Le rôle de l épargne retraite dans le financement de l économie: la constitution de l épargne par les ménages
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- Léon Desroches
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1 Le rôle de l épargne retraite dans le financement de l économie: la constitution de l épargne par les ménages T. Weitzenblum Séminaire CDC - Chaire TDTE Jeudi 10 octobre 2013
2 Plan 1 Evolution récente des systèmes de retraites 2 La réponse de l épargne privée des ménages Panorama de l épargne-retraite en France et dans l OCDE Mise en évidence des ajustements en termes d épargne Les biais comportementaux
3 La constitution de l épargne-retraite (I) Vieillissement et réformes récentes des systèmes de retraite nécessaire ajustement des comportements d épargne des ménages. La rationalité économique, et la considération de ces seules évolutions, voudraient que les ménages prennent (efficacement?) le relai par la constitution d un complément de revenu à la retraite. La mise en place de nouveaux supports d épargne-retraite vise à stimuler cet ajustement.
4 La constitution de l épargne-retraite (II) D où les questions suivantes : Quelles indications le développement récent de ces nouveaux supports en France fournit-il? A-t-on pu identifier le lien entre vieillissement, réforme des systèmes de retraite et épargne, en France et ailleurs? A quoi devrait-on s attendre à plus longue échéance en terme d épargne? En particulier, que dire de l efficacité des incitations fiscales à l épargne-retraite?
5 Outline 1 Evolution récente des systèmes de retraites 2 La réponse de l épargne privée des ménages Panorama de l épargne-retraite en France et dans l OCDE Mise en évidence des ajustements en termes d épargne Les biais comportementaux
6 Les grandes tendances Elles sont bien connues et documentées : baisse nécessaire du degré moyen de générosité des pensions retraite versées par les systèmes obligatoires, basculement progressif d un système à prestations définies, à un systèmes à cotisations définies, avec la prise en compte des situations de pauvreté aux vieux âges. Le relai des systèmes de retraite privés facultatifs est souhaité, des incitations sont créées à cet effet.
7 L évolution des systèmes de retraite (I)
8 Le système privé : volontaire et obligatoire
9 Répartition et capitalisation obligatoire Figure 2. Net replacement rates from combined PAYG and mandatory funded systems OECD (2012)
10 Les particularités françaises Pas de basculement clair vers un système à cotisations définies (retraites complémentaires s en approchent beaucoup toutefois), système public+ complémentaires financées presque exclusivement par répartition, capitalisation obligatoire,
11 Le "pension gap"
12 Outline 1 Evolution récente des systèmes de retraites 2 La réponse de l épargne privée des ménages Panorama de l épargne-retraite en France et dans l OCDE Mise en évidence des ajustements en termes d épargne Les biais comportementaux
13 L enjeu Nécessité pour les ménages de prendre en partie le relai du financement de la consommation à la retraite dans quelle mesure peut-on s attendre à un ajustement de l épargne privée volontaire à la suite d une baisse de la générosité des prestations retraite, à incitations données? sur quels supports cette épargne se porte-t-elle? les incitations de ces supports sont-elles efficaces? qu est-ce qui pourrait expliquer le "défaut de rationalité" des ménages dans leur comportement d épargne?
14 L épargne-retraite en France (I) Ses supports : l assurance-vie, la supplémentaire : DC, DB, pour les salariés, fonctionnaires, indépendants, dans le cadre de l activité ou non.
15 L épargne-retraite en France (II) L assurance-vie en France : des montants énormes (environ 1400 Mds ed encours en 2013), mais support d épargne répondant à de multiples besoins : le motif de retraite tend à s elever au cours du temps. Mais les ménages épargnent-ils vraiment davantage, ou pondèrent-ils davantage le motif de retraite?
16 Les supplémentaires en France (I) "Vrais" supports d épargne retraite : cadre individuel :DC : PERP, PREFON, COREM entre autres. cadre collectif : pour les indépendants : contrats "Madelin" et exploitants agricoles, pour les salariés : DB : article 39 et DC : articles 82 et 83, PERE (devenu caduque). PERCO : vraie épargne, sortie en rente ou en capital.
17 Les supplémentaires en France (II) TABLEAU 3 Régimes de retraite obligatoires par répartition Cotisations* au titre de la retraite Prestations de retraite versées** Cotisations* au titre de la retraite Prestations de retraite versées** Cotisations* au titre de la retraite Prestations de retraite versées** Cotisations* au titre de la retraite Prestations de retraite versées** 228,6 244,7 233,5 254,9 240,1 264,5 251,0 274,0 Régimes de base 169,2 177,9 174,3 185,2 179,2 191,7 190,2 200,1 Régimes complémentaires 59,4 66,8 59,2 69,7 60,9 72,8 60,8 73,9 Régimes de retraite supplémentaire et d épargne retraite*** Versements annuels en milliards d euros courants 12,3 5,7 12,9 6,1 10,8 6,3 10,5 6,4 Part de la retraite facultative 5,1 % 2,3 % 5,2 % 2,3 % 4,3 % 2,3 % 4,0 % 2,3 % Source : DREES (2013) demeure encore très marginal.
18 Les supplémentaires en France (III) TABLEAU 2 Montants des provisions mathématiques au titre de la retraite supplémentaire Dispositifs de retraite supplémentaire souscrits dans un cadre personnel ou assimilé Montant total des provisions mathématiques (en millions d euros courants) Évolution des montants annuels des provisions / / % 4 % PERP* % 15 % Produits destinés aux fonctionnaires ou aux élus locaux (PREFON, COREM, CRH, FONPEL, CAREL-MUDEL) % 2 % RMC (retraite mutualiste du combattant)** % 0 % Autres contrats souscrits individuellement*** nd nd Dispositifs de retraite supplémentaire souscrits dans un cadre professionnel % 3 % % 8 % Contrats Madelin* % 8 % Contrats «Exploitants agricoles»* % 11 % % 1 % PERCO % 25 % Contrats de type art. 39 du CGI* % -4 % Contrats de type art. 82 du CGI* % 5 % Contrats de type art. 83 du CGI (dont branche 26)* % 3 % PERE* % 18 % REPMA, ancien PER «Balladur» % 1 % Autres contrats souscrits collectivement*** % 6 % Ensemble des dispositifs % 3 % 7% du PIB, à comparer à la taille des fonds de pension aux EU, RU et Pays-Bas par exemple.
19 Focus sur le PERCO (I) Pourquoi? il est encore très minoritaire (cf. tableaux précédents), car créé en 2003, mais il a vocation à se développer, car : il est du type des contrats article 83 (DC collectif), mais plus souple pour l employeur.
20 Focus sur le PERCO (II) TABLEAU 3 Les versements moyens sur le PERCO en fonction de leur origine et de la taille de l entreprise en 2010 Participation Intéressement Origine des fonds versés (en %) Versements volontaires Abondement de l entreprise Transferts d un autre plan Champ Sources Montant moyen par salarié épargnant (en euros) 10 à 49 salariés à 499 salariés salariés ou plus Ensemble la partie volontaire est très minoritaire. l abondement, nouveauté par rapport à la participation et l intéressement, est le principal moteur de l accumulation des PERCO.
21 Le comportement d épargne-retraite des ménages français Pour aller un peu plus loin : une étude (Brun-Schammée et Duée, 2008) à partir de l enquête Patrimoine Évolution de la détention d au moins un des trois produits pour motif de retraite par générations En % Âge évolution favorable, nette, notamment chez les plus jeunes.
22 La réaction de l épargne face à la baisse des prestations retraite (I) Quelques études se penchent sur l effet de réformes ayant ponctuellement abaissé la générosité des prestations retraite, sur l épargne des ménages : Feldstein (1974) : étude fondatrice, Attanazio et Rohwedder (2004) : RU uniquement. Effets des réformes abaissant la générosité de la partie assurantielle (SERPS) liée à l activité et de la partie beveridgienne (BSP). Hurd, Michaud et Rohwedder (2012) : obtiennent davantage de dispersion de la générosité du systèmes en incluant plusieurs pays.
23 La réaction de l épargne face à la baisse des prestations retraite (II) Tiré de Attanazio et Rohwedder (2004) effet d éviction conséquent dans le cas du système assurantiel, et aux âges avancés. Pas d effet chez les jeunes : contrainte de liquidité.
24 La réaction de l épargne face à la baisse des prestations retraite (III) Les résultats des différentes études : pour 1$ de richesse en prestation-retraite en moins : Feldstein : entre 30 et 50 cents d épargne privée en plus, Attanazio et Rohwedder : dépendant fortement de l âge, entre 0 et 75 cents, Hurd, Michaud et Rohwedder : entre 25 et 44 cents.
25 La réaction de l épargne face à la baisse des prestations retraite (IV) Qu en retirer? point positif : la réaction des ménages à la baisse de la générosité est toujours nette, et statistiquement significative, mais elle peine à compenser la moitié de la baisse des prestations, tout en s effectuant en capitalisation, en remplacement de la répartition (rendements à comparer). comprendre la difficulté des ménages à prendre complètement le relai, et évaluer les effets des mesures incitatives à l épargne-retraite, susceptibles de résoudre ce manque.
26 L effet des incitations à l épargne-retraite Parmi les incitations : exemption fiscale (fréquemment, du type EET), abondement de l employeur (match rate).
27 L effet de l exemption fiscale (I) Une étude d intérêt : Attanazio, Banks et Wakefield (2004) aux EU (IRA) et RU (TESSA) : analysent l effet du nouvel accès à des produits financiers exemptés fiscalement sur la consommation, meilleure mesure que l effet sur l épargne.
28 L effet de l exemption fiscale (II) faible effet macro de l exemption fiscale (charge morte à l envers).
29 L effet de l abondement Cas traité : abondement dans les plan 401(k) (Papke, 1995) : effet significatif du taux d abondement sur la participation, ou sur le taux de contribution, des ménages américains. La théorie suggère que l effet de l abondement (taux d abondement, seuil maximal) dépend du niveau d épargne initialement souhaité par le travailleur l absence de résultat empirique concluant n est pas surprenant.
30 L effet global du 401(k) Toutefois : étude de Poterba, Venti et Wise (1995) sur les niveaux d actifs financiers, de 401(k) et d IRA : le fort développement dans les années 80 du plan 401(k) n a pas eu d effet de déplacement sur l épargne financière en actifs autres que 401(k) et IRA, plus encore, le plan 401(k) ne présente pas de substituabilité avec les IRA. résultats pas tous convergents.
31 Quelques exemples On a pu constater que : lorsque le nombre de fonds auquel les travailleurs américains ont accès (par le biais de plans 401(k) par ex.), les taux de participation diminuent, lorsqu on proposait à des travailleurs de modifier leur choix de portefeuille pour adopter le comportement moyen, ils avaient un forte tendance à accepter, en présence de choix de portefeuille faisant intervenir actions, obligations, et autres titres complexes, la règle du 1/n était fréquente, par des sondages, on a observé que plus les connaissances en économie sont riches, plus forte est la propension à se préoccuper de son épargne-retraite (Lusardi et Mitchell, 2010).
32 L inertie et la procrastination (I) Une caractéristique des plans d épargne-retraite facultatifs cruciale : la souscription par défaut (Beshears, Choi, Laibson et Madrian, 2009) : par ex. à l embauche, souscription à un plan de type 401(k) aux EU, avec un taux d épargne par défaut, possibilité, à toute date, de modifier l épargne, voire de la suspendre,
33 L inertie et la procrastination (II) même avec des taux d épargne par défaut élevés, forte est la proportion de travailleurs ne la modifiant pas par la suite, différence forte entre souscription automatique et souscription volontaire une autre procédure efficace : la souscription simplifiée (quick enrollment)
34 L inertie et la procrastination (III) Automatic enrollment for new hires and savings plan participation: Com- Fig. 5.1 pany A Tiré de Beshears et alii (2009)
35 L inertie et la procrastination (IV) Fig. 5.5 Quick Enrollment and savings plan participation: Companies B and C Source: Choi, Laibson, and Madrian (2005c). Tiré de Beshears et alii (2009)
36 Qu en conclure? les agents réagissent aux incitations, mais l épargne privée volontaire est loin de compenser intégralement la baisse des prestations retraite (relatif consensus), certains biais comportementaux présentent une certaine régularité, une épargne-retraite forcée, ou, a minima, des procédures de souscription par défaut, s avèrent très efficaces en termes de participation et de volumes d épargne. épargne capitalisée par une structure publique? privée?
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