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1 Document generated on 10/18/2017 6:46 a.m. Revue du Nouvel-Ontario Revue du Nouvel-Ontario Perception de compétence linguitique chez le jeune francophone et anglophone : une incidence différenciée de l environnement linguitique immédiat. Note empirique Rachid Bagaoui and Simon Laflamme Numéro 37, 2012 URI: id.erudit.org/iderudit/ ar DOI: / ar See table of content Publiher() Intitut franco-ontarien ISSN (print) (digital) Explore thi journal Cite thi article Rachid Bagaoui and Simon Laflamme "Perception de compétence linguitique chez le jeune francophone et anglophone : une incidence différenciée de l environnement linguitique immédiat. Note empirique." Revue du Nouvel- Ontario 37 (2012): DOI: / ar Tou droit réervé Intitut franco-ontarien, 2012 Thi document i protected by copyright law. Ue of the ervice of Érudit (including reproduction) i ubject to it term and condition, which can be viewed online. [ Thi article i dieminated and preerved by Érudit. Érudit i a non-profit inter-univerity conortium of the Univerité de Montréal, Univerité Laval, and the Univerité du Québec à Montréal. It miion i to promote and dieminate reearch.

2 Perception de compétence linguitique chez le jeune francophone et anglophone : une incidence différenciée de l environnement linguitique immédiat. Note empirique rachid Bagaoui et SiMon LafLaMMe Univerité Laurentienne Le étude ur le minorité linguitique au Canada poent communément la quetion de la reproduction, quetion à laquelle et attachée celle de l aimilation, phénomène qui e révèle dan de fait qui vont de tendance démographique aux repréentation pychoculturelle, et l eentiel de travaux porte ur la francophonie hor Québec. Dan ce étude, certain chercheur font valoir l importance de la denité de la population et de mariage monolingue; il outiennent que plu le minoritaire ont nombreux ur un territoire donné, plu il et probable qu il unient conjugalement entre eux et qu il pérennient aini la collectivité 1. D autre relati- 1 Voir, par exemple, Roger Bernard, De Québécoi à Ontaroi : la communauté franco-ontarienne, Heart, Le Nordir, 1988; Roger Bernard (avec la collaboration de Linda Cardinal, Jean Lapointe et Joeph Yvon Thériault), Le déclin d une culture : recherche, analye et bibliographie : francophonie hor Québec, Livre I, Ottawa, Fédération de jeune Canadien françai, 1990; Roger Bernard (avec la collaboration d Anne Gilbert, Marc E. Lalonde et Martine Tremblay), Revue du Nouvel-Ontario, numéro 37, 2012

3 Revue du Nouvel-Ontario 37 vient le effet de telle alliance et de la concentration de minorité; il mettent en évidence la complexification de déterminant dan le ociété potindutrielle et attirent l attention ur de facteur tel que l intruction et l uage de média 2. Pluieur initent ur le rôle de intitution; il montrent qu il et d autant plu facile pour une population minoritaire de e reproduire que e membre ont accè à l enemble de organime autour dequel et à traver lequel e contituent le collectivité 3. Dan cet eprit, bon nombre de pécialite parlent de vitalité culturelle ou linguitique et mettent en relief le manière dont le intitution peuvent favorier le Le choc de nombre : doier tatitique ur la francophonie canadienne, , Livre II, Ottawa, Fédération de jeune Canadien françai, 1990; Roger Bernard, Un avenir incertain : comportement linguitique et concience culturelle de jeune Canadien françai, Livre III, Ottawa, Fédération de jeune Canadien françai, Voir, par exemple, Nicole Corbett, Simon Laflamme et Chri Southcott, «Uage de média et langue de communication dan la communauté francophone du nord-ouet de l Ontario», Revue du Nouvel-Ontario, n o 33, 2008, p ; Simon Laflamme, «Alternance linguitique et potmodernité : le ca de jeune francophone en contexte minoritaire», Francophonie d Amérique, n o 12, 2001, p ; Simon Laflamme et Rachid Bagaoui, «Le leader franco-ontarien aprè l État providence», Recherche ociographique, vol. 41, n o 2, mai-août 2000, p ; Simon Laflamme et Donald Dennie (avec la collaboration d Yvon Gauthier), L Ambition démeurée. Enquête ur le apiration et le repréentation de étudiant et de étudiante francophone du Nord-Et de l Ontario, Sudbury, Prie de Parole / Intitut franco-ontarien, Voir, par exemple, Raymond Breton, «Intitutional Completene of Ethnic Communitie and the Peronal Relation of Immigrant», American Journal of Sociology, vol. 10, n 2, 1964, p ; Diane Farmer, Artian de la modernité. Le centre culturel en Ontario françai, Ottawa, Pree de l Univerité d Ottawa, coll. «Amérique françaie», 1996; Joeph Yvon Thériault, «Entre la nation et l ethnie. Sociologie, ociété et communauté minoritaire francophone», Sociologie et ociété, vol. 26, n o 1, printemp 1994, p

