de la ville et de l intégration. Le présent diagnostic vise à proposer une analyse de l offre d équipements existante sur le territoire parisien. A cette fin, il s articule autour des 2 axes suivants : 1 - L état des lieux de l existant et de son développement sur les 10 dernières années en termes de centres sociaux, d espaces de vie sociale et d associations de quartier (annexe 1.1). 2 - L observation partagée des centres sociaux à Paris : résultats de la photographie 2011 issue de l observatoire départemental (annexe 1.2). Il pourra être complété, courant 2014, d analyses visant à identifier les zones d interventions prioritaires pour la période couverte par le Schéma directeur, au regard des besoins potentiels et des structures existantes ou prévues. 19

20 ANNEXE 1.1 État des lieux : Centres sociaux, espaces de vie sociale et associations de quartier Évolution du nombre d associations de quartier, d espaces de vie sociale et de centres sociaux depuis 2001 à Paris 20

21 Localisation des structures proposant une offre d animation aux familles et aux jeunes en

22 ANNEXE 1.2 SEINE-ET-MARNE YVELINES PARIS ESSONNE LES CENTRES SOCIAUX ÎLE-DE-FRANCE ANALYSE 2013 HAUTS-DE-SEINE VAL-DE-MARNE À PARTIR D UNE PHOTOGRAPHIE 2011 VAL-D OISE SEINE-SAINT-DENIS ÉDITO 1 CE QU EST UN CENTRE SOCIAL 2 CARTE DES CENTRES SOCIAUX DE PARIS 3 PROJET 4 PARTENARIATS 9 VITALITÉ DÉMOCRATIQUE ET GOUVERNANCE 10 RESSOURCES HUMAINES 12 FINANCES 14 FICHE NATIONALE 15 ÉDITO CE QU EST UN CENTRE SOCIAL SUR SON TERRITOIRE D IMPLANTATION, LE CENTRE SOCIAL, C EST : Paris a une identité unique : ville, département, et capitale. L ambition du nouvel observatoire départemental des centres sociaux est de doter les acteurs parisiens de l animation de la vie sociale de connaissances partagées à l échelle de ce territoire unique, superposition de réalités politiques et administratives diverses. À Paris, la majorité des 34 centres sociaux se situe dans les quartiers populaires. Ils s inscrivent dans l évolution sociale, culturelle et urbaine de ces territoires. Ils sont fortement soutenus par un partenariat historique entre la Caisse d allocations familiales et le Département de Paris. Des «œuvres sociales» au «pouvoir d agir» des habitants, ils agissent au quotidien pour renforcer le lien social, développer les quartiers et promouvoir le vivre-ensemble. Leur réalité et leur projet demeurent toutefois insuffisamment connus. Aussi, cette premiere édition, rendue possible par la mobilisation de la Fédération des centres sociaux et socioculturels, de la Caf et de la collectivité parisienne est une opportunité pour tous de progresser vers une meilleure connaissance et un plus grand partage des enjeux sociaux, économiques et de gouvernance de ces structures. Fruit d un travail collectif intense durant cette premiere année, l Observatoire départemental poursuit en effet trois objectifs majeurs : rendre plus visible ce que sont et ce que font les centres sociaux; évaluer leur impact collectif sur le territoire parisien ; et enfin, susciter l échange et la rencontre entre acteurs de l animation de la vie sociale. C est à ces conditions que les centres sociaux et les partenaires qui les accompagnent pourront poursuivre et développer, malgré les aléas, leur réussite collective en matière d animation de la vie sociale. Cette publication, évènement remarquable de l année 2013, est ainsi une contribution indispensable aux enjeux des prochaines années pour les centres sociaux. Elle offre les bases d une réflexion partagée et d un partenariat renouvelé : sources d amélioration continue des projets menés avec les parisiennes