EMLYON 2016 S. Premier problème. Éléments de correction
|
|
- Ernest Dumas
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EMLYON 26 S Éléments de correction ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles Année 25/26 Premier problème Première partie Les deux équations forment un système linéaire d inconnue (P, P 2 ), que l on résoud sans difficulté : { { { P + P 2 = I 3 P + P 2 = I 3 P = 4P + 9P 2 = A }{{} 5 3 A) 5P 2 = A 4I 3 P 2 = (A 4I L 2 L 2 4L 5 3) On obtient : P = et P 2 = 2 a Le calcul donne P 2 = P, P P 2 = P 2 P = et P 2 2 = P 2 b On démontre le résultat par récurrence sur k N Il est vrai aux rangs k = et k = par définition de P et P 2 et, s il est acquis à un rang k N, alors d après a : A k+ = AA k = (4P + 9P 2 )(4 k P + 9 k P 2 ) = 4 k+ P k P P k P 2 P + 9 k+ P 2 2 = 4 k+ P + 9 k+ P 2, ce qui constitue le résultat au rang k + 3 Un calcul similaire à celui mené en 2b, à partir des relations établies en 2a, montre que la matrice B = 4P + 2 9P 2 = 3 2 vérifie B 2 = 4P + 9P 2 = A 4 La matrice A étant triangulaire, ses valeurs propres sont ses coefficients diagonaux : 4 et 9 Deuxième partie 5 Les applications P P(f ) et P m i= P(λ i)p i, linéaires de R m [X] dans L(E), coïncident par hypothèse sur les vecteurs, X, X 2,, X m de la base canonique de R m [X] Elles sont donc égales sur R m [X] : P R m [X], P(f ) = m P(λ i )p i Remarque Bien entendu, on peut établir ce résultat en décomposant P sur la base canonique : P = m k= a kx k 6 Comme le polynôme N, de degré m, s annule en chacun des réels λ,, λ m, la formule de question 5 s applique et donne N(f ) = 7 a On peut noter pour commencer que pour tout i, n, M i (λ i ) car λ,, λ m sont deux-à-deux distincts par hypothèse, ce qui assure que L i est bien défini Il apparaît sur la définition que λ j est racine de M i pour tout j i, si bien que : i, j, n, L i (λ j ) = { i= M M i(λ i) i(λ i ) = si i = j si i j b Dans la somme apparaissant dans la formule de la question 5 appliquée au polynôme L i R m [X], i n : L i (f ) = m L i (λ j )p j, tous les termes sont donc nuls sauf celui d indice j = i et il reste donc : L i (f ) = p i j=
2 ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles EMLYON 26 S 2 8 a C est l hypothèse appliquée à k = : b D après a, d où E = m i= Im p i 9 a On obtient immédiatement : x E, b D après les questions 6, 7b et a, e = f = m λ i p i = m p i i= i= x = e(x) = m p i (x) m Im p i i= i= N = (X λ i )M i = M i (λ i )(X λ i )L i (f λ i e) p i = (f λ i e) L i (f ) = ( (X λ i )L i ) (f ) = M i (λ i ) N(f ) = d où il ressort que Im p i Ker(f λ i e) Par hypothèse, les endomorphismes p,, p m sont non nuls L inclusion de la question 9b assure alors que Ker(f λ i e) {} pour tout i, m Chacun des réels λ,, λ m est donc valeur propre de f Par ailleurs, il ressort des questions 8b et 9b que les sous-espaces propres E λi (f ) = Ker(f λ i e), i m, engendrent E Comme ces sous-espaces sont en somme directe par théorème, ils sont donc supplémentaires dans E : E = m Ker(f λ i e), i= ce qui signifie que l endomorphisme f est diagonalisable de valeurs propres λ,, λ m En affinant un peu l argument précédent, on justifie que les sous-espaces Im p i sont supplémentaires dans E En comparant les deux relations m m dim(im p i ) = dim E et dim E λi (f ) = dim E i= où dim(im p i ) dim E λi (f ) pour tout i, m, on obtient alors dim(im p i ) = dim E λi (f ) pour tout i, m On a donc égalité des dimensions dans l inclusion de la question 9b, d où l on déduit que E λi (f ) = Im p i pour tout i, m a Pour i j, m, le polynôme L i L j qui admet les réels deux-à-deux distincts λ,, λ m pour racines, est multiple de N = m k= (X λ k) : il existe Q i,j R[X] tel que L i L j = Q i,j N et alors, d après 6 et 7b, p i p j = L i (f ) L j (f ) = (L i L j )(f ) = (Q i,j N)(f ) = Q i,j (f ) N(f ) = b D après 8a et a, ( m ) i, m, p i = e p i = p j p i = n p j p i = p i p i c D après a, b et par linéarité de p i, ( m ) i, m, p i f = p i λ j p j = m λ j p i p j = λ i p i 2 On démontre le résultat par récurrence sur k, celui-ci étant valable aux rangs k m par hypothèse S il est acquis à un rang k alors, d après c, ( m ) f k+ = f k f = λ k i p i f = m λ k i (p i f ) = m λ k+ i p i, ce qui constitue le résultat au rang k + et achève donc la récurrence En raisonnant comme en 5, on en déduit que : P R[X], P(f ) = m P(λ i )p i i= j= j= i= i= i= j= j= i=
3 ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles EMLYON 26 S 3 Troisième partie 3 L application ϕ est bilinéaire par linéarité des p i, i m, et bilinéarité du produit scalaire, Elle est symétrique par symétrie du produit scalaire, Enfin, pour x E, ϕ(x, x) = m p i (x) 2 i= en notant la norme euclidienne associée au produit scalaire, Si ϕ(x, x) =, alors chacun des réels positifs p i (x) 2, i m, est nul, ce qui signifie que p i (x) = pour tout i, m, et implique x = m i= p i(x) = Toutes les conditions sont donc réunies pour que ϕ soit un produit scalaire sur E 4 Pour x, y E, on observe d après c que ϕ ( f (x), y ) = m (p i f )(x), p i (y) = λ i p i (x), p i (y) i= i= est une expression symétrique en x, y L endomorphisme f est donc symétrique pour le produit scalaire ϕ, ce qui justifie de nouveau que f est diagonalisable 5 La question b justifie déjà que p i est un projecteur, nécessairement sur Im p i = Ker(p i e) parallèlement à Ker p i Par ailleurs, ces deux sous-espaces sont orthogonaux pour le produit scalaire ϕ car, d après a, (x, y) Im p i Ker p i, ϕ(x, y) = m p j (x), p j (y) = m ( pj pi (x) ), p j (y) = p i (x), = d où le résultat j= j= Deuxième problème Première partie Pour x, la série ( ) n+ diverge grossièrement : n x ( )n+ n x { si x = + si x < 2 a Il vient : p N, u 2(p+) u 2p = (2p + ) x (2p + 2) x alors que : p N, u 2(p+) u 2p = (2p + ), x (2p) x ce qui établit la croissance de (u 2p ) p et la décroissance de (u 2p ) p Enfin, u 2p u 2p = (2p) x p ce qui achève de montrer que les deux suites (u 2p ) p et (u 2p ) p sont adjacentes Par théorème, elles convergent alors toutes deux vers une limite commune S(x) b Pour ε > donné, la convergence de (u 2p ) p et (u 2p ) p vers S(x) donne l existence de deux entiers p, p 2 N tels que : p p, u2p S(x) ε et p p 2, u2p S(x) ε En notant n = max(2p, 2p 2 ), on a alors, en distinguant les cas selon la parité de n : n n, u n S(x) ε
4 ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles EMLYON 26 S 4 c La question b établit la convergence de la suite (u n ) n N des sommes partielles de la série ( ) n+ n x, laquelle est donc convergente Sa somme est la limite de la suite des sommes partielles : S(x) = n= ( ) n+ n x d Les suites (u 2p ) p et (u 2p ) p étant adjacentes, leurs termes encadrent leur limite commune, et plus précisément par croissance de la première et décroissance de la seconde : p N, u 2p S(x) u 2(p+) = u 2p+ u 2p e Les inégalités de la question d donnent, pour n = 2p, p, S(x) u 2p u 2p+ u 2p = (2p + ) x alors que pour n = 2p, p, (2p) x = u 2p u 2p S(x) u 2p Dans les deux cas, S(x) u n et l inégalité est donc valable pour tout n N f D après la question e, il suffit que (n + ) x ε n (n + ) x ε /x pour que u n soit une valeur approchée de S(x) à la précision ε, ce qui conduit au code ci-dessous : Listing : calcul d une valeur approchée de S(x) function y=evals(x,eps) y=; // initialisation des sommes partielles for k=:(floor(/eps^(/x))) y=y+(-)^(k+)/k^x; end endfunction 3 Pour x R + et p N, il vient : d où 2p k= ( ) k+ k x = 2p k= k 2p k impair k x k 2p k pair k 2p k impair p k = x j= ( ) k+ ( p p = k x j= (2j ) + x j= ( = k + x k 2p k pair p (2j ) x ) (2j) x ) 2 k x 2 x j= p k= n k= p (2j) = x (2k) x 2 x k= (2k ) x 2 x p k= k x 2p k = x k= k x 2 x 4 a Pour n N, la seconde formule de la question 3 appliquée à p = n et x = donne, en décalant les indices après simplification : v n = 2n ( ) k+ = 2n k= k k= k n k= k = 2n k=n+ k = n k= n + k = n n k= + k n b La question a fait apparaître v n comme somme de Riemann associée à la fonction t, continue +t sur le segment [, ] Par théorème, on a donc : v n ˆ dt + t = ln 2 p k= k x p k= k x
5 ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles EMLYON 26 S 5 Sachant par ailleurs que (v n ) n = (u 2n ) n converge vers S(x) d après 2a, on en déduit par unicité de la limite que S() = ln 2 5 D après le résultat admis, n lim k= k = lim 2n 2 k= k = π2 2 6 d où, en passant à la limite lorsque p = n dans la formule de la question 3 avec x = 2, la valeur de ( S(2) = ) π = π2 2 Deuxième partie 6 La fonction g x : t tx est continue sur ], + [ +e t Lorsque t, g x (t) l intégrale g x(t) dt converge si, et seulement si, x < ie x > Lorsque t +, g x (t) t x e t = o ( 2t x si bien, par comparaison à l intégrale de Riemann dt, que t x ), ce qui justifie la convergence de l intégrale t 2 + g x (t) dt par comparaison à l intégrale de Riemann convergente + dt t 2 En conclusion, l intégrale + g x (t) dt converge si, et seulement si, x > 7 a Pour t > et n N, on a e t d où : ( ) n g x (t)e nt + n n ( ) k+ t x e kt = ( ) n g x (t)e nt t x ( e t ) k k= k= = ( ) n g x (t)e nt + t x e t ( e t ) n + e t = ( ) n g x (t)e nt + g x (t) ( ( ) n e nt) = g x (t) b Pour k N, le changement de variable affine u = kt apporte à la fois la convergence et la valeur de l intégrale ( u ) xe t x e kt u dt = du k k = u x e u du = Γ(x + ) k x+ kx+ En effet, l intégrale définissant Γ(x + ) converge puisque x > par hypothèse c Pour n N, la fonction t g x (t)e nt est continue sur ], + [ avec : t >, g x (t)e nt = tx + e t e nt t x e nt d où l on déduit, d après la question b, la convergence de l intégrale + g x (t)e nt dt et les inégalités g x (t)e nt dt Il en ressort par encadrement que : lim t x e nt dt = Γ(x + ) n x+ g x (t)e nt dt = d Il vient d après a, toutes intégrales convergentes vu b et c : I(x) = ˆ g x (t) dt = ( ) n g x (t)e nt dt + n + ( ) k+ t x e kt dt ( n = ( ) n g x (t)e nt dt + k= k= ( ) k+ k x+ ) Γ(x + ) d où, par passage à la limite lorsque n, vu 2c et c, ( ( ) n+ ) I(x) = Γ(x + ) = S(x + )Γ(x + ) n x+ n= 8 D après les questions 5 et 7d, I() = S(2)Γ(2) = π2 2
6 ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles EMLYON 26 S 6 9 Il vient immédiatement : t R, f ( t) = ce qui prouve que la fonction f est paire Troisième partie e t ( + e t ) 2 = e t e 2t ( + e t ) 2 = La fonction f est continue et positive sur R De plus, ˆ f (x) dx = + e + k x e t (e t + ) 2 = f (t) admet des limites finies en et +, ce qui justifie la convergence de l intégrale f (t) dt = lim x + La fonction f est donc une densité de probabilité + e x lim x La fonction de répartition F X de X est donnée par : ˆ x [ ] x x R, F X (x) = f (t) dt = + e t = ( ) = + ex = + e x = ex + e x = + e x 2 a La fonction t t n f (t) est continue sur [, + [ avec t n f (t) t n e t = o ( ) lorsque t 2 t +, ce qui assure la convergence de l intégrale + t n f (t) dt par comparaison à l intégrale de Riemann convergente + dt t 2 Grâce au changement de variable affine u = t, on en déduit par parité de f la convergence de l intégrale ˆ ˆ t n f (t) dt = ( u) n f ( u) du = ( ) n u n f (u) du, () donc de tn f (t) dt et finalement celle de l intégrale + tn f (t) dt, ce qui signifie que la variable X admet un moment d ordre n b D après la formule (), m n (X) = ˆ t n f (t) dt + Il en ressort pour n impair que : p N, m 2p+ (X) = c Par intégration par parties sur [, x] [, + [, il vient : ˆ x t 2p e t [ ( + e t ) dt = t 2p ] x ˆ x 2pt 2p 2 + e t d où, par passage à la limite lorsque x +, Vu la relation (2), on en déduit que : t 2p f (t) dt = 2p m 2p (X) = 2 t n f (t) dt = ( ( ) n + ) t n f (t) dt (2) x2p dt = + et t 2p dt = 2pI(2p ) + et t 2p f (t) dt = 4pI(2p ) ˆ x + e + 2p x t 2p + e t dt 3 Les questions 2b et 2c donnent l existence et la valeur de E(X) = m (X) = et de E(X 2 ) = m 2 (X) = 4I() = π2 On en déduit, d après la formule de Kœnig-Huygens, l existence et la valeur de 3 V(X) = E(X 2 ) E(X) 2 = π2 3 4 a Pour n N, il vient classiquement par indépendance de X,, X n : x R, F Yn (x) = P(Y n x) = P ( max(x,, X n ) x ) = P(X x,, X n x) = P(X x) P(X n x) = F X (x) n
7 ECS2 Lycée La Bruyère, Versailles EMLYON 26 S 7 On en déduit, d après la question, que : x R, F Zn (x) = P(Z n x) = P(Y n x + ln n) = F X (x + ln n) n = ( + e x n b Pour x R, il vient d après a : [ )] [ ( F Zn (x) = exp n ln ( + e x e x ( ))] = exp n n n + o n = exp ( e x + o() ), n exp( e x ) La fonction limite F : x exp( e x ) est croissante et de classe C sur R, de limites respectives et en et + C est donc la fonction de répartition d une variable Z à densité f Z : x R e x exp( e x ) La limite obtenue ci-dessus établit la convergence en loi de la suite (Z n ) n N vers la variable Z ) n
I. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailwww.h-k.fr/publications/objectif-agregation
«Sur C, tout est connexe!» www.h-k.fr/publications/objectif-agregation L idée de cette note est de montrer que, contrairement à ce qui se passe sur R, «sur C, tout est connexe». Cet abus de langage se
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailEspérance conditionnelle
Espérance conditionnelle Samy Tindel Nancy-Université Master 1 - Nancy Samy T. (IECN) M1 - Espérance conditionnelle Nancy-Université 1 / 58 Plan 1 Définition 2 Exemples 3 Propriétés de l espérance conditionnelle
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailINTRODUCTION. 1 k 2. k=1
Capes externe de mathématiques : session 7 Première composition INTRODUCTION L objet du problème est l étude de la suite (s n n définie par : n, s n = Dans une première partie, nous nous attacherons à
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailNOTATIONS PRÉLIMINAIRES
Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailDéveloppement décimal d un réel
4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailAnalyse en Composantes Principales
Analyse en Composantes Principales Anne B Dufour Octobre 2013 Anne B Dufour () Analyse en Composantes Principales Octobre 2013 1 / 36 Introduction Introduction Soit X un tableau contenant p variables mesurées
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détail[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 30 avril 2015 Enoncés 1
[http://mpcpgedupuydelomefr] édité le 3 avril 215 Enoncés 1 Exercice 1 [ 265 ] [correction] On note V l ensemble des matrices à coefficients entiers du type a b c d d a b c c d a b b c d a et G l ensemble
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailRO04/TI07 - Optimisation non-linéaire
RO04/TI07 - Optimisation non-linéaire Stéphane Mottelet Université de Technologie de Compiègne Printemps 2003 I Motivations et notions fondamentales 4 I1 Motivations 5 I2 Formes quadratiques 13 I3 Rappels
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailTests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles
Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailChapitre 5 : Flot maximal dans un graphe
Graphes et RO TELECOM Nancy A Chapitre 5 : Flot maximal dans un graphe J.-F. Scheid 1 Plan du chapitre I. Définitions 1 Graphe Graphe valué 3 Représentation d un graphe (matrice d incidence, matrice d
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailLoi d une variable discrète
MATHEMATIQUES TD N : VARIABLES DISCRETES - Corrigé. P[X = k] 0 k point de discontinuité de F et P[X = k] = F(k + ) F(k ) Ainsi, P[X = ] =, P[X = 0] =, P[X = ] = R&T Saint-Malo - nde année - 0/0 Loi d une
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailRésolution de systèmes linéaires par des méthodes directes
Résolution de systèmes linéaires par des méthodes directes J. Erhel Janvier 2014 1 Inverse d une matrice carrée et systèmes linéaires Ce paragraphe a pour objet les matrices carrées et les systèmes linéaires.
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailQuantification Scalaire et Prédictive
Quantification Scalaire et Prédictive Marco Cagnazzo Département Traitement du Signal et des Images TELECOM ParisTech 7 Décembre 2012 M. Cagnazzo Quantification Scalaire et Prédictive 1/64 Plan Introduction
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détail4. Martingales à temps discret
Martingales à temps discret 25 4. Martingales à temps discret 4.1. Généralités. On fixe un espace de probabilités filtré (Ω, (F n ) n, F, IP ). On pose que F contient ses ensembles négligeables mais les
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détailConstruction de l'intégrale de Lebesgue
Université d'artois Faculté des ciences Jean Perrin Mesure et Intégration (Licence 3 Mathématiques-Informatique) Daniel Li Construction de l'intégrale de Lebesgue 10 février 2011 La construction de l'intégrale
Plus en détailEquations différentielles linéaires à coefficients constants
Equations différentielles linéaires à coefficients constants Cas des équations d ordre 1 et 2 Cours de : Martine Arrou-Vignod Médiatisation : Johan Millaud Département RT de l IUT de Vélizy Mai 2007 I
Plus en détailComment démontrer des formules sans effort? exposé de maîtrise
Comment démontrer des formules sans effort? exposé de maîtrise Marc Mezzarobba Sam Zoghaib Sujet proposé par François Loeser Résumé Nous exposons un ensemble de méthodes qui permettent d évaluer «en forme
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailLe théorème de Perron-Frobenius, les chaines de Markov et un célèbre moteur de recherche
Le théorème de Perron-Frobenius, les chaines de Markov et un célèbre moteur de recherche Bachir Bekka Février 2007 Le théorème de Perron-Frobenius a d importantes applications en probabilités (chaines
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010
Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailENS de Lyon TD 1 17-18 septembre 2012 Introduction aux probabilités. A partie finie de N
ENS de Lyon TD 7-8 septembre 0 Introduction aux probabilités Exercice Soit (u n ) n N une suite de nombres réels. On considère σ une bijection de N dans N, de sorte que (u σ(n) ) n N est un réordonnement
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailFiltrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales
Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailLES MÉTHODES DE POINT INTÉRIEUR 1
Chapitre XIII LES MÉTHODES DE POINT INTÉRIEUR 1 XIII.1 Introduction Nous débutons par un rappel de la formulation standard d un problème d optimisation 2 linéaire et donnons un bref aperçu des différences
Plus en détailModèles bi-dimensionnels de coques linéairement élastiques: Estimations de l écart entre leurs solutions.
Problèmes mathématiques de la mécanique/mathematical problems in Mechanics Modèles bi-dimensionnels de coques linéairement élastiques: Estimations de l écart entre leurs solutions. Cristinel Mardare Laboratoire
Plus en détail108y= 1 où x et y sont des entiers
Polynésie Juin 202 Série S Exercice Partie A On considère l équation ( ) relatifs E :x y= où x et y sont des entiers Vérifier que le couple ( ;3 ) est solution de cette équation 2 Déterminer l ensemble
Plus en détailProbabilités et statistique. Benjamin JOURDAIN
Probabilités et statistique Benjamin JOURDAIN 11 septembre 2013 2 i ii À Anne Préface Ce livre est issu du polycopié du cours de probabilités et statistique de première année de l École des Ponts ParisTech
Plus en détailÉquations d amorçage d intégrales premières formelles
Équations d amorçage d intégrales premières formelles D Boularas, A Chouikrat 30 novembre 2005 Résumé Grâce à une analyse matricielle et combinatoire des conditions d intégrabilité, on établit des équations
Plus en détailChapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique :
Chapitre Chapitre. Séries de Fourier Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction - périodique : c c a0 f x dx c an f xcosnxdx c c bn f xsinn x dx c L objet de
Plus en détailn N = u N u N+1 1 u pour u 1. f ( uv 1) v N+1 v N v 1 1 2 t
3.La méthode de Dirichlet 99 11 Le théorème de Dirichlet 3.La méthode de Dirichlet Lorsque Dirichlet, au début des années 180, découvre les travaux de Fourier, il cherche à les justifier par des méthodes
Plus en détail