Partie 2 Application des Eurocodes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Partie 2 Application des Eurocodes"

Transcription

1 Partie 2 - Application des Eurocodes Yves Martin, Chef de Laboratoire, CSTC Antenne Normes Prévention Incendie Formation Feu Centre Information Acier Journée 1 8 mai Partie 2 Application des Eurocodes Yves Martin, Chef de Laboratoire, CSTC Antenne Normes Prévention Incendie Formation Feu Centre Information Acier Journée 1 8 mai

2 Contenu de la présentation 1. Introduction Quoi? Les différentes parties? Statut? Avancement en Belgique? Parties feu : base + différentes méthodes de calculs (tabulées simples avancées) Principes de contrôle Niveaux de contrôle 1, 2 et 3 4. Conclusions et références 3 1. Introduction Arrêté Royal Normes de base Annexe 1 (Terminologie) Article 2 Voir projet modification Partie 1 (slide 21) «Pour l évaluation de la résistance au feu d éléments de construction, on peut utiliser: - soit un essai selon NBN soit une méthode de calcul, agréée par le Ministre de l Intérieur selon la procédure et les conditions qu il détermine» A l heure actuelle: pas de méthode de calcul agréée 4 2

3 1. Introduction Groupe de travail au sein du Conseil Supérieur Objectifs -Choix de la méthode de calcul agréée - Déterminer la procédure et les conditions permettant l utilisation de la méthode de calcul Les Eurocodes Parties feu Principe de contrôle 5 Contenu de la présentation 1. Introduction Quoi? Les différentes parties? Statut? Avancement en Belgique? Parties feu : base + différentes méthodes de calculs (tabulées simples avancées) Principes de contrôle Niveau de contrôle 1, 2 et 3 4. Conclusions et références 6 3

4 Les Eurocodes: quoi? Les Eurocodes = un ensemble de normes européennes relative au dimensionnement des structures (bâtiments et ouvrages de génie civil). Selon la Directive Produits de Construction (DPC 1989), tout ouvrage construit doit répondre à 6 exigences de base La résistance mécanique et la stabilité La sécurité en cas d incendie Hygiène, la santé et l environnement La sécurité d utilisation La protection contre le bruit L économie d énergie et l isolation thermique 7 Les Eurocodes sont élaborés au niveau européen par le CEN (Comité Européen de Normalisation) Plus particulièrement le CEN/TC

5 Les différentes parties Il existe au total 60 parties d Eurocodes réparties en 10 Eurocodes 2 Eurocodes de base Eurocode 0 (EN 1990) Bases de calcul Règles générales de conception Eurocode 1 (EN 1991) Actions sur les structures Valeurs de calcul des actions (charges permanentes, charges d exploitation), les actions dues à l incendie 2 Eurocodes distincts Eurocode 7 (EN 1997) Calcul géotechnique Eurocode 8 (EN 1998) Résistance aux séismes 9 Les différentes parties 6 Eurocodes matériaux Eurocode 2 (EN 1992) Calcul des structures en béton Eurocode 3 (EN 1993) Calcul des structures en acier Eurocode 4 (EN 1994) Calcul des structures mixtes acierbéton Eurocode 5 (EN 1995) Calcul des structures en bois Eurocode 6 (EN 1996) Calcul des structures en maçonnerie Eurocode 9 (EN 1999) Calcul des structures en aluminium 10 5

6 Statut des Eurocodes Toutes les parties des Eurocodes sont depuis 2003 disponibles sous forme de «prénorme (ENV)» Processus de passage ENV vers les «normes définitives (EN)» : voir Exemple Eurocode X 1/01/2005 Étape 51 Disponibilité de la norme EN par le CEN aux organismes de normalisation nationaux 11 Statut des Eurocodes Toutes les parties des Eurocodes sont depuis 2003 disponibles sous forme de «prénorme (ENV)» Processus de passage ENV vers les «normes définitives (EN)» : voir Exemple Eurocode X 1/01/2005 Étape 51 1/03/2005 Deadline to CEN Les organismes nationaux (NBN en Belgique) ont deux mois pour faire des commentaires et voter 12 6

