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1 ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2009 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE Bon, où est-ce que je peux poser ma crotte contaminée à Nancy, moi? Note de Synthèse n 9 à l attention des Conseils Généraux, des Administrations, des Collectivités Territoriales, des Fédérations Départementales des Chasseurs E.R.Z. Domaine de Pixérécourt MALZEVILLE Tel : fax : Site Internet : 1

2 NOUVELLE CARTE DE REPARTITION DE L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE CHEZ LE RENARD EN 2009 VERMIFUGATION DES RENARDS EN ZONE URBAINE QUAND ON ARRIVE EN VILLE! 2

3 Les zoonoses sont les maladies communes aux hommes et aux animaux. La faune sauvage peut en être le réservoir ou (et) le vecteur. Très nombreuses et de nature variée (virales, bactériennes, parasitaires), certaines sont plus dangereuses par leur virulence et leur dispersion sournoise à travers quelques espèces animales sauvages qui ont tendance à croiser l homme de plus en plus fréquemment. Si la rage vulpine a été en France, une de ces zoonoses transmises par le renard, l échinococcose alvéolaire en est une autre dont les travaux de l ERZ sur le terrain permettent de cerner la progression en France. Progression qui est d ailleurs généralisée en Europe. D autres maladies semblent également évoluer épidémiologiquement tant sur le plan humain qu animal. Il est important de déterminer la part prise par la faune sauvage dans ces évolutions. L objet de cette note de synthèse est la présentation de la contribution de l ERZ en 2009 à la connaissance et au contrôle de ces maladies pour en diminuer la portée sur l homme. Dans un premier temps le lecteur trouvera les résultats des investigations et expérimentations réalisées sur l échinococcose alvéolaire et dans un deuxième temps, les perspectives zoonotiques dans lesquelles l Entente commence à s investir. I) L ERZ est devenu l opérateur national sur le terrain de l échinococcose alvéolaire en France. Trois grandes actions ont été entreprises par l Entente sur le terrain, l une d entre elles a couvert la totalité des départements adhérents et pourrait être encore augmentée eu égard aux résultats obtenus et les deux autres visent à maîtriser le risque de contamination humaine et pourraient être développées suivant leur intérêt à tous les territoires. A) Par l aboutissement de programmes d investigations épidémiologiques inégalés Déjà présenté dans les notes de synthèse des années précédentes, le programme de cartographie de présence de l échinococcose alvéolaire est presque abouti. Sur les quarante-cinq départements adhérents à l Entente en 2009, seuls trois Départements n ont pas souhaité participer à ce projet. C est dire l intérêt des Conseillers Généraux pour cet énorme chantier. Il aura fallu près de quatre ans pour en venir à bout mais grâce à l extraordinaire participation des acteurs locaux, Fédérations des Chasseurs et Laboratoires Vétérinaires Départementaux, le résultat est à la hauteur de l effort entrepris. Bien des équipes européennes travaillant sur ce sujet envient le plan d échantillonnage ainsi réalisé à ce jour. Les 550 intestins de renards positifs sur les 3155 qui ont été analysés, donnent ainsi à la France un nouveau visage de présence connue du parasite. Dans le Centre de la France, le parasite semble seulement émergent, ce qui nécessite la mise en place dans ces territoires, comme l Yonne, le Cher ou l Oise de programmes d épidémio-surveillance que l ERZ coordonne depuis En revanche, des Alpes à la Normandie, en passant par les grands centres urbains, le taux de renards contaminés progresse considérablement. On constate ainsi que dans les plateaux du Haut-Doubs, la prévalence a doublé en vingt ans et dans des territoires comme l Avesnois ou le Cambraisis (dans le Nord), le centre de la Picardie ou la Seine-et-Marne, elle est localement aujourd hui au même niveau (environ 1 renard sur trois contaminé) qu il y a vingt ans en Franche-Comté. L Entente et l AFSSA ont aussi montré que les renards, par leur urbanisation de plus en plus fréquente, étaient les agents de contamination de l environnement périurbain. Ce qui n est pas sans poser parfois quelques inquiétudes aux élus locaux. Mais ces organismes ont également amélioré la connaissance du rôle du chien dans la contamination humaine du fait de sa grande proximité avec son maître. Pour réduire la présence du parasite près de l homme, l ERZ à l instar de ses voisins européens, a choisi en première approche de tester l efficacité d une vermifugation des renards sur les périmètres urbains de deux communautés de communes (Pontarlier et Annemasse) en zone de forte endémie (plus de 50% des renards porteurs). 3