4 Perception de compétence linguitique chez le jeune... développement de communauté minoritaire 4. Toute ce étude, malgré leur divergence, affirment unanimement cette vérité ociologique elon laquelle l environnement et déterminant dan l évolution d une collectivité. Dan le ca de minorité, cela ignifie que le comportement de membre, de même que la tructuration de l enemble, ubient l influence de la réalité majoritaire, c et-à-dire que l action du groupe et de individu qui le compoent ne peut pa ne pa être aui réaction par rapport aux élément qui définient le majoritaire. Seule une ociologie naïve pourrait affirmer le contraire. Mai cette reconnaiance de l influence de l environnement n et déclaration ni de l impuiance de minorité ni du caractère excluif de l effet de la préence du majoritaire. Le population minoritaire ont capable d autoreproduction et d action ur le majoritaire. De même que toute influence qu elle ubient ne provient pa du côtoiement du majoritaire. On le voit trè bien dan le ca de comportement linguitique. Si l influence du majoritaire était telle que a préence e faiait étroitement entir, le minoritaire aurait tendance à etimer de façon moindre que ne le fait le majoritaire a compétence dan a langue maternelle, ou, inverement, on devrait trouver que le etimation de aptitude du majoritaire dan a langue ont upérieure à celle du minoritaire dan la ienne. Par ailleur, le minoritaire 4 Wilfrid B. Deni, «La complétude intitutionnelle et la vitalité de communauté franakoie en 1992», Cahier francophone de l Ouet, vol. 5, n 2, 1993, p ; Anne Gilbert, André Langloi, Rodrigue Landry et Edmund Aunger, «L environnement et la vitalité communautaire de minorité francophone : ver un modèle conceptuel», Francophonie d Amérique, vol. n 20, 2005, p ; Rodrigue Landry, «Diagnotic ur la vitalité de la communauté acadienne du Nouveau-Brunwick», Égalité, n 36, automne 1994, p

5 Revue du Nouvel-Ontario 37 pourrait tendre oit à approprier la langue majoritaire de manière telle qu il en viendrait à etimer a compétence dan la langue majoritaire comme le fait le majoritaire lui-même, par effet d aimilation, ou, à l oppoé, à être plu critique que le majoritaire à l égard de e aptitude dan la langue majoritaire, par effet d inférioriation. La quetion e poe de avoir laquelle de ce deux inclination et empiriquement jute. L incidence de l environnement linguitique devrait aui e manifeter fortement en fonction de la langue de communication ou d expoition aux média. On devrait trouver que plu une peronne entend une langue ou échange dan cette langue, meilleure et on etimation de a compétence comme locuteur et plu forte et la variance expliquée de cette etimation de la compétence. Mai i cette corrélation était plu forte chez le minoritaire que chez le majoritaire, cela indiquerait aux intitution francophone, à la famille, à l école, à quel point il et important pour le minoritaire de générer de epace et de moment pour timuler l activité francophone 5. Méthode Pour vérifier ce hypothèe, nou avon utilié le donnée de la première année (2005) de l enquête Le jeune et le nord : un parcour à découvrir 6. Ce donnée ont été recueillie auprè de élève de 9 e et de 12 e année dan le école du Nord-Et de l Ontario, région qui étend de Heart au Témikaming et de Timmin à la baie de Jame. 5 Cette recherche a été rendue poible grâce au financement auré par la Commiion de formation du Nord-Et (CFNE). 6 Simon Laflamme et Pierre Bouchard, Le jeune et le nord. Un parcour à découvrir, Heart, Commiion de formation du Nord-Et, 2005, (conulté le 30 juin 2012). 136

