Recueil des meilleures et moyennes copies des concours d entrée Étude de cas
|
|
- Antoinette St-Arnaud
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Étude de cas Une étude de cas portant sur des questions managériales incluant notamment des aspects de stratégie, d organisation et de ressources humaines. SUJET : La note complète comprend 6 à 7 pages manuscrites au maximum. Le dossier complet figure en Annexe
2 Copie notée : 16/20 Note à l attention de Mr. Le Président Émetteur : Directeur Général Chargé de Mission Axes de révision du projet d établissement de la Fondation demandés suite à la séance du Conseil d Administration du 8 juin Pour rester en lien avec les évolutions profondes de la société, notamment en regard des enjeux de responsabilité sociale des entreprises (RSE), du vieillissement démographique de la société, et de la réforme Nouvelle Organisation Territoriale de la République (dite loi NOTRE), il est attendu d intégrer ces trois dimensions dans le nouveau projet d entreprise Il est également attendu, afin que cela ne reste pas au niveau de l ambition comme a pu l être le premier plan RSE, que ces trois dimensions trouvent leur application opérationnelle dans ce projet d établissement. Ainsi, face aux évolutions de son environnement interne et externe, la Fondation pourra affirmer certains de ces axes actuels et développer ses actions en faveur de la transparence (I). Elle pourra pour cela s appuyer sur ses valeurs et sur les axes de sa politique RSE naissante afin d accompagner les collaborateurs tout en rassurant ses partenaires et financeurs extérieurs (II). I/ Enjeux, risques et perspectives pour la Fondation suite aux évolutions de son environnement en vue de préparer le projet d établissement Si l objet d intérêt général reconnu de la Fondation est «la promotion de la solidarité et de lutte contre toutes les formes d exclusion, en particulier celles liées aux dépendances liées à l âge, la maladie ou le handicap», il est intéressant de rappeler que la loi sur l adaptation de la société au vieillissement (dite loi ASV) distingue plus largement le vieillissement de la perte d autonomie et met l accent sur les relations entre logement, transport et culture. Cependant, si ce champs dépasse l objet général, il impacte fortement le développement de l activité de la Fondation. A/ Les principaux enjeux et risques identifiés liés à l environnement interne et externe de la Fondation. Le premier élément notable est le vieillissement de la population, préoccupant pour les pouvoirs publics, et qui a donné lieu au vote de la loi ASV. Selon l INSEE, la population française serait composée de 24 millions d individus âgés de 60 ans et plus d ici Ce qui représenterait une personne sur trois. Parallèlement, l espérance de vie en bonne santé est de 62 ans pour les hommes, et 63,5 ans pour les femmes. L objet de la loi ASV est bien ainsi, de remettre en cohérence les politiques de l âge et d impulser une dynamique pour assurer l égalité de tous les citoyens face au risque de perte d autonomie. Parmi les objectifs pouvant intéresser la Fondation, on notera la volonté de décloisonner l offre sur le territoire, la promotion des parcours et la réduction des inégalités infra régionales
3 Le deuxième élément externe notable est la loi NOTRE, qui, en refondant et réorganisant les régions et les métropoles pour leur donner une taille critique, proche de la taille des régions des autres pays européens, change en profondeur le paysage et les interlocuteurs identifiés sur les secteurs de la Fondation. Les Agences Régionales des Santé (ARS), vont devoir se réorganiser. Les schémas régionaux vont évoluer, et de nouveaux besoins vont émerger, ainsi que la nécessité de coordonner les actions avec de nouveaux acteurs. Il conviendra alors d être vigilant afin d éviter toute rupture dans les projets menés pouvant pâtir d un changement d acteur. Concernant le volet financier, les financements Assurance maladie et conseil départementaux ont tendance à se construire. Il conviendra donc de continuer les efforts de bonne gestion afin de limiter les reports de coûts sur les résidents. La Reconnaissance d Utilité Publique (RUP) est un atout qui permet de récolter les dons en vue du financement de la Fondation. Concernant le volet social, l impulsion d un projet RSE non mené à terme, laisse les organisations syndicales dans une position d attentisme. Les indicateurs d égalité homme/femme laissent envisager de grandes marges de progrès sur l