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1 HOSPICES CIVILS DE LYON CONSEIL GÉNÉRAL D'ADMINISTRATION 3, Quai des Celestina LYON Téléphone (78) CONSTRUCTION DU FUTUR SIEGE ADMINISTRATIF DES HOSPICES CIVILS DE LYON [691 PHASE 1 ÉTUDE HYDROGÉOLOGIQUE PRÉLIMINAIRE par J.P. ASTE P. GAUSSET J. PUTALLAZ BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B. P ORLEANS CEDEX Téléphone (38) TELEX : B R G M F. Service géologique régional JURAALPES B. P VILLEURBANNE CEDEX Tél. (78) TELEX : B R G M F. 78 SGN 2O6 JAL Lyon, Avril 1978

2 CONSTRUCTION DU FUTUR SIEGE ADMINISTRATIF DES HOSPICES CIVILS DE LYON PHASE 1 ÉTUDE HYDROGÉOTECHNIQUE PRÉLIMINAIRE 78SGN 206 JAL RÉSUMÉ Le présent rapport a été rédigé à la demande de la SCIC et pour le compte des HOSPICES CIVILS DE LYON, par le Service géologique régional JURAALPES du BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES. Il constitue la première phase de l'étude des problèmes géotechniques et hydrogéologiques posés par la réalisation du futur siège administratif des Hospices Civils de Lyon, rue Garibaldi à LYON 6*. L'objectif de cette première phase est de définir les caractéristiques géométriques des sols et les paramètres hydrauliques, afin de les joindre aux éléments qui seront fournis aux participants du concours* II permet de ne déceler aucune différence importante, par rapport aux conditions connues dans le voisinage, depuis la réalisation des grands travaux d'aménagement de la PartDieu et de la trémie Garibaldi. Diverses solutions de fondation sont possibles et évoquées pour le cas où le projet comporterait l f exécution de niveaux enterrés. Les données recueillies permettront, avec les programmes de calcul disponibles au BRGM, de quantifier ces solutions afin d'aider ä l'optimisation technique et économique du projet. Ces solutions pourront être traitées à l'échelle de l'immeuble ou à celle d'un complexe immobilier, comme ce fut le cas â la PartDieu où une enceinte ëtanche commune à plusieurs constructions et allant jusqu'au substratum molassique a été créée et intégrée à la réalisation définitive. Ingénieurs responsables de l'étude Dessin Secrétariat J.P. ASTE Ph. GAUSSET J. PUTALLAZ M. RODET S. BELLON Ce rapport contient 13 pages de texte et 1 annexe.

3 1 T A B L E D E S M A T I E R E S 2 DONNEES_TECHNIQUES = RELATIVES = AyX_SgNDAGES 3 21 SITUATION DES OUVRAGES 3 22 MODE DE FORATION ' 3 23 PROFONDEUR DES OUVRAGES 3 24 EQUIPEMENT 3 25 DATE D'EXECUTION DES TRAVAUX 3 3 LITHOLOGIE 4 == =ss = = = = = = = 4 POMPAGE = DjjSSAI 4 5 FLUCTUATIONS DE LA NAPPE 6 =====^======= == = = = = = = ==:= 6 FONDATIONS_ET = RABATTEMENT = PROVISOIRE_DE = LA_NAPPE 6 61 BATIMENT SANS NIVEAU ENTERRE 6 62 BATIMENT AVEC NIVEAUX ENTERRES Fouilles talutées avec rabattement par puits filtrants Mise hors d'eau à l'abri d'écrans étanches Rideau_de_2al2lanches_métalligues P rois_moulees_classigues P ois2 f briguées 11 7 CONCLUSIONS 12 ANNEXE : Illustrations. 14