et les parisiens. Pour la FCSF: la Charte fédérale d Angers de juin 2000 «Le centre social et socio-culturel entend être un foyer d initiatives porté par des habitants associés appuyés par des professionnels, capables de définir et mettre en œuvre un projet de développement social pour l ensemble de la population d un territoire.» extrait Un équipement de proximité, qui veille à l accueil des personnes et des familles et à la mixité sociale, avec une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés. Un lieu de rencontres et d échanges entre les générations, un lieu d animation de la vie sociale locale, qui favorise la démocratie de proximité. Un équipement qui favorise l initiative des habitants et leur implication dans des dynamiques de développement social et dans des actions collectives. Une équipe d animation composée de professionnels et de bénévoles engagés dans les actions et la gouvernance du projet, et dans des partenariats de territoire. Un lieu de promotion de valeurs et de principes comme le respect de la dignité humaine, la solidarité, la neutralité, la mixité et la participation. DES TEXTES FONDATEURS SUR LES CENTRES SOCIAUX Pour les Caf : la circulaire Animation Vie Sociale de juin 2012 (LCAVS) «[les centres sociaux] poursuivent trois finalités [...] : - l inclusion sociale et la socialisation des personnes ; - le développement des liens sociaux et la cohésion sociale sur le territoire ; - la prise de responsabilité des usagers et le développement de la citoyenneté de proximité. Ces trois finalités communes à l ensemble des structures de l animation de la vie sociale visent à répondre aux besoins sociaux fondamentaux ; elles se réfèrent aux dimensions individuelle, collective et sociale de tout être humain.» extrait 22

23 RÉPARTITION DES CENTRES SOCIAUX À PARIS PROJET : GÉNÉRALITÉS Centres sociaux parisiens agréés et en émergence en e 18 e 19 e 17 e e 9 e 10 e 2 1 er 3 e 11 e 7 e 4 e 6 e 5 e 12 e 14 e 13 e 20 e UN PROJET DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL D UN TERRITOIRE Un projet centre social est défini en lien avec des habitants et des partenaires à l échelle d un territoire d intervention. L agrément d un centre social est accordé par la Caf pour une durée maximale de quatre ans. L étape de renouvellement de l agrément est l occasion de réaliser une évaluation du précédent projet, d établir un diagnostic participatif et partagé, de définir des axes stratégiques et un plan d actions. Ces projets pluriannuels engagent une diversité d actions qui correspond à autant de besoins ou d intérêts des habitants (...). Pour les nouvelles structures, le premier projet social sera établi pour une année de façon à accompagner sa montée en charge». circulaire Animation Vie Sociale de la Cnaf de juin % des centres sociaux parisiens sont agréés pour une durée égale ou supérieure à 3 ans. Au-delà de l agrément, la Caf soutient et accompagne la vie des structures en partenariat étroit avec le Département de Paris. Contrat Urbain de Cohésion Sociale Grand Projet de Renouvellement Urbain STRUCTURES EN ÉMERGENCE : 2 centres sociaux (horizon 2013) 2 centres sociaux (horizon 2015) Paris Associations 79% Caf 18% Collectivités locales 0% Fondation 3% STRUCTURES EXISTANTES : 26 centres sociaux associatifs 6 centres sociaux en gestion directe Caf 1 centre social non pris en compte dans le Senacs 2011 car agréé au 1 er juillet 2011 GESTION DES CENTRES SOCIAUX Île-de-France 38,8% 3,4% 55,4% France 67,8% 5% 27,2% PROJET SOCIAL ET TERRITOIRE D INTERVENTION 66% 27% Les centres sociaux parisiens sont tous situés au sein de quartiers à forte