encadrement. La fin du projet d établissement et la préparation du prochain semblent être une opportunité de pouvoir réenclencher la dynamique de ce projet RSE, ainsi que pour prétendre répondre aux enjeux précédemment relevés. B/ Organisation actuelle et pistes de progrès envisageables pour la Fondation. La Fondation est un acteur implanté, et reconnu. Elle sera donc confortée en tant que telle pendant la période de changement et de réorganisation des acteurs territoriaux. La gouvernance est relativement simple au regard de sa taille, et les fondations sous égide sont complémentaires dans leurs activités. Les établissements sont centrés sur les personnes âgées, le handicap, et la dépendance, donc au cœur des nouveaux besoins. La Fondation porte des valeurs fortes, issues de son modèle social solidaire, déjà affirmées dans le projet d entreprise , qu il conviendra de maintenir et développer, telles que : Prévenir et accompagner, et les actions autour de la garantie du respect des droits, réaffirmés dans la loi ASV ; Promouvoir les parcours, entre logement et réinsertion notamment, et les aspects d orientation et de coordination ; Garantir l accueil, en travaillant notamment sur l adaptation au poste, les conditions de travail, et la formation du personnel. En regard des éléments précédents, la Fondation a cependant à mettre plus en avant son objectif de transparence. Souhaité par le Conseil, cette transparence peut servir à plusieurs niveaux : Vis-à-vis des financeurs mécènes, et des financeurs publics, pour garantir le bon usage des fonds reçus et conserver la RUP Vis-à-vis des futurs usagers, dont le choit à l information concerne aussi les prix des hébergements. Enfin, de manière générale, cette transparence peut servir à communiquer de manière responsable vers l ensemble des partenaires de la Fondation et des parties prenantes, et en ce sens peut servir un projet de RSE pour la Fondation
4 II/ Le projet RSE peut accompagner le développement de la Fondation et la mise en œuvre de son nouveau projet d établissement Le principal risque dans la mise en œuvre de ce projet réside dans le fait que le précédent projet RSE soit resté à l état d ambition. La crédibilité du projet et son adhésion seront alors fortement dépendants à la capacité de la direction à faire des liens entre le projet d entreprise et la démarche RSE, ainsi qu à identifier les directions responsables du reporting sur chaque axe de la démarche. Un plan d accompagnement sera ensuite nécessaire, tant pour impulser la démarche, que pour s assurer de son bon suivi à travers une évaluation régulière. A/ Des valeurs partagées entre le projet d établissement et le projet RSE, portées par une gouvernance bien identifiée. Le premier axe développé est celui des Ressources Humaines (RH). Il s agit de développer une GRH respectueuse des personnes, ce qui prend tout son sens pour des personnels du médico-social. Ceci passe par l amélioration des conditions de travail, l adaptation et la formation du personnel, et la prise en compte de ses souhaits d évolution ou de mobilité. Cet axe du plan RSE et ses actions du projet d établissement seraient confiées à la direction des RH et du développement social. L axe concernant l environnement et sa préservation peut être rapproché des actions concernant les achats responsables, ainsi que les dépenses mutualisées portées par la direction achats et les directions d'établissements. Les actions concourant à l accompagnement de la vie économique et sociale de la région, portées par les établissements à travers la création de place d accueil temporaire, les programmes d insertion, la conduite de projets personnalisés, pourraient être suivies par la direction de la Santé, de l autonomie et de la Qualité et sa délégation santé-autonomie. Les actions autour de la transparence et continuité des projets pourraient être valorisées par la direction stratégie et communication en lien avec la délégation au mécénat. Quant à la conduite d achats responsables, elle serait soit de la responsabilité des RH en cas de marché mettant en œuvre des entreprises adaptées, soit du service achat pour des prestations «vertes». Ce travail de mise en cohérence entre le projet d établissement et la démarche RSE permettra d en faciliter leurs déploiements mutuels. B/ Le déploiement d un plan d accompagnement pour favoriser l implication des collaborateurs et rassurer les partenaires extérieurs. En premier lieu, il s agira de développer la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences. Si certains outils ont été créés pour l externe (site web, réseaux sociaux) il convient de faciliter la lisibilité pour les parcours internes. Ceci donnera également corps à l accord GPEC signé en 2015 et rencontrera facilement l adhésion des organisations syndicales
