Points essentiels des Plans Cancers

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Points essentiels des Plans Cancers"

Transcription

1 Points essentiels des Plans Cancers UE 2. 9 Promotion Collière Janvier 2017 IFSI CHU Dijon C NOVEL Cadre de santé formateur

2 Le contexte Cancer = 1 ère cause de mortalité en France Données chiffrées en nouveaux cas par an décès par an 3 millions de personnes qui vivent avec ou après un cancer Représentation sociale négative +++ Impact sur la vie quotidienne Enjeu humain social et économique

3 Les représentations Lourdeur des traitements (effets secondaires+++) Handicap liés à la maladie et aux traitements Diagnostic qui apparait comme une véritable menace de vie notamment lors de la découverte de métastases Risque de récidive toujours présent ; on ne parle quasiment jamais de guérison mais plutôt de rémission. Impact sur la vie quotidienne : difficultés financières, perte et / ou difficulté de reprise de son activité professionnelle, difficultés à accéder à une assurance ou un prêt bancaire.

4 Origines des plans cancers 3 èmes Etats généraux de la Ligue Contre le Cancer * = manifestation organisée par la Ligue contre le cancer dans le but de faire un état des lieux de la maladie cancéreuse. Les patients et leurs familles prennent pour la première fois la parole concernant la prise en charge de leur maladie et les difficultés rencontrées tout le long de leur parcours de soins. Difficultés pour le patient et son entourage d accéder aux informations. Conditions de l annonce de la maladie ou de sa rechute difficiles. Problématique liée à la continuité et la qualité de la prise en charge de la personne malade et de son entourage. Manque d accompagnement social Engagement de faire du cancer une priorité nationale * Association loi 1901

5 3 Plans Cancer successifs 1 Plan : Plan : Plan en cours Les plans cancers s inscrivent au sein d une dimension politique

6 Plan Cancer EN 2004 création d une agence d expertise sanitaire et scientifique en cancérologie de l Etat l INSTITUT National du Cancer ( INCA) INCA =Décision inscrite dans la Loi de santé publique L INCA est chargé de coordonner les actions de lutte contre le cancer sous la tutelle du ministère des Affaires sociales : c est un GIP qui regroupe les grandes associations de lutte contre le cancer, les CAM, les organismes de recherche et les fédérations hospitalières L INCA a pour objectifs: de piloter le projet de piloter les acteurs autour de la lutte contre le cancer et d évaluer les avancées des mesures sur le terrain

7 Premier Plan Cancer ( suite) La volonté affichée est de: Rattraper le retard en prévention Mieux organiser le dépistage Apporter des soins de meilleure qualité Mieux accompagner socialement Développer la recherche

8 Premier Plan Cancer ( suite ) Mesure phare : le Dispositif d Annonce Objectif : faire bénéficier au patient des meilleures conditions d annonce de sa maladie ou de sa rechute. C est un Moment d information, de discussion et de soutien par les professionnels de santé. 3 temps: Temps médical : Annonce et présentation du Plan Personnalisé de Soins (PPS). Temps d Accompagnement Soignant (TAS). L accès aux Soins de supports

9 Premier Plan Cancer Mesure phare : le Dispositif d Annonce La consultation d annonce et les soins de support La Consultation dédiée à l annonce du diagnostic ou de la rechute de la maladie vise: A donner le diagnostic, le commenter, en respectant son désir de savoir et son rythme d appropriation. A expliquer le projet thérapeutique. A prévenir des contraintes à venir pour que le patient s organise. Les Soins de support en lien avec la complexité de la prise en charge de la maladie cancéreuse, nécessitent : Une équipe pluridisciplinaire médicale médecin généraliste, oncologue, chirurgien, radiothérapeute Une équipe non médicale : équipe soignante et professionnels des soins de support: psychologue, assistante sociale, diététicienne, socio-esthéticienne.

