Situations de crise et accès aux soins

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1 Situations de crise et accès aux soins Commission du conseil de secteur Année 2006 Docteur Anne DECUP

2 Organisation générale 1 Trois réunions : février, mars et mai 2006 À chaque réunion, une trentaine de personnes : 1/3 : soignants du secteur (secrétaire, infirmières, médecins, psychologues, assistantes sociales, ) de toutes les structures du secteur 2/3 : groupe diversifié, des élus locaux des différentes mairies Des représentants de l espace territorial (qui nous accueillait dans ses locaux) Des représentants de la PASS, de la Mission Locale, de la Maison Verte, du Foyer SONACOTRA Des membres de l UNAFAM Le CEDAT La coordination gérontologique La CPAM La psychiatrie libérale (psychiatres installés et cliniques) La police municipale Des associations : ATY, L APRES, Accueil et Réinsertion Le lycée agricole autres

3 Organisation générale 2 Groupe diversifié, constitué de personnes venant d horizons différents, mais toutes motivées et intéressées par le sujet. Chacun a pu se présenter et exposer ses expériences et questions concernant les situations de crise. L UNAFAM nous a proposé de travailler sur une plaquette d information élaborée par leur association pour les Yvelines; la commission a donc apporté ses remarques et a décidé de s associer à l UNAFAM pour la réalisation d une plaquette spéciale au secteur 6, sous l égide du conseil de secteur: 2 sous-groupes de travail se sont réunis en mars et septembre 2006

4 Discussion 1 Questions abordées : Détresse des familles quand leur proche est en crise et refuse de se faire soigner Comment faire avec les situations de violence, qui appeler? Comment savoir s il s agit de pathologie ou pas? Comment convaincre quelqu un de se faire soigner?

5 Questions (suite) : Situations de crise et accès aux soins Discussion 2 Le groupe a exprimé une forte demande d intervention des psychiatres ou psychologues, à domicile ou dans des structures sociales d accueil (références au groupe ERIC, des Yvelines sud). Comment organiser des interventions professionnelles sécurisées, adaptées au patient, non violentes, avec les partenaires de l urgence: SAMU, MG, Sapeurs Pompiers, Forces de Police,

6 Axes de réflexion 1 En cas crise aigue, qui fait quoi? 2 Comment prévenir la crise et intervenir avant?

7 En cas crise aigue, qui fait quoi? 1 : Réponse difficile car absence de certains partenaires lors des discussions : Les médecins traitants Le SAMU Les pompiers La police Les psychologues libéraux ou d associations L intersecteur (psychiatrie de l enfant et de l adolescent), Réunions ciblées à mettre en place : avec les MG : enquête sur les troubles précoses de la schizophrènie, réunions dans d autres cadres comme le réseau de psychiatrie des Yvelines nord. avec la Police, les SP, : réunions axées sur les interventions en urgence sont en cours.

8 En cas crise aigue, qui fait quoi? 2 : Evaluation des situations de crise sur le secteur : Le nombre est difficile à préciser, Certaines sont extrêmement éprouvantes pour l entourage, famille ou travailleurs sociaux, qui se retrouvent très seuls Un certain nombre des situations de crise arrivent aux urgences de l hôpital et sont vues par un psychiatre du secteur; on peut alors préciser la crise et l accès plus ou moins aisé aux soins. Etude d évaluation aux urgences

9 Etude aux Urgences 1 Objectif : évaluer l accès aux soins des patients présentant une situation de crise. Réalisée aux urgences de l hôpital site de Saint- Germain. Concernant tous les patients vus par un psychiatre aux urgences ou aux LCD (lits-porte). Quelque soit le secteur psychiatrique, secteur 6 et secteurs avoisinants.

10 Etude aux Urgences 2 Deux questionnaires par patient : Evaluation par le psychiatre Evaluation par l entourage (lorsqu il est présent) Une dizaine de questions simples par questionnaire, cherchant à préciser : Les caractéristiques de la crise La mise en danger éventuelle Les interventions des professionnels avant l arrivée aux urgences La difficulté éventuelle de l accès aux soins et ses raisons Le motif de consultation en urgence Les modalités de transport jusqu aux urgences L orientation du patient après la consultation Les moyens d amélioration selon l entourage

11 Résultats : Situations de crise et accès aux soins Etude aux Urgences 3 36 patients en crise vus par le psychiatre 14 questionnaires remplis par l entourage Effectifs trop faibles pour faire des statistiques biaisés par la période d étude, c-à-d les mois d été, avec des patients différents, des médecins en vacances, des flux d urgences déplacés sur le site de Poissy

12 Etude aux Urgences 4 Motifs de consultation : 17 (47%): angoisse, syndrome dépressif, idées suicidaires 7 (19%): tentative de suicide 6 (16%): décompensation psychotique aigue confusion, violence 6 (16%): alcoolisation (aigue, demande de sevrage,..) 2 ( 5%) : problèmes psycho-sociaux

13 Etude aux Urgences 5 Transport : 18 : véhicule personnel (14), à pied (4) 12 : sapeurs pompiers 3 : ambulance 2 : véhicule de secteur psychiatrique 1 : police

14 Orientation : Situations de crise et accès aux soins Etude aux Urgences 6 19/36 : retour à domicile 15/36 : hospitalisation libre 2/36 : hospitalisation sous contrainte

15 Etude aux Urgences 7 Notion de crise, selon l entourage : Durée variable, de ½ j à >30j, indépendante du motif de la consultation. Sur 36 patients en crise, 14 familles, ou entourage, ont été présentes et 5 ont manifesté un sentiment de danger pour elle-même. Selon l entourage, l accès aux soins a été difficile dans un tiers des cas.

