Surface valvulaire aortique en échocardiographie transthoracique versus scanner : quels facteurs influencent les différences de mesures?
|
|
- Virginie Henry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Surface valvulaire aortique en échocardiographie transthoracique versus scanner : quels facteurs influencent les différences de mesures? Clément De Vecchi 1, Jérôme Caudron 1, 3, Nathalie Pirot 1, Valentin Lefebvre 1, 3, Claire Werquin 1, Fabrice Bauer 2, 3, Hélène Eltchaninoff 2, 3, Jean-Nicolas Dacher 1, 3 1 Service de Radiologie; 2 Service de Cardiologie; CHU de Rouen, France 3 INSERM U644; Université de Rouen, France Contact: jerome.caudron@chu-rouen.fr
2 Généralités Rappels: Méthodes de mesure de la surface valvulaire aortique ETT ETO TDM IRM Cathétérisme cardiaque gauche Phénomène de recouvrement de pression Objectifs de l étude Matériels et méthodes: Echographie TDM Résultats Discussion Conclusion
3 Le rétrécissement aortique (RA) est la pathologie valvulaire la plus fréquente en Europe et en Amérique du nord, principalement représentée par le RA calcifié dégénératif touchant 2 à 7 % de la population de plus de 65 ans. L indication chirurgicale du remplacement valvulaire aortique est soumise à l évolution de la symptomatologie mais également à la mesure de la surface valvulaire aortique (Svao). Le RA est défini comme serré par des critères échographiques: Svao <1 cm 2 et/ou Svao <0,6 cm 2 /m 2 de surface corporelle Et/ou gradient trans-valvulaire >40 mmhg Et/ou vitesse du jet aortique >4m/s Actuellement, l échocardiographie transthoracique (ETT) est la méthode non invasive de référence afin d estimer la Svao à l aide de l équation de continuité. Vahanian A, Baumgartner H, Bax J et al. Eur Heart J 2007;28:230 68
4 Le scanner cardiaque multimodalités permet d effectuer directement cette mesure par planimétrie. (1) L étude de la littérature rapporte des différences de mesure entre ces deux méthodes avec une tendance à la sous-estimation de la Svao en échographie par rapport au scanner. (2) Notre objectif était d étudier l influence de deux facteurs préalablement identifiés comme étant à l origine de cette sousestimation: La mesure de la surface de la chambre de chasse VG Le phénomène de recouvrement de pression 1.Abbara S, Pena AJ, Maurovich-Horvat P, et al. AJR Am J Roentgenol 2007;188: Halpern EJ, Mallya R, Sewell M, Shulman M, Zwas DR. AJR Am J Roentgenol 2009;192:
5 Ao asc OG VD VG Angioscanner cardiaque Coupe 3 cavités Chambre de chasse du VG Valve aortique Valve mitrale VG: ventricule gauche VD: ventricule droit OG: oreillette gauche Ao asc: Aorte ascendante Ao desc: Aorte descendante 1 Ao desc
6 ETT La Svao en échographie est déduite de l équation de continuité: Scc ITV cc = Svao ITV vao Où ITV vao et ITV cc sont les intégrales temps-vitesse des flux sanguin mesurées en doppler continu au niveau de la sténose aortique (ITV vao ) et en Doppler pulsé au niveau de la chambre de chasse (ITV cc ) Où Scc est la surface de la chambre de chasse estimée selon la formule π (D/2) 2, D correspondant au diamètre de la chambre de chasse mesuré sous l anneau aortique sur une coupe parasternale long axe, en considérant que Scc est circulaire et reste constante pendant la durée de la systole Equivalent à: Scc V cc = Svao V vao Où V cc et V vao sont les vitesses maximales des flux sanguins mesurées respectivement au niveau de la chambre de chasse et de la valve aortique Otto CM, Pearlman AS, Comess KA, Reamer RP, Janko CL, Huntsman LL. J Am Coll Cardiol 1986;7:
7 Doppler pulsé CCVG Doppler continu transvalvulaire ETT: coupe parasternale long axe Diamètre de la chambre de chasse Equation de continuité: Schéma et principe Baumgartner H et al. Eur J Echocardiogr 2009;10:1-25
8 Limites de l équation de continuité: Faible échogénicité du patient Opérateur dépendant Nécessité d un bon alignement entre le jet étudié et le faisceau d ultrasons Mauvais positionnement de l échantillon doppler dans la chambre de chasse Difficultés de mesure du diamètre sous-aortique Caractère ellipsoïde et non circulaire de la chambre de chasse Bas débit cardiaque Phénomène de recouvrement de pression Autres méthodes de mesure en ETT Planimétrie: difficulté de reproductibilité des mesures, calcifications des cusps à l origine d artefacts ETT 3D: en développement Chambers JB. Eur J Echocardiogr 2009;10:i11-9.