5 En lien avec les parcours professionnels, il conviendra de faire augmenter le taux de femmes chef d équipe (33%), non cohérent au regard du taux ce femmes salariées (85,5 %). La formation est un levier déjà bien utilisé (40% de personnes formées en 2014) qui fait généralement consensus et que l on peut valoriser. Les actions entreprises pour regrouper les différents Comités d Entreprise (CE) doivent être poursuivies. Cela permettra des effets d échelle et de proposer de meilleures prestations aux salariés. La cellule Contrôle Interne aura aussi un rôle à jouer, dans la constitution des chiffres, pour alimenter les décideurs publics et ainsi communiquer vers eux, mais également pour faire le lien avec les consommations d énergie et les impacts environnementaux. Et bien entendu, son rôle se renforce dans un contexte de contrition de l argent public. Enfin, les données et les actions entreprises seront valorisées dans un plan de communication plus large à destination des parties prenantes
6 Copie notée : 11/20 Chargé de mission Le 27 juin 2016 Note A l attention de Monsieur le Directeur Général de la Fondation. Objet : projet de redéfinition des orientations stratégiques de la Fondation. Alors que s achève cette année la mise en œuvre du projet d établissement , le Conseil d administration a exprimé le souhait, lors de sa séance du 8 juin dernier, de redéfinir les orientations stratégiques de la Fondation, compte tenu de l évolution de son environnement. La présente note expose les principaux enjeux auxquels est confrontée la Fondation et propose de nouvelles orientations qui pourront servir de base au projet d établissement Elle propose une méthode pour adapter les modes d organisation et de gestion en y intégrant la démarche de Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE), et un plan d accompagnement associé. I/ Les principaux enjeux auxquels est confrontée la Fondation. Un environnement marqué par deux réformes majeures. La Fondation a pour objet la promotion de la solidarité et de la lutte contre toute forme d exclusion, en particulier celles liées aux dépendances liées à l âge, la maladie ou le handicap. Elle gère 97 établissements sanitaires, établissements et services sociaux et médico-sociaux répartis sur tout le territoire de France métropolitaine. La Fondation est donc directement impactée par les récentes réformes dans le domaine social et sanitaire et du point de vue territorial. Dans le domaine social, sanitaire et médico-social, les récentes lois du 28 décembre 2015 relatives à l adaptation de la société au vieillissement (ASV) et du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé, placent la prévention en élément indispensable de la politique de santé. La loi ASV a des impacts directs sur la Fondation en ce qu elle crée de nouvelles obligations pour les établissements en renforçant la transparence et l information des usagers et en prescrivant un socle de prestations de base comprises dans le tarif d hébergement. La réforme territoriale consacre la place du Département dans le domaine sanitaire et social. Par ailleurs, la fusion des régions dont le nombre est réduit à 13 est susceptible d avoir des conséquences sur les partenariats des acteurs locaux. Un contexte interne fragile Le climat social de la Fondation est fragile. En effet, une des deux organisations syndicales les mieux implantées s oppose à la discussion autour de la révision de l accord d entreprise et laisse présager des mouvements de grève. Une autre organisation syndicale fait état de sa méfiance à l égard des nouveaux projets