7 Statut des Eurocodes Toutes les parties des Eurocodes sont depuis 2003 disponibles sous forme de «prénorme (ENV)» Processus de passage ENV vers les «normes définitives (EN)» : voir Exemple Eurocode X 1/01/2005 1/03/ /03/2006 Étape 51 Deadline to CEN Étape 64 Publication de la norme EN officielle en 3 langues 13 Statut des Eurocodes Toutes les parties des Eurocodes sont depuis 2003 disponibles sous forme de «prénorme (ENV)» Processus de passage ENV vers les «normes définitives (EN)» : voir Exemple Eurocode X 1/01/2005 1/03/ /03/ /03/2008 Étape 51 Deadline to CEN Étape 64 Traduction de la norme EN en NL + établissement de l ANB (Annexe Nationale)+ enquête publique + publication officielle de la norme EN+ANB Publication officielle en Belgique 14 7

8 Avancement en Belgique Disponible sur le site 15 Les Eurocodes «parties feu» Eurocode 0 (EN 1990) Charges agissant sur la structure = en cas d incendie 1 < 1 Rem.: pour le calcul «à froid»: - 1,35 pour les charges permanentes - 1,5 pour la charge variable principale et 1,5.Ψo pour les charges variables d accompagnement On admet que la probabilité d existence simultanée d un incendie et d un niveau de charge très désavantageux est très faible En règle générale cela conduit à une charge en situation d incendie de l ordre de 50 à 70 % de celle prise en compte pour le calcul à froid 16 8

9 Les Eurocodes «parties feu» Exemple: poutre de plancher dans un immeuble de bureau soumise à une charge permanente de 3 kn/m² et à une charge d exploitation Les actions statiques en cas d incendie = = ,5. 3 = 4,5 kn/m² Eurocode 0 (EN 1990) Eurocode (EN ) + ANB 17 Les Eurocodes «parties feu» Eurocode (EN ) Les actions thermiques dues à l incendie - Courbes normalisées et courbes paramétriques - Densité de charge calorifique - Modèle du temps équivalent Voir présentation «Modèles de feu (Cajot/Vassart)» 18 9

10 Les Eurocodes «parties feu» Dans chacun de ces Eurocodes Matériaux, on retrouve une partie 1-2 relative au calcul du comportement au feu Par exemple Eurocode Calcul du comportement au feu des structures en béton Eurocode Calcul du comportement au feu des structures en acier Eurocode Calcul du comportement au feu des structures en bois Détermination de la résistance au feu (pas réaction au feu ) 19 Les Eurocodes «parties feu» Eurocodes matériaux partie 1-2 (EN , EN , EN , EN , ) Trois types de modèles de calculs Calcul par valeurs tabulées Tables provenant de l évaluation de résultats d essai Modèles de calculs simplifiés Extrapolations des calculs à température ordinaire! Comportement en cas d incendie Modèles de calculs avancés Programmes de calcul sophistiqués Niveaux graduels de «difficultés» pour l utilisateur 20 10

11 Les Eurocodes «parties feu» 1. «Calcul» par valeurs tabulées Moyen rapide et aisé d obtenir la résistance au feu d un élément en se servant de tableaux de données Exemple: EN section 4.2 Colonne mixte 21 Les Eurocodes «parties feu» 1. «Calcul» par valeurs tabulées! Hypothèse d application des méthodes Exemple: EN section 4.2 Colonne mixte 50 R OK si -hauteur colonne < 5,40 m -4 barres