16 Etude aux Urgences 9 danger pour l entourage et le patient Quand il y a crise sans danger, c est généralement un trouble anxieux ou dépressif, et l accès est facile Quand il y a danger pour le patient seult, il s agit toujours, dans notre étude, d idées suicidaires ou de tentatives de suicide ; l accès aux soins est facile; l entourage sait comment agir : appel du SAMU ou des SP Quand il y a danger pour l entourage, il y a aussi danger pour le patient et l accès aux soins est difficile; le motif de consultation principal dans notre étude est l alcool: Troubles du comportement liés à l alcoolisation aigue Avec éventuellement mise en danger d autrui (conduite automobile, agressivité, ) ou du patient (coma, TS, comportement dangereux, ) Déni de la maladie entraînant une opposition aux soins Absence de suivi PEC difficile et longue, sans ttt «miracle», avec risque de rechute Entourage démuni, souffrant d un manque d informations sur la maladie alcoolique et la prise en charge possible

17 Etude aux Urgences 10 Accès aux soins : difficile pour 1/3 des familles : Quand le patient présente un trouble psychotique aigu, les difficultés sont liées à : l opposition aux soins Quand le patient présente un problème d alcool, les difficultés sont liées au manque d information ou à l opposition aux soins et le déni des troubles Quand le patient présente une crise anxio-dépressive, la difficulté est : l accès à un MG ou un psychiatre (vacances)

18 Etude aux Urgences 11 Professionnels contactés : 2/3 des familles contactent leur Médecin Traitant, quelque soit le motif. -> Donc, le MT est l interlocuteur privilégié dans les situations de crise Quand le patient est connu du secteur, le CMP est toujours contacté. Les réponses sont dispersées et difficiles à synthétiser un exemple

19 Etude aux Urgences 12 Moyens d amélioration selon l entourage: Même s il n a pas ressenti de difficultés pour amener le patient à des soins, l entourage souhaite souvent : - Etre soutenu psychologiquement, pendant et après la crise, crise vécue souvent sur un mode traumatique - Etre mieux informé des moyens d action surtout par rapport aux pathologies liées à l alcool

20 Conclusion : Situations de crise et accès aux soins Etude aux Urgences 13 Résultats à interpréter avec prudence car Effectifs peu importants Période de vacances Notions de crise, de danger, de difficultés d accès aux soins sont subjectives

21 Etude aux Urgences 13 Conclusion (suite): Le motif de consultation principal est le syndrome anxio-dépressif et les TS. L accès aux soins est difficile quand il y a danger pour l entourage et pour le patient; dans notre étude, ce sont des situations de crise liées à la pathologie alcoolique. Par ailleurs, le MG reste l interlocuteur privilégié des familles.

22 Axes de réflexion 2 Comment améliorer l accès aux soins? Seul un travail en réseau des différents partenaires de soins permettrait d améliorer la plupart des situations critiques. Le soutien demandé par les familles est déjà réalisé au CMP, ou à l hôpital quand le patient est hospitalisé, mais il doit certainement être amélioré. L information et le diagnostic précoce constituent la meilleure prévention

23 Axes de réflexion 3 Comment prévenir la crise et intervenir avant? Faire connaître le secteur psychiatrique et notamment le rôle pivot du CMP ( centre médico-psychologique) qui propose : des accueils infirmiers, des consultations d évaluation, des consultations pour l entourage des patients, éventuellement des visites à domicile, Rechercher activement une collaboration entre médecins généralistes et psychiatres : réflexions communes, formations, Pouvoir s adresser, le cas échéant, à des addictologues (CEDAT, CCAA) Sensibiliser les familles et les professionnels aux signes d alerte

24 Axes de réflexion 4 Comment prévenir la crise et intervenir avant? En favorisant l information de la population et des professionnels : La commission a donc travaillé sur la plaquette élaborée par l UNAFAM, destinée aux salles d attente des MG. La commission attend du conseil de secteur, qu il donne son aval sur la plaquette, c-à-d son association à l UNAFAM.

25 Pour les communes Saint Germain en Laye, Le Pecq, Fourqueux, Chambourcy, Mareil-Marly et Aigremont ADRESSES DE PROXIMITE * Urgences Psychiatriques locales : Standard de l hôpital de Poissy- St-Germain (24h/24) * CMP (Centre Médico-Psychologique pour adultes) 9 rue Armagis Saint-Germain en Laye ou à la consultation hospitalière au * CCAA (Centre de Cure Ambulatoire en Alcoologie) 8 bis, rue d Ourches St Germain en Laye Accès gratuit, accueil, soins, prévention * CEDAT (Centre Départemental d Aide aux Toxicomanes) 8 bis, rue d Ourches St Germain en Laye * Coordination Gérontologique YVELENE (Maintien à domicile des personnes âgées) Boulevard Carnot Le Vésinet * CCAS (Centre Communal d Action Sociale) 86, rue Léon Désoyer St Germain en Laye * Espace Territorial 9-11 rue Armagis St Germain en Laye * CHL (Coordination Handicap Locale) Immeuble Antarès 2, rue Ch. Edouard Jeanneret Poissy * MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) Hôtel du département 2, place André Mignot Versailles * CDAPH (Commission des Droits et de l Autonomie des Personnes Handicapées ex COTOREP) 34, av. du Centre Montigny le Bretonneux Conseil de Secteur VI- (mise à jour octobre 2006)

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