7 II/ Les orientations stratégiques proposées. Trois orientations stratégiques sont proposées. Adapter l offre sociale et médico-sociale à l évolution du public. Cette orientation consiste à tenir compte de la population vieillissante et se traduit par les actions suivantes : spécialiser les établissements en fonction du public, du degré de dépendance, orienter le public vers l accueil le plus adapté, développer les dispositifs de maintien à domicile, apporter une réponse individualisée et adaptée aux patients en privilégiant la prévention. Optimiser l action de la Fondation en la coordonnant avec celle des autres acteurs locaux. Cet axe suppose notamment de s appuyer sur les ARS et les Conseils départementaux et d étudier les impacts de la réforme territoriale en termes de partenariat par chaque établissement géré par la Fondation. Faire évoluer le mode d organisation et de fonctionnement de la Fondation en y intégrant la démarche de la RSE. La note approuvée par le Conseil d administration en 2015 pourrait servir de base à cette démarche. Il est opportun de débuter dans le domaine des Ressources humaines, compte tenu du climat social, en y associant les partenaires sociaux. III/ L adaptation des modes d organisation et de gestion en intégrant la démarche RSE. La RSE a pour ambition d associer les logiques économiques, sociales et environnementales. Dans sa note de 2015, le Conseil d administration s est engagé dans cette démarche qui est plébiscitée par les organisations syndicales. Pour la mener à bien, il convient de l associer désormais à toutes les nouvelles orientations ou changements dans les modalités d organisation et de fonctionnement des établissements gérés par la Fondation. Il s agit d une approche transversale qui pourrait être coordonnée par la Direction des ressources humaines et du développement social, à laquelle cette nouvelle mission serait confiée. Afin d assurer sa mise en œuvre qui n a pas été effective jusqu ici, il est proposé de faire intervenir un consultant extérieur afin de former certains salariés et mettre en place la démarche. Concernant l organisation des établissements, la Délégation santé autonomie a un rôle prépondérant dans l évolution de l organisation. En effet, elle assure le pilotage et le suivi opérationnel des établissements. Par conséquent, il est indispensable que cette délégation assure le lien avec les Directeurs des établissements qui doivent décliner le projet de la Fondation au sein de leur structure
8 En matière de ressources humaines, la démarche RSE peut être conduite dans les domaines d action proposés par le Conseil d administration. Impliquer en amont les partenaires sociaux à l élaboration d un plan d action permettra de faciliter la mise en place. Une thématique de travail prioritaire réside dans l égalité professionnelle homme-femme. En effet, malgré un accord du , les femmes salariées de la Fondation n occupent que 33% des postes de cadres alors qu elles sont plus de 85% parmi les employés. IV/ Plan d accompagnement interne et externe. Accompagnement interne : en direction des partenaires sociaux : faire participer les partenaires sociaux à l élaboration du bilan du projet d établissement et à la définition du nouveau projet en direction des salariés : mettre en place des groupes de travail composés de salariés afin de définir certaines actions découlant des orientations stratégiques, prévoir une communication adaptée en réunissant le personnel de chaque établissement. en direction des Directeurs / responsables d établissements : prévoir des rencontres régulières au siège de la Fondation afin d assurer un discours clair, cohérent et uniforme sur les orientations et la mise en œuvre des actions associées. Accompagnement externe : en direction des donateurs : inviter les donateurs à une rencontre pour communiquer sur les nouvelles orientations et le projet d établissement en direction des partenaires locaux : associer les partenaires au projet et communiquer sur les actions mises en œuvre, notamment dans le cadre de la RSE
...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailL actualité de la fonction publique. SDRH/ RH1/ Ecole de la GRH Novembre 2012
L actualité de la fonction publique SDRH/ RH1/ Ecole de la GRH Novembre 2012 L actualité de la Fonction publique 1 L agenda social de la fonction publique : 1.1 De nouvelles orientations, de nouvelles
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailContact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,
Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle
Plus en détailVeille sociale au 12 septembre 2014
( Veille sociale au 12 septembre 2014 La veille sociale présentée dans cette revue actualise la veille présentée le mois dernier. Les sujets qui n ont pas évolué ne sont pas repris. ( I ) Projets sociaux
Plus en détailCONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines
CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous
Plus en détailLE GROUPE MACIF ET LA RSE
LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur
Plus en détailDernière mise à jour le 11/09/15 1
Libellé de l UE Libellé de l EC CM Résumés Intervenants SEMESTRE 3 UE 1 : Les politiques publiques sociales (6c) Politiques sociales (3c) Evaluation des politiques publiques des secteurs 18 h Par ce cours,
Plus en détailInnovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie
Innovation Capital annonce le lancement du fonds d investissement sectoriel SISA dédié à la filière Silver économie Paris, le 25 février 2014 Innovation Capital, société de capital investissement fondée
Plus en détailL Association Française des AIDANTS et le Groupe PRO BTP, partenaires pour soutenir les aidants
DOSSIER DE PRESSE L Association Française des AIDANTS et le Groupe PRO BTP, partenaires pour soutenir les aidants PARIS Mercredi 29 février 2012 Communiqué de presse p.2 L Association Française des AIDANTS
Plus en détailUn nouvel État territorial
La réforme de l administration territoriale de l État 1 / 7 Un nouvel État territorial L organisation territoriale de l État en France est caractérisée par : une architecture historique calée sur les départements
Plus en détailL intergénérationnel, un enjeu pour tous
www.limousin.gouv.fr 1 2 L intergénérationnel, un enjeu pour tous 3 SOMMAIRE COMMUNIQUE DE SYNTHESE page 4 CONTEXTE page 6 Le contrat de génération en Limousin L appui-conseil au contrat de génération
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailCENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de
Plus en détailPRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN
PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailSeniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS. Parce que les vacances, c est essentiel.
2015 Seniors en Vacances OFFREZ DU BIEN-ÊTRE À VOS SENIORS Parce que les vacances, c est essentiel. Un outil innovant au service de vos politiques sociales Ce programme déployé par l ANCV depuis 2007 a
Plus en détailAccompagnement RH des projets de transformation des organisations
Accompagnement RH des projets de transformation des organisations La conduite d un projet de réorganisation : Un exercice complexe ET délicat! Confrontée à une dégradation continue de sa compétitivité,
Plus en détailLICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année
LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année CONTENU DES ENSEIGNEMENTS ET MODALITES D EVALUATION Semestre 1 : 30 crédits 9 EC obligatoires 1 EC optionnelle à choisir parmi 2
Plus en détailLe projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement
Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailLa loi sur la mobilité des fonctionnaires
MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT La loi sur la mobilité des fonctionnaires De nouveaux outils au service d une vraie carrière collection Ressources
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailCollège des Hautes Etudes de l Environnement. du Développement Durable. w w w. c h e e d d. n e t
Collège des Hautes Etudes de l Environnement et du Développement Durable P r é pa r e r l e s d i r i g e a n t s au x e n j e u x du Développement Durable w w w. c h e e d d. n e t Une approche transversale,
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailAppel à projet. Bourse Charles Foix édition 2014. 2014- Silver Valley - tous droits réservés
Appel à projet Bourse Charles Foix édition 2014 2014- Silver Valley - tous droits réservés APPEL À PROJET - LA BOURSE CHARLES FOIX Clôture le vendredi 1 août 2014 à minuit Silver Valley lance, en partenariat
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailDans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche
ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la
Plus en détailComprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress
GÉRER LE STRESS DANS L ENTREPRISE OBJECTIFS PEDAGOGIQUES DUREE : 1 JOUR Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress Identifier la notion de risques psychosociaux au titre de la Loi
Plus en détailRÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014
RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création
Plus en détailÉdito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon
Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailCahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique
Cahier des charges thématique - Couverture du territoire par le très haut débit et développement des usages du numérique Actualisation et mise en œuvre d une Stratégie de Cohérence Régionale d Aménagement
Plus en détailLa présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.
Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,
Plus en détailAPFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de
Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des
Plus en détailProspective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010
Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre
Plus en détailblgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :
2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet
Plus en détailAccompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE
O Reilly Consultants est un cabinet de conseil en gestion des ressources humaines, formation et coaching qui vise à réconcilier l épanouissement individuel : Accompagner les individus dans la réappropriation
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailProjet d établissement
ANGERS 21 Des services pour chacun > > Culture > > Service > > Emploi > > Jeunesse > > Environnement > > Angers Projet d établissement du centre communal d action sociale Projet d établissement du centre
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailPRESENTATION STRATEGIQUE
Programme «Accidents du travail Maladies professionnelles» 7 PRESENTATION STRATEGIQUE DU PROGRAMME DE QUALITE ET D EFFICIENCE «ACCIDENTS DU TRAVAIL MALADIES PROFESSIONNELLES» La branche «accidents du travail
Plus en détailDIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE
DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE RAPPORT RELATIF AUX AGREMENTS DES CONVENTIONS ET ACCORDS APPLICABLES AUX SALARIES DES ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MEDICO-SOCIAUX PRIVES A BUT NON LUCRATIF POUR 2010
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailC H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S
C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailAccord Cohésion Sociale
Accord Cohésion Sociale Entre l Unité Economique et Sociale MACIF, représentée par Monsieur Roger ISELI, Directeur Général de la MUTUELLE ASSURANCE DES COMMERCANTS ET INDUSTRIELS DE FRANCE, Société d'assurance
Plus en détailPrix AGIRC et ARRCO Faciliter l accès aux soins des personnes handicapées vieillissantes pour favoriser l autonomie
APPEL À PROJETS Prix AGIRC et ARRCO Faciliter l accès aux soins des personnes handicapées vieillissantes pour favoriser l autonomie en partenariat avec le Comité national Coordination Action Handicap (CCAH)
Plus en détailamur La Défense dans le Grand Paris: l enjeu de son Territoire-Réseau mastère spécialisé promotion 2012-2013 Directeur d étude Partenaire
amur promotion 2012-2013 La Défense dans le Grand Paris: l enjeu de son Territoire-Réseau mastère spécialisé Partenaire Equipe Projet Laure Bellon-Serre Marie Chevillotte Clément Javouret Pierre Le Moual
Plus en détailPROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement
PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à
Plus en détailDe l évaluation individuelle à la performance organisationnelle : Surfer sur les notes!
De l évaluation individuelle à la performance organisationnelle : Surfer sur les notes! Luc Mélotte Administrateur Plan de la présentation Stratégie d entreprise et Performance Stratégie RH et Performance
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailL IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE
L IMPACT DE LA LOI DE SECURISATION DE L EMPLOI SUR LES ENTREPRISES DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE La Loi n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi a été publiée au Journal officiel
Plus en détailLa qualité de vie au travail. comment bien mettre en œuvre l Accord National Interprofessionnel
La qualité de vie au travail comment bien mettre en œuvre l Accord National Interprofessionnel La qualité de vie au travail Un ANI pour Innover Vous avez entendu parler de l Accord national interprofessionnel
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détaileducationsolidarite.org
Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org
Plus en détailSOLVENCY II: GOUVERNANCE ET NOUVELLE POLITIQUE DE EIFR 25.06.2014
SOLVENCY II: GOUVERNANCE ET NOUVELLE POLITIQUE DE RISQUE EIFR 25.06.2014 LA MUTUALITÉ FRANÇAISE La mutualité française en quelques chiffres 2 LES CHIFFRES CLÉS ET L ORGANISATION DE LA MUTUALITÉ Un acteur
Plus en détailPlace des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes
Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire
Plus en détailLe plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire
Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de
Plus en détailPosition du CIGREF sur le Cloud computing
Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailL ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI
L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI Les ERP «ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC» Le nouveau dispositif réglementaire Première partie CONTEXTE ET POLITIQUES PUBLIQUES Le contexte Le point de départ L accessibilité
Plus en détailFormation de dirigeant de PME
Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise
Plus en détailPOUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE. Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009