densité de population. Leur champ d intervention se définit par une zone de compétence sur un territoire à échelle variable : îlots d habitations, quartiers. des centres sociaux sont situés sur des territoires POLITIQUE DE LA VILLE et perçoivent des financements à ce titre. des centres sociaux se considèrent dans un «quartier périphérique» de la capitale ou de l arrondissement. UN PROJET EN RÉSEAU 96% des centres sociaux associatifs adhèrent à la Fédération des Centres Sociaux et socioculturels de Paris. Par respect de l autonomie associative, les Centres Sociaux de la Caf de Paris ne sont pas adhérents. La Caf de Paris soutient l animation du réseau par le versement d une aide financière à la Fédération via une convention d objectifs pluriannuelle. Ce partenariat participe à : - la conduite de projet, - la mobilisation des habitants, - la qualification des bénévoles, - la maîtrise de gestion, - l émergence de nouvelles initiatives. 3 52% 36% 18% 12% 36% 24% 21% 18% 57% 30% 30% 24% Par la mobilisation et la coopération des acteurs (habitants, bénévoles, professionnels, partenaires...), le centre social définit et négocie les axes prioritaires de son projet pour répondre à la problématique de son territoire. Ce savoir-faire permet de prendre en compte l expression des envies, des besoins individuels et collectifs pour améliorer les conditions PROJET : GÉNÉRALITÉS COMMENT DÉFINIRIEZ-VOUS LA PROBLÉMATIQUE PRINCIPALE SUR VOTRE TERRITOIRE CETTE ANNÉE? - Paupérisation de la population/ précarité des familles - Transformation, réhabilitation urbaine des quartiers - Famille / jeunesse / parentalité - Communication, visibilité COMMENT DÉFINIRIEZ-VOUS LA PRÉOCCUPATION PRINCIPALE POUR VOTRE CENTRE SOCIAL CETTE ANNÉE? - Locaux : aménagements, travaux, accès et coûts - Participation des habitants dans le projet - Développement local, Vie de quartier - Précarité de la population QUELS SONT LES AXES PRIORITAIRES DU PROJET SOCIAL EN COURS? - La participation des habitants - La connaissance des publics - Famille / parentalité - L accueil du vivre ensemble à Paris dans un contexte de transformations urbaines. La connaissance affinée de la population, notamment des familles, est nécessaire pour comprendre et intégrer les évolutions des modes de vie. L accueil dans le centre social concourt à cette perception, à la participation et au parcours des habitants dans le projet. À ce titre, la Caf de Paris soutient financièrement cette fonction, par une dotation sur ses fonds propres. La collectivité parisienne (Ville et Département) et la Caf contribuent par ailleurs au financement du projet global de chaque centre social, ainsi que pour des actions diverses. Des aides spécifiques pour les locaux sont également mises en œuvre par la collectivité. PROJET UNE DYNAMIQUE DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL EN 2011, PLUS DE PERSONNES SE SONT INSCRITES DANS LES CENTRES SOCIAUX PARISIENS : PERSONNES AUX ACTIONS RÉGULIÈRES, PERSONNES AUX ACTIVITÉS DES PARTENAIRES HÉBERGÉS. DE LA PETITE ENFANCE A L ADOLESCENCE UNE PRÉSENCE FORTE AUPRÈS DES FAMILLES 82% des centres sociaux ont au moins une action en direction de la PETITE ENFANCE : 59% - Mode de garde 30% - Activité d accueil enfant-parent 24% - Activités d éveil éducatives 1741 ENFANTS de moins de 6 ans ont bénéficié de l activité petite enfance. 