JOURNÉE D ÉTUDE RESSOURCES EN EAU NON CONVENTIONNELLES : UNE ALTERNATIVE A L IMPACT DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES.
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- Thibault Papineau
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1 REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L AGRICULTURE DES RESSOURCES HYDRAULIQUES ET DE LA PECHE JOURNÉE D ÉTUDE RESSOURCES EN EAU NON CONVENTIONNELLES : UNE ALTERNATIVE A L IMPACT DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES. Experience Tunisienne dans la gestion des Ressources en Eau Agadir Maroc le 26 Novembre 2015
2 CONSOMMATION EN EAU PAR HABITANT ET PAR AN M3/hab/an Ressources en eau très réduites: 480 m3/hab en m3/hab. en
3 Précipitations: 5.5Mm3 19.7Mm3 6Mm3 4.88Mm3 Climat : - Semi-aride à aride caractérisé par un régime pluviométrique IRREGULIER aussi bien à l échelle spatiale que temporelle. Une variabilité bioclimatique assez prononcée du nord au sud (1500 mm à l extrême Nord et 50 mm au sud). Facteurs climatiques très contrastés (sécheresse, pluies torrentielles, ).
4 DEPUIS L INDEPENDANCE : POLITIQUE DE GESTION DE L OFFRE - La stratégie décennale de mobilisation des ressources en eau : 1ère stratégie ; - Le programme complémentaire de mobilisation des ressources en eau : 2ème stratégie ; (Construction de grands barrages, barrages, lacs collinaires, forages, etc..); -La stratégie de Conservation des Eaux et du Sol : Aménagement des Bassins versants pour réduire l érosion des terres agricoles et lilmiter l envasement des barrages. 4
5 DEPUIS L INDEPENDANCE : POLITIQUE DE GESTION DE L OFFRE LA RECHARGE ARTIFICIELLE DES NAPPES EN TUNISIE Au cours de l année 2014, la recharge artificielle des nappes a touché 50 sites repartis sur 24 nappes. Le volume rechargé est de 38,4 millions m 3. Ce volume soit porté à 60 millions de m3 en Source Volume rechargé par source d eau (millions m 3 ) en 2014 Grands barrages Barrages collinaires Eaux usées traitées Total Volume rechargé 1,7 35,4 1,3 38,4 COLLECTES DES EAUX: unités; 25% de la population rurale dans le sud possèdent des systèmes de collectes des eaux pluviales pour usage comme eau potable.
6 DEPUIS L INDEPENDANCE : POLITIQUE DE GESTION DE L OFFRE L INTERCONNEXION DES BARRAGES ET LE TRANSFERT D EAU Objectif : Renforcement des interconnexions entre les infrastructures hydrauliques pour la sécurisation et la résilience aux changements climatiques.
7 MOBILISATION DES RESSOURCES EN EAU (2014) Quantités (Million m3/an) RESSOURCES EN EAU Potentiel mobilisable mobilisé % Structures Eaux de surface grands barrages, 253 barrages collinaires et 893 lacs collinaires Eaux souterraines Nappes profondes Nappes superficielles sondages 147 mille puits dont 70% sont équipés Total
8 QUALITE DE L EAU Ressources en eau sont caractérisées par la rareté (quantité et qualité) Ressources en eau avec une salinité >1,5g/l Eaux de surface avec une salinité >3g/l Nord 50% 30% 10% Eaux souterraines avec une salinité >3g/l Centre Sud 20% 50%
9 REPARTITION DE LA DEMANDE EN EAU 9
10 EXPLOITATION DES RESSOURCES EN EAU : AEP TAUX DE DESSERTE AEP Le taux de desserte global est de 97% dont 100 % en milieu urbain depuis les années 90 Le taux de desserte en milieu rural est de 94 % (50% par la SONEDE et 44% par les services du Génie Rural)
11 EXPLOITATION DES RESSOURCES EN EAU : IRRIGATION -La superficie irriguée a évolué d une manière continue proportionnellement au taux de mobilisation des ressources en eau. La superficie actuelle est de l ordre de ha en % de cette superficie dans le Nord (barrages), 39% dans le centre (nappes renouvelables) et 10% dans le sud (nappes fossiles). - Périmètre privé = ha - Périmètre public = ha
12 PROBLEMATIQUE ACTUELLE *Menaces qui pèsent sur la durabilité des ressources en eau - La rareté des ressources en eau et l accroissement de la demande; -La surexploitation des ressources en eau souterraines; - La pollution des ressources eau (cours d eau, nappes,.); - L envasement des retenues des barrages, des lacs collinaires, - La salinité relativement élevée des Ressources en eau; - Le gaspillage d eau et les pertes surtout au niveau du secteur irrigué - L impact des changements climatiques. - Sensibilité des régions envers le principe de transfert *Menaces -- qui pèsent sur la durabilité des infrastructures mises en place La gestion des infrastructures - Le recouvrement des couts surtout en milieu rural -Manque de sécurisation des systèmes existants 12
13 POLITIQUE ACTUELLE : GESTION DE LA DEMANDE Pour pallier à ces difficultés, une nouvelle approche basée sur la gestion de la demande a été instaurée depuis les années 90 et qui vient pour consolider la stratégie nationale de mobilisation et de conservation des ressources en eau lancée entre La gestion de la demande s articule autours des axes suivants : - La gestion intégrée des ressources en eau en valorisant les apports des années pluvieuses dans le but de diminuer les effets de sécheresse. - L économie de l eau et la maitrise de la demande dans tous les secteurs utilisateurs de l eau. - Le développement des ressources non conventionnelles en continuant l utilisation des eaux usées traitées dans l agriculture et le recours au dessalement de l eau. -la promotion de la gestion participative par les Groupements de Développement Agricoles (GDAs) ; -La protection des ressources en eau contre la pollution et contre la surexploitation des nappes. 13
14 LE DESSALEMENT DES EAUX (SITUATION ACTUELLE) La capacité de production totale cumulée est de m3/j repartie comme suit : *Stations de dessalement de la SONEDE Station Capacité (m3/j) Mise en service Eaux rutes g/l Conversion Kerkennah % Gabès % Zarzis % Jerba % Jerba Extension % Total *Stations de dessalement privées (hôteliers et industriels) Le nombre de stations est estimé à 27 stations pour une capacité cumulée de m3/j.
15 LE DESSALEMENT DES EAUX (SITUATION ACTUELLE Programme d amélioration de la qualité de l eau dans le Sud Tunisien -La mise en place de 18 stations de dessalement d une capacité totale de m3/j pour alimenter 740 mille habitants. Ce programme sera réalisé en deux phases : *Première phase : Concerne les groupements alimentés des eaux de qualité supérieure à 2 g/l. Elle concerne la réalisation de 10 stations de dessalement d une capacité totale de 36.2 mille m3/j au profit de 340 mille habitants : Avancement : 6 stations sur le point d être achevés d une capacité journalière de m3.. *Deuxième phase : Concerne les groupements alimentés des eaux de qualité entre 1.5 et 2 g/l. Elle concerne la réalisation de 8 stations de dessalement d une capacité totale de 32.5 mille m3/j au profit de 400 mille habitants.
16 LES PERSPECTIVES : LE DESSALEMENT D EAU DE MER 1-Projet de dessalement d eau de mer à Jerba Capacité : m3/j, osmose inverse Objectif : répondre aux besoins en eau de Jerba à l horizon 2025 Coût : 170 millions de dinars. Financement : KFW Avancement : en cours d exécution. 2-PROJET DE DESSALEMENT D EAU DE MER DE ZAARAT Capacité : m3/j, osmose inverse Objectif : répondre aux besoins en eau de Gabès et Médenine à l horizon 2025 Mode contractuel de réalisation : En fonction des résultats de l étude. Avancement : Etude de faisabilité en cours Financement du projet : environ 190 millions de dinars. La KFW a manifesté son intérêt pour le financement 3-PROJET DE DESSALEMENT DE SFAX Capacité : m3/j en 3 unités de m3/j chacune. Objectif : Répondre aux besoins en eau de la ville de sfax à l horizon 2025 Mode contractuel de réalisation : pas encore définie. Avancement : En cours d étude sous un financement de la JICA Financement : cout de 650 millions de dianrs pour m3/j
17 PROGRAMME NATIONAL D ECONOMIE D EAU: OBJECTIF: Economiser environ 30% des ressources en eau à l horizon Plan d action -Mise en place des systèmes d économie d eau à la parcelle et la mise en place des techniques modernes d irrigation à la parcelle. -l Audit obligatoire des grands consommateurs dans tous les secteurs agricole, industriel et touristique. -La mise en place d un programme annuel de réhabilitation de modernisation des PPI anciens -Le développement de l entretien préventif des réseaux. -Le développement d un programme de recherche de fuite, de régulation et de comptage dans les réseaux d eau potable et d irrigation. -Mise en place d une tarification adéquate qui incite à l économie d eau et la valorisation des ressources en eau.
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19 % Evolution du taux d équipement en matériels d économie d eau d irrigation
20 TARIFICATION: Réforme de la tarification en tant qu instrument de recouvrement des coûts, mais surtout comme outil de gestion et d aide à la décision à la politique agricole, à la mise en valeur des terres aménagées et à la rationalisation de l exploitation de l eau d irrigation. Migration de la tarification monôme vers la tarification binôme qui permet de garantir l entretien et la maintenance des infrastructures mise en place et d encourager la mise en valeur des PPI.