12 Les Eurocodes «parties feu» 2. Calcul par méthodes «simplifiées» Modèles de calcul basés sur les équations d équilibre. Même philosophie que le calcul à froid mais en prenant en compte le comportement à chaud (diminution de section ou de caractéristiques des éléments suite à l augmentation de t ) Plus complexe => ingénieur (ou équivalent) avec idéalement formation supplémentaire en calcul de résistance au feu. 23 Les Eurocodes «parties feu» 3. Calcul par méthodes «avancées» Modèles de calcul prenant en compte une analyse thermique et mécanique complète de la structure Ces modèles nécessitent des programmes de calcul avancés (éléments finis, ) et un haut degré de connaissance Par exemple : SAFIR (ULg J-M. Franssen) 24 12

13 Contenu de la présentation 1. Introduction Quoi? Les différentes parties? Statut? Avancement en Belgique? Parties feu : base + différentes méthodes de calculs (tabulées simples avancées) Principes de contrôle Niveau de contrôle 1, 2 et 3 4. Conclusions et références 25 Principes de contrôle Les Eurocodes = méthode de calcul agréée Sous quelles conditions et procédures? Compétences requises pour effectuer la note de calcul? Qui va faire le contrôle des notes de calcul? Projet disponible (grands principes approuvés par le Conseil Supérieur en 2006 mais ) Fonction de la complexité de la méthode de calcul 26 13

14 Principes de contrôle 27 Niveau de contrôle 1 Méthode tabulée Applicable pour les «méthodes tabulées»(aiséà utiliser et contrôler) Responsabilité = responsable du calcul à froid ou à défaut l architecte Note de calcul et plans reprennent les références précises aux valeurs tabulées des Eurocodes et précisent le respect des conditions d utilisation Rôle du service d incendie: avis/contrôle éventuel sur base du document transmis par le responsable 28 14

15 Niveau de contrôle 2 Méthode simplifiée Applicable pour les «méthodes simplifiées» Système semblable au placement des portes RF Depuis AR (Portes BENOR-ATG et placeurs certifiés) Arrêt du Conseil d État ( ) annulant cette obligation Qualité de la porte et placement cependant très important! Nouveau projet de réglementation concernant le placement de porte RF élaboré par le SPF Intérieur Prévu tout prochainement (2007) mais avis négatif du Conseil d État (04/2007) 29 Principe pour le placement des portes RF «Un contrôle du placement des portes résistant au feu est effectué dans tout bâtiment dans lequel ces portes sont installées [ ]. Sont exemptés de ce contrôle, les portes résistant au feu placées par des placeurs certifiés [ ]» Si le menuisier n est pas certifié : contrôle systématique du placement par un organisme de contrôle accrédité Si le menuisier est certifié par organisme de certification (ISIB par exemple): exempté de ce contrôle Formation de 12h + Réussite de l examen + contrôles réguliers par l ISIB sur chantier 30 15

16 Niveau de contrôle 2 Méthode simplifiée Même principe pour la détermination de la résistance au feu par calcul Le calculateur n est pas certifié: il doit faire attester sa note de calcul par un organisme de contrôle accrédité Attestation et fiche descriptive délivrées par l organisme de contrôle au service d incendie Le calculateur qui rédige la note de calcul et qui utilise une méthode simplifiée est certifié: il atteste sa note de calcul lui-même (ne doit pas la faire attester par organisme de contrôle accrédité). Attestation et fiche descriptive délivrées par le calculateur certifié au service incendie et à l organisme de certification 31 Niveau de contrôle 2 Méthode simplifiée La certification des calculateurs Formation complémentaire de l ingénieur en matière de comportement au feu des structures Certification par Eurocode (par exemple uniquement pour le calcul des structures en acier => formation sur l Eurocode 1 et l Eurocode 3-1-2) Examen testant les connaissances du candidat Maintenance de la compétence du calculateur via un contrôle régulier Copie de chaque note de calcul envoyée par le calculateur certifié à l organisme de certification Contrôle régulier des fiches de calcul par l organisme de certification 32 16