6 Perception de compétence linguitique chez le jeune... L échantillon ici analyé comprend 370 jeune dont la langue maternelle et le françai, 710 dont cette langue et l anglai et 599 qui dient avoir et l anglai et le françai comme langue maternelle. Ce jeune ont répondu à un quetionnaire. Dan ce quetionnaire, il ont été invité à etimer leur compétence linguitique, tou, et en françai et en anglai pour quatre apect : comprendre, lire, parler et écrire. Pour cette auto-etimation, le jeune dipoaient d une échelle dont le valeur étendaient entre «1», «mauvaie», et «6», «excellente». Il ont aui été appelé à décrire leur environnement linguitique. Le quetionnaire comportait dix énoncé relatif à chacune de langue comme «me parent e parlent entre eux en françai», «avec ma mère, je parle en françai», «avec me ami, je parle en françai», «je li de ouvrage littéraire en françai» ou «j écoute la radio en françai». Pour chacune de variable de la compétence linguitique, nou avon calculé le moyenne et le écart type de diver compoant de l échantillon. Nou avon enuite effectué de analye de régreion multiple en vertu de chacune de compétence et pour chacun de compoant de l échantillon afin de électionner le variable de communication et d expoition aux média qui ont déterminante et de calculer la variance qui et alor expliquée. Decription de donnée Comparaion de moyenne L examen du tableau 1 révèle que francophone et anglophone ont tendance à etimer de façon favorable leur compétence dan leur langue maternelle; le moyenne ( ) ont preque toujour au-deu de la valeur de 5. Mai cet examen montre aui que cette viion poitive 137

7 Revue du Nouvel-Ontario 37 et plu marquée dan l enemble anglophone : pour toute le forme de compétence, le moyenne ont là plu élevée 7. Dan le ca de l écriture l apect pour lequel le jeune ont le plu critique, la différence entre francophone et anglophone et même de 0,60 et la moyenne pour le premier n atteint pa alor le euil de 5. On notera, par ailleur, que le écart type () ont plu élevé dan l échantillon de langue maternelle françaie, ce qui indique qu il y a là plu de variation dan le appréciation. Tableau 1 Moyenne ( ) et écart type () pour le aptitude dan la langue maternelle elon que cette langue et le françai ou l anglai (1 = mauvaie et 6 = excellente) Langue maternelle Type d aptitude françai anglai Aptitude à comprendre la langue maternelle Aptitude à lire la langue maternelle Aptitude à parler la langue maternelle Aptitude à écrire la langue maternelle 5,56 0,96 5,44 1,06 5,42 1,12 4,90 1,41 5,78 0,66 5,68 0,79 5,76 0,70 5,50 1,04 Si l on e penche ur le aptitude dan la langue econde, il n y a pa de urprie lorqu on compare le deux échantillon. Le tableau 2 indique que le jeune d expreion françaie tendent à etimer leur compétence de façon nettement upérieure que ne le font le anglo- 7 Pour la compréhenion, t (529,18) = - 4,02; p < 0,001; pour la lecture, t (573,14) = - 3,91; p < 0,001; pour l oral, t (499,32) = - 5,37; p < 0,001; pour l écriture, t (538,93) = - 6,91; p < 0,

8 Perception de compétence linguitique chez le jeune... phone 8. Ceux-ci, en effet, préentent de moyenne qui n atteignent jamai la valeur de 3; dan le ca de l aptitude à écrire, cette moyenne e itue jute au-deu de 2. Le moyenne de jeune francophone e ituent toute aux environ de 5; elle témoignent aini du fait qu il e reconnaient une compétence réelle dan la langue de la majorité. Cette foi-ci, le écart type ont plu élevé pour l échantillon d expreion anglaie; c et au ein de cet enemble que le différence entre le individu ont le plu grande. Tableau 2 Moyenne ( ) et écart type () pour le aptitude dan la langue econde elon que cette langue et le françai ou l anglai (1 = mauvaie et 6 = excellente) Langue maternelle Type d aptitude françai anglai Aptitude à comprendre la langue econde Aptitude à lire la langue econde Aptitude à parler la langue econde Aptitude à écrire la langue econde 5,25 0,99 5,13 1,12 4,86 1,22 4,90 1,27 2,89 1,59 2,65 1,60 2,44 1,52 2,24 1,50 Chez le élève dont le langue maternelle ont l anglai et le françai le etimation ont plutôt forte dan le deux langue : elle ont toute upérieure à 4,44. Mai ce appréciation e veulent toute plu favorable à 8 Pour la compréhenion, t (951,87) = 27,79; p < 0,001; pour la lecture, t (929,54) = 28,02; p < 0,001; pour l oral, t (867,85) = 26,65; p < 0,001; pour l écriture, t (829,97) = 28,61; p < 0,