4 Prévalence chez le renard Prévalence chez le renard VERMIFUGATION DES RENARDS EN ZONE URBAINE Evolution de la prévalence à Pontarlier Evolution de la prévalence à Annemasse 30% 45% 40% 25% 35% 20% 30% 15% Urbain Témoin 25% 20% Urbain Témoin 10% 15% 10% 5% 5% 0% Recoltes PONTARLIER (25). Pas d effet du traitement du fait d une trop grande présence de rongeurs réservoirs. 0% Recoltes ANNEMASSE (74) : Bonne efficacité du traitement vermifuge. COMMUNAUTE URBAINE DE NANCY : IMPACT EPIDEMIOLOGIQUE D UNE POLITIQUE DE REDUCTION DES POPULATIONS DE RENARDS? 4

5 Pour libérer les zones périurbaines de ce risque parasitaire, distribuer des appâts contenant du vermifuge permet de réduire sensiblement la présence des œufs du ténia échinocoque dans l environnement à condition d adapter à chaque territoire la fréquence de distribution, la densité d appâts et la nature des zones à traiter. B) et la poursuite d expérimentations en vraie grandeur et la mutualisation des connaissances au niveau européen. Les études ainsi réalisées sur la cartographie de l échinococcose, sur le portage des chiens et l intérêt de leur déparasitage ainsi que sur le contrôle du risque pour l homme par la vermifugation des renards, font actuellement l objet de rédaction de publications scientifiques de portée internationale. Ce ne sont toutefois pas les seules méthodes envisageables pour aider les collectivités et l Etat à protéger leurs populations vis-à-vis de l échinococcose alvéolaire. Si on sait que l augmentation des populations de renards favorise une expansion géographique de présence du parasite, on ignore si réduire les effectifs dans un territoire «donné» aurait un impact épidémiologique positif. C est ce que l ERZ a entrepris de tester autour de la communauté urbaine de Nancy. Une zone expérimentale centrée sur Nancy de vingt kilomètres de rayon fait actuellement l objet d un suivi particulier. En 2006 la Communauté Urbaine de Nancy s est alarmée de la présence d une forte proportion de renards contaminés (plus de 50 %) dans son périmètre et a opté pour une politique de réduction des populations. L ERZ et l AFSSA ont souhaité faire l évaluation épidémiologique d un tel procédé. Aidés par les universités de Franche-Comté et de Suisse qui prennent part à la réflexion sur ce projet, il a été décidé en comité de pilotage de diviser en deux parties cette aire expérimentale de 125 km². La moitié nord est séparée du sud par des limites physiques peu franchissables par les renards (A31 et canal Marne-Rhin) rendant les deux territoires proches mais distincts. Une forte régulation des populations vulpines est entreprise au nord. La partie sud, où aucune gestion particulière n est envisagée, sert de témoin à cette expérimentation. Les renards par le biais de l évolution de leur structure de population, ou d âge, leurs comportements, leur dispersion, leurs effectifs et leur statut parasitaire sont régulièrement et attentivement examinés pendant les trois ans de ce projet. Après dixhuit mois, les différents recensements effectués au nord comme au sud, ne laissent voir aucune différence de densité de population entre la partie régulée et la partie non régulée. Il faut donc encore intensifier les prélèvements de renards mais l effort entrepris n est-il pas vain, voire épidémiologiquement défavorable? L Entente espère pouvoir répondre à cette question en L ERZ continue à s interroger sur l échinococcose mais aussi à mettre en place une approche plus globale à l échelle de la communauté européenne de la surveillance et du contrôle de cette maladie. II) Et pourrait devenir l acteur incontournable de la surveillance active des départements pour les zoonoses de la faune sauvage. La nature des travaux de l ERZ en vraie grandeur repose sur une capacité d acquisition de données à partir de la faune sauvage sur des surfaces rarement exploitables par d autres organismes en France et même en Europe. Si un certain nombre d expérimentations restent encore à mettre en œuvre, il est temps à présent de mutualiser aussi les résultats acquis par les nombreuses équipes européennes qui avancent dans le même temps sur les mêmes sujets. Et il apparaît comme nécessaire de mettre cette capacité de prospection épidémiologique au service de la lutte contre d autres pathologies zoonotiques. 5