17 Niveau de contrôle 2 Méthode simplifiée Portes RF Calcul résistance au feu Qualité du produit BENOR-ATG ou certificat (AoC1) Eurocodes Qualité exécution Placeur certifié Formation, examen, contrôle administratif et contrôle régulier chantier Placeur non certifié Contrôle systématique sur chantier Calculateur certifié Formation, examen, contrôle régulier des notes de calcul Calculateur non certifié Contrôle systématique des notes de calcul 33 Niveau de contrôle 3 Méthode avancée L utilisation des méthodes avancées fait l objet d une procédure de dérogation (Commission de dérogation). Remarque importante: Dans le contexte du projet d arrêté royal actuel, les méthodes avancées englobent également l utilisation de toutes autres courbes que la courbe ISO (courbes feu réel, ) 34 17

18 Tableau de synthèse Méthodes tabulées Courbe ISO Niveau de contrôle 1 Courbes de feu réel Pas d application Méthodes simplifiées Niveau de contrôle 2 (avec 2 systèmes) Commission de dérogation Méthodes avancées Commission de dérogation Commission de dérogation Conclusions Résistance au feu des éléments de construction Par essais Par calculs NBN ou Normes européennes Les Eurocodes Calculateur certifié ou pas Organisme de certification Organisme de contrôle 36 18

19 4. Conclusions Document intermédiaire: principes approuvés par Conseil Supérieur. Le groupe de travail doit encore se réunir pour fixer les modalités pratiques (formation requise pour la certification, formation éventuelle des pompiers, ) Groupe de travail est en «stand-by» : Publication nouvel arrêté royal concernant les portes RF Projet approuvé par le Conseil Supérieur (fin 2005) Notifié à la CE (mi 2006):OK Projet approuvé et signé par le Conseil des Ministres (début 2007) Avis négatif du Conseil d État (mars 2007) Conclusions Plus d information Sites du CSTC Antenne Normes Incendie Antenne Normes Eurocodes: Yves Martin yves.martin@bbri.be Merci de votre attention! 38 19

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

ENV 1993 1 1 ANB. EC1 Eurocode EN 1994 1 2

ENV 1993 1 1 ANB. EC1 Eurocode EN 1994 1 2 Implémentation des EUROCODES 3 et 4 en Belgique r.debruyckere@seco.be 18 novembre 2010 ENV 1993 1 1 ANB EC1 Eurocode NAD, DAN EC4 EN 1994 1 2 EC3 1. Un petit peu d histoire 2. Les Eurocodes en Europe 21ENV

Plus en détail

Qu'est-ce que la normalisation?

Qu'est-ce que la normalisation? NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,

Plus en détail

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF

Plus en détail

EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs

EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel

Plus en détail

Marquage CE. pour structures en acier

Marquage CE. pour structures en acier Marquage CE pour structures en acier guide pratique - édition 2013 Marquage CE pour structures en acier Guide pratique Avant-propos La première édition de cette publication a été rédigée en 2010 et éditée

Plus en détail

LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI

LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI JOURNEE DU 21.10.2008 Partie 1 : Actions thermiques 1/ 51 REPARTITION DES SRI EN BELGIQUE. SERVICES X SERVICES Y SERVICES Z SERVICES C Bruxelles. Wavre. Braine-Le-

Plus en détail

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46

Partie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au

Plus en détail

Illustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments

Illustration des activités du. Centre Scientifique et Technique de la Construction. dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Illustration des activités du Centre Scientifique et Technique de la Construction dans le domaine de la Performance Energétique des Bâtiments Journée Smart Cities 07 juin 2012 Centre collectif de recherche

Plus en détail

[Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace.

[Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace. Journal pour la clientèle de F.J. Aschwanden SA Septembre 2010 [Colonnes mixtes acier-béton préfabriquées ORSO-V] Colonnes ORSO-V pour exigences statiques les plus élevées et dimensionnement efficace.