9 ETO Meilleure visualisation de la valve Affranchissement de la fenêtre acoustique Limites: Invasif Compliance du patient Planimétrie: difficulté de reproductibilité des mesures ETO 3D: en développement mais difficultés de reproductibilité des différents plans de mesure
10 TDM Planimétrie manuelle de la valve aortique dans le plan de l anneau aortique À l aide de logiciels de reconstruction multiplanaire En systole (30-40% de l espace RR) Limites: Exposition aux radiations Contre-indications (allergie aux produits de contraste iodés, insuffisance rénale ) Troubles du rythme cardiaque Résolution temporelle limitée Artefact de «blooming» lié au calcifications à l origine de surestimation de la sténose
11 IRM Planimétrie manuelle de la valve aortique dans le plan de l anneau aortique Identique au TDM avec résolution temporelle bien meilleure et résolution spatiale moindre Pas d artefacts liés aux calcifications Equation de continuité Séquences en contraste de phase Identique à l ETT avec une résolution temporelle moindre et des vélocités maximales parfois difficiles à appréhender Pouleur AC, le Polain de Waroux JB, Pasquet A et al..j Magn Reson Imaging Dec; 26(6):
12 Cathétérisme cardiaque gauche «gold standard» Repose sur la mise en évidence d un gradient de pression Calcul de la surface orificielle selon la formule de Gorlin Flux Ao systolique Svao= K x (ΔP (VG-Ao) ) (K=44,5 pour l orifice aortique) Limites: Invasif Présence d une fuite aortique «Explorations hémodynamiques invasives. Profils hémodynamiques des valvulopathies et des shunts» Pr H.Eltchaninoff, service de cardiologie, CHU Rouen, France.
13 1. Rahimtoola SH. J Am Coll Cardiol Img 2010;3: Garcia D, Dumesnil JG, Durand LG, Kadem L, Pibarot P. J Am Coll Cardiol. 2003; 41:
14
15
16 Etudier: l influence du phénomène de recouvrement de pression à l origine d une sous-estimation de la surface valvulaire aortique (1) l influence de la mesure de la surface de la chambre de chasse dont l aspect ellipsoïde et non circulaire semble à l origine d une sousestimation de la surface valvulaire aortique par la formule de l équation de continuité (2) (1) Bahlmann E, Cramariuc D, Gerdts E, et al. J Am Coll Cardiol Img 2010;3: (2) Doddamani S, Grushko MJ, Makaryus AN, et al. Demonstration of left ventricular outflow tract eccentricity by 64-slice multi-detector CT. Int J Cardiovasc Imaging. 2009; 25:
17 Etude rétrospective monocentrique 49 patients Critères d inclusion: Patients adressés pour bilan avant implantation d une valve aortique par voie percutanée (TAVI) Entre juillet 2010 et juillet 2011 RA serré à l ETT et/ou au cathétérisme Symptomatique Ne pouvant être opéré par chirurgie conventionnelle Critères de non-inclusion: TDM non interprétable ETT non réalisée dans notre centre ETT incomplète Valvuloplastie dans l intervalle entre la réalisation de l ETT et du TDM Antécédent de valvuloplastie Délai entre ETT et TDM > 90 jours