9 Revue du Nouvel-Ontario 37 l anglai qu au françai 9. Si elle e réfèrent à l anglai, elle vont de 5,48 à 5,71, alor que i elle e rapportent au françai, elle jouent entre 4,45 et 5,17. Le écart type ont plu élevé lorqu il agit du françai. C et ce qu illutre le tableau 3. Si l on compare le moyenne qui concernent cet échantillon à celle qui caractérient le jeune qui ne déclarent qu une eule langue maternelle, on oberve qu elle e ituent entre celle de francophone et celle de anglophone, mai qu elle ont plu proche de celle de ce dernier. 9 Pour la différence entre l anglai et le françai, en ce qui a trait à la compréhenion, t (548) = 10,41; p < 0,001; à la lecture, t (549) = 11,60; p < 0,001; à l oral, t (546) = 12,25; p < 0,001; à l écriture, t (522) = 15,39; p < 0,

10 Perception de compétence linguitique chez le jeune... Tableau 3 Moyenne ( ) et écart type () pour le aptitude linguitique chez le individu dont le langue maternelle ont l anglai et le françai (1 = mauvaie et 6 = excellente) Type d aptitude Aptitude à comprendre le françai Aptitude à lire le françai Aptitude à parler le françai Aptitude à écrire le françai Aptitude à comprendre l anglai Aptitude à lire l anglai Aptitude à parler l anglai Aptitude à écrire l anglai 5,17 1,13 4,95 1,30 4,93 1,26 4,45 1,50 5,71 0,67 5,61 0,81 5,67 0,69 5,48 0,83 Analye de régreion On peut e demander dan quelle meure l environnement linguitique et déterminant de auto-etimation de compétence en langue. Pour ce faire, il uffit de propoer de indicateur de cet environnement à une analye de régreion et de commander à cette analye de repérer ceux qui, parmi eux, ont une incidence ur le divere compétence. Nou avon choii de procéder aini pour le troi échantillon et pour tou le type de compétence. 141

11 Revue du Nouvel-Ontario 37 Le rapport de francophone à leur langue maternelle explique par le recour à leur langue dan l uage de média et par la langue de communication avec le proche, mai l influence de ce facteur et bien relative, comme le montre le tableau 4. Dan ce tableau, en effet, on contate que cette variance (R 2 ) va de 10 %, pour ce qui et de l aptitude à écrire, à 38 %, pour ce qui a trait à l aptitude à parler. Tou le coefficient ont poitif. Aini, par exemple, plu le parent parlent françai entre eux, plu l étudiant écoute de la muique en françai et plu cet étudiant parle françai avec a mère, alor meilleure et l etimation de a compréhenion du françai. Pareillement, plu l élève lit de ouvrage littéraire en françai et plu e parent parlent françai entre eux, alor plu il appréciera a capacité d écrire en françai. Une variable exogène e révèle chaque foi : la langue de communication de parent entre eux. Il et donc clair qu il agit là de l un de principaux facteur qui rendent compte de la manière dont le jeune etime a compétence dan a langue maternelle; bien implement, plu le parent communiquent en françai, plu il et probable que le jeune minoritaire e trouve bon en françai. La lecture d ouvrage littéraire en françai e manifete troi foi; l écoute de la muique enregitrée en françai, deux foi. Par conéquent, i, en plu d être expoé au françai par le fait que e parent le parlent, l enfant expoe à de contenu médiatique en françai, il augmente la probabilité d etimer favorablement a compétence dan a langue. Diver indicateur de l environnement linguitique ont exclu de troi analye : «avec me frère et œur, je parle en françai», «avec me ami-e-, je parle en 142

12 Perception de compétence linguitique chez le jeune... françai», «je regarde la téléviion en françai», «j écoute la radio en françai» et «je li de journaux, de revue ou de magazine en françai». Ce n et pa que l incidence de ce variable et nulle, c et qu elle et moin forte que celle de autre. 143

13 Revue du Nouvel-Ontario 37 Tableau 4 Régreion multiple de variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche (1 = jamai et 6 = toujour) Pour le variable dépendante de l auto-etimation de la compétence linguitique (1 = mauvaie et 6 = excellente) Seulement le individu de langue maternelle françaie (n = 370) Aptitude à comprendre le françai lire le françai parler le françai écrire le françai Coefficient tandardié ($) et variance expliquée (R 2 ) Variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche Me parent parlent entre eux en françai J écoute de la muique enregitrée en françai Avec ma mère, je parle en françai Me parent parlent entre eux en françai J écoute de la muique enregitrée en françai Je li de ouvrage littéraire en françai Me parent parlent entre eux en françai Avec mon père, je parle en françai Je li de ouvrage littéraire en françai Je li de ouvrage littéraire en françai Me parent parlent entre eux en françai $ R 2 0,30 0,19 0,22 0,41 0,13 0,12 0,40 0,21 0,14 0,22 0,20 0,31 0,25 0,38 0,10 144