POUR UNE NOUVELLE POLITIQUE DE SOUTIEN A L INSERTION PAR L ACTIVITE L ECONOMIQUE Rapport Cadre n CR 41-09 du 06 Mai 2009 1 Une politique régionale concertée Le 20 Mai 2008, le CRIF organise une large concertation
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailCharte Mutuelle Existence
Charte Mutuelle Existence Développement Durable Développement Durable Environnement - Social - Économique Sommaire Définition du Développement Durable p. 2 Nos valeurs et nos engagements p. 3 Charte Sociale
Plus en détailNOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS)
NOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS) Nomenclature ESS Nomenclature d'activité Nomenclature Catégorie Juridique 100 Coopérative 110 Coopérative secteur agricole 111 Sociétés de coop. agricole 112
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailSANTE ECOLE ENSEIGNANTS
SANTE ECOLE ENSEIGNANTS Formation des directeurs 13 mai 2014 Nadine Colin, déléguée MGEN SANTE ECOLE ENSEIGNANTS 1. La MGEN, acteur de santé? 2. Eléments de réflexion et de débats 3. Dispositifs et outils
Plus en détailRéforme relative au permis de construire et aux autorisations d urbanisme
Avril 2006 Note d information juridique Agence d Urbanisme du Territoire de Belfort Centre d Affaires des 4 As BP 107-90002 Belfort Cedex Tél : 03 84 46 51 51 - Fax : 03 84 46 51 50 Courriel : autb@autb.asso.fr
Plus en détailL exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé
L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé Dr Jean Jacques ANTOINE FEMALOR 14 Juin 2012 METZ 57 1 Déclara'on d intérêts J ai actuellement ou j ai eu au cours des trois
Plus en détailAide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées
Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailSage 100. pour les PME. Faites de votre gestion un levier de performance
Sage 100 pour les PME Faites de votre gestion un levier de performance À propos de Sage Leader des éditeurs de logiciels de gestion sur le marché des PME dans le monde* Plus de 6 millions d entreprises
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailLa Mutualité Française
La Mutualité Française en Pays de la Loire Un mouvement pour une santé solidaire en région en Pays de la Loire : une représentation régionale pour défendre l accès à la santé pour tous Les mutuelles Premier
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem
6 ème séance plénière lundi 14 avril 2014 DOSSIER DE PRESSE La commission départementale de la démographie médicale : l instance incontournable en Lot-et-Garonne pour mettre en place un nouvel exercice
Plus en détailModification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme
Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailProgramme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015
Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel
Plus en détailQuestion avec des mots clés. La réponse de ResEnTer. Entreprises. Simplifier les relations. Monter en maturité/thémathique
La communauté au service de l intêret général Question avec des mots clés La réponse de ResEnTer Favoriser les circuits courts Evaluer impact socio-économiques Mettre en relation les acteurs Entreprises
Plus en détailRapport technique n 8 :
Modernisation de l action publique Groupe de travail interministériel sur les agences et opérateurs de l Etat Rapport technique n 8 : L'appui des têtes de réseau interministérielles en matière de fonctions
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détailLES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ
LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailQuoi de neuf acteurs? Les politiques locales de l'habitat à l'épreuve des réformes en cours
1 Quoi de neuf acteurs? Les politiques locales de l'habitat à l'épreuve des réformes en cours La réforme territoriale : quelle organisation, quelles compétences demain? Paris, 4 février 2010 1 2 Une longue
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailDossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013
Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes
Plus en détailRPS QVT. risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL. l expertise obea
RPS QVT risques psychosociaux / QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL l expertise obea RPS QVT l expertise obea Spécialiste des projets de transformations RH et Managériaux, Obea travaille à vos côtés autour des différentes
Plus en détailBANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC
BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC DOSSIER DE PRESSE Contact presse Caroline Weill cweill@selfimage.fr 01 47 04 12 52 Audrey Peauger apeauger@selfimage.fr 01 47 04 12 53
Plus en détailDE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE. Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015
2015-09 NOR : CESL1500009X Lundi 27 avril 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA RgPUBLIQUE FRAN^AISE Mandature 2010-2015 - Seance du 14 avril 2015 REVOLUTION NUMERIQUE ET ävolutions DES MOBILITES INDIVIDUELLES ET
Plus en détail