Introduction au Contrôle de Gestion

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1 mpb 1/8 Introduction au Contrôle de Gestion La mission principale de ce cours est d'effectuer des calculs simples, de donner une méthode pour la réalisation de calculs de coûts. Il faudra assimiler la logique globale, puis la restituer dans des applications. La comptabilité sert à deux choses principalement : remplir les obligations légales et fiscales, donner de informations économiques sur la situation de l'entreprise. Le contrôle de gestion s'occupe de cet aspect des choses. La partie «juridique» de la comptabilité (présentation du bilan, du compte de résultat suivant les normes établies et les lois en vigueur), s'attache à donner une image famélique de l'entreprise, afin que celle-ci ne paie pas d'impôts, ou en paie le moins possible (par ailleurs, si le résultat est faible, les salariés seront moins virulents...) C'est une «rente de situation» pour les experts comptables, du fait de la complexité des lois pouvant impacter la comptabilité (et de leur volatilité)... Une entreprise a besoin d'une visibilité sur 5 ans, mais les règles du jeu n'arrêtent pas de changer (subventions ou crédits d'impôts donnés une certaine année, puis arrêtés 1 ou 2 ans après, ) Le contrôle de gestion a pour mission de répertorier toutes les charges qui entrent réellement dans la fabrication du produit. Nous nous intéresseront donc uniquement à ce qui est «économique». Nous laisserons de côté les subventions, les charges et produits exceptionnels, Nous partons donc du compte de résultat CHARGES Charges Consommées PRODUITS Produits Réalisés En contrôle de gestion, il n'existe pas de notion d'encaissement ou de décaissement. Petit point de vocabulaire : - Cash flow = flux d'argent (jamais calculable à partir du CR quoiqu'en disent certains) - EBITDA = Earnings before Interest, Taxes, Depreciation, and Amortization (revenus avant intérêts, impôts (taxes), dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations (mais après dotations aux provisions sur stocks et créances clients)). Indicateur en provenance des US, fourretout auquel on peut faire dire n'importe quoi (cf crise subprimes) Le Compte de résultat se divise en 3 parties : Exploitation Financier Exceptionnel Chacune de ces parties comportant des charges, des produits, dont la différence génère un résultat. C'est une présentation fonctionnelle qui reflète l'activité économique et commerciale de l'entreprise.

2 mpb 2/8 Si l'exploitation est rentable, elle dégage des fonds=>ces fonds seront placés=> ils pourront générer des résultats financiers importants. Le solde intermédiaire «résultat courant» = résultat d'exploitation + résultat financier. Le résultat exceptionnel est constitué de produits et de charges ne se reproduisant pas à l'identique sur une même période. On ne tiendra jamais compte du résultat exceptionnel en contrôle de gestion. On se focalise sur le résultat d'exploitation. Il existe plusieurs types de charges : charges décaissées = salaires, électricité, gaz, matières premières, charges calculées = dotations aux amortissements A propos des amortissements : Les députés votent une loi qui fixe la durée de l'amortissement. Etant donné le mode de fixation, cette durée est susceptible de changement d'une année sur l'autre, ce qui n'a rien à voir avec la réalité économique. Par exemple : vous achetez une machine-outil (1000 ): la loi vous autorise à l'amortir sur 4 ans, mais vous savez qu'au bout de 3 ans, elle sera à changer. Il faudra donc en tenir compte dans les calculs. La dotation aux amortissements résulte d'un constat de dépréciation irréversible sur une immobilisation. C'est une charge non monétaire, donc une bonne charge (elle fait baisser le résultat, mais ne grève pas les finances). Or, imaginons que dans votre processus de fabrication, votre machine outil sera utilisée non pas 4 ans(durée amortissement légal), mais 5 ans. Dotation annuelle aux amortissements légale = 250 (1000/4) Dotation annuelle aux amortissements à prendre en compte = 200 (1000/5) La différence entre le légal et le réel (50 dans ce cas) est appelé CHARGES NON INCORPORABLE AU COUT. Cela ne change en rien le compte de résultat. (rappel : le plan comptable de 2001 signe l'arrêt de la comptabilité analytique) ELEMENT SUPPLETIF : on appelle élément supplétif tout ce qui économiquement représente une charge, mais qui n'en n'est pas une du point de vue fiscal (rémunération de l'exploitant par exemple, ou dividendes à verser aux actionnaires). En contrôle de gestion, nous allons «éplucher les charges». Pour commencer, et au risque d'enfoncer des portes ouvertes, il convient de vérifier que TOUTES les charges ont été CORRECTEMENT enregistrées!!! Ensuite, il faut déterminer la valeur des produits que l'on fabrique. Certaines charges peuvent être affectées directement : il s'agit de charges directes Toutes les autres charges sont appelées charges indirectes, et seront définies à l'aide de clés de répartition. En Contrôle de Gestion, on utilise des tableaux d'analyse. Un tableau par produit, un tableau par type de charge

3 mpb 3/8 Tableau de répartition des charges directes Elément Quantité Prix Unitaire Prix Total Tableau de répartition des charges indirectes Charge Montant Administration Distribution Production Atelier A Production Atelier B Section homogène : service, atelier, stade de fabrication... autant de colonne que de section. Ce tableau donne le Total de répartition primaire La répartition est effectuée au REEL, OU TOUT AU MOINS DE LA MANIERE LA PLUS COHERENTE POSSIBLE. Pour ce faire, il convient d'utiliser les UNITES D'OEUVRE (UOE). L'unité d'oeuvre doit être le générateur de coût. Ainsi, on calculera au m² pour des planches plutôt que sur le montant. Il faut donc déterminer la nature, le nombre et le coût de l'unité d'oeuvre, et vérifier si elle est cohérente avec l'activité de l'entreprise. C'est, en principe, le rôle du Technicien des Méthodes. En France, on utilise peu le benchmarking (sans doute à cause de notre satanée culture du secret) : le benchmarking, c'est le fait d'observer ce qui se passe ailleurs afin de l'adapter aux contraintes de l'entreprise. Cela peut faire gagner beaucoup de temps (pourquoi réinventer l'eau tiède...) Nous allons donc étudier l'articulation, la cascade des coûts. Petit point de vocabulaire : Prix = suppose un échange avec l'extérieur de l'entreprise Coût = valorisation interne à l'entreprise Décomposition des coûts : Coût d'achat = autant de coûts d'achat que de matières premières Coût de production = autant de coûts de production que de produits fabriqués Coûts de revient = autant de coûts de revient que de produits commercialisés résultat = prix de vente coût de revient

4 mpb 4/8 Coût d'achat : prix d'achat charges directes (transport, assurances, ) frais d'achat (frais de manutention, suivant UOE) dans l'exemple suivant, l'uoe est définie par 1UOE=100 d'achat Quantité Prix unitaire Prix total Achats Charges directes Charges indirectes L'ensemble des charges doit être répartie dans les coûts d'achat. Mais ce tableau est, sinon erroné, tout au moins incomplet : que faisons-nous des stocks? Pour valoriser les stocks, il convient d'utiliser une fiche de stock : Fiche de Stocks Elément Entrées Sorties Quantité Prix Unitaire Prix Total Quantité Prix Unitaire Prix Total Stock Initial Achats du Mois , Sorties du Mois (méthode1) , Plusieurs systèmes de valorisation des stocks : 1- FIFO = first in first out (1er entré, 1er sorti) 2- CMUP = coût moyen unitaire pondéré --- PAMP (prix achat moyen pondéré) cf JL /marchandises/achat revente dernier entré 1er sorti (pas admis en compta française) ce qui guide le choix : Contrainte du produit stocké (produits frais =>1) mode de stockage (en silo =>1) capacité à identifier le produit (ou plutôt incapacité [vis, boulons,...]=>2) Cette valorisation des stocks va permettre de valoriser celle en comptabilité générale. Une fois la méthode choisie, elle doit être conservée.

5 mpb 5/8 Coût de production des produits fabriqués (On se réfère toujours à une période) matières premières (fruits, sucre, pectine, emballage, étiquettes pour fabrique de confiture par exemple) salaires (nb h pour fabriquer) coûts indirects liés à la production stocks en entrées de stocks : production du mois en sortie de stocks : ventes Nous intégrons ainsi tous les coûts pour la réalisation du produit. Cascade des coûts : coûts de production + coûts d'administration + coûts de distribution = coût de revient complet = toutes les charges économiquement justifiées bonne méthode de valorisation des stocks choix de l'uoe étude de la méthode de production (ne pas sauter ds étapes) Etude de la chaine de production Matières premières stockées : ==> FIFO? CMUP? Si 4 étapes de production ==> 4 ateliers? Stockage entre les ateliers? Flux continu? Produit semi-fini = produit stocké, cours d'achèvement Produit en cours = produit en cours de réalisation, n'étant pas stocké tel quel

6 mpb 6/8

7 mpb 7/8 Application 1 Elément Quantité Prix Unitaire Prix Total Choux Carottes 5 kg 5 kg 2 /5kg=0,4 4 /5kg=0,8 2 4 Hypothèse 1 transport Hypothèse 2 Transport Hypothèse 3 Transport 6 UOE (2 +4 ) 10 UOE (5kg+5kg) 1 UOE (choux uniquement) 0,6 /6UOE=0,10 0,60 /10UOE=0,06 0,60 0,60 0,60 0,60 Coûts au Kilo Choux Carottes Hypothèse 1 : (2+(0,1*2))/5 = 0,44 Hypothèse 2 : (2+(0,06*5))/5= 0,46 Hypothèse 3 : (2+0,60)/5 = 0,52 Hypothèse 1 : (4+(0,1*4))/5 = 0,88 Hypothèse 2 : (4+(0,06*5))/5= 0,86 Hypothèse 3 : (4+0)/5 = 0,80 Commentaire : En fonction du choix de la clé de répartition, de la définition de l'uoe, on va observer des répercussions sur le coût de revient. Application 2 : La Source Bleue Diffusion Client P Client Q Elément Qté Pu Pt Qté Pu Pt Ventes (CA) , , Achats , , Commande Visite Km Manutention , , Livraison exprs total coût HA total résultat Total résultat unitaire 0,04 0,06 Client R Client S Elément Qté Pu Pt Qté Pu Pt Ventes (CA) , , Achats , , Commande Visite Km Manutention , , Livraison exprs total coût HA total résultat Total résultat unitaire 0,03 0,06

8 mpb 8/8 Client T Elément Qté Pu Pt Ventes (CA) , Achats , Commande Visite Km Manutention , Livraison express total coût HA total résultat Total résultat unitaire -0,03 Conclusion : Le client T se trouve en dessous du seuil de rentabilité, du fait d'un prix de vente unitaire trop bas.

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