14 Perception de compétence linguitique chez le jeune... Le rapport de anglophone à leur langue maternelle répond à une logique quelque peu différente. On le voit par-deu tout en fonction de la variance expliquée par le variable que électionne l analye de régreion, variance qui ne dépae pa 9 %. C et bien ce que montre le tableau 5. Aini, la langue de communication avec le proche et la langue d expoition aux média ont moin déterminante de la manière dont le majoritaire évalue a compétence linguitique qu elle ne le ont de la façon dont le minoritaire juge e aptitude dan a langue maternelle. La langue de communication de parent entre eux ne e manifete que deux foi, mai la langue dan laquelle on échange avec le frère et œur apparaît troi foi. Même i le fait de parler anglai avec de membre de la famille a peu d effet ur la façon d apprécier a compétence en anglai, pour le majoritaire, cet effet ne peut être exclu; mai il n appartient pa à une logique dont la récurrence oit nette. Aucune variable ne e manifete pour tou le type de compétence; eulement troi variable ne figurent dan aucune équation («avec ma mère, je parle en anglai», «je regarde la téléviion en anglai», «je li de journaux, de revue ou de magazine en anglai»). Preque tou le coefficient ont poitif, ce qui veut dire que plu le majoritaire fait de choe en anglai, plu il tend à valorier a compétence dan a langue, i faible oit cette corrélation. Deux coefficient ont pourtant négatif et il e rapportent à l aptitude à comprendre l anglai : «avec me ami, je parle en anglai» et «j écoute la radio en anglai»; de façon étonnante, moin on le fait, meilleure trouve-t-on a compétence en compréhenion. Mai puique ce relation inverée ont marginale et que la variance expliquée et faible, elle ne 145

15 Revue du Nouvel-Ontario 37 méritent pa qu on leur accorde une attention privilégiée; le principe rete le même : plu le majoritaire fait de choe dan a langue, plu il etime favorablement e compétence linguitique, mai ce corrélation ont trè faible. 146

16 Perception de compétence linguitique chez le jeune... Tableau 5 Régreion multiple de variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche (1 = jamai et 6 = toujour) Pour le variable dépendante de l auto-etimation de la compétence linguitique (1 = mauvaie et 6 = excellente) Seulement le individu de langue maternelle anglaie (n = 710) Coefficient tandardié ($) et variance expliquée (R 2 ) Aptitude à comprendre l anglai lire l anglai parler l anglai écrire l anglai Variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche Avec me frère et œur, je parle en anglai Je li de ouvrage littéraire en anglai Avec me ami, je parle en anglai Me parent e parlent entre eux en anglai J écoute la radio en anglai Avec mon père, je parle en anglai Je li de ouvrage littéraire en anglai Me parent parlent entre eux en anglai Avec me frère et œur, je parle en anglai Avec me frère et œur, je parle en anglai J écoute de la muique enregitrée en anglai $ R 2 0,18 0,09 0,18-0,11 0,13-0,11 0,17 0,07 0,17 0,17 0,05 0,11 0,18 0,05 0,11 147

17 Revue du Nouvel-Ontario 37 L effet de la langue de communication avec le peronne et du rapport aux média ur l etimation de la compétence en langue econde et aez fluctuant pour ce qui et du jeune dont la langue maternelle et le françai. Le tableau 6 indique que l explication de la variance ocille entre 8 % et 24 %. Tou le coefficient, auf un, ont négatif. Aini, moin on communique avec le proche en françai et moin on expoe aux média en françai, alor meilleur on e trouve en anglai. Cette logique et intuitive, bien qu il faille retenir que le variance expliquée ont faible, ce qui démontre que l etimation de la compétence linguitique repoe ur d autre facteur. 148