100% des centres sociaux proposent une ou des actions en direction des 6/11 ans, 97% - Accompagnement à la scolarité 88% - Activités culturelles et sportives Les centres développent une ou des actions en direction des ans : 83% - Activités culturelles et/ou sportives 77% - Accompagnement d un événement 70% - Accueil et animation hors des murs 61% - Accompagnement de projets à l initiative des jeunes POUR LES ADOLESCENTS Les centres sont aussi des relais d accès à des dispositifs permettant la pratique régulière d une activité sportive ou culturelle. FAMILLE ET PARENTALITÉ 97% des centres sociaux développent une APPROCHE GLOBALE DE LA FAMILLE en combinant services aux familles et initiatives collectives valorisant la fonction parentale. 85% des centres sociaux ont un projet d animation collective familles agréé par la Caf de Paris en réponse aux singularités familiales repérées sur le territoire d intervention. 94% Sorties familiales 82% Manifestations festives 76% Loisirs collectifs en famille 70% Accompagnement à la scolarité 64% Projets départ en vacances 61% Accueil parents-enfants 363 FAMILLES ont été accompagnées par les centres sociaux dans leur départ en vacances. 406 ACTIONS avec les familles - soit une moyenne de 12 par centre. Les centres sociaux renforcent leur intervention avec le concours de professionnels sur les questions de la famille (psychologue, médiateur familial...). Ces actions principalement collectives favorisent l épanouissement des parents et des enfants, le renforcement de la cohésion intra-familiale et les relations et solidarités entre familles

24 94% des centres sociaux proposent des actions d APPRENTISSAGE DU FRANÇAIS, en réponse aux besoins de formation des parisiens personnes inscrites aux ateliers, aux cours linguistiques en Les centres sociaux soutiennent la demande des parisiens venus d ailleurs par des activités de formation assurées avec des bénévoles et coordonnées par des professionnels. Ainsi ces actions deviennent des espaces d échanges, de partages et d engagements solidaires dans les quartiers... Chaque année, près de 500 personnes se présentent aux examens de l Éducation Nationale (DILF / DELF). Cette démarche est soutenue par un financement de la Ville de Paris. 91% PROJET LES CENTRES SOCIAUX : DES ESPACES D ÉDUCATION POPULAIRE, DE RÉUSSITE DE PROJETS DE VIE PAR DES DYNAMIQUES COLLECTIVES DES TREMPLINS VERS L AUTONOMIE SOCIALE ET PROFESSIONNELLE DE L ÉCOUTE ACTIVE AUX PROJETS DES HABITANTS des centres sociaux proposent des activités régulières au delà de 20h. 48% sont ouverts au moins 3 soirées par semaine. Aller vers les habitants, à la rencontre du plus grand nombre par des actions «hors les murs» dans les espaces publics, cours d immeubles,... est un des tmodes de fonctionnement des centres sociaux pour être toujours en phase avec la réalité du territoire. JEUNES ADULTES : DES PROJETS À LEUR INITIATIVE HABITANTS ont été informés pour la conception du projet, - soit une moyenne de 416 par centre ont été consultés - soit une moyenne de 80 par centre. 838 ont participé activement à son élaboration. - soit une moyenne de 25 par centre. Le réel pouvoir de décision des habitants dans l évaluation, la définition et la mise en œuvre du projet demande une attention particulière. 58% des centres sociaux ont accompagné des projets de jeunes et jeunes adultes (16-25 ans). 30% des centres sociaux ont accompagné plus de 3 projets à l initiative des jeunes habitants (projets de loisirs éducatifs individuels ou collectifs, projets scolaires et d insertion). LE PROJET SOCIAL : UN PROCESSUS COLLECTIF ET PARTICIPATIF 52% des centres sociaux ont soutenu des initiatives d habitants se concrétisant par des ACTIONS COLLECTIVES autour de créations d associations, de collectifs d habitants, de fêtes de quartier, de loisirs socio-culturels, de jardins partagés... Les habitants deviennent pilotes et les centres sociaux «acccompagnants». AGIR AVEC LES HABITANTS EN RÉPONSE À DES ENJEUX DE TERRITOIRE AU-DELÀ D ACTIVITÉS D ACCUEIL ET DE LOISIRS, LES CENTRES SOCIAUX PARISIENS SONT EN PRISE DIRECTE AVEC DES ENJEUX DE LA VIE QUOTIDIENNE DES HABITANTS. AINSI SE METTENT EN PLACE DES DYNAMIQUES COLLECTIVES ET DES ACTIONS CONCRÈTES QUI RÉPONDENT AUX BESOINS ET ATTENTES DES HABITANTS. 