10 Préparer ( au mieux ) le patient à faire face au parcours qui l attend..un exemple

11 2007 : Bilan du Premier Plan Cancer Amélioration de la prise en charge des patients Mais Nombreuses mesures qui n ont que très peu abouti Bilan qui reste éloigné des résultats escomptés

12 Deuxième Plan Cancer Contexte du rapport du Professeur Grünfeld remis au gouvernement = recommandations basées sur des groupes de travail et les auditions d experts, les représentants des institutions, des associations et des patients. Objectifs principaux: Atteindre une meilleure équité* et une meilleure efficacité de l ensemble des mesures de lutte contre le cancer Personnaliser la prise en charge du patient avant, pendant et après le cancer pour permettre une meilleure qualité de vie pendant et après la maladie. Améliorer l évaluation ce qui reste difficile car peu d indicateurs de mesure *Inégalités de santé importantes en fonction des territoires en France en comparaison avec d autres pays Européens Budget alloué de 750 millions d euros

13 Deuxième Plan Cancer : axes Prévention et Dépistage. Recherche. Développement des Métiers et des formations en Cancérologie. Parcours de soins. La vie pendant et après le cancer. 30 mesures- 118 actions concrètes.

14 Les défis du 2eme Plan Cancer Permettre une meilleure prise en compte des inégalités de santé. Analyser et permettre une meilleure prise en compte des facteurs individuels et environnementaux. Renforcer le rôle du médecin traitant à tous les moments de la prise en charge. Développer une prise en charge sociale personnalisée et accompagner l après-cancer : PPAC.

15 2013 : bilan du 2ème Plan Cancer Consolidation des orientations du premier plan cancer. Points positifs: recherche, accès aux thérapeutiques, qualité de la prise en charge. Points à surveiller : démographie médicale, attentes déçues concernant la prévention et le dépistage. Des efforts à faire concernant : Le Programme Personnalisé de Soin. Le renforcement du rôle du médecin traitant.

16 3 ème Plan Cancer Recommandations du Professeur Vernant en lien avec les engagements pris depuis 10 ans Le 3 plan s inscrit dans la continuité des 2 précédents plans Objectifs : Tout mettre en œuvre pour augmenter les chances de guérison des patients. Surmonter au mieux les inégalités sociales et territoriale Investir dans la prévention et la recherche. Préserver la continuité et la qualité de vie. Optimiser le pilotage et les organisations de la lutte contre le cancer.

17 3ème Plan Cancer 6 Axes principaux: Prévention et dépistage. Parcours de soins. Recherche Clinique en Cancérologie. Continuité et qualité de vie du patient. La formation et les métiers en cancérologie. Le pilotage et les organisations de la lutte contre le cancer.

18 3ème Plan Cancer : Prévention 40% des Cancers pourraient être évités grâce à des changements de comportements individuels et collectifs. Facteurs de risque évitables : tabac, alcool, surpoids, facteurs liés à l environnement et au travail. Comportements souvent liés à des déterminants sociaux et économiques. Actions de Prévention pour les personnes ayant déjà eu un cancer Prévention du risque de cancer lié au travail et à l environnement

19 Les axes de la prévention Tabac : premier facteur de risque évitable. Plan d action en cours ( éviter entrée des jeunes dans le tabagisme, renforcement aide au sevrage, augmenter prix tabac) Alcool, tabac, surpoids augmentent risque de développer un cancer. Comportement souvent liés à des déterminants sociaux économiques : éducation nutritionnelle et promotion de l activité physique dès le plus jeune âge Virus HB et C responsable survenue cancer du foie : augmenter la couverture vaccinale pour HB (informer que la balance bénéfices/risques autour de la vaccination) Protéger population et travailleurs face au risque de cancer lié au travail et à l environnement : polluants atmosphériques

20 Le dépistage précoce Objectifs: Traiter plus efficacement. Proposer des traitements moins lourds. Augmenter les chances de guérison. Poursuivre le dépistage organisé. Favoriser la participation des personnes les plus fragiles socialement. Travailler sur les informations à donner: risques/bénéfices/limites dans le but de favoriser l adhésion du patient.

21 Le dépistage précoce Dépister plus tôt = traiter plus tôt = augmentation des chances de guérison et en limitant les traitements les plus lourds Les Précédents plans cancers ont permis la mise en place de dépistage organisés : cancer du sein (mammographie à partir de 50 ans) cancer col de l utérus (frottis à partir de 25 ans) cancer colorectal Mélanome. 3 Plan cancer = modalités de dépistage pour les cancers les plus graves ( pancréas) et les plus fréquents ( poumon ) Efforts à faire pour favoriser la participation des personnes les plus fragiles socialement à ces programmes et mieux organiser le suivi de ces patients par le médecin traitant. Travailler sur les informations à donner (transparence, risques/bénéfices/limites) afin de favoriser l adhésion.

22 Le parcours de soins : axes d amélioration Diminuer le délai d attente de la prise en charge et d accès aux examens. Organisation spécifique pour la personne âgée, l enfant et le jeune. Meilleur coordination et échange d informations entre les professionnels libéraux et hospitaliers: mise en place du dossier communiquant en cancérologie (DCC) en Accompagner au mieux les évolutions thérapeutiques et technologiques : thérapie ciblée, éducation thérapeutique, actes diagnostics et thérapeutiques en radiologie interventionnelle

23 Objectifs de la recherche clinique en cancérologie ( Axes médicaux : ) Accélérer l émergence de l innovation au bénéfice du patient : Doubler le nombre de patients inclus dans un essai clinique. ( personnes par an en 2019) Corriger les inégalités géographiques. Conforter l avance de la France dans la médecine personnalisée: Développer l Oncogénétique. Créer une plateforme dédiée au séquençage de la tumeur. Créer un Observatoire du Cancer.

24 Objectifs de la recherche clinique en cancérologie ( Dégager du personnel spécialement formé notamment des attachés de recherche clinique (ARC)) En Bourgogne le réseau de cancérologie est représenté par Missions Onco-Bourgogne ; il met à disposition : Des Equipes mobiles de recherche clinique (EMRC) Un support organisationnel pour la recherche clinique. Un registre des essais thérapeutiques ouverts dans la région

25 La continuité et la qualité de vie du patient Assurer des prises en charge globales et personnalisées Adapter le dispositif d annonce, le programme personnalisé de soins et le programme personnalisé après cancer à la diversité des prises en charge. Donner des informations adaptées et accessibles au patient et à son entourage. Développer l accès aux soins de support. Réduire les risques de séquelles et de second cancer.

26 Objectif / la formation et les métiers en cancérologie Faire évoluer la formation et les métiers en cancérologie Création d un nouveau métier : IDE clinicien dans le champ de la cancérologie. Formation initiale et continue plus adaptée aux évolutions technologiques et thérapeutiques. Créations de poste en fonction de la démographie médicale du territoire. Lutter ainsi contre le risque d épuisement professionnel.

27 Création d un nouveau métier IDE clinicien dans le champ de la cancérologie. Ce nouveau profil professionnel coopeŕant avec le me decin traitant, avec l e quipe re feŕente et avec les autres professionnels de sante, hospitaliers ou de proximité permettra a la fois d assurer le suivi des patients, de reconduire certaines prescriptions protocoliseés, d adapter les soins de support ou encore d assurer la coordination de parcours de soins complexes.

28 Le pilotage et les organisations de la lutte contre le cancer Pilotage du plan cancer assuré : Au plan national, pilotage technique par l Institut National du Cancer ( INCA), en appui du pilotage des ministères de la Santé et de la Recherche. Au plan régional, pilotage confié à l Agence Régional de la Santé (ARS), appuyé par les réseaux régionaux de cancérologie. Etude du financement et de la tarification dans le champ de la cancérologie

29 A Suivre L ensemble des informations relatives au Plan Cancer, à son avancement et à ses réalisations sont mises en ligne régulièrement sur le site internet de l Institut National du Cancer:

30 Le dispositif d annonce et le temps accompagnement soignant La consultation parame dicale, temps d accompagnement soignant de l annonce, a un ro le clé de coordination dans le dispositif d annonce. Il doit beńe ficier d une organisation et d un environnement spećifiques Relais essentiel des temps me dicaux, cette prise en charge par un personnel soignant doit e tre possible imme diatement apre s la premie re consultation me dicale, quand le patient se retrouve seul face a l annonce. Ce temps d accompagnement soignant inclut : Un temps d ećoute, d information et de soutien du patient qui permet,notamment de: reformuler ce qui a e té dit pendant la ou les consultations me dicales de comple ter, voire de re expliquer les informations rec ues de preśenter l organisation de la prise en charge, voire visiter le service de repeŕer les besoins psychologiques et sociaux, identifier les situations personnelles a risque pour anticiper les difficulteś. Ce repeŕage est facilite par l utilisation de grilles eĺaboreés conjointement avec les psychologues et les travailleurs sociaux ; des exemples de ces grilles, construites par des e quipes expeŕimentatrices, sont disponibles sur le site Internet de l Institut National du Cancer (

31 Le dispositif d annonce et le temps accompagnement soignant ( suite ) Le temps d écoute ( suite) : aborder la question du ou des proches qui seront ameneś a accompagner le patient tout au long des soins, voire les aider a mieux se situer dans cet accompagnement a venir reṕondre aux questionnements et aux inquie tudes sur les theŕapeutiques, les cycles, les effets indeśirables et leurs moyens de pre vention et de traitement, les diffeŕents mateŕiels et leur fonctionnement (diffuseurs portables, dispositifs veineux centraux...). Un temps de coordination avec les autres acteurs de la prise en charge qui permet : Orienter, si nećessaire, le patient vers les e quipes offrant des compe tences en soins de support, Assurer la continuite entre ce temps de l annonce, souvent effectue en consultation ambulatoire, et celui des traitements mis en œuvre par les e quipes d hospitalisation Etablir le lien avec les e quipes intervenant a domicile, en particulier d e tre un vecteur effectif de l information imme diate vers le me decin traitant, si le me decin senior re feŕent n est pas imme diatement disponible.

32 Organisation du temps d accompagnement soignant Le personnel soignant concerne posse de une expérience professionnelle en oncologie et connai t les pathologies et les diffeŕentes techniques de soins spećifiques au service. Il est pre feŕable que son activite ne soit pas entie rement de dieé a la consultation d annonce mais qu il garde une connaissance de la prise en charge des soins sur le terrain. Il s agit en re gle geńeŕale d un infirmier. Toutefois, compte tenu des spećificiteś de la radiotheŕapie, il peut s agir, dans ce cas, d un manipulateur d eĺectro- radiologie me dicale aidant a la preṕaration et a l exe - cution du traitement de radiotheŕapie. Son ro le est important notamment dans l information nećessaire au bon deŕoulement du traitement de radiotheŕapie. La proposition de la strateǵie theŕapeutique, imme diatement ou en diffeŕe un endroit propice, si possible de die, sans perturbation venant de l exteŕieur (appels teĺeṕhoniques, bips) et permet le respect de la confidentialite des ećhanges. L entretien peut aussi avoir lieu dans la chambre d hospitalisation lorsque le patient a e te directement hospitalise, sous reśerve du respect des me mes conditions. La dureé de cette consultation parame dicale est varia- ble en fonction des besoins du patient. Il est important que l infirmier ait des informations ećrites sur le contenu de la consultation me dicale, en particulier s il n y a pas assiste (fiches d entretien, grilles de mots, fiches vocabulaire). Selon le souhait du patient, un ou plusieurs accompagnants peuvent e tre preśents. Le contenu de l entretien parame dical est inscrit dans le dossier patient (fiche de liaison).

33 Oncolie Réseau régional DE CANCEROLOGIE de Franche-Comté. Il met en partenariat les établissements de santé privés et publics, les professionnels médicaux et paramédicaux de la région pratiquant la cancérologie Le temps d accompagnement soignant : Il permet au malade et/ou à ses proches d accéder à des soignants qui écoutent, reformulent, et complètent l information reçue par le patient. Ce temps d accompagnement est aussi le moment où l on peut démarrer le bilan social initial, évaluer la nécessité pour le patient de rencontrer des soignants de Soins de Support, l informer sur les services à attendre des associations ou des structures type «Espace-rencontre-information ERI)».Ce temps de consultation para-médical peut être proposé immédiatement après, ou à distance, de chacune des consultations médicales et permettre une relecture différente pour le patient de ce qui a été dit lors de la consultation médicale.

34 SONT A DISPOSITION SUR LE SITE INTERNET DE L INSTITUT NATIONAL DU CANCER : Les recommandations nationales pour la mise en œuvre du dispositif d annonce du cancer. Les outils eĺaboreś par les e quipes dans le cadre de l expeŕimentation nationale. Ces outils sont proposeś a titre d exemple. Il s agit de : G Outils de liaison me decin/infirmier - Fiches de liaison - Fiches de consultation me decin/infirmier - Grilles de mots utiliseś - Check-list G Programme personnalise de soins (PPS) G Outils de la consultation parame dicale G Outils spećifiques de repeŕage des besoins en soins de support - Fiches d e valuation sociale - Fiches d e valuation psychologique - Fiches d e valuation de la douleur - Fiches d e valuation nutritionnelle I La liste des e quipes expeŕimentatrices et leurs coordonneés. I La liste des e quipes re feŕentes pour la formation. I Des teḿoignages d e quipes sur l expeŕimentation du dispositif d annonce. I Des expressions de patients sur l expeŕimentation du dispositif d annonce. I Un document d information sur le dispositif d annonce destine aux me decins libeŕaux.

La formation comme levier de changement des pratiques

La formation comme levier de changement des pratiques Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3

Plus en détail

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire

Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire 12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier

Plus en détail

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer Préface 3 Cancer : le Plan de mobilisation nationale 5 Les mesures du Plan Cancer 15 Les chiffres du cancer 43 1 Jean-François Mattei Ministre

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009 Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L

Plus en détail

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE. 2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Critères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer

Critères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer CANCERS : LES DÉFIS «QUALITÉ» 67 Critères de qualité de l annonce du diagnostic : point de vue des malades et de la Ligue nationale contre le cancer F. Bettevy, C. Dufranc, G. Hofmann Ligue nationale contre

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

NOTRE HÔPITAL S ENGAGE. Au-delà du soin, vous comprendre. Au-delà du soin, vous comprendre

NOTRE HÔPITAL S ENGAGE. Au-delà du soin, vous comprendre. Au-delà du soin, vous comprendre NOTRE HÔPITAL Au-delà du soin, vous comprendre S ENGAGE 4, rue Kléber 3, rue Barbès 92300 Levallois-Perret Tél. : 01 47 59 59 59 www.ihfb.org Au-delà du soin, vous comprendre UNE NOUVELLE IMAGE DE NOUVELLES

Plus en détail

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

PARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA

PARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire

La Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN

Plus en détail

ATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?

ATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres? 12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:

Plus en détail

Recommandations pour le troisième Plan Cancer

Recommandations pour le troisième Plan Cancer RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Coordination Ville Hôpital

Coordination Ville Hôpital Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire

TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu

Plus en détail

Appel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2

Appel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2 Appel à Projets Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie Action 3.1 et 23.2 Soumission en ligne: http://www.e-cancer.fr/aap/bcb11 Date limite de candidature

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur

Plus en détail

PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES?

PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? Françoise ELLIEN, Psychologue-Psychanalyste Psychanalyste Directrice du réseau de santé ville-hôpital SPES XII ème Congrès National de la

Plus en détail

CARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1

CARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1 CARTE BLANCHE, Le meilleur pour votre santé ASSURES1 SOMMAIRE ASSURES LE RESEAU CARTE BLANCHE... 5 LES PROFESSIONS DE SANTE... 5 CARTE BLANCHE, COMMENT ÇA MARCHE?... 6 LES OPTICIENS... 7 LES CHIRURGIENS-DENTISTES...

Plus en détail

Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP)

Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Cadre national Octobre 2010 Mesure 18 : Personnaliser la prise en charge des malades et renforcer le rôle du médecin traitant

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur

Plus en détail

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1

Programme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1 Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

pendant et après le cancer

pendant et après le cancer Dossier technique Parcours personnalisés pendant et après le cancer Pratiques de coopération entre structures sanitaires et MDPH Décembre 2011 La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie est à la

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011

Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011 Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation Juin 2011 1 Sommaire Présentation institutionnelle... 3 Un projet stratégique : le projet d établissement... 5 Un hôpital certifié par la Haute

Plus en détail

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان http://droitdelhomme.over-blog.com laddhchlef@yahoo.fr laddhchlef@gmail.com http://facebook.com/laddhchlef

Plus en détail

Prise en charge de la précarité chez des personnes atteintes de cancer

Prise en charge de la précarité chez des personnes atteintes de cancer Prise en charge de la précarité chez des personnes atteintes de cancer Date : 06/12/2012 Copyright AFSOS, version de (travail ou validée) du 5 janvier 2011 1 1 Le groupe Coordination Martine GARDEMBAS-PAIN

Plus en détail

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé

Plus en détail

Offre santé 2015 FGMM-CFDT

Offre santé 2015 FGMM-CFDT SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Une infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?

Une infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource? Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques

Plus en détail

LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS

LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS T R A N S P O R T S LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS R O U T I E R S Votre interlocuteur : Nicolas SAINT-ETIENNE Conseiller Mutualiste Entreprises Tél : 03 84 45

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES

LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES LA NEWSLETTER / LIGUE REIN ET SANTÉ / AVRIL 2015 #19 NOUVEAUTÉ 2015 / DES PAGES À PHOTOCOPIER DESTINÉES À VOS PATIENTS LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 2 SITES

Plus en détail

Retraite Madelin Entrepreneurs

Retraite Madelin Entrepreneurs Retraite Madelin Entrepreneurs Re-découvrez la retraite Madelin des Entrepreneurs Table de mortalité garantie à l adhésion Garantie décès, Garantie Plancher Décès, Garantie de Bonne Fin Exonération en

Plus en détail

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant www.rsi.fr Le RSI a pour mission d assurer la protection sociale obligatoire de 6,1 millions de chefs d entreprise indépendants actifs

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Assurance-maladie complémentaire (LCA)

Assurance-maladie complémentaire (LCA) CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude

Plus en détail

Votre santé, notre quotidien 2014/2015. www.essentissime.com

Votre santé, notre quotidien 2014/2015. www.essentissime.com Votre santé, notre quotidien 2014/2015 www.essentissime.com ESSENTISSIME TM (Limité à 15 jours) 100 % FR (Limité à 15 jours en psychiatrie) Plafond année 1 (*) 100 Plafond année 2 150 Plafond année 3 et

Plus en détail

L'assurance santé en toute simplicité

L'assurance santé en toute simplicité L'assurance santé en toute simplicité C'est en accompagnant chaque jour des millions d'assurés que Generali a compris qu'il était important d'offrir une gamme de produits santé pour chaque moment de la

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

Résultats d enquête. L épuisement professionnel (Burn Out Syndrom) Qu en pensez-vous? Vous sentez-vous concerné? En partenariat avec

Résultats d enquête. L épuisement professionnel (Burn Out Syndrom) Qu en pensez-vous? Vous sentez-vous concerné? En partenariat avec Résultats d enquête Dr Régis MOURIES, Président En partenariat avec L épuisement professionnel (Burn Out Syndrom) Qu en pensez-vous? Vous sentez-vous concerné? Conférence de Presse du 25/11/14 Philippe

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

PLAN D ACTION. «Troubles psychiques post traumatiques dans les forces armées» 2013-2015

PLAN D ACTION. «Troubles psychiques post traumatiques dans les forces armées» 2013-2015 MINISTERE DE LA DEFENSE DIRECTION CENTRALE PLAN D ACTION «Troubles psychiques post traumatiques dans les forces armées» 2013-2015 «Lutte contre le stress opérationnel et le stress post traumatique» N 517996/DEF/DCSSA/PC/CN.SMPA

Plus en détail

Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant

Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

IMMED Monitoring vidéo porté

IMMED Monitoring vidéo porté IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées

Plus en détail

Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé

Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus

Plus en détail

TERRITOIRES ET SANTE

TERRITOIRES ET SANTE TERRITOIRES ET SANTE UNE REPONSE A L EVOLUTION DE LA DEMOGRAPHIE DES PROFESSIONNELS DE SANTE ET A L AMELIORATION DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE : LES MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES GUIDE DE MISE

Plus en détail