I Evolution des déclarations enregistrées depuis 1991
|
|
- Sébastien St-Hilaire
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 I.3.1. Les cancers Source : rapport 22 du Registre du Cancer de Nouvelle-Calédonie (IPNC, Francine Baumann, janvier 24) L'article 5 de la délibération N 491 du 11 août 1994 a rendu obligatoire la déclaration des nouveaux cas de cancer. L'article 6 de cette même délibération précise que l'enregistrement des cas de cancers est réalisé par un registre dont la gestion peut être déléguée. Par convention, la Direction des Affaires Sanitaires et Sociales a confié à l'institut PASTEUR DE NOUVELLE-CALEDONIE la tenue du Registre du Cancer de Nouvelle-Calédonie. I Evolution des déclarations enregistrées depuis 1991 La collecte des données 21 et 22 auprès du secteur libéral a été grandement facilitée par la reprise de la collaboration des anatomo-cyto-pathologistes de ce secteur. Alors que durant les années 1999 à 21 la participation directe des médecins libéraux a été très difficile, expliquant les chiffres anormalement bas pour cette période, la récente collaboration des anatomo-cytopathologistes du secteur privé, a permis d enregistrer et de valider 569 cas de cancers pour l année 22, soit une augmentation 88% par rapport à 21 du nombre de cancers déclarés. Sont présentées : les données concernant toutes les tumeurs malignes et invasives. Sont exclues : les tumeurs malignes in situ, les tumeurs bénignes ainsi que toute récidive de tumeur maligne déjà déclarée, les métastases de cancers dont le site primitif est connu et déclaré. A noter depuis 21, l inclusion de tous les carcinomes cutanés d le registre, suite aux recommandations de l INVS. La codification utilisée d le registre est la Classification Internationale des Maladies, dixième révision «CIM 1» de l Organisation Mondiale de la Santé. I a. Selon le secteur de déclaration Le secteur libéral prend une place de plus en plus importante d le diagnostic et le traitement des cancers. Le nombre de cas déclarés par ce secteur, ainsi que la proportion qu ils représentent d le total, a en effet plus que triplé en douze, alors que le nombre de cas du secteur public reste stable secteur libéral secteur public Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22 - Les cancers I.3.1 p 1
2 I b. Selon le site 1-Lèvre, bouche, pharynx Total Inc Moy* ,4 2-Org. digestifs ,4 3-Respiratoires ,75 4-Os et cartilage ,65 5- Peau ,48 6-T.mous, méso ,78 7-Sein ,39 8-Org. Gén. fem ,29 9-Org. Gén. Masc ,42 1-Voies urinaires ,35 11-Oeil, S.N.C ,91 12-Thyroïde ,12 13-Mal définis ,25 14-Lymph., Myél., Leucém ,41 Total ,7 Taux brut 21,4 28, 27, 27,9 236,3 213,2 23, 28, 159,9 178,2 141,3 261,6 d incidence* * Taux pour habitants Répartition des nouveaux cas de cancers enregistrés depuis 12. Le nombre de déclarations des cancers de le peau a très fortement augmenté en 21 et 22 (X 1 en 12 ) en raison de la prise en compte des cancers baso-cellulaires et spino-cellulaires, mais aussi du fait de l augmentation importante d autres groupes de cancers (organes génitaux chez l homme, seins chez la femme). Le classement par groupes ou appareils fonctionnels selon la CIM1 montre que les cancers concernent le plus fréquemment : L appareil respiratoire avec 868 cas sur 12, soit 18% de l ensemble des cancers. En seconde position, on trouve les cancers des organes digestifs : 791 cas sur 12 (16,4%). On trouve ensuite les cancers de la thyroïde : 546 cas sur 12 (11,3%). En quatrième position, le cancer du sein avec un nombre de nouveaux cas enregistrés en 22 le plus élevé depuis 12. Ce groupe représente 1,5% de l ensemble des cancers.. Les cancers des organes génitaux de la femme représentent 9% de l ensemble des cancers sur 12 p 2 - I.3.1. Les cancers - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22
