Rapport de synthèse AIM délais d attente imagerie médicale

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1 1 Rapport de synthèse AIM délais d attente imagerie médicale 1 CONTEXTE En Belgique, les délais d attente pour les prestations d imagerie médicale ne sont pas enregistrés. Afin de pouvoir répondre notamment aux demandes de l Europe, l Observatoire de la mobilité des patients (organe géré communément par l INAMI et le SPF Santé Publique) a décidé de décrire ces délais d attente et de travailler avec les données de facturation grâce à une méthode d approche. Les statistiques relatives à ces délais d attentes de prestations d imagerie médicale sont présentées ci-dessous en collaboration avec l Agence Intermutualiste (AIM). Cette note présente une synthèse des résultats Outre les résultats nationaux, les résultats par province sont également présentés dans ce rapport. 2 BREF APERÇU DE LA METHODOLOGIE APPLIQUEE 1 Les base de données AIM reprennent, à partir du 1/1/2006, les données individuelles et longitudinales de toutes les prestations remboursées par l assurance soins de santé obligatoire aux assurés sociaux résidant en Belgique de manière individuelle et longitudinale et les caractéristiques socio-démographiques de ces bénéficiaires (connues au niveau de la mutualité). Sur la base de ces BD, tous les bénéficiaires s étant vus rembourser une prestation d imagerie médicale (CT scan, IRM et PET scan) entre le 1/1/2010 et le 31/12/2015 ont été sélectionnés pour vérifier s il était possible de retrouver le (dernier) contact avec le prescripteur de l imagerie et ce au cours d une période de maximum un an précédant la prestation d imagerie. Pour les trois types d imagerie sélectionnés (CT scan, IRM et PET scan), d autres éléments complémentaires ont été sélectionnés, pouvant éventuellement apporter des éléments d information additionnels lors de l interprétation des (variations de) délais d attente observés entre les provinces : 1. Pour les prestations CT scan, il a été vérifié si cette prestation a été attestée ou non dans le cadre d un trajet de soins oncologique : si le patient s est vu attester dans les deux années précédant le scan une consultation oncologique multidisciplinaire (COM), le scan est considéré comme faisant partie d un trajet de soins oncologique 2. Cette distinction a été suggérée par le fait que la prescription (de cette série) de type de CT est décidée beaucoup plus tôt. 2. Pour les prestations d IRM, en raison de la programmation stricte de ce matériel, un indicateur d intensité d exploitation de ce type de matériel peut être calculé par institution disposant de ce matériel (agréé), permettant de démontrer par ce biais une certaine relation avec les délais d attente y constatés. 1 Le détail de la méthodologie appliquée se retrouve dans la note «FR - Méthodologie AIM délais d'attente imagerie médicale - DEF » 2 Les codes suivants ont été utilisés pour effectuer cette sélection : , , et

2 2 3. Enfin, pour les prestations PET scan, nous avons vérifié par institution, outre la nomenclature officielle ( ), quelle était la fréquence d attestation d un certain nombre de codes supplémentaires 3 (et les délais d attente y relatés) pouvant indiquer la présence de PET scans non enregistrés avec un impact ou non sur les délais d attente observés pour ces prestations au sein de cette institution ou la région dans laquelle elle opère. Pour cette mesure de référence, nous avons travaillé avec une série temporelle de 6 ans ( , avec possibilité de contacts de prescription jusqu au 1/1/ ) de façon à vérifier si les séries temporelles produites et les proportions relatives entre institutions et régions en termes de délais d attente s avéraient suffisamment homogènes et robustes. 3 RÉSULTATS Dans les analyses et fichiers de résultats ci-dessous, le point de départ consiste principalement en l observation de la valeur P75 de la distribution de l institution et de la région. Quand le P75 n est pas disponible, c est la moyenne qui est utilisée. La description dans cette note de synthèse se limite aux résultats provinciaux. ÉVOLUTION GLOBALE Le tableau 1, donnant pour les 5 (sous-)groupes de prestations d imagerie médicale définis l évolution globale du volume sur la période , permet déjà trois constatations globales, qui seront confirmées par les analyses détaillées ultérieures : 1. Pour tous les types de prestations, une croissance continue a. du volume de prestations attestées, allant d une croissance annuelle moyenne de 2,2% (CT scans à des patients non cancéreux) à 6,1% (pour les IRM) b. des délais d attentes moyens et P75 : pour les P75, il s agit d une croissance annuelle de 1,5% pour les CT_onco (patients cancéreux), 3,5% pour les autres CT, 2,0% pour les PET scan (mais déjà à 210 jours en 2010) à 5,3% pour les IRM et même 37,8% pour les PET_proxy. 2. Les pourcentages de délais d attente non calculables pour les CT et les IRM oscillent entre 15% et 32%. Ils grimpent jusqu à 94-95% pour les PET scan. De ce fait, ce rapport ne reprend pas de description des résultats par province pour les PET scans. 3. Le percentile 75 du délai d attente du CT oncologique est 3,5 fois plus élevé que celui du CT non oncologique. Une injection d information pathologique semble être utile comme facteur explicatif. 3 Il s agit de : , en Et prescription d une COM jusqu au 1/1/2008