18
19
20 Analyse: Reconstruction des phases de 0% à 90%, tous les 10% de l espace RR Transfert des données sur une console de post-traitement (Advantage Workstation 4.4, General Electric) Analyse à l aide d un logiciel dédié (CardIQ X-Press, General Electric), de façon consensuelle par un radiologue sénior et un radiologue junior expérimentés, en aveugle des données cliniques et ETT Données recueillies: A l aide d outils de reconstruction multiplanaire Chambre de chasse (mesures réalisées immédiatement sous la racine d insertion des cusps aortiques): diamètres minimum (Dmin) et maximum (Dmax), surface (Scc), périmètre Calcul de l index d excentricité de la chambre de chasse selon la formule: 1- (Dmin / Dmax) Planimétrie de l orifice valvulaire aortique (Svao TDM ), en systole (30-40% de l espace RR)
21 (1) Delgado V, Ng AC, van de Vaire NR. Eur Heart J 2010 (2) Caudron J, Fares J, Hauville C. Am J Cardiol 2011
22 Plans de reformatage oblique parallèles à l anneau aortique permettant d obtenir une vue axiale oblique de la chambre de chasse.
23 Diamètres minimum et maximum de la chambre de chasse Surface de la chambre de chasse Surface ellipsoïde (et non circulaire) de la chambre de chasse
24 Calcifications Grade II Calcifications Grade III Exemples de planimétrie valvulaire aortique chez des patients présentant un RA dégénératif calcifié
25 Jonction sino-tubulaire Sinus de Valsalva Plans de reformatage oblique Mesure des diamètres de l aorte ascendante Portion tubulaire ascendante
26 La pression recouvrée a été calculée selon la formule précédemment citée: À l aide des mesures échographiques seules PR ETT En considérant lors du calcul, la surface aortique calculée à partir des diamètres TDM mesurés au niveau des sinus, de la jonction sino-tubulaire et de la portion tubulaire ascendante: PR TDM SIN, PR TDM JST, PR TDM TUB Calcul de la Svao corr à l aide des données TDM aux différents étages aortiques (avec Sao = π (Diam./2) 2 ) Calcul de la Svao corr à l aide des données échographiques: Svao ETT/PR
27 Les variables quantitatives sont exprimées en moyenne ± écarttype, les variables qualitatives en nombre et fréquence. Les moyennes des variables quantitatives ont été comparées entre elles par des T-Test bilatéraux. Nous avons utilisé le coefficient de corrélation de Pearson pour évaluer la corrélation entre les différentes mesures de Svao. Enfin, pour étudier la variabilité entre les différentes méthodes de mesure de la Svao, nous avons utilisé la méthode de Bland et Altman, dispensée sous forme de graphiques du même nom (erreur moyenne avec intervalle de confiance à 95%) et le coefficient de variabilité (écart type de la moyenne des 2 méthodes de mesure/ moyenne des 2 méthodes de mesure). L ensemble des analyses statistiques et des graphiques associés a été réalisé avec le logiciel MedCalc pour Windows, version (MedCalc Software, Mariakerke, Belgium).