Plus en détail

Vade-mecum Règles Pratiques

Vade-mecum Règles Pratiques Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

La réglementation Incendie en Belgique

La réglementation Incendie en Belgique La réglementation Incendie en Belgique Formation incendie F. HENRY 1 La réglementation Incendie en Belgique Formation incendie F. HENRY 2 Cpt ing. F. HENRY 1 Les differents niveaux de pouvoir - Fédéral

Plus en détail

La sécurité. et le confort au meilleur prix! BLOC-PORTE BLINDÉ PALIERIS G 371C - CLASSE 3 *

La sécurité. et le confort au meilleur prix! BLOC-PORTE BLINDÉ PALIERIS G 371C - CLASSE 3 * BLOC-PORTE BLINDÉ PALIERIS G 31C - CLASSE 3 * La sécurité et le confort au meilleur prix! Conforme à la NOUVELLE CERTIFICATION a2p Blocs-Portes Bloc-porte a2p BP 1 BP 1 *Anti-effraction avec certificat

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

La réglementation incendie et ses évolutions

La réglementation incendie et ses évolutions La réglementation incendie et ses évolutions L évacuation des personnes à mobilité réduite en cas d incendiedi S. Danschutter, Chef de projet, CSTC Y. Martin, Chef de division, CSTC www.cstc.be J. Rahier,

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.

Plus en détail

A apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive

A apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!

Plus en détail

La construction métallique mixte un système allégé innovant

La construction métallique mixte un système allégé innovant Journée Construction Acier 2013 mercredi le 27 novembre, Luxembourg La construction métallique mixte un système allégé innovant Bachelor / Master en Ingénierie Dr.- Ing. M. Schäfer Dr.-Ing. Markus Schäfer

Plus en détail

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;

Plus en détail

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL

NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL 1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

Contrôle et Monitoring

Contrôle et Monitoring Contrôle et Monitoring De la conception jusqu au suivi de l ouvrage Philippe WELTER, SPW Direction de la Géotechnique (philippe.welter@spw.wallonie.be) Journée d étude SBGIMR 10/03/2015 Les techniques

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

Attention, la visite du site est obligatoire L absence de remise d un certificat de visite entraînera la non-conformité de l offre remise

Attention, la visite du site est obligatoire L absence de remise d un certificat de visite entraînera la non-conformité de l offre remise MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX VILLE DE GUJAN-MESTRAS Direction Générale des Services Service Achats Marchés Place du Général De GAULLE 33470 GUJAN MESTRAS Tél: 05 57 52 57 52 Fax: 05 57 52 57 50 TRAVAUX DE

Plus en détail

Thème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle. 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme

Thème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle. 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme Thème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme 11. Qualité et gestion de la production 12. Hydraulique 13. Organisation industrielle

Plus en détail

Règlement particulier de certification pour "Entreprise certifiée BOSEC spécialisée en installation de systèmes EFC " Version 5 2011.01.

Règlement particulier de certification pour Entreprise certifiée BOSEC spécialisée en installation de systèmes EFC  Version 5 2011.01. Règlement particulier de certification pour "Entreprise certifiée BOSEC spécialisée en installation de systèmes EFC " Version 5 2011.01.20 Ce règlement fait partie intégrante du Règlement général de la

Plus en détail

Guide normes de base. Edition 2013. Rf-Technologies. www.rft.be. t. +32 (0)9 362 31 71 f. +32 (0)9 362 33 07 info@rft.be www.rft.

Guide normes de base. Edition 2013. Rf-Technologies. www.rft.be. t. +32 (0)9 362 31 71 f. +32 (0)9 362 33 07 info@rft.be www.rft. Guide normes de base Edition 2013 Rf-Technologies Lange Ambachtstraat 40 9860 Oosterzele Belgium t. +32 (0)9 362 31 71 f. +32 (0)9 362 33 07 info@rft.be www.rft.be www.rft.be AVANT-PROPOS Chères lectrices,

Plus en détail

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS?