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4 4 IMPACT POTENTIEL SUR LA VARIATION DES DELAIS D ATTENTE DUE A LA VARIATION DE PRESTATIONS D IMAGERIE MEDICALE NON PLANIFIEES Un élément potentiel pouvant expliquer en partie la variation de délais d attente constatée entre régions et provinces, peut être cherché dans la quote-part des prestations d imageries médicale non planifiées dans le total des prestations. L hypothèse de base repose sur le fait que chaque prestation d imagerie médicale attestée en ambulatoire peut être considérée comme planifiée. Pour les prestations d imagerie médicale en milieu hospitalier, la règle suivante a été appliquée : la prestation d imagerie est considérée comme non planifiée si (1) ni la date de prescription mentionnée lors de la prestation, ni le moment du contact avec le prescripteur de la prestation d imagerie ne se situent au minimum deux jours avant l admission en hôpital et au maximum un an avant la date du scan et si (2) une de ces deux dates : Se situe le jour avant l admission à l hôpital Se situe au cours du séjour hospitalier, entre la date d admission et la date de prestation de l acte d imagerie Se situe au cours du séjour hospitalier, le jour de la date de prestation de l acte d imagerie Sur la base de cet algorithme, les résultats suivants sont obtenus par province :

5 5 Tableau 2 Aperçu 2015 par type et par province de la quote part des prestations non planifiées Légende ambu: total des prestations en ambulatoires (toujours considérées comme planifiées) hospi: total des prestations attestées auprès de patients hospitalisés (planifiées et non planifiées) : nombre total de prestations d'imagerie pour lesquelles une institution est identifiée (total ambu + total hospi) Hospi non planifiées: prestations d'imagerie médicale non planifiées (auprès d'hospitalisés) % non : quote part des prestations d'imagerie médicale non planifiées dans le total non : écarts régionaux de la quote part des prestations non planifiées comparés au chiffre national Part de marché: quote part du nombre total de prestations identifiables de l'entité géographique dans le total Quote part de la population: quote part de la population de l'entité géographique dans le total cons/pop: index de la part de marché par rapport à la quote part de la population (moy= 100) 2.1 CT_onco Province/Région ambu hospi Hospi non planifiées % non non (nat = 100) Part de marché Quote part de la cons/pop population Anvers % % 16% 89 Limbourg % 100 6% 8% 84 Flandre Orientale % 92 14% 13% 102 Brabant Flamand % 120 7% 10% 73 Flandre Occidentale % 70 12% 11% 114 Région Flamande % 94 54% 58% 93 BXL BRU % % 10% 146 Brabant Wallon % 148 1% 4% 31 Hainaut % % 12% 102 Liège % % 10% 114 Luxembourg % 92 2% 2% 80 Namur % 104 5% 4% 116 Wallonie % % 32% 98 Belgique % % 100% 100

6 6 2.2 CT_other Province/Région ambu hospi Hospi non planifiées % non non (nat = 100) Part de marché Quote part de la cons/pop population Anvers % % 16% 84 Limbourg % 104 7% 8% 86 Flandre Orientale % % 13% 99 Brabant Flamand % 127 5% 10% 52 Flandre Occidentale % 93 10% 11% 95 Région Flamande % % 58% 84 BXL BRU % % 10% 126 Brabant Wallon % 143 1% 4% 39 Hainaut % 81 16% 12% 134 Liège % 94 13% 10% 134 Luxembourg % 68 3% 2% 131 Namur % 98 5% 4% 114 Wallonie % 89 38% 32% 121 Belgique % % 100% MRI Province/Région ambu hospi Hospi non planifiées La quote-part des prestations non planifiées de CT et IRM : % non non (nat = 100) Part de marché Quote part de la cons/pop population Anvers % 97 17% 16% 102 Limbourg % 86 10% 8% 128 Flandre Orientale % 97 15% 13% 112 Brabant Flamand % 102 7% 10% 68 Flandre Occidentale % % 11% 105 Région Flamande % 98 59% 58% 102 BXL BRU % % 10% 156 Brabant Wallon % 287 1% 4% 19 Hainaut % 77 11% 12% 91 Liège % 108 9% 10% 92 Luxembourg % 121 1% 2% 59 Namur % 104 3% 4% 70 Wallonie % 94 24% 32% 76 Belgique % % 100% 100 s élève à 18% pour les CT_onco à l échelle nationale. La Flandre Occidentale affiche un taux inférieur de scans non planifiés, tandis que le Brabant Wallon se situe au-dessus de la moyenne nationale. s élève à 20% pour les autres CT scans, avec le Luxembourg et le Hainaut à l une des extrémités et le Brabant Wallon, le Brabant Flamand et Anvers à l autre. s élève 7% pour les IRM au niveau national. Il est intéressant de noter la part d IRM non planifiées en Brabant Wallon.

7 7 Les consommations importante de CT_other et faible des IRM pour les provinces wallonnes (à l exception du Brabant Wallon) sont à relever. Les chiffres ci-dessous concernant les PET scans semblent surtout indiquer que ces prestations sont quasiment toujours planifiées. Vu de l angle opposé : si aucun moment de contact ne peut être identifié pour calculer le délai d attente, il est logique qu aucun contact ne puisse être retrouvé pour qualifier la prestation comme non planifiée. 2.4 PET_official Province/Région ambu hospi Hospi non planifiées % non non (nat = 100) Part de marché Quote part de la cons/pop population Anvers % 0 11% 16% 70 Limbourg % 0 6% 8% 85 Flandre Orientale % 0 10% 13% 75 Brabant Flamand % 0 10% 10% 97 Flandre Occidentale % 0 11% 11% 101 Région Flamande % 0 48% 58% 83 BXL BRU % 72 26% 10% 264 Brabant Wallon 8 8 0% 0 0% 4% 1 Hainaut % 157 6% 12% 51 Liège % 72 13% 10% 136 Luxembourg 9 9 0% 0 0% 2% 2 Namur % % 4% 130 Wallonie % % 32% 79 Belgique % % 100% PET_proxy Province/Région ambu hospi Hospi non planifiées % non non (nat = 100) Part de marché Quote part de la cons/pop population Anvers % 7 15% 16% 94 Limbourg % 22 5% 8% 69 Flandre Orientale % % 13% 109 Brabant Flamand % 21 7% 10% 72 Flandre Occidentale % % 11% 89 Région Flamande % % 58% 89 BXL BRU % 53 17% 10% 174 Brabant Wallon % 0 1% 4% 35 Hainaut % 7 11% 12% 91 Liège % 38 10% 10% 104 Luxembourg % 23 2% 2% 80 Namur % 530 7% 4% 149 Wallonie % % 32% 96 Belgique % % 100% 100

8 8 VARIATION DES ÉVOLUTIONS (PROVINCIALES) CT_ONCO/CT_OTHER Tableau 3 Aperçu du volume CT réparti selon des patients oncologiques (CT_onco) et autres (CT_other) Légende DAC: délais d'attente connus; DAI : délais d'attente inconnus : total des prestations CT attestées % Tot dans la ligne CT_onco : quote part des CT_onco de la province dans le nombre total des CT de la province % Tot dans la ligne CT_other : quote part des CT_other de la province dans le total des CT de la province % Tot dans la ligne CT_tot : quote part du total des CT de la province dans le total des CT au niveau national N DAC : nombre de prestations avec délais d'attente connus Evol N DAC dans la ligne CT_onco : quote part des CT_onco de la province avec un DAC dans le total des CT avec DAC de la province Evol N DAC dans la ligne CT_other : quote part des CT_other de la province avec un DAC dans le total des CT avec DAC de la province Evol. N DAC dans la ligne CT_tot : quote part du total des CT de la province avec DAC dans le total des CT au niveau national avec DAC MOY : délai d'attente moyen MOY : index de la moyenne annuelle moyenne comparée à la moyenne 2015 (=100) Les résultats du tableau 3 semblent indiquer que la mise à disposition d information clinique en relation les délais d attente pourraient affiner considérablement les résultats : 1. Au cours de la période , une croissance globale des prestations CT en Belgique de 14% est constatée. Pour les CT_onco cette croissance s élève à 30%, pour les CT_other 12%. 2. Au niveau provincial, les variations de croissance sont importantes : alors qu à Anvers les CT_onco augmentent de 17% au cours de cette période de 6 ans, la croissance s élève à 50% au Hainaut et à 54% en Brabant Wallon. Pour les CT_other, Liège connaît la croissance plus élevée avec 17%. 3. Globalement, les pourcentages de croissance du nombre de prestations sont plus élevés en Wallonie qu en Flandre (CT_onco 38% vs. 27%, CT_other 14% vs. 11%), les croissances des délais d attente moyens sont équivalentes.

9 9 Tableau 3 Evolution du nombre de CT avec distinction oncologie (CT_onco) et autres CT (CT_other) Province Type d'imagerie médicale Evo Evo N DAC Evo % DAI MOY Anvers CT_onco 17% 21% 13% 1,8% Anvers CT_other 9% 2% 22% 9,7% Anvers CT_tot 10% 4% 18% 8,7% Limbourg CT_onco 29% 20% 25% 14,7% Limbourg CT_other 16% 4% 32% 11,4% Limbourg CT_tot 18% 6% 31% 13,9% Flandre Orientale CT_onco 32% 42% 22% 1,8% Flandre Orientale CT_other 10% 6% 11% 15,1% Flandre Orientale CT_tot 12% 10% 7% 15,1% Brabant Flamand CT_onco 34% 39% 3% 23,2% Brabant Flamand CT_other 10% 0% 17% 20,4% Brabant Flamand CT_tot 13% 4% 14% 24,8% Flandre Occidentale CT_onco 28% 26% 5% 7,9% Flandre Occidentale CT_other 12% 7% 9% 6,4% Flandre Occidentale CT_tot 14% 10% 8% 8,5% Région Flamande CT_onco 27% 29% 4% 5,5% Région Flamande CT_other 11% 4% 17% 11,7% Région Flamande CT_tot 13% 7% 14% 12,6% BXL BRU CT_onco 26% 23% 11% 3,5% BXL BRU CT_other 9% 0% 19% 10,0% BXL BRU CT_tot 11% 3% 18% 9,9% Ancien Brabant CT_onco 30% 28% 4% 8,2% Ancien Brabant CT_other 8% 1% 19% 13,7% Ancien Brabant CT_tot 11% 3% 17% 14,4% Brabant Wallon CT_onco 54% 51% 13% 1,4% Brabant Wallon CT_other 3% 15% 30% 30,4% Brabant Wallon CT_tot 1% 10% 26% 29,0% Hainaut CT_onco 50% 41% 23% 4,5% Hainaut CT_other 13% 5% 20% 9,1% Hainaut CT_tot 15% 8% 19% 10,7% Liège CT_onco 27% 25% 6% 12,9% Liège CT_other 17% 9% 17% 13,9% Liège CT_tot 18% 10% 15% 14,7% Luxembourg CT_onco 30% 23% 23% 8,2% Luxembourg CT_other 16% 7% 17% 8,3% Luxembourg CT_tot 17% 9% 17% 9,3% Namur CT_onco 40% 41% 1% 7,2% Namur CT_other 12% 13% 2% 1,2% Namur CT_tot 15% 16% 3% 0,7% Wallonie CT_onco 38% 34% 12% 5,5% Wallonie CT_other 14% 7% 16% 9,6% Wallonie CT_tot 16% 9% 15% 10,7% Belgique CT_onco 30% 30% 1% 5,3% Belgique CT_other 12% 5% 17% 10,6% Belgique CT_tot 14% 7% 15% 11,4%

10 10 APERÇU DES DELAIS D ATTENTE CT_ONCO Tableau 4 Aperçu du volume CT_onco Légende : nombre total de prestations CT_onco attestées % Tot : quote part de la province dans le total des prestations attestées % DAI: % prestations du total avec un délai d'attente inconnu MOY : délai d'attente moyen MED : délai médian P75 : percentile 75 du délai d'attente P75 : index provincial de la valeur P75 par rapport au P75 national (=100) Evo tot: évolution du nombre total de prestations CT_onco Evo MOY: évolution du délai d'attente moyen Evo MED: évolution de la valeur médiane du délai d'attente Evo 75: évolution du délai d'attente P75 En 2015, les P75 varient de 70 jours à Liège à 97 jours en Brabant Flamand, avec une valeur nationale de 84. Il est à noter qu au niveau des chiffres de l évolution (tableau 4b), malgré une croissance importante entre 2010 et 2015 (+27%), Liège continue à afficher le P75 le plus bas et qu à l autre côté du spectre, le Limbourg (+11%) et le Brabant Flamand (+15%) connaissent une croissance plus importante qu en moyenne (+8%), alors que l évolution du nombre de prestations est similaire à l évolution nationale. Tabel 4a Aperçu 2015 du volume CT_onco et distribution (MOY, MED et P75) Province/Région % Tot % DAI MOY MED P75 P75 Anvers % 19% 52, Limbourg % 27% 61, Flandre Orientale % 19% 56, Brabant Flamand % 56% 66, Flandre Occidentale % 21% 58, Région Flamande % 25% 57,2 BXL BRU % 20% 48, Brabant Wallon % 15% 57, Hainaut % 24% 55, Liège % 22% 49, Luxembourg % 21% 56, Namur % 23% 57, Wallonie % 23% 53,9 Belgique % 24% 54,

11 11 Tableau 4b Evolution des valeurs moyennes, médianes et P75 Province/Région Evo Tot Evo MOY Evo MED Evo P75 Anvers 17% 2% 7% 2% Limbourg 29% 15% 42% 11% Flandre Orientale 32% 2% 3% 4% Brabant Flamand 34% 23% 68% 15% Flandre Occidentale 28% 8% 21% 7% Région Flamande 27% 5% BXL BRU 26% 4% 4% 6% Brabant Wallon 54% 1% 3% 1% Hainaut 50% 5% 7% 5% Liège 27% 13% 10% 21% Luxembourg 30% 8% 4% 18% Namur 40% 7% 20% 2% Wallonie 38% 5% Belgique 30% 5% 4% 8% APERÇU DES DELAIS D ATTENTE CT_OTHER Tableau 5 Aperçu du volume CT_other Légende : nombre total de prestations CT_other attestées % Tot : quote part de la province dans le total des prestations attestées % DAI: % prestations du total avec un délai d'attente inconnu MOY : délai d'attente moyen MED : délai médian P75 : percentile 75 du délai d'attente P75 : index provincial de la valeur P75 par rapport au P75 national (=100) Evo tot: évolution du nombre total de prestations CT_other Evo MOY: évolution du délai d'attente moyen Evo MED: évolution de la valeur médiane du délai d'attente Evo 75: évolution du délai d'attente P75 Le Brabant Wallon affiche une valeur P75 de 43 jours pour les CT non oncologiques contre 32 jours à Bruxelles. La valeur à l échelle nationale se situe à 25 jours, tandis qu elle s élève à 19 au Limbourg. Le constat de la forte croissance générale des valeurs P75 (19%) entre 2010 en 2015 en comparaison avec l évolution du nombre de prestations (+12%) est inquiétant. Le Brabant Wallon (P75 +87%), Anvers (P75 +24%) et la Flandre Orientale (P75 +28%) dénotent de manière négative.

12 12 Tabel 5a Aperçu 2015 du volume CT_other et distribution (MOY, MED et P75) Province/Région % Tot % DAI MOY MED P75 P75 Anvers % 29% 28, Limbourg % 33% 28, Flandre Orientale % 28% 30, Brabant Flamand % 39% 32, Flandre Occidentale % 35% 32, Région Flamande % 31% 30,1 BXL BRU % 35% 33, Brabant Wallon % 38% 38, Hainaut % 30% 29, Liège % 35% 29, Luxembourg % 34% 27, Namur % 29% 32, Wallonie % 32% 30,0 Belgique % 32% 30, Tableau 5b Evolution des valeurs moyennes, médianes et P75 Province/Région Evo Tot Evo MOY Evo MED Evo P75 Anvers 9% 10% 0% 24% Limbourg 16% 11% 14% 12% Flandre Orientale 10% 15% 17% 28% Brabant Flamand 10% 20% 17% 15% Flandre Occidentale 12% 6% 17% 19% Région Flamande 11% 12% BXL BRU 9% 10% 8% 10% Brabant Wallon 3% 30% 100% 87% Hainaut 13% 9% 11% 9% Liège 17% 14% 0% 19% Luxembourg 16% 8% 11% 5% Namur 12% 1% 15% 3% Wallonie 14% 10% Belgique 12% 11% 0% 19%

13 13 DÉLAIS D ATTENTE IRM Tableau 6 Aperçu du volume IRM Légende : nombre total de prestations IRM attestées % Tot : quote part de la province dans le total des prestations attestées % DAI: % prestations du total avec un délai d'attente inconnu MOY : délai d'attente moyen MED : délai médian P75 : percentile 75 du délai d'attente P75 : index provincial de la valeur P75 par rapport au P75 national (=100) Evo tot: évolution du nombre total de prestations IRM Evo MOY: évolution du délai d'attente moyen Evo MED: évolution de la valeur médiane du délai d'attente Evo 75: évolution du délai d'attente P75 Tabel 6a Aperçu 2015 du volume IRM et distribution (MOY, MED et P75) Province/Région % Tot % DAI MOY MED P75 P75 Anvers % 13% 39, Limbourg % 13% 34, Flandre Orientale % 14% 37, Brabant Flamand % 28% 39, Flandre Occidentale % 13% 34, Région Flamande % 15% 37,0 BXL BRU % 17% 43, Brabant Wallon % 21% 67, Hainaut % 14% 47, Liège % 15% 48, Luxembourg % 11% 41, Namur % 14% 54, Wallonie % 15% 48,6 Belgique % 15% 40, Les différences nord-sud sont à remarquer, avec Bruxelles au milieu du lit : alors que les provinces flamandes se situent de 5% à 23% en-dessous du P75 national, les wallonnes se situent 14% à 139% au-dessus. Ceci pourrait notamment s expliquer par la croissance moins importante des cas d IRM attestés en Flandre (+29%) qu en Wallonie (+44% - national +35%), mais d autre part, dans beaucoup de provinces (Anvers, Flandres Orientale et Occidentale, Luxembourg (et Brabant Wallon)) une croissance beaucoup plus forte des valeurs des P75 que celle du nombre de cas IRM est constatée.

14 14 Tableau 6b Evolution des valeurs moyennes, médianes et P75 Province/Région Evo Tot Evo MOY Evo MED Evo P75 Anvers 22% 23% 44% 45% Limbourg 43% 17% 25% 25% Flandre Orientale 29% 32% 43% 42% Brabant Flamand 41% 24% 62% 37% Flandre Occidentale 23% 35% 75% 62% Région Flamande 29% 27% BXL BRU 43% 8% 19% 12% Brabant Wallon 11% 24% 11% 69% Hainaut 45% 21% 23% 33% Liège 49% 12% 10% 16% Luxembourg 20% 26% 50% 56% Namur 48% 23% 26% 35% Wallonie 44% 18% Belgique 35% 21% 33% 29% INTENSITE AMI DE L EXPLOITATION DES IRM Tenant compte de la localisation des IRM agréés, l intensité AMI de cet équipement peut être calculée, à savoir «quel est le nombre moyen de prestations IRM attestées annuellement par appareil à l AMI»? Le niveau de l intensité AMI peut être influencée par : 1. L organisation interne de l institution visant une exploitation optimale du matériel disponible 2. L attestation de prestations IRM à des bénéficiaires non-ami (CI 5, OTAN, UE, non assurés) 3. L utilisation du matériel pour des finalités de recherche scientifique et les différences de pathologies au sein de la population patient 4. Les variations au niveau de l offre IRM dans une région donnée. Cette intensité AMI est présentée dans les tableaux 7 et est calculée pour l ensemble des prestations IRM, donc également les non planifiées 6. Tableau 7 Intensité AMI de l'exploitation des IRM et comparaison avec la moyenne nationale (=100) Légende Nombre de combinaisons unqiues "patient date de la prestation" = nombre d'attestations de prestations IRM au même patient le même jour dans la même institution INTENSITE AMI IRM = nombre de combinaisons uniques/nombre de IRM par institution Intensité AMI: index de l'intensité AMI provinciale en comparaison avec l'intensité AMI nationale (=100) = total du nombre de combinaisons unqiues Int. AMI = Intensité AMI int. AMI: index de l'intensité AMI en comparaison avec l'intensité AMI nationale (=100) 5 Les bénéficiaires conventions internationales (CT1 = x8x) ne sont actuellement pas présents au sein de la BD AIM 6 Les chiffres des nombre de prestations des tableaux 7 sont donc supérieurs à ceux des tableaux 6

15 15 Tableau 7 IRM 2010 et 2015 Province/Région Nombre IRM Int AMI Int AMI Nombre IRM Quotepart IRM Quotepart IRM Int AMI Int AMI Evolution globale Tot Anvers 17 16% % % 3,9% Limbourg 8 7% % % 7,3% Flandre Orientale 14 13% % % 4,8% Brabant Flamand 8 7% % % 6,7% Flandre Occidentale 11 10% % % 4,0% Région Flamande 58 53% % % 5,0% BXL BRU 21 19% % % 6,9% Brabant Wallon 1 1% % % 2,0% Hainaut 13 12% % % 7,4% Liège 10 9% % % 7,9% Namur 4 4% % % 7,5% Luxembourg 2 2% % % 3,8% Wallonie 30 28% % % 7,2% Belgique % % % 5,8% La concentration d IRM à Bruxelles, en Brabant Flamand et Wallon est frappante au vu du tableau 7 : avec 31 IRM, ces régions disposent d un appareil IRM de plus que la Wallonie entière (à l exception du Brabant Wallon) et 2/3 (31 vs. 50) de la capacité IRM flamande (hors Brabant Flamand). Certes, quatre des sept hôpitaux académiques se situent dans le Brabant, qui compte également deux hôpitaux spécialisés (Bordet et HUDERF), mais on peut toutefois se demander si cette forte concentration ne constitue pas un obstacle en termes d accessibilité spatiale dans d autres régions pour cette technique : Moy Sur la base de l index d intensité AMI, il semblerait que les provinces périphériques flamandes (et ne disposant pas d hôpital académique) compensent ce phénomène avec une intensité plus élevée (Limbourg +35%, Flandre Occidentale +14%) De leur côté, le Luxembourg et Namur se voient confrontés à des intensités très basses (25% en 16% en dessous du chiffre national). Une présence plus importante de bénéficiaires non AMI dans ces provinces pourrait constituer une explication possible à cela. À Bruxelles, qui bénéficie de quasi 20% du nombre d IRM, cette surreprésentation semble avoir un impact sur la faible intensité AMI (22% en dessous du chiffre national), bien que la recherche scientifique, la présence de fonctionnaires OTAN et UE et le taux plus important de bénéficiaires non assurés au sein de la population patient peuvent aider à expliquer (en partie?) cette faible intensité. Enfin, le tableau 8 reprend la relation potentielle entre intensité AMI et délais d attente IRM. Tableau 8 Confrontation du P75 IRM avec l'intensité AMI Légende 1: nombre total de prestations IRM attestées P75 : percentile 75 du délai d'attente P75 : index provincial de la valeur P75 par rapport au P75 national (=100) 2: total du nombre de combinaisons unqiues Int. AMI = Intensité AMI int. AMI: index de l'intensité AMI en comparaison avec l'intensité AMI nationale (=100) Int/P75: rapport entre l'index intensité AMI (numérateur) et l'index P75 (dénominateur): au plus le chiffre est élevé, au mieux le résultat

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