84,8% des centres sociaux ont une action 36,4% des centres sociaux ont une action autour de la SANTÉ : autour du VIEILLISSEMENT : Ateliers Santé Ville, accompagnement ateliers (mémoire, informatique, etc.), IDF 76% NAT.73% pour une bonne alimentation, dépistages. IDF 46% NAT.54% aide aux démarches, sorties... La démarche partenariale entre les Ateliers Santé Ville et les centres sociaux est une des réponses à la disparité d accès aux soins selon les quartiers, malgré l implantation à Paris d acteurs de santé nombreux et renommés. IDF 63% IDF 54% NAT.44% 67% des centres sociaux ont une action autour de la lutte contre l ISOLEMENT, L EXCLUSION ET LA PAUPÉRISATION : NAT.70% permanences sociales et juridiques. IDF 48% NAT.44% 60,6% des centres sociaux ont une action autour du COMMERCE, de l EMPLOI et de l ÉCONOMIE : orientation, accompagnement à l emploi, aide au CV, etc. 54,5% des centres sociaux ont une action autour du LOGEMENT ET de L HABITAT : accompagnement (écrivain public, information), participation aux commissions, amélioration du cadre de vie, médiation... Le cumul de difficultés fragilise une partie de la population pour laquelle le centre social représente l espace aux multiples services : informations, orientations, relations, mise en réseaux, animations. L enjeu du VIEILLISSEMENT se situe à une moindre échelle qu au niveau régional et national. Cependant, le développement d activités des Espaces Publics Numériques (E.P.N) et/ou de la médiation culturelle élargit la fréquentation de seniors, pour beaucoup isolés et aux ressources modestes. L accueil de bénévoles seniors est aussi une forme de participation bien représentée. 36,4% des centres sociaux ont une action autour de L INTÉGRATION DES NOUVEAUX HABITANTS : IDF 39% NAT.48% accueil, communication, fêtes de quartier. IDF 30% NAT.34% 21,2% des centres sociaux ont une action autour du HANDICAP : activités spécifiques, intégration dans les activités (chorale, défilé de mode,etc.)... Les centres sociaux doivent soutenir l évolution des actions autour du HANDICAP, telles les actions de sensibilisation dans le cadre de vie. Pour beaucoup, l adaptation des locaux est une des priorités à venir. IDF 21% NAT.23% 6% des centres sociaux ont une action autour du TRANSPORT. 7 PARTENARIATS VITALITÉ DÉMOCRATIQUE ET GOUVERNANCE LE DIALOGUE ÉLUS-HABITANTS Les thématiques principales sont : - les préparations ou les restitutions du diagnostic territorial, les présentations du projet social (50%), - les questions touchant à la jeunesse : scolarité, parentalité, violence à l école, culture et loisirs (40%), LE CENTRE SOCIAL : UN ESPACE QUI S OUVRE A LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE. 30% des centres sociaux ont organisé des rencontres élus-habitants. - soit un total de 24 rencontres. - les problématiques spécifiques de quartier, comme, par exemple, le partage de l espace public, ou la problématique du logement (10%). AVEC LES ASSOCIATIONS D HABITANTS 91% des centres sociaux sont en partenariat avec des associations d habitants. RÉPARTITION DES PRINCIPALES ASSOCIATIONS D HABITANTS PARTENAIRES 88% 54% 51% Associations de quartier Associations Associations de de locataires parents d élèves L ENGAGEMENT BÉNÉVOLE : UNE FORCE À PARIS PERSONNES