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR

Plus en détail

TRAVAUX D ELECTRICITE POUR LA LEVEE DES OBSERVATIONS DU RAPPORT DE CONTROLE DES INSTALLATIONS ELECTRIQUES

TRAVAUX D ELECTRICITE POUR LA LEVEE DES OBSERVATIONS DU RAPPORT DE CONTROLE DES INSTALLATIONS ELECTRIQUES TRAVAUX D ELECTRICITE POUR LA LEVEE DES OBSERVATIONS DU RAPPORT DE CONTROLE DES INSTALLATIONS ELECTRIQUES RAPPORT DEKRA N 044688791201 R 001 (Vérifications réalisées du 26/12/2012 au 07/03/2013) C C T

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article

Plus en détail

PRESTATIONS DE NETTOYAGE DES LOCAUX, NETTOYAGE DES VITRES, FOURNITURES de PRODUITS CONSOMMABLES et ADAPTES

PRESTATIONS DE NETTOYAGE DES LOCAUX, NETTOYAGE DES VITRES, FOURNITURES de PRODUITS CONSOMMABLES et ADAPTES CUFR JF CHAMPOLLION Place de Verdun 81000 ALBI CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES C.C.A.P MARCHE DE SERVICE 2012 N 101-2012 PRESTATIONS DE NETTOYAGE DES LOCAUX, NETTOYAGE DES VITRES, FOURNITURES

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE

MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE Pouvoir adjudicateur : Centre Hospitalier de Béziers 2 rue Valentin Haüy BP 740 34525 BEZIERS Libellé de la consultation* : SITE MONTIMARAN SERVICE RADIOLOGIE (objet du marché)

Plus en détail

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

Les textes et règlements

Les textes et règlements Réglementation applicable aux chapiteaux, tentes et Note : cette fiche est extraite pour l essentiel de l ouvrage «Organiser un événement artistique dans l espace public : Guide des bons usages», édité

Plus en détail

Système multicouche raccords à sertir et tubes

Système multicouche raccords à sertir et tubes Système multicouche raccords à sertir et tubes 4BONNES RAISONS DE CHOISIR LES SOLUTIONS 4GAMMES COMPLÉMENTAIRES 1 L EFFICACITÉ : pour répondre à toutes les configurations Avec les solutions multiconnect,

Plus en détail

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES Le titre professionnel de : INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES1 niveau V (code NSF : 233 s) se compose de deux

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

CERTIFICAT DE SITUATION RELATIVE AUX COTISATIONS

CERTIFICAT DE SITUATION RELATIVE AUX COTISATIONS GOUVERNEMENT ESPAGNOL MINISTERE DU TRAVAIL ET DE L IMMIGRATION TRESORERIE GENERALE DE LA SECURITE SOCIALE DIRECTION PROVINCIALE DE : Administration de la Sécurité Sociale N : CERTIFICAT DE SITUATION RELATIVE

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles

Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Don t let the market leave without you Our know-how makes your success Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Mardi 27 Mai 2014 - Namur

Plus en détail

Table des matières générale 1)

Table des matières générale 1) 1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES

Plus en détail

agrément DES professions paramédicales

agrément DES professions paramédicales agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes

Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes sur acier (en tant qu'annexe 3 de la publication SZS C2.5 «Peintures intumescentes» reconnue officiellement

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

Formation 2013 Bâtiment Durable

Formation 2013 Bâtiment Durable Formation 2013 Bâtiment Durable ACOUSTIQUE Bruxelles Environnement ISOLATION ACOUSTIQUE DES FAÇADES Debby WUYTS, Ir CSTC-WTCB GUIDANCE ÉCO-CONSTRUCTION ET DÉVELOPPEMENT DURABLE 2 mai 2013 Formation mise

Plus en détail

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE ETUDE DE L EXISTANT CONSTRUCTION STRUCTURE (Références photos du chantier- 1960) LA GRANDE COURONNE