3 I c. Selon le sexe Masculin Féminin Nouveaux cas de cancers par année et par sexe. On observe, entre 1991 et 1995, un nombre plus important de cancers chez les hommes. Cette tendance s inverse à partir de En 22, l importante progression du nombre de cancers enregistrés vient du fait de la meilleure participation du secteur libéral et de la prise en compte d autres tumeurs. Les taux bruts d incidence sont donc égaux à 258,9 pour chez les femmes et 263,6 pour chez les hommes. I d. Selon l âge % 8% 6% 4% 2% % et + On observe une baisse progressive de la proportion de cancers chez l enfant et une augmentation de celleci avec l âge, en particulier pour la classe des Celle-ci pourrait être liée à l augmentation importante des cancers de la prostate, du sein et de la peau survenant d la population adulte. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22 - Les cancers I.3.1 p 3
4 I e. Selon le groupe ethnoculturel Inconnus Ni vanuatu Asiatiques Métis Polynésiens Indonésiens Wallisiens Mélanésiens Européens Cas de cancers selon le groupe ethnoculturel sur 12. Polynésiens 2% Indonésiens 2% Wallisiens 7% Métis 2% Asiatiques Inconnus 2% 4% Ni vanuatu % Européens 42% Mélanésiens 39% Répartition des cas de cancers selon le groupe ethnoculturel. Depuis 12, les deux communautés les plus touchées sont les communautés européennes et mélanésiennes, avec une surreprésentation de la population européenne par rapport à la population mélanésienne. I Etude des cancers enregistrés en 22 Les calculs suivants ont été extraits du rapport 22 fourni par l IPNC. D ce rapport, les effectifs démographiques de la population de référence sur lesquels ont été basés les calculs des taux d incidence sont ceux fournis par l ITSEE (dernier recensement officiel, réalisé en 1996). Ce choix de population peut toutefois donner des taux d incidence élevés pour les dernières années exploitées, en raison de la non prise en compte de l accroissement de la population. p 4 - I.3.1. Les cancers - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22
5 6 cas hommes cas femmes Inc. Hommes Inc. Femmes et + Répartition des cancers par groupe d âge et par sexe. La figure ci-dessus montre que jusqu à 59 les taux d incidence sont plus élevés chez les femmes, à partir de 6 cette tendance s inverse et les taux deviennent alors plus élevés chez les hommes. Malgré ces différences par tranche d âge, les taux bruts d incidence sont quasiment identiques entre hommes et femmes : respectivement 289 et 287 pour. personnes année Le taux d incidence standardisé est un taux qui permet d effectuer des comparaisons entre populations dont la structure par âge est différente. Exprimé pour personnes, le taux standardisé est équivalent au nombre de cas incidents par personnes survenant d la population étudiée, si la structure par âge de celle-ci correspondait à celle de la population-type. En Nouvelle-Calédonie, le taux standardisé est plus élevé chez les hommes (48 pour. p.a.) que chez les femmes (333 pour. p.a.) ; cette importante différence chez les hommes, par rapport au taux brut, est due à la forte incidence des cancers parmi les hommes âgés. I a. Incidence des cancers selon le groupe ethnoculturel (taux bruts) inc.pour, hbts européen polynésien wallisien mélanésien aisiatique indonésien ni vanuatais autres Incidence du cancer d chaque groupe ethnoculturel. L'incidence des cancers est la plus élevée d le groupe européen (399,1 pour. personnesannée), puis chez les polynésiens (27,7), enfin chez les mélanésiens (229,3) et les wallisiens (236,4). Elle est probablement sous-estimée chez les ni-vanuatais, ces derniers étant souvent classés d le groupe des mélanésiens. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22 - Les cancers I.3.1 p 5
6 I b. Incidence des cancers selon le site et le groupe ethnoculturel Européen Mélanésiens Wallisiens Lèvre, cavité buccale Org.digestifs Org.respiratoires Os et carti.articulaire Mélanome malin peau T.mésot. T.mous Sein Org.génit.femme Prostate Voies urinaires Œil,cerveau,SNC Thyroïde,gldes endoc. Mal définis,secondaires Sang Sont analysées ici les données concernant les communautés les plus représentées sont les communautés mélanésienne (44.1% de la population), européenne (34.1% de la population) et wallisienne (9.