23. Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "23. Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux"

Transcription

1 Mém. Soc. vaud. Sc. nat. 25: ISSN Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux par Jean-François BRODBECK 1 & Renaud MARCELPOIX 1 Résumé. BRODBECK J.-F. & MARCELPOIX R., Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux. Mémoire de la Société vaudoise des Sciences naturelles 25: Les eaux souterraines sont considérées comme un acteur majeur dans les mécanismes des glissements de terrain. Dans la pratique, la prise en compte des processus hydrogéologiques a suscité moins d enthousiasme lors de l assainissement des instabilités de versants. Dans de nombreux cas, l analyse de ces processus est indispensable pour comprendre le phénomène d instabilité et définir la méthode d assainissement présentant la meilleure efficience. L assainissement du glissement de la Saussaz constitue à ce titre un exemple de référence, précurseur en Suisse romande. Dix années après les travaux d assainissement, un bilan de l efficacité du dispositif est établi grâce aux mesures de surveillance. Mots clés: glissement, eau souterraine, hydrogéologie, assainissement, stabilité, monitoring. Abstract. BRODBECK J.-F. & MARCELPOIX R., La Saussaz landslide: stability condition 10 years after remediation works. Mémoire de la Société vaudoise des Sciences naturelles 25: Groundwater is considered as a major factor in the mechanisms of landslides. In practice, the hydrogeological processes are hardly been taken into account in the remediation of unstable slopes. In many cases, the analysis of these processes is essential to understand the phenomenon of instability and ultimately define the remediation method with the best efficiency. The remediation of Saussaz s landslide constitutes a reference and a precursor in French speaking part of Switzerland. Ten years after the remediation, an assessment of the stability is established through monitoring. Keywords: landslide, groundwater, hydrogeology, remediation, stability, monitoring. 1 CSD INGENIEURS SA, Chemin de Montelly 78, Case postale 60, CH-1000 Lausanne 20, Suisse. jf.brodbeck@csd.ch et r.marcelpoix@csd.ch CODEN: MSVNAU 2013 Société vaudoise des Sciences naturelles Droits de reproduction réservés

2 296 J.-F. Brodbeck & R. Marcelpoix Introduction Situation et géologie Le glissement de La Saussaz se situe au nord de la station de Villars-sur-Ollon dans le canton de Vaud, entre les altitudes de 1450 et 1700 msm. Le versant est exposé au SE à S et présente une pente d environ 45% (figure 1). Le soubassement rocheux affleurant en amont disparaît très vite en profondeur. Il appartient aux nappes ultrahelvétiques très replissées et se compose d un cœur surcreusé de gypse (nappe de Bex) surmonté des couches schistomarneuses de l Aalénien-Dogger (Nappe d Arveyes). Ces couches s imbriquent vers l ouest dans les cornieules basales de la Nappe du Meilleret (Badoux et al. 1990, 1991). Cette dernière unité présente des grès et conglomérats fracturés et aquifères couronnant le versant avec ses affleurements. Des lambeaux de Flysch s intercalent entre les diverses unités (figure 2). Une moraine rhodanienne limono-argileuse prend place sur le versant. Elle contient de minces intercalations fluvio-glaciaires. Un voile d éboulis recouvre partiellement la moraine. L épaisseur totale des terrains meubles peut dépasser 50 m. Le glissement de La Saussaz s étend sur une surface de l ordre de 30 ha et affecte une épaisseur de l ordre de 30 m dans sa moitié aval. Le volume concerné par le glissement est supérieur à 1.5 millions de m 3. Figure 1. Illustration et situation du glissement de La Saussaz (source: Swisstopo). N d autorisation Swisstopo: JA

3 Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux 297 Figure 2. Coupe géologique régionale schématique, modifiée d après Badoux & Gabus, Historique des événements et travaux de reconnaissance Le glissement de La Saussaz représente non seulement une menace pour le quartier «La Résidence» mais aussi pour la télécabine du Roc d Orsay le traversant (figure 1). Considéré comme profond, ce glissement avait fait l objet de diverses études de reconnaissance en surface (Epfl 1985, 1989). Les études photogrammétriques avaient montré des vitesses de 6 à 14 cm/an entre 1974 et 1980 et entre 15 et 20 cm/an entre 1980 et 1986 (Epfl 1989). Dès 1988, CSD Ingénieurs Conseils SA a été chargé de la reconnaissance géologique et de la surveillance du glissement. Les investigations ont rapidement conduit à mettre en évidence le rôle des eaux souterraines dans les mécanismes contrôlant le glissement. Des équipements de surveillance ont été mis en place entre 1988 et 1990: 1 piézomètre (SC1), 3 inclinomètres et 8 points topométriques. Les forages ont permis de montrer la présence d eau en pression entre 26 et 32 m de profondeur dans des graviers intramorainiques. Un premier forage SC1 a fonctionné dès 1989 comme siphon de décharge du plan de glissement: le débit jaillissant initial fut de 12 l/min, puis il fluctuait ensuite entre 1 et 7 l/min. La charge correspondante se situait aux environs de 23 m au dessus du sol. Selon une analyse photogrammétrique (CSD Ingénieurs Conseils SA, 1993), les vitesses s étaient ralenties à 5-8 cm/an. Le fonctionnement hydrogéologique se vérifiait: les précipitations du printemps associées à la fonte des neiges s infiltraient massivement en amont du glissement (grès et conglomérat du Meilleret). Cette recharge mettait en pression une mince intercalation intramorainique de graviers fluvioglaciaires. Le drainage (siphon SC1) de ce niveau en pression révélait son efficacité. En mai 1999, le glissement a montré des signes inquiétants de forte activité nécessitant l évacuation du haut du quartier résidentiel. L assainissement qui a suivi s est réalisé en 3 étapes entre mai 1999 et fin 2002: mesures d urgence, mesures actives et mesures passives (CSD Ingénieurs Conseils SA 2001).

4 298 J.-F. Brodbeck & R. Marcelpoix Travaux d assainissement Mesures d urgence Les mesures d urgence ont consisté à (i) exécuter une ligne transversale de 6 sondages verticaux (à mi-pente, altitude msm environ) afin de dépressuriser la nappe entre 30 et 40 m de profondeur (débit total jaillissant de 44 l/min le 18 juin 1999), à (ii) forer deux sondages horizontaux de 150 m de long dans la partie inférieure (figure 3) pour drainer les eaux souterraines (211 l/min en juillet 1999) et à (iii) débuter une série d ancrages dans le mur de soutènement en pied de glissement. Ces mesures ont permis de ralentir le glissement, la chute piézométrique atteignait 15 à 20m au droit des sondages verticaux (figure 4).qui ont ensuite été utilisés comme piézomètre de contrôle de la dépressurisation. Figure 3. Situation des mesures d assainissement et du système de surveillance du glissement.

5 Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux 299 Figure 4. Coupe géologique schématique transversale (coupe 1) et longitudinale (coupe 2). Mesures actives Les mesures actives ont compris (i) la mise en place de 13 forages horizontaux supplémentaires ( ) de 80 à 232m de long, étagés selon 4 niveaux (figure 3), (ii) la fin de l ancrage du mur aval, (iii) la mise en place d un système de collecte et d évacuation des eaux de surface et des eaux s écoulant des forages. L ensemble de ces mesures a permis de faire chuter la pression d eau à la base du glissement de 4 à 5 bars au total (figure 7) provoquant une stabilisation de la masse glissée. Le débit total drainé par les forages fluctue depuis 2001 entre 130 et plus de 500 l/min. Mesures passives Les mesures passives ont inclus l élaboration d une carte des dangers et la mise en place de la surveillance annuelle: mesures mensuelles (mai à novembre) des débits des forages horizontaux et des niveaux piézométriques, mesures biannuelles (printemps et automne) des inclinomètres, des points topométriques et des écartements des fissures du mur de soutènement.

6 300 J.-F. Brodbeck & R. Marcelpoix Résultats Les données de surveillance du glissement se résument à près de dix ans de surveillance des débits des forages horizontaux et de l écartement des fissures du mur de soutènement. Dix à douze ans de mesures piézométriques et vingt ans de mesures topomètriques et inclinomètriques (avec 3 générations d inclinomètres) sont également disponibles. Les résultats des mesures inclinométriques montrent des vitesses de 2 à 5 mm/an entre 1989 et La fonte des neiges associée aux précipitations exceptionnelles des printemps 1995 et 1999 (respectivement, 882 mm et 866 mm au total) avait provoqué une mise en charge du plan de glissement en profondeur et des déplacements de plus de 28 cm/an et 9 cm/an, respectivement. Depuis les travaux d assainissement, les vitesses de déplacements calculées par inclinométrie sont inférieures à 1 cm/an et généralement à 0.5 cm/an (figure 5). Les mesures topométriques illustrent l activité à la surface du glissement (figure 6). Avant les travaux d assainissement, les vitesses étaient d environ 5 cm/an dans la partie médiane et de 1.3 cm/an dans la partie inférieure. Les déplacements enregistrés lors du printemps 1999 ont atteint une vitesse moyenne de 80 cm/an dans la partie médiane. Après les travaux d assainissement les vitesses sont restées faibles (0 à 0.9 cm/an) sur l ensemble du corps du glissement. L association des mesures topométriques et inclinométriques permet à la fois de doubler le système de surveillance, mais aussi de caractériser les mouvements en surface (topométrie) et souterrains (inclinométrie). Les mesures piézométriques caractérisent la charge hydraulique du plan de glissement; depuis les travaux, leur suivi permet de contrôler l efficacité du dispositif d assainissement. Si la première dépression du plan de glissement en 1989 avait permis une chute de la charge hydraulique de 3 bars, les travaux d assainissement ont permis une nouvelle baisse d environ 1.5 bars (figure 7). Les mesures post-assainissement montrent un niveau des eaux souterraines stable au printemps ce qui confirme l efficience du système. Conclusions La compréhension des processus hydrogéologiques dans l étude du glissement de la Saussaz s est révélée judicieuse: la connaissance préalable des paroxysmes de mouvements lors du printemps par mise en forte surpression d une mince couche perméable dans la moraine de fond rhodanienne (jusqu à plus de 20 m au-dessus du sol dans SC1, soit environ 5 bars sur le plan de glissement) a permis d orienter les travaux d assainissement. Les mesures d urgence rapidement décidées et exécutées ont eu des effets immédiats et ont permis un fort ralentissement des mouvements. La finalisation de l assainissement par l achèvement des lignes de forages drainants, la collecte et l évacuation rapide des eaux de surface et de celle des forages ont permis de consolider le dispositif. La stabilisation du glissement est confirmée grâce aux dix années de surveillance post-assainissement. Le glissement est passé des classes «actif» et «très actif» à la classe «peu actif». Le type d assainissement choisi est relativement léger pour les volumes en cause et d une grande souplesse d exécution et de contrôle. Le montant total des travaux s est élevé à environ 1.5 mio de francs.

7 Assainissement du glissement de La Saussaz: état de stabilité 10 ans après les travaux 301 Figure 5. Evolution des vitesses de déplacement calculées à partir des mesures inclinométriques à l aval du glissement (d après CSD Ingénieurs SA, ). Figure 6. Vitesse moyenne annuelle (mm/an) à la surface du glissement. Figure 7. Evolution du niveau des eaux souterraines dans le piézomètre de contrôle situé à proximité du piézomètre SC1.

8 302 J.-F. Brodbeck & R. Marcelpoix Seule la poursuite de la surveillance permettra de maintenir la protection des biens et des personnes à l aval du glissement face à la probabilité d occurrence des phénomènes hydroclimatiques extrêmes au printemps. Le contrôle des déplacements, le suivi piézométrique couplé aux jaugeages permettra de vérifier la bonne efficacité du système de dépressurisation. En cas d anomalie, de nouveaux forages drainants pourraient être rapidement exécutés. Bibliographie Badoux H., Gabus J.-H. & Mercanton C.-H., Atlas géologique 1: de la Suisse, feuille n 1285 Les Diablerets (2 ème édition), Service hydrologique et géologique national. Badoux H., Gabus J.-H., Atlas géologique 1: de la Suisse, feuille n 1285 Les Diablerets (2 ème édition), Notice explicative, Service hydrologique et géologique national, 58pp. CSD Ingénieurs Conseils SA, Glissement de la Saussaz: rapport de synthèse 1992, Lausanne. CSD Ingénieurs Conseils SA, Assainissement du glissement de la Saussaz à Villard/Ollonrapport géologique et hydrogéologique et travaux exécutés en 2001, Lausanne, 8 pp. CSD Ingénieurs Conseils SA, Rapports annuels de surveillance du glissement de la Saussaz, Lausanne. Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, Détection et utilisation des terrains instables DUTI, projet d école (Lausanne), 229 pp. Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, Glissement de Villard-La Sausse, rapport technique sommaire, Laboratoire photogramétrique (Lausanne), 3 pp.

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers

La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies

Plus en détail

Eîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR

Eîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

L assurance contre les dommages dus à des événements naturels

L assurance contre les dommages dus à des événements naturels L assurance contre les dus à des s naturels I. Résumé L assurance des dus à des s naturels couvre les causés aux meubles et aux immeubles par les hautes eaux, les inondations, les tempêtes, la grêle, les

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

Présentation : A. A. TOSSA

Présentation : A. A. TOSSA LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol

Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Révision de la numérotation des règlements

Révision de la numérotation des règlements Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe «Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret

Plus en détail

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents

Brochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes

Plus en détail

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ

Plus en détail

document de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité

document de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1 / CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 Dimensions d encastrement 04 Inventaire des pièces livrées 04 Raccordement à l eau 05 Evacuation des

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

Rapport du Conseil communal au Conseil général

Rapport du Conseil communal au Conseil général République et Canton de Neuchâtel COMMUNE DE L A T E NE Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de 53 000 francs pour la réfection des points d ancrage de trois

Plus en détail

Applications of Earth Observation for Disaster Risk Management

Applications of Earth Observation for Disaster Risk Management Satellite Earth Observation & Disaster Risks Applications of Earth Observation for Disaster Risk Management Hicham EZZINE, Regional Centre for Disaster Risk Reduction Data Info. INRODUCTION INRODUCTION

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

16 novembre 2010. Didier Rocrelle Directeur d établissement

16 novembre 2010. Didier Rocrelle Directeur d établissement CLI AREVA Romans 16 novembre 2010 Didier Rocrelle Directeur d établissement Sommaire de la présentation L actualité de Romans depuis la dernière CLI Plan de surveillance environnementale AREVA Romans Questions

Plus en détail

Salles de bains PMR *

Salles de bains PMR * solutions accessibilité Salles de bains PMR * * Personne à Mobilité Réduite Bandes d éveil de vigilance Escaliers carrelés www.desvres.com solutions accessibilite EXIgENCES ET CONTRaINTES Projections d

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "

 Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables " Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

Les versants sous-cavés

Les versants sous-cavés RAPPORT D ÉTUDE 15/01/2014 DRS-13-135675-12706A Les versants sous-cavés Contraintes réglementaires, caractérisation détaillée de site et validation de la méthodologie d évaluation de l aléa. Les versants

Plus en détail

Prise en compte des dangers naturels dans l aménagement du territoire et les permis de construire

Prise en compte des dangers naturels dans l aménagement du territoire et les permis de construire Prise en compte des dangers naturels dans l aménagement du territoire et les permis de construire Guide pratique Partie I - Informations générales Département du territoire et de l environnement Direction

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon

Plus en détail

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR

DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire

Plus en détail

SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES

SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES ETUDE N 06-1015/1A SYNTHESE / EXTENDED ABSTRACT FRANÇAIS / ENGLISH SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES DANS LE CONTEXTE DES SITES POLLUÉS MONITORING OF GROUNDWATER AT CONTAMINATED SITES août 2008 C. ROLLIN,

Plus en détail

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION THÈSE N O 2388 (2001) PRÉSENTÉE AU DÉPARTEMENT D'INFORMATIQUE ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source

Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

Les technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller

Les technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller Les technologies IT au service de la prévision de débitd Application àl ORBE Présentation: Dr Philippe Heller ARPEA AG 2014 1 EIA FR -- e-dric.ch -- EPFL Trépied EPFL Apprendre et innover e-drich Mettre

Plus en détail

Avant d aller à la recherche d un terrain

Avant d aller à la recherche d un terrain Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques

5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques 5. Ouvrages de protection contre les risques hydrogéologiques 5.1 Ouvrages de protection : perspectives d innovation pour faire face à des contraintes d emprise, de haute énergie et environnementales :

Plus en détail

Présentation Datacenter Lausanne

Présentation Datacenter Lausanne Présentation Datacenter Lausanne Datacenter Iron Cloud dispose de plusieurs suites privatives dans un Datacenter indépendant de dernière génération. Ce dernier est situé en Suisse près de Lausanne. L infrastructure

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

Fribourg. du canton de. Rapport explicatif. Cartes des. dangers naturels. en zone préalpine. Canton de Fribourg

Fribourg. du canton de. Rapport explicatif. Cartes des. dangers naturels. en zone préalpine. Canton de Fribourg Canton de Fribourg Rapport explicatif Cartes des dangers naturels en zone préalpine du canton de Fribourg Direction de l aménagement, de l environnement et des constructions Direction des institutions,

Plus en détail

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES 1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME

SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME Bulletin trimestriel d août 2013 - Situation été - L Observatoire de l eau informe sur la situation de la ressource dans la Drôme au cours de l été Pluviométrie

Plus en détail

SIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation

SIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation SIEGE D EVACUATION Manuel d'utilisation REHA-TRANS Siège d évacuation Evacuation d'urgence Armoire de rangement Introduction Vous avez choisi d acheter un SIEGE D EVACUATION D'URGENCE. Veuillez lire attentivement

Plus en détail

Service de la promotion économique et du commerce (SPECo) aides financières. création, implantation et développement d entreprises

Service de la promotion économique et du commerce (SPECo) aides financières. création, implantation et développement d entreprises Service de la promotion économique et du commerce (SPECo) aides financières création, implantation et développement d entreprises x TABLE DES MATIERES 2 1. PRÉAMBULE 1.1. PRINCIPES GÉNÉRAUX 3 2. SOUTIEN

Plus en détail

Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration

Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE

DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW

Plus en détail

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique

Plus en détail

Construction et mise en œuvre d un simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain BRGM/RP-62998-FR

Construction et mise en œuvre d un simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain BRGM/RP-62998-FR Construction et mise en œuvre d unn simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain Rapport final BRGM/RP-62998-FR Décembre 2013 Mots clés : modèle hydrologique, modèle géochimique, modèle

Plus en détail

Qualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable

Qualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable Nombre minimal de point requis = 6; 1. Évacuation des gaz de combustion 1.1 Mesures de base pour évacuer les gaz de combustion Condition préalable Il n y a aucun appareil de combustion qui n est pas raccordé;

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

LA MUNICIPALITE DE FROIDEVILLE AU CONSEIL COMMUNAL

LA MUNICIPALITE DE FROIDEVILLE AU CONSEIL COMMUNAL Préavis de la Municipalité concernant une demande de crédit extrabudgétaire pour financer les travaux de construction et d aménagement d une déchèterie sur le territoire communal. No 105/2010 LA MUNICIPALITE

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation

Plus en détail

Commune de VILLARD-SUR-DORON

Commune de VILLARD-SUR-DORON I n g é n i e r i e d e s M o u v e m e n t s d e S o l e t d e s R i s q u e s N a t u r e l s Siège : Parc Pré Millet - 38330 MONTBONNOT tél : 04 76 52 41 20 - fax : 04 76 52 49 09 email : ims@imsrn.com

Plus en détail

Les Bassins Hydrauliques du Maroc 1. PRESENTATION

Les Bassins Hydrauliques du Maroc 1. PRESENTATION 1. PRESENTATION Les bassins côtiers méditerranéens s'étendent du bassin de l'oued Rhiss-Nekor à l est au bassin de l'oued Fnidek à l ouest et occupent une superficie de près 6.910 Km 2, leur altitude moyenne

Plus en détail

Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts

Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts MUTUELLE VAUDOISE, Société Coopérative Statuts I. Raison sociale, siège, but de la Société Art. 1 La MUTUELLE VAUDOISE, Société Coopérative, ci-après «la

Plus en détail

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

Convention de stage d ingénieur

Convention de stage d ingénieur Convention de stage d ingénieur Art. 0 Champ d application La convention règle les rapports entre les différentes parties pour un stage d ingénieur obligatoire qui s inscrit dans le cursus de formation

Plus en détail

murs de soutènement et dalles patio

murs de soutènement et dalles patio murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante

Plus en détail

ConSolidation de talus en béton

ConSolidation de talus en béton données techniques ConSolidation de talus en béton SolutionS par passion 4 Consolidation de talus en béton 4 Introduction 5 Sols meubles et sols rocheux 5 Types de sols 5 Talus naturels / Glissements

Plus en détail

INSIGHT. 27 mars 2015 Hôtel Alpha-Palmiers Lausanne

INSIGHT. 27 mars 2015 Hôtel Alpha-Palmiers Lausanne INSIGHT Invitation 27 mars 2015 Hôtel Alpha-Palmiers Lausanne La Fondation d investissement pour la prévoyance en faveur du personnel IST a le plaisir de vous inviter à son prochain séminaire institutionnel

Plus en détail

Présentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com

Présentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com 1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.

Plus en détail

PNEUS FREINS ABS ESP HUILE VITESSES

PNEUS FREINS ABS ESP HUILE VITESSES 31. - LA TECHNIQUE PNEUS FREINS ABS ESP HUILE VITESSES LES PNEUS D UNE VOITURE 1. Les pneus doivent être conformes. Ce sont les pneus qui assument le contact de la voiture avec la route. Pour rouler en

Plus en détail

CONSULTANT EXTÉRIEUR POUR LES ÉTUDES DE GÉNIE CIVIL HORS LHC. M. Poehler. Abstract

CONSULTANT EXTÉRIEUR POUR LES ÉTUDES DE GÉNIE CIVIL HORS LHC. M. Poehler. Abstract CONSULTANT EXTÉRIEUR POUR LES ÉTUDES DE GÉNIE CIVIL HORS LHC M. Poehler Abstract Un des mandats de la division ST est la réalisation de travaux de génie civil pour la construction, la rénovation et l adaptation

Plus en détail

MISSION DE L ENTREPRISE. Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur le marché mondial

MISSION DE L ENTREPRISE. Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur le marché mondial Bureau/presentation corpo/presentation goldcorp/powerpoint minautor AOUT 2013 MISSION DE L ENTREPRISE Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire

Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire Octobre 2009 Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire L intégration de personnes âgées ou souffrant d un handicap est une tâche importante de notre société. Les personnes

Plus en détail

Buts de football mobiles

Buts de football mobiles SERVICE PUBLIC FEDERAL ECONOMIE, P.M.E., CLASSES MOYENNES & ENERGIE QUALITE ET SECURITE Division Sécurité Service Sécurité des Produits Guide de sécurité n 1 Buts de football mobiles 2002 Ce guide de sécurité

Plus en détail