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Table des matières TITRE I : LES BAUX DU CODE CIVIL (100) (Les références entre parenthèses renvoient aux numéros des paragraphes)

Table des matières TITRE I : LES BAUX DU CODE CIVIL (100) (Les références entre parenthèses renvoient aux numéros des paragraphes) Table des matières (Les références entre parenthèses renvoient aux numéros des paragraphes) SOMMAIRE... 1390 INTRODUCTION... 1392 TITRE I : LES BAUX DU CODE CIVIL (100) SECTION 1 : LES CHARGES LOCATIVES

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P)

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) Marché privé de travaux - pièce n 3 Maître de l ouvrage : Fonds Calédonien de l Habitat Objet du marché : RESTRUCTURATION DE 103 LOGEMENTS «Rivière

Plus en détail

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site

Plus en détail

Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches

Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches Septembre 2010 Max-Planck-Straße 4 D-40237 Düsseldorf Telephone: +49 211 6989411 Fax: +49 211 672034 E-mail: info@epaq.eu Règlement EPAQ pour la qualité

Plus en détail

Le guide du marquage CE

Le guide du marquage CE Le guide du marquage CE Introduction VOUS AIDER A CONNAITRE LES IMPLICATIONS DU MARQUAGE CE ET LES OBLIGATIONS REGLEMENTAIRES Le marquage CE constitue le signe visible permettant aux produits qui en sont

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

Surveillance dosimétrique Note législative

Surveillance dosimétrique Note législative VL/NB Bruxelles, le 17 mars 2014 Surveillance dosimétrique Note législative 1 Un nouveau texte de loi vient de paraître. Il s agit de : Loi du 26 janvier modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la

Plus en détail

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage 80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme

Plus en détail

"MULTIRISQUE INDUSTRIELLE" ALLIAGE FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE

MULTIRISQUE INDUSTRIELLE ALLIAGE FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE "MULTIRISQUE INDUSTRIELLE" ALLIAGE FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE Nom, Prénom, Adresse du Proposant *:... ALLO ASSURANCES BP 30018 26958 VALENCE CEDEX 9 www.alloassurances.com AN AVT REMPT Date d'effet

Plus en détail

Dessinateur projeteur en béton armé

Dessinateur projeteur en béton armé Référentiel de Certification UNION EUROPEENNE Fonds Social Européen DSP REAC RC RF CDC Dessinateur projeteur en béton armé Libellé réduit: DPBA Code titre: TP-00314 Type de document: Guide RC Version:

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES

GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les

Plus en détail

OPAC EN 1090-01 2004 OCAB/OCBS

OPAC EN 1090-01 2004 OCAB/OCBS OPAC EN 1090-01 Règlement d Application pour l Attestation de Conformité selon EN 1090 Révision 01 Approuvé par le BT3 le 20131204, par le Conseil d Administration le 20131206 Règlement d application pour

Plus en détail

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique

Plus en détail

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives

1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives ORDONNANCE N 2013-889 du 3 octobre 2013 relative au développement de la construction de logement FICHE N 6 : Instruction et motivation des demandes de dérogation 1. Instruction des demandes de permis de

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

Système de gaine DICTATOR

Système de gaine DICTATOR Système de gaine DICTATOR Le système de gaine modulaire pour le rattrapage Approuvé selon EN 1090 Un ascenseur devient de plus en plus important pour la vie quotidienne, non seulement dans les bâtiments

Plus en détail

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur

Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être

Plus en détail

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS

POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont la

Plus en détail

NOXTECH GARDE-CORPS EN VERRE. économique sûr facile à monter. Le système de balustrade

NOXTECH GARDE-CORPS EN VERRE. économique sûr facile à monter. Le système de balustrade NOXTECH Le système de balustrade GARDE-CORPS EN VERRE économique sûr facile à monter PROFIL POUR GARDE-CORPS EN VERRE Le verre remplace ou complète toujours plus les matériaux conventionnels, il permet