18 Perception de compétence linguitique chez le jeune... Tableau 6 Régreion multiple de variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche (1 = jamai et 6 = toujour) Pour le variable dépendante de l auto-etimation de la compétence linguitique (1 = mauvaie et 6 = excellente) Seulement le individu de langue maternelle françaie (n = 370) Aptitude à comprendre l anglai Coefficient tandardié ($) et variance expliquée (R 2 ) Variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche Avec me ami, je parle en françai Je regarde la téléviion en françai J écoute de la muique enregitrée en françai $ R 2-0,22-0,22-0,16 0,11 lire l anglai Avec me ami, je parle en françai -0,29 0,08 parler l anglai Avec me ami, je parle en anglai -0,22 0,24 Je regarde la téléviion en françai J écoute de la muique en françai Avec me frère et œur, je parle en françai -0,28 0,18-0,15 écrire l anglai Je regarde la téléviion en françai -0,28 0,08 Quand on aocie la langue de communication et la langue d expoition aux média à la façon dont le anglophone jugent de leur compétence en françai, on découvre un univer preque vide : le variance expliquée ont, pour aini dire, nulle, fixée qu elle ont entre 0 % et 2 %. Troi de quelque quatre coefficient qui parviennent à poindre ont négatif; on oe à peine 149

19 Revue du Nouvel-Ontario 37 rapporter leur ignification qui voudrait que moin on communique en anglai, plu on e trouve bon en françai. C et ce qui et dépoé dan le tableau 7. À l évidence, le déterminant de cette relation e trouvent ailleur; c et autre choe qui peut rendre compte du fait que le majoritaire etime favorablement e aptitude en françai. Tableau 7 Régreion multiple de variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche (1 = jamai et 6 = toujour) Pour le variable dépendante de l auto-etimation de la compétence linguitique (1 = mauvaie et 6 = excellente) Seulement le individu de langue maternelle anglaie (n = 710) Coefficient tandardié ($) et variance expliquée (R 2 ) Aptitude à comprendre le françai lire le françai parler le françai écrire le françai Variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche $ R 2 Avec me ami, je parle en anglai -0,13 0,02 Avec mon père, je parle en anglai 0,11 Avec me ami, je parle en anglai -0,13 0,02 Avec me ami, je parle en anglai -,013 0,02 Le analye qui e penchent ur le ca de bilingue de naiance ont particulière. L etimation de la compétence en françai peut être expliquée dan l ordre de 14 % à 26 %. On le voit dan le tableau 8. Ce ont là de chiffre qui ont plu prè de la ituation de francophone 150

20 Perception de compétence linguitique chez le jeune... que de celle de anglophone. Le coefficient ont poitif, auf deux. Donc, il renvoient à la logique elon laquelle un plu grand uage du françai correpond à une meilleure appréciation de la compétence dan cette langue. Chez ce individu qui déclarent deux langue maternelle, ce n et pa la langue de communication de parent entre eux qui et la plu récurrente, c et la langue de communication avec la mère. Cette variable, en effet, intervient dan le quatre équation; elle agit ur la perception de quatre type de compétence. La lecture de ouvrage littéraire en françai joue un rôle, elle aui, dan le quatre équation. Aini, c et en partie entre la langue qu il parle avec a mère et la littérature françaie que le jeune dont l origine linguitique et double en vient à apprécier e aptitude dan la langue de la minorité. D autre facteur figurent dan le équation : la langue de communication avec le frère et œur, la langue de communication de parent entre eux, la langue de communication avec le père et la langue de communication avec le ami. 151

21 Revue du Nouvel-Ontario 37 Tableau 8 Régreion multiple de variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche (1 = jamai et 6 = toujour) Pour le variable dépendante de l auto-etimation de la compétence linguitique (1 = mauvaie et 6 = excellente) Seulement le individu dont le langue maternelle ont le françai et l anglai (n = 599) Coefficient tandardié ($) et variance expliquée (R 2 ) Aptitude à comprendre le françai lire le françai parler le françai écrire le françai Variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche Avec ma mère, je parle en françai Je li de ouvrage littéraire Avec me frère et me œur, je parle en françai Je li de ouvrage littéraire Avec ma mère, je parle en françai Me parent e parlent entre eux en françai Avec mon père, je parle en françai Avec ma mère, je parle en françai Je li de ouvrage littéraire (roman.) Avec me ami, je parle en françai Avec mon père, je parle en françai Me parent e parlent entre eux en françai Je li de ouvrage littéraire (roman ) Avec ma mère, je parle en françai $ R 2 0,19 0,16 0,20 0,13 0,24 0,19 0,33-0,24 0,19 0,34 0,26 0,14 0,14 0,20-0,15 0,26 0,14 0,22 152