4 2 Le présent rapport a été rédigé à la demande de la SCIC et pour (2) le compte des Hospices Civils de Lyon, par le Service géologique (3) régional JURAALPES du Bureau de Recherches Géologiques et Minières. Il constitue la première phase de l'étude des problèmes géotechniques et hydrogéologiques posés par la réalisation du futur siège administratif des Hospices Civils de Lyon, rue Garibaldi à Lyon 6 (voir situation en annexe). L'objectif de cette première phase est de définir les caractéristiques géométriques des sols et les paramètres hydrauliques, afin de les joindre aux éléments qui seront fournis aux participants du concours. Pour cela, on a réalisé trois sondages, conduits jusqu'à 15 mètres de profondeur, avec : des prélèvements d'échantillons pour définir géotechniquement les diverses couches (remblais, lentilles sableuses ou argileuses... ). Toutefois aucun essai de laboratoire n'a été exécuté dans cette phase purement qualitative. un essai de pompage sur le sondage S2, avec pose d'un limnigraphe et d'un piézomètre. Cet essai a permis de définir les possibilités de rabattement de nappe et de préciser l'éventail des moyens à mettre en oeuvre. Le limnigraphe permettra de suivre les fluctuations de la nappe, pendant, avant et après l'exécution de l'ouvrage. Cette investigation sera complétée par une détermination des niveaux caractéristiques de la nappe, à 1 mois, 6 mois, 1 an, 2 ans, 5 ans, 10 ans, pour corrélation niveau de nappeniveau du Rhône. Les résultats correspondants seront remis ultérieurement, sous forme d'addenda au présent rapport. Société Centrale Immobilière de la Caisse des Dépôts, Département Maîtrise d'ouvrage Déléguée, cellule Hospices Civils de Lyon 27, rue ProfesseurPatel, LYON. (2) Hospices Civils de Lyon, siège administratif 3, quai des Célestins, B.P. n 251 LYON R.P. Service géologique régional JURAALPES 15, boulevard du 1!Novembre, B.P. 6083, VILLEURBANNE CEDEX.

5 2 DONNEES TECHNIQUES RELATIVES AUX SONDAGES (voir annexe I) 21 SITUATION DES OUVRAGES Indice de classement national Identification L. Coordonnées X Lambert Y. O6986LOO47 Si O6986RO128 O6986RO127 S2 S La cote approximative est 167 à 168 m. Le piézomètre est situé à 10 mètres de S2» 22 MODE DE FORATION Vibro percussion avec carottier. Echantillonnage diamètre 150 mm. 23 PROFONDEUR DES OUVRAGES Sondages : 15 m. Piézomètre : 10 m. 24 EQUIPEMENT S2 : tube PVC, diamètre 150 mm, crépine de 5 à 15 m. Piézomètre : tube métallique, diamètre 50/60, crépine.de 6 à 10 m. 25 DATE D'EXECUTION DES TRAVAUX Sondages : du 13/3/1978 au 21/3/1978, Pompage d'essai : le 24/3/1978.

6 4 3 LITHOLOGIE Les coupes des sondages figurent en annexe, fig. 31a, 31b, 31c. Sous trois à cinq mètres de remblai ou remblai probable, se trouvent les alluvions récentes du Rhône, formées principalement de sables et graviers. On note la présence : dans le Sj :. d'argile sableuse plastique, jaune verdâtre et grise à la base, entre 2,5 et 4,8 m.. de limon gris foncé, très sableux, tourbeux vers 4,9 m, de 4,8 à 5,5 m. dans le S3 :. d'argile plastique finement sableuse contenant des éléments de briques rouges entre 1 et 3,5 m.. de sables argileux entre 13,5 et 15 m, avec passage d'argile varvée entre 14,5 et 14,6 m. Bien que les sondages n'aient pas atteint le substratum molassique, la cote de ce dernier a pu être estimée grâce à des travaux de synthèse, réalisés antérieurement par le Service géologique régional JURAALPES : elle se situe aux alentours de 145 NGF (voir fig. 3Id en annexe). 4 Le pompage d'essai a été réalisé sur le S2, avec pompe centrifuge de surface RICHIER P 492, au débit de 86 m^/h durant 7 heures. Les mesures de la descente et de la remontée ont été exécutées sur le forage et le piézomètre à 10 mètres. Les rabattements observés ont été répartis en fonction du logarithme du temps de pompage (voir annexe, fig. 32a et 32b).