21 Evolution de la tarification d eau d irrigation Le cout de revient du m3 d eau est de DT pour l exploitation et la maintenance et de DT avec renouvellement. Le tarif actuel n a pas augmenté depuis 2002 et il ne couvre que 30% des frais d exploitation et entretien et 21% si on tient compte du renouvellement. Traif Max 180 Tarif Min Tarif Moyen
22 Evolution de la tarification d eau Potable Pour l eau potable gérée par les services du Génie Rural : Le cout de revient moyen du m3 d eau est de 0.7 DT pour l exploitation et la maintenance mais sans renouvellement. Le tarif actuel variant de 0.2 DT/m3 et 1.25 DT/m3 avec une moyenne de 0.63 DT/m3 Taux de recouvrement des frais d exploitation et d entretien est de 67% Pour l eau Potable gérée par la SONEDE. Le cout de revient moyen du m3 d eau est de DT contre un tarif moyen de DT/m3. La tarification est progressive pour inciter à l économie d eau avec un tarif très faible pour les 20 premiers et le milieu rural de DT).
23 LES EAUX USEES TRAITEES L utilisation des EUT dans le secteur agricole, entre dans le cadre de la Stratégie Nationale de préservation des ressources en eaux conventionnelles et la recherche de ressources alternatives, dont les objectifs sont les suivants: - la protection des milieux récepteurs, - l économie en eau, - et l atténuation de l impact du déficit en eau particulièrement dans les zones à ressources limitées
24 LES EAUX USEES TRAITEES millions de m3 d eaux usées traitées à la fin de 2014 provenant de 110 stations d épuration de l ONAS - 90% des eaux usées sont domestiques. - Un faible volume représente des eaux industrielles, - Traitement en majorité au niveau secondaire, 2 STEP niveau tertiaire - Plus de 50% du volume des EUT sont produits dans la région de la capitale Tunis.
25 LES EAUX USEES TRAITEES -29 STEP produisant de l'ordre de 143 millions de m3 d'eut sont disponibles pour l usage agricole - Seulement un potentiel de 40 millions de m3 (soit 20 % du volume total des effluents traités) peuvent être utilisés dans 28 périmètres agricoles irrigués - le volume réutilisé est variable selon les années
26 PROGRAMME DE REUTILISATION DES EAUX USEES TRAITEES: - Actuellement, 30% des eaux usées traitées (65 Mm3) sont réutilisées en irrigation de 9590 ha: Périmètres agricoles irrigués : 8100 ha (2% de la superficie irrigable du pays) Terrains de golf : 1040 ha Espaces verts : 450 ha - Une étude stratégique a été réalisée et relative à la possibilité du transfert des eaux usées traitées au centre du pays pour l'irrigation ou la recharge des nappes souterraines surexploitées.
27 PROBLEMATIQUES ES EAUX USEES TRAITEES -Situation géographique des STEP (50%) sur le littorale -l instabilité de la qualité de l eau fournie par l ONAS -L insuffisance de capacité de stockage au niveau des PI -Le faible taux d intensification et d exploitation malré le tarif préférentiel de 20 millimes/m3
28 LA SITUATION ACTUELLE DES GDA-GH D EAU POTABLE QUELQUES INDICATEURS RELATIFS À LA GESTION TECHNICO-FINANCIÈRE DES SAEP/GDA-GH Nombre des SAEP : 1700 Nombre de GDA-GH : 1327 GDA-GH Nombre d habitant desservies : 1.6 Million, Consommation spécifique : 55 l/hab./jr, Coût moyen : 0.7 DT/m3, Tarif appliqué : DT/m3. 11% 3% Prise en charge des frais d'exploitation et d'entretien des SAEP 19% 67% Décomposition des dépenses des SAEP/GDA-GH Acaht d'eau 27% Ent & Maint, 12% Salaires 33% Dep. pris en charge Dettes SONEDE Dettes CRDA Dettes STEG Energie 28%
29 LA SITUATION ACTUELLE DES GDA-GH D EAU POTABLE QUELQUES INDICATEURS RELATIFS À LA GESTION TECHNICO-FINANCIÈRE DES SAEP/GDA-GH Répartition des SAEP-GDA selon le niveau de fonctionnalité 24% 11% 25% GDA caractérisés par un bon niveau de fonctionnalité GDA caractérisés par un niveau moyen de fonctionnalité (type 1) 6% GDA caractérisés par un niveau moyen de fonctionnalité (type2) GDA caractérisés par un faible niveau de fonctionnalité 34% GDA non fonctionnels
30 LA SITUATION ACTUELLE DES GDA D IRRIGATION QUELQUES INDICATEURS RELATIFS À LA GESTION TECHNICO-FINANCIÈRE DES GDA/GH-PPI Nombre de GDA/PI : 1253 Superficie des PPI gérés par les GDA : ha Consommation en eau par hectare équipé - PPI du Nord : 1650 m 3 /ha/an - PMH du centre : 1870 m 3 /ha/an - Oasis (Kebili Gabes - Tozeur): m 3 /ha/an - Oasis (Gafsa): 7400m 3 /ha/an Décomposition des dépenses des GDA/PI 5% 25% 47% Main d'œuvre Achat d'eau Energie Entretien 23% Recettes des GDA/GH PI 51% 49% Prise en charge des coûts d'exploitation et d'entretien par les GDA-GH-PI 58% 27% 15% Créances des GDA auprès des bénéficaires Recette réalisées dettes envers les CRDA Dépenses pris en charge dettes envers la STEG
31 MERCI DE VOTRE ATTENTION
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