BÉNÉVOLES animent les actions des projets des centres sociaux. Cet engagement prend des formes très variées : projet d accueil, animation d activités, permanences d écrivain public, formations des ateliers socio-linguistiques, responsabilité d administrateur HABITANTS participent aux instances de pilotage du projet centre social - soit une moyenne de 12 personnes par centre. S ENGAGER BÉNÉVOLEMENT, C EST DONNER DU TEMPS : h de bénévolat d activité sont ainsi effectuées en moyenne par centre social. - soit une moyenne de 100 heures par semaine par centre. 475 h de bénévolat administrateur sont effectuées en moyenne par centre social. - soit une moyenne de 9 heures par semaine par centre. 3 ETP en moyenne par centre. C est la contribution du bénévolat au projet. Les bénévoles d activités représentent 2,86 ETP, quant aux administrateurs, ils s investissent à hauteur de 0,26 ETP PERSONNES ONT ÉTÉ INFORMÉES de la tenue de ces rencontres. AVEC LES ÉQUIPEMENTS D ANIMATION 94% des centres ont des relations de partenariat avec les équipements de voisinage. 317 ONT ÉTÉ PRÉSENTES dont plus de la moitié ont apporté une contribution active aux débats et rencontres. Elles portent principalement sur : - la jeunesse, les loisirs des jeunes (28%) - l animation de la vie du quartier (19%) - les activités artistiques et culturelles (19%) - les actions en direction de l enfance (12%) - les actions autour de la fonction parentale (7%) 279 ASSOCIATIONS sont accueillies dans les murs des centres sociaux, - soit une moyenne de 8,5 par centre. 65% des associations accueillies contribuent au projet du centre social comme partenaires. 45% des associations accueillies développent leurs propres actions à l aide des ressources des centres sociaux (prêt de salle, de matériel...). 70 PERSONNES BÉNÉVOLES par centre social en moyenne (31/32 au niveau régional et national). La traduction de cet engagement implique pour les équipes professionnelles des centres sociaux : accueil, accompagnement à la connaissance et maîtrise du projet, animation des dynamiques de groupes, participation à l évaluation du projet et à son évolution. 24

25 VITALITÉ DÉMOCRATIQUE ET GOUVERNANCE RESSOURCES HUMAINES S ENGAGER BÉNÉVOLEMENT, C EST AUSSI, SE QUALIFIER, SE FORMER 22% des bénévoles ont été formés en 2011 soit : 449 BÉNÉVOLES D ACTIVITÉS IDF 15% ont été formés à l accompagnement à la scolarité, aux actions de formations linguistiques, à la médiation culturelle... (23,5 %) 50 HABITANTS ASSOCIÉS À LA GOUVERNANCE DU PROJET ont été formés aux fonctions de gestion de la vie associative (13%) La formation des bénévoles est un objectif partagé entre la Fédération et les centres sociaux qui proposent chaque année un plan de formation pour l ensemble des acteurs du réseau parisien. Des formations sur site, sont de plus en plus développées pour s adapter à la réalité de chaque projet. Le bénévolat participe à la mixité sociale, culturelle, générationnelle. Il exprime la solidarité des parisiennes et des parisiens avec le centre social de leur quartier. 496 SALARIÉS représentant 290 ETP 1 employés dans les 33 centres sociaux en 2011, soit : 8,79 ETP en moyenne par centre pour 12 ETP par centre au niveau national et 10 ETP au niveau régional. 