% de la population). Les autres groupes ethnoculturels sont insuffisamment représentés pour que ce taux soit interprétable. D autre part, en raison de l absence de notification de la communauté d certaines fiches (3 cas sur 569), les taux incidence calculés ci-dessus sont en conséquence légèrement sous-estimés L incidence brute des cancers tous sites confondus est beaucoup plus élevée d la communauté européenne (398 pour. personnes/année, contre 227 et 236 respectivement chez les mélanésiens et les wallisiens). Le premier cancer de ce groupe est le cancer de la peau (147,4 pour. personnes/année). Puis viennent les cancers digestifs (44,7), les cancers de la prostate (43,2) et les cancers du sein (4,2). Les cancers des organes respiratoires, qui sont les deuxièmes cancers les plus fréquents en Nouvelle- Calédonie, ont une incidence plus élevée d les communautés wallisiennes (56,3 pour. personnes/année) et mélanésiennes (44,9) que d la population européenne (31,3). Les cancers des organes digestifs ont une incidence plus élevée d les communautés européennes (44,7 pour. personnes/année) et mélanésiennes (36,9). Ce sont les troisièmes cancers d ce groupe, après les cancers respiratoires et les cancers de la thyroïde (39,2). Les cancers du sein sont plus fréquents chez les femmes européennes (4,2 pour. personnes/année) et wallisiennes (39,4). Ce sont les seconds cancers les plus fréquents d le groupe wallisien, après les cancers respiratoires. p 6 - I.3.1. Les cancers - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22
7 I c. Répartition des cancers selon le site et le sexe HOMMES FEMMES Topographie Fréq. % Fréq. % 1-Lèvre, cavité buccale, pharynx 13 4,5% 5 1,8% 2-Organes digestifs 45 15,4% 25 9,% 3-Org. respiratoires et intrathoraciques 57 19,5% 22 7,9% 4-Os et cartilage articulaire,% 2,7% 5-Melanome malin -Tumeur peau 73 25,% 43 15,5% 6-Tissu mésothélial -Tissus mous 3 1,% 6 2,2% 7-Sein 1,3% 66 23,8% 8-Organes génitaux de la femme,% 45 16,2% 9-Organes génitaux de l'homme 64 21,9%,% 1-Voies urinaires 11 3,8% 1,4% 11-Oeil, cerveau, système nerveux central,%,% 12-Thyroïde, glandes endocrines 8 2,7% 46 16,6% 13-Mal définis, secondaires, 6 2,1% 11 4,% 14-Lymphomes, myélomes, leucémies 11 3,8% 5 1,8% TOTAL 292,% 277,% Les cancers les plus fréquents en Nouvelle-Calédonie en 22 sont : * chez les hommes : 1) les cancers de la peau (25.%) 2) les cancers de la prostate (21.9%) 3) les cancers respiratoires (19.5%) 4) les cancers digestifs (15.4%) * chez les femmes : 1) les cancers du sein (23.8%) 2) les cancers de la thyroïde (16.6%) 3) les cancers de l'utérus et de l ovaire (16.2%) 4) les cancers de la peau (15.5%) I Conclusion Le nombre de cancers est en constante progression en Nouvelle-Calédonie, en particulier chez les femmes (69% d augmentation en douze ). Cette augmentation concerne en particulier les cancers cutanés, dont le nombre a été multiplié par 1 en douze, les cancers de la prostate (X3), de la thyroïde (X3) et les cancers du sein (X2). Les cancers sont rares chez les enfants ; les adultes jeunes sont plus souvent touchés par les cancers de la thyroïde, les cancers génitaux féminins et les cancers de la peau. Le taux d incidence standardisé des cancers est beaucoup plus élevé d la communauté européenne (399,1 pour p.a.), que d la communauté mélanésienne (229,3 pour p.a.) ou wallisienne (236,4 pour p.a.). Les européens sont particulièrement touchés par les cancers cutanés (incidence brute : 147,4 pour. p.a.), les cancers digestifs (44,7), les cancers de la prostate (43,2) et les cancers du sein (4,2). Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22 - Les cancers I.3.1 p 7
8 Les mélanésiens présentent un risque plus élevé de cancers respiratoires (44,9), de cancers de la thyroïde (39,2), de cancers digestifs (36,9) et de cancers de l utérus (34,6). Le groupe des wallisiens présente le taux brut d incidence le plus élevé de cancers respiratoires (56,3) ; le risque de cancer du sein est quasiment le même que celui des européens (39,4), enfin on observe des risques élevés d ce groupe pour les cancers digestifs (28,1) et les cancers de la thyroïde (28,1). La Nouvelle-Calédonie fait partie des pays dont l incidence est plus élevée pour certains types de cancers ; c est le cas en particulier pour les cancers du poumon, les mésothéliomes, les cancers cutanés et les cancers de la thyroïde. p 8 - I.3.1. Les cancers - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie Année 22
.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailLes tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.
Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailStatistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau
Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Produit par : Société canadienne du cancer, Statistique Canada, Agence de la santé publique du Canada, Registres provinciaux
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailCancer et environnement
PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailMaladies graves au Canada : Tables autonomes des taux d incidence de base des maladies graves au Canada
Document de recherche Maladies graves au Canada : Tables autonomes des taux d incidence de base des maladies graves au Canada Sous-commission sur l expérience des prestations versées du vivant de l assuré
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailQuestionnaire de suivi 1
Numéro Constances Questionnaire de suivi 0 805 567 900 APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE Vu l avis favorable du Conseil National de l Information Statistique, cette enquête est reconnue d intérêt général
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailEstimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012
JUILLET 2013 Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 Étude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides Auteurs Florence
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailAssurance maladies graves simplifiée (T10RG)
Assurance maladies graves simplifiée (T10RG) Guide du conseiller en assurance Chaque année, un grand nombre de Canadiens sont victimes d une maladie grave. Grâce aux progrès de la médecine et de la technologie
Plus en détailLe cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»
F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLes cancers chez l enfant et l adolescent
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers chez l enfant et l adolescent G R A N D P U B L I C Les cancers chez l enfant et l adolescent Bien qu ils représentent dans les pays développés, au-delà de l âge de
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailRégime d Assurance Collective
Ce régime d assurance est établi par : SSQ, Société d assurance inc. Régime d Assurance Collective Primo-soins MD pour Vous et/ou votre conjoint Service d assistance téléphonique d SSQ 1-800-848-0158 Février
Plus en détailASSURANCE PRÊT GUIDE DE L ADHÉRENT. L Assurance prêt est un produit collectif d assurance crédit distribué par votre institution financière.
ASSURANCE PRÊT GUIDE DE L ADHÉRENT L Assurance prêt est un produit collectif d assurance crédit distribué par votre institution financière. Informations importantes à lire à l intérieur avant d adhérer
Plus en détailintroduction & sommaire
introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailCANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes.
CANCERS DE LA PEAU Définition Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. Les mélanomes Ces tumeurs se développent dans les mélanocytes,
Plus en détailRISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER
RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER Journy N 1, Mezzarobba M 1, Rehel JL 2, Ducou Le Pointe H 3, Aubert B 2, Laurier D 1, Bernier MO 1 Institut de Radioprotection
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailCOMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE
COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE Dossier n o : 36455 FRA Québec, le : 17 février 2015 Membre : Sophie Raymond, commissaire Commission de l équité salariale et 9061 1674 Québec inc. (connue sous le nom
Plus en détailQUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS
QUESTIONNAIRE MÈRE AYANT UN BÉBÉ MOINS DE 6 MOIS Numéro questionnaire : Région : District : Commune /quartier : Nom de l enquêteur : Date de l enquête : Signature : I. INTRODUCTION: Je vais vous poser
Plus en détailCADRE 1 : IDENTIFICATION DU PORTEUR DE PROJET N (RESERVE A EDENRED )
CADRE 1 : IDENTIFICATION DU PORTEUR DE PROJET N (RESERVE A EDENRED ) Prénom :. Nom :. Date de naissance :.. /.. /.... Nationalité :. Sexe : Féminin Masculin Rue :... N :.. Boîte :. Code postal :.. Localité
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détailAttestation D assurance Assurance Solde VISA* SCOTIA MC
Attestation D assurance Assurance Solde VISA* SCOTIA MC En vertu de la police collective numéro TML600015 Couverture souscrite auprès de : Assurance-Vie ACE INA La présente attestation d assurance décrit
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE
ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE Assurance maladie grave collective en vertu de la Police collective 90341 POLICE COLLECTIVE : 90341 émise à Services le Choix du Président inc. RÉDUCTIONS EN RAISON DE
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailOBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM
OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2011 1 INSTITUT D ÉMISSION D OUTRE-MER Siège social 164, rue de Rivoli - 75001 Paris Tél. +33 1 53 44 41 41 Fax +33 1 44 87 99 62 Rapport d activité
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLes cancers de la peau non-mélanome
Les cancers de la peau non-mélanome Carcinome basocellulaire Carcinome spinocellulaire Lésions précancéreuses Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailAvec Sereo Mutuelle, pour mieux vous protéger. c'est aussi assurer votre santé et celle de votre famille. DES PrEstations innovantes.
pour mieux vous protéger OPTIMISER VOTRE COMPLéMENTAIRE c'est aussi assurer votre santé et celle de votre famille Contactez-nous pour une étude personnalisée Photo thinkstock.com / Document non contractuel
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailQuestionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans
_0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom
Plus en détailSimple efficace. pour garantir la santé de vos salariés!
Simple efficace pour garantir la santé de vos salariés! AVEC SEREO Mutuelle, PRIVILÉGIEZ SIMPLICITÉ ET PERFORMANCE pour bien protéger et fidéliser vos salariés Une couverture au plus près de vos attentes
Plus en détailConsignes pour compléter le dossier chèques formation à la création
Consignes pour compléter le dossier chèques formation à la création Utilisez toujours un bic bleu ou noir (pas de stylo plume). Il est indispensable de répondre à chaque question (exceptions pour la «date
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ
ASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ Déclaration d'assurabilité (Assurance collective) Partie 1 - Identification N o de police : N o de sous-groupe : N o du certifi cat : Nom de l'employeur
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détail