22 Perception de compétence linguitique chez le jeune... L etimation par le bilingue de naiance de a compétence en anglai varie beaucoup plu en fonction de la langue de communication que ne le fait celle de l anglophone. Chez celui-ci, le variance expliquée e ituaient entre 5 % et 9 % ; chez celui-là, le variance vont de 12 % à 27 %. C et ce qui et incrit dan le tableau 9. Donc, la langue de communication avec le proche de même que la langue du rapport aux média ont plu déterminante chez le jeune qui e dit d origine bilingue que chez celui qui e déclare trictement anglophone. Sa ituation apparente donc à celle du francophone quand il évalue a compétence en anglai où l explication de la variance joue entre 8 % et 24 %. Toute le variable exogène qui e dégagent ont trait à l anglai et preque tou le coefficient ont poitif. Par conéquent, plu le jeune qui dit avoir deux langue maternelle parle en anglai avec e proche et plu il utilie l anglai quand il expoe aux média, alor meilleure et l etimation de e compétence. Un eul facteur intervient dan le quatre équation : la lecture d ouvrage littéraire. Il y en a deux qui agient troi foi : la langue d expoition à la radio et la langue de communication avec le ami. Troi variable paraient deux foi : la langue de communication avec le père, celle qui et employée avec la mère, pui celle à laquelle on recourt quand on lit de journaux. La langue que e parlent entre eux le parent n et électionnée qu une eule foi. Le nombre de variable par équation et toujour au moin de troi; par deux foi il et de cinq. Dan le autre analye, le équation étaient normalement moin complexe. Cela montre que le rapport à l anglai du bilingue de naiance et moin tructurellement déterminé, qu il relève davantage du cumul de ituation. 153

23 Revue du Nouvel-Ontario 37 Tableau 9 Régreion multiple de variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche (1 = jamai et 6 = toujour) Pour le variable dépendante de l auto-etimation de la compétence linguitique (1 = mauvaie et 6 = excellente) Aptitude à comprendre l anglai lire l anglai parler l anglai Seulement le individu dont le langue maternelle ont le françai et l anglai (n = 599) Coefficient tandardié ($) et variance expliquée (R 2 ) Variable relative à la langue d expoition aux média et à la langue de communication avec le proche Avec mon père, je parle en anglai Je li de journaux et de revue ou de magazine en anglai Avec ma mère, je parle en anglai J écoute la radio en anglai Je li de ouvrage littéraire en anglai Avec ma mère, je parle en anglai Je li de ouvrage littéraire en anglai Je li de journaux et de revue ou de magazine en anglai J écoute la radio en anglai Avec me ami, je parle en anglai Me parent e parlent entre eux en anglai Avec me ami, je parle en anglai Je li de ouvrage littéraire en anglai $ R 2 0,19 0,18 0,14-0,13 0,11 0,21 0,16 0,14-0,16 0,11 0,28 0,24 0,19 0,15 0,15 0,27 écrire l anglai Avec mon père, je parle en anglai Je li de ouvrage littéraire en anglai 0,16 0,21 0,12 Avec me ami, je parle en anglai 0,13 J écoute la radio en anglai -0,10 154

24 Perception de compétence linguitique chez le jeune... Interprétation et concluion Nou poion au début que le minoritaire aurait tendance à etimer de façon moindre que ne le fait le majoritaire a compétence dan a langue maternelle, ou, inverement, que le etimation de aptitude du majoritaire dan a langue eraient upérieure à celle du minoritaire dan la ienne. Le donnée montrent, en effet, que l etimation que font le francophone de leur compétence dan leur langue maternelle et quelque peu inférieure à celle de anglophone en anglai. L autoévaluation qui et faite par le jeune qui déclarent deux langue maternelle et moindre en anglai que celle de anglophone et moindre en françai que celle de francophone. De plu, le minoritaire tend à approprier la langue majoritaire de manière telle qu il en viendrait à etimer a compétence dan la langue majoritaire de manière plutôt poitive. Tel n et pa le ca pour le majoritaire : le donnée montrent que le francophone etiment de façon upérieure leur compétence dan leur langue econde que le ne le font le anglophone. Nou poion également que l environnement linguitique, meuré ici par la langue de communication avec le proche et la langue d expoition aux média, jouerait un rôle non négligeable. Le donnée témoignent bien de cette tendance. Plu le minoritaire font de choe dan leur langue, plu il auront tendance à etimer favorablement leur compétence dan cette langue. Mai le analye montrent que cela n et pa pareillement vrai pour le anglophone. Le jeune de langue maternelle anglaie jugent un peu plu favorablement leur aptitude dan leur langue que ne le font le francophone, mai cette etimation ne emble pa dépendre réellement du même environnement puique, pour toute le forme de 155