1 ETP : équivalents temps plein NATURE DES CONTRATS 2,6 ETP 3,5 ETP 0,9 ETP DES COMPÉTENCES PROFESSIONNELLES AU SERVICE DU PROJET SOCIAL Des professionnels coproducteurs du projet, en appui aux habitants et aux bénévoles sur les fonctions essentielles pour la mise en œuvre des missions d un centre social (hors effectif projet Petite Enfance Agréé) : PILOTAGE 1,1 ETP direction ; 1 ETP accueil ; 0,2 ETP comptabilité ; 0,3 ETP secrétariat. ANIMATION ET TRAVAIL SOCIAL AUTRES (entretien, intervenants techniques,...) LE RECOURS À DES EMPLOIS AIDÉS 89% des centres sociaux associatifs parisiens accueillent et forment des salariés sous contrats aidés par l État, la Région Île-de-France. RELATIONS SOCIALES Sur le plan statutaire, les équipes sont composées de : - Salariés permanents : 57% en CDI et 20% en CDD. - Salariés vacataires ou salariés à temps partiel (emplois ponctuels d'animateurs, d'intervenants dans les multiples activités) : 7 % en CDI et 16 % en CDD. Tous les centres relèvent d'une convention collective, majoritairement la convention collective nationale Alisfa (Acteurs du lien social et familial). 59% des associations sont adhérentes d'un syndicat employeur : Snaecso (Syndicat des employeurs des acteurs du lien social et familial) RESSOURCES HUMAINES FINANCES BUDGET MOYEN LA QUALIFICATION DES DIRECTRICES ET DIRECTEURS 58% des directrices et directeurs des centres sociaux parisiens ont une formation de niveau I* ou II*. 42% des diplômes sont de niveau III (parmi ces diplômés de niveau III*, 77% ont d ores et déjà un diplôme d Etat à la fonction d animation). Le turn over à Paris sur les postes de direction est légèrement supérieur à la moyenne nationale (2,9 au lieu de 2,5). *niveau I : niveau bac+5 *niveau II : niveau bac+3 et 4 *niveau III : niveau bac+2 * niveau IV : niveau bac Paris France. LE PLUS BAS MOYEN BUDGET LE PLUS IMPORTANT Les centres sociaux associatifs sans projet agréé petite enfance sont les plus représentatifs de la réalité financière (groupe repère). Montant moyen de ses charges : % 12% 5% 6% 62% 47% 34% 14% 24% 37% 20% 26% Groupe repère Paris (33 centres sociaux) Île-de-France France 2% 3% 5% 10% RÉFÉRENT FAMILLE Le projet «familles» intégré à l animation globale du centre social est coordonné par des professionnels «référents famille» 89% ont une formation égale ou supérieure au niveau III (niveau I : 7%, niveau II : 36%, niveau III : 46% et niveau IV : 11% ). LA FORMATION PROFESSIONNELLE DEMEURE UNE PRIORITÉ 162 ACTIONS DE FORMATIONS étaient prévues dans les plans de formation des centres pour les salariés en soit 4,9 actions par centre RÉPARTITION DES CHARGES D UN CENTRE SOCIAL ACTIVITÉS 51% LOGISTIQUE 23% (frais de fonctionnement) PILOTAGE 26% Le coût des locaux alourdit la part des charges de logistique (+5 % par rapport à la moyenne nationale). DÉPARTEMENT COLLECTIVITÉ Y COMPRIS CHARGES SUPPLÉTIVES 6% 3% 1% 2% CONSEIL RÉGIONAL 6% 4% 4% 3% ÉTAT HORS EMPLOIS AIDÉS CAF PRESTATIONS DE SERVICE + FONDS PROPPRES 9% 5% 2% 4% ÉTAT EMPLOIS AIDÉS USAGERS 5% 2% 1% 2% AUTRES PARTENAIRES, BAILEURS, FONDATIONS, FOND SOCIAL EUROPÉEN 136 ACTIONS se sont réalisées. - soit 4,1 actions par centre Le budget du groupe repère a son socle de financement pluri-annuel du projet social assuré par le Département et par la Caf de Paris à hauteur de 58%. L aide de l État au titre des Emplois Aidés peut être considérée en soutien à la réalisation du projet (9%). Les autres financements sont annuels et sur des actions spécifiques. Ils viennent de partenaires comme les directions de la Ville de Paris mais aussi l État (hors emplois aidés), le Conseil Régional Île-de-France, les bailleurs, les fondations, le FSE... L architecture budgétaire d un centre social à Paris reste fragile et relève d un ensemble de financeurs, tous essentiels à l équilibre économique du projet. Elle nécessite une recherche constante de financements pouvant compromettre la dynamique du pilotage du projet social. 25

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