6 ECHINOCOCCOSE EN HAUTE-SAONE Quel est le rôle du chien dans la contamination humaine? MALADIE DE LYME Borrelia burgdorferi Erythema migrans LEPTOSPIROSE Leptospira interrogans 6

7 A) En continuant à chercher les moyens de protéger les populations concernées du taenia échinocoque Travailler sur le terrain sur des problématiques de zoonoses sur la faune sauvage, nécessite un partenariat avec des organisations locales aussi compétentes que diversifiées, et d en coordonner les actions. L objectif de ces dernières est d évaluer les influences environnementales qui favorisent une pression zoonotique sur l homme. En 2009, les épidémiologistes humains ont alerté l Entente sur ce qui pourrait être un foyer d échinococcose humaine dans une partie du département de Haute-Saône. A la demande de l ERZ, un programme de travail est élaboré par un vaste comité de pilotage composé des différents acteurs pouvant intervenir en Franche-Comté. Plusieurs directions sont prises. L Université de Franche-Comté a lancé un Master 2 de Sciences pour déterminer la notion de foyer émergent dans ce département. Le Centre Collaborateur de l OMS à Besançon met à disposition l ensemble des données recueillies sur les cas humains depuis les vingt dernières années pour y arriver. Dans le même temps, une prospection sur les chiens dans tout le département est entreprise grâce à la collaboration des cabinets vétérinaires haut-saônois. L objectif à atteindre, comme dans la Meuse en 2008, est le contrôle d un millier de chiens. La Mutualité Sociale Agricole (MSA) de Franche-Comté va cibler des aires de dépistage pendant ses campagnes de suivi médical du monde agricole. Les analyses seront effectuées par le CHU de Besançon. Le laboratoire vétérinaire départemental et la fédération des chasseurs vont collecter et analyser des renards supplémentaires. La Fédération Régionale d Etudes et de Défense contre les Organismes Nuisibles (FREDON) organisera des campagnes d échantillonnage des populations de micromammifères, c est-à-dire les campagnols, qui seront analysés par l AFSSA. C est l Entente qui coordonne l ensemble de ces actions. Si la mutualisation des compétences locales permet d obtenir les résultats qu on connaît maintenant, il a semblé important qu elle s élargisse aux équipes de recherche européennes. C est une des exigences de l Etat évoquée en Ainsi, en 2010, avec l AFSSA, l UFC, et l OMS, l Entente sera le maître d œuvre de l organisation d un congrès européen sur la surveillance et le contrôle de l échinococcose alvéolaire. Ce parasite étant l objet de préoccupations diverses en Europe, en janvier 2010, près d une vingtaine de pays ont déjà répondu favorablement à un premier appel à candidature. Ce congrès se tiendra en Lorraine, à Malzéville sous l égide de l Europe, de l Etat et des Collectivités. B)... Et en initiant d autres projets sur d autres zoonoses émergentes. La faune sauvage participe directement à l émergence de certaines zoonoses. Certaines espèces peuvent jouer le rôle de réservoir d un germe pathogène, d autres celui de vecteur. Des situations écoépidémiologiques nouvelles font que l évolution de ces espèces sur le plan démographique ou géographique ou comportemental devient le facteur de rencontres plus fréquentes entre l homme et ces microbes. Il en est ainsi de certains micro-organismes pathogènes responsables notamment de la maladie de Lyme ou la leptospirose qui, bien que connues depuis longtemps, semblent en progression aujourd hui en France. L Entente souhaite rester vigilante sur ces phénomènes. Grâce à son réseau de partenaires de terrain, elle est à présent sollicitée pour mener des investigations sur les espèces vectrices de ces pathologies. La maladie de Lyme doit son nom à la ville des Etats-Unis où elle a été découverte en C est une bactérie Borrelia burgdoferi qui en est responsable. La maladie se traduit par des troubles dermatologiques, neurologiques, cardiaques et articulaires qui peuvent être très sévères. C est aussi la zoonose la plus fréquente en France avec 12 à cas par an. Elle est transmise par les tiques de genre Ixodes qui piquent un animal sur lequel elles vont se nourrir de sang et y transférer la bactérie pathogène. 7