7 En effet, la méthode d'approximation logarithmique de JACOB est valable 10 r 2 S* à 5 % près, puisque le temps de pompage est t > =. Elle est applicable dans ce cas sans correction, bien que : la nappe soit libre. le facteur de pénétration partielle du puits soit de l'ordre de 0,65. la distance du piézomètre au puits soit inférieure à 1,5 b, car les rabattements sont faibles : < 0,1 b, et le temps de pompage t > 2 K (en supposant K v = 1/10 K^). Le report des rabattements en fonction du logarithme du temps donne une 0,183 Q pente : 1 = soit : pour le piézomètre (voir annexe, fig. 32a) : i = 0,09 m, d'où T = 4,9.10~ 2 m 2 /s. pour le forage, la pente est irrégulière, due certainement à des àcoups de pompe, et la droite n'a pu être tracée d'où impossibilité de calculer T. La remontée des niveaux après l'arrêt de pompage a été reportée pour le piézomètre en fonction du log (1 + E) (voir annexe, fig. 32b). Elle montre un alignement de la courbe suivant une pente moyenne i = 0,14 m, d'où T = m 2 /s, d'après la relation T = > ]8. 3 Q. L'épaisseur de la nappe étant de l'ordre de 20 mètres, on obtient pour T la perméabilité (K de DARCY = ), les valeurs suivantes : pour la descente : 2,7.10""* m/s. pour la remontée : 1,7.10"^ m/s. De par la pénétration partielle du puits de pompage, le calcul de S comporte quelques incertitudes. Toutefois, en raison du faible rabattement enregistré sur le piézomètre, aucun terme correctif n'a été pris en compte, d'où : _ Les paramètres utilisés sont les suivants : r distance du point où on mesure le rabattement à ljaxe de l'ouvrage 8 Coefficient d'emmagasinement instantané (volume dt^sol) T transmissivité de l'aquifère. b K Kv épaisseur de la couche aquifère. perméabilité (coefficient de DARCY). perméabilité verticale. perméabilité horizontale. temps correspondant à l'intersection de la droite de rabattement (sur graphique semilogarithmique) avec l'axe de rabattement nul. t durée de pompage. P temps écoulé depuis la fin du pompage. Q : débit de pompage

8 6 5 FLUCTUATIQNS = DE = LA = NAPPE Les fluctuations de la nappe ne sont pas exactement connues à l'emplacement prévu pour la construction du nouvel immeuble. Les mesures limnigraphiques durant un an permettront de déterminer les paramètres statistiques. Actuellement, les seules indications disponibles sur ces fluctuations proviennent de divers rapports de synthèse établis par le BRGM au cours des dernières années. Le niveau maximal ordinaire (sur une période d'un an) peut être estimé à + 1 m par rapport au niveau mesuré dans les sondages. Le niveau maximal décennal (sur une période de 10 ans) peut être estimé à + 1,5 m par rapport au niveau mesuré dans les sondages. Toutefois, les récentes modifications locales aux écoulements souterrains, apportées notamment par : la construction du métro (lorsqu'il est ancré à la molasse) la réalisation d'une enceinte étanche sous la PartDieu peuvent avoir une influence sur les niveaux ainsi prévus, et seule 1' observation limnigraphique entreprise pourra permettre d'établir des prévisions définitives. 6 FONDATigNS = ET = RABATTEMENT = PRgVISOIRE = DE = LA = NAPPE A l'heure actuelle, on ne connaît pas encore le type d'infrastructure retenu pour le bâtiment. On indiquera les différents problèmes qui peuvent se poser selon que le bâtiment a ou n'a pas de niveau enterré. 61 BATIMENT SANS NIVEAU ENTERRE Les trois sondages réalisés ont permis de caractériser qualitativement les horizons rencontrés. Ces caractéristiques permettent d'envisager des fondations superficielles pour le bâtiment. Dans la mesure où elles reposent sur les alluvions sablograveleuses du Rhône, la pression limite admissible sera de l'ordre de 5 bars (valeur généralement admise

9 7 dans ce site). On déterminera, par des mesures qualitatives des caractéristiques du sol, les valeurs à prendre en compte lorsque le projet sera mieux défini. La pression limite admissible est donnée par la formule de TERZAGHI :?1 adm = YD + 1 ( 7 Ny + YD (N q 1) + CN C ) La largeur B de la fondation intervient en facteur du terme de surface Ny (voisin de 20 pour les angles de frottement interne de 30 ), le sol situé audessus du plan de fondation étant assimilé à une surcharge, la profondeur D intervient en facteur du terme N q (du mime ordre de grandeur due Ny). Dans les alluvions du Rhône, il est habituel de négliger la cohésion qui n'a souvent qu'un état précaire. On a noté dans les sondages la présence de niveaux argileux ou limoneux qui peuvent descendre jusqu'à 7,00 mètres (sondage 3). D'autre part, les 3 à 4 premiers mètres sont composés de remblais urbains très hétérogènes Par conséquent, il est recommandé de chercher un niveau d'assise sous ces formations de moindres caractéristiques, afin de réduire les risques de tassement. 62 BATIMENT AVEC NIVEAUX ENTERRES Dans la mesure où le projet retenu comprendrait des niveaux enterrés, on s'affranchirait des problèmes posés par les remblais et les lentilles argileuses. Par contre, l'exécution de ces soussols demanderait la réalisation du terrassement sous la nappe. Ces terrassements sous l'eau nécessitent donc un rabattement provisoire de la nappe. Les différentes possibilités de rabattement, analysant les avantages et inconvénients des différentes méthodes, compte tenu du site urbain et des caractéristiques hydrogéologiques du soussol, sont présentées cidessous :

10 8 621 Fouilles talutées avec rabattement par puits filtrants On réalise autour de la fouille une série de puits, dont l'espacement est à déterminer en fonction des débits à pomper et des débits unitaires possibles. La fouille est réalisée aux engins de terrassement classiques, et talutëe avec une pente relativement faible. Niveau avant rabattement Niveau après rabattement Cette méthode, si elle peut réduire le coût des terrassements, présente un certain nombre d'inconvénients pour le site en question la hauteur de rabattement possible est limitée par l'importance des débits à pomper (coût d'exploitation). l'entraînement éventuel des éléments fins, par le dispositif d'épuisement, peut engendrer des désordres importants dans les constructions riveraines. L'influence du pompage se fait sentir très loin (perméabilité importante). les fluctuations de la nappe peuvent rendre inefficace, au moins temporairement, le dispositif de rabattement. les risques de colmatages peuvent apporter une gêne importante dans le déroulement du chantier (inondation du chantier, rupture d'équilibre des talus). la surface constructible est réduite par l'encombrement des talus et des puits filtrants.

11 9 622 Mise hors d'eau à l'abri d'écrans étanches La méthode est la suivante : exécution de l'enceinte par un écran étanche ; vidange progressive de l'enceinte avec des dispositifs de pompage (pompe immergée) placés sous le niveau du fond de fouille ; terrassement à sec, avec des engins classiques, à l'abri de l'écran étanche. L'étanchéité du fond de fouille est assurée, soit par un traitement (injection d'étanchéité), soit par une augmentation de la fiche de l'écran étanche. En fonction du nombre de niveaux enterrés, l'écran est autostable ou maintenu en tête (tirants ou butons). Cette solution d'enceinte étanche est celle qui a été retenue sur une grande surface pour l'ensemble des constructions de la PartDieu. Pour la réalisation de l'écran étanche, on dispose de plusieurs techniques : Croquis n Rideau_de_2alp_lanches_métalligues (croquis n 1, cidessous) Niveau nappe '//////////ST. Y Palpl anche Fond étanche Dans les alluvions du Rhône son utilisation doit se limiter à des hauteurs totales d'une quinzaine de mètres pour ne pas avoir à mettre en oeuvre des modules de palplanche importants (conditions technologiques de mise en place).

12 10 Par conséquent, un tel type d'écran devra être accompagné de l'exécution d'un fond étanche, par radier injecté notamment, ce qui grève lourdement le coût global. D'autre part, l'ëtanchéité d'un rideau de palplanches est relative, et elle peut être fortement réduite par des défauts (dégrafage de deux palplanches voisines, discontinuité du rideau entraînant l'apparition de "renard". Toutefois, le rideau de palplanches présente des avantages non négligeables : rapidité d'installation, souplesse d'utilisation et possibilité de récupération à la fin des travaux. Croquis n Parois_moulêes_classicjues (croquis n 2 cidessous) Niveau nappe Fond étanche Paroi moulée Substratum de faible perméabilité Le principal inconvénient de cette méthode est le coût de réalisation, dont une partie peut être intégrée au coût des fondations. Un avantage important de la paroi moulée est de pouvoir servir de soutènement pendant l'excavation et en phase définitive, moyennant des travaux de ragréage. Elle peut également servir de fondation pour le bâtiment. L'étanchêité d'une telle paroi est en général très bonne. Mais l'exécution se faisant par panneaux de longueur limitée, il peut arriver très rarement qu'une déviation lors du forage crée une "fenêtre" entre deux panneaux (incident similaire au dégrafage de deux palplanches).