28
29 Moyenne Minimum Maximum Svao (cm 2 ) 0,66 ± 0,15 0,35 1,15 ITV vao 102 ± 22, ITV cc 20,82 ± 5, ,4 Diamètre CC (cm) 2,02 ± 0,17 1,7 2,5 Surface CC (cm 2 ) 3,21 ± 0,55 2,27 4,91 Vmax vao (cm/sec) 4,27 ± 0,61 3,13 5,78 Vmax cc (cm/sec) 0,9 ± 0,21 0,41 1,35 Diamètre Ao JST (mm) 3,5 ± 0,34 2,7 4,0 FEVG (%) 62,98 ± 13, Gradient Ao max. (mmhg) 76,59 ± 23, Gradient Ao moy.(mmhg) 48,24 ± 15, Coexistence d une IM chez 20 % des patients (n=10); d une IA chez 20 % des patients ( n= 10)
30 Moyenne Minimum Maximum Svao (cm 2 ) 0,87± 0,17 0,50 1,20 Diamètre min. CC (cm) 2,00±0,23 1,60 2,50 Diamètre max. CC (cm) 2,63±0,24 2,10 3,00 Périmètre CC (cm) 7,45±0,66 6,30 9,00 Surface CC (cm 2 ) 4,07±0,73 2,80 6,00 Index d excentricité CC 0,24±0,06 0,10 0,41 Diamètres aortiques (cm) Sinus 3,16±0,28 2,6 3,8 JST 2,85±0,27 2,4 3,6 Tube 3,25±0,39 2,6 4,5 Grade de Willmann I II III IV Patients n=0 (0%) n=2 (4%) n=18 (37%) n=29 (59%)
31 Les résultats concernant les index d excentricité mesurés en TDM confirment le caractère non circulaire, ellipsoïde, de la chambre de chasse. En effet: Il existe une différence significative entre la Scc mesurée en échographie et la planimétrie TDM de la chambre de chasse avec une nette sous estimation de la surface de la CC du VG en ETT par rapport au TDM (3,21 ± 0,55 cm 2 vs. 4,07±0,73 cm 2, p<0,0001). Avec une erreur moyenne et un coefficient de variabilité élevés. 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0, SD 1,82 Graphique de Bland Altman Erreur moyenne= 0,86 cm 2 (-0,10; 1,82) Mean Coefficient de variabilité = 13% 0,86 0,0-0,5 2,5 3,0 3,5 4,0 4,5 5,0 5,5 6,0 Moyenne Surface CC TDM et Surface CC ETT (cm2) SD -0,10
32 Surface CC TDM calcul Surface CC TDM mesur ée/ellipse ée - Par ailleurs, l utilisation de la formule de calcul de surface d une ellipse aux Dmax et Dmin mesurés en TDM (S=π.Dmin.Dmax/4) confirme le caractère elliptique de la CC. En effet: On trouve une surface moyenne de la CC très proche de celle obtenue par planimétrie TDM de la CC: 4,15 ± 0,79 cm 2 vs. 4,07 ± 0,73 cm 2 (p=0,60). Avec une erreur moyenne et un coefficient de variabilité faibles 0,6 0,4 0,2 0,0-0,2-0,4-0, SD 0,39 Mean -0, SD -0,55 Graphique de Bland Altman Erreur moyenne= -0,08 cm 2 (-0,55;0,39) Coefficient de variabilité = 5,8% -0,8-1,0 2,5 3,0 3,5 4,0 4,5 5,0 5,5 6,0 6,5 Moyenne Surface CC TDM mesurée et Surface CC TDM calculée/ellipse
33 Moyenne Minimum Maximum Svao corrigée (cm 2 ) PR ETT (mmhg) 10,21 ± 3,26 5,42 20,67 0,71 ± 0,18 PRTDM SIN 14,57±4,60 7,29 27,49 0,72 ± 0,19 (mmhg) PRTDM JST 17,45 ± 5,46 8,15 30,90 0,74 ± 0,19 (mmhg) PRTDM TUB (mmhg) 14,13±4,82 5,3 25,95 0,72 ± 0,18 Le phénomène de recouvrement de pression est maximum au niveau de la jonction tubulaire, portion la plus étroite de l aorte thoracique ascendante La surface valvulaire aortique corrigée aux différents niveaux augmente mais reste très significativement inférieure à la planimétrie TDM à tous les étages (Svao TDM = 0,87± 0,17 cm 2, p<0,001)
34
35
36
37 La corrélation brute des mesures de surfaces valvulaires aortiques retrouvées en ETT et TDM apparaît donc modérée (R=0,622; p<0,001), avec une sous-estimation constante de la Svao ETT (0,66 ± 0,15 cm 2 ) par rapport à la Svao TDM (0,87±0,15 cm 2 ). Après correction de la surface de la chambre de chasse dans l équation de continuité, on note une corrélation accrue (R= 0,704; p<0,001) entre Svao TDM et Svao ETT/CC (0,86±0,2 cm 2 ). De plus, les graphiques de Bland Altman montrent une erreur moyenne minime concernant ces données, calculée à 0,02 cm 2, alors qu elle était estimée à 0,21 cm 2 sur les données brutes. On ne retrouve pas d amélioration significative du coefficient de corrélation entre Svao TDM et Svao ETT/PR (R= 0,606; p< 0,001), il existe cependant une diminution de l erreur moyenne par rapport aux données brutes, estimée selon le graphique de Bland Altman à 0,16 cm 2.