25 Revue du Nouvel-Ontario 37 compétence, la plu forte variance n et que de 9 %. Dan le ca de francophone, la ituation et différente. L échange en françai avec le milieu et l expoition aux média emblent jouer un certain rôle; la variance monte même juqu à 38 % pour l aptitude à parler le françai. Tout e pae comme i le fait de recourir à a langue, pour le minoritaire, accroiait en cela eul le jugement qu il porte ur e aptitude à communiquer dan a langue alor que cela n avait que peu d incidence ur l auto-etimation du majoritaire de a compétence linguitique. Comme i la compétence linguitique du majoritaire n était pa d autant plu évident à e propre yeux qu il communique effectivement dan a langue! Comme i le caue de la variation de l etimation de la compétence étaient, pour le majoritaire, ailleur que dan le fait de recourir à la langue! Cet ailleur et manifete dan toute le ituation puique, en fonction de tou le facteur explicatif, pour toute le forme d aptitude et relativement à tou le groupe linguitique, le variance ne dépaent jamai 38 %. Il y a donc pluieur autre facteur qui ont une influence ur la façon dont on apprécie a compétence linguitique. Ce qui et étonnant, c et à quel point cet ailleur et éloigné de la langue de communication avec le proche et de la langue d uage dan le média pour ce qui et du majoritaire. On peut concevoir que de tel réultat oient de nature à intéreer le reponable du développement de communauté francophone minoritaire au Canada. No réultat montrent que le eul fait d accentuer le occaion de parler françai ou d être expoé au françai élève l autoetimation de la compétence, et par conéquent déploiera l identité. Puiqu il en et aini, le reponable du développement de communauté franco-minoritaire 156

26 Perception de compétence linguitique chez le jeune... ont un bon argument, empiriquement fondé, pour agir en ce en. L incidence de l environnement linguitique et manifete. On peut dire que plu une peronne entend une langue ou échange dan cette langue, meilleure et l etimation de a compétence comme locuteur et plu forte et la variance expliquée de cette etimation de la compétence. Mai ce qui urprend, c et l écart de cette variance quand on compare le minoritaire au majoritaire. La faiblee explicative de indicateur de l environnement peut avoir pour caue le fait que la recherche n ait pa tenu compte de variable autre que celle qui renvoient à l environnement linguitique immédiat. Mai l ajout d autre facteur n empêcherait pa de contater que la langue de communication au ein de la famille et relativement déterminante chez le minoritaire, alor qu elle ne l et preque pa chez le majoritaire. Pour le minoritaire, il et eentiel mai non uffiant de communiquer avec e proche dan a langue et d employer a langue dan l uage de média pour qu il en vienne à juger favorablement a compétence linguitique; pour le majoritaire, cet emploi de la langue en oi et preque an conéquence. Comme i le milieu linguitique était i fondamentalement en correpondance avec le majoritaire qu il ne permettait pa de dicriminer la façon dont on perçoit a compétence linguitique! Alor que, pour le francophone, le fait de ne pa parler a langue avec e proche et de ne pa l employer dan le média diolvait la compétence dan un environnement plu grand, dan un univer autre. Il emble donc que cette différence dan la repréentation concernant l effet de l environnement renvoie ellemême à la dynamique majoritaire-minoritaire. Même i 157

27 Revue du Nouvel-Ontario 37 la proximité, le interaction quotidienne, le contact interdient de le traiter comme de univer éparé, tout e pae comme i on était en préence de deux univer qui renvoient à deux condition occupée au ein d un tout. La place occupée dicte en partie au jeune l évaluation de e compétence. Au terme de cette analye, on peut interroger ur ce qui, dan l abolu, en dehor d un quetionnement ur le rapport entre majoritaire et minoritaire, et uceptible de faire qu un étudiant etime favorablement a compétence linguitique. Il faut avoir en tête que l auto-etimation de cette compétence dan la langue maternelle et relativement forte et que, donc, la part de variation à expliquer et retreinte. Néanmoin, on peut imaginer que le jeune inclinera d autant plu à e valorier au plan linguitique qu il era favorablement apprécié par de peronne qui ont amenée à évaluer a langue. Inverement, le jeune auquel on répétera qu il a de difficulté devrait tendre à e dévalorier. Il erait donc intéreant de vérifier, dan une autre étude, quel type de jugement le jeune tend à recevoir de adulte : le parent, le ami de parent, le eneignant. On peut aui onger que le tatut ocio-économique de la famille d origine ait un effet. On peut encore pener que cette auto-etimation de la compétence linguitique n et pa indépendante de conidération pychologique. 158

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