13 11 La paroi moulée permet d'exécuter des écrans assez profonds. Ainsi, il n'est pas interdit de la pousser jusqu'à la profondeur estimée de la molasse, soit 18 mètres. Seule une étude économique, fonction notamment du nombre de niveaux enterrés, permettra de choisir entre une solution avec fond étanche ou une solution allant jusqu'à la molasse Parois EEÉ^ br isuêês (croquis n 3 cidessous) Croquis n 3 Niveau nappe Fond tanche Panneau préfabriqué Coulis de perforation Substratum de faible perméabilité Ce n'est qu'une variante à la technique précédente, rendue possible par la profondeur de la molasse. Il s'agit de parois en béton, non plus moulées dans le sol, mais préfabriquées avant mise en place dans la tranchée. Le scellement des panneaux préfabriqués, entre eux et au terrain, est assuré par un coulis d'argile ciment. Par rapport aux parois moulées classiques, le procédé possède les avantages suivants : le béton est de meilleure qualité qu'un béton coulé sous la boue. à résistance égale, la paroi est plus mince qu'une paroi moulée. le très bon état de surface des panneaux permet leur, utilisation en revêtement définitif.

14 12 La hauteur des panneaux est limitée (problème de manutention lié au poids) ; l'étanchéité sous le panneau peut être assurée par le coulis de perforation, l'excavation pouvant atteindre la couche de perméabilité plus faible comme dans le cas des parois moulées. Si le coût des parois préfabriquées est un peu plus élevé, une partie peut entrer dans le coût des fondations et dans le coût du cuvelage des niveaux enterrés. A l'heure actuelle, les techniques de joint entre panneaux donnent des résultats satisfaisants. 7 ~ L'étude hydrogéotechnique préliminaire du site prévu pour l'implantation du futur siège administratif des Hospices Civils de Lyon a permis de définir les caractéristiques géométriques et les paramètres hydrauliques des sols de fondation. Il ne semble pas y avoir de différences importantes, par rapport aux conditions connues dans le voisinage, depuis la réalisation des grands travaux d'aménagement de la PartDieu et de la trémie Garibaldi. L'épaisseur des remblais de surface est de l'ordre de 3 à 4 mètres. En S] toutefois, on a rencontré des niveaux limoneux jusqu'à 7 mètres de profondeur. La nappe est à environ 2,5 mètres audessous de la surface du sol, et ses fluctuations ordinaires semblent devoir rester inférieures au mètre, Elles devront cependant être précisées après une année de mesures régulières, afin de juger de l'influence de certains aménagements profonds et récents dans un voisinage immédiat. La perméabilité est élevée, ce qui rend difficiles les rabattements en vue d'éventuels travaux.

15 13 Diverses solutions sont possibles et évoquées pour le cas où le projet comporterait l'exécution de niveaux enterrés. Les données recueillies permettront, avec les programmes de calcul disponibles au BRGM, de quantifier ces solutions afin d'aider à l'optimisation technique et économique du projet. Ces solutions pourront être traitées à l'échelle de l'immeuble ou à celle d'un complexe immobilier, comme ce fut le cas a la PartDieu où une enceinte ëtanche commune à plusieurs constructions et allant jusqu'au substratum molassique a été créée et intégrée à la réalisation définitive.

16 14 ANNEXE ILLUSTRATIONS Situation genérale Coupe des sondages Topographie du toit de la molasse Essais de pompage fig. 21 fig. 31a fig. 31b fig. 31c fig. 31d fig. 32a fig. 32b

17 15 FIG 21 EMPLACEMENT DES SONDAGES scnr\ V<~M ' M 16» M 17 ^ Sondages Cours VITTON S 2 > Sondages présente campagne S 3 ) N 50 1OOm =1 BRGM/5GR JURAALPES

18 * ; " 16 FIG. 31 a COUPES DES SONDAGES DE RECONNAISSANCE Indice de classement B.R.G.M : O69S 6L 0047 x : y = o z solr167. o... " ' '. O. 9.. '<>' Graviers prédominants, avec galets de 5 à 15 cm et sable beige moyen (remblai probable). i/i 2,50 A.8O 5.50 Argile sableuse plastique, jaune verdâtre et grise à la base (remblai probable.) Limon gris foncé très sableux tourbeux vers 4.90 m Graviers et petits galets avec sable limoneux gris ta 7.00 L 3 "U <2 io o CL e 'o ' O.. o '. ó. ' ' ó ' ó. '..; 'ó.: «> ' '. Sable beige, moyen, avec graviers et galets dont la dimension augmente avec la profondeur. '<?:?: '.bv^ o.?, o Sable beige moyen â grossier avec quelques petits galets BRGM/ SGR JURAALPES réalisé par l'entreprise BACHY

19 '. * ' 17 FIG. 31 b COUPES DES SONDAGES DE RECONNAISSANCE Indice de classement B.R.G.M : 06986R0128 x y r O z sol=167 Remblais 3.30 o o 5 Graviers et galets VI avec sable beige moyen à grossier ö '. ; 3 V I 10 0 >.? ' '. o 'o.' " o '... o, o 15 : ' : '.. ; o... BRGM/ SGR JURAALPES Réalisé par l'entreprise BACHY

20 18 FIG. 31c COUPES DES SONDAGES DE RECONNAISSANCE Indice de classement B.R.G.M : R0127 x : y = z sol= Sable grossier avec graviers et petits galets (type Saône remblais probable) Argile plastique finement sableuse ces argiles renferment des éléments de brique rouge (remblais probable) Ensemble de sable beige, moyen avec quelques rares galets ou graviers t c 8.OO L 3 TJ C o Û. o... o. o' '.... ' " '. Graviers et galets (dimension 10 cm et plus) avec sable. A partir de m devient argileux (passage d'argile variée a m sur 0.10 m.." ' o '. '..' " 'O " o.".' Réalisé par l'entreprise BACHY BRGM/ SGR JURAALPES

21 FIG 31 d TOPOGRAPHIE DU TOIT DE LA MOLASSE (COTES EN METRES ECHELLE 1 /5OOOO EXTRAIT DU RAPPORT 73 SGN 199 JAL BRGM/ SGR JURAALPES

22 : ' : i i : : TTTF. r :):; avi :!' : t : : : FIO 44 2AÍMARS 97Ö; O.1 2E5 02 : ; ; I : : ; 03 Q4 % O5 E N Q6 mí EfiRME "H7 T TT llî21 V :l f.:: 0.8! : : t.. : rr :T~ m er : ' :! : : : 1.1 i! : o : : 1 ; ritttt ll\\::: T!'i li!: J ;. : :: I : : ; T; "T >'' Di 0 9 txili v 10 2 ', 2 y 03 : : : I : rt ; I. : 1 ; : * ' ^ " Durée du pompage en secondes BRGM/ SGR JURAALPES

23 ; :. : : : ; : : : ' : '.... ; : ' ;.. : : : :!. '. : :!. :., : ( ".. o A O ; 4... y r ' L ; :.X'i. :. :, 1 := ;.i i;;! ; 7:::.; _ i : TT. ~TTT r. ; : : 4 + '* : : : 1! : : IL:! ir : ' 1 : : rr T n *ïï ; i 1 ; * 1 r r i T : J : : : l 1 ri ; T'TÍT ; 1 :' pu.. ii mj ' * i : ~ i~ ; 1 i! ' ; :. : : : m : 1 rr.;. i. h:: : : ', :::; : ::: T T; :,:... ^m ' r ' tir r r J="< Q... : i : ;. : 4 \ =»QÏ : : ' ' j. : : : : : : If J4, ;'. ' ' 1: :r. : "ri:;. T:::in:! r^r : \\ 'r\ 1.4 : i S' ki r<\ '.» 1 r : : :. t : : D NTE rtrí... ttt» r H~ : : r ; liiii : : : ; r : r : : : FIG 52 t h~v ; ;::... i... : " 197 r : ' : 1... "i 0.8 O 'Z.z : 1 rr Mil : : r.i : j ': J ii: ; : :: ṟ i"..: 1,::: '\:\:\:, :! : : : : :.' i :. rr ::!: i : ;; rr^ 1 : :, : : : : : m m ". T r O ; 1; : I T : : r: t r ; 1 :: ; '.' ; : 1 : : é±l L. : : i ; : m E i yietr! M tri :.. T.. 1 :. : : 1.. m vie 5 Tri* r : r.. : : : :. I :.. : :. : : : ""TT m ' ; 11. :; 1 : : M ; ; ; i} P. i 1 1 :. " L : i m i m r : " 1 ^. 1!. I ; : : IO ' * ! l T'\' : : : : TTTf Durée du pompage en secondes : : : : 4j 1 9I0 BRGM/ SGR JURAALPES

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