8 Les différentes étapes (mues) d une vie de tique se passent sur différentes espèces animales. Les oiseaux, les rongeurs, les mustélidés, les cervidés mais aussi animaux d élevage sont à la fois des vecteurs potentiels, des réservoirs ou des éléments favorisant la multiplication des tiques. Il est donc légitime que l ERZ s implique dans les projets de surveillance de cette maladie. Une autre bactérie de la famille des spirochètes est responsable de la leptospirose, communément appelée «maladie des égoutiers». Elle concerne essentiellement, en effet, les personnes en contact avec des zones humides où la bactérie peut être maintenue ou disséminée par les animaux infectés, au premier rang desquels se place le rat. Entretenue par des rongeurs qui n en soufrent pas, cette bactérie est émise dans l environnement avec les urines de ceux-ci. Très préjudiciable en revanche, pour l homme et pour les animaux de rente ou de compagnie, cette bactérie en forme de spirale, est largement présente dans la nature grâce à la prolifération et au développement géographique d hôtes réservoirs en faune sauvage. A ce titre, le rôle probablement significatif d espèces telles que les ragondins et les rats musqués, mérite aujourd hui d être précisé. Présente depuis longtemps dans l environnement français, la leptospirose pourrait être considérée comme une maladie réémergente. D autres projets peuvent voir le jour à l ERZ. Ils prennent naissance au niveau européen comme le projet «wildtech» qui démarre en ce moment. L Entente est au service des départements. Plus leur nombre sera important et meilleurs seront l acquisition des connaissances épidémiologiques, le développement des méthodes de contrôle de ces zoonoses faune sauvage et le rapport coût efficacité de l ERZ. L échinococcose alvéolaire en est l illustration et il serait primordial de gagner des territoires de prospection vers l Ouest tout en acquérant une technicité européenne. Le mot du Président Très attaché à nos Départements, j ose redire ici ma satisfaction de présider aux destinées d élargissement de l ERZ par l adhésion d autres Conseils Généraux. En 2001, 30 Départements participaient à la fin de l aventure contre la rage. En 2009, 45 ont choisi de faire confiance à l ERZ dans sa croisade contre l échinococcose alvéolaire. Quelle autre établissement public français peut se targuer d une même efficacité en terme de mutualisation des moyens? Faut-il attendre des cas humains coûteux et dramatiques pour la société et les familles pour penser que le ténia peut être présent dans d autres territoires? J invite donc les Conseils Généraux, dans ces temps budgétaires difficiles, à ne pas se priver d un outil de terrain dont le rapport coût-bénéfice est très avantageux pour eux. Ayant mis à jour un vrai problème de santé publique, j invite aussi l Etat français à ne pas priver les collectivités de cet outil dont l activité relève de sa seule compétence. Au contraire, il doit nous accompagner d avantage, surtout quand l ERZ doit servir les collectivités pour d autres thèmes ou organiser un colloque européen pour lequel déjà dix-sept pays sont engagés et que je serai fier d accueillir avec les collectivités territoriales concernées. Jean Paul BOLMONT 8

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