38 Le caractère non circulaire mais ellipsoïde de la chambre de chasse a été confirmé dans cette étude. Or, la mesure de la surface de la chambre de chasse est déterminante lors du calcul de la Svao par l équation de continuité. Le fait de considérer celle-ci circulaire est donc à l origine d une sousestimation constante de la Svao ETT par rapport à la Svao TDM et explique les différences de mesure souvent constatée au quotidien. Ce constat pourrait avoir une implication dans l indication de remplacement valvulaire aortique. En effet, cette décision repose en partie sur la mesure de la Svao. Avec une erreur moyenne Svao ETT vs Svao TDM estimée à 0,21 cm 2, certains RA considérés échographiquement serrés pourraient se révéler en fait supérieurs à 1cm 2. On pourrait par ailleurs imaginer un facteur correctif en ETT prenant en compte le caractère ellipsoïde de la CC du VG pour le calcul de la Svao par l équation de continuité. Néanmoins, de nombreux autres critères sont pris en compte lors de cette décision notamment échographiques (gradient trans-valvulaire, vitesse du jet aortique) et cliniques.
39 Notre étude a uniquement porté sur des patients porteurs d un RA serré symptomatique, contrairement aux autres études sur le sujet qui avaient inclus également des patients ayant des RA peu serrés ou pas de RA (1). Or c est dans le sous groupe des patients porteurs de RA serré symptomatique que la mesure de la Svao a une forte implication sur la prise en charge. Aucune étude n a évalué l effet du phénomène de recouvrement de pression pour expliquer les différences de Svao entre ETT et TDM. Nous n avons pas mis en évidence d augmentation de la corrélation entre Svao TDM et Svao ETT/PR, mais une diminution modérée de l erreur moyenne. Le phénomène de recouvrement de pression est inversement proportionnel au diamètre de l aorte: Plus l aorte est «étroite», plus il est proportionnellement important. Or, les diamètres aortiques retrouvées dans cette étude en TDM étaient souvent élargis du fait du RA, ce qui limite l effet relatif du phénomène de recouvrement de pression dans cette population. 1. Utsunomiya et al; AJR Am J Roentgen 2011
40 Etude monocentrique ayant inclus un nombre limité de patients Néanmoins il s agit d une des cohortes ayant inclus le plus de patients avec un RA serré parmi les études sur le sujet Etude rétrospective Exclusion de 61/110 (55%) des patients qui présentaient un critère de non-inclusion Afin d homogénéiser au maximum la cohorte Par ailleurs les examens ETT et TDM ont été réalisés et interprétés par les mêmes opérateurs très expérimentés ETT et scanner n ont pas été réalisés le même jour Mais exclusion des patients ayant un délai>90j entre les 2 examens Faible progression du RA entre les 2 examens dans un délai <90j ETT réalisées dans 25 cas avant le TDM et dans 24 cas après Les données concernant le cathétérisme cardiaque n ont pas été recueillies Une minorité de patients avait bénéficié d une exploration dans notre centre, rendant l exploitation de ces données difficile.
41 La mesure de la surface de la chambre de chasse du VG est à l origine d une sous-estimation constante de la surface valvulaire aortique calculée en ETT à l aide de l équation de continuité par rapport à la planimétrie TDM. Ceci s explique en grande partie par le caractère elliptique et non circulaire de la chambre de chasse. Le phénomène de recouvrement de pression semble peu impliqué dans la sous estimation de la surface valvulaire aortique en ETT par rapport aux mesures TDM chez les patients porteurs d un RA serré.
42 Vahanian A, Baumgartner H, Bax J et al. Guidelines on the managementof valvular heart disease. Eur Heart J 2007;28: Abbara S, Pena AJ, Maurovich-Horvat P, et al. Feasibility and optimization of aortic valve planimetry with MDCT. AJR Am J Roentgenol 2007;188: Halpern EJ, Mallya R, Sewell M, Shulman M, Zwas DR. Differences in aortic valve area measured with CT planimetry and echocardiography (continuity equation) are related to divergent estimates of left ventricular outflow tract area. AJR Am J Roentgenol 2009;192: Otto CM, Pearlman AS, Comess KA, Reamer RP, Janko CL, Huntsman LL. Determination of the stenotic aortic valve area in adults using Doppler echocardiography. J Am Coll Cardiol 1986;7: Chambers JB. Aortic Stenosis. Eur J Echocardiogr 2009;10:i11-9 Rahimtoola SH. Determining that aortic valve stenosis is severe: back-to-the-future: physical examination and aortic valve area index/energy loss index < or =0.6cm2/m2. J Am Coll Cardiol Img 2010;3: Garcia D, Dumesnil JG, Durand LG, Kadem L, Pibarot P. Discrepancies between catheter and Doppler estimates of valve effective orifice area can be predicted from the pressure recovery phenomenon: practical implications with regard to quantification of aortic stenosis severity.. J Am Coll Cardiol. 2003;41:
43 Doddamani S, Grushko MJ, Makaryus AN, et al. Demonstration of left ventricular outflow tract eccentricity by 64-slice multi-detector CT. Int J Cardiovasc Imaging. 2009; 25: Delgado V, Ng AC, van de Vaire NR. Transcatheter aortic valve implantation: role of multidetector row computed tomography to evaluate prosthesis positioning and deployment in relation to valve function. Eur Heart J 2010 Caudron J, Fares J, Hauville C. Cardiac MSCT After Transcatheter Aortic Valve Implantation: Features After «Valve in Valve» Implantation for Degenerative Stented Aortic Bioprosthesis. Am J Cardiol In Press Pouleur AC, le Polain de Waroux JB, Pasquet A, Vancraeynest D, Vanoverschelde JL, Gerber BL. Planimetric and continuity equation assessment of aortic valve area: Head to head comparison between cardiac magnetic resonance and echocardiography.j Magn Reson Imaging Dec; 26(6): Feuchtner GM, Müller S, Bonatti J, Schachner T, Velik-Salchner C, Pachinger O, Dichtl W. Sixty-four slice CT evaluation of aortic stenosis using planimetry of the aortic valve areaajr Am J Roentgenol Jul; 189(1): Bahlmann E, Cramariuc D, Gerdts E, et al. Impact of pressure recovery on echocardiographic assessment of asymptomatic aortic stenosis: a SEAS substudy. J Am Coll Cardiol Img 2010;3: Utsunomiya H, et al, Underestimation of aortic valve area in calcified aortic valve disease: Effects of left ventricular outflow tract ellipticity, Int J Cardiol 2011, doi: /j.ijcard
44
45 Concernant la chambre de chasse: Réponses B, C et D Concernant la Svao: Réponses B et C Concernant les différentes méthodes de mesure: Réponses C et D
46 Surface valvulaire aortique en échocardiographie transthoracique versus scanner : quels facteurs influencent les différences de mesures? Clément De Vecchi 1, Jérôme Caudron 1, 3, Nathalie Pirot 1, Valentin Lefebvre 1, 3, Claire Werquin 1, Fabrice Bauer 2, 3, Hélène Eltchaninoff 2, 3, Jean-Nicolas Dacher 1, 3 1 Service de Radiologie; 2 Service de Cardiologie; CHU de Rouen, France 3 INSERM U644; Université de Rouen, France Contact: jerome.caudron@chu-rouen.fr
Traitement Percutané des Rétrécissements Aortiques : Evaluation TDM Avant et Après Procédure
Nathalie Pirot * Jérôme Caudron * Jeannette Fares * Hélène Eltchaninoff Alain Cribier Jean-Nicolas Dacher * Traitement Percutané des Rétrécissements Aortiques : Evaluation TDM Avant et Après Procédure
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailMaladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral
Maladie des valves Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Quelques repères épidémiologie éditorial Pr Bernard Iung Quelques repères Les maladies des valves
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailHYPERTENSION ARTERIELLE
Mise à jour des Recommandations de la Société française de cardiologie concernant les indications de l échocardiographie Doppler publiées en 1999 Abergel, Bernard, Brochet, Chauvel, Cohen, Cormier, Forissier,
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailEndocardites. Le candida albicans est parfois mis en cause, retrouvé sur culture en milieu de Sabouraud.
~ Échocardiographie - Doppler ~ 1 Échocardiographie - Doppler S. Lafitte, M. Lafitte, P. Réant, R. Roudaut C.H.U. de Bordeaux ~ Hôpital Cardiologique du Haut Lévêque Pessac ~ France Endocardites Sommaire
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailMesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada
Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer
Plus en détailIRM cardiaque dans les cardiopathies congénitales opérées
IRM cardiaque dans les cardiopathies congénitales opérées { LAZGUET Y, MOUREAU D, MIDULLA M, ALGERI E, DEHAENE A, CASSAGNES L, GODART F, REMY-JARDIN M Service de Radiologie et d Imagerie Cardiaque et Vasculaire
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPARIS-ECHO 20. www.paris-echo.com. Echocardiographie et Imagerie Cardiovasculaire. Echocardiography & Cardiovascular Imaging
PARIS 27-29 mai 20 Palais des Congrès PROGRAMME FINAL / FINAL PROGRAMME Echocardiographie et Imagerie Cardiovasculaire Echocardiography & Cardiovascular Imaging www.paris-echo.com ÉDITO / EDITO Cher(e)s
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailMesure non invasive du débit cardiaque
Mesure non invasive du débit cardiaque Pr. Jean-Luc Fellahi fellahi-jl@chu-caen.fr Pôle Réanimations Anesthésie SAMU/SMUR, CHU de Caen, France UFR de Médecine, EA 4650, UCBN, France Déclara'on de conflits
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailRESTENOSES ENDOSTENTS: 51 PATIENTS
RESTENOSES ENDOSTENTS: 51 PATIENTS A.N. Diop, L. Cassagnes, V. Vo Hoang, A.T. Alfidja, E. Dumousset, A. Ravel, P. Chabrot, L. Boyer. Service de Radiologie B CHU de Clermont-Ferrand INTRODUCTION L angioplastie
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailEnsemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires. Té léphone : 01 44 90 70 25
Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires www.coeur-recherche.fr Té léphone : 01 44 90 70 25 La Fondation Cœur et Recherche a été fondée par la Société Française
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailCATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE
CATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE UN DOCUMENT DE CONSENSUS DE LA SCC Historique des versions :
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailRèglement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités
Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailEvaluation de la Fonction Diastolique Ventriculaire Gauche en IRM Cardiaque
Evaluation de la Fonction Diastolique Ventriculaire Gauche en IRM Cardiaque Jérôme Caudron¹,, Hend Belhiba¹,, Jeannette Fares²,, David Bertrand¹, Fabrice Bauer² et Jean-Nicolas Dacher¹ 1- Service de Radiologie
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailGelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION
Gelsoft Plus LA SEULE PROTHESE VASCULAIRE AU MONDE EN POLYESTER A STRUCTURE TRICOTEE KOPER IMPREGNEE DE GELATINE, RESISTANT A LA DILATATION Structure tricotée Köper exclusive offrant: - une dilatation
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailEchocardiographie et Imagerie Cardiovasculaire Echocardiography & Cardiovascular Imaging. Palais des Congrès de Paris, 12-14 juin 2013
20 ème Congrès International d Echocardiographie Echocardiographie et Imagerie Cardiovasculaire Echocardiography & Cardiovascular Imaging PROGRAMME Palais des Congrès de Paris, 12-14 juin 2013 Président
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailDossier thématique de la. Fondation de l'avenir. Chirurgie du futur SOMMAIRE
Dossier thématique de la Fondation de l'avenir Chirurgie du futur SOMMAIRE I L évolution de la chirurgie A La vidéochirurgie : une chirurgie mini-invasive 1 En quoi consiste la vidéochirurgie 2 - Les bénéfices
Plus en détailPROGRAMME FINAL. cardiorun.org AVEC LE SUPPORT DE :
PROGRAMME FINAL AVEC LE SUPPORT DE : COMITÉ SCIENTIFIQUE : Christophe POUILLOT (Saint Denis La Réunion) Philippe MABO (Rennes) Olivier DARREMONT (Bordeaux) DIRECTEUR SCIENTIFIQUE DU CONGRÈS : Jean Pierre
Plus en détail5. TARIFS INTERPROVINCIAUX
Services internes 5.1 TARIFS DES SERVICES Les tarifs interprovinciaux des services internes sont déterminés par le Comité de coordination des ententes interprovinciales en assurance santé (CCEIAS). Le
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailUrgent- information de sécurité
Urgent- information de sécurité Risque augmenté de décès cardiovasculaire chez les patients insuffisants cardiaques chroniques symptomatiques avec une fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) altérée,
Plus en détailLes atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification
Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailJournées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS
Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailBases physiques de l imagerie en
Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika
Plus en détailLes cardiopathies congénitales à shunt gauche-droite
Les cardiopathies congénitales à shunt gauche-droite SERVICE DE DR IMEN TRABELSI SAHNOUN CARDIOLOGIE - EPS HÉDI CHAKER SFAX FACULTÉ DE MÉDECINE DE SFAX PUBLIC CIBLE: DCEM1 Table des matières Table des
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailSurveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation
DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance
Plus en détailIMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES
IMAGERIE PAR TOMOGRAPHIE ÉLECTRIQUE RÉSISTIVE DE LA DISTRIBUTION DES PHASES DANS UNE COLONNE À BULLES E. Fransolet, M. Crine, G. L Homme, Laboratoires de Génie Chimique, P. Marchot, D. Toye. Université
Plus en détailPICCO2. PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012. Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale
Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale PICCO2 PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012 1 PROTOCOLE PICCO2 DAR BICETRE DEPARTEMENT D ANESTHESIE REANIMATION
Plus en détailIMPACT THERAPEUTIQUE. Prat Gwénaël Réanimation médicale gwenael.prat@chu-brest.fr
IMPACT THERAPEUTIQUE Prat Gwénaël Réanimation médicale gwenael.prat@chu-brest.fr Discuter la courbe d apprentissage Limites de compétence qu offre le DIU Situations ou l appel du cardiologue est indispensable
Plus en détailMonitoring non invasif dans l état de choc
Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailCREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR
CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR LA MESURE DE LA PRESSION ARTERIELLE La mesure de la pression artérielle par méthode auscultatoire au moyen d un sphygmomanomètre est l une des méthodes les plus
Plus en détailfacilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort
Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détail