Plus en détail

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage

Plus en détail

Note de cadrage relative à l épreuve de VERIFICATION DES CONNAISSANCES TECHNIQUES

Note de cadrage relative à l épreuve de VERIFICATION DES CONNAISSANCES TECHNIQUES CONCOURS INTERNE ET TROISIEME CONCOURS D AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Note de cadrage relative à l épreuve de VERIFICATION DES CONNAISSANCES TECHNIQUES INTITULE REGLEMENTAIRE DE L EPREUVE (décret n 2002-1049

Plus en détail

CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES

CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES CREDIT AGRICOLE SUD RHONE ALPES Société coopérative à capital et personnel variables Siège social : 15-17, rue Paul Claudel - 381 GRENOBLE Siret 42 121 958 19 - APE 651 D Note d information émise à l occasion

Plus en détail

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1)

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Logo de l organisme de Formation Intitulé Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Public Tout public Pré-requis - aptitude physique à suivre la

Plus en détail

PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES

PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES PERMIS DE CONDUIRE POUR LES TRACTEURS AGRICOLES Le permis de conduire G Le permis de conduire G Depuis le 15 septembre 2006, un permis de conduire spécifique est exigé pour la conduite des tracteurs agricoles

Plus en détail

Tortuire-Terrasse Pont et parking. Dilat 40/60. Edition 3/2010. ... Système de joint de dilatation mécanique pour parking

Tortuire-Terrasse Pont et parking. Dilat 40/60. Edition 3/2010. ... Système de joint de dilatation mécanique pour parking Tortuire-Terrasse Pont et parking Dilat 40/60... Système de joint de dilatation mécanique pour parking Edition 3/2010 Toutes les nouveautés, les catalogues à jour consultables et téléchargeables sur www.danialu.com

Plus en détail

ADJOINT TECHNIQUE DE 1 ère CLASSE CONSEILS PRATIQUES A L ATTENTION DES CANDIDATS FILIERE TECHNIQUE

ADJOINT TECHNIQUE DE 1 ère CLASSE CONSEILS PRATIQUES A L ATTENTION DES CANDIDATS FILIERE TECHNIQUE Examen professionnel ADJOINT TECHNIQUE DE 1 ère CLASSE CONSEILS PRATIQUES A L ATTENTION DES CANDIDATS FILIERE TECHNIQUE Cette note contient des informations indicatives visant à aider le candidat à se

Plus en détail

Actualités de la normalisation au Luxembourg

Actualités de la normalisation au Luxembourg Mardi 21 octobre 2014 Actualités de la normalisation au Luxembourg ILNAS obtient le certificat ISO 9001:2008 L Institut Luxembourgeois de la Normalisation, de l Accréditation, de la Sécurité et qualité

Plus en détail

VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE

VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE Journée technique CoTITA Méditerranée 10 mai 2012 Philippe Pecquenard Station d essais de matériels routiers Les évolutions du matériels CoTITA Méditerranée

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

Sources. la Newsletter. Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012

Sources. la Newsletter. Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012 Sources 8 la Newsletter Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012 Edito Thierry Platz, Gérant Norme EN 1433 Conformité, sécurité des caniveaux hydrauliques et responsabilité pénale. NORME

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

Installateur chauffage-sanitaire

Installateur chauffage-sanitaire Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme

Plus en détail

Fermetures antipaniques Fermetures d urgence

Fermetures antipaniques Fermetures d urgence Fermetures antipaniques Fermetures d urgence 8 plates-formes régionales à votre entière disposition : - une équipe de professionnels à votre écoute - un stock près de chez vous BORDEAUX.............................124/126

Plus en détail

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments Audits énergétiques L efficacité énergétique dans les bâtiments Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer les performances énergétiques de votre bâtiment.

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail