SMEGREG Les Jardins de Gambetta 74, rue Georges Bonnac BORDEAUX. Dossier des Ouvrages Exécutés (DOE)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SMEGREG Les Jardins de Gambetta 74, rue Georges Bonnac BORDEAUX. Dossier des Ouvrages Exécutés (DOE)"

Transcription

1 SMEGREG Les Jardins de Gambetta 74, rue Georges Bonnac BORDEAUX Tel : fax : Suivi de la nappe de l oligocène Réalisation d un piézomètre F SMJ Lieu-dit «Tournay» - Saint Médard en Jalles (33) (N BSS 08027x0153) Dossier des Ouvrages Exécutés (DOE) Assistance à Maîtrise d ouvrage E.U.R.L. MARSAC-BERNEDE H ydrogéologie E nvironnement H ydraulique Capital social de 7 500, 43, rue Denfert-Rochereau Sainte Foy la Grande Tel/fax : ; Portable : ; N SIRET Code APE : 7490B Juin N

2 Juin N

3 Sommaire Liste des figures... 4 Liste des tableaux... 4 Liste des annexes Contexte des travaux Localisation du forage F SMJ Déroulement du chantier Organisation du chantier Déroulement des opérations de chantier Détails techniques des travaux du forage de «F SMJ» Coupe géologique des terrains traversés Coupe technique du forage «F SMJ» Opérations de nettoyage et de développement Pompages d essai Essai de pompage par paliers Essai de pompage longue durée Qualité de l eau Opérations de réception du forage Recommandations pour l exploitation du forage Juin N

4 Liste des figures Figure 1 : Localisation du piézomètre F SMJ sur fond IGN... 6 Figure 2 : Situation du piézomètre FSMJ sur plan cadastrale (Section AB commune de Saint Médard en Jalles)... 7 Figure 3 : Coupe géologique du forage «F SMJ» - corrélation avec les diagraphies...13 Figure 4 : Coupe géologique et technique du forage «F SMJ» (08027x0153)...16 Figure 5 : Pompage d essai par paliers du 12 décembre 2013 Evolution des niveaux en fonction du temps Forage «F SMJ»...17 Figure 6 : Courbes caractéristiques du forage «F SMJ»...19 Figure 7 : Evolution des niveaux d eau dans le forage de «SMJ» - pompage d essai de 72 heures (du 13 au 16/12/2013)...20 Figure 8 : Diagramme de Piper, eaux brutes du forage «F SMJ»...22 Liste des tableaux Tableau 1 : Localisation du forage FSMJ coordonnées géographiques et cadastrales... 5 Tableau 2 : Débits spécifiques du forage «F SMJ» pour un temps de référence de 1.5 h...18 Tableau 3 : Caractérisation du potentiel de dissolution du plomb dans l'eau en fonction du ph...22 Tableau 4 : Calcul de l indice de Larson Forage F SMJ...23 Tableau 5 : Résultats des analyses physico-chimiques et bactériologiques du forage de «Saint Médard» (16 décembre 2013)...23 Liste des annexes Annexe 1 : Justificatifs de l origine des tubages et du gravier...29 Annexe 2 : Comptes rendus journaliers Entreprise Forages MASSE...35 Annexe 3 : Diagraphies 21 novembre 2013 HYDROASSISTANCE...61 Annexe 4 : Analyses biostradigraphiques ERRADAT...63 Annexe 5 : Comptes rendus de pompage...79 Annexe 6 : Analyses d eau...87 Juin N

5 1. Contexte des travaux La Communauté urbaine de Bordeaux a décidé de diversifier sa ressource en eau potable en réalisant le «pôle de production d eau potable de substitution des environs de Sainte Hélène». La création de ce pôle va entraîner une intensification locale très significative des prélèvements dans la nappe de l Oligocène. Afin de mieux appréhender l incidence de ces prélèvements sur l équilibre de la nappe, le SMEGREG a pour mission la conduite des études de faisabilité de ce projet. Dans ce cadre, il assure la maîtrise d ouvrage et la maîtrise d œuvre de deux piézomètres destinés à : o Améliorer la connaissance géologique ; o Caractériser la qualité de l eau ; o Préciser les paramètres hydrodynamiques de l aquifère afin d améliorer le modèle mathématique utilisé pour simuler l impact du champ captant à créer sur la nappe de l Oligocène. Les piézomètres ont été réalisés entre novembre 2013 et avril Ce sont : F «SMJ» situé sur la commune de Saint Médard en Jalles, au lieu-dit «Tournay» ; F «SH» situé sur la commune de Sainte Hélène, au lieu-dit «Touriac» Le présent document constitue le compte rendu de fin de travaux conforme à l article 10 de l arrêté ministériel du 11 septembre 2003 du piézomètre F SMJ. 2. Localisation du forage F SMJ (Figures 1 et 2) Le piézomètre est implanté en limite nord d une plateforme de compostage de déchets verts localisée au nord de la RD 107, à l ouest de la commune de Saint Médard en Jalles. Il se situe à proximité d un forage de faible profondeur captant la nappe plio quaternaire et d une bâche de reprise. Tableau 1 : Localisation du forage FSMJ coordonnées géographiques et cadastrales Nom du Forage N BSS X (km) Lambert II étendu Y (km) Lambert II étendu Z (m NGF) N parcelle cadastrale F SMJ 08027x AB Commune Saint Médard en Jalles Juin N

6 Figure 1 : Localisation du piézomètre F SMJ sur fond IGN Juin N

7 Figure 2 : Situation du piézomètre FSMJ sur plan cadastrale (Section AB commune de Saint Médard en Jalles) Juin N

8 3. Déroulement du chantier 3.1. Organisation du chantier Maître d ouvrage : SMEGREG Les Jardins de Gambetta 74 rue Georges Bonnac BORDEAUX Tel : fax : Maître d œuvre : SMEGREG Les Jardins de Gambetta 74 rue Georges Bonnac BORDEAUX Tel : fax : Entreprise titulaire du marché de travaux : Assisté de MARSAC-BERNEDE H.E.H. 43 rue Denfert Rochereau SAINTE FOY LA GRANDE Tel/fax : Forage Massé Lieu-dit «Hérisson» CHANTEMERLE SUR LA SOIE Tel : Fax : Déroulement des opérations de chantier Le forage a été implanté contradictoirement en présence du SMEGREG, du gestionnaire de la plateforme de compostage et de l entreprise. La coupe technique du forage de «F SMJ» est décrite au Les comptes rendus journaliers de l entreprise «Forages Massé» sont donnés en annexe 2. Du 5 au 6 novembre 2013 : o Amenée et mise en place de l atelier de forage au rotary sur le site de Saint Médard en Jalles ; Juin N

9 Le 7 novembre 2013 : o Mise en place du tube de tête en acier de diamètre 323 mm jusqu à 8,30 m de profondeur ; Du 12 au 15 novembre 2013 : o Creusement en diamètre 311 mm de 8,30 à 38 m (perte importante de boue) ; o Pose du tubage acier de diamètre 244 mm de 0 à 38 m, cimentation de l espace annulaire à l aide de cannes (préparation de kg de ciment) ; Le 18 novembre 2013 : o Complément de ciment (préparation de kg de ciment) ; o Forage du bouchon de ciment en diamètre 209 mm. Du 19 au 20 novembre 2013 : o Forage au rotary en diamètre 219 mm de 38 à 117 m de profondeur ; Le 21 novembre 2013 : o Réalisation de diagraphie gammaray et électrique par la société Hydroassistance. Le 25 novembre 2013 o Contrôle du forage ; Le 26 novembre 2013 : o Mise en place du tube acier diamètre 168 mm entre et 117 m de profondeur ; Le 27 novembre 2013 : o Cimentation sous pression du tubage 168 mm (2 310 kg de ciment), chasse à l eau claire (630 l) ; Le 28 novembre 2013 : o Fabrication de 350 kg de ciment et complément de cimentation ; Du 2 au 6 décembre 2013 : o Forage au rotary à l eau en diamètre 152 mm de 117 à 211,50 m de profondeur ; Le 9 décembre 2013 : o Contrôle du forage ; o Mise en eau claire ; Le 10 décembre 2013 : o Mise en place de la colonne de captage en PVC, entre 103,86 m et 210,36 m de profondeur ; o Mise en place du massif de graviers (granulométrie 2.5/5 mm) sous air lift (96 sacs de 15 l) ; o Début de nettoyage ; Le 11 décembre 2013 : o Nettoyage à l air lift durant 2 heures ; o Contrôle du top gravier et complément de gravier (24 sacs) ; Juin N

10 o Développement du forage à la pompe électrique, débit compris entre 10 et 50 m 3 /h ; Le 12 décembre 2013 : o Pompage d essai par paliers (15, 30, 40 et 50 m 3 /h) Du 13 au 16 décembre 2013 : o Pompage d essai «longue durée» (40 m 3 /h) ; o Prélèvement pour analyse le 16 décembre par le laboratoire des Pyrénées ; Les 17 et 18 décembre 2013 : o Aménagement de la tête de forage ; o Repli du matériel ; o Nettoyage du chantier. 4. Détails techniques des travaux du forage de «F SMJ» 4.1. Coupe géologique des terrains traversés La coupe géologique du forage est donnée en figure 3. Lorsqu il a été supposé que le forage avait atteint la base des formations du Miocène, des diagraphies ont été réalisées par la société Hydroassistance : o Gammaray : mesure du rayonnement gamma naturel des terrains en fonction de la profondeur ; o Electriques : mesures de la résistivité apparente des terrains en fonction de la profondeur. La société ERADATA a également procédé à l analyse bio stratigraphique de 4 échantillons prélevés dans les cuttings de forage représentant les terrains à 46, 71, 102 et 116 m de profondeur. Le compte rendu de ces analyses est donné en annexe 3. Le BRGM a également relevé la coupe géologique du forage jusqu à 117 m de profondeur L examen des déblais de forage corrélé avec le résultat des diagraphies et les données bio stratigraphique a permis d établir la succession stratigraphique suivant : Plio Quaternaire : o De 0 à 8 m : Sables des Landes ; o De 8 à 14 m : Argile gris clair à gris foncé formation de Brach ; o De 14 à 36 m : Gravier et sable grossier avec quelques passages argileux Formation de Belin ; o De 36 à 40 m : Argile de Lynx Miocène Miocène moyen o De 40 à 45 m : Grés calcaire ; Juin N

11 Miocène inférieur o De 45 à 47 m : Argile gris vert (Burdigalien terminal); o De 47 à 70 m : alternance de grés calcaire coquillier gris vert et de marne et argile (Burdigalien) ; o De 70 à 75 m : Argile verte et grés calcaire (Burdigalien inférieur) ; o De 75 à 80 m : Marne verte et calcaire gréseux (Burdigalien inférieur) ; o De 80 à 102 m : Calcaire gréseux coquillier (Aquitanien) o De 102 à 110 m : Alternance de calcaire bioclastique et d argile (Aquitanien). Oligocène o De 110 à 116 m : Argile gris vert et marne (Chattien) ; o De 116 à 194 m : Calcaire beige foncé à clair, bioclastique, à passages peu épais d argile verte ou grise ; o De 194 à 204 m : Idem avec augmentation des passages argileux o De 204 à 211 m : Argile verte à marron foncé. Trois niveaux sont susceptibles d être aquifères : o Les sables et graviers plio quaternaires ; o Les calcaires gréseux coquilliers miocènes ; o Les calcaires bioclastiques oligocènes. Les calcaires oligocènes sont l objectif du forage. Les deux premiers niveaux aquifères ont donc été occultés par un tubage acier cimenté à l extérieur. Juin N

12 Juin N

13 Figure 3 : Coupe géologique du forage «F SMJ» - corrélation avec les diagraphies Juin N

14 Juin N

15 4.2. Coupe technique du forage «F SMJ» La coupe technique du forage a été déduite de la coupe géologique décrite cidessus. Les formations du Quaternaire et du Miocène ont été occultées par la mise en place d un tubage acier cimenté à l extérieur jusqu à 117 m de profondeur. L aquifère calcaire de l Oligocène a été capté entre 117 et 202,36 m de profondeur. Les fiches techniques des tubages et du gravier sont données en annexe 1. La coupe technique du forage est : Forage o De 0 à 8,30 m : diamètre 323 mm ; o De 8,30 à 38 m : diamètre 311 mm ; o De 38 à 117 m : diamètre 219 mm ; o De 117 à 211 m : diamètre 152 mm. La mesure du diamètre du forage réalisée avant la pose du tubage en acier de diamètre 244 mm, montre un élargissement du forage à la base du tubage de diamètre 323 mm, le diamètre du forage est ensuite régulier jusqu à 117 m. Son diamètre n a pas été mesuré au-delà de cette profondeur. Equipement o De 0 m à 8.3 m : tube acier, diamètre 323 mm ; o De +0.5 m à 38 m : tube acier diamètre 244 mm, épaisseur 7,1 mm ; o De +0,5 à 117 m : tube acier, diamètre extérieur 168 mm, épaisseur 4 mm, trois centreurs à 36, 72 et 114 m, raccords soudés ; o De à m : tube PVC de diamètre 76x90 mm, raccord vissé ; o De à m : tube PVC crépiné de diamètre 76x90 mm, raccord vissé ; o De à m : tube PVC de diamètre 76x90 mm, fond plat, raccord vissé. Espace annulaire o De 0 à 38 m : Cimentation gravitaire, volume 800 l, ciment CPA 55 ; o De 0 à 117 m : Cimentation sous pression, ciment CPA 55, densité : 1,8 ; o De à 211 : Gravier roulé, granulométrie 2,5/5 mm, volume injecté 1.4 m 3 (volume théorique = 1,3 m 3 ). Juin N

16 Figure 4 : Coupe géologique et technique du forage «F SMJ» (08027x0153) Juin N

17 4.3. Opérations de nettoyage et de développement Après la mise en place de la colonne de captage et du massif de graviers, le forage a été mis en eau claire. Un pompage à l air lift a ensuite été conduit jusqu à obtention d eau claire. La partie aquifère du forage ayant été creusée au rotary à l eau, aucun traitement chimique n a été réalisé Pompages d essai Un pompage d essai par paliers et un pompage d essai de «longue durée» ont été réalisés à la pompe électrique. Les comptes rendus des essais de pompage sont donnés en annexe Essai de pompage par paliers Un essai de pompage par paliers a été réalisé 12 décembre Quatre paliers de 1,5 heure chacun ont été réalisés aux débits de 15 m 3 /h, 30 m 3 /h, 40 m 3 /h et 50 m 3 /h. Ils étaient séparés par l observation de la remontée des niveaux durant 1.5 heures. Le niveau statique du forage se situait à 6.24 m sous le sol avant les essais. Le graphique ci-dessous et le tableau 1 donnent les caractéristiques du pompage d essai par paliers de débits réalisé le 12 décembre Figure 5 : Pompage d essai par paliers du 12 décembre 2013 Evolution des niveaux en fonction du temps Forage «F SMJ» Juin N

18 Tableau 2 : Débits spécifiques du forage «F SMJ» pour un temps de référence de 1.5 h N palier Débit (m 3 /h) Rabattement (m) Débit spécifique (m 3 /h/m) Le débit spécifique du forage est bon compte tenu du faible diamètre de la crépine (90 mm), il est de l ordre de 5 m 3 /h/m pour un débit de 15 m 3 /h. L interprétation des résultats des essais par paliers a permis de définir les coefficients de pertes de charge linéaires et quadratiques suivants : Avec : s : le rabattement en m ; Q : le débit en m 3 /h ; s =BxQ + CxQ² B = 0.17 h/m² : les pertes de charges linéaires induites par la nappe. Elles représentent un rabattement de 2,60 m pour un débit de 15 m 3 /h. C = h²/m 5 : les pertes de charge quadratiques liées à l équipement du forage, Elles représentent un rabattement de 31 cm pour un débit de 15 m 3 /h. Les pertes de charges quadratiques du forage sont faibles. Le débit critique de l ouvrage n a pas été atteint. Juin N

19 Figure 6 : Courbes caractéristiques du forage «F SMJ» Essai de pompage longue durée Un pompage d essai de 72 heures a été réalisé entre le 13 et le 16 décembre 2013 au débit de 40 m 3 /h. Le niveau d eau se situait à 6,30 m sous le sol au début du pompage. Cet essai a pour objectif d évaluer les caractéristiques hydrodynamiques de l aquifère capté : o T = transmissivité (m²/s), elle représente l aptitude de l aquifère à laisser transiter l eau, c est le produit de la perméabilité K (m/s) par l épaisseur productive ; o S = coefficient d emmagasinement (sans unité) représente la capacité de l aquifère à libérer l eau qu il stocke. Juin N

20 Figure 7 : Evolution des niveaux d eau dans le forage de «SMJ» - pompage d essai de 72 heures (du 13 au 16/12/2013) L essai de pompage «longue durée» a été interprété par application du modèle analytique de Cooper Jacob applicable à une nappe captive, isotrope et infinie à l aide du logiciel OUAIP développé par le BRGM. A l échelle locale, l aquifère de l Oligocène capté par le forage répond à ces spécificités. Les valeurs déterminées sont : Juin N

21 o T = m²/s ; o K = m/s ; o S = La nappe de l Oligocène captée par le forage de «F SMJ» est captive, sa transmissivité est moyenne Qualité de l eau Un prélèvement d eau a été réalisé le 16 décembre 2013, à la fin de l essai de pompage de 72 heures, par le laboratoire Lpl (laboratoires des Pyrénées et des Landes). Une analyse complète de type RP a été réalisée, le compte rendu est fourni en annexe 5. Les résultats révèlent une eau moyennement minéralisée avec une conductivité de 421 µs/cm (à 25 C) et un ph basique de 7,96. C est une eau peu dure avec un titre hydrotimétrique de 14,8 F. Le diagramme de Piper ci-dessous indique que l eau brute du forage «F SMJ» possède un faciès chimique de type bicarbonatée calcique et magnésienne, classique pour l aquifère de l Oligocène. L eau présente une légère contamination bactérienne imputable probablement aux conditions de prélèvement en phase chantier, elle est exempte de germes d origine fécale. Les nitrates, les pesticides et les substances toxiques n ont pas été détectés Les différents métaux lourds dosés n ont pas été détectés ou sont présents à l état de trace. L eau brute a une concentration en fer dissous inférieur à la référence de qualité (30 µg/l référence de qualité 200 µg/l). Le fer total n a pas été dossé. La turbidité mesurée est de 0,23 NFU. Juin N

22 Figure 8 : Diagramme de Piper, eaux brutes du forage «F SMJ» D après le tableau 7, l eau brute, dont le ph est de 7.96, a un pouvoir de dissolution du plomb moyen. Tableau 3 : Caractérisation du potentiel de dissolution du plomb dans l'eau en fonction du ph Classe de référence Caractérisation du potentiel de dissolution du plomb ph 7,0 Très élevé 7,0 < ph 7,5 Elevé 7,5 < ph 8,0 Moyen 8,0 < ph Faible Juin N

23 La tendance à la corrosion d une eau peut être identifiée par deux indices : 1. Indice de Leroy : cet indice est égal au rapport du TAC sur TH. L eau est considérée comme non corrosive pour un indice compris entre 0,7 et 1,3. La valeur de cet indice pour le forage F SMJ est de 1 pour un TAC de 14.8 F et un TH de 14.8 F, 2. Indice de Larson : cet indice est de 0,7 pour le forage F SMJ (Cf tableau suivant) Tableau 4 : Calcul de l indice de Larson Forage F SMJ Cl - (mg/l) SO 2-4 (mg/l) HCO - 3 (mg/l) IC F SMJ Ic < à à à 1 >1 Tendance Pas de tendance à la corrosion Faible tendance Légère tendance Tendance moyenne Nette tendance à la corrosion D après ces indices, l eau a une tendance moyenne à légère à la corrosion. Tableau 5 : Résultats des analyses physico-chimiques et bactériologiques du forage de «Saint Médard» (16 décembre 2013) Eléments et paramètres Eau brute (16/12/2013) Norme eau brute arrêté 11 janvier 2007 Référence de qualité Eau souterraine Norme eau de distribution arrêté 11 janvier 2007 Limite de qualité Référence de qualité Micro-organismes revivifiables à 36 C en UFC/ml 26 Micro-organismes revivifiables à 22 C en UFC/ml 19 Bactéries coliformes /100ml Entérocoques /100 ml Escherichia coli /100ml Spores de bactéries anaérobie / 100 ml 0 Température en C Turbidité en NFU 0,23 1 0,5 à 2 ph à 20 C ,5<pH<9 Conductivité à 20 C en µs/cm <C<1000 Oxygène dissous en mg/l 6.76 Titre alcalimétrique complet en F 14.8 Titre hydrotimétrique en F 14.8 Calcium en mg/l 43.2 Magnésium en mg/l 9.68 Sodium en mg/l Potassium en mg/l 2.27 Hydrogénocarbonates en mg/l 180 Carbonates en mg/l <6 Sulfates en mg/l Silice en mg/l 11.9 Chlorures en mg/l Ammonium (NH4) en mg/l * Nitrates en mg/l <0, Juin N

24 Eléments et paramètres Eau brute (16/12/2013) Norme eau brute arrêté 11 janvier 2007 Référence de qualité Eau souterraine Norme eau de distribution arrêté 11 janvier 2007 Limite de qualité Référence de qualité Nitrites en mg/l <0,02 0,1 Carbone organique total en mg/l 0, Phosphore total en mg/l Orthophosphates (mg/l) <0.06 Fluorures en mg/l ,5 Fer dissous en µg/l Fer total en µg/l Manganèse total en µg/l <5 50 Arsenic en µg/l < Bore en µg/l Sélénium en µg/l < Aluminium en µg/l <10 Cadmium en mg/l <1 5 5 Antimoine en µg/l <2 5 Mercure en µg/l 1 1 Baryum en µg/l Nickel en mg/l < Indice Hydrocarbures totaux en µg/l < Benzène en µg/l 1 Trichloroéthylène en µg/l < Tétrachloroéthylène en µg/l <1 Somme des 2 Pesticides totaux en µg/l < SD 5 0,5 Pesticide par molécule en µg/l <SD Fluoranthène (HAP) en µg/l Benzo(b)fluoranthène (HAP) en µg/l Benzo(k)fluoranthène (HAP) en µg/l Benzo (a) pyrène (HAP) en µg/l Benzo(ghi)pérylène (HAP) en µg/l Indénol(1,2,3-cd)pyrène (HAP) en µg/l 1 pour les 6 HAP 0.1 pour les 5 HAP 0.01 pour benzo(a) pyrène Activité alpha globale en Bq/l < ,1 Activité béta en Bq/l Dose totale indicative (DTI) en msv/an 0,1 Tritium en Bq/l < * Si origine naturelle, sinon 0,1 mg/l Aucun élément dosé ne dépasse la limite de qualité. Le mercure, le baryum, le fer total, le benzène et les HAP n ont pas été dosés. L activité alpha étant supérieure à 0.1 Bq/l, la dose totale indicative (DTI) devra être mesurée. Pour les paramètres recherchés, l eau est conforme à une utilisation «eau potable» Opérations de réception du forage Les opérations de réceptions du forage ont été réalisées le 13 mai 2014 par la société HYDOASSISTANCE. Elles ont consisté en : Examen endoscopique : Caméra numérique couleur à visées axiale et radiale, réalisé sans pompage : de 0 à 209,60 mètres Pompage : pompe immergée, diamètre 6", installée à 24 m/repère, débit pompe de 46 m 3 /h Diagraphies de production en pompage (Q = 46 m3/h) Juin N

25 Température, conductivité, flux : de 70 à 208 mètres CBL/VDL (contrôle de cimentation) : de 5 à 104 mètres Mesure de verticalité : de 0 à 208 mètres Le repère des mesures se situait à 0,53 m au-dessus du sol. Le niveau d eau se situait à 6,95 m sous le repère avant les tests. La coupe technique du forage est conforme. La chambre de pompage et la crépine sont propres. Le massif de graviers est observable au travers des crépines. Un dépôt meuble est présent au fond du forage. Les mesures de flux au micro moulinet montrent que l eau est produite sur toute la quasi-totalité de la hauteur de la crépine, la répartition des arrivées d eau est donnée ci-dessous. 5.4% du débit sont produits entre et mètres, 10.2% du débit sont produits entre et mètres, 10.4% du débit sont produits entre et mètres, 21.7% du débit sont produits entre et mètres, 20.4% du débit sont produits entre et mètres, 0.5% du débit sont produits entre et mètres, 16.1% du débit sont produits entre et mètres, 3.3% du débit sont produits entre et mètres, 6.7% du débit sont produits entre et mètres, 5.3% du débit sont produits entre et mètres Les mesures de température et de conductivité de l eau en fonction de la profondeur en statique et sous pompage ne montrent pas d anomalie, des points d inflexion sont observés au droit des principales arrivées d eau. Les caractéristiques moyennes de la colonne d'eau sont les suivantes : au début des mesures, à mètres : o temperature : 16.6 C o conductivité : 435 μs/cm (corrigée à 25 C) à la base des mesures, a mètres : o température : 17.3 C o conductiviteé : 442 μs/cm (corrigée à 25 C) Le contrôle de cimentation a révélé une cimentation très satisfaisante de la chambre de pompage Recommandations pour l exploitation du forage Le forage F SMJ réalisé pour servir de piézomètre n a pas vocation à être exploité. Cependant, la plateforme de compostage peut être amenée à exploiter le forage pour l alimentation des sanitaires. Les caractéristiques hydrodynamiques de l ouvrage sont moyennes avec un débit spécifique de l ordre de 5 m 3 /h par mètre de rabattement (temps de référence 1.5 heures) pour un débit d exploitation de 15 m 3 /h. Juin N

26 Le pompage de 72 heures au débit de 40 m 3 /h a montré que le forage peut être exploité à ce débit dans l état actuel de la nappe de l Oligocène. Le débit nécessaire à l alimentation des sanitaires sera nettement inférieur. Pour un prélèvement inférieur à m 3 /an, aucune procédure au titre du code de l environnement ne sera nécessaire. Pour un prélèvement supérieur, il sera soumis à déclaration pour un débit d exploitation inférieur à 8 m 3 /h. La qualité de l eau est bonne, sans trace de pollution significative. Si un usage «eau potable» est souhaité, il conviendra de mener à terme la procédure «code de la santé publique». L inspection vidéo après travaux a montré que la coupe technique de l ouvrage est conforme. Juin N

27 ANNEXES Annexe 1 : Justificatifs de l origine des tubages et du gravier Annexe 2 : Comptes rendus journaliers Entreprise Forages MASSE Annexe 3 : Diagraphies 21 novembre 2013 HYDROASSISTANCE Annexe 4 : Analyses biostradigraphiques ERRADAT Annexe 5 : Comptes rendus de pompage Annexe 6 : Analyses d eau Juin N

28 Juin N

29 Annexe 1 : Justificatifs de l origine des tubages et du gravier Juin N

30 Juin N

31 Juin N

32 Juin N

33 Juin N

34 Juin N

35 Annexe 2 : Comptes rendus journaliers Entreprise Forages MASSE Juin N

36 Juin N

37 Juin N

38 Juin N

39 Juin N

40 Juin N

41 Juin N

42 Juin N

43 Juin N

44 Juin N

45 Juin N

46 Juin N

47 Juin N

48 Juin N

49 Juin N

50 Juin N

51 Juin N

52 Juin N

53 Juin N

54 Juin N

55 Juin N

56 Juin N

57 Juin N

58 Juin N

59 Juin N

60 Juin N

61 Annexe 3 : Diagraphies 21 novembre 2013 HYDROASSISTANCE Juin N

62 Juin N

63 Annexe 4 : Analyses biostradigraphiques ERRADAT Etude 243/12-13/FR Juin N

64 Juin N

65 Juin N

66 Juin N

67 Juin N

68 Juin N

69 Juin N

70 Juin N

71 Juin N

72 Juin N

73 Juin N

74 Juin N

75 Juin N

76 Juin N

77 Juin N

78 Juin N

79 Annexe 5 : Comptes rendus de pompage Juin N

80 Juin N

81 Juin N

82 Juin N

83 Juin N

84 Juin N

85 Juin N

86 Juin N

87 Annexe 6 : Analyses d eau Juin N

88 Juin N

89 Juin N

90 Juin N

91 Juin N

92 Juin N

93 Juin N

94 Juin N

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Présentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com

Présentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com 1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.

Plus en détail

- - - - - - - - - - - - - - - o o o o - - - - - - - - - P (mm) 140 120 100 80 60 40 20 0 Janvier Février Diagramme ombrothermique sur la vallée de la Bresle Mars Avril Mai Juin Hauteur moyenne des

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires

L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l

Plus en détail

Région du lac de Gras

Région du lac de Gras E. Davey and W. Puznicki le 3 août 1997 Division de la gestion des eaux Affaires indiennes et du Nord canadien, Yellowknife (T. N.-O.) Résumé Dans ce rapport, on présente les résultats d'une étude sur

Plus en détail

Centre d expertise en analyse environnementale du Québec GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT

Centre d expertise en analyse environnementale du Québec GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT Centre d expertise en analyse environnementale du Québec Programme d accréditation des laboratoires d analyse GRILLE D ÉVALUATION SYSTÈME DE MANAGEMENT Nom du laboratoire : N o du laboratoire : Date de

Plus en détail

Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre

Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007

Plus en détail

VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE

VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie

Plus en détail

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement

Plus en détail

For the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention

For the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE

CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée

Plus en détail

inspection, nettoyage et désinfection

inspection, nettoyage et désinfection Réservoirs et canalisations d eau destinée à la consommation humaine : inspection, nettoyage et désinfection GUIDE TECHNIQUE Ce guide a été réalisé à l initiative du ministère chargé de la santé MINISTÈRE

Plus en détail

Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux

Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux département Aménagement et Développement Durables Réseau Scientifique et Technique Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux

Plus en détail

16- Grand lac Shaw Portrait 2006

16- Grand lac Shaw Portrait 2006 Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude

Plus en détail

Délégation du Service Public de l Eau Potable

Délégation du Service Public de l Eau Potable DEPARTEMENT DU RHONE Délégation du Service Public de l Eau Potable Dossier de Consultation des Entreprises Pièce n 2 Mémoire Explicatif 1 PRESENTATION DU SERVICE 1.1 Les ressources 1.1.1 Origine de l eau

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

Est-elle bonne à boire?

Est-elle bonne à boire? Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent

Plus en détail

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

ETUDE DE LA QUALITE PHYSICO CHIMIQUE ET BACTERIOLOGIQUE DES EAUX SOUTERRAINES DE LA NAPPE PLIO-QUATERNAIRE DANS LA RÉGION DE MEKNÈS (MAROC)

ETUDE DE LA QUALITE PHYSICO CHIMIQUE ET BACTERIOLOGIQUE DES EAUX SOUTERRAINES DE LA NAPPE PLIO-QUATERNAIRE DANS LA RÉGION DE MEKNÈS (MAROC) Larhyss Journal, ISSN 1112-3680, n 14, Juin 2013, pp. 21-36 2013 Tous droits réservés ETUDE DE LA QUALITE PHYSICO CHIMIQUE ET BACTERIOLOGIQUE DES EAUX SOUTERRAINES DE LA NAPPE PLIO-QUATERNAIRE DANS LA

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL 2013. Réseaux d eau potable Règlement de l Ontario 170/03. Table 1Information du système d eau potable

RAPPORT ANNUEL 2013. Réseaux d eau potable Règlement de l Ontario 170/03. Table 1Information du système d eau potable RAPPORT ANNUEL 2013 Table 1Information du système d eau potable Numéro du réseau d eau potable : 220003207 Nom du réseau d eau potable : Propriétaire du réseau d eau potable : Catégorie de réseau d eau

Plus en détail

d'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE

d'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

2.1 Tarifs... 6 2.2 Délibérations... 7 2.3 Facture d eau type pour une consommation de 120 m³... 7 2.4 Recettes d exploitation...

2.1 Tarifs... 6 2.2 Délibérations... 7 2.3 Facture d eau type pour une consommation de 120 m³... 7 2.4 Recettes d exploitation... Exercice 2012 Rapport annuel sur le Prix et la Qualité du Service Public de l Eau potable Eau du robinet : source de minéraux Des contrôles pour une eau sûre L exigence de qualité Syndicat des Eaux de

Plus en détail

Journée «Eau et Assainissement

Journée «Eau et Assainissement Journée «Eau et Assainissement Enjeux et qualité de l eau sur le territoire du SAGE ATG Véronique GONZALEZ 23/01/2014 2 Agence Régionale de Santé Bretagne Origine des ARS : créées par l article 118 de

Plus en détail

PREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale.

PREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. 1 PREAMBULE Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. Les élus souhaitent disposer d'une analyse exacte de la situation actuelle,

Plus en détail

Révision de la numérotation des règlements

Révision de la numérotation des règlements Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. LIENS AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES 1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable

Plus en détail

Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source

Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique

Plus en détail

La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation

La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires Guide d application de la réglementation Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement Direction

Plus en détail

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée

Plus en détail

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des

Plus en détail

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300

Plus en détail

DEPARTEMENT DE L HERAULT COMMUNE DE PUECHABON SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE

DEPARTEMENT DE L HERAULT COMMUNE DE PUECHABON SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE DEPARTEMENT DE L HERAULT 1/46 COMMUNE DE PUECHABON SCHEMA DIRECTEUR D ALIMENTATION EN EAU POTABLE Rapport final Bureau d études Méditerranéen pour l Eau et l Assainissement Mas Caussignac 1140, Avenue

Plus en détail

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles

Plus en détail

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech

Ressources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES

Plus en détail

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

Ville de Châtillon Direction des Services Techniques 40/42 boulevard Félix Faure 92230 CHATILLON

Ville de Châtillon Direction des Services Techniques 40/42 boulevard Félix Faure 92230 CHATILLON Ville de Châtillon Direction des Services Techniques 40/42 boulevard Félix Faure 92230 CHATILLON Contruction d une école élémentaire Angle des rues Gay Lussac et Jean Jaurès CHATILLON (92) - - DOSSIER

Plus en détail

Présentation : A. A. TOSSA

Présentation : A. A. TOSSA LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)

Plus en détail

Impacts potentiels de la géothermie très basse énergie sur le sol, le sous-sol et les eaux souterraines Synthèse bibliographique

Impacts potentiels de la géothermie très basse énergie sur le sol, le sous-sol et les eaux souterraines Synthèse bibliographique Impacts potentiels de la géothermie très basse énergie sur le sol, le sous-sol et les eaux souterraines Synthèse bibliographique Rapport final BRGM/RP-59837-FR Février 2012 Impacts potentiels de la géothermie

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine

Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de

Plus en détail

ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z

ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène

SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005 République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie

Plus en détail

BRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public

BRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit Varachamp M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public BRGM Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Etude d'aptitude des sols pour la réalisation d'un lagunage Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93 Document non public

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Matériel de laboratoire

Matériel de laboratoire Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

TITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes

TITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles

Plus en détail

Construction et mise en œuvre d un simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain BRGM/RP-62998-FR

Construction et mise en œuvre d un simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain BRGM/RP-62998-FR Construction et mise en œuvre d unn simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain Rapport final BRGM/RP-62998-FR Décembre 2013 Mots clés : modèle hydrologique, modèle géochimique, modèle

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL 2013. sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD

RAPPORT ANNUEL 2013. sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD RAPPORT ANNUEL 201 sur le prix et la qualité du service public d eau potable SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ADDUCTION D EAU DE STRASBOURG-NORD Syndicat des Eaux de Strasbourg- Nord Syndicat des Eaux et de l

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES. Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES. Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01 MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE CEOLOCIQUE NATIONAL Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01 A.S.A. DES PRODUCTEURS DE SEMENCES DE MAIS

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

Document Technique d Application

Document Technique d Application Document Technique d Application Référence Avis Technique 13/15-1273 Annule et remplace le Document Technique d Application 13/12-1140*V1 Chape non destinée à l enrobage de planchers chauffants Chape fluide

Plus en détail

Document Technique d Application. Agilia sols A

Document Technique d Application. Agilia sols A Document Technique d Application Référence Avis Technique 12/09-1553*V2 Annule et remplace le Document Technique d Application 12/09-1553*V1 Intègre le modificatif 12/09-1553*02 Mod Chape fluide à base

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL Prix Qualité Transparence 2010 1 Le présent rapport a pour objet de Présenter les différents éléments techniques et financiers relatif au prix et à la qualité

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable

GUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable GUIDE PRATIQUE Branchement d eau potable Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser un branchement d eau potable SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel Qui sont vos interlocuteurs

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

Une solution parfaitement adaptée

Une solution parfaitement adaptée INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes

Plus en détail

DISTRIBUTION D EAU POTABLE

DISTRIBUTION D EAU POTABLE Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE

Plus en détail

Dictionnaire de la banque de données des Eaux Souterraines (Bd-ES)

Dictionnaire de la banque de données des Eaux Souterraines (Bd-ES) i 1 Ministère de I'Economie, des Finances et l'industrie Dictionnaire de la banque de données des Eaux Souterraines (Bd-ES) Etude réalisée dans le cadre des actions de Service public du BRGM 98-B-205 juillet

Plus en détail

Impact environnemental des pneumatiques déchiquetés utilisés pour la construction d ouvrages en remblai

Impact environnemental des pneumatiques déchiquetés utilisés pour la construction d ouvrages en remblai Impact environnemental des pneumatiques déchiquetés utilisés pour la construction d ouvrages en remblai P. Hennebert, B. Charrasse, A. Benard, S. Lambert To cite this version: P. Hennebert, B. Charrasse,

Plus en détail

La Télégestion au service de la performance des infrastructures d eau

La Télégestion au service de la performance des infrastructures d eau La Télégestion au service de la performance des infrastructures d eau Carrefour des Gestions Locales de l Eau Nancy -19 Juin2012 Georges Saccani- Chargé de Clientèle georges.saccani@schneider-electric.com

Plus en détail

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires

Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide

Plus en détail

INSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES. du 15 janvier 2003

INSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES. du 15 janvier 2003 INSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES du 15 janvier 2003 Travaux de consolidations souterraines exécutés par injection pour les carrières de Calcaire Grossier, de gypse, de craie et les marnières 3, AVENUE

Plus en détail

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,

Plus en détail

À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE

À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu

Plus en détail

Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs. Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL

Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs. Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL MACHEREY-NAGEL Bienvenue MACHEREY-NAGEL, entreprise indépendante, fondée en 1911, son

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

RAPPORT D ÉTUDE juin 2006 N DRC 06 76471 - ERSA n 100

RAPPORT D ÉTUDE juin 2006 N DRC 06 76471 - ERSA n 100 RAPPORT D ÉTUDE juin 2006 N DRC 06 76471 - ERSA n 100 Aide pour l élaboration d un plan de surveillance des installations de refroidissement par dispersion d eau dans un flux d air (rubrique n 